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Port de Sidi Bou Saïd : La Garde nationale dément toute attaque contre un navire espagnol

La Direction générale de la Garde nationale informe l’opinion publique que, contrairement à ce qui circule sur certaines pages des réseaux sociaux au sujet d’une prétendue “attaque” ayant visé l’un des navires amarrés au port de Sidi Bou Saïd, en provenance d’Espagne et appartenant à la flotte “Soumoud”, ces informations sont dénuées de tout fondement.

Selon les premières constatations, l’origine

de l’incendie est liée à la combustion d’un gilet de sauvetage à bord du navire en question, provoquée par la flamme d’un briquet ou par un mégot de cigarette. Aucun acte hostile ou attaque extérieure n’est à signaler. La Direction générale de la Garde nationale réaffirme son souci de fournir aux citoyens une information exacte et appelle à se référer aux sources officielles et à éviter de se laisser entraîner par les rumeurs.

La Tunisie participe à la 25e foire internationale de l’investissement et du commerce de Chine

La Tunisie participe à la 25e foire internationale de l’investissement et du commerce de Chine (CIFIT), qui se tient à Xiamen, province du Fujian, du 7 au 10 septembre courant. Elle est représentée par une délégation présidée par le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, accompagné de l’ambassadeur de Tunisie en Chine, Adel Arbi.

En marge de ce salon, le ministre a pris part à la 23e session de l’Union des agences de promotion de l’investissement, lors de laquelle, il a mis en avant les atouts compétitifs dont dispose la Tunisie pour encourager l’investissement, ainsi que les accords bilatéraux et multilatéraux qui permettent aux investisseurs d’accéder à de grands marchés, notamment européens et africains.

Il a également participé à la 7e édition du Forum de la Route de la soie pour la coopération maritime internationale, où il a affirmé la volonté de la Tunisie de développer ses infrastructures de transport maritime et réitéré son engagement à participer à toutes les initiatives visant à renforcer la coopération internationale dans ce domaine, compte tenu de son rôle majeur dans le développement du commerce mondial et la promotion de la croissance et du développement.

En marge de l’événement, Abdelhafidh a eu plusieurs rencontres avec des responsables chinois de haut niveau ainsi que des échanges avec des représentants de pays, d’organisations onusiennes et régionales participant à cette manifestation.

Il a également effectué des visites dans plusieurs entreprises chinoises actives dans différents secteurs, notamment la fabrication de batteries pour moteurs électriques, la construction de bus et les infrastructures, en plus de visites de plusieurs stands d’entreprises chinoises et étrangères participant au salon.

Abdelhafidh a, à cette occasion, exprimé son souhait de voir les investissements chinois en Tunisie se développer et se diversifier davantage.

Incendie à Sidi Bou Saïd : Les autorités mènent l’enquête, le départ de la flottille maintenu

Wael Nawar, membre de la Coordination pour la Palestine, a indiqué qu’une unité de sécurité spécialisée avait été dépêchée pour enquêter sur l’incident survenu la nuit dernière.

Dans une déclaration accordée aujourd’hui à Jawhara FM, il a précisé que « les autorités ont pris l’affaire très au sérieux, contrairement à la précipitation initiale. Elles ont collecté toutes les informations fournies et l’enquête est désormais confiée à une unité spécialisée. Il n’est plus permis de divulguer des détails à ce sujet, afin de respecter la confidentialité des investigations ».

Malgré l’incident survenu hier, Nawar a confirmé que le départ de la flottille de la Résistance, prévu mercredi, ne sera pas reporté pour des raisons météorologiques. Le départ se fera depuis le port de Sidi Bou Saïd à 16 heures.

Pour rappel, un incendie s’est déclaré hier à bord d’un navire amarré dans le port. Le ministère de l’Intérieur a démenti tout ciblage par un drone.

Selon le ministère, les unités de sécurité spécialisées ont constaté les traces de l’incendie sur certains gilets de sauvetage, rapidement maîtrisé. Aucun dommage humain ni matériel n’a été enregistré, hormis la destruction de quelques gilets.

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Tunisie | Les favoris pour remporter le championnat de football

Le championnat de Tunisie de football vient à peine de démarrer et déjà, les grandes manœuvres sont lancées. Chaque saison, le public espère voir de nouvelles têtes bousculer la hiérarchie, mais un constat s’impose : l’Espérance de Tunis, le Club Africain et l’Étoile du Sahel restent les références, à la fois par leur palmarès et leur force de frappe actuelle. (Ph. Yan Sasse, Mohamed Dhaoui et Firas Chaouat).

