Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

SOTUVER réalise un bénéfice net de 11 MDT au premier semestre

Au terme du premier semestre de l’année en cours, le leader de l’emballage en verre, en l’occurrence SOTUVER, a dégagé un bénéfice de 2,1 MDT, contre 6,1 MDT au premier semestre 2024, soit une baisse de 64 %.
La baisse du résultat net s’explique par la nette augmentation des charges financières nettes, qui passent de 6,4 à 9,1 MDT. Les produits des placements s’affichent en revanche en forte baisse, passant de 3 à 1,6 MDT entre juin 2024 et juin 2025.
Par contre, le résultat d’exploitation du premier semestre est lui en hausse de 16 % à 10,6 MDT, grâce à la progression des revenus de 5 % à 51,1 MDT. Le total des produits d’exploitation a progressé de près de 11 % à 55,3 MDT.
En consolidé, le résultat net part du groupe au 30 juin 2025 a doublé par rapport au premier semestre de 2024, pour atteindre 26,7 MDT. Le résultat d’exploitation est en hausse de 34% à 44 MDT.

L’article SOTUVER réalise un bénéfice net de 11 MDT au premier semestre est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

« Zama Regia » dans un numéro de la revue AFRICA 2025

L’Institut National du Patrimoine (INP) a annoncé la parution du 28ème numéro de la revue scientifique « AFRICA XXVIII » pour l’année 2025, un périodique consacré aux études et recherches préhistoriques, antiques et islamique.

Pour la première fois depuis la création de la revue AFRICA en 1966, ce numéro spécial ZAMA REGIA est entièrement consacré à un site aussi célèbre depuis l’Antiquité à travers une sélection d’articles scientifiques. La publication présente un résumé des résultats des fouilles entamées à Zama Regia, dans le gouvernorat de Siliana, il y a plus de 30 ans.

Zama Regia est au coeur de l’exposition archéologique « La Magna Mater de Zama à Rome » organisée du 5 juin au 5 novembre 2025, au Parc archéologique du Colisée, à Rome et fera esacle au Musée National du Bardo, à Tunis, à partir du mois de décembre.

Introduction par Fathi Béjaoui

Ce 28ème numéro est édité sous la direction de Tarek Baccouche, Directeur Général de l’Institut National du Patrimoine. Le comité scientifique est composé de Mounir Fantar en tant que rédacteur en Chef et membre du comité de lecture réunissant Fathi Béjaoui, Moheddine Chaouali et Samira Sehili. La coordination est assurée par Mouna Hermassi alors que la conception et infographie est l’oeuvre d’Anis Chkondali.

« Pour beaucoup, surtout dans la mémoire collective, on n’a le plus souvent retenu de Zama que les événements dramatiques de la deuxième guerre punique en 202 av. J.-C. », peut-on lire dans l’introduction signée Fathi Béjaoui ayant dirigé les premières fouilles sur le site de Zama de 1996 à 2007.

Le chercheur précise « les investigations sur le terrain qui ont été quasiment absentes, contrairement à d’autres sites archéologiques tunisiens, à l’exemple de sa voisine Mactaris. La ville citée par plusieurs sources antiques (Salluste, Tite Live, Vitruve, Strabon ou encore Dion Cassius…) romanisée assez tôt était, en réalité un centre urbain majeur de l’Afrique antique où la permanence de l’occupation jusqu’au Moyen Âge est bien attestée en tant que village d’après les sources écrites. Ce que confirme l’archéologie ».

Fathi Béjaoui présente un résumé exhaustif de ce numéro spécial ZAMA REGIA, « une importante cité d’origine numide, florissante jusqu’à la fin de l’Antiquité tombée dans l’oubli durant des siècles, qui est brièvement mentionnée par les explorateurs européens du XIXe siècle ».

Il revient sur les débuts d’un noyau de recherches scientifiques sur ce lieu chargé d’histoire entamé au début des années 1990, ce qui a permis à la cité punique de « revivre de ses cendres grâce à la mise en place d’un ambitieux programme de fouilles et de mise en valeur initié par l’INP sous la direction de Ahmed Ferjaoui, alors responsable scientifique du site entouré d’une jeune équipe multidisciplinaire dont la liste est bien longue, composée de conservateurs, de doctorants, d’architectes et de techniciens ».

Béjaoui cite des découvertes aussi spectaculaires que capitales qui ont fait avancée nos connaissances sur l’histoire religieuse, sociale, économique, artistique de Zama. Des multiples trouvailles archéologiques en rapport avec divers aspects de la vie de la cité (l’économique, l’hydraulique, le défensif, le funéraire et surtout tout ce qui a trait aux croyances) sont au coeur des contributions de ce numéro spécial « Zama Regia » de la revue AFRICA.

