Les supporters influencent l’énergie, la motivation et parfois même les résultats d’une équipe. Leur présence change l’ambiance d’un match et crée une dynamique unique. Les chants, les couleurs et les encouragements renforcent la confiance des joueurs. Cet article explore comment la passion des fans devient un moteur essentiel de la performance collective.
Une équipe joue différemment quand elle sent son public derrière elle, et les plateformes de paris comme 1xbet montrent que ce facteur peut même influencer les comportements des fans et des joueurs. Le bruit, les chants et les gestes créent une atmosphère électrique, renforçant l’intensité des matchs et l’engagement sur le terrain. Les joueurs ressentent une poussée d’adrénaline qui les aide à se dépasser. Les chiffres confirment cet effet : les équipes qui jouent devant leurs supporters gagnent environ 15 % plus souvent que celles évoluant dans un stade vide.
Le soutien collectif réduit aussi la fatigue ressentie par les athlètes. Des études montrent que l’endurance augmente de près de 10 % lorsqu’un joueur est encouragé par des spectateurs. Cela prouve que le public devient un véritable partenaire de l’effort.
L’ambiance comme facteur de motivation
Chaque chant et chaque drapeau rappellent aux joueurs qu’ils ne sont pas seuls, et même lorsqu’ils consultent des plateformes comme 1XBET pour suivre les scores ou placer un pari, ce lien crée un sentiment d’appartenance. Cette connexion entre supporters et équipe renforce la motivation et offre une énergie supplémentaire face à l’adversité. Quand une équipe sent cette connexion, elle trouve une force intérieure pour résister à la pression.
L’ambiance agit aussi sur la concentration. Les bruits de la foule orientent l’attention vers l’instant présent. Cela limite les doutes et les hésitations. Les sportifs décrivent souvent cette sensation comme un “mur sonore” qui les pousse vers l’avant.
Exemple de moments décisifs :
un but marqué dans les dernières minutes sous les cris du public;
un retour spectaculaire après une longue période de difficulté;
une défense renforcée grâce aux encouragements des tribunes
Ces exemples montrent que l’énergie des fans influence directement l’intensité du jeu.
Les fans comme facteur économique
Les supporters ne se contentent pas d’encourager. Ils participent aussi à la stabilité financière des clubs. L’achat de billets, les abonnements et les produits dérivés assurent une partie importante des revenus. Cette dimension économique permet d’investir dans de meilleures infrastructures et dans la formation des joueurs.
Le public joue aussi un rôle majeur dans des disciplines comme le beach-volley, où l’ambiance festive et les tribunes pleines attirent sponsors et médias.
Un stade plein génère aussi une image plus attractive pour les sponsors. Selon plusieurs rapports, un match devant un public engagé attire près de 20 % de partenariats supplémentaires. Cela prouve que les fans soutiennent leur équipe bien au-delà du terrain.
L’importance de la responsabilité
Si l’énergie des supporters apporte beaucoup, elle doit rester positive. Le jeu reste avant tout un divertissement. Les clubs rappellent régulièrement que la passion doit s’exprimer dans le respect. Chanter, encourager et vibrer fait partie de l’expérience, mais sans comportements excessifs.
Dans le cas des jeux de hasard liés au sport, il est essentiel de rappeler une règle simple : le divertissement prime toujours sur le gain. Les paris ne garantissent jamais un revenu. Le bookmaker reste gagnant à long terme. Jouer doit rester un loisir maîtrisé. Les pratiques responsables incluent :
la fixation d’un budget limité;
le non-dépassement du temps prévu ;
et l’arrêt dès que le plaisir disparaît.
Ces règles évitent les problèmes et préservent l’équilibre entre passion et responsabilité. Les supporters jouent un rôle clé dans la performance des équipes. Leur énergie motive, leur présence inspire et leur fidélité soutient l’équilibre économique. L’impact des fans va bien au-delà du stade. Il s’agit d’une relation unique, fondée sur la passion et le respect. Quand ce lien fonctionne, il transforme chaque match en un moment inoubliable.
Le gouvernement a intensifié ses efforts pour promouvoir la transformation numérique de l’administration publique. La Première ministre Sarra Zaâfrani Zenzeri a présidé un conseil ministériel, le 16 septembre 2025, qui a porté sur l’avancement des projets de transformation numérique et leur rôle dans la construction d’une administration moderne, fondée sur l’open data, l’intelligence artificielle et une transparence accrue.
Il s’agit de simplifier les procédures administratives, d’améliorer les services publics, de renforcer la compétitivité de l’économie aux niveaux régional et international et de stimuler la croissance du pays, qui stagne dangereusement (1,4% en 2024, et entre 1 et 2 % depuis 2010).
Le ministre des Technologies de la communication, Sofiene Hemissi, a présenté un point sur les réalisations à court terme et a présenté le programme plus large de transformation numérique 2025-2026. Celui-ci comprend 138 projets regroupés en quatre axes clés : la transformation numérique de l’administration publique, le développement de l’économie numérique, la cybersécurité et le renforcement de la confiance, et l’expansion des infrastructures numériques.
Les objectifs spécifiques vont du développement des services à distance et de la promotion du commerce électronique à l’amélioration de la cybersécurité, en passant par le développement de l’inclusion financière et la construction de réseaux de communication robustes.
Le Conseil a abordé les obstacles existants qui entravent la mise en œuvre de certains projets au sein des ministères et des organismes publics. Il a recommandé des mesures telles que l’intégration des projets numériques à la plateforme nationale de suivi des initiatives publiques, la création de tableaux de bord pour suivre les progrès et le renforcement de l’interconnectivité entre les services gouvernementaux.
Parmi les autres priorités figurent le développement des systèmes de paiement électronique, la sensibilisation du public aux services numériques, le lancement d’un portail national unifié pour les citoyens et les investisseurs, et l’adoption d’une politique nationale de données ouvertes afin de renforcer la transparence et l’innovation. L’intelligence artificielle est appelée à jouer un rôle essentiel, notamment dans la détection de la corruption et de la fraude fiscale.
Voilà pour les déclarations d’intention, ô combien louables. Pour ce qui est des réalisations concrètes, il va falloir attendre un peu.
L’Institut national de la statistique (INS) a révélé une baisse marquée des indicateurs démographiques en 2024. Le nombre de mariages a reculé d’environ 10 %, passant de 78 115 en 2023 à 70 942 en 2024, soit plus de 8 000 unions en moins. Même tendance pour les naissances, tombées à 133 322 contre 147 242 l’année précédente, soit une baisse de près de 10 %.
Le recensement général de 2024 confirme cette dynamique : le taux de fécondité n’est plus que de 1,7 enfant par femme, bien en-deçà du seuil de renouvellement des générations (2,1).
Le taux annuel de croissance démographique a lui aussi chuté à 0,87 %, son plus bas niveau depuis l’indépendance.
Ce vieillissement accéléré de la population, marqué par une base démographique de plus en plus étroite, pose des défis majeurs au marché du travail, aux systèmes de protection sociale et aux politiques publiques.
A cet effet, les démographes appellent à des mesures urgentes et globales pour rééquilibrer la pyramide des âges et préserver la soutenabilité des modèles nationaux.
L’Université de la Manouba (Tunisie) et l’Université La Sapienza de Rome (Italie) ont inauguré un cours sur le patrimoine culturel et le tourisme durable, dans le cadre du programme Share Africa, promu par la fondation IHEA (Italian Higher Education with Africa), qui se consacre à la promotion de projets transnationaux d’enseignement supérieur en Afrique et dans la région méditerranéenne.
L’ambassade d’Italie en Tunisie, qui a fait cette annonce sur ses réseaux sociaux, a souligné «les synergies de plus en plus fortes entre nos universités, acteurs clés du partenariat italo-tunisien».
Ce cours, qui a démarré officiellement le 15 septembre 2025, se concentre sur deux secteurs étroitement liés : la valorisation du riche patrimoine historique, artistique et archéologique de la Tunisie et le développement de modèles touristiques responsables et durables. Son double objectif est de promouvoir la recherche scientifique et la coopération technique, et de former de jeunes professionnels capables de combiner protection du patrimoine culturel et croissance économique.