Latif Belhedi

Espérance de Tunis, l’éternel patron

Difficile de commencer sans évoquer l’Espérance de Tunis. Le club de Bab Souika règne sur le championnat depuis des décennies. Avec ses 34 titres, il incarne à lui seul la puissance et la constance au sommet. La saison dernière, les Sang et Or ont une nouvelle fois terminé en tête, confirmant une domination presque naturelle. Ce statut de favori, ils l’assument sans détour. L’effectif est dense, équilibré, composé de joueurs habitués aux grands rendez-vous africains.

Mais cette force est aussi une source de pression : chaque adversaire rêve de faire tomber l’Espérance. Chaque match est une finale pour ceux qui l’affrontent. Le club tunisois en est conscient et sait qu’il ne peut se permettre aucun relâchement s’il veut continuer à écrire son hégémonie.

Dans cette ambiance électrique, les amateurs de paris sportifs ne sont pas en reste. La rivalité entre les grands clubs et l’incertitude de certaines affiches en font un terrain idéal pour les pronostics. Beaucoup choisissent de comparer les bonus sur Goal.com avant de miser, histoire de profiter des meilleures offres et d’accompagner chaque week-end de championnat d’une dose supplémentaire de suspense.

Club Africain, le rival qui s’affirme

Face à l’Espérance, le Club Africain refuse de jouer les seconds rôles. Après une période compliquée, marquée par des difficultés financières et sportives, le club retrouve peu à peu son éclat. L’entame de la saison 2025-26, avec deux victoires en deux matchs, donne le ton : le CA veut jouer le titre.

À domicile, il demeure une véritable forteresse, quasiment imprenable depuis plusieurs mois. Les supporters, parmi les plus passionnés du pays, rêvent de renouer avec un sacre qui les fuit depuis trop longtemps.

Le Club Africain n’a pas seulement l’ambition, il a aussi la ferveur populaire pour pousser ses joueurs à se dépasser. Reste à savoir si la régularité sera au rendez-vous face à l’ogre espérantiste.

L’Étoile du Sahel, toujours dans le coup

Si la rivalité tunisoise capte l’attention, l’Étoile du Sahel reste en embuscade. Le club de Sousse possède une tradition d’exigence et d’efficacité. La saison passée, il a brillé grâce à Firas Chaouat, meilleur buteur avec 17 réalisations, passé entre-temps au Club Africain.

L’ESS n’a pas l’intention de se contenter d’un rôle d’arbitre. Avec un effectif solide et une expérience confirmée sur la scène continentale, elle peut parfaitement se mêler à la lutte.Son principal atout réside dans sa régularité.

Loin des projecteurs de la capitale, l’Étoile avance avec méthode, prête à profiter de la moindre faille laissée par ses rivaux historiques.

Les outsiders à surveiller

Si les trois grands clubs semblent intouchables, d’autres formations n’ont pas dit leur dernier mot. L’US Monastir, par exemple, s’est illustrée lors des précédentes saisons par sa progression constante et son football offensif. Elle s’appuie sur des individualités prometteuses capables de faire basculer un match.

L’ES Zarzis, de son côté, a également montré de belles choses, notamment grâce à l’efficacité de ses attaquants. De même que le Stade Tunisien qui reste l’un des grands clubs historiques en Tunisie.

Ces clubs n’ont pas encore la profondeur de banc ni l’expérience de leurs aînés, mais ils pourraient bien jouer les trouble-fêtes. Dans un championnat où la régularité prime, une série de victoires suffit parfois à installer un outsider dans la course au titre.

Une saison déjà sous tension

Ce qui rend le championnat tunisien fascinant, c’est l’intensité des rivalités. L’Espérance et le Club Africain, dont le derby fait vibrer tout le pays, se livreront une nouvelle bataille. L’Étoile du Sahel, jamais loin, tentera de briser ce duel. Quant aux outsiders, ils chercheront à écrire l’histoire en profitant des faux pas des favoris.

Cette saison s’annonce donc passionnante. L’Espérance garde les faveurs des pronostics, mais le Club Africain semble prêt à bouleverser l’ordre établi. L’Étoile, elle, avance avec ambition, et derrière, d’autres clubs espèrent profiter du moindre espace. Plus qu’un simple championnat, c’est une lutte d’influence, de prestige et d’histoire qui se joue, sous les yeux d’un public toujours aussi passionné.

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La Tunisie, un peuple homogène façonnée par l’histoire, soudée par l’identité

On ne devrait pas brandir le mot «diversité» comme un étendard pour présenter la Tunisie comme un pays mosaïque. L’image est séduisante, mais trompeuse. Il existe une différence fondamentale entre une diversité enracinée, qui s’inscrit dans l’histoire et les coutumes d’un peuple, et une diversité plaquée, importée, souvent utilisée à des fins idéologiques ou politiques.