La revue AFRICA

La revue AFRICA rassemble toutes les contributions scientifiques des articles et rapports de fouilles archéologiques et d’exploration archéologique en Arabe, Français, Anglais, Italien, Espagnol, Portugais et Allemand. Outre la recherche scientifique, il s’intéresse également à la publication d’ouvrages d’inventaire, de préservation, d’évaluation et d’exposition muséale.

La revue accueille les contributions originales (articles, rapports de fouilles, notes ou compte rendus) en langue arabe, française, anglaise, italienne, espagnole, portugaise et allemande.

Africa est une revue composée de trois séries. La première est consacrée aux études et aux recherches préhistoriques antiques et islamiques (Africa). La seconde aux études et aux recherches relatives au monde phénico-punique et aux antiquités libyques (REPPAL), la troisième est consacrée aux études et aux recherches ethnographiques (CATP).

Outre les études et la recherche scientifique, Africa publie les travaux d’inventaire, de sauvegarde, de mise en valeur et de présentation muséographique du patrimoine.

Les lecteurs peuvent découvrir en ligne la totalité des articles parus dans cette édition 2025 de la revue AFRICA via le lien suivant: https://bit.ly/47D2yO2

Le site de Zama Regia est le témoin de la fameuse bataille de Zama, dernier épisode de la deuxième guerre punique, en 202 avant J.-C.  Le choix de Zama Regia comme thème principal de la revue coïncide avec la tenue de l’exposition archéologique « La Magna Mater de Zama à Rome » qu’abrite, du 5 juin au 5 novembre 2025, le Parc archéologique du Colisée (Parco archeologico de Colosseo). «L’intitulé « Magna Mater » (Déesse mère ou grande Déesse) fait référence à la déesse Cybèle dans la mythologie romaine dont le culte était répandu à Rome et dans l’Empire romain.

Fruit de trente ans de fouilles tuniso-italiennes, étalées 1996 à 2016, l’exposition composée de trente artefacts faisant partie d’objets archéologiques découverts sur le site de Zama Regia est organisée en partenariat entre l’INP et le Parc archéologique du Colisée.  Après Rome, cette exposition itinérante de cinq mois, fera escale au « Musée national du Bardo » à Tunis, à partir de décembre prochain.

Transférés en Italie, depuis mars dernier, les artefacts ont été restaurés dans les laboratoires du Parc Archéologique du Colisée avec la participation d’une équipe de l’INP. Il s’agit d’artefacts datant de différentes époques, -avant et après J.C-, dont des temples et des lieux de culte dans l’ancienne Zama,  connue par son histoire romaine mais aussi médiévale et préromaine, numide et punique.

L’article « Zama Regia » dans un numéro de la revue AFRICA 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Cap sur l’avenir de la recherche : Bilan du Doing Research Assessment en Tunisie

La conférence de clôture du programme Doing Research Assessment (DRA) en Tunisie a rassemblé, jeudi 18 septembre au Centre d’études et de recherches économiques et sociales (CERES), chercheurs, partenaires et acteurs régionaux autour d’un objectif commun « mieux comprendre et valoriser la recherche en sciences sociales dans le pays ».

Conduit par des universitaires tunisiens, ce programme vise à valoriser la recherche en sciences sociales en Tunisie, selon une publication diffusée sur la page officielle de l’ambassade de France en Tunisie.

Lancé en mars 2024 à la demande du gouvernement tunisien et soutenu par Expertise France et l’Union Européenne via le programme Savoirs éco, DRA sert de projet pilote pour le déploiement futur de l’initiative dans la région.

Le rapport final du Doing Resarch Assessement a été remis au cabinet du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Selon la même source, ce rapport a été produit par les chercheurs tunisiens du Forum des sciences sociales appliquées (ASSF), avec l’appui du Global Development Network (GDN), et ce dans le cadre du projet savoirs éco.

L’article Cap sur l’avenir de la recherche : Bilan du Doing Research Assessment en Tunisie est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tourisme : le pari de la diversification pour doper les recettes de 25 % d’ici 2030

À l’occasion de la 9ᵉ édition du Tunisia Economic Forum organisée le 18 septembre 2025 à l’IACE, une étude présentée par le consultant Safouane Ben Aissa a mis en lumière le potentiel du secteur touristique tunisien. Les projections indiquent que les recettes pourraient dépasser 13 milliards de dinars à l’horizon 2030 si la Tunisie misait sur cinq segments porteurs : le tourisme senior, le tourisme de santé, le tourisme rural, le tourisme locatif et le tourisme haut de gamme.

