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Crowdfunding immobilier : la rentabilité est au bout

Le terme Real Estate CrowdFunding décrit le processus par lequel un groupe d’investisseurs, entreprises ou particuliers, lève des fonds et les investit dans des projets immobiliers dans le but d’entrer sur le marché immobilier hautement rentable.

Comme l’a rapporté mardi 9 septembre le cabinet de conseil NEPA Economic Consulting, qui opère également dans ce secteur de services spécifique, ce type de plan d’investissement est apparu comme une approche moderne et innovante pour optimiser les actifs financiers. Car il peut être un excellent moyen de diversifier un portefeuille, permettant à l’investisseur potentiel d’accéder à des investissements immobiliers qui seraient autrement inaccessibles.

Ce modèle s’adresse à ceux qui recherchent un rendement financier stable, qui peut couvrir une large gamme de propriétés, des espaces résidentiels tels que des maisons et des appartements, aux propriétés commerciales, y compris des centres commerciaux, des hôtels et des bureaux.

Selon Polaris Market Research, le marché mondial du crowdfunding immobilier est en plein essor, les modèles montrant un doublement du capital qui devrait être investi d’ici 2032. A souligner que de 2019 à 2022, les niveaux étaient particulièrement bas et presque nuls. Mais en 2023, le marché a atteint environ 19,5 milliards de dollars. Tandis que dans la période 2024 à 2026, une augmentation progressive est observée.

De 2027 à 2029, la croissance s’accélèrera. En 2030, une forte hausse apparaîtra avec une nette différenciation selon les régions. Tandis qu’en 2031 une augmentation significative pourrait ainsi intervenir avec la participation dominante de l’Amérique du Nord et de l’Europe. Et en 2032, le marché atteindra son point culminant, avec de fortes contributions de l’Amérique du Nord, de l’Europe et de la région Asie-Pacifique.

Pour les investisseurs, comme indiqué précédemment, le financement participatif immobilier peut constituer une forme alternative de placement de capitaux, avec une participation initiale relativement faible. Le processus s’effectue généralement via des plateformes en ligne spécialisées, où les projets, les conditions de participation et les rendements attendus sont présentés en détail, permettant à chacun de choisir le niveau de risque adapté à son profil.

Parallèlement, cet outil contribue au développement du marché immobilier en général. Car il fournit liquidités et capitaux à des projets qui ne pourraient être réalisés avec un financement bancaire traditionnel. Ainsi, un écosystème est créé, bénéficiant à la fois aux investisseurs en quête de rendement et aux promoteurs souhaitant accéder à des sources de capitaux alternatives.

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Turquie : réduction des prévisions de croissance pour 2026

La Turquie a revu à la baisse ses prévisions de croissance de son PIB, soulignant que le gouvernement privilégie la stabilité des prix à une croissance rapide.

Le nouveau programme à moyen terme présenté dimanche 7 septembre prévoit une croissance de l’économie de 3,3 % cette année et de 3,8 % l’année prochaine. Et ce, contre des prévisions de 4 % et 4,5 % respectivement l’année dernière, en Turquie.

L’estimation pour l’année prochaine est supérieure à celle médiane de 3,5 % d’une enquête Bloomberg auprès d’économistes. Mais elle reste bien inférieure au taux moyen d’environ 5 % enregistré au cours des deux dernières décennies. Pour beaucoup, c’est le signe que les décideurs politiques accordent la priorité à la réduction de l’inflation, qui est plus de six fois supérieure à l’objectif officiel de 5 %.

Cette approche prudente nécessitera probablement un assouplissement progressif des conditions monétaires de la part de la Banque centrale du pays. Laquelle a commencé à baisser ses taux d’intérêt en juillet dernier.

Par ailleurs, enrayer l’inflation sans plonger une économie de 1 400 milliards de dollars dans la récession s’est avéré une tâche difficile pour la Turquie. Les entreprises se plaignent que la hausse des coûts d’emprunt a pesé sur leurs bénéfices.

L’inflation devrait atteindre 28,5 % et 16 % en 2026. Soit une forte révision par rapport aux estimations de l’année dernière, qui s’élevaient respectivement à 17,5 % et 9,7 %. Les prévisions d’août de la Banque centrale de la Turquie estimaient l’inflation à fin 2025 entre 25 % et 29 %.