Khemais Gharbi *

La Tunisie, comme d’autres pays méditerranéens, a connu des brassages humains réels. Carthage, déjà, accueillait Phéniciens, Berbères, Numides, Grecs et Romains. Mais tous avaient fini par se fondre dans un esprit carthaginois propre. Plus tard, l’islam a intégré ces héritages en y ajoutant la langue arabe et une culture islamique qui sont devenues le cœur vivant de l’identité tunisienne.

Au Moyen Âge, la présence de communautés juives et chrétiennes ne fut pas perçue comme une menace, car elles s’inscrivaient dans un tissu social dominé par l’arabité et l’islam. De même, au XIXe et au XXe siècle, la venue d’Italiens, de Maltais ou de Français dans nos villes a créé une atmosphère cosmopolite, mais toujours adossée à une identité tunisienne forte, homogène, structurée. Cette diversité ne cherchait pas à fissurer la nation : elle coexistait avec elle, parfois en l’enrichissant.

À l’inverse, certains discours actuels promeuvent une diversité «importée», comme un modèle prêt-à-porter calqué sur d’autres pays. Or, la Tunisie n’est ni le Liban ni la Syrie. Ces deux nations sont des mosaïques complexes de communautés : chiites, sunnites, druzes, alaouites, arméniens, kurdes, assyriens, araméens, etc. Leur diversité confessionnelle et ethnique est constitutive de leur tissu social, mais aussi source de fragilités, de guerres et de conflits sans fin. La Tunisie n’a jamais été cela. Elle s’est construite sur une base commune solide, où la langue arabe, la culture islamique et un héritage méditerranéen partagé forment un ciment unificateur.

La véritable diversité n’est pas un masque plaqué de l’extérieur. Elle est un fruit : elle demande une terre, des racines, du temps. Elle ne peut prospérer que lorsqu’elle s’appuie sur une identité assumée et respectée. On ne glorifie pas les branches en oubliant l’arbre qui les porte.

L’histoire contemporaine l’enseigne : les peuples qui ont sacrifié leurs racines au nom d’une diversité artificielle ont fini par perdre à la fois leurs racines et leurs branches. Ceux qui ont affirmé leur authenticité tout en restant ouverts ont donné naissance à des sociétés fortes, équilibrées et fécondes.

La Tunisie n’est ni mosaïque, ni plurielle, ni cosmopolite : elle est l’héritage d’un peuple que les siècles ont pétri dans un seul moule pour en faire aujourd’hui une nation homogène.

* Ecrivain, traducteur.

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Tunisie : 5 millions de dinars pour redonner vie à l’Institut Bab Jedid à Sousse

L’Institut Bab Jedid à Sousse, fermé depuis plus de trois décennies, entame une nouvelle vie. Les travaux de réhabilitation de ce bâtiment historique, construit en 1900, ont officiellement été lancés lundi 8 septembre 2025, avec pour objectif de le transformer en un centre culturel polyvalent au service des habitants et de la région.

Classé monument historique en janvier 2021 par décision du ministère de la Culture, l’Institut Bab Jedid est longtemps resté à l’abandon, suscitant l’inquiétude et les appels répétés de la société civile et des associations locales. La municipalité de Sousse, en partenariat avec plusieurs organismes internationaux, a finalement concrétisé un projet de réhabilitation attendu depuis des années.

Le coût global de l’opération est estimé à 5 millions de dinars. Le financement est assuré par l’Association internationale des maires francophones (AIMF) et la ville de Lozas (Suisse), tandis que les études préliminaires ont bénéficié du soutien du Secrétariat d’État suisse à l’économie. Selon les premières estimations, la durée des travaux devrait atteindre 18 mois, soit environ un an et demi.

Un espace culturel polyvalent pour le rayonnement de Sousse

L’architecte en charge du projet, Manel Makhlouf, a précisé que la réhabilitation vise à restituer au bâtiment son éclat patrimonial tout en l’adaptant aux besoins contemporains. Le futur centre culturel comprendra des salles dédiées aux activités artistiques et éducatives, un auditorium, une bibliothèque numérique, une salle de cinéma, un théâtre, ainsi qu’un café culturel et des espaces de restauration.

La municipalité de Sousse entend faire de ce lieu un espace vivant et inclusif, capable d’animer la vie du quartier et de renforcer l’attractivité culturelle de la ville. L’initiative vise également à valoriser un patrimoine architectural emblématique, trop longtemps laissé à l’abandon depuis la fermeture de l’Institut en 1994.

