Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Gaz de schiste : peut-on encore relancer un projet rejeté depuis 2013 ?

Gaz de shisteFace à l’immobilisme du département de l’énergie et à sa tendance déplorable à traîner des pieds en matière de développement des énergies vertes, les lobbys des extractions fossiles encouragés par le retour à l’international des fossilistes, voire des partisans d’énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz naturel), les lobbys fossilistes tunisiens ont commencé à manœuvrer pour pousser les décideurs du pays à intensifier les extractions et à relancer de vieux projets fort polluants sous prétexte que de nouveaux progrès technologiques viennent de voir le jour.

Pour obtenir gain de cause, leur démarche est simple. Elle consiste à  mobiliser, sur le plan communication, des ONG pour parler indirectement en leur nom. C’est le cas récemment de l’Association tunisienne des professionnels de l’énergie.

Les responsables de ces ONG font flèche de tout bois pour intervenir dans les médias, particulièrement audio-visuels, pour transmettre à l’opinion publique deux messages.

Pour obtenir gain de cause, des rabatteurs sont mobilisés dans les médias

Le premier vise à exagérer et à amplifier le déficit énergétique du pays. La Tunisie, qui ne produit que le tiers de ses besoins, en matière d’énergies, importe le reste en devises. La production nationale de pétrole et de gaz naturel étant en baisse depuis plus de quinze ans. La Tunisie ne produit que 20 millions de barils annuels de pétrole et de gaz, alors que la consommation est de 58 à 60 millions.

Pour ces ong, le pays pourrait remédier à cette situation en relançant les extractions fossiles confirmées.

« L’Association tunisienne des professionnels de l’énergie milite pour le retour du gaz de schiste. »

 

A titre indicatif, parmi les projets recommandés par l’Association tunisienne des professionnels de l’énergie, figure la pire des extractions énergétiques, l’extraction du gaz de schiste. Cette extraction se fait par fracking (fracturation hydraulique), une méthode particulièrement dangereuse pour l’équilibre écologique.

Pis, Hichem Mansour, président de l’Association, qui intervenait sur les ondes de la radio privée, Mosaïque FM,  a révélé que l’Association a « élaboré un document contenant un ensemble de recommandations pour relancer le secteur énergétique et que ce document a été transmis au ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie ».

Par delà, les révélations de ce premier responsable de l’Association, il semble que ce dernier a très vite oublié le débat houleux qui a eu en 2013 sur le gaz de schiste lorsque le ministre de l’industrie islamiste, Mohamed Lamine Chakhari,  avait essayé  de conclure presqu’en catimini un accord avec  le géant britannico – neerlandais de l’énergie pour l’exploration et l’exploitation d’un gisement de gaz de schiste localisé au centre de Tunisie entre Kairouan et Mahdia.

« La Tunisie ne produit qu’un tiers de ses besoins énergétiques, le reste est importé. »

En principe, le rejet du gaz de schiste depuis 2013

A cette époque, la société civile est sortie victorieuse et le projet, perçu comme extrêmement polluant, a été tout simplement abandonné.

En dépit de ce rejet, les lobbys du gaz de schiste sont revenus à la charge en 2016. Pour faire accepter ce gaz à l’opinion publique et contourner l’article 13 de la Constitution de l’époque  lequel stipule que toute convention en matière d’hydrocarbures doit être approuvée par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), ces mêmes lobbys ont trouvé une autre astuce. Ils ont miroité l’élaboration préalable d’une étude d’impact sur l’ »environnement avant le lancement de préalable à tout projet d’extraction du gaz de schiste.

« Le débat houleux de 2013 sur le gaz de schiste avait conduit à l’abandon du projet. »

 

Sur la base de cette étude, qui n’a jamais vu le jour jusqu’à cette date tout autant que le code des hydrocarbures d’ailleurs, le gouvernement devait décider de défendre ou non le  bien-fondé d’exploiter le gaz de schiste dans le pays.

Malheureusement, on attend toujours les résultats de cette étude.

Abou SARRA

Chiffres clés

1/3 — Part de la production nationale par rapport aux besoins énergétiques tunisiens
20 millions — Barils de pétrole et gaz produits annuellement en Tunisie
58 à 60 millions — Barils de consommation énergétique annuelle du pays
2013 — Année du rejet par la société civile du projet d’exploitation du gaz de schiste

 

L’article Gaz de schiste : peut-on encore relancer un projet rejeté depuis 2013 ? est apparu en premier sur WMC.