Ce scénario ambitieux, basé sur des politiques publiques adaptées et une meilleure collaboration avec le secteur privé, permettrait aussi la création nette de 32 000 à 33 000 emplois et des recettes fiscales importantes, dont 612 millions de dinars de TVA. « Le tourisme tunisien peut devenir un secteur stratégique, à condition de sortir de la logique saisonnière et de développer une véritable veille stratégique », a souligné le consultant.

L’étude distingue trois trajectoires possibles. Le « scénario conservateur », sans changement majeur, plafonnerait les recettes à environ 10 milliards de dinars en 2030. Le « scénario central » atteindrait 12 milliards, grâce au renforcement du balnéaire et du tourisme médical. Mais seule une « stratégie ambitieuse de diversification » pourrait porter la part des nouveaux segments à 25 % du total des recettes touristiques.

Certains marchés, notamment le locatif, fonctionnent aujourd’hui largement dans l’informel. Leur intégration dans le circuit officiel constituerait une source fiscale supplémentaire et un gisement de croissance. De même, le tourisme senior, encore inexploité, représente une niche importante pour la Tunisie, particulièrement en hiver et au printemps.

Selon Safouane Ben Aissa, la Tunisie doit se doter rapidement d’outils de veille pour suivre ses concurrents et anticiper les tendances mondiales. L’enjeu est clair : passer d’un tourisme essentiellement balnéaire à un secteur diversifié et structuré, capable de peser durablement sur l’économie nationale.

Amani Mejri

L’article Tourisme : le pari de la diversification pour doper les recettes de 25 % d’ici 2030 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Baisse de 9,1% des investissements déclarés (premier semestre 2025)

Les investissements déclarés dans le secteur industriel ont enregistré, durant le premier semestre 2025, une baisse de 9,1 % par rapport à la même période de 2024, pour atteindre 955,1 MDT, indique l’Agence de Promotion de l’Industrie et de l’Innovation (APII), dans son bulletin de conjoncture publié, jeudi 18 septembre.

Le nombre de projets déclarés a atteint 1 443 projets, lors du premier semestre 2025 contre 1686 projets durant le premier semestre de l’année 2024. Ces projets permettraient la création de 15 564 postes d’emplois contre 18 129 durant le premier semestre 2024.

De janvier à juin 2025, plusieurs secteurs industriels ont enregistré des hausses notables au niveau des investissements déclarés. Le secteur du Textile et de l’Habillement a connu une progression remarquable de +90,4 %, suivi par le secteur des industries du cuir et de la chaussure, en forte croissance avec +129,9 %.

Les industries mécaniques et électriques ont également affiché une hausse de +18,5 %, tandis que le secteur des matériaux de construction, de la céramique et du verre a progressé de +26,3 %.

Enfin, les industries diverses ont enregistré une augmentation de +31,2 %, témoignant d’un regain d’intérêt pour l’investissement dans une variété de filières industrielles.

Les intentions d’investissement dans le cadre des projets de création sont passés de 377,4 MD à 417,5 MDT lors du premier semestre 2025. Ceux dans le cadre de d’extension, de renouvellement de matériel et autres, ont, quant à eux, atteint 537,6 MDT contre 673,6 MDT, lors du premier semestre de l’année 2024.

D’autre part, les investissements déclarés dans les industries totalement exportatrices ont augmenté de 84,5%, passant de 154,4 MDT, à 284, 8 MDT entre 2024 et 2025.

Les industries dont la production est orientée vers le marché local ont enregistré 670,3 MDT d’investissement durant le premier semestre 2025 contre 896,6 MDT durant la même période de l’année 2024.

Baisse de 5,2 % des investissements tunisiens déclarés

En ce qui concerne les investissements tunisiens déclarés dans le secteur industriel, ils se sont repliés de 5,2%, à 751,6 MDT. Le nombre de projets déclarés a atteint 1 264 lors du premier semestre 2025 contre 1 505 projets durant le premier semestre de l’année 2024. Ces projets permettront la création de 10 602 postes d’emplois durant le premier semestre de l’année 2025 contre 11 863 durant la même période de l’année 2024.

S’agissant des investissements à participation étrangère, l’APII a indiqué avoir enregistré la déclaration de 179 projets à participation étrangère (106 projets 100% étrangers et 73 projets en partenariat) contre 181 projets durant la même période de l’année 2024.

Les investissements de ce type de projets ont atteint 203,5 MDT contre 258,0 MDT durant le premier semestre de l’année 2024, (-21,1 %). Ces projets permettront la création de 4962 postes d’emplois contre 6266 durant le premier semestre de l’année 2024 (soit -26,4 %).

Par ailleurs, pour ce qui est des régions, le premier semestre 2025 a enregistré la déclaration de 389 projets dans les zones de développement régional contre 425 projets durant le premier semestre de l’année 2024. Ces projets ont totalisé 319,9 MDT d’investissement durant le premier semestre de l’année 2025 contre 420.3 MDT durant la même période de l’année 2024.

