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Football – Mondial2026 : Les Aigles de Carthage mettent le cap sur un nouveau récital face à la Namibie

Football –  Mondial2026 : Les Aigles de Carthage mettent le cap sur un nouveau récital face à la Namibie

Après le carton plein face à Sao Tomé-et-Principe (6-0), vendredi, les Aigles de Carthage ambitionnent de clôturer en beauté les éliminatoires africaines pour la Coupe du monde 2026 de football, et abordent le dernier match des qualifications avec un moral au beau fixe et l’ambition renouvelée de l’emporter haut la main sur la Namibie, lundi, […]

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Tunisie – Éliminatoires de la Coupe du monde : finir en beauté

La Tunisie joue, ce vendredi 10 octobre à 17 heures, contre l’équipe de Sao Tomé et Principe, puis lundi prochain, à 14 heures, et au même stade Hamadi-Agrebi, contre la Namibie. Et ce, dans le cadre des deux dernières journées des éliminatoires de la Coupe du monde de football 2026, zone Afrique. Avec le souci de sortir vainqueur des deux rencontres. Et encore de garder la cage inviolée. Comprenez, ne pas encaisser le moindre but.

La rencontre entre l’équipe de Sao Tomé et Principe et l’équipe de Tunisie, qui se déroule aujourd’hui au stade Hamadi-Agrebi, à Radès, ressemblera-t-elle, côté tunisien, à une promenade de santé ? Cela pourrait être le cas. On sait que les poulains de Sami Trabelsi ont disposé assez facilement (4-0), le 17 novembre 2023, au match aller, de l’équipe de cet archipel constitué de deux îles principales. Une équipe qui n’a jusqu’ici gagné aucune rencontre programmée dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.

Interrogé au sujet de cette équipe, un de ses dirigeants, Manuel Dendé, a déclaré que « les difficultés financières de l’archipel n’ont pas pu permettre à ses joueurs de participer aux dernières compétitions internationales officielles ». Et que « la structure footballistique est en reconstruction, et une mobilisation conséquente autour du football espoir a été mise en place. C’est-à-dire que la Fédération santoméenne a mis l’accent sur la formation des jeunes qui participent déjà à diverses compétitions internationales ».

 

Les Aigles de Carthage disputent la rencontre d’aujourd’hui et celle de lundi prochain avec un excellent moral, souhaitant surtout ne pas perdre une rencontre de toutes les éliminatoires.

 

Le match d’aujourd’hui est le match retour de ces éliminatoires. Il n’a pas lieu à Sao Tomé et Principe car aucun terrain de ce pays n’est homologué par les instances de la Confédération africaine de football (CAF). On sait, du reste, que 17 des 43 pays prévoyant d’accueillir des matches de qualification à domicile se sont vu interdire l’utilisation de leurs propres stades. Ceux-ci ne répondant pas aux normes exigées par la CAF. Ainsi, l’équipe de Sao Tomé et Principe jouera son autre match contre le Malawi au stade olympique de Sousse, à 14h00, le 13 octobre 2025.

Un bon challenger

Et à la même heure, la Tunisie devra accueillir, au stade Hamadi-Agrebi, et le même jour, la Namibie. Une équipe qui n’est peut-être pas facile à prendre. Classée derrière la Tunisie, avec 15 points, elle figure donc à la deuxième place. Et souhaite montrer qu’elle constitue un bon challenger ! Même si un succès face à la Tunisie ne lui permettra pas de se placer à la tête du classement du Groupe H; la Tunisie dispose déjà – avant d’avoir disputé sa rencontre contre Sao Tomé et Principe – de 22 points. Elle est donc déjà qualifiée pour le mondial américain. La rencontre aller entre la Namibie et la Tunisie s’est du reste terminée par un score nul (0-0).

 

Classée derrière la Tunisie, avec 15 points, la Namibie figure donc à la deuxième place. Et souhaite montrer qu’elle constitue un bon challenger ! 

 

Les Aigles de Carthage disputent la rencontre d’aujourd’hui et celle de lundi prochain avec un excellent moral, souhaitant surtout ne perdre aucune rencontre des éliminatoires. Soit un sans-faute pour sans doute attaquer les matches de la Coupe du monde de football Etats-Unis, Canada et Mexique (du 11 juin au 19 juillet 2026).

Inutile de préciser que le onze national a un moral de fer qui peut beaucoup l’aider, et face à son public, pour sortir vainqueur des deux rencontres. Et encore garder la cage inviolée. Comprenez, ne pas encaisser le moindre but.