Le gouvernement a également revu à la hausse son déficit budgétaire, le prévoyant à 3,6 % du PIB. Le ministre du Trésor et des Finances, Mehmet Şimşek, a instauré de nouvelles taxes sur les ménages et les entreprises pour couvrir cette hausse des dépenses, en partie due à la vaste campagne de reconstruction en cours dans le sud-est du pays, après deux tremblements de terre dévastateurs qui ont frappé la région en 2023.

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Le Pentagone abandonne son ambition de contenir la Chine

La politique de Trump serait un déni agressif des règles existantes sur tous les fronts ou peut-être d’un « grand repli » dissimulé, avec un ajustement des engagements politico-militaires des États-Unis au déclin de leur poids dans l’économie mondiale ? Probablement la deuxième hypothèse. Etant donné que les stratèges du Pentagone commencent à l’admettre.

Selon un rapport de Politico, publié lundi 8 septembre, qui cite trois sources ayant connaissance du texte, le projet de la dernière version de la Stratégie de défense nationale, qui est généralement révisée au début de chaque mandat gouvernemental et a déjà été transmis au bureau du secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, il y a quelques jours, donne la priorité à la sauvegarde de la sécurité intérieure et régionale (c’est-à-dire l’hégémonie sur l’hémisphère occidental) comme une priorité plus importante que la confrontation avec des adversaires internationaux, tels que Pékin et Moscou.

Si cela était officialisé, cela constituerait un changement majeur par rapport aux politiques des récents gouvernements américains, qu’ils soient démocrates ou républicains, y compris celles des quatre premières années de Trump.

Il suffit de rappeler que la Stratégie de sécurité nationale de 2018 place la maîtrise de la Chine au premier rang des défis auxquels Washington est confronté.

La rhétorique de Trump à l’égard des puissances eurasiennes reste acerbe. Comme le prouvent du reste ses récents propos (mi-blagueur, mi-sérieux ?) concernant le sommet de Tianjin et la manière dont la Russie, la Chine et la Corée du Nord « conspirent » pour « saper » les États-Unis.

Mais au fond, un nouveau « réalisme » semble gagner du terrain. Et si le projet de stratégie de sécurité nationale 2025 est susceptible d’être modifié par Hegseth, les actions de l’administration Trump sont aussi éloquentes que les textes.

Le déploiement de forces fédérales pour maintenir l’ordre dans la capitale, Washington (avec la perspective d’étendre le modèle de militarisation du maintien de l’ordre à d’autres villes), ainsi que le déploiement de forces navales dans les Caraïbes, invoquant la nécessité de lutter contre le trafic de drogue en provenance du Venezuela, semblent déjà figurer dans les pages du projet. Il en va de même pour la réduction de l’aide militaire américaine, de plusieurs centaines de millions de dollars, accordée aux pays d’Europe de l’Est dans le cadre de l’Initiative de sécurité balte.

Le « Département de la Guerre » lui-même, comme Trump, enclin à la lionisation, veut le renommer, donne donc le signal de limiter son rayon d’action.

Le « cerveau » de ce changement est largement considéré comme le sous-secrétaire à la Défense chargé de la politique, Elbridge Colby, un « faucon » de longue date sur les questions chinoises et l’un des pionniers de la rédaction de la doctrine de 2018. Paradoxalement, il semble désormais aligné sur le vice-président JD. Vance dans la volonté de libérer les États-Unis de fardeaux extérieurs inutiles.

L’équipe de Colby devrait également publier prochainement deux autres documents importants, qui concernent le déploiement des troupes dans le monde (Global Posture Review), dont les 80 000 soldats américains stationnés en Europe, ainsi que l’armement.

Toutefois, le fait que les États-Unis, sous la direction de Trump, cherchent désormais à transférer davantage de fardeaux à leurs alliés ne signifie pas nécessairement un renversement de l’ambition générale d’affaiblir la Chine et la Russie. L’accent mis sur la « doctrine Monroe » n’annonce pas non plus des temps plus paisibles– du moins en ce qui concerne l’Amérique latine, comme le Venezuela le sait déjà. Mais le renversement auquel Colby travaillerait suggère que les personnes bien informées ont déjà fait leurs calculs, concluant que la fenêtre de temps pour l’« endiguement » est close et qu’un équilibre instable se dessine entre des puissances presque égales, chacune disposant de sa propre sphère d’influence.