Le nombre des emplois déclarés dans ces régions n’a pas dépassé 4 153 postes lors du premier semestre 2025 contre 4 476 postes durant le premier semestre de l’année 2024.

L’article Baisse de 9,1% des investissements déclarés (premier semestre 2025) est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tourisme tunisien: adapter la réglementation aux segments émergents

Au-delà du diagnostic global, l’étude présentée par Ahmed Zarrouk lors de la 9ᵉ édition du Tunisia Economic Forum, organisée le 18 septembre 2025 à l’IACE, met en évidence les besoins spécifiques de segments touristiques à fort potentiel mais toujours freinés par un cadre réglementaire inadapté.

Par Amani Mejri 

Le tourisme senior, par exemple, pourrait séduire une clientèle européenne solvable et moins soumise à la saisonnalité. Pourtant, il souffre de l’absence de statut juridique pour les résidences spécialisées et de la limitation du séjour à trois mois. L’expert préconise la création d’un visa long séjour, la signature de conventions bilatérales sur les retraites et les soins, ainsi que l’élaboration de normes techniques adaptées.

Le tourisme de santé est lui aussi pénalisé par une dualité de tutelle entre le ministère de la Santé et celui du Tourisme, ainsi qu’une législation floue concernant le thermalisme et les agences spécialisées. Une réforme conjointe est jugée indispensable pour encadrer et valoriser ce segment.

Le tourisme rural et écologique dispose d’un fort potentiel pour mettre en valeur les territoires intérieurs. Cependant, il est freiné par la difficulté d’accès au foncier agricole, le manque d’infrastructures de base (eau, électricité, routes, connexion numérique) et un régime fiscal inadapté. Des assouplissements réglementaires et une meilleure coordination avec les programmes de biodiversité sont proposés.

Le tourisme locatif collaboratif, dominé par les plateformes numériques, échappe actuellement à tout contrôle. L’absence de statut pour les meublés touristiques crée une concurrence déséquilibrée avec les hôtels, prive l’État de recettes fiscales et expose les usagers à une insécurité juridique. L’étude recommande la création d’un cadre légal spécifique, incluant fiscalité et régulation des plateformes.

Enfin, le tourisme de luxe, qui pourrait constituer une vitrine pour la Tunisie, reste réduit dans les textes à la simple notion « d’hôtels de charme », héritée d’une classification obsolète. L’expert plaide pour une nouvelle réglementation de classification, adaptée aux standards du haut de gamme, incluant des services différenciés et des infrastructures premium comme les marinas et aéroports privés.

Pour Ahmed Zarrouk, « la réglementation actuelle a longtemps servi le pays, mais elle est aujourd’hui dépassée. Les nouveaux segments exigent un cadre clair, moderne et différencié. La réforme est possible, à condition d’une volonté politique et d’une mobilisation des professionnels ».

L’article Tourisme tunisien: adapter la réglementation aux segments émergents est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

La JICA soutient l’écosystème des startups TIC à travers un projet de formation innovant

La Cité des Sciences de Tunis a accueilli, jeudi 18 septembre, la cérémonie de clôture du projet « Établissement d’un modèle de développement des ressources humaines pour les startups en TIC destinées aux femmes et aux jeunes en Tunisie ».

Lancé en 2022 avec le soutien de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), ce programme visait à renforcer l’écosystème entrepreneurial numérique à travers la formation et l’accompagnement.

Mené en partenariat avec l’Université d’Aizu au Japon, le projet a permis de former les enseignants de l’Institut Supérieur des Technologies de l’Information et de la Communication (ISTIC – Université de Carthage) aux méthodologies de coaching et de mentorat en entrepreneuriat technologique.

Trois ans d’échanges, de formations et de résultats concrets

Durant les trois années du programme, trois cycles de formation ont été organisés, bénéficiant à 29 jeunes porteurs de projets. Encadrés par des formateurs tunisiens et japonais, les participants ont bénéficié d’un accompagnement sur mesure pour transformer leurs idées en projets concrets.

Un manuel pédagogique a été développé à partir des meilleures pratiques internationales, notamment japonaises. Six enseignants de l’ISTIC ont été formés, dont plusieurs ont séjourné au Japon pour des échanges de compétences.

En parallèle, quatre conférences thématiques et plusieurs séminaires ont rassemblé environ 300 étudiants et jeunes entrepreneurs. À l’occasion de la cérémonie de clôture, deux jeunes start-uppeurs ont présenté l’état d’avancement de leurs projets. À ce jour, une startup a déjà été créée grâce à cette initiative, et deux autres sont en cours de lancement.