Au-delà de la restauration d’un bâtiment historique, ce projet incarne une volonté de concilier mémoire patrimoniale et dynamisme culturel. La transformation de l’Institut Bab Jedid s’inscrit dans une démarche plus large de réhabilitation du centre-ville et de mise en valeur des monuments historiques de Sousse.

La société civile, qui a longtemps plaidé pour la sauvegarde de ce site, voit dans ce chantier une victoire pour le patrimoine et la culture. À terme, le nouveau centre devrait constituer un pôle culturel et social majeur, favorisant l’accès à la culture pour tous et contribuant à la revitalisation du tissu urbain.

Alerte météo : pluies intenses, grêle et rafales à plus de 70 km/h attendues dans plusieurs régions

L’Institut national de la météorologie (INM) a placé, mardi, l’ensemble des régions du nord et du centre du pays en vigilance jaune, en raison de perturbations météorologiques attendues au cours des prochaines heures.

Les gouvernorats concernés sont : Bizerte, le Grand Tunis, Nabeul, Béja, Jendouba, Siliana, Le Kef, Zaghouan, Sousse, Monastir, Mahdia, Kairouan, Kasserine et Sidi Bouzid.

Selon l’INM, la situation météorologique est marquée par la formation de cellules orageuses locales accompagnées de pluies parfois intenses et de chutes de grêle par endroits. Des vents assez forts à forts, pouvant dépasser 70 km/h en rafales et sous orage, sont également attendus.

L’institut rappelle que la vigilance jaune implique une attention particulière lors de la pratique d’activités sensibles au risque météorologique. Elle vise à alerter la population sur les dangers potentiels, mais aussi à permettre aux services de la protection civile et aux autorités sanitaires de mobiliser leurs équipes en cas de besoin.

La carte de vigilance est mise à jour au moins deux fois par jour, à 7h et 17h, et permet de signaler les menaces météorologiques susceptibles de toucher un ou plusieurs gouvernorats dans les 24 heures.

Tunis : reprise demain de la ligne de métro n°3 entre Barcelone et Ibn Khaldoun

La Société des Transports de Tunis (Transtu) a annoncé mardi la reprise de l’exploitation de la ligne de métro n°3 à partir du mercredi 10 septembre 2025, après une interruption temporaire.

Cette ligne reliera de nouveau les stations Barcelone et Ibn Khaldoun. Selon le communiqué de Transtu, le premier départ aura lieu à 7h00 depuis la station Barcelone et à 7h36 depuis la station Ibn Khaldoun, tandis que les derniers trajets sont programmés à 18h30 au départ de Barcelone et à 19h10 au départ d’Ibn Khaldoun.

Pfizer annonce la nomination de Ouardia Djoudjai au poste de Directrice du Cluster Afrique du Nord.

Dans ce rôle stratégique, Mme Djoudjai supervisera les opérations de Pfizer en Afrique du Nord, en stimulant la croissance et l’innovation dans plusieurs domaines thérapeutiques.

Depuis son arrivée chez Pfizer en 2010, Mme Djoudjai a progressé vers des postes à responsabilités croissantes dans le marketing, la gestion de marque et la direction de catégories. Plus récemment, elle a travaillé en tant que directrice commerciale de vaccins et oncologie pour les pays du Golfe, où sa vision stratégique a permis d’obtenir des performances commerciales robustes et de renforcer l’engagement des équipes.

Avec plus de 17 ans d’expérience dans l’industrie pharmaceutique, Mme Djoudjai a implémenté avec succès des stratégies de vente et de marketing à fort impact dans le Golfe et sur les marchés émergents, couvrant l’oncologie, les maladies rares, les vaccins et la médecine interne. Son leadership dans des initiatives d’entreprise innovantes a été instrumentalisé dans le maintien d’une croissance à deux chiffres dans plusieurs catégories thérapeutiques.

Mme Djoudjai est également une fervente défenseure de la diversité, de l’équité et de l’inclusion. Elle a présidé le conseil Diversité, Équité et Inclusion dans le Golfe au cours des trois dernières années et est membre fondatrice du conseil MENA Diversité, Équité et Inclusion, promouvant un leadership inclusif et la transformation de la culture organisationnelle.

La nomination de Mme Djoudjai reflète également l’engagement constant de Pfizer en faveur d’un leadership centré sur les patients en Afrique du Nord. Elle apporte une compréhension approfondie du paysage de la santé dans la région et s’engage à élargir l’accès aux traitements innovants. Sous sa direction, Pfizer continuera de privilégier les partenariats avec les prestataires de soins, les gouvernements et les communautés pour garantir aux patients l’accès aux thérapies dont ils ont besoin. Sa passion pour l’amélioration des résultats de santé des patients est au cœur de sa vision stratégique pour le cluster.