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Mondial 2026 : la Tunisie veut confirmer face à Sao Tomé-et-Principe

Déjà qualifiée pour la Coupe du monde 2026, la sélection tunisienne vise une nouvelle victoire ce vendredi face à Sao Tomé-et-Principe, pour le compte de la 9ᵉ journée des éliminatoires. La rencontre se jouera à Radès à partir de 17h00.

🇹🇳 Une Tunisie en quête de continuité et de prestige

Assurée de sa place au Mondial 2026 (Canada, États-Unis, Mexique) deux journées avant la fin des qualifications, la Tunisie aborde ce match avec l’objectif de conserver sa dynamique et améliorer son classement FIFA (46ᵉ actuellement).
Pour le sélectionneur Sami Trabelsi, il ne s’agit « pas d’une simple formalité », mais d’un rendez-vous pour « gagner et progresser dans le classement international », ce qui pourrait permettre aux Aigles de Carthage d’intégrer le 3ᵉ niveau du tirage au sort de la phase finale.

🟢 Sao Tomé-et-Principe pour sauver l’honneur

Dernier du groupe H avec 0 point et sans stade homologué, Sao Tomé-et-Principe dispute tous ses matchs à l’étranger. Les « Verde-Amarelos » restent sur huit défaites consécutives et affichent une des défenses les plus fragiles du continent (20 buts encaissés).
Face à eux, la Tunisie, solide leader avec 22 points, n’a concédé aucun but en huit rencontres et reste sur une série de quatre victoires sous l’ère Trabelsi.

🔁 Une revue d’effectif attendue

Profitant de cette rencontre déséquilibrée, le staff technique pourrait faire tourner l’effectif et accorder du temps de jeu à plusieurs joueurs.
Parmi les possibles titulaires figurent Béchir Ben Saïd (Espérance de Tunis), Moataz Naffati (Norrkoping), Ismaël Gharbi (Augsbourg), Naïm Sliti (Al-Shamal), Sebastian Tounekti (Celtic), Elias Saad (Augsbourg) et Firas Chaouat (Club Africain).
Le match permettra aussi de ménager certains cadres avant la dernière journée face à la Namibie, prévue lundi à Radès (14h00).

🔙 Des ajustements dans le groupe

La liste annoncée le 2 octobre a connu quelques changements. Mohamed Amine Cherni (Göztepe/TUR) remplace Morthadha Ben Ouannès (Kasimpasa/TUR), blessé.
Elyes Skhiri (Eintracht Francfort) et Nader Ghandri (Akhmat Grozny) signent leur retour, tandis qu’Elias Achouri et Omar Layouni sont forfaits pour raisons médicales.
L’attaquant Youssef Snana (Al-Sailiya/QAT), en conflit avec la FTF, a de nouveau décliné sa convocation.

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Mondial-2026 : la Tunisie veut conclure les éliminatoires en beauté

Déjà qualifiée pour la Coupe du Monde 2026, la sélection tunisienne de football compte aborder ses deux derniers matches des éliminatoires africaines avec sérieux et ambition. Les Aigles de Carthage affronteront Sao Tomé-et-Principe vendredi (17h00) et la Namibie lundi (14h00), tous deux au stade de Radès.

Une fin de parcours à soigner

Pour le capitaine Ferjani Sassi, il s’agit avant tout de clore un parcours exemplaire.
« Cette qualification acquise nous permet d’aborder les deux derniers matches avec sérénité et confiance », a-t-il déclaré mercredi avant la séance d’entraînement. Selon lui, ces rencontres serviront aussi à « évaluer de nouveaux joueurs et tester certains dispositifs tactiques » en vue des prochaines échéances.

Toujours motivé, Sassi a réaffirmé son attachement au maillot national :
« Porter les couleurs de la Tunisie reste un honneur, même après des dizaines de convocations. »

Absence de Youssef Snana, présence de nouveaux visages

Interrogé sur l’absence de Youssef Snana, le capitaine a expliqué que le joueur « traverse des circonstances particulières » et a préféré décliner la convocation.
« C’est sa décision, que je respecte », a-t-il ajouté.

En revanche, plusieurs jeunes talents ont répondu présents, parmi eux Hannibal Mejbri et Ismaël Gharbi. « Ces joueurs incarnent la relève et pourraient s’imposer dans le groupe à moyen terme », a précisé Sassi.

L’exigence du haut niveau

Ali Abdi (OGC Nice) a rappelé que la qualification n’était qu’une étape.
« La sélection vit une période cruciale. Nous devons poursuivre les qualifications avec la même détermination et le même engagement », a-t-il déclaré. Le défenseur estime que la prochaine Coupe d’Afrique des Nations exigera encore plus de rigueur.
« Seuls les meilleurs sur les plans technique et physique mériteront de porter le maillot », a-t-il insisté.