Une coopération universitaire durable

Au-delà de l’entrepreneuriat, ce partenariat a permis d’enrichir l’offre académique de l’ISTIC. Un nouveau cursus sur l’Edge Computing a été introduit, et un projet de recherche collaborative a été lancé. La collaboration entre l’ISTIC et l’Université d’Aizu se poursuivra, notamment à travers des recherches conjointes et des activités autour des technologies émergentes comme l’intelligence artificielle.

Une cérémonie de clôture en présence d’acteurs de haut niveau

La cérémonie s’est déroulée en présence de Takeshi OSUGA, ambassadeur du Japon en Tunisie ; Malek KOCHLEF, directeur général de la coopération internationale au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ; Nadia MZOUGHI AGUIR, présidente de l’Université de Carthage ; Abderrazek BEN ABDALLAH, doyen de l’Université d’Aizu ; Lazhar MANAI, directeur de l’ISTIC ; Mayumi MIYATA, représentante résidente de la JICA.

« Les retours positifs des participants et les résultats concrets obtenus témoignent du succès de cette formation. Elle a permis de consolider les compétences des enseignants et d’ouvrir de nouvelles perspectives à de jeunes entrepreneurs tunisiens », a souligné Mme Miyata.

Avec communiqué

L’article La JICA soutient l’écosystème des startups TIC à travers un projet de formation innovant est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Les exportations du secteur industriel au progressé de 2 % au premier semestre de 2025

Les exportations du secteur industriel ont augmenté de 1,9 %, de janvier à juin 2025, par rapport à la même période de 2024, s’établissant à 29 478,3 MDT. C’est ce qu’indique le « Bulletin de Conjoncture » publié par l’Agence de promotion de l’industrie et de l’innovation (APII) pour le 1er semestre 2025.

S’agissant des importations du secteur industriel, elles ont atteint 32 027,8 MDT durant le premier semestre de l’année 2025; contre 29 651 MDT, au cours de la même période de l’année 2024. Elles enregistrent ainsi une augmentation de 8%.

Selon la même source, le solde commercial du secteur industriel s’établi à -2 549,5 MDT; contre -713,3 MDT durant la même période de l’année 2024.

En effet, les exportations des industries diverses ont augmenté de 16,8 % pour atteindre 2 427,2 MDT. Alors que les importations ont baissé de 3,3 % pour s’établir à 3 236,9 MDT. Pour ce qui est du secteur des Industries chimiques (ICH), les exportations ont augmenté de 12 % et les importations de 5,3 %. Les exportations de la filière des matériaux de construction céramique et verre ont progressé de 17 %. Tandis que les importations ont régressé de 3,1 %.

Les exportations et les importations des Industries mécaniques et métallurgiques (IME) ont respectivement cru de 6,2 % et de 14,5 %. Et les exportations des Industries textiles et habillement (ITH) ont enregistré respectivement une légère croissance respectivement de 1 % et de 4 %.

A contrario, les exportations des Industries agro-alimentaires (IAA) ont reculé de 23,3 et les importations ont baissé de 7 %. Les exportations des Industries du cuir et de la chaussure (ICC) se sont repliés de 2,4 %. Alors que les importations ont progressé de 5,3 %.

L’article Les exportations du secteur industriel au progressé de 2 % au premier semestre de 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Chute de 6 % des investissements déclarés dans les services

Les investissements déclarés dans les activités de service ont baissé de 5,9 %, passant de 538,3 millions de dinars (MDT) à 506,8 MDT entre 2024 et 2025 (de janvier à juin 2025), selon le « Bulletin de Conjoncture » publié par l’Agence de promotion de l’industrie et de l’innovation (APII).

Entre janvier et juin 2025, le nombre de projets déclarés ont diminué de 14,6 %, à 5 134 projets. Le nombre d’emplois à créer s’est replié de 17,3 % a atteint 15 004 postes. Au cours du premier semestre 2025, les intentions d’investissement dans les activités de services totalement exportateurs ont atteint un montant de 2,9 MDT, avec un total de 188 projets et 427 emplois déclarés.

Les investissements déclarés dans les activités de service par des Tunisiens durant le premier semestre de l’année 2025, représentent 92 % du total des investissements déclarés. Le nombre de projets à participation étrangère est de 556 projets contre 769 projets durant la même période de l’année2024, soit une baisse de 27,7 %. Les investissements de ce type de projets ont atteint 41,1 MDT au cours du premier semestre 2025 contre 51,1 MDT durant la même période de l’année 2024, soit une diminution de 19,4 %. Ces projets permettront la création de 2 514 postes d’emplois contre 3 225 durant la même période de l’année 2024 (soit -22 %).

Durant le premier semestre de l’année 2025, l’investissement déclaré a atteint 100,8 MDT dans les services connexes à l’industrie, le nombre de projets est de 2 759 unités, et le nombre des emplois y afférents est de 5 977 postes d’emplois.