Commentant sa nomination, Mme Djoudjai a déclaré :

«Je suis honorée de diriger le cluster Afrique du Nord de Pfizer à un moment aussi transformateur pour le secteur de la santé dans la région. Ayant bâti ma carrière chez Pfizer depuis plus de 15 ans, je suis particulièrement fière d’assumer ce nouveau rôle et de continuer à évoluer au sein d’une organisation qui investit constamment dans ses collaborateurs et dans

sa mission. Mon objectif est de tirer parti de l’innovation mondiale de Pfizer et de l’expertise locale pour améliorer l’accès des patients à des thérapies qui changent la vie, tout en favorisant une culture d’excellence, de collaboration et d’inclusion au sein de nos équipes. »

Mme Djoudjai est titulaire d’une licence en sciences et d’une certification exécutive en leadership de la croissance stratégique. Elle poursuit actuellement un MBA à l’Université de Liverpool, témoignant de son engagement envers l’apprentissage continu et l’excellence en leadership.

La Tunisie et l’Égypte misent sur une ligne maritime directe et des alliances économiques

Le renforcement de la coopération tuniso-égyptienne constitue l’une des priorités des gouvernements des deux pays, a affirmé l’ambassadeur d’Égypte à Tunis, Bassem Hassan, en marge de la 18 session de la Haute commission mixte qui se tiendra au Caire du 8 au 11 septembre 2025.

Placée sous la coprésidence de la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zanzari, et du Premier ministre égyptien, Moustafa Madbouli, cette réunion de haut niveau regroupera plusieurs ministres ainsi que de hauts responsables tunisiens et égyptiens. Elle sera consacrée à l’examen de nouveaux axes de coopération et devrait donner lieu à la signature d’une série d’accords, mémorandums d’entente et programmes exécutifs dans des domaines stratégiques allant du commerce au développement social, en passant par la jeunesse, le sport, la formation diplomatique et la coopération scientifique.

Objectif : intensifier les échanges économiques

Dans une interview accordée à l’agence TAP, l’ambassadeur égyptien a souligné l’importance d’accélérer la mise en œuvre des accords déjà existants et de leur adjoindre des mécanismes opérationnels concrets. Selon lui, la conjoncture régionale et internationale impose aux deux pays « davantage de solidarité et de complémentarité pour relever les défis politiques et économiques ».

Bassem Hassan a indiqué que l’objectif immédiat est de doubler le volume des échanges commerciaux, actuellement estimé à près de 500 millions de dollars par an, pour atteindre un milliard de dollars dans un délai rapproché. Une ambition jugée réaliste grâce à l’adoption, en avril dernier lors de la dernière commission commerciale à Tunis, de mesures pratiques pour faciliter et stimuler les flux commerciaux.

Dans le même cadre, les autorités étudient la création d’une ligne maritime directe entre Tunis et Le Caire. Ce projet, selon le diplomate, permettrait de renforcer non seulement le commerce bilatéral mais également les échanges touristiques et culturels, tout en offrant un levier logistique à d’autres formes de coopération régionale.

Le secteur privé au cœur du partenariat

L’ambassadeur égyptien a par ailleurs mis l’accent sur la nécessité d’impliquer davantage les acteurs privés. Un grand Forum tuniso-égyptien des affaires et de l’investissement est prévu cette semaine en marge de la commission mixte. Il réunira des représentants des principales fédérations industrielles et commerciales des deux pays, avec pour objectif de nouer des partenariats durables et de favoriser l’émergence d’alliances économiques régionales.

De grandes entreprises égyptiennes manifestent un intérêt croissant pour le marché tunisien, notamment dans le domaine des infrastructures, a-t-il précisé. À l’inverse, plusieurs sociétés tunisiennes se sont implantées avec succès en Égypte ces dernières années. Les deux parties entendent également tirer parti de leur appartenance commune à des accords régionaux de libre-échange tels que le COMESA, l’accord d’Agadir et la zone arabe de libre-échange.

Au-delà de l’économie, la coopération sécuritaire figure en tête des priorités. Deux commissions bilatérales, l’une en matière sécuritaire et l’autre dans le domaine militaire, se réunissent régulièrement et assurent une coordination jugée « très efficace ». Les deux pays font face à des menaces communes, notamment le terrorisme et les tentatives de déstabilisation régionale.

« La sécurité est la pierre angulaire : sans sécurité, il n’y a ni développement ni stabilité », a martelé l’ambassadeur, soulignant la volonté des présidents Abdel Fattah Al-Sissi et Kaïs Saïed de donner une nouvelle impulsion à cette coopération stratégique.