Dans ce contexte, le programme Share Africa sert de plateforme d’échange et de transfert de savoir-faire entre les universités, les institutions culturelles et les professionnels du secteur.
Grâce à des séminaires, des ateliers et des modules d’enseignement conjoints, les étudiants tunisiens et italiens interagiront avec des experts internationaux et développeront des compétences pour relever les défis mondiaux liés à la gestion durable du patrimoine culturel.
La Journée européenne des langues sera célébrée le 26 septembre à la Cité des Sciences à Tunis et le 27 septembre à Sousse et Sfax, avec un programme riche consacré au multilinguisme comme valeur, sous le thème : «Les langues ouvrent nos cœurs et nos esprits !».
Cette journée est organisée par le réseau des instituts culturels européens Eunic Tunisie, le Conseil de l’Europe et la Délégation de l’Union européenne à Tunis.
Convaincu que la diversité linguistique est un moyen d’améliorer la communication interculturelle et un élément clé du riche patrimoine culturel du continent, le Conseil de l’Europe soutient le multilinguisme dans le monde entier.
Le séminaire sur «Le pouvoir des langues» aura lieu le matin du vendredi 26 septembre (sur inscription).
L’après-midi à 16 h, l’Alliance française de Tunis accueillera la présentation du documentaire sonore ‘‘Sous la langue’’ d’Aurélien Caillaux et Lucie Combes (entrée est gratuite).
Durant le week-end, le programme se poursuivra dans d’autres villes, confirmant ainsi l’envergure nationale du festival.
Le samedi 27 septembre, Sousse accueille une série d’activités, dont une fresque murale interactive, des présentations éditoriales, la projection du film d’animation ‘‘La Traversée’’ de Florence Miailhe et un «Café des langues» au Vox Café, suivi d’un karaoké européen.
Le même jour, à Sfax, une table ronde sur l’enseignement du français et de l’allemand et un intermède musical à l’Institut français sont prévus. L’initiative bénéficie également du soutien de l’Institut culturel italien de Tunis, toujours actif dans la vie culturelle tunisienne.
L’année scolaire a à peine commencé que les différents syndicats de bases du secteur de l’éducation nationale relevant de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) commencent à organiser des rassemblements de protestation dans les régions.
Deux jours après la rentrée scolaire 2025-2026, ces syndicats organisent déjà aujourd’hui, mercredi 17 septembre 2025, des rassemblements de protestation d’une durée de 2 heures, de 10 heures à midi, à l’intérieur des établissements scolaires et des délégations régionales de l’éducation, indique-t-on du côté de l’UGTT.
Ces mouvements ont été décidés pour dénoncer la démarche unilatérale suivie par le ministère de l’Education dans la nomination des agents et leur transfert d’une région à une autre.
La tutelle revient sur les acquis et les accords conclus, refuse de négocier et porte gravement atteinte au droit syndical, dénoncent les protestataires dans leur communiqué.
Participent à ces rassemblements de protestations plusieurs corps de l’éducation : instituteurs, professeurs, surveillants, surveillants généraux, inspecteurs de l’éducation du primaire et du secondaire, conseillers d’orientation, agents administratifs, ouvriers, etc.
Ils appellent les autorités à réagir positivement à leurs revendications, tout en menaçant de poursuivre leur mouvement.
Les films tunisiens ‘‘Where the Wind Comes From » (D’où vient le vent), long-métrage d’Amel Guellaty, et ‘‘Samra’s Dollhouse’’ (La maison de poupée de Samra), court-métrage de Maissa Lihedheb, ont été sélectionnés dans la compétition officielle du El Gouna Film Festival (GFF) qui se tiendra du 16 au 24 octobre 2025, dans la célèbre station balnéaire égyptienne.
Les deux films figurent, respectivement, dans la compétition des longs métrages de fiction et des courts-métrages.
Cette 8e édition placée sous le thème «Un cinéma pour l’humanité» présentera 60 films de 42 pays, offrant une sélection de longs métrages de fiction, de documentaires et de courts métrages.
Premier long-métrage d’Amel Guellaty, ‘‘Where the Wind Comes From’’ a reçu le Golden Bee Award du meilleur long-métrage et le prix de la meilleure interprétation féminine, attribué à Eya Bellagha, au 3e Festival du film méditerranéen de La Valette, Malte (21-29 juin 2025).
Cette coproduction tuniso-franco-qatarie se présente comme un récit initiatique, à la fois poétique et ancré dans une jeunesse en quête de sens. Il met en scène Alyssa (Eya Bellagha), une jeune rebelle de 19 ans, et Mehdi (Slim Baccar), 23 ans, timide et introverti, deux amis proches qui utilisent leur imagination pour échapper à leur triste réalité. Un jour, ils découvrent un concours qui se tient dans le sud tunisien et qui pourrait leur permettre de changer leur vie. Ils décident de faire le road trip, peu importent les obstacles.
‘‘Samra’s Dollhouse’’ est une coproduction entre la Tunisie, l’Allemagne et les Etats Unis. Eya Bellagha et Mansour Klila sont à l’affiche de ce court-métrage (12,12 min) sélectionné également à l’International Short Film Festival Berlin (InterFilm, 4-9 novembre 2025).
Maissa Lihedheb est une réalisatrice et scénariste germano-tunisienne plusieurs fois primée. Son court-métrage a été projeté à Tribeca, au BFI et à Interfilm, remportant le prix du meilleur film allemand et une nomination aux German Film Awards. Elle a réalisé 11 courts métrages, un long métrage documentaire et une émission de télévision.
De quelles preuves les Arabes et les Musulmans ont-ils encore besoin pour comprendre enfin qu’ils sont désormais des otages aux mains des Israéliens et des Américains, et que le parapluie militaire américain sous lequel ils croient s’être abrités pour prévenir une éventuelle attaque de …l’Iran est troué de toutes parts ?
Habib Glenza
Le Sommet arabo-islamique, qui s’est tenu le 15 septembre 2025 à Doha, n’a finalement pris aucune des décisions fermes et historiques que les nations arabes et islamiques attendaient contre Israël. Pas de rupture des relations diplomatiques, économiques et militaires avec l’Etat hébreu, pas de fermeture de toutes ses ambassades dans les pays arabes et islamiques, pas d’instauration d’un embargo commercial, maritime, terrestre et aérien contre lui, pas de fermeture de bases militaires américaines installées au Moyen-Orient, pas de menace de retrait des investissements arabo-islamiques placés en Occident, pas de création d’une armée régionale capable de faire le poids face à un ennemi qui ne comprend que la force… Rien que le ronron habituel des vaines dénonciations et appels à la raison, de quoi désespérer les nations arabes et islamiques qui ont de bonnes raisons de craindre l’expansionnisme suprémaciste décomplexé de Benjamin Netanyahu et de son «parrain» américain, Donald Trump.
D’une Nakba l’autre
Pour comprendre les enjeux de cet expansionnisme, qui a commencé il y a plus de soixante-dix ans et qui semble aujourd’hui s’accélérer face à l’immobilisme impuissant et lâche des Etats arabes et musulmans, il faut revenir aux conditions historiques dans lesquelles l’État d’Israël a été créé au Moyen-Orient en 1948 et essayer de comprendre l’évolution de la situation géopolitique depuis cette date.
L’un des premiers à lancer l’idée d’un Etat national pour les juifs fut Theodor Herzl qui fonda l’Organisation sioniste mondiale(OSM). Il est également le fondateur, en 1899, du Fonds pour l’implantation juive. Il se rapproche des Rothschild et va demander le soutien de plusieurs personnalités de l’époque comme le pape Pie X, le roi d’Italie Victor-Emmanuel III ou le Britannique Cecil Rhodes.