L’article Chute de 6 % des investissements déclarés dans les services est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Ali Chebbi réagit au « Zoom » de Tahar El Almi sur l’inflation

Suite à la publication de l’article du Pr Tahar El Almi intitulé « Seuil d’inflation : pédagogie facile ou rigueur malmenée ?« , son confrère le Pr Ali Chebbi a réagi dans un post Facebook.

Voici le post complet :

« Merci, très cher Tahar, pour l’intérêt que tu portes à mon billet-Fb. En bref, (1) le pays a subi une décennie d’effets pervers de la part de non-spécialistes et de leur investissement dans la sphère publique, manipulant la conscience collective, l’aplatissant et stérilisant toute action utile, et ce face à une démission de la majorité des spécialistes.

Des concepts très complexes, tels que la soutenabilité de la dette, l’indépendance de la Banque centrale, le marché du travail, les équilibres macroéconomiques, les marges de manœuvre budgétaires, le déficit commercial, le développement régional… autant de sujets de discussion ont été  »malmenés » par certains médias et plusieurs intervenants intrusifs.

(2) Il était clair que mon objectif n’était pas de fournir une analyse de l’inflation ou du seuil de 5 %, ni de mener un débat avec la personne concernée, car mon message était clair : ne pas prendre à la légère des questions complexes qui demandent des spécialistes.

(3) J’ai aussi fait l’objet de critiques malsaines de la part de certains décideurs, qui me considéraient – sur fond d’ignorance et d’incompétence – davantage comme « théorique » que « pratique » ; autrement dit, un jugement qui attaque les universitaires plutôt que de les respecter. En réalité, les mêmes propos que je défendais en Tunisie et qui furent marginalisés, ont été accueillis très favorablement sous d’autres cieux et se sont traduits par des réformes opérationnelles, et ont déjà porté leurs premiers fruits…

S’il s’agissait d’analyser la situation économique, je crois – et tu le sais bien – que nous sommes suffisamment pédagogues pour simplifier nos propos, comme c’est le cas depuis plusieurs décennies. Mais il n’y a pas de débat dans le pays, comme je l’ai mentionné dans la première phrase ; il y a plutôt un parti pris. Et même les quelques tentatives fédératrices en ce sens, elles semblent parfois sélectives et événementielles ».

L’article Ali Chebbi réagit au « Zoom » de Tahar El Almi sur l’inflation est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie – Près de 6 millions de cartes bancaires à fin juin

Le parc tunisien de cartes bancaires en circulation a augmenté de 5,3 %, soit près de 5,8 millions d’unités.

A l’inverse, les distributeurs automatiques de billets (DAB) ont légèrement diminué de 0,5 %, s’établissant à 3 289 appareils. C’est ce qui ressort des données publiées par la BCT.

L’article Tunisie – Près de 6 millions de cartes bancaires à fin juin est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

BNA Assurance joue la transparence pour sa première sortie boursière

Faker Raïs, directeur général de BNA Assurance, a présenté les états financiers et a rappelé que ces performances sont le fruit d’une stratégie claire lancée dès 2019, axée sur l’accélération de la croissance, l’optimisation des ressources et l’ouverture vers le marché financier.

BNA Assurance a présenté sa deuxième communication financière, la première depuis son introduction à la Bourse de Tunis, marquant une étape décisive dans son parcours. L’assureur, filiale du groupe BNA, a confirmé sa volonté de s’inscrire dans une démarche de transparence, de rigueur et de bonne gouvernance. En outre, il affiche au passage des résultats financiers en nette amélioration.

Ainsi, au 30 juin 2025, la compagnie a enregistré un résultat net de 7,2 millions de dinars, en hausse par rapport aux 6,8 millions de dinars de la même période en 2024, soit une progression d’environ 6 %. Ce chiffre représente déjà près de la moitié de l’objectif annuel fixé dans son business plan.

Les fonds propres ont également connu une évolution significative, atteignant 108,2 millions de dinars contre 91,4 millions un an plus tôt. Ce qui traduit une solidité renforcée.

 

 

Le chiffre d’affaires global a dépassé les 100 millions de dinars, porté notamment par une forte croissance des “produits vie“, en progression de plus de 6 millions de dinars par rapport à 2024. Les activités de placement ont elles aussi suivi une tendance positive, avec un encours de 511 millions de dinars au premier semestre 2025, assurant un taux de couverture des provisions techniques supérieur à 100 %.

Faker Raïs, directeur général de BNA Assurance, a présenté les états financiers et rappelé que ces performances sont le fruit d’une stratégie claire lancée dès 2019, axée sur l’accélération de la croissance, l’optimisation des ressources et l’ouverture vers le marché financier.