Pour le diplomate égyptien, la tenue de la 18 session de la Haute commission mixte représente une opportunité idéale pour franchir un nouveau cap dans le partenariat bilatéral. « Les relations tuniso-égyptiennes reposent sur un socle solide, mais il est temps de traduire ce cadre en actions concrètes qui répondent aux aspirations des peuples des deux pays », a-t-il conclu.

Tunisie : L’UGTT propose Francesca Albanese au prix Nobel de la paix

Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi a reçu, lundi 8 septembre 2025, Francesca Albanese, rapporteure spéciale de l’ONU sur les territoires palestiniens occupés, et a annoncé son soutien à sa candidature au prix Nobel de la paix.

Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a rencontré Francesca Albanese, rapporteure spéciale des Nations-Unies sur les territoires palestiniens occupés, au siège de la centrale syndicale à Tunis.

Soutien à la candidature de Francesca Albanese au Nobel de la paix

Cette rencontre a été l’occasion pour l’UGTT de réaffirmer son engagement en faveur de la cause palestinienne et d’exprimer officiellement son soutien à la candidature de Francesca Albanese au prix Nobel de la paix.

La rapporteure a salué cette initiative et a remercié l’organisation syndicale pour son appui et pour sa solidarité constante avec le peuple palestinien.

Francesca Albanese, dont le travail est reconnu sur la scène internationale pour la défense des droits humains, a souligné l’importance de la mobilisation syndicale et citoyenne dans le combat pour la justice et l’autodétermination.

Noureddine Taboubi, de son côté, a rappelé la position de l’UGTT, fidèle à son rôle historique de défenseur des causes justes et universelles.

La centrale syndicale tunisienne, lauréate du prix Nobel de la paix en 2015 avec le Quartet du dialogue national, continue de s’impliquer dans les grandes causes internationales.

Ce soutien à Francesca Albanese s’inscrit dans la continuité d’un engagement affirmé pour la Palestine et pour la défense des droits des peuples.

Qui est Francesca Albanese ?

Francesca Albanese est l’auteure d’un rapport très critique, dans lequel elle met en cause le rôle de plusieurs multinationales qui, selon elle, soutiennent directement ou indirectement les activités militaires et la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens.

Elle y dénonce notamment des liens financiers avec l’armée israélienne et appelle à la responsabilité pénale internationale pour ceux qui alimentent, selon ses mots, « le système d’occupation et d’apartheid ».

Albanese soutient également les démarches engagées par la Cour pénale internationale (CPI) visant à poursuivre Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien, pour crimes de guerre dans la bande de Gaza et en Cisjordanie.

La juriste italienne, nommée en 2022 par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, est régulièrement ciblée par les milieux pro-israéliens, qui l’accusent de partialité. Ses rapports, documentés mais souvent virulents, l’ont propulsée au cœur de nombreuses polémiques, notamment après les bombardements israéliens sur Rafah et le siège prolongé de Gaza.

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Tunisie : La rapporteure de l’ONU appelle à protéger les navires de la « Flottille de la Résistance »

La rapporteure spéciale des Nations unies pour les droits de l’homme en Palestine, Francesca Albanese, a appelé mardi 9 septembre à fournir une « protection urgente » aux navires restants de la Flottille de la Résistance mondial.

Dans un message publié sur la plateforme X, Albanese a affirmé que le navire principal du flottille avait été visé par un drone alors qu’il était amarré au port de Sidi Bou Saïd, en Tunisie. Elle a insisté sur la nécessité d’assurer une protection immédiate à deux autres navires en route vers la Tunisie pour rejoindre le flottille.

Selon les militants du flottille, le navire espagnol Family aurait également été la cible d’un drone, une information démentie par le ministère de l’Intérieur et la Garde nationale tunisienne.

Rappelons que le ministère de l’Intérieur a démenti ce mardi 9 septembre toute attaque par drone visant un bateau de la flottille internationale pour Gaza, amarré au port de Sidi Bou Saïd. Selon la version officielle, les flammes qui ont endommagé le navire seraient dues à « un départ de feu accidentel, probablement causé par une cigarette ».

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Incident de Sidi Bou Saïd : Une « soirée arrosée » à l’origine de l’incendie, selon Riadh Jrad

Un incident survenu récemment à Sidi Bou Said a alimenté de nombreuses rumeurs sur les réseaux sociaux et certains médias, concernant une supposée attaque contre une flottille transportant de l’aide humanitaire à destination de Gaza.

