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Trump n’ira pas au G20 en Afrique du Sud et enverra son vice-président JD Vance

Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi qu’il ne participerait pas au sommet du G20 en Afrique du Sud, qui se tiendrait en novembre prochain, mais qu’il prévoