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La première édition du Festival de la Rentrée Scolaire se tient à l’Espace El Kahina du 10 au 13 septembre 2025.

Organisé par les entités Enda Inter-Arabe, Enda Tamweel et Enda Tao, l’événement propose notamment des ateliers pour enfants, des sessions de sensibilisation pour les parents et des solutions de financement innovantes.

Il concrétise une collaboration de longue date avec le ministère de l’Éducation, structurée autour de trois piliers : matériel, académique et sociétal. Bien plus qu’un simple marché, ce festival se veut un levier pour accompagner les familles et valoriser l’éducation, en soutien aux efforts de l’État.

Sur place, les enfants pourront participer à une multitude d’activités ludiques et éducatives, telles qu’un club de musique, des ateliers de bricolage et de peinture, sans oublier les animations assurées par des clowns et des magiciens.

Les parents ne sont pas en reste, avec un programme de sensibilisation dédié à l’éducation positive, visant à améliorer la relation familiale et le cadre d’apprentissage.

Au cœur des préoccupations du festival se trouve le coût de la rentrée. Pour le faciliter, Enda Tamweel présentera son produit de microcrédit « Taalim », spécifiquement conçu pour financer les études et l’achat des fournitures scolaires. Un stand dédié informera le public sur les démarches à suivre pour en bénéficier.

Parallèlement, Enda Tao offrira la possibilité d’acheter des fournitures via son application mobile, également présente sur le festival. L’objectif est double : permettre aux familles de bénéficier de réductions significatives grâce au paiement par wallet et promouvoir massivement les pratiques de paiement dématérialisé.

Ambitions du festival

Lors d’une conférence de presse au siège d’Enda, Imen Hamza, directrice de programme à Enda Inter-Arabe, a exposé l’ambition de cet événement. « Ce festival s’inscrit dans le cadre de l’appui aux efforts de l’État, un appui qui se manifeste par une panoplie d’activités. Chaque institution y contribue conformément à son champ d’action », a-t-elle déclaré, citant l’expertise sociale d’Enda Inter-Arabe, le financement par Enda Tamweel et la solution technologique d’Enda Tao.

Cette collaboration, formalisée avec le ministère de l’Éducation depuis 2019, poursuit plusieurs objectifs, notamment la réduction de l’abandon scolaire, l’amélioration du confort pédagogique et la volonté de rendre l’école attractive. Les interventions du groupe s’articulent autour de trois dimensions clés. La dimension matérielle, portée par Enda Tamweel, consiste en un vaste programme d’aménagement des infrastructures scolaires.

Depuis 2022, plus de 110 écoles ont été rénovées pour un investissement dépassant les 10 millions de dinars. La dimension académique est pilotée par Enda Inter-Arabe, en collaboration avec le ministère. Elle comprend le soutien aux clubs Aflatoun pour l’éducation sociale et financière des enfants, l’animation de la vie scolaire et la mise en œuvre de l’éducation financière.

L’ambition, selon Mme Hamza, est de « faire émerger une génération qui prend l’initiative, et qui entreprend de manière consciente et réfléchie ».

Dimension sociétale

Enfin, la dimension sociétale vise à créer une dynamique collective autour de l’école. Enda Inter-Arabe œuvre pour que l’éducation ne soit plus perçue comme l’affaire exclusive de l’institution scolaire, mais comme une responsabilité partagée avec l’ensemble de la société civile, le secteur privé et les ONG.

Ce festival inaugural est donc la vitrine grand public d’un engagement bien plus profond, qui cherche à réenchanter l’école par l’investissement, la pédagogie et la mobilisation de tous.

Présent sur place, le fournisseur de fournitures scolaires Tarek Riahi s’est félicité de sa participation à cet événement, d’autant qu’il s’agit de sa première édition. Il a affirmé la disponibilité de l’offre et salué l’ambiance conviviale qui y régnait.

Un autre témoignage, aussi important qu’émouvant, est celui de Najet. Il ne laisse personne indifférent. Mère de famille et porteuse d’un projet de transformation et de valorisation de produits agricoles, Najet affirme être devenue active et s’intéresser aux activités d’Enda Inter-Arabe depuis juin 2025, grâce à sa participation au programme « Je change ». Selon elle, les conseils et orientations reçus ont eu un impact positif sur sa vie familiale, pour elle comme pour ses enfants. « Nous avons trouvé un refuge à Enda », a-t-elle confié. Avant d’ajouter que ses enfants ne manquent jamais de s’impliquer dans les clubs d’Enda Inter-Arabe.

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En outre, les données de la BCT font état de l’accroissement des recettes touristiques cumulées de 8 %. Lesquelles passent de 5 milliards de dinars, durant les huit premiers mois de 2024, à 5,4 milliards de dinars, à fin août 2025. Idem pour les revenus du travail qui ont progressé de 8,2 %, à 5,7 milliards de dinars, à la même date.

En ce qui concerne les services de la dette extérieure, ils ont enregistré une forte baisse de 6,3 %, pour se situer à 9,5 milliards de dinars, à fin août 2025; contre 10,1 milliards de dinars une année auparavant.

Par ailleurs, les statistiques de la BCT ont révélé une hausse des billets et monnaies en circulation, de 15,4 %, à la date du 9 septembre courant; et ce, pour atteindre 26 milliards de dinars. De même pour le total des transactions interbancaires, qui ont connu une progression de 29%, à 3,5 milliards de dinars.

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Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a annoncé qu’un accord a été trouvé avec son homologue iranien, Abbas Araghchi, en visite en Tunisie,  pour relancer les mécanismes de coopération bilatérale et préparer la prochaine session de la commission mixte tuniso-iranienne.

Lors d’une conférence de presse commune tenue à Tunis, Nafti a réaffirmé la solidarité de la Tunisie avec l’Iran face aux menaces pesant sur lui ou sur la région arabo-islamique.

La réunion entre les deux délégations a permis d’examiner les différentes pistes de coopération existantes, notamment dans les domaines économique, commercial, médical et scientifique.

Il a également évoqué la rencontre entre Abbas Araghchi et le président Kaïs Saïed, qui a mis en lumière l’excellence des relations tuniso-iraniennes, l’importance de les renforcer davantage, ainsi que les développements régionaux récents et le dialogue entre l’Iran et l’Agence internationale de l’énergie atomique.

À ce propos, Nafti a salué la reprise de la coopération entre Téhéran et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), estimant qu’elle pourrait contribuer à apaiser les tensions régionales et encourager le recours au dialogue et à la diplomatie.

De son côté, Abbas Araghchi a rappelé la solidité des relations entre la Tunisie et l’Iran, qu’il a qualifiées de fraternelles et en constante évolution. Il a estimé que cette visite a été une opportunité pour intensifier les échanges et approfondir la coopération bilatérale. Il a exprimé l’espoir de voir ces consultations se poursuivre, en particulier dans les domaines du commerce, du tourisme, de la santé, de la recherche scientifique et de la culture.

Le ministre iranien a également annoncé la tenue prochaine de la commission économique mixte, tout en invitant Mohamed Ali Nafti à se rendre à Téhéran dans un avenir proche.

S’agissant des dossiers régionaux, Araghchi a souligné la convergence des positions de la Tunisie et de l’Iran sur plusieurs questions, en particulier la situation à Gaza. Il a dénoncé le génocide en cours et les agressions israéliennes contre les pays de la région, appelant à l’unité des pays islamiques pour mettre un terme à ces crimes.

Il a aussi condamné l’attaque israélienne menée la veille contre le Qatar, soulignant que cet acte prouve qu’aucun pays de la région n’est à l’abri des menaces de l’occupant israélien.

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Aujourd’hui, Istanbul figure en tête des destinations touristiques les plus prisées, non seulement pour son patrimoine riche et inspirant, mais aussi pour sa scène culturelle dynamique, ses expériences urbaines uniques, sa cuisine délicieuse, sa vie nocturne animée et ses nombreuses possibilités de shopping.

Grâce à sa situation géographique exceptionnelle, à la croisée de l’Orient et de l’Occident, la métropole est également l’un des principaux hubs de transit au monde. Selon les données de 2024, le nombre total de passagers en transit utilisant les deux aéroports internationaux d’Istanbul, l’aéroport d’Istanbul et l’aéroport Sabiha Gökçen, s’élevait à environ 40,5millions. Si vous prévoyez de faire partie des passagers en transit à Istanbul et que vous disposez d’un peu de temps libre entre deux vols, voici comment profiter du meilleur de la ville en seulement 48 heures.

Jour 1 : une expérience au cœur des merveilles historiques

Matinée : un voyage au cœur de l’histoire

Commencez votre journée à la manière turque, avec un copieux petit-déjeuner turc pour faire le plein d’énergie avant de partir à l’aventure, puis rendez-vous tôt le matin dans la péninsule historique, le cœur patrimonial de la ville. L’hippodrome, aujourd’hui connu sous le nom de place Sultanahmet, est le lieu idéal pour un voyage unique à travers le passé riche en histoire de la ville.

Commencez votre visite par la merveille architectural qu’est Sainte-Sophie, puis marches jusqu’à l’emblématique Mosquée bleue, réputée pour ses carreaux bleus d’Iznik à couper le souffle et son ambiance sereine. À quelques pas de là, vous pouvez également descendre dans la mystérieuse Citerne Basilique, où les échos du passé résonnent sous vos pieds. Les célèbres boulettes de viande grilles Sultanahmet köftesi sont la meilleure façon d’apaiser votre faim après une matinée remplie de merveilles historiques.

Après-midi : palais et empires

Rendez-vous au palais de Topkapı, qui fut autrefois le centre administratif de l’Empire ottoman. Ne manquez pas la salle des reliques sacrées, les cuisines impériales et le harem, où les sultans vivaient avec leurs familles dans une opulence privée. Vous pouvez également opter pour les musées archéologiques d’Istanbul, le premier complexe muséal de Türkiye. Ils abritent des objets étonnants, tells que le traité de Kadesh, le sarcophagi d’Alexandre et la porte d’Ishtar.

En été, vous pouvez reporter votre visite au muse jusqu’en soirée, car les musées archéologiques sont ouverts jusqu’à 22 heures dans le cadre du projet « Musées de nuit ».

Soirée : marchés, saveurs et couchers de soleil

Un voyage à Istanbul ne serait pas complet sans se perdre dans la magie des bazars légendaires de la ville. Avec plus de 4 000 boutiques, le Grand Bazar est un labyrinthe de trésors artisanaux, de textiles et de souvenirs intemporels. Si vous n’êtes pas fatigué, descendez jusqu’au bazar aux épices, où les épices colorées, les délices turcs et les fruits secs apporteront une touché parfumée à votre virée shopping.

Au coucher du soleil, choisissez l’une des fantastiques terrasses ou toits-terrasses de la ville et trinquez à l’esprit vibrant de la ville.

Deuxième jour : Là où le Bosphore rencontre des quartiers animés

Matin : vues fantastiques et port chic

Un simit croustillant et un thé turc à Karaköy seront un bon début pour votre deuxième journée dans la ville. Ensuite, traversez à pied jusqu’à Galata port, le complexe dynamique en bord de mer de la ville. Ce complexe en plein air est plus qu’un simple terminal de croisière ; c’est un centre culturel moderne, avec des galeries, des restaurants, des cafés et des boutiques. Commencez votre matinée en vous promenant le long du Bosphore sur la promenade et en dégustant un café dans l’un des cafés élégants. Ensuite, explorez la tour de l’horloge de Tophane et visitez le musée d’art modern d’Istanbul primé, ainsi que le prestigieux musée de peinture et de sculpture situé dans le quartier.

Après-midi : lieux empreints d’histoire, visites du Bosphore

Ensuite, empruntez le tunnel historique, premier réseau ferroviaire souterrain de Türkiye et deuxième plus ancien au monde, qui relie Karaköy à la rue İstiklal. Vous pouvez monter au sommet de la tour de Galata pour profiter d’une vue panoramique à couper le souffle. La tour reste ouverte jusqu’à 23 h en été; alors, si vous souhaitez admirer la ville de nuit, prévoyez votre visite en fin de journée. Promenez-vous ensuite dans la rue animée d’İstiklal, où le tramway rouge emblématique circule au milieu de passages historiques, de boutiques, de galeries d’art, de musées et de restaurants. Vous pourrez déguster de délicieux plats turcs faits maison dans une lokanta (restaurant local) ou goûter les célèbres spécialités de rue d’Istanbul, tels que les moules, les sandwichs au poisson (balıkekmek) et le jus de cornichons, dans le marché aux poisons animé de Beyoğlu.

Rendez-vous ensuite à Beşiktaş, où vous pourrez embarquer pour une petite excursion sur le Bosphore. Il n’y a pas de meilleur moyen pour appréhender la grandeur de la ville que depuis l’eau, en passant devant les demeures ottomanes et divers monuments. 

Soirée : dîner avec vue sur la ville

À la fin de la journée, offrez-vous un diner raffiné dans l’un des restaurants étoilés Michelin de la ville. Les options culinaires sont aussi varies que la ville elle-même, allant d’interprétations innovantes de la cuisine anatolienne et de plats de saison mettant en valeur les ingrédients locaux à une cuisine international exceptionnelle et des menus végétariens durables. Et alors que la nuit tombe sur cette ville intemporelle, commencez à planifier votre prochaine grande aventure à Istanbul.

Avec communiqué

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Des guichets uniques dans des districts de la sûreté nationale

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L’INM prévoit pour ce 10 septembre l’apparition de nuages parfois denses notamment sur le nord et le centre du pays, accompagnés de pluies localement orageuses et parfois abondantes. Ailleurs, des passages nuageux seront observés.

Les vents souffleront de secteur nord sur les régions du nord et du secteur sud ailleurs, faibles à modérés, puis se renforceront en fin de journée près des côtes orientales et au Sud, en s’orientant vers le nord.

Quant aux températures, elles seront en baisse au nord et sur les hauteurs, avec des maximales comprises entre 28 et 33 °C. Mais elles pourront atteindre les 40 °C dans le reste des régions.

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En partenariat avec Cities Alliance, la ville de Kairouan ouvre un nouvel espace public conçu pour la détente, la convivialité et la durabilité, dénommé “Jardin Municipal“.

Un communiqué qui nous est parvenu indique que ce jardin, transformé en véritable îlot de verdure, offre un environnement accessible à toutes et à tous. Il intègre des solutions innovantes de gestion de l’eau, telles que la récupération et l’irrigation par les eaux pluviales. Et ce n’est pas tout, car il valorise également une double participation active des femmes et des jeunes dans sa conception et son aménagement, faisant de cet espace “un modèle de gouvernance inclusive”.

On nous informe que cette réalisation s’inscrit dans le cadre du projet régional “Femmes et Villes Durables : améliorer l’accès à l’eau et la gestion des ressources”, qui a bénéficié d’un financement du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères de France. Objectif du programme : promouvoir une gestion urbaine inclusive et durable des ressources hydriques; tout en renforçant l’autonomisation des femmes et l’engagement des communautés locales.

Dans ce cadre, le jardin offre à la fois un lieu de rencontre et de loisirs pour les habitants; ainsi qu’un exemple de gestion responsable des ressources et un urbanisme durable. “Les visiteurs pourront découvrir des zones de détente, des espaces éducatifs et des aménagements favorisant la biodiversité et la résilience de la ville face aux changements climatiques”.

À l’occasion de la cérémonie d’ouverture, les participants découvriront les nouveaux aménagements et célébreront le rôle central de la communauté dans la création de ce lieu. Il est prévu l’activation du jardin. C’est un programme développé en partenariat avec les parties prenantes qui favorise un usage régulier et collectif de l’espace. Et ce, en favorisant la participation citoyenne et la co-animation du jardin par la communauté.

Selon M. Hammadi, secrétaire général de la Municipalité de Kairouan, « le Jardin Municipal illustre l’engagement de notre ville pour des espaces publics qui conjuguent durabilité, inclusion et qualité de vie. C’est un projet qui place les habitants, en particulier les femmes et les jeunes, au cœur de la transformation urbaine ».

Ainsi, le Jardin Municipal de Kairouan devient un symbole fort de l’engagement de la ville pour des espaces publics durables, inclusifs et au service de toutes et de tous.

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