En mai 1901, Herzl rencontre le sultan ottoman Abdelhamid II pour lui demander la cession d’un lopin de terre en Palestine, en échange du paiement intégral de la dette de l’Empire ottoman, mais le sultan refuse catégoriquement en affirmant : «Les terres de Palestine ne m’appartiennent pas, elles appartiennent à la nation musulmane, elles ont été conquises par le sang des musulmans. Si vous voulez les prendre, il faudra passer mon corps».
Joseph Chamberlin, à l’époque secrétaire d’Etat britannique aux colonies, propose à Herzl l’installation des juifs dans la région d’Al Arish, dans la péninsule du Sinaï, jouxtant le sud de la Palestine, mais ce projet n’aboutit pas.
En 1903, Herzl reçoit une offre du gouvernement britannique lui proposant l’implantation d’une grande colonie juive en Afrique de l’Est, sous souveraineté britannique, mais avec un gouvernement autonome. C’est le projet Ouganda qui n’aboutit pas lui non plus.
Après la mort de Herzl en 1904, le 7e congrès juif mondial, qui s’est tenu en 1905, refuse définitivement toute implantation des juifs en dehors de la Palestine.
Après la Seconde Guerre mondiale, les Britanniques décident de mettre un terme à leur mandat en Palestine en raison de son coût financier et de la difficulté de plus en plus grande qu’ils ont à y maintenir l’ordre. Ils doivent, en effet, faire face aux attaques terroristes de groupes armés juifs (comme l’Irgoun, organisation militaire de la droite sioniste) protestant contre la limitation, par les autorités mandataires, de l’immigration des populations juives rescapées de la Shoah.
Pour sortir de cette impasse, la Grande-Bretagne décide de confier le sort de la Palestine aux Nations-Unies qui recommande, en août 1947, de partager le territoire entre deux États indépendants : un État juif sur près de 55 % du territoire et un État arabe sur les 45 % restants. Ces recommandations sont adoptées par l’Assemblée générale des Nations Unies en novembre 1947, ce que les Juifs accueillent favorablement, tandis que les Palestiniens rejettent le plan de partage, soutenant que l’étendue du territoire qui leur est attribué est inversement proportionnelle au rapport démographique entre les deux peuples en 1948. Les violences armées entre les communautés juives et arabes prennent alors la forme d’une véritable guerre entre la Haganah (groupe armé formé par des populations juives en Palestine) et les populations arabes soutenues par les volontaires égyptiens, syriens et irakiens. Sur ce, le 14 mai 1948, la veille du jour du départ des Britanniques, les Juifs proclament la création de l’État d’Israël.
La guerre dure jusqu’en janvier 1949 et se conclut par une série d’accords d’armistice entre l’État d’Israël et ses voisins (Égypte, Liban, Transjordanie, Irak). Les victoires militaires du nouvel permettent aux juifs d’occuper désormais 77% de l’ancienne Palestine mandataire, bien au-delà des lignes de partages fixées par l’Onu en 1947, tandis que 650 000 Palestiniens s’enfuirent ou sont expulsés par la force, suite à des massacres de populations civiles arabes. Ils ne sont pas autorisés à revenir et deviennent des réfugiés dans les pays arabes limitrophes. Cet exode est retenu dans la mémoire collective palestinienne sous le terme de Naqba(catastrophe).
Israël au service des desseins de l’Occident
Pour remercier leurs protecteurs et alliés occidentaux, les sionistes se sont engagés à empêcher toute tentative d’unification des pays arabes du Moyen-Orient et de défendre les intérêts vitaux des pays occidentaux dans cette région stratégique dotée d’immenses gisements de pétrole et de gaz.
C’est ains que de 1948 jusqu’à ce jour, les sionistes ont réussi à museler le monde arabe et ont même convaincu certains pays de la région d’adhérer aux fameux accords d’Abraham, signifiant leur soumission totale à Israël !
Le rêve Netanyahu est désormais de créer le Grand Etat d’Israël, qui s’étendrait du Nil à l’Euphrate, en annexant toute la Palestine historique, le Liban, la Jordanie, l’Egypte, la Syrie et l’Irak. Et au rythme où vont aujourd’hui les choses, ce scénario est loin d’être une vue de l’esprit.
Trump, principal allié d’Israël, cherche pour sa part à spolier les énormes richesses naturelles du Moyen-Orient, aussi importantes que celles du Groenland, du Canada ou du Venezuela qui possède les plus grandes réserves de pétrole du monde, estimées à plus de 300 milliards de barils exploitables. Cela veut clairement dire, que les intérêts de ces deux personnages lugubres sont strictement liés, même si leurs objectifs à terme divergent.
Les dindons de la farce
Netanyahu veut annexer les pays arabes du Moyen-Orient et mettre leurs richesses à la disposition de Trump, ce qui explique le soutien total des Etats-Unis à un Etat sioniste hors-la-loi.
Quid maintenant de la position des pays arabes, éternels dindons de la farce ?
L’attaque ratée d’Israël contre la délégation palestinienne du Hamas, venue à Doha pour discuter du plan de cessez-le-feu proposé par le président américain, s’est avéré un piège tendu aux négociateurs palestiniens pour les liquider et une atteinte à la souveraineté du Qatar. Pire encore, des sources ont assuré que le matériel militaire vendu par les Etats-Unis au Qatar à des prix exorbitants s’est révélé être, à l’occasion de cette attaque, totalement inopérant, notamment en cas de conflit avec Israël.
De quelles preuves ces chers Arabes et musulmans ont-ils encore besoin pour comprendre enfin qu’ils sont désormais des otages aux mains des Israéliens et des Américains, et que le parapluie militaire américain sous lequel ils croient s’être abrités pour prévenir une éventuelle attaque de …l’Iran est troué de toutes parts ?
L’Office national de la famille et de la population (ONFP) entame sa cinquième décennie durant lesquelles il a enregistré des résultats démographiques et sociaux qui ont épargné à la Tunisie beaucoup de problèmes socio-économiques, dont souffrent beaucoup d’autres nations. Aujourd’hui plus que jamais, l’ONFP est appelé à jouer un rôle central dans la refondation d’une politique publique de santé sexuelle et reproductive et de planification familiale, à la hauteur des défis démographiques, économiques et sociaux que traverse la Tunisie.
Fethi Ben Messaoud *
Le dernier recensement de 2024 relève une tendance démographique inquiétante : le taux de fécondité est tombé à un niveau historiquement bas, désormais inférieur au seuil de remplacement (moins de 2,1 enfants par femme). Ce repli soulève de nombreuses interrogations quant à l’avenir du pays : vieillissement accéléré de la population, contraction de la population active, pressions accrues sur les systèmes de santé et de retraite.
Dans ce contexte, l’ONFP doit s’engager en collaboration avec toutes les parties prenantes (ministères, institutions nationales, ONG…) dans l’élaboration d’une nouvelle stratégie nationale SSR/PF, fondée sur une lecture actualisée des besoins de la population, notamment des jeunes, des femmes, des couples, des personnes en situation de vulnérabilité et des populations des régions défavorisées.
Il ne s’agit plus seulement d’assurer l’accès aux services classiques de planification familiale, mais d’innover en plaçant les droits reproductifs, le bien-être et l’autonomisation au cœur de l’action publique en mettant l’accent sur une approche innovante.
Cette approche est basée sur cinq piliers fondamentaux. Il s’agit :
1- d’adapter l’offre de services aux nouveaux profils et besoins des populations. L’ONFP doit élargir l’accès à des services diversifiés, intégrés, respectueux, et accessibles géographiquement. L’intégration des services SSR et de santé mentale, le conseil, le soutien à la parentalité, ou encore la prise en charge des violences basées sur le genre doivent faire partie de l’offre;
2- de renforcer l’éducation sexuelle complète. Une stratégie ambitieuse de SSR doit intégrer l’éducation complète à la sexualité dans les programmes scolaires, universitaires et communautaires, tout en formant les prestataires à répondre avec compétence et éthique aux besoins des jeunes;
3- de repenser la communication et l’information.Une nouvelle stratégie exige des campagnes de communication ciblées, innovantes, et en phase avec les réalités des jeunes et des couples, utilisant les canaux numériques, les influenceurs sociaux et les médias communautaires pour déconstruire les tabous et promouvoir des comportements responsables;
4- de réduire les inégalités régionales et sociales d’accès aux services SSR/PF. L’ONFP devra prioriser les régions sous-desservies, les zones rurales, et les quartiers populaires, en déployant des unités mobiles couvrant toutes les régions difficiles, des partenariats locaux, et en assurant la disponibilité continue des méthodes contraceptives et des soins;
5- de s’appuyer sur la recherche et les données socio démographiques. La refonte de la stratégie devra s’ancrer sur des données actualisées, issues d’enquêtes nationales, de recherches participatives et de dispositifs de suivi-évaluation rigoureux. Une collaboration étroite avec les instituts de recherche, les universités et la société civile sera indispensable.
Un tournant stratégique et politique
L’enjeu est clair : transformer une politique fondée historiquement sur la maîtrise de la natalité en une politique de promotion des droits sexuels et reproductifs, centrée sur le choix éclairé, la santé, et la dignité des personnes.
À ce titre, l’ONFP doit lancer une concertation nationale en vue de coconstruire cette stratégie, avec la participation des jeunes, des professionnels de santé, des ONGs, des partenaires de développement et des décideurs politiques.
Cette initiative permettra à l’ONFP d’ouvrir un nouveau chapitre : celui d’une vision inclusive, moderne et résiliente de la santé sexuelle et reproductive, au service du bien-être individuel et de l’équilibre démographique national.
L’office peut également capitaliser sur son engagement actif dans la coopération Sud-Sud, en partageant ses expériences pionnières en matière de planification familiale, d’intégration des services de SSR/PF, et d’approches communautaires.
Grâce à des partenariats stratégiques avec plusieurs pays africains et arabes, surtout que l’office depuis son adhésion à l’organisation des Partenaires en population et développement (PPD) a su valoriser son expertise technique à travers des missions de formation, d’assistance technique et de transfert de bonnes pratiques.
Ce positionnement régional renforce non seulement l’influence de la Tunisie comme acteur de référence en matière de SSR/PF, mais constitue aussi une source d’enrichissement pour la mise en œuvre de solutions adaptées aux nouveaux défis nationaux. La future stratégie SSR/PF devra intégrer cette dimension d’ouverture, d’apprentissage mutuel et de solidarité entre pays du Sud, afin de bâtir des réponses innovantes et durables aux enjeux partagés de développement démographique et social.
* Expert en population et développement, ancien secrétaire général de l’ONFP.
Acteur, réalisateur, militant écologiste et défenseur d’un cinéma libre via son festival Sundance, Robert Redford est mort mardi 16 septembre 2025, à l’âge de 89 ans, dans sa maison de Sundance (Utah), entouré de ses proches. Avec lui disparaît l’un des derniers grands visages d’Hollywood, mais aussi un esprit rebelle qui a donné à l’Amérique une image contrastée : celle des grands espaces et des héros lumineux, sans jamais cesser d’en dénoncer les dérives.
Né à Santa Monica en 1936, Redford accède à la célébrité à la fin des années 1960 grâce à ‘‘Butch Cassidy and the Sundance Kid’’ aux côtés de Paul Newman, puis confirme son statut de star dans ‘‘The Sting’’, ‘‘Out of Africa’’, ou encore ‘‘All the President’s Men’’, plongée haletante dans le scandale du Watergate.
Charismatique, blond solaire et discret, il incarne un idéal américain, celui d’une liberté indomptée, mais aussi d’une conscience morale face aux excès du pouvoir et de la société de consommation.
Sa carrière prend une autre dimension lorsqu’il passe derrière la caméra. En 1981, il obtient l’Oscar du meilleur réalisateur pour ‘‘Ordinary People’’, un drame familial d’une justesse implacable. Ses films suivants – ‘‘A River Runs Through It’’ ou ‘‘Quiz Show’’ – confirment une mise en scène élégante et un goût pour les récits où se croisent fragilité intime et critique sociale.
Au-delà du cinéma, Redford s’impose comme un pionnier de la cause écologique. Défenseur acharné de l’environnement, il a utilisé sa notoriété pour sensibiliser à la préservation des territoires sauvages et soutenir des associations militantes.
Mais son héritage le plus durable reste sans doute la fondation du Sundance Institute en 1981, puis du festival du même nom, devenu en quelques décennies le sanctuaire du cinéma indépendant mondial. C’est à Sundance qu’ont émergé des cinéastes comme Quentin Tarantino, Steven Soderbergh ou Kelly Reichardt. Redford y voyait une mission : offrir un espace de liberté aux voix nouvelles, loin du diktat des studios.
Sa disparition laisse un vide immense. Le défunt cinéaste aura incarné l’élégance d’Hollywood, la rigueur du réalisateur et l’engagement de l’homme de convictions. Dans une Amérique souvent prisonnière de ses contradictions, il restera cette figure rare qui, du western au thriller politique, a su relier l’art au sens, le mythe au réel, l’intime à l’universel.
On aura beau dire de la Chine, en particulier de ses ambitions maritimes et de la pression exercée sur les nations riveraines en Mer de Chine du Sud, et qui n’a rien de nouveau, elle n’a jamais imposé à ses partenaires dans le monde, contrairement aux Occidentaux, de normes juridiques ou politiques particulières masquant des motivations inavouées. Et en ce sens, elle constitue une alternative précieuse pour tous ceux qui pensent que la Mondialisation ne saurait constituer le prétexte commode à l’aliénation de la souveraineté au moins nominale des nations.
Dr Mounir Hanablia *
Ce livre soulève d’abord une question. Qu’est-ce, être Chinois? Si on s’en réfère à l’Histoire, c’est appartenir à l’ethnie Hane, en habitant le pays limité au nord par le fleuve jaune et qui est traversé au sud par le Yang Tsé. C’est obéir à une administration composée de lettrés admis dans leurs charges sur concours et chargée d’appliquer les normes juridiques, éthiques, esthétiques, sociales, tirées de l’enseignement de Confucius; au nom de l’autorité d’un empereur nommé fils du ciel, auquel tout autre pouvoir politique lui doit dès lors hommage, par le biais d’un tribut. Cette organisation de l’État en découlant en a assuré la pérennité, malgré la conquête du pays par des peuplades étrangères qualifiées de barbares, en règle nomades pastorales issues des steppes, qui l’ont conservée afin de l’utiliser à leur profit.
Processus d’unification
L’influence étrangère a donc toujours été présente, pas toujours issue d’un droit de conquête, dont la plus remarquable a été l’implantation et l’assimilation du Bouddhisme, issu de l’Inde, qui a profondément imprégné l’âme chinoise sur le plan mystique, les normes sociales étant issues de l’enseignement de Confucius.
Mais ce processus d’unification n’a pas été inné, et en dehors de l’époque impériale proprement dite, autochtone ou barbare, le pays a souvent été divisé en royaumes rivaux en lutte les uns contre les autres, comme par exemple du temps des Yuan mongols au nord et des Song han au Sud. Mais c’est sous les Mandchous, des barbares selon les normes chinoises, venus des steppes du nord au confins de la Sibérie et qui ont renversé la dynastie nationale Ming en 1644, que la Chine a acquis la plus grande partie des territoires en sa possession à l’époque moderne, le Xinjiang, le Tibet, et la Mongolie, habités par des populations non chinoises, même si sous la pression russe, elle a perdu la Mongolie Extérieure et une partie de la Mandchourie.
Il ne faut pas oublier que la dynastie mandchoue vers 1750 a résolu définitivement la question du danger turco-mongol venu de la steppe en exterminant les Dzoungars, un peuple pourtant bouddhiste, grâce à l’usage de canons et d’armes à feu.
Pour la première fois de l’Histoire, le fils du Ciel, empereur auto-proclamé de Chine même s’il n’était pas Han, lui-même d’origine nomade, avait pris la mesure de son monde d’origine au bénéfice du sédentaire qui était son sujet.