Nouvelles ambitions pour la relève

Pour Moez Naffati, attaquant du club suédois Norrköping, cette convocation est un rêve d’enfance devenu réalité.
« J’ai été accueilli chaleureusement dans une ambiance familiale. Cela me motive à donner le meilleur de moi-même », a-t-il confié, affirmant vouloir « conclure les qualifications par deux victoires à Radès ».

De son côté, Nader Ghandri a rappelé l’importance de rester concentré :
« Même qualifiés, nous devons garder la même détermination pour finir ce parcours sur une note positive. »

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Coupe du Monde 2026 : la Tunisie poursuit sa préparation, Snana toujours absent

Coupe du Monde 2026 : la Tunisie poursuit sa préparation, Snana toujours absent

La sélection tunisienne de football poursuit sa préparation en prévision des deux prochains matchs contre le Sao Tomé-et-Principe et la Namibie, prévus les 10 et 13 octobre courant au stade Hammadi Agrebi de Rades, dans le cadre des 9e et 10e journées des éliminatoires africaines pour la Coupe du Monde 2026 au Canada, aux atats-Unis […]

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Accueil triomphal à Tunis pour les militants tunisiens libérés de la Flottille de la Liberté

Accueil triomphal à Tunis pour les militants tunisiens libérés de la Flottille de la Liberté

Ce dimanche soir, un moment empreint d’émotion s’est vécu à l’aéroport Tunis-Carthage avec l’arrivée du premier groupe de Tunisiens ayant participé à la Flottille de la Liberté, récemment libérés et rapatriés depuis la Palestine occupée via la Turquie. Ces citoyens faisaient partie des 137 militants arrêtés lors de la mission humanitaire visant à briser le […]

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Entre Carthage et le Kram : L’espace culturel Vérand’Art vient de naître

En bord de mer, face au Bou Kornine, un nouvel espace culturel multidisciplinaire vient de voir le jour. Joliment nommée Vérand’Art, cette initiative devrait prochainement ouvrir ses portes et accueillir expositions, rencontres et spectacles de poche.

C’est entre Carthage Salammbô et le Kram que se trouve ce nouvel espace dédié à la culture. Nous y reviendrons.

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L’unité de l’histoire tunisienne

Il est des phrases qui traversent les siècles comme des coups de tonnerre. L’une d’elles résonne encore aujourd’hui : «Carthago delenda est» — Carthage doit être détruite. Le sénateur Caton l’Ancien la répétait inlassablement à Rome, jusqu’à ce que la grande rivale fût rayée de la carte. On raconte qu’il ajoutait parfois : «Il ne faut pas laisser deux pierres ensemble.» Ce mot d’ordre de ruine totale ne visait pas seulement une cité, mais une mémoire, une civilisation, un destin collectif.

Khémaïs Gharbi *

Deux mille ans plus tard, le mécanisme est toujours là, sous d’autres habits. L’obsession de détruire, de séparer, de dissoudre ce qui tient debout ensemble, demeure une tentation politique universelle. Depuis le printemps arabe, le monde arabe en général et la Tunisie en particulier l’ont appris à leurs dépens : l’histoire y est systématiquement morcelée, fragmentée, recomposée pour opposer les uns aux autres. C’est une logique de marteau : frapper, fendre, disperser. Amazighs contre Arabes. Berbères contre musulmans. Progressistes contre conservateurs. Laïques contre islamistes. Et vice et versa. Tout ce qui pourrait unir deux pierres, deux idées, deux communautés, deux mémoires, se voit attaqué.

Diviser pour régner

Le monde actuel est gouverné moins par le droit que par la force. Les maîtres de ce temps l’ont compris : pour asseoir leur puissance, ils doivent briser ce qui donne cohésion aux peuples. Lorsque l’unité apparaît, ils cherchent la fissure. Lorsque des différences s’apaisent dans la coexistence, ils les réactivent. Lorsque la mémoire collective s’accorde sur un récit commun, ils exhument d’anciennes querelles, sollicitent des archéologues, des historiens ou des polémistes professionnels pour faire réapparaître vainqueurs et vaincus, dominants et dominés.

On creuse, on fouille, on gratte la pierre de l’histoire jusqu’à retrouver la trace d’une blessure. Et, au lieu de panser la cicatrice, on la rouvre. On invente des récits séparés, des mémoires concurrentes, des identités en opposition. Ce qui avait été fondu dans un seul moule est à nouveau brisé en fragments.

Un peuple façonné par le mélange

Or la Tunisie, plus qu’aucun autre pays du Maghreb, s’est constituée dans ce creuset. Berbères, Puniques, Romains, Byzantins, Vandales, Arabes, Andalous, Juifs, Turcs, Italiens, Grecs, Maltais, Espagnols, Français : tous ont laissé leur empreinte. Mais cette diversité ne s’est pas traduite par des histoires parallèles. Elle s’est intégrée dans un récit unique, celui d’un peuple tunisien qui a traversé les siècles en partageant le pire et le meilleur.

Chaque communauté, chaque vague migratoire, a contribué à façonner le tissu social. Des solidarités se sont agrégées, des résistances communes ont surgi, des rêves collectifs se sont réalisés. La Tunisie moderne n’est pas le résultat d’une juxtaposition de communautés, mais d’une fusion. Ce n’est pas un archipel de mémoires séparées, mais un continent de mémoire partagée.

La réduire à des morceaux, à des appartenances rivales, à des mémoires exclusives, c’est trahir la vérité même de son histoire.

La mémoire commune

Quand Caton voulait détruire Carthage, il visait une puissance concurrente. Quand les puissants d’aujourd’hui cherchent à fragmenter nos récits, ils visent notre mémoire commune. Car une mémoire unifiée donne une conscience de soi, et une conscience de soi donne une force politique. La fragiliser, c’est fragiliser la souveraineté, l’indépendance et la dignité d’un peuple.

Cette entreprise prend parfois un visage séduisant : l’éloge de la diversité. Mais au lieu de célébrer ce qui nous enrichit, on insiste sur ce qui nous sépare. On fait miroiter des «identités» étanches, figées, mortifères; on réécrit des mémoires comme des chapitres isolés, et l’on finit par dresser les uns contre les autres ceux qui avaient appris à vivre ensemble durant des siècles.

La diversité est constitutive de la Tunisie. Mais elle n’a jamais signifié l’éparpillement. Elle fut un ciment, non une poudre explosive. La rendre destructrice, c’est une manipulation.

Ce que signifie l’unité

Prendre la défense de l’unité ne veut pas dire nier la pluralité. L’unité n’est pas l’uniformité. Elle est la reconnaissance d’un destin commun, au-delà des différences de culture, de langue, de confession. Elle est le socle sur lequel chacun peut affirmer sa singularité sans craindre l’exclusion.

Dire que les Tunisiens sont un seul peuple, ce n’est pas effacer ses composantes, mais rappeler que celles-ci se sont amalgamées au fil des siècles dans une histoire partagée. Dire que la mémoire tunisienne est une, ce n’est pas ignorer ses nuances, mais refuser qu’on les instrumentalise pour opposer frères et sœurs d’un même pays.

Une mémoire partagée

Face à cette politique de la destruction, il nous faut opposer une politique de la mémoire partagée. Elle commence par l’éducation : apprendre aux jeunes générations que l’histoire n’est pas une série de querelles mais une construction commune. Elle passe par la culture : musées, expositions, littérature, cinéma doivent rappeler la richesse des croisements. Elle exige aussi des lieux de mémoire où l’on raconte non pas des «histoires parallèles», mais l’histoire commune.

Et surtout, elle suppose une parole civique forte : ne pas céder à la tentation de diviser pour régner, mais au contraire réaffirmer que notre destin est un et que nous n’avons rien à gagner à jouer les fragments.

Garder les pierres ensemble

Lorsque l’on se promène dans nos médinas, on voit des murs bâtis de pierres anciennes, reprises d’époques différentes, ajustées les unes aux autres. Romains, Byzantins, Arabes, Ottomans : les matériaux se mêlent, mais l’édifice tient. C’est l’image même de notre histoire.

Les puissants d’hier voulaient que Carthage ne garde pas deux pierres ensemble. Les pays prédateurs d’aujourd’hui voudraient que la Tunisie ne garde pas deux mémoires unies. À nous de refuser cette logique. À nous de rappeler que notre peuple n’est pas une poussière d’identités, mais une nation façonnée par le temps, par la douleur et par la joie.

Ne vantons pas les mosaïques, ne faisons pas l’éloge du cosmopolitisme. Ne brisons pas nos pierres. Assemblons-les, encore et toujours. C’est le seul moyen de résister à la politique de la destruction, et de préparer un avenir où la diversité demeure un ciment d’unité, et non une arme de fragmentation.

* Ecrivain, traducteur.

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Les Aigles de Carthage gagnent 3 places au classement FIFA

Les Aigles de Carthage continuent leur ascension ! La sélection nationale tunisienne grimpe à la 46ᵉ place mondiale au classement FIFA, consolidant sa position parmi l’élite africaine et confirmant sa qualification pour la Coupe du Monde 2026.

Publié jeudi 18 septembre 2025, le nouveau classement FIFA place la Tunisie à la 46ᵉ position, en hausse de trois places par rapport à sa 49ᵉ position précédente. Cette progression reflète la dynamique positive de l’équipe nationale et son succès lors des récentes rencontres internationales.

Au niveau continental, la Tunisie occupe la 7ᵉ place africaine, derrière le Maroc (11ᵉ mondial), le Sénégal (18ᵉ), l’Égypte (35ᵉ), l’Algérie (38ᵉ), la Côte d’Ivoire (44ᵉ) et le Nigeria (45ᵉ). Cette position confirme la compétitivité continue des Aigles de Carthage sur le continent.

La Tunisie a officiellement validé sa participation à la phase finale de la Coupe du Monde 2026. Cette qualification a été acquise grâce à des victoires décisives en éliminatoires africaines :

Au niveau mondial, l’Espagne s’empare de la 1ʳᵉ place, suivie de la France (2ᵉ) et de l’Argentine (3ᵉ). Le Top 10 se complète avec l’Angleterre (4ᵉ), le Portugal (5ᵉ), le Brésil (6ᵉ), les Pays-Bas (7ᵉ), la Belgique (8ᵉ), la Croatie (9ᵉ) et l’Italie (10ᵉ).

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Snapshot – Carthage : Ce qui reste de la muraille antique

Carthage est une ville où il existe plusieurs sites et musées liés aux différentes époques de la cité antique. Actuellement fermé, le Musée national de Carthage abrite une collection imposante. Pour sa part, le musée paléochrétien recèle plusieurs pépites alors que le quartier Didon et le quartier Magon cachent des merveilles.

Notre photo est prise au quartier Magon, un site qui se trouve en face de l’Académie Beit El Hikma et qui avait été dégagé et aménagé avec l’appui de la coopération allemande.

Cette photo montre au premier plan, les vestiges de l’une des plus anciennes murailles de Carthage dont la structure remonte au cinquième siècle avant J-C.

On y voit d’impressionnants mégalithes qui étaient renforcés par des brise-lames qui avançaient dans la mer. Ces vestiges presque anonymes comptent parmi les plus anciens monuments qui nous relient à la Carthage phénicienne et punique.

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Week-end perturbé à l’aéroport de Tunis-Carthage : le calvaire des voyageurs continue

Tunis, 30-31 août 2025 – Une fois de plus, l’aéroport international de Tunis-Carthage a été le théâtre de perturbations majeures, plongeant les passagers dans un véritable calvaire. Les longues files d’attente, les halls saturés et les annonces répétées de vols retardés ont créé une ambiance de confusion et de frustration.

Des manifestations récurrentes

Ces incidents font suite à une manifestation organisée jeudi 28 août par environ 500 agents contractuels de Tunisair Handling. Bagagistes, conducteurs de bus, agents d’enregistrement et personnel d’embarquement réclamaient la régularisation de leur statut professionnel, notamment leur titularisation après plusieurs années de service.

Selon une employée interrogée par Mosaique FM, ces agents, recrutés en 2018, n’ont toujours pas obtenu de contrats officiels ni le salaire de base convenu. Cette situation n’est pas exceptionnelle : comme l’avait déjà documenté Webdo en juillet 2025, les perturbations à Tunis-Carthage sont devenues une routine, affectant régulièrement le trafic aérien et le confort des passagers.

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Les vidéos relayées sur les réseaux sociaux montrent des passagers cherchant désespérément des informations, tandis que le personnel semble dépassé par la situation.

L’aéroport de Tunis-Carthage est régulièrement confronté à ce type de crises, surtout lors de mouvements sociaux ou de périodes de forte affluence.

  • Classement international de l’aéroport : dernier au monde selon AirHelp 2025 (5,73/10).
  • Tunisair : classée 109ᵉ sur 800 compagnies selon AirHelp 2024.

Ce nouveau week-end de perturbations souligne les défaillances structurelles et organisationnelles de l’aéroport et la nécessité d’une gestion plus efficace des mouvements sociaux, ainsi qu’une communication claire et rapide pour limiter l’impact sur les passagers et restaurer la confiance envers la compagnie nationale.

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À ne pas rater : Danses indiennes au Festival international de Carthage

Au festival international de Carthage, la soirée du lundi 11 août sera festive et notamment aux couleurs de l’Inde.

En effet, en partenariat avec l’ambassade de l’Inde en Tunisie, l’Ensemble de chant traditionnel et de danse du Rajasthan sera sur la scène du festival international de Carthage. 