Énergie nucléaire : Pékin mise sur Moscou pour dépasser les États-Unis

La Russie aidera la Chine à dépasser les États-Unis, le plus grand producteur d’énergie nucléaire au monde. C’est ce qu’a déclaré le directeur général de la compagnie nucléaire publique russe Rosatom, mardi 2 septembre, à la télévision publique russe…

Les États-Unis exploitent le plus grand réseau de réacteurs nucléaires au monde, avec une capacité installée de près de 97 gigawatts (GW).

La Chine est cependant engagée dans une course à la construction de dizaines de réacteurs et disposait en avril 2024 de 53,2 GW de capacité de réacteurs nucléaires en exploitation, selon l’Energy Information Administration américaine.

« La Chine a des projets ambitieux de développement de l’énergie nucléaire. L’objectif est de rattraper et dépasser les États-Unis en termes de capacité installée, ce qui signifie atteindre une capacité de plus de 100 gigawatts », a affirmé le directeur de Rosatom, Alexeï Likhachev.

La Russie a déjà aidé à construire quatre réacteurs nucléaires en Chine et en construit quatre autres, et la Chine a besoin d’une grande quantité d’uranium et de combustible nucléaire pour ses projets ambitieux.

En conséquence, la Chine devra développer une nouvelle génération de réacteurs nucléaires à cycle fermé basés sur la technologie russe, a conclu le directeur de Rosatom.

L’article Énergie nucléaire : Pékin mise sur Moscou pour dépasser les États-Unis est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

La Tunisie dans le top 6 africain des importateurs du solaire chinois

Longtemps considérée comme un pays pionnier en matière d’énergie solaire – et même exportatrice de panneaux solaires dans les années 2000 – la Tunisie figure aujourd’hui parmi les plus gros importateurs africains de modules photovoltaïques en provenance de Chine.

Ainsi, entre juillet 2024 et juin 2025, le pays a importé des panneaux solaires d’une capacité totale de 655 mégawatts (MW). Il se place ainsi au 6ᵉ rang parmi les 25 pays africains recensés dans un rapport publié récemment par le groupe de réflexion “Ember”, spécialisé dans les questions d’énergie et de climat.

Selon ce rapport intitulé « Les premiers signes d’un essor de l’énergie solaire en Afrique », la demande en panneaux solaires sur le continent est en plein boom. Et ce, avec une hausse de 60 % des importations depuis la Chine par rapport à la même période en 2024. La capacité totale importée par les 25 pays étudiés s’élève à 15 032 MW, contre 9 379 MW un an plus tôt.

Les cinq premiers importateurs

En tête du classement africain, l’Afrique du Sud reste le principal acheteur de panneaux solaires chinois avec 3 784 MW; malgré un ralentissement de la demande lié à la stabilisation de son approvisionnement électrique. Suivent le Nigeria (1 700 MW) et l’Algérie (1 199 MW). Le Maroc, quatrième, a importé 915 MW, juste devant l’Égypte (854 MW).

Le rapport souligne également une forte croissance des importations dans plusieurs pays : les achats de l’Algérie ont été multipliés par 33, ceux de la Zambie par 8, du Botswana par 7 et du Soudan par 6. D’autres pays comme le Liberia, la RDC, le Bénin, l’Angola ou encore l’Éthiopie ont vu leurs importations tripler.

Contraste

Cependant, ces volumes records ne reflètent pas nécessairement la réalité du déploiement sur le terrain. En effet, le rapport précise qu’aucune donnée fiable ne permet de déterminer combien de panneaux solaires importés ont réellement été installés. Certains modules peuvent être stockés, réexportés vers des pays voisins, ou même expédiés en dehors du continent pour contourner les droits de douane ou les taxes locales.

Les auteurs d’Ember estiment néanmoins que cette vague d’importations pourrait, à terme, contribuer de manière significative à réduire la dépendance aux énergies fossiles. Dans certains pays comme le Nigéria, les économies générées par la réduction de la consommation de diesel permettent d’amortir le coût d’un panneau solaire en seulement six mois, voire moins ailleurs. Le rapport rappelle qu’au sein des dix principaux pays importateurs, la valeur des importations de pétrole raffiné dépasse celle des panneaux solaires d’un facteur allant de 30 à 107.