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Maroc – Forte baisse du déficit de liquidité des banques

Le déficit moyen de liquidité bancaire au Maroc diminue de 7,48 % à 130,9 milliards de dirhams entre le 28 août et le 3 septembre 2025. C’est ce que révèlent les données de BMCE Capital Global Research, du 8 courant.

Le centre a expliqué, dans sa note « Fixed Income Weekly », que ce déficit intervient à un moment où le financement de liquidité à sept jours de Bank Al-Maghrib (la Banque centrale) augmente de 1,77 milliard de dirhams pour atteindre 59,05 milliards de dirhams.

En revanche, les placements du Trésor enregistrent une baisse. Avec un maximum journalier enregistré en moyenne de 13,4 milliards de dirhams; contre 19,95 milliards de dirhams durant la période précédente, selon le site marocain Hespress. Le cours moyen pondéré se stabilise à 2,25 %. Tandis que l’indice MONIA recule à 2,21 %.

A cet égard, notons que la moyenne de l’indice marocain représente l’indice monétaire de référence quotidien calculé sur la base des opérations de pension livrées avec des bons du Trésor en garantie.

Au final, BMCE Capital Global Research s’attend à ce que Bank Al-Maghrib réduise ses interventions sur le marché monétaire, fixant le montant des prêts de fourniture de liquidités à sept jours à 56,15 milliards de dirhams.

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Allemagne : baisse inattendue des exportations et augmentation de la production 

Les exportations en Allemagne ont chuté de manière inattendue en juillet. Tandis que la production industrielle a augmenté. C’est ce qu’indiquent les données publiées lundi 8 septembre par l’Office fédéral de la statistique (OFS). Elles ont diminué de 0,6 % en juillet par rapport à juin, dépassant ainsi les prévisions d’un sondage Reuters qui tablait sur une hausse de 0,1 %.

Quant aux importations allemandes, elles ont baissé de 0,1 % par rapport à juin.

Cependant, la balance commerciale extérieure a affiché un excédent de 14,7 milliards d’euros (17,23 milliards de dollars) en juillet; contre 15,4 milliards d’euros en juin et 17,7 milliards d’euros en juillet 2024.

En revanche, la production industrielle en Allemagne a augmenté de 1,3 % en juillet par rapport au mois précédent. Alors que les analystes prévoyaient une hausse de 1,0 %.

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La Chine intensifie ses achats du GNL russe, quitte à fâcher Trump

La Chine semble mettre en place un système pour importer régulièrement des cargaisons de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance de Russie qui a été sanctionné par les États-Unis. Cette mesure mettra à l’épreuve la volonté de l’administration Trump de punir Pékin pour ses efforts visant à freiner les revenus énergétiques de Moscou.

Après avoir réalisé sa première exportation dans le cadre du projet russe « Arctic LNG 2 » fin août, la Chine s’apprête à acheter davantage de GNL russe, inscrit sur la liste noire. Et elle a désigné le terminal de Beihai, dans le sud de la Chine, pour réceptionner les cargaisons, rapporte lundi 8 septembre Bloomberg. En choisissant un port unique avec une exposition internationale limitée, Pékin devrait pouvoir protéger son secteur gazier de toutes représailles.

Les achats sont également effectués par l’intermédiaire d’une société peu connue afin de dissimuler l’utilisateur final réel. C’est ce qu’indiquent des sources qui ont demandé l’anonymat.

Parallèlement, les importateurs chinois, dont l’entreprise publique Cnooc, détournent leurs livraisons habituelles de Beihai pour éviter d’être bloqués dans les échanges commerciaux et d’entrer en conflit avec les États-Unis, premier exportateur mondial de GNL. Plusieurs négociants étrangers évitent le port pour la même raison, ont-ils ajouté.

La première cargaison chinoise d’Arctic LNG 2 est arrivée avant la rencontre de Vladimir Poutine avec son homologue chinois. Ce qui a été largement perçu comme un geste symbolique. En continuant d’accepter ces livraisons, Pékin envoie un message plus fort et menace également de se joindre aux efforts de Washington pour faire pression sur Moscou au sujet de la guerre en Ukraine.

Alors que l’administration Trump a pointé du doigt l’Inde pour son commerce pétrolier avec Moscou, Pékin a jusqu’à présent échappé à des critiques similaires ou à des sanctions économiques.

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L’OPEP+ augmentera sa production quotidienne de 137 000 barils en octobre

Huit pays membres de l’OPEP+, réunis dimanche 7 septembre, ont convenu d’augmenter leur production quotidienne de pétrole en octobre de 137 000 barils. C’est ce qu’annonce l’organisation dans un communiqué

Le marché pétrolier est en équilibre et la mise en œuvre de l’accord s’effectuera à un très haut niveau. Ainsi déclare le vice-Premier ministre russe, Alexandre Novak, s’exprimant à la télévision d’État après la conférence de l’OPEP+.

D’ailleurs, les marchés parient que les prix du pétrole Brent tomberont même en dessous des 60 dollars le baril d’ici décembre. Et ce, en raison de l’offre excédentaire qui résultera de l’augmentation de la production des membres de l’OPEP+, rapporte Bloomberg.

A cet égard, notons que le prix du brut Brent s’établissait à 65,50 dollars le baril vendredi 5 septembre, en baisse de 2,22 %. Tandis que le brut américain West Texas Intermediate clôturait à 61,87 dollars, en baisse de 2,54 %.

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Kevin Hassett – Conseiller économique de Trump : la FED devrait être totalement indépendante

L’un des principaux conseillers du président Donald Trump, dont le nom figure également sur la liste des candidats à la présidence de la Réserve fédérale (Fed), a déclaré dimanche 7 septembre que cette institution devrait être « complètement indépendante des influences politiques », y compris de Trump lui-même.

« Je dirais que la politique monétaire de la Réserve fédérale devrait être totalement indépendante des influences politiques, y compris du président Trump ». C’est ce qu’a expliqué le directeur du Conseil économique national, Kevin Hassett, dans l’émission « Face the Nation » de CBS.

« Le fait est que nous avons observé ce qui s’est passé dans les pays qui ont permis à leurs dirigeants de prendre le contrôle des Banques centrales. Et ce qui se passe généralement, c’est que cela crée une recette pour l’inflation et la détresse des consommateurs », a-t-il ajouté.

Cependant, M.  Hassett s’est demandé si « la direction actuelle de la Fed est aussi indépendante que nous le souhaiterions […] Je pense que c’est une question qui fait l’objet d’un débat aujourd’hui ».

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480 M$ d’équipements électriques algériens pour électrifier l’Afrique de l’Ouest

L’Algérie a signé, le 7 septembre, un accord pour approvisionner les marchés ouest-africains en équipements électriques d’une valeur de 480 millions de dollars. C’était en marge de la Foire commerciale intra-africaine (IATF) qui se tient à Alger du 4 au 10 septembre 2025.

L’accord a été signé entre le groupe industriel algérien GESP Electric, spécialisé dans la fabrication d’équipements électriques, et le groupe Sogolex, spécialisé dans la distribution de tels équipements au Sénégal et en Côte d’Ivoire.

En vertu de cet accord, GESP Electric exportera pour plus de 300 millions de dollars d’équipements électriques vers Sogolex au Sénégal et en Côte d’Ivoire, et de là vers les marchés de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), sur une période de trois ans, selon l’Agence de presse algérienne (APS).

En outre, l’accord prévoit également la réalisation d’investissements industriels d’une valeur de 180 millions de dollars au Sénégal et en Côte d’Ivoire dans les industries électriques.

Le directeur général de GESP Electric, Kobibe Djilani, a indiqué que les matières premières et les technologies seront algériennes. Tandis que Sogolex se chargera des opérations de transport et de distribution.

Le représentant de Sogolex au Sénégal, Tammy Ibrahim, a déclaré que cette coopération représente une opportunité pour augmenter les ventes d’équipements électriques algériens à travers le continent. Et ee, d’autant plus que l’Afrique connaît une demande croissante dans ce domaine, rendant nécessaire l’implantation de davantage d’usines sur place.

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La RD Congo déclare une nouvelle épidémie d’Ebola

Une quinzaine de personnes ont été tuées par la souche « Zaïre » du virus Ebola en RD Congo, selon les autorités sanitaires. 

Au moins 15 personnes, dont quatre agents de santé, sont mortes dans une nouvelle épidémie du virus mortel Ebola en République démocratique du Congo (RD Congo), ont annoncé le 4 septembre 2025 les autorités de ce pays d’Afrique centrale.

Jusqu’à présent, 28 cas suspects ont été signalés dans la province du Kasaï, et des tests de laboratoire ont confirmé la souche zaïroise de la maladie, a indiqué le ministère congolais de la Santé dans un communiqué.

« Le taux de létalité est estimé à 57 %, bien que les investigations et les analyses de laboratoire continuent d’affiner la situation », indique le ministère, ajoutant que les derniers cas marquent la 16ème épidémie enregistrée en RD Congo.

Le gouvernement assure avoir déployé des équipes d’intervention rapide, soutenues par des experts de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), pour renforcer la surveillance épidémiologique et mettre en place des installations de triage et d’isolement.

Ebola, une fièvre hémorragique hautement contagieuse, se transmet par contact direct avec des fluides corporels ou des tissus infectés. Les symptômes comprennent souvent une forte fièvre, de la fatigue, des maux de tête, des maux de gorge, des vomissements, de la diarrhée, des éruptions cutanées et des hémorragies internes ou externes.

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Trump agite la carte des droits de douane pour forcer la main au Japon

Les exportations japonaises pourraient être confrontées à des droits de douane plus élevés si le pays ne parvenait pas à financer les choix d’investissement de Donald Trump, selon un document décrivant une initiative de financement de 550 milliards de dollars convenue par les deux pays.

Trump sélectionnera les projets sur la base des recommandations d’un comité d’investissement dirigé par le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick, selon le protocole d’accord pour le mécanisme signé par Lutnick et son homologue japonais, Ryosei Akazawa, à Washington jeudi 4 septembre.

Lutnick a déclaré que les tarifs sur les produits japonais « augmenteraient à nouveau » si le pays ne respectait pas les termes de l’accord – qui fait partie d’un pacte commercial plus large conclu par les deux pays en juillet.

« Disons qu’à mi-chemin, après avoir investi 250 milliards de dollars, ils s’arrêtent et disent : « Je ne veux plus vous envoyer d’argent ». Les tarifs douaniers, vous savez, remontent aussitôt », a noté Lutnick dans l’émission Surveillance de Bloomberg Television.

Le comité d’investissement intégrera la contribution du Japon par le biais d’un comité distinct, tandis que les investissements seront effectués jusqu’au 19 janvier 2029, selon le mémorandum, une période qui coïncide avec la fin du mandat de Trump.

« L’idée est de créer des chaînes d’approvisionnement au sein des États-Unis », a indiqué Akazawa à Washington dans la soirée de jeudi 4 septembre. « Il est donc naturel que les intentions américaines, et plus particulièrement celles du président Trump, soient fortement reflétées », a-t-il souligné.

Le fonds d’investissement fait partie d’un accord commercial conclu avec les États-Unis qui plafonne à 15% les droits de douane globaux sur les produits japonais et les droits de douane sectoriels sur les automobiles. L’administration Trump a inclus des modalités de financement similaires dans d’autres accords commerciaux, notamment celui des États-Unis avec la Corée du Sud.

Bien que l’accord américano-japonais ait été conclu le 22 juillet, les droits de douane sur les automobiles sont restés à 27,5%, les droits existants s’ajoutant aux nouveaux droits imposés cette année. Trump a signé jeudi un décret visant à réduire les droits de douane à 15% et à mettre un terme à leur accumulation, une mesure qui offre une victoire limitée au Premier ministre japonais, Shigeru Ishiba, en difficulté, alors qu’il lutte pour conserver le pouvoir à Tokyo, face aux appels à sa démission.

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Amende contre Google : Trump menace l’UE de taxes douanières punitives 

Le président américain Donald Trump a critiqué la décision de la Commission européenne d’infliger une amende à Google et a menacé de répondre par des sanctions commerciales.

« L’Europe a attaqué aujourd’hui une autre grande entreprise américaine, Google », a-t-il écrit dans un message publié vendredi 5 septembre sur la plateforme Truth Social.

« Nous ne pouvons pas permettre que cela arrive à l’ingéniosité américaine brillante et sans précédent, et si cela se produit, je serai obligé d’engager une procédure en vertu de l’article 301 pour annuler les pénalités injustes imposées à ces sociétés américaines qui paient des impôts », a-t-il ajouté.

La Commission a annoncé avoir infligé une amende de 2,95 milliards de dollars à Google pour abus de position dominante dans le secteur de la publicité en ligne.

 

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Tsahal appelle les habitants de la ville de Gaza à partir

L’armée israélienne a appelé les habitants de la ville de Gaza à se déplacer vers une « zone humanitaire » déclarée par Israël, située plus au sud de la bande de Gaza, alors qu’elle prévoit d’étendre ses opérations militaires dans l’enclave palestinienne.

« Désormais, et dans le but de faciliter le départ des habitants de la ville, nous déclarons la zone (côtière) d’Al-Mawasi (dans la partie sud de la bande de Gaza) zone humanitaire », peut-on lire dans un message en arabe adressé « aux habitants de la ville de Gaza et à tous ceux qui y sont présents », publié sur les réseaux sociaux par Avichai Andrai, porte-parole de Tsahal pour le public arabophone.

« Profitez de l’occasion pour vous rendre sans délai dans la zone humanitaire et rencontrer les milliers de personnes qui s’y sont déjà rendues », ajoute le texte, alors que l’ONU estime qu’environ un million de personnes se trouvent dans la zone de Gaza-ville et met en garde contre une « catastrophe » si les opérations israéliennes s’y étendent.

La zone humanitaire dans la région d’Al-Mawasi à Khan Younes comprendra des infrastructures telles que des hôpitaux de campagne, des conduites d’eau, des installations de dessalement et des réserves de nourriture, explique l’armée israélienne.

L’appel à évacuer intervient après que le président américain, Donald Trump, a affirmé vendredi que les États-Unis étaient « en négociation approfondie avec le Hamas », dont l’attaque sans précédent en Israël le 7 octobre 2023 a déclenché la guerre. « Nous leur disons: ‘Libérez-les [otages NDLR] tous immédiatement », sinon « ça va être terrible », a-t-il dit.

Donald Trump a également avancé que certains des otages pourraient être « morts récemment ». L’armée israélienne estime à ce stade que 25 des 47 captifs restants à Gaza – sur 251 enlevés le 7-Octobre – sont morts.

Pendant ce temps, le front local du Hamas a publié plusieurs déclarations sur Telegram exhortant les Palestiniens de la ville de Gaza à ne pas fuir vers le sud, la décrivant comme un « chemin de la mort ».

À noter que seuls 70 000 Palestiniens sur une population d’environ un million avaient quitté la ville de Gaza, mercredi 3 septembre, selon un haut responsable israélien, soit moins de 10% de la population totale.

Les habitants de la ville de Gaza ont déclaré à la chaîne CNN qu’ils préféreraient mourir chez eux plutôt que d’être à nouveau déplacés…

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États-Unis : le déficit commercial s’élève à 78,3 milliards de dollars en juillet

Le déficit commercial des États-Unis a atteint son plus haut niveau en quatre mois en juillet. Les entreprises se précipitant pour effectuer de nouvelles importations de biens et de matériaux peu avant que le président Donald Trump n’annonce le niveau final des tarifs douaniers sur les partenaires commerciaux. 

Plus précisément, le déficit commercial des États-Unis a augmenté de près de 33 % par rapport au mois précédent, pour atteindre 78,3 milliards de dollars. C’est ce que révèlent les données publiées jeudi 4 septembre par le ministère américain du Commerce.

La valeur des importations américaines a augmenté de 5,9 % en juillet. Soit la plus forte hausse depuis le début de l’année. Tandis que les exportations ont légèrement progressé.

Les données montrent que les entreprises américaines se sont précipitées pour effectuer de nouvelles importations. Et ce, avant que les tarifs de rétorsion pour les pays qui n’avaient pas réussi à un accord avec le gouvernement américain n’entrent en vigueur début août.

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Suède : la TVA sera fortement réduite sur les produits alimentaires en 2026

Le gouvernement de la Suède prévoit de réduire de moitié la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), à 6 %, dans son budget 2026. Et ce, pour aider les ménages et l’économie au sens large. C’est ce qu’a déclaré le Premier ministre, Ulf Kristersson, lors d’une conférence de presse jeudi 4 septembre.

Il faut souligner que la croissance en Suède a stagné en raison de l’incertitude liée aux droits de douane. Les ménages et les entreprises hésitant à dépenser, malgré une série de baisses des taux d’intérêt.

La vice-première ministre, Emma Bush, a déclaré que la réduction de la TVA sera temporaire et s’appliquera d’avril 2026 à décembre 2027.