Selon certaines sources tunisiennes et des observateurs présents, les informations évoquant un tir de drone ou un sabotage extérieur. Mais pour les autorités, l’incident serait en réalité lié à un départ de feu dans l’une des gilets de sauvetage, provoqué par des comportements imprudents de certains participants.

Le chroniqueur tunisien Riadh Jrad, proche des institutions étatiques, a dénoncé la diffusion d’informations amplifiant l’incident et présentant des faits inexacts, parfois dans le but de remettre en question la vigilance des forces de sécurité tunisiennes. Il a rappelé que la situation était sous contrôle et que les autorités, y compris la police et l’armée, avaient géré l’incident efficacement. Selon lui, une « soirée arrosée » avec consommation d’alcool et un « barbecue de poissons » à bord auraient déclenché l’incendie mineur, rapidement maîtrisé. Aucun blessé grave n’a été signalé et les dégâts matériels restent limités.

Lire aussi: Sidi Bou Saïd : un drone aurait frappé un navire de la flottille

Il a également mis en garde contre l’exploitation politique et médiatique de l’événement, affirmant que le peuple tunisien reste conscient et capable de discerner le vrai du faux.

Rappelons que le ministère de l’Intérieur a démenti ce mardi 9 septembre toute attaque par drone visant un bateau de la flottille internationale pour Gaza, amarré au port de Sidi Bou Saïd. Selon la version officielle, les flammes qui ont endommagé le navire seraient dues à « un départ de feu accidentel, probablement causé par une cigarette ».

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Qualifications Mondial 2026 – 8e journée Guinée équatoriale-Tunisie (0-1) : Bonjour la Coupe du monde !

A la faveur d’un joli assist de Firas Chaouat, Mohamed Ali Ben Romdhane expédie la Tunisie au Mondial pour la 7e fois de son histoire.

La Presse — C’est un scénario auquel personne ne s’attendait. Alors que l’arbitre s’apprêtait à siffler la fin des débats d’un match durant lequel nos attaquants ont manqué terriblement d’idées, Firas Chaouat surgit sur le couloir droit, ouvre une brèche avant d’adresser un centre millimétré pour Mohamed Ali Ben Romdhane qui a eu le flair de suivre le mouvement en faisant un sprint et termine le travail en logeant la balle dans les filets d’un Jesús Owono, impuissant (90’+4).

Ainsi, le duo Chaouat-Ben Romdhane entre à jamais dans les annales du football tunisien. Grâce au but de Ben Romdhane, la Tunisie se qualifie à la Coupe du monde 2026 à deux journées de la fin des éliminatoires. 

Venons-en à présent aux péripéties de la rencontre qui a opposé hier à Malabo la Guinée équatoriale à la Tunisie pour le compte de la 8e journée des qualifications à la Coupe du monde 2026. Par rapport à la formation qui a remporté la large victoire devant le Liberia sur le score de 3-0 lors de la journée précédente, Sami Trabelsi a opéré deux changements en titularisant Aïssa Laidouni et Elias Saad respectivement à la place de Mohamed Ali Ben Romdhane et Omar Layouni. 

Foulant une pelouse trempée à cause de la pluie qui s’est abattue sur le stade de Malabo, nos joueurs ont eu du mal à trouver leurs marques, certains perdant même par moments leur équilibre lors des premières minutes de jeu. On a enregistré, d’ailleurs, quelques glissades. 

Quant à la première occasion du match, elle a été équato-guinéenne : un coup franc repoussé sans difficulté par le mur défensif tunisien (4’). Côté tunisien, il a fallu attendre la 14’ pour voir Mortadha Ben Ouanes tenter sa chance par un centre dévié en corner par un défenseur équato-guinéen. Dix minutes plus tard, on assista à une autre tentative tunisienne avec un centrage de la droite de Hannibal Mejbri pour Dylan Bronn dont la frappe passe largement au-dessus de la transversale (24’). 

Bref, quelques tentatives pas suffisamment convaincantes pour que notre attaque espère renverser la défense équato-guinéenne. Et nos joueurs de rejoindre les vestiaires pour la pause mi-temps sur un résultat nul qui nous a laissés sur notre faim.

Le miracle n’est jamais loin…

De retour des vestiaires, Sami Trabelsi a successivement opéré des changements à la recherche de solutions pour déverrouiller la solide défense équato-guinéenne. Sauf qu’en décidant de monter en attaque, la Guinée équatoriale a compliqué la tâche des nôtres. Par ailleurs, Aymen Dahmen a effacé un but tout fait à la 70’ en déviant de la main la puissante frappe de Saúl Coco, auteur d’un coup franc direct bien botté.