Rendez-vous lundi 11 août à 22h pour découvrir non seulement les danses indiennes mais aussi un bouquet d’expressions artistiques traditionnelles de plusieurs pays.

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JCC 2025 – Entre cinéma et musique, l’univers de Ziad Rahbani

La 36e édition des Journées Cinématographiques de Carthage, qui se tiendra du 13 au 20 décembre 2025, consacrera un hommage appuyé à l’une des figures les plus singulières du monde artistique arabe : Ziad Rahbani.

Décédé à Beyrouth le 1er août 2025 à l’âge de 68 ans, l’auteur, compositeur, acteur, dramaturge et chroniqueur libanais laisse derrière lui une œuvre foisonnante, marquée par la satire politique, une lucidité implacable et une modernité musicale qui ont profondément influencé toute une génération.

Fils de la grande chanteuse Fairuz et du compositeur Assi Rahbani, Ziad Rahbani s’est affirmé très tôt comme un artiste inclassable, héritier du patrimoine musical levantin mais farouchement libre dans son expression. Figure de proue de la contre-culture beyrouthine dans les années 1970 et 1980, il a également marqué de son empreinte le cinéma arabe, notamment à travers ses collaborations avec des cinéastes majeurs tels que Maroun Bagdadi, Farouk Beloufa, Randa Chahhal ou Kassem Hawal.

C’est à ce lien fort entre Ziad Rahbani et le nouveau cinéma arabe que les JCC 2025 ont choisi de rendre hommage. Une sélection de films auxquels il a participé – comme acteur ou compositeur – sera présentée dans le cadre du festival. Parmi eux, plusieurs œuvres rares ou restaurées permettront de redécouvrir son rôle discret mais essentiel dans l’évolution esthétique et sonore du cinéma engagé des années 1970-1980.

Des rencontres, projections spéciales et événements parallèles viendront compléter cette programmation, afin de célébrer la richesse de son parcours artistique. Ziad Rahbani ne sera pas à Carthage pour présenter son ironique Long métrage américain, mais sa présence sera partout dans cette édition, à travers son esprit mordant, son regard désabusé sur le monde arabe, et son sens inimitable de la composition.

Avec cet hommage, les JCC affirment une fois encore leur attachement à une mémoire cinématographique critique, populaire, indisciplinée – à l’image de l’artiste qu’ils saluent cette année.

Neïla Driss

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Florence, Brasilia, Coquille : Ces bons vieux troquets de l’avenue de Carthage

Deuxième grande avenue du centre-ville de Tunis, l’avenue de Carthage prolonge l’avenue de Paris vers le sud et s’articule sur l’avenue Bourguiba.

Ils étaient légendaires les bistrots de l’avenue de Carthage et ses environs. Plusieurs d’entre eux ont disparu, d’autres ont pris l’identité de tavernes bruyantes et enfumées alors que certaines enseignes ont su garder le cap.

L’avenue de Carthage commence avec le mythique Café de Paris, lieu très prisé et jadis vitrine de toute une ville. Sur le trottoir d’en face, le café du Casino fut une enseigne très appréciée avant de disparaître au profit de la Maison de l’Artisanat avant de revoir le jour sous le nom Café du Palmarium.

Un peu plus loin, le Brasilia était au Palmarium ce qu’est la Rotonde au Colisée. Entouré de verre, en plein milieu de la galerie marchande, le Brasilia avait ses adeptes parmi lesquels de nombreux étudiants.

Le Florence, le Coquille et le bar de Carthage sont-ils toujours ouverts et continuent à accueillir leurs clients même si la kemia des beaux jours n’est plus servie.

Au coin de la rue Radhia Haddad, Chez Gaston ( également nommé Tip Top ) et la Brasserie de la Paix ont disparu depuis longtemps à l’image de nombreuses autres enseignes qui ont troqué la bière fraîche pour le café express.

Ainsi, autour de la place Barcelone, il ne reste plus que trois enseignes : Chez Marius, le Parisien et l’Amiral qui se trouve à la rue d’Angleterre et a succédé à la fameuse Auberge alsacienne. Sinon, tous les autres bistrots autour du Marché central ont disparu. Le dernier a avoir baissé le rideau n’est autre que le Lido qui se trouvait rue de Belgique. Même chose pour le Paon à la rue Farhat Hached où seuls sont encore ouverts les restaurants Chez Bouchoucha et Florida.

Exit la Nouvelle escale, la Mouette et tous les autres troquets de la Petite Sicile où seul a survécu le Scoubidou, sur la rue de Turquie.