« C’est une réforme qui aura le plus d’impact sur les ménages les plus durement touchés », a-t-elle écrit sur le réseau social X. Pour la coalition gouvernementale de droite, le budget 2026, année électorale, comprendrait 80 milliards de couronnes de mesures non financées (c’est-à-dire des dépenses publiques non financées par les recettes) pour stimuler l’économie.

Le gouvernement suédois, qui prévoit une croissance du PIB de 0,9 % cette année et de 3,0 % en 2026, soumettra le projet de budget au Parlement le 22 septembre.

Les analystes ont indiqué que ce plan inclurait probablement des réductions de l’impôt sur le revenu et de l’impôt sur les sociétés, ainsi que des dépenses non financées.

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Trump exhorte l’Europe à couper les vannes du pétrole russe et à durcir le ton face à Pékin

Donald Trump a déclaré, jeudi 4 septembre 2025, aux dirigeants européens que l’Europe devrait cesser d’acheter du pétrole russe qui, selon lui, aide Moscou à financer sa guerre contre l’Ukraine. 

Trump a participé par vidéoconférence à la réunion de l’« Alliance des volontaires », dirigée par le président français Emmanuel Macron, à Paris, sur le thème de l’aide que pourrait recevoir l’Ukraine contre l’attaque russe.

« Le président Macron et les dirigeants européens ont invité le président des Etats-Unis, Donald Trump, à leur réunion avec l’Alliance des volontaires. Il a souligné que l’Europe devait cesser d’acheter du pétrole russe qui finance la guerre – la Russie ayant reçu 1,1 milliard d’euros de ventes de carburant de l’UE en un an », selon un responsable de la Maison Blanche.

Toujours selon lui, Trump a aussi souligné que les dirigeants européens doivent exercer une pression économique sur la Chine pour qu’elle arrête de financer l’effort de guerre de la Russie.

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L’or vers sa meilleure hausse hebdomadaire depuis trois mois

Le cours de l’or est en passe d’enregistrer sa meilleure hausse hebdomadaire depuis trois mois. Et ce, stimulé par les anticipations croissantes d’une baisse des taux d’intérêt américains ce mois-ci.

Tôt ce matin du 5 septembre, l’or au comptant est en hausse de 0,1 % à 3 550,41 $ l’once, se rapprochant de son plus haut historique de 3 578,50 $ atteint mercredi.

Le métal jaune a augmenté de 3 % depuis le début de la semaine du 1er août, selon Reuters. Les contrats à terme sur l’or américain pour livraison en décembre ont augmenté de 0,1 % à 3 609,10 $.

L’or, qui ne génère pas de rendement, prospère généralement dans un environnement de taux d’intérêt bas.

Parmi les autres métaux précieux, l’argent au comptant a augmenté de 0,1 % à 40,70 $ l’once, le platine a gagné 1,1 % à 1 382,18 $ et le palladium a progressé de 0,1 % à 1 129,12 $.

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L’Afrique du Sud renforce ses liens commerciaux avec l’Inde

Un accord préliminaire a été signé mercredi 3 septembre entre les chambres de commerce d’Afrique du Sud et d’Inde, établissant un cadre de partenariat.

La Chambre de commerce Inde-Afrique du Sud (ISACC) et l’India Commonwealth Trade Council (ICTC) ont annoncé la signature d’un protocole d’accord visant à renforcer les liens économiques. Cette initiative fait suite à la visite de travail du ministre sud-africain du Commerce, de l’Industrie et de la Concurrence, Parks Tau, à New Delhi.

Un protocole d’accord est un document qui décrit un accord entre deux ou plusieurs parties, exprimant une intention commune ou un cadre pour un partenariat ou une action commune.

La signature du protocole d’accord entre l’ISACC et l’ICTC vise à promouvoir la coopération économique mutuelle et le partenariat entre les entreprises indiennes et sud-africaines.

Pradeep Ramlall, de la Chambre de commerce Inde-Afrique du Sud (ISACC), a déclaré qu’il était nécessaire de collaborer avec les chambres de petites entreprises en Inde, « parce que nous avons besoin d’une stratégie ciblée plutôt que d’une approche à grande échelle ».

« Il s’agit de contacts interpersonnels, interentreprises, car de nombreux investisseurs envisagent de pénétrer le marché sud-africain, mais ce protocole d’accord leur permettra de passer par la chambre, où ils ont l’influence appropriée ».