Et alors qu’on perdait espoir de voir nos attaquants marquer ce but qui tardait à venir, Firas Chaouat s’est illustré dans le temps additionnel au moment où l’arbitre s’apprêtait à donner le coup de sifflet final. Une passe décisive qui a permis à Mohamed Ali Ben Romdhane de signer le but qualificatif, expédiant la Tunisie à la Coupe du monde pour la 7e fois de son histoire. Le miracle n’est jamais loin ! Le duo Chaouat-Ben Romdhane l’a prouvé hier.

Tunisie : Dahmen, Ben Ouanes, Talbi, Bronn, Valery, Sassi (Ben Romdhane 73’), Laidouni, Mejbri (Sliti 59’), Achouri (Tounekti 88’), Saad ( Gharbi 59’) et Mastouri (Chaouat 73’). 

Sidi Bou Saïd : l’Intérieur dément la chute d’un drone, incendie limité à des gilets de sauvetage

Le ministère de l’Intérieur a annoncé, dans un communiqué publié tôt mardi, que les informations faisant état de la chute d’un drone sur l’un des navires amarrés au port de Sidi Bou Saïd sont infondées.

Selon la même source, les unités spécialisées ont constaté l’origine d’un incendie déclenché accidentellement dans l’un des gilets de sauvetage à bord. Le feu a été rapidement maîtrisé et n’a provoqué ni pertes humaines ni dégâts matériels, hormis la combustion de quelques gilets de sauvetage.

Incendie du navire Soumoud : la Garde nationale dément toute implication d’un drone

La Direction générale de la Garde nationale a formellement démenti mardi toute implication d’un drone dans l’incendie survenu à bord d’un navire de la flottille Soumoud, stationné au port de Sidi Bou Saïd et arrivé d’Espagne, qualifiant ces allégations de « dénuées de tout fondement ».

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’incendie a été causé par l’ignition accidentelle d’un gilet de sauvetage, vraisemblablement en contact avec un briquet ou un mégot de cigarette. Aucune trace d’acte malveillant, d’attaque ou de ciblage extérieur n’a été relevée sur les lieux.

D’après un communiqué, la Garde nationale a réitéré son appel aux citoyens à s’en tenir aux informations provenant des sources officielles et à se méfier des rumeurs.

Météo : des orages et une légère baisse des températures prévus ce mardi !

Le temps de ce mardi 9 septembre 2025 sera caractérisé par des nuages parfois denses sur l’ouest du Nord et du Centre.

Des averses éparses, temporairement orageuses, sont attendues dans l’après-midi. Elles s’étendront progressivement à certaines régions de l’Est, avec des chutes de grêle possibles par endroits. Le reste du pays connaîtra des passages nuageux.

Le vent sera de secteur sud, faible à modéré, puis se renforcera en fin de journée près des côtes.

La mer sera peu agitée sur les côtes nord et agitée sur les autres littoraux.

Les températures resteront stables. Les maximales varieront entre 31 et 35 °C sur les régions côtières et les hauteurs, et entre 36 et 41 °C ailleurs.

Kaïs Saïed : simplifier l’administration et rompre avec les influences étrangères

Le président de la République, Kaïs Saïed, a plaidé pour la simplification des procédures administratives. Tout en dénonçant les obstacles qu’il a imputés à des « lobbys recevant leurs ordres de l’étranger ».

Lors d’une audience accordée, lundi 8 septembre au palais de Carthage, à la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, le chef de l’Etat a averti que ces acteurs, à l’instar de leurs prédécesseurs accusés d’avoir « pillé les ressources du pays », seraient tenus pour responsables et devraient rendre des comptes.

Au cours de cette rencontre, consacrée à la marche générale du gouvernement et à l’examen de plusieurs projets de textes à caractère économique et social, Saïed a souligné que « le travail se poursuivait pour restructurer les institutions publiques, supprimer celles jugées inutiles et coûteuses, et surtout garantir aux jeunes Tunisiens leur droit légitime au travail ».

Par ailleurs, le président de la République a évoqué la bonne préparation de la rentrée scolaire. Et ce, en attendant la mise en place du futur Conseil supérieur de l’éducation et de l’enseignement et l’introduction de réformes fondamentales dans ce domaine.

Le chef de l’État a tenu à saluer l’engagement bénévole d’un grand nombre de citoyens dans les établissements éducatifs à travers toutes les régions du pays. Selon lui, ces citoyens, convaincus qu’il n’y a pas d’avenir pour la Tunisie sans science ni savoir, témoignent de « l’amorce d’une révolution des esprits ». Laquelle est le prélude à toute réforme et à l’édification d’une nouvelle relation entre le citoyen et les institutions de l’État.

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