Le paradoxe chinois est que plus des deux-tiers du territoire de l’actuelle République Populaire de Chine est habité par des nationalités originelles turco-mongoles et tibétaines, qualifiées de minoritaires par les Hans, qui ne représentent pas plus de 10% de la population.
La question contemporaine des Ouïghours, tout comme celle du Tibet, démontre l’étendue du caractère conflictuel de la situation engendrée par la politique de sinisation forcée suivie par les communistes à Pékin, ainsi que l’installation de migrants issus de l’ethnie majoritaire parmi les populations de la périphérie, et qui ne peut être assimilée qu’à une colonisation.
En 1911, lors de la chute de la dynastie mandchoue, les nationalistes républicains chinois, autrement dit Hans, conduits par le Dr Sun Yat Sen, ne se sont pourtant pas fait faute de revendiquer la souveraineté sur ces territoires pourtant conquis par ceux qu’ils ont supplantés.
Les communistes au départ adeptes d’une structure fédérative avec droit de sécession sur le modèle soviétique (on a vu ce qu’il en a été sous Staline) se sont rangés, une fois au pouvoir, derrière les sirènes du chauvinisme Han.
Afin de clore le chapitre de ce que l’on nommera le nœud interne de la question chinoise, on évoquera le cas de Taïwan considéré par beaucoup comme potentiellement générateur d’une conflagration mondiale puisque, abstraction faite de sa prééminence dans la production mondiale des semi-conducteurs, l’île, soutenue par une Amérique belliciste aveugle face au précédent constitué par la crise de Cuba, est de plus en plus tentée de suivre la voie de l’autodétermination, malgré la menace d’une guerre dévastatrice avec la Chine continentale. Il importe peu que Taïwan, à l’origine habitée par des Austronésiens aborigènes qui ne représentent plus aujourd’hui que 5% de la population, ne soit entrée dans l’orbite politique chinoise que vers 1680, soit après l’arrivée des Portugais et Hollandais , et que les habitants y aient été largement influencés par l’occupation japonaise entre 1890 et 1945 au point de leur faire apparaître comme des sauvages incultes les deux millions de réfugiés en provenance du continent fuyant les armées communistes.
A l’extérieur du nœud, le premier cercle de la périphérie de la Chine, est constitué par la Corée, un pays imprégné des us et coutumes chinoises au point d’en adopter l’écriture, et qui a toujours accepté sa condition de vassal de son grand voisin en payant le tribut exigé.
Le second cercle inclut les Etats qui, quoique dans une large mesure sinisés par l’organisation administrative, l’étiquette de la cour et l’écriture, ont toujours été farouchement soucieux de faire respecter leur souveraineté, y compris les armes à la main. Le Japon, et surtout le Vietnam, un pays devenu indépendant après mille ans d’occupation chinoise, en sont les exemples les plus achevés.
Il reste dans la psyché chinoise le traumatisme issu des statuts d’exterritorialité judiciaire des ressortissants d’origine européenne et américaine, des traités inégaux, des concessions internationales, des cessions à bail de territoires, et des guerres d’agression, dont les plus scandaleuses furent celles de l’opium visant à rééquilibrer la balance commerciale déficitaire avec la Chine de l’Angleterre à son bénéfice.
Si le pouvoir chinois actuel en prend prétexte pour marquer sa solidarité avec tous les peuples victimes des colonisateurs impérialistes de la manière que l’on sait, afin de s’assurer d’avantages commerciaux et stratégiques, cela ne signifie nullement que les Occidentaux et les Japonais n’aient laissé que des bons souvenirs en Asie.
Le supposé pacifisme chinois
La Chine, en s’asseyant à la table des vainqueurs au terme du second conflit mondial, n’a certes pas vu ses frontières, tracées de la manière que l’on sait, remises en question, preuve s’il en est du peu de cas fait du sort des minorités du pays par les Puissances. Cela n’efface pas pour autant les traités inégaux, symboles évidents de l’hypothèque de la souveraineté, et l’usage fait de la question dans les luttes internes pour le Pouvoir, n’en diminue pas pour autant la réalité ni l’importance.
Au terme de la lecture de ce livre, le supposé pacifisme chinois exprimé par les échanges commerciaux le long d’une mythique Route de la Soie, et l’expansion de la Chine à l’intérieur des frontières nécessaires à son épanouissement et à l’aspiration à l’unité de ses peuples, selon les thèses soutenues par le gouvernement de Pékin, en auront pris certes un coup chez tous ceux qui auraient pu entretenir quelque illusion sur le sujet.
L’auteur semble dire qu’à tout prendre, mieux vaut encore le bon vieil impérialisme occidental, dont la marche vers le progrès, contrairement au Grand bond en avant chinois, n’aura pas fait 40 millions de morts, du moins dans ses propres populations.
Dans le contexte de confrontation globale entre la Chine et les Etats Unis, de l’occultation du droit international, ainsi que de la montée des xénophobies et de la résurgence des guerres de conquête et d’extermination coloniales, les déconstructions des récits antagonistes n’étonnent plus du moment que les seules nations légitimes demeureront occidentales, souvent contre toute évidence.
Par exemple, on peut faire sienne la vision partagée par les Nazis d’une France dont seraient détachées la Bourgogne et la Bretagne victimes de l’expansionnisme des Francs, ces occupants de la Gaule venus de Germanie. Ou d’une Angleterre dont l’irrédentisme irlandais continue de s’opposer aux envahisseurs saxons qui seraient confinés au seul Wessex pour ne pas être expulsés, et où les descendants de Danois et de Norvégiens disposeraient du droit à l’autodétermination sur toute la côte orientale de l’île. Ou des Etats Unis d’Amérique et du Canada dont les colons seraient fixés à la côte Est, le reste du territoire revenant à ses habitants d’origine, les Indiens, n’eût été leur extermination par la variole, seul exemple réussi de guerre bactériologique.
Mais on aura beau dire de la Chine, en particulier de ses ambitions maritimes et de la pression exercée sur les nations riveraines en Mer de Chine du Sud, et qui n’a rien de nouveau, elle n’a jamais imposé à ses partenaires dans le monde, contrairement aux Occidentaux, de normes juridiques ou politiques particulières masquant des motivations inavouées. Et en ce sens, elle constitue une alternative précieuse pour tous ceux qui pensent que la Mondialisation ne saurait constituer le prétexte commode à l’aliénation de la souveraineté au moins nominale des nations.
* Médecin de libre pratique.
‘‘Comment la Chine écrit son histoire. L’invention d’un destin mondial’’ de Victor Louzon, éditions Tallandier, 21 août 2025, 224 pages.
Les légendes sportives ne disparaissent jamais vraiment. Leur retour sur le terrain ou dans les médias inspire une nouvelle génération. Les jeunes suivent leurs exploits, s’identifient à leur persévérance et cherchent à reproduire leurs réussites. Leur influence dépasse le sport lui-même et touche la motivation et la discipline.
Les athlètes légendaires continuent de façonner le sport même après leur carrière principale, et certains participent à des initiatives en ligne comme 1xbet gn qui rapprochent fans et anciens champions. Leur expérience et leur détermination deviennent des exemples concrets. Les jeunes voient que la réussite demande du temps, du travail et de la patience.
Les jeunes adoptent des routines inspirées de ces stars.
Les valeurs comme la persévérance et la discipline sont plus visibles.
Les performances exceptionnelles motivent à viser plus haut.
Selon des statistiques récentes, plus de 60 % des jeunes athlètes citent les anciens champions comme source principale de motivation. Leur retour, même ponctuel, relance cet engouement.
Les retours sur le terrain : plus qu’une simple présence
Quand les légendes reprennent le terrain, l’effet est immédiat, et certains fans cherchent même à télécharger 1xbet guinée apk pour suivre les matchs en direct et parier en temps réel. La foule répond, les médias suivent et les jeunes aspirants observent attentivement chaque mouvement. Ces retours montrent que l’expérience et la technique peuvent surpasser la jeunesse brute.