Ramlall a ajouté que la signature de protocoles d’accord avec diverses chambres plus petites à travers l’Inde leur permet également d’impliquer des groupes d’intérêt plus petits, plutôt que de les exclure de la conversation. « Nous avons des objectifs spécifiques et nous nous intéressons également aux infrastructures, car les énergies renouvelables sont un enjeu majeur, et il existe d’autres projets d’infrastructure dans le secteur médical, car l’Inde est devenue une plaque tournante pour les fabricants de génériques à bas prix.

Il a expliqué qu’une chambre joue un rôle important pour attirer les investisseurs et que l’Afrique du Sud accueille favorablement les capitaux propres dans le pays.  « Le marché est ouvert, mais il faut gérer l’entrée sur ces marchés, car il y a toujours la peur d’être dupé, et c’est là que ces chambres jouent un rôle important. »

« De nombreux pays sont isolés et subissent l’impact des droits de douane. Nous souhaitons intervenir et être le point de contact privilégié pour répondre aux besoins financiers de ces pays. Nous ouvrons des portes pour que leur développement ne soit pas affecté », a-t-il conclu.

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L’Inde numérique de Modi, un éclat mondial en devenir

La nation sud-asiatique vise à lancer sa première production commerciale de semi-conducteurs d’ici la fin de l’année, a annoncé, mardi 2 septembre, le Premier ministre Narendra Modi.

L’Inde sera le moteur d’un changement majeur en façonnant l’avenir de l’industrie des micropuces, a déclaré le Premier ministre. New Delhi lancera la production commerciale de semi-conducteurs d’ici fin 2025, marquant ainsi une étape importante dans la progression du pays vers l’autonomie technologique, a-t-il ajouté.

S’exprimant lors de l’ouverture de la conférence Semicon India 2025, Modi a déclaré : « Le jour n’est pas loin où la plus petite puce indienne sera le moteur du plus grand changement mondial. Notre siècle dernier a été façonné par le pétrole… Mais le pouvoir du XXIe siècle se limite à une petite puce. Cette puce a le pouvoir d’accélérer le développement du monde ».

New Delhi a déjà donné le feu vert à dix usines de semi-conducteurs, et quatre unités supplémentaires devraient entrer en production dans les 12 prochains mois. Modi a également annoncé une mission sur les minéraux critiques, axée sur la sécurisation des terres rares et autres minéraux essentiels à la fabrication des semi-conducteurs.

Lors de la cérémonie, le ministre indien des Technologies de l’information, Ashwini Vaishnaw, a remis à Modi la première puce Vikram 32 bits développée en Inde, à l’actif du Laboratoire des semi-conducteurs de l’agence spatiale indienne (ISRO) pour diverses applications spatiales. Ce microprocesseur a été officiellement intégré au programme de l’ISRO en mars dernier, en même temps qu’une autre puce appelée Kalpana 3201.

L’Inde mise sur 100 milliards de dollars

Selon les estimations de l’industrie, le marché indien des semi-conducteurs était évalué à environ 45 à 50 milliards de dollars en 2024-25, contre 38 milliards de dollars en 2023. Le gouvernement s’est fixé des objectifs ambitieux pour atteindre 100 à 110 milliards de dollars d’ici 2030. « Notre voyage dans ce secteur a commencé tard, mais rien ne peut nous arrêter maintenant », a déclaré Modi.

Plus tôt cette année, l’Inde a également annoncé un programme visant à développer une puce basée sur l’IA à partir de zéro, dans le but de défier la domination américaine dans le secteur.

Bonne tenue du PIB indien

Modi a profité de l’occasion pour souligner les réalisations de l’économie indienne dans le contexte des tarifs douaniers américains entrés en vigueur le 27 août. Citant les derniers chiffres du PIB, Modi a déclaré que l’Inde avait « une fois de plus obtenu de meilleurs résultats que toutes les attentes et prédictions ».

« Alors que chaque économie est confrontée à des inquiétudes et à des défis découlant de l’égoïsme économique, même dans ces moments-là, l’Inde a atteint une croissance de 7,8 % », a déclaré le Premier ministre.

Les États-Unis ont imposé pour la première fois des droits de douane de 25 % à l’Inde début août, New Delhi et Washington n’ayant pas pu finaliser un accord commercial. Le président américain Donald Trump a ensuite annoncé l’imposition de droits de douane supplémentaires de 25 % à l’Inde à compter du 27 août, en raison des achats continus de pétrole russe par New Delhi.

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