Enfin, il convient de souligner que, malgré une croissance notable, l’Afrique reste encore marginale dans le paysage mondial des énergies renouvelables. Selon les dernières données de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), les capacités installées sur le continent sont passées de 32,54 GW en 2014 à 62,10 GW en 2023, soit une hausse de 91 % en dix ans. Toutefois, cela ne représente encore que 1,6 % des capacités renouvelables mondiales.

L’article La Tunisie dans le top 6 africain des importateurs du solaire chinois est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie et l’Afrique : boom des importations de panneaux solaires chinois et essor de l’énergie solaire

La Tunisie, engagée dans sa transition énergétique axée sur le solaire, a importé de Chine 655 mégawatts (MW) de panneaux solaires entre juillet 2024 et juin 2025. Elle se positionne ainsi en 6ème position parmi 25 pays africains importateurs. C’est ce qu’il ressort d’un rapport récent du groupe Ember. Le Maroc (4ème) et l’Égypte (5ème) ont respectivement importé 915 MW et 854 MW. Tandis que l’Afrique du Sud mène le classement avec 3 784 MW, suivie par le Nigeria (1 700 MW) et l’Algérie (1 199 MW).

Ce continent connaît un véritable boom solaire : les importations de panneaux solaires en provenance de Chine ont augmenté de 60 %. Et ce, pour passer de 9 379 MW à 15 032 MW sur une année. Ce dynamisme s’observe avec l’élargissement du nombre de pays africains importateurs importants, passant de 15 à 25 en un an, dont la Tunisie. En outre, plusieurs pays affichent des croissances spectaculaires, notamment l’Algérie (multipliée par 33) et la Zambie (multipliée par 8). Toutefois, les données ne permettent pas de quantifier précisément les installations effectives, certaines importations pouvant être réexportées ou stockées.

Le rapport d’Ember souligne que l’énergie solaire peut réduire significativement les importations de carburants fossiles, notamment en évitant le recours au diesel, avec un amortissement du coût des panneaux solaire en quelques mois dans certains pays comme le Nigeria.

Par ailleurs, les capacités renouvelables installées en Afrique ont quasiment doublé en une décennie, atteignant 62,1 gigawatts en 2023. Bien que cela ne représente encore que 1,6 % des capacités mondiales.

Avec TAP

L’article Tunisie et l’Afrique : boom des importations de panneaux solaires chinois et essor de l’énergie solaire est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie : Les investissements étrangers bondissent de 20,8 % au premier semestre 2025

La Tunisie a enregistré une nette progression de ses investissements directs étrangers (IDE) au premier semestre 2025. Selon les données publiées par l’Agence de Promotion des Investissements Extérieurs (FIPA-Tunisie), les flux ont atteint 1650,3 millions de dinars, soit une hausse de 20,8% par rapport à la même période de 2024. Cette dynamique a permis la création de près de 4700 emplois et confirme l’attrait du pays, notamment dans l’industrie et l’énergie.

Entre janvier et juin 2025, les investissements étrangers se sont élevés à 1650,3 millions de dinars, contre 1366 millions un an auparavant. Exprimés en devises, ces flux représentent 537,2 millions de dollars et 492,7 millions d’euros, avec une progression respective de 22% et 21,7%.

En dehors du secteur énergétique, les IDE ont contribué directement à la création de 4677 nouveaux postes. Au total, 623 opérations d’investissement ont été recensées sur cette période, pour une valeur globale de 1242,5 millions de dinars.

L’industrie et l’énergie en tête

L’industrie manufacturière reste la locomotive des IDE, attirant 1031,3 millions de dinars, soit une hausse de 22,9% et représentant 62,9% du total.

Le secteur énergétique a également connu un bond remarquable de 60%, passant de 248,3 à 398 millions de dinars, grâce notamment aux projets liés aux énergies renouvelables et à la reprise de l’exploration pétrolière, avec onze puits forés depuis le début de l’année.

En revanche, les services ont reculé de 24,6%, à 191 millions de dinars, et les investissements de portefeuille ont chuté de 28,3%, à seulement 9,7 millions de dinars.