Les entraîneurs notent souvent une amélioration de l’engagement chez les jeunes lorsqu’ils côtoient ou observent ces anciens champions. Leurs conseils sont précieux. Même de simples séances d’entraînement deviennent des leçons de stratégie et de mental.
Le rôle des médias et des réseaux sociaux
Les plateformes médiatiques amplifient l’influence des légendes. Les vidéos de performances passées ou présentes se partagent rapidement. Les jeunes athlètes peuvent analyser les gestes techniques et les stratégies en détail.
Les tutoriels ou interviews inspirent la pratique quotidienne.
Les réseaux sociaux permettent un contact indirect avec ces figures.
Les anciens champions partagent souvent des messages motivants ou des conseils précis.
Cette visibilité crée un pont entre générations. Elle transforme les exploits individuels en leçons collectives.
Événements et programmes de mentorat
De plus en plus, les légendes participent à des événements sportifs éducatifs. Ces programmes permettent aux jeunes de s’exercer sous la supervision de professionnels expérimentés. Le mentorat offre un cadre structuré et motivant. De plus, les sports universitaires se développent comme un véritable secteur économique, générant revenus, emplois et opportunités d’investissement autour des compétitions et infrastructures.
Par exemple, lors de stages ou ateliers, les jeunes apprennent à gérer la pression, à améliorer leur endurance et à affiner leur technique. Les légendes racontent leurs expériences personnelles, les erreurs commises et les méthodes pour les surmonter. Cela rend la pratique sportive plus humaine et accessible.
L’influence au-delà du sport
L’impact ne se limite pas à l’activité physique. Les valeurs transmises par ces légendes touchent la vie quotidienne des jeunes. La patience, la discipline et la gestion des échecs deviennent des compétences transférables.
Développement du leadership et de la confiance en soi.
Capacité à se fixer des objectifs clairs et réalistes.
Motivation pour persévérer malgré les obstacles.
Ainsi, ces athlètes continuent de former non seulement de futurs champions mais aussi de jeunes capables de relever divers défis dans leur vie personnelle et professionnelle.
Encourager la pratique responsable et le jeu équilibré
Dans les activités comme le sport ou le jeu responsable, il est essentiel de garder l’esprit de plaisir. Les légendes rappellent souvent que l’important est de profiter de chaque moment. Le dépassement de soi reste l’objectif, pas la compétition purement financière.
Prendre le temps de maîtriser les techniques.
Respecter les règles et les limites personnelles.
Se concentrer sur l’expérience et l’apprentissage plutôt que sur la seule victoire.
Ces principes favorisent un engagement durable et positif chez les jeunes.
Le retour des légendes sportives ne se limite pas aux records ou aux titres. Leur influence inspire la persévérance, l’engagement et le plaisir de pratiquer. Les jeunes athlètes bénéficient de leur expérience et de leurs conseils. Ces figures emblématiques montrent que le sport est un moyen de grandir, d’apprendre et de se dépasser. Leur présence transforme la motivation individuelle en inspiration collective.
Les entreprises allemandes en Tunisie affichent confiance et volonté d’investir, malgré des obstacles persistants que constate son enquête annuelle intitulée «Situation et perspectives des sociétés allemandes en Tunisie» ; dont les résultats ont été présentés ce mardi 16 septembre 2025.
L’enquête de cette année révèle un bilan globalement positif. Ainsi, 73 % des entreprises interrogées prévoient de maintenir ou d’augmenter leurs investissements sur la période 2025–2026.
Près de 84 % anticipent une croissance de leur activité et 69 % s’attendent à une situation économique stable ou en amélioration en 2026.
Ces résultats traduisent une confiance maintenue des entreprises allemandes dans le site tunisien, même si la proportion d’optimistes sur l’évolution de la situation économique a reculé par rapport à 2024 (80 %).
Un pays attractif pour les investisseurs
Les entreprises soulignent plusieurs atouts qui renforcent l’attrait de la Tunisie comme destination d’investissement. «La proximité géographique avec l’Europe constitue un avantage majeur pour nos échanges commerciaux», indiquent de nombreux acteurs. D’autres insistent sur «la disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée et compétitive, particulièrement dans les secteurs industriel et technologique».
La Tunisie se positionne comme site d’investissement présentant une main-d’œuvre qualifiée ainsi que des coûts de production particulièrement compétitifs.
Des freins administratifs de plus en plus marqués
L’enquête met toutefois en évidence une montée des difficultés liées aux relations avec l’administration, les services douaniers et la Banque centrale de Tunisie notamment les questions autours du code des changes. La part des entreprises déclarant rencontrer des obstacles administratifs est passée de 45 % en 2024 à 75 % en 2025.
Les résultats de cette enquête envoient un double signal : d’une part, la confiance renouvelée des entreprises allemandes envers la Tunisie comme destination d’investissement ; d’autre part, l’urgence de lever les entraves administratives qui empêchent les investisseurs de tirer pleinement profit des avantages et des opportunités qu’offre la Tunisie afin de renforcer la création d’emploi et de transfert de savoir-faire.
Le fonds de fonds Anava annonce son engagement à investir 4 millions de dollars dans leRasmal Innovation Fund, géré parRasmal Ventures. Cet investissement s’inscrit dans une démarche visant à attirer des investisseurs internationaux vers l’écosystème tunisien des startups et à soutenir ces dernières dans leur financement et leur développement à l’échelle mondiale.
Anava est soutenu par la Banque mondiale (BM), la Caisse de Dépôt et Consignation (CDC) et la Banque allemande de développement (KfW).
Rasmal Innovation Fund I est un fonds de capital-risque de la région Mena, dédié aux startups en phase d’amorçage dans les secteurs de la FinTech, du SaaS B2B, de la HealthTech, de la logistique et de la supply chain, avec pour objectif de renforcer les infrastructures numériques dans la région.
Le fonds est géré par une équipe chevronnée de capital-risqueurs dotée d’une vaste expérience sectorielle, composée de la Tunisienne Soumaya Ben Beya Dridje, ainsi que de Alexander Wiedmer, Dr Shaikha Al Jabir et Angus Paterson.
Rasmal Innovation Fund I est le premier fonds sélectionné pour bénéficier du programme de capital-risque de 1 milliard de dollars de la Qatar Investment Authority. Il vise une levée totale de 100 millions de dollars, avec un premier closing de 30 millions de dollars.
Par ailleurs, Rasmal Innovation Fund I annonce son investissement dans Aqua Development, une entreprise née en Tunisie et à portée mondiale, cofondée par Othman Ben Abbes.
Cettestartup à double siège social en Tunisie et en Corée, combine biotechnologie, intelligence artificielle et ingénierie du design pour développer des systèmes d’aquaculture de crevettes offrant une productivité, une durabilité et une compétitivité économique exceptionnelles, sans recours aux antibiotiques ni aux produits chimiques polluants.
Les systèmes Aqua Development reposent sur l’imitation et l’exploitation des écosystèmes naturels à l’intérieur de la ferme, en recréant et en rééquilibrant différentes micro-flores et micro-faunes dans les bassins d’aquaculture.
Sous le ciel pâle et indécis de septembre, les ports de Bizerte et de Sidi Bou Saïd vibraient d’une ferveur inhabituelle. Une marée humaine, drapée de keffiehs et de drapeaux palestiniens, déployait ses couleurs rouge, verte, noire et blanche. L’air se chargeait de senteurs mêlées : le poisson grillé, le jasmin enivrant, le sel des embruns, portés par les accents rauques du mezoued et les chants de lutte venus de Palestine comme d’Afrique du Sud. C’était une kermesse révolutionnaire, un carnaval des consciences, où chaque visage reflétait la fierté d’une Palestine debout, dont la voix est portée par une Tunisie solidaire, accueillant les héros anonymes de la Global Sumud Flotilla.