L’introduction en Bourse, en 2024, est présentée comme une étape naturelle dans ce processus. Ce qui a renforcé la crédibilité de la compagnie, tout en diversifiant ses sources de financement.

Par ailleurs, l’année 2025 a été marquée par plusieurs évolutions réglementaires dans le secteur, notamment l’encadrement des pratiques commerciales, la création d’une direction de la protection des assurés et la mise en place d’un système d’échange électronique entre les compagnies et les autorités de régulation. Ces changements devraient contribuer à améliorer la qualité de service et accélérer le règlement des sinistres.

S’adressant aux actionnaires, investisseurs et analystes, la direction de BNA Assurance a réaffirmé son engagement à poursuivre sur cette dynamique. Elle a insisté sur ses valeurs de performance, d’éthique et de transparence, avec l’ambition de bâtir une entreprise durable et responsable, fidèle à la confiance accordée par ses partenaires et ses clients.

Amani Mejri

L’article BNA Assurance joue la transparence pour sa première sortie boursière est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Assises climatiques à Tunis : la nature en première ligne

Les premières Assises de l’Adaptation Climatique par les Solutions Fondées sur la Nature (ASSISES’ACICT) se tiennent, du 16 au 18 septembre 2025, à Tunis. Et ce, à l’initiative du Centre international de développement pour la gouvernance locale innovante (CILG), en collaboration avec la Fédération canadienne des municipalités (FCM) et en partenariat avec les ministères de l’Intérieur  et de l’Environnement.

Ce conclave s’inscrit dans le cadre du programme « action climatique inclusive dans les communes  tunisiennes » (ACICT). Il réunit un groupe d’experts, de chercheurs et de représentants des institutions concernées dans le but de proposer des solutions basées sur l’environnement, un levier central de la transition écologique.

Au programme : des rencontres entre experts tunisiens et canadiens pour l’échange d’expériences, des ateliers de formation pour discuter de solutions constructives visant à renforcer l’adaptation et la résilience face aux changements climatiques.

Cette approche participative implique des partenaires académiques, des représentants institutionnels, des élus et des membres de la société civile, réunis pour concevoir des solutions appropriées et durables.

Intervenant à cette occasion, la directrice générale du Centre international de développement pour la gouvernance locale innovante (CILG), Neila Akrimi, a souligné que les solutions fondées sur la nature consistent à tirer parti des écosystèmes naturels pour faire face aux impacts du changement climatique et à ses répercussions.

Ces solutions, qui seront présentées sous forme de recommandations, se distinguent par leur accessibilité, leur faible coût et leur adéquation avec les spécificités environnementales de chaque région.

Elles aideront, également, à atténuer les effets du changement climatique, à renforcer la biodiversité, la solidarité sociale et le développement local.

Mme Akrimi a avancé, en outre, que les premières Assises de l’Adaptation Climatique par les Solutions Fondées sur la Nature (ASSISES’ACICT) incarnent une nouvelle dynamique fondée sur un changement de paradigme pour que la nature devienne un levier pour les politiques publiques à travers le développement des capacités locales et un dialogue constructif entre les différentes parties pour s’adapter aux changements climatiques de manière juste, efficace et plus durable.

A noter que le CILG est une entité juridique autonome de droit tunisien et agit en tant que centre de ressources et d’expertise.

Cet organisme met en œuvre des programmes et projets de conseil, d’appui et de renforcement de capacités dans les domaines des stratégies et politiques publiques, la gouvernance inclusive et le développement régional et local.

L’article Assises climatiques à Tunis : la nature en première ligne est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Mustapha Ferjani au World Bio Summit 2025 à Séoul 

Mustapha Ferjani, ministre de la Santé, s’est entretenu avec les responsables de l’entreprise HUGEL Korea, leader dans le secteur de la biopharmacie, sur les moyens de renforcer la coopération en matière de production, de distribution, de recherches cliniques et de formation médicale. L’entretien a eu lieu en marge de sa participation à la 4e édition du sommet mondial de la Biotechnologie (World Bio Summit 2025) qui s’est tenu les 16 et 17 septembre à Séoul.

Au cours de cette réunion, M. Ferjani a fait savoir que la Tunisie a acquis une grande expérience dans les spécialités de chirurgie esthétique, de dermatologie et dans le domaine du tourisme médical.

« Cette expérience conforte la position de la Tunisie en tant que plateforme modèle à même de renforcer la coopération avec l’entreprise HUGEL et les marchés africains et européens », a-t-il affirmé.