Le secteur agricole, à l’inverse, a progressé, doublant presque ses entrées pour atteindre 20,1 millions de dinars.

Qui investit en Tunisie ?

Sur le plan géographique, la France demeure le premier partenaire, avec 421 millions de dinars injectés. Elle est suivie par l’Italie (159,4 MD), l’Allemagne (124,2 MD), les Pays-Bas (91 MD) et les États-Unis (88,4 MD).

Du côté arabe, le Qatar s’impose en tête, avec 66,5 millions de dinars d’investissements au premier semestre. Cette diversification des sources reflète l’intérêt persistant de plusieurs régions du monde pour l’économie tunisienne.

Objectifs et perspectives

Ces résultats s’inscrivent dans une stratégie nationale visant à relancer l’attractivité de la Tunisie. Le pays ambitionne d’atteindre 3400 millions de dinars d’investissements étrangers d’ici la fin de 2025 et 4 milliards de dinars en 2026, première année du plan de développement 2023-2026.

Le gouvernement mise sur le renforcement des secteurs stratégiques et sur une meilleure intégration dans les chaînes de valeur mondiales, en particulier dans l’industrie manufacturière et les énergies renouvelables.

L’article Tunisie : Les investissements étrangers bondissent de 20,8 % au premier semestre 2025 est apparu en premier sur webdo.

Sidi Bouzid : extension du réseau d’éclairage public

Les travaux d’extension du réseau d’éclairage public menés par la municipalité de Sidi Bouzid avancent à un rythme soutenu.

Parmi eux figurent la modernisation du réseau en zone urbaine, d’un coût de 380 000 dinars, avec l’installation de poteaux électriques équipés d’ampoules à faible consommation d’énergie.

S’y ajoutent des travaux d’installation d’un réseau d’éclairage public solaire aux intersections, ronds-points et virages dangereux, pour un montant de 450 000 dinars.

« Ces travaux s’inscrivent dans le cadre de l’amélioration de la qualité des infrastructures routières afin de réduire les risques d’accidents », a souligné Mohamed Saleh Khaskhoussi, chargé de la gestion à la municipalité de Sidi Bouzid, à l’Agence TAP.

L’article Sidi Bouzid : extension du réseau d’éclairage public est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

La Tunisie face à son plus grand défi : l’énergie de demain

Selon les dernières données du Bulletin de la conjoncture énergétique de l’Observatoire National de l’Énergie et des Mines pour le mois de juin 2025, la Tunisie se trouve à un tournant critique. Le taux d’indépendance énergétique du pays a chuté de 44 % à 38 % entre 2024 et 2025, signalant une vulnérabilité croissante. La production d’électricité augmente, mais le pays reste dangereusement dépendant du gaz naturel. Si cette situation a permis de répondre à une demande nationale croissante, elle expose la nation à des risques économiques et géopolitiques majeurs.

Le coût de la dépendance : un fardeau économique allégé, mais fragile

Le document officiel révèle une réalité complexe : malgré une dépendance persistante, le déficit de la balance commerciale énergétique s’est amélioré de 7 %, passant de 5 577 MDT à 5 188 MDT à fin juin 2025. Cette amélioration n’est cependant pas le fruit d’une autonomie accrue, mais plutôt le résultat de facteurs externes. La baisse du cours moyen du pétrole Brent (passant de 84 $/bbl à 72 $/bbl) et l’appréciation du dinar tunisien de 2 % face au dollar américain ont considérablement réduit la facture des importations énergétiques.

Cette situation illustre parfaitement la vulnérabilité de l’économie tunisienne : ses finances sont à la merci de la volatilité des marchés internationaux et non d’une maîtrise stratégique de son approvisionnement. En plus de ces fluctuations, la Tunisie subventionne massivement l’énergie pour maintenir des prix bas pour ses citoyens, ce qui représente une lourde charge pour le budget de l’État.

Une production nationale en déclin : l’urgence de la diversification

Le problème est double : non seulement la demande augmente, mais la production nationale est en déclin. Selon le bulletin, les ressources en énergie primaire ont baissé de 8 % au cours des six premiers mois de 2025. Cette chute est due à la diminution de la production nationale de pétrole brut, qui a baissé de 9 % pour atteindre 629 kt, et de celle du gaz naturel, qui a diminué de 5 %.