Abdelhamid Largueche *
Jamais, depuis que les hommes naviguent, la mer n’avait vu pareille convergence de consciences. Plus de soixante-dix navires, venus des quatre horizons, s’étaient lancés d’un même mouvement, portés par une conviction commune : secourir un peuple assiégé. Leur destination : Gaza. Leur mission : briser un blocus maritime imposé par l’Etat génocidaire d’Israël et dénoncé par le droit international. Leur mot d’ordre : «Paix».
À bord, ni arme, ni soldat, ni calcul militaire, ni agenda politique. Seulement des vivres, des médicaments, des volontaires — et cette certitude têtue : la solidarité demeure un levier pour desserrer l’étau de la violence.
Des centaines de citoyens engagés
Cette mobilisation inédite, portée par la Freedom Flotilla Coalition, rassemblait d’autres initiatives : le Mouvement Global vers Gaza, la Flottille maghrébine — à laquelle s’était joint le Maroc — ou encore la Flottille Nusantara. Ensemble, elles ont donné naissance à ce projet humanitaire hors norme, avec l’appui de centaines de citoyens engagés.
Parmi eux, des figures émergent. Thiago Avila, militant brésilien au visage buriné par le soleil, rescapé du Madleen, le bateau intercepté en juin par les Israéliens près des côtes palestiniennes, dont le sourire fatigué apparaît comme une victoire sur l’adversité. Non loin, Wael Naouar, porte-parole du comité maghrébin, scrute les tracés rouges d’une carte à la lumière vacillante des radios. À ses côtés, Rima Hassan, député européen, une Franco-palestinienne au regard ardent, qui cisèle ses communiqués comme un orfèvre, tandis que Greta Thunberg, Suédoise aux tempes argentées icone de l’écologie, initie les volontaires aux gestes de la résistance non-violente. Et puis, figure imposante et sereine, Mandla Mandela, petit-fils de Madiba. Il serre les mains, embrasse les militants, sa voix grave portant l’héritage de tout un continent : «La solidarité n’est pas un mot, c’est un acte.» Il rappelle que la liberté de son grand-père demeure inachevée tant que celle des Palestiniens reste niée.
Pour desserrer l’implacable étau
Depuis 2007, en effet, Gaza vit sous blocus terrestre, maritime et aérien. Israël a imposé ce verrouillage après la victoire du Hamas aux élections législatives de 2006, pourtant jugées libres et régulières. Près de deux millions d’habitants survivent dans un isolement quasi total. L’accès à la nourriture, aux soins, à l’électricité et à l’eau y est restreint, conditionné. ONG et institutions décrivent Gaza comme une «prison à ciel ouvert».
Les offensives militaires ont régulièrement ravagé l’enclave depuis 2008, jusqu’au désastre apocalyptique d’octobre 2023 et qui se poursuit depuis, faisant plus de 65 000 morts, dont plus de la moitié sont des femmes et des enfants, et 160 000 blessés.
La mémoire garde encore le drame du bateau Mavi Marmara, en mai 2010 : neuf morts et une cinquantaine de blessés, victimes d’un assaut israélien en pleines eaux internationales. Depuis, chaque volontaire sait qu’il s’expose à la prison, parfois à la mort.
Appareillage dans l’indifférence complice
Le 15 septembre, les navires quittent les ports de Bizerte, Sidi Bou Saïd et Gammarth dans une indifférence glaçante des médias occidentaux, toujours soucieux de ménager l’agresseur israélien. Peu de caméras, peu de titres, peu d’attention, en dehors de celle assurée par quelques militants engagés, comme si la grandeur de ce geste pacifique et courageux ne trouvait pas place dans le récit dominant.
Alors que les moteurs vrombissent, un silence solennel s’abat sur le port. Francesca Albanese, rapporteuse spéciale de l’Onu pour la Palestine, apparaît sur le quai. Sa présence donne à l’instant une lumière officielle et grave. Elle serre les mains des équipages, étreint Wael et Thiago, s’incline devant Mandla. Ce geste, simple et fort, rappelle à la communauté internationale ses propres manquements.
Côte à côte, Wael, Rima, Greta, Thiago, Mandla et tant d’autres regardent les navires s’éloigner, silhouettes fragiles découpées dans l’immensité bleue. La fête s’achève. Commence le voyage : la mer immense et, au-delà, les hommes. Escortés par ceux qui refusent que la Méditerranée devienne prison, ils portent avec eux l’héritage de Mandela et la ténacité d’un peuple. Ils partent, incarnant le «Sumud», cette résistance persévérante et opiniâtre qui défie tous les blocus.
Rima Hassan et Greta Thunberg.
A l’avant-garde de l’humanité
Ces bateaux désarmés témoignent d’une force morale comparable aux grandes pages de courage de l’histoire moderne. Certains osent dire que leur audace évoque les débarquements de la Seconde Guerre mondiale : moins d’armes, mais davantage de cœur et d’humanité.
La question qu’ils posent, par leur seule navigation, transcende Gaza : «Que diront de nous nos enfants, et les enfants de nos enfants, face au génocide en cours ?»
Peut-être retiendront-ils que, malgré la guerre, l’indifférence et la complicité dans le génocide perpétré sous nos yeux, des centaines de femmes et d’hommes venus de quarante-quatre pays ont choisi de naviguer pour la dignité.
Ils diront que, dans la nuit de l’Histoire, ils ont refusé le confort de l’oubli. Qu’ils ont choisi la mer comme chemin d’espérance. Et qu’ils ont écrit, avec leurs voiles fragiles et leurs coques modestes, une page de résistance pacifique défiant le temps.
Ces femmes et ces hommes sont l’avant-garde de l’humanité.
Afin de célébrer la Journée internationale de la fille (11 octobre), l’ambassade du Royaume-Uni en Tunisie lance la 3e édition du concours national de rédaction «Ambassadrice d’un jour» (Ambassador For A Day – Afad), destiné pour les filles âgées de 15 à 18 ans.
Chaque lauréate de l’Afad aura l’occasion d’accompagner l’ambassadeur du Royaume-Uni en Tunisie pendant une journée, pour voir de première main comment les filles peuvent devenir des leaders et des défenseurs du changement. Cela promet d’être une occasion inoubliable de renforcer les compétences en diplomatie, confiance et leadership.
Toutes les Tunisiennes résidant en Tunisie, âgées de 15 à 18 ans et pas encore en université, sont encouragées à postuler, et ce avant le vendredi 26 septembre 2025, à minuit (heure de Tunis).
Le thème de la Journée internationale des filles de cette année est «La fille que je suis, le changement que je mène : les filles en première ligne des crises».
Pour participer au concours, les participants doivent soumettre une vidéo ou un court essai en anglais répondant à l’une des questions suivantes :
1. En tant qu’ambassadrice d’un jour, comment soutiendriez-vous les filles qui mènent le changement en temps de crise — que ce soit dans leurs communautés, leurs écoles ou leurs foyers?
2. Prenons l’exemple d’une fille ou d’une femme qui a dirigé pendant une crise et aidé à mener un changement positif. Que pouvons-nous apprendre de son leadership?
À chaque sommet international, les chefs d’État défilent, posent devant des drapeaux et publient des communiqués. Mais derrière ces images, une question essentielle demeure :représentent-ils seulement leurs États ou incarnent-ils aussi la dignité de leurs peuples ? Cette question doit aussi être posée à propos du Sommet arabo-islamique de Doha, organisé lundi 15 septembre 2025.
Khemaïs Gharbi *
Ce sommet s’est tenu soi-disant en réponse à l’attaque israélienne qui a visé les dirigeants du Hamas dans la capitale du Qatar la semaine dernière, tuant cinq membres du mouvement de résistance palestinien et un agent de sécurité qatari. Il s’est aussi tenu à un moment crucial de l’histoire du Moyen-Orient, marqué par l’impuissance de la communauté internationale face au déchaînement guerrier de l’Etat d’Israël contre tous ses voisins. Mais à quoi a-t-il finalement abouti, sinon à la même litanie des dénonciations futiles, inutiles, lassantes et déshonorantes à la fois, car sans lendemain ?