Revenons avenue de Carthage pour explorer les rues perpendiculaires en commençant par la rue Aziz Tej qui a perdu le Paradiso de madame Garcia et le Régent des époux Sghaier. Seul le Savarin, un haut-lieu du Tunis des années soixante, n’a pas jeté l’éponge.

Plus loin, rue Radhia Haddad, le Malouf est fermé depuis longtemps et le Tunisia Palace n’est plus qu’un souvenir. Toutefois, de l’autre côté de l’avenue, la plupart des enseignes sont toujours présentes : le Strasbourg, le Boléro, Tantonville, le Bec fin et le fameux bar El Mestiri.

Ainsi peut-on parler de changement mais dans une certaine forme de continuité pour ce quartier de l’avenue de Carthage qui a gagné en gargottes ce qu’il a perdu en art de vivre.

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A Carthage, Kaïs Saïed dénonce les massacres à Gaza devant le conseiller de Donald Trump

Le président tunisien a reçu Massad Boulos, conseiller du président américain, pour un échange sur les dossiers régionaux brûlants

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu ce mardi 22 juillet 2025 au palais de Carthage, Massad Boulos, conseiller principal du président américain pour les affaires arabes, du Moyen-Orient et d’Afrique.

Cette rencontre a permis d’aborder plusieurs questions d’actualité, au premier rang desquelles les crimes commis contre le peuple palestinien, mais aussi les menaces liées au terrorisme sous toutes ses formes, ainsi que la situation dans l’ensemble de la région arabe.

Des images insoutenables montrées au conseiller US

Lors de cette rencontre avec le conseiller du président américain, Kaïs Saïed a vivement dénoncé les crimes commis contre les Palestiniens. Le chef de l’État tunisien a montré à son interlocuteur des photos bouleversantes d’enfants palestiniens affamés ou agonisants, dénonçant des scènes insoutenables au XXIe siècle.

Il a qualifié ces actes de crimes contre l’humanité et critiqué l’inaction de la communauté internationale, dont la légitimité, selon lui, se désagrège. Le président a condamné la politique d’extermination et de colonisation en Palestine, réaffirmant que tout le territoire palestinien revient légitimement à son peuple, avec Al Qods occupé comme capitale d’un futur État indépendant.

La Tunisie œuvre à étendre ses partenariats stratégiques

Le chef de l’État a réaffirmé, à cette occasion, son attachement au principe de souveraineté nationale et au droit des peuples à décider librement de leur destin, en soulignant que les crises internes au sein des pays arabes doivent être réglées par leurs peuples eux-mêmes, sans intervention étrangère, quel qu’en soit le prétexte.

Kaïs Saïed a également indiqué que la Tunisie œuvre à étendre ses partenariats stratégiques dans une logique d’équilibre et de défense des intérêts nationaux, répondant ainsi aux aspirations du peuple tunisien.

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Najwa Karam envoûte les réseaux avec son hommage à Carthage

Quelques semaines avant son concert très attendu au Festival International de Carthage, la star libanaise Najwa Karam a publié une vidéo émouvante sur ses réseaux sociaux, saluant avec ferveur ce rendez-vous artistique mythique.

Dans un décor sobre et chaleureux, l’icône de la chanson arabe s’adresse à ses fans tunisiens avec émotion : « Le Festival de Carthage m’a manqué… Et vous aussi ! », lance-t-elle, sourire aux lèvres, avant de rappeler à quel point cette scène est l’une des plus prestigieuses du monde arabe.

Najwa Karam, qui montera sur la scène de l’amphithéâtre romain le 9 août prochain, n’en est pas à sa première participation. Mais cette nouvelle édition a pour elle une saveur particulière, marquant ses retrouvailles avec le public tunisien après plusieurs années d’absence.

« J’ai toujours porté Carthage dans mon cœur… Ce festival est un symbole d’histoire, de culture, de passion », affirme-t-elle.

La vidéo mise en ligne a été déjà partagée massivement par ses fans. Plus qu’un concert, c’est donc un moment de retrouvailles et d’émotions qui s’annonce. Et à en croire l’artiste, le public tunisien peut s’attendre à un spectacle « à la hauteur de Carthage ».

https://www.facebook.com/reel/1730105574538190

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Ooredoo Tunisie : Quatrième année de partenariat officiel avec le Festival International de Carthage

Ooredoo Tunisie, leader des télécommunications dans le pays confirme son engagement envers la culture tunisienne en renouvelant pour la quatrième année consécutive son partenariat avec le Festival International de Carthage, événement culturel phare de l’été.