Face à cette contraction de l’offre locale, la demande d’énergie primaire a, au contraire, augmenté de 6 % au cours de la même période, en particulier pour le gaz (+10 %) et les produits pétroliers (+1 %). Cette divergence entre l’offre et la demande rend la Tunisie encore plus dépendante des importations. Les échanges commerciaux le confirment, avec une diminution des exportations de produits énergétiques de 38 % en valeur, contre une baisse de 15 % des importations.

La dépendance stratégique vis-à-vis de l’Algérie

C’est sur le plan de la sécurité énergétique que cette dépendance se manifeste le plus clairement. La Tunisie est encore fortement liée à l’Algérie pour son approvisionnement en électricité. Selon les données officielles du bulletin, les achats directs d’électricité en provenance d’Algérie ont reculé de 19 % à la fin du mois de juin 2025. Malgré cette baisse, ces importations couvraient encore environ 10 % des besoins du marché national, soulignant une vulnérabilité stratégique qui ne peut être résolue que par une plus grande autonomie.

Le solaire, le futur qui s’éclaire déjà

Heureusement, une lueur d’espoir brille pour l’avenir énergétique de la Tunisie. Le potentiel des énergies renouvelables est immense et leur développement a un effet direct sur l’indépendance du pays. Le bulletin souligne d’ailleurs que la mise en service de la centrale photovoltaïque de Tozeur 2 de 10 MW en juin 2022 est un pas dans la bonne direction.

Pour sécuriser son avenir, la Tunisie doit impérativement accélérer sa transition énergétique. Le soleil tunisien est l’actif le plus précieux du pays. Investir massivement dans le solaire, faciliter les projets privés et encourager l’innovation sont les clés pour construire un avenir énergétique plus sûr, moins coûteux et qui garantira une vraie souveraineté pour tous.

Lire aussi:

L’article La Tunisie face à son plus grand défi : l’énergie de demain est apparu en premier sur webdo.

Tunisie – Transition énergétique : 25 experts formés à la norme ISO 50001

Ce lundi 11 août, la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a remis des certificats aux experts formés à la gestion de l’énergie. Cette formation suit la norme internationale ISO 50001.

La cérémonie s’est tenue au ministère, en présence du secrétaire d’État Wael Chouchane, de la cheffe de cabinet Afaf Chachi Tayari et des représentants de l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ).

Ce programme fait partie du projet « Croissance Qualitative pour l’Emploi » (CQE). Lancé en février 2022, il vise à moderniser l’industrie tunisienne. Le projet aide les entreprises à devenir plus compétitives et à mieux gérer leur consommation d’énergie.

Au total, 45 personnes du secteur public et privé ont suivi cette formation. Parmi elles, 25 ont obtenu une certification officielle. De plus, 22 entreprises industrielles ont reçu un soutien pour mettre en place un système de gestion de l’énergie conforme à la norme ISO 50001.

La ministre a souligné l’importance de former des experts nationaux. Ces experts aideront les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique. Elle a aussi salué l’effort de tous pour construire un avenir industriel durable et respectueux de l’environnement.

La norme internationale ISO 50001 est un cadre volontaire de management de l’énergie qui aide les organisations à améliorer leur performance énergétique, réduire leurs coûts et leurs émissions de gaz à effet de serre (GES).

L’article Tunisie – Transition énergétique : 25 experts formés à la norme ISO 50001 est apparu en premier sur webdo.

Tunisie : Vers une gouvernance renforcée du secteur énergétique

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a dirigé une réunion élargie vendredi 18 juillet. Elle y a rencontré les principaux responsables des entreprises actives dans le domaine de l’énergie : production, transport, stockage, raffinage et distribution.

Le secrétaire d’État à la transition énergétique, Wael Chouchane, et la cheffe de cabinet, Afef Chachi Tayari, étaient également présents.

L’objectif de cette rencontre était clair : faire le point sur la situation financière et technique des entreprises du secteur. Leurs programmes d’action pour les mois à venir ont aussi été examinés.

Lire aussi : Tunisie – Kairouan : La centrale solaire de 100 MW en service en octobre 2025

Ce suivi régulier permet d’identifier les défis actuels et de mieux préparer l’avenir. Plusieurs pistes de réforme ont été évoquées. Elles visent notamment à encourager l’investissement, à améliorer la gestion des ressources énergétiques et à mettre en place des changements structurels.