Un pays n’est pas qu’un territoire, une armée ou un PIB. C’est d’abord un peuple, une mémoire, une histoire, une fierté. Ignorer cette dimension réduit la politique internationale à une mécanique d’alliances de circonstances et de contrats, en oubliant ce qui rend une nation vivante et debout : sa dignité.
La plupart des communiqués finaux ressemblent à des listes ennuyeuses — dénonciations, condamnations, vœux pieux. Et la déclaration finale du Sommet de Doha n’a pas dérogé à cette règle. Tout cela compte, mais si la dignité des peuples est absente de l’équation, ces décisions s’évanouissent comme du sable entre les doigts.
Les décisions sans dignité sont sans âme
La dignité n’est pas un luxe moral mais un facteur de stabilité politique, l’oxygène de peuples étouffés par l’injustice ou l’humiliation. Un peuple qui perd confiance se désespère; un peuple respecté accepte plus facilement des sacrifices temporaires.
On parle de «sauver l’honneur» dans les matchs de football, comme si ce n’était qu’un réflexe symbolique. Mais pour les peuples, l’honneur est une réalité politique. Il peut être blessé par une guerre injuste, par des sommets qui ignorent sa fierté, son honneur et sa sensibilité.
Les dirigeants qui se rendent à un sommet portent plus qu’un drapeau : ils portent la mémoire de leurs martyrs, les sacrifices de leurs soldats, les rêves de leurs populations. Cela exige courage et abnégation, car la dignité doit avoir sa place au cœur de la défense des intérêts supérieurs des peuples.
Il est temps que les sommets internationaux inscrivent explicitement la dignité des peuples à leur ordre du jour. Cela ne signifie pas rédiger de belles phrases dans un préambule : cela signifie mesurer les conséquences psychologiques et symboliques des décisions. Une décision respectueuse de la dignité d’un peuple, à un moment crucial de son existence, peut marquer des générations entières.
Vers une diplomatie du respect
Posons donc, après chaque conclave diplomatique, la question simple mais essentielle : ce sommet a-t-il préservé la dignité des peuples concernés ?
La dignité n’est pas un supplément d’âme : c’est le cœur battant de la souveraineté. Vaclav Havel l’avait résumé ainsi : «La vraie politique est celle qui place la dignité de l’homme au centre et non l’intérêt immédiat des partis ou des États.»
C’est à cette hauteur qu’il faut désormais juger nos sommets. Non pas à la taille des buffets ni au nombre de photos, mais à l’aune de ce qu’ils font pour que chaque peuple puisse se tenir debout, fier et respecté.
Le Kia EV3 et le Kia Sportage se sont distingués dans leurs catégories respectives lors des What Car? Electric Car Awards 2025.
Le Kia EV3 a été élu Meilleur SUV électrique compact lors des prix annuels consacrés aux véhicules électriques par le magazine, tandis que le Sportage a remporté le titre de Meilleur SUV familial hybride d’occasion. Ces distinctions s’ajoutent aux succès obtenus plus tôt cette année aux What Car? Awards 2025, où l’EV3 avait été nommé Meilleur SUV électrique compact et le Sportage Meilleur SUV familial
Paul Philpott, président & Ceo de Kia UK Limited, a déclaré : «C’est un immense honneur de recevoir une nouvelle fois une telle reconnaissance pour l’EV3 et le Sportage de la part de What Car?. L’EV3 avait déjà été distingué en janvier, et le Sportage l’a été à de multiples reprises ces dernières années dans différentes catégories. La réputation de What Car?, reconnue comme une publication indépendante, influente et respectée par les acheteurs de voitures, confère encore plus de valeur à ces récompenses.»
Kia EV3 – Meilleur SUV électrique compact
Le Kia EV3 a redéfini le segment des SUV électriques compacts, devenant le véhicule électrique Kia le plus vendu de l’histoire et le modèle 100 % électrique le plus vendu au Royaume-Uni en 2025 (sur le marché de détail). Steve Huntingford, rédacteur en chef du magazine What Car?, a commenté : «L’EV3 est une voiture particulièrement agréable à conduire grâce à un confort de suspension remarquable, tandis que les bruits de vent, de route et de moteur sont parfaitement contenus. On profite également d’une assise plus haute que celle des concurrents, offrant la visibilité recherchée par de nombreux acheteurs de SUV. Même la plus petite des deux batteries disponibles propose une autonomie impressionnante, ce qui fait de l’EV3 un modèle au rapport qualité-prix exceptionnel.»
L’EV3 détient actuellement les titres de Voiture de l’année au Royaume-Uni et de Voiture mondiale de l’année 2025. Kia remporte ces distinctions pour la deuxième année consécutive, après le sacre du Kia EV9 en 2024.
Kia Sportage – Meilleur SUV familial hybride d’occasion
Le Sportage reste le modèle le plus vendu de Kia au Royaume-Uni, en Europe et à l’échelle mondiale. Il est actuellement la deuxième voiture la plus vendue au RoyaumeUni depuis le début de l’année, et le SUV familial préféré des Britanniques. La cinquième génération du Sportage, dévoilée en 2021, a posé les bases du design des futurs modèles Kia, qu’ils soient électriques ou thermiques. Elle a également introduit pour la première fois des motorisations hybrides et hybrides rechargeables dans la gamme Sportage.
Steve Huntingford a ajouté : «Comme tout Sportage, la version hybride rechargeable combine un excellent confort de conduite avec un intérieur intelligent, spacieux et facile à vivre. Elle offre en plus une autonomie électrique de 69 km (WLTP). Le fait qu’un Sportage d’occasion bénéficie encore de la garantie constructeur d’origine renforce aussi son attractivité.»
En 2025, le Sportage a bénéficié d’une importante mise à jour de mi-parcours, avec un nouveau design extérieur et intérieur, ainsi que l’intégration de technologies innovantes issues des derniers modèles électriques de Kia, tels que l’EV3, l’EV6 et l’EV9. Avec une gamme de véhicules 100 % électriques et électrifiés en constante expansion, et une reconnaissance croissante de la part des leaders du secteur, Kia continue d’affirmer sa position d’acteur majeur sur le marché automobile mondial.
Ooredoo Tunisie réaffirme son engagement en faveur des enfants de l’Association Kafel Elyatim à travers une initiative solidaire marquant la rentrée scolaire et reflétant sa volonté d’accompagner les jeunes générations vers un avenir meilleur.Vidéo.
Depuis deux ans, ce partenariat s’est construit autour de moments clés, tels que le Ramadan, l’Aïd, les activités estivales et la rentrée scolaire, offrant un accompagnement durable aux enfants de l’association.
Cette année, Ooredoo a pris en charge la rentrée scolaire de 400 enfants, en leur offrant des cartables complets avec fournitures et manuels, afin de leur permettre d’entamer l’année académique dans les meilleures conditions.
Une cérémonie chaleureuse a eu lieu au siège d’Ooredoo, au cours de laquelle les enfants ont eu l’opportunité de rencontrer le directeur général, Mansoor Rashid Al-Khater, qui leur a adressé un message inspirant : «Chez Ooredoo, nous croyons que chaque enfant mérite de rêver et de réussir. L’éducation est la clé d’un avenir meilleur et c’est un honneur pour nous d’accompagner les enfants de Kafel Elyatim dans leur parcours de réussite.»
La cérémonie a également été l’occasion de célébrer les élèves de l’association ayant obtenu leur baccalauréat. Ooredoo les a honorés afin de les encourager à poursuivre leur parcours universitaire avec ambition et confiance.
Aymen Toukabri, responsable de terrain de l’Association Kafel Elyatim, a souligné : «Notre partenariat avec Ooredoo est une véritable source d’espoir pour nos enfants. Au-delà du soutien matériel, c’est l’encouragement et la reconnaissance qui leur donnent confiance et les poussent à avancer.»
À l’aube de cette nouvelle année scolaire, Ooredoo adresse ses meilleurs vœux de réussite et d’épanouissement à tous les enfants de Tunisie, et particulièrement à ceux de l’Association Kafel Elyatim.