L’article Mustapha Ferjani au World Bio Summit 2025 à Séoul  est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Ilhem Bouaziz, nouvelle présidente du conseil d’administration de l’UIB

L’Union Internationale de Banque annonce la nomination de Ilhem Bouaziz, comme Directrice Générale Adjointe en charge de la Banque de Détail de l’UIB, en tant que présidente du Conseil d’Administration de UIB Assurances et ce, suite à la démission de Kamel Néji de ses fonctions et mandats au sein de la filiale UIB Assurances.

Aussi, les comités directeurs de la Fondation Arts et Culture by UIB et de la Fondation Solidarité et Innovation by UIB ont pris acte de la démission de leur président, Kamel Néji, et nommé Moufida Hamza, présidente intérimaire de la Fondation Arts et Culture by UIB, et Achraf Fakhfakh, président intérimaire de la Fondation Solidarité et Innovation by UIB.

Par la même occasion, Kamel Néji, président du Conseil d’Administration de l’UIB, a déclaré que le plan de sa succession est bien engagé et que sa démission prendra effet, en toutes circonstances, le 31 décembre 2025.

Et d’ajouter : « J’ose croire que mon départ écrira un nouveau chapitre tout aussi rayonnant de l’histoire de notre banque … Et je sais pouvoir compter sur toutes les parties prenantes pour demeurer unies, attachées à nos valeurs et relever avec hauteur de vue les défis à venir. L’histoire nous observe ». Avoir à la fois une vision de long terme et des réponses pragmatiques à des impératifs urgents n’est pas seulement un devoir. C’est une garantie d’avenir pour l’UIB, conclut Kamel Néji.

Avec communiqué

L’article Ilhem Bouaziz, nouvelle présidente du conseil d’administration de l’UIB est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Bond du nombre de transactions par cartes bancaires

77,7 millions. C’est le nombre de transactions par cartes bancaires enregistrées par la Banque centrale de Tunisie au cours des six premiers mois de l’année 2025. Elles ont engendré un montant total de 13,8 milliards de dinars.

Parmi ces opérations, on compte 38 % de paiements, soit une progression de 9 % par rapport au premier semestre 2024 ; et 62 % sont des retraits effectués via les distributeurs automatiques de billets (DAB).

L’article Bond du nombre de transactions par cartes bancaires est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Signature de convention entre Tunisia Technoparks et Chambre Tuniso-Française pour l’innovation

Tunisia Technoparks, une association qui fédère les pôles de compétitivité en Tunisie et accompagne le développement des startups, les PME innovantes et les projets de R&D et la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF) ont officiellement signé le 15 septembre 2025, dans les locaux de la CCITF à Tunis, une convention de partenariat.

Ce partenariat stratégique vise à renforcer les synergies entre le monde académique, les startups et les entreprises tunisiennes et tuniso françaises. Il s’inscrit dans une démarche commune pour promouvoir l’innovation, la propriété intellectuelle, la recherche, le numérique, les nouvelles technologies et l’entrepreneuriat au service du développement économique de la Tunisie.

Ainsi, il prévoit la mise en place d’actions de sensibilisation et de formation, l’organisation conjointe d’événements, ainsi que l’accompagnement des startups à travers des programmes de mentorat et d’accélération.

Mme Neila Gongi, ancienne ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, et partenaire de Tunisia Technoparks, a présenté le projet IPRIAT dédié à la valorisation de la propriété intellectuelle en Tunisie. Les membres du comité directeur de Tunisia Technoparks étaient présents lors de la signature de ce partenariat. Parmi lesquels plusieurs directeurs généraux de pôles de compétitivité : M. Hichem Turki, Novation City; Mme Rim Saied Technopole d’El Ghazala: Mme Nada Lachaal, Technopole de Borj Cedria; M. Mustapha Mezghani Technopole de Sfax; M. Ramzi Zammali Pôle de Compétitivité de Bizerte; ainsi que l’équipe permanente de ATT, Mme Manel Mechmeche et Mme Sarah Karmous.

Ce partenariat témoigne d’une volonté partagée de soutenir l’innovation et de contribuer activement à la croissance économique durable du pays.

Signé par M. Hichem Turki, Président de Tunisia Technoparks, et M. Khélil Chaibi, Président de la CCITF, cet accord marque une étape majeure dans le renforcement de l’écosystème entrepreneurial tunisien et dans la valorisation des échanges entre la Tunisie et la France dans les domaines technologiques.

D’après communiqué

L’article Signature de convention entre Tunisia Technoparks et Chambre Tuniso-Française pour l’innovation est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Plus de 18 millions d’opérations de virements bancaires 

Au cours du premier semestre 2025, les virements bancaires ont connu une hausse de 9,7 %, soit quelque 18,5 millions d’opérations.

Cela représente un montant global de 37,6 milliards de dinars. C’est ce qu’il ressort des données de la Banque centrale de Tunisie.

L’article Plus de 18 millions d’opérations de virements bancaires  est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

❌