La ministre a insisté sur la nécessité de renforcer la collaboration entre les acteurs du secteur. Selon elle, cela permettra de garantir la sécurité énergétique du pays tout en répondant aux enjeux environnementaux.

Elle a également appelé à accélérer la mise en œuvre des projets en cours. Pour elle, les énergies renouvelables doivent devenir une priorité, car elles sont essentielles à un développement durable et à la relance de l’économie nationale.

L’article Tunisie : Vers une gouvernance renforcée du secteur énergétique est apparu en premier sur webdo.

Marokko – Preise im Juli leicht rückläufig

InflationRückgang bei Lebensmitteln dämpft den Preisindex VPI, aber steigende Energiekosten belasten Verbraucher und Unternehmen. Rabat – Der Verbraucherpreisindex (VPI) in Marokko ist im Juli 2025 leicht um 0,1 Prozent im Vergleich zum Vormonat gesunken. Laut einer Mitteilung des Haut Commissariat au Plan (HCP) ist dieser Rückgang vor allem auf gesunkene Lebensmittelpreise zurückzuführen, während die Kosten […]

Der Beitrag Marokko – Preise im Juli leicht rückläufig erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Marokko – Energie-Großprojekte NOOR Midelt 2 & 3 an ACWA Power vergeben.

SolarenergieMit der Vergabe der Photovoltaik-Großprojekte NOOR Midelt 2 & 3 an ACWA Power setzt Marokko auf hybride Solarenergie und Batteriespeicher, um seine Energiestrategie bis 2030 zu verwirklichen. Doch es gibt auch kritische Fragen zum Ausschreibungsverfahren. Rabat – Marokko setzt weiter auf erneuerbare Energien – mit einem klaren Fokus auf Solarenergie. Anfang August 2025 wurde bekannt […]

Der Beitrag Marokko – Energie-Großprojekte NOOR Midelt 2 & 3 an ACWA Power vergeben. erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Hydrocarbures : Le géant italien ENI confirme sa présence en Tunisie

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a reçu, mercredi 18 juin au siège du ministère, une délégation de haut niveau de la société italienne ENI, spécialisée dans la production de pétrole et de gaz. La délégation était conduite par Martina Opizzi, directrice de la région Afrique du Nord.

La rencontre s’est déroulée en présence du secrétaire d’État chargé de la transition énergétique, Wael Chouchane, de la cheffe de cabinet Afef Chechi Tlayari, ainsi que de plusieurs hauts responsables du secteur. Étaient également présents Dalila Chebbi Boutour, PDG de l’Entreprise tunisienne des activités pétrolières (ETAP), et Hédi Chaâbane, directeur général par intérim des hydrocarbures.

Les discussions ont porté sur les activités actuelles d’ENI en Tunisie ainsi que sur ses projets d’investissement futurs dans le domaine des hydrocarbures. Les deux parties ont souligné l’importance stratégique de ce secteur dans le soutien à l’économie nationale.

La ministre a salué le rôle historique d’ENI, partenaire stratégique de la Tunisie dans les domaines de l’exploration et de la production pétrolière depuis les années 1960. Elle a réaffirmé la volonté des autorités tunisiennes de poursuivre le soutien à l’investissement et de renforcer la coopération avec la société italienne dans les années à venir.

Pour rappel, la production quotidienne actuelle des concessions d’exploitation dans lesquelles ENI est impliquée s’élève à environ 7 884 barils de pétrole et 467 000 mètres cubes de gaz naturel.

L’article Hydrocarbures : Le géant italien ENI confirme sa présence en Tunisie est apparu en premier sur webdo.

Kumulus Water erhält 3,1 Mio. Euro Startkapital für die Ausweitung nachhaltiger Trinkwasserlösungen

Kumulus Water, das WaterTech-Startup, das Luft in sauberes Trinkwasser verwandelt, hat erfolgreich eine Startfinanzierung in Höhe von 3,1 Millionen Euro erhalten. Die Runde wurde von Mehr

Der Beitrag Kumulus Water erhält 3,1 Mio. Euro Startkapital für die Ausweitung nachhaltiger Trinkwasserlösungen erschien zuerst auf Tunesienexplorer.de.

❌