Ce partenariat s’inscrit dans la continuité d’une collaboration forte, à travers laquelle Ooredoo joue un rôle majeur dans la promotion des arts et du patrimoine tunisien. La 59ème édition du festival, qui se tiendra du 19 juillet au 21 août 2025, promet une programmation riche, mêlant talents locaux et stars internationales, pour vibrer au rythme d’une musique diversifiée et universelle.

« Ce partenariat dépasse le simple sponsoring. Il reflète notre identité et notre engagement envers la richesse culturelle de la Tunisie », déclare Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie. « Nous souhaitons être au cœur des moments qui rassemblent les Tunisiens, et le Festival de Carthage en est le rendez-vous par excellence. »

Le public pourra ainsi retrouver sur la scène mythique de l’amphithéâtre romain des artistes de renom tels que Nassif Zaitoun, Najwa Karam, Nancy Ajram ou encore Saint Levant. Ooredoo accompagnera également les festivaliers tout au long du mois d’août avec des animations et des initiatives destinées à enrichir leur expérience.

Avec cette nouvelle édition, Ooredoo confirme sa volonté d’activer l’été tunisien par la musique et la culture, en connectant les passionnés à des moments d’émotion et de partage.

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Kaïs Saïed : « La culture est un acte de souveraineté, pas une foire saisonnière »

Le président de la République a réaffirmé, mardi soir, une vision exigeante du rôle de la culture en Tunisie. Reçue au palais de Carthage, la ministre Amina Srarfi a été appelée à replacer les festivals et événements artistiques dans le cadre des luttes pour la liberté. Une déclaration qui intervient dans un climat de tension autour de l’annulation du concert d’Hélène Ségara.

Ce qui s’est passé

La rencontre a eu lieu le 9 juillet au palais présidentiel. Selon le communiqué publié à 3h du matin sur la page Facebook officielle de la présidence, le chef de l’État a rappelé que « la culture fait partie des secteurs de souveraineté » et ne saurait se résumer à des « festivals ou des expositions saisonnières de quelques jours ou semaines ».

Il a souligné, en citant expressément :

« Toute manifestation culturelle ou artistique doit s’inscrire dans les causes de liberté et de libération, non seulement en Tunisie, mais dans le monde entier. »

Lire aussi : FIC : « J’apprends l’annulation d’un concert que je n’ai jamais signé », répond Ségara

Réactions et timing

Ces déclarations interviennent au lendemain de l’annonce par le Festival international de Carthage de l’annulation du concert de la chanteuse française Hélène Ségara, initialement prévu le 31 juillet. Une décision prise dans un climat de critiques sur les réseaux sociaux, où des internautes ont reproché à l’artiste des positions présumées pro-israéliennes.

Le communiqué du festival ne mentionne pas ces accusations. Hélène Ségara, contactée par l’AFP, a affirmé : « J’apprends l’annulation d’un concert que je n’ai jamais signé. Aucun concert n’était prévu. »

Contexte culturel et politique

Kaïs Saïed a évoqué plusieurs festivals historiques — Carthage, Hammamet, Tabarka Jazz — comme des lieux de création et de résistance. Il a affirmé que ces plateformes « ne doivent accueillir que ceux qui défendent la pensée libre et les valeurs humaines », tout en mettant en garde contre « ceux qui n’ont pour seul souci que le profit ».

Le président a également appelé à « intensifier les efforts pour faire de la culture un rempart contre l’extrémisme, le fanatisme et la régression intellectuelle ».

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FIC : « J’apprends l’annulation d’un concert que je n’ai jamais signé », répond Ségara

Le Festival international de Carthage a annoncé l’annulation du concert d’Hélène Ségara, initialement inscrit à la programmation du 31 juillet. Une décision survenue dans un climat de vives critiques sur les réseaux sociaux, où l’artiste française a été accusée de sympathies pro-israéliennes, sans que le communiqué officiel du festival ne mentionne explicitement ces raisons.

De son côté, Hélène Ségara affirme n’avoir jamais été engagée pour cet événement. Contactée par l’AFP, elle a réagi en ces termes : « J’apprends l’annulation d’un concert que je n’ai jamais signé. Aucun concert n’était prévu ». La chanteuse dément ainsi toute intention de monter sur scène à Carthage cet été.

« Je n’ai jamais pris position pour Israël et je chante depuis des années dans les pays arabes », a également déclaré l’interprète du tube Il y a trop de gens qui t’aiment, déplorant recevoir « des messages d’insultes ».

Cette confusion relance les questions sur les critères de programmation du festival, et sur la manière dont les controverses en ligne peuvent influencer les décisions culturelles dans un contexte régional particulièrement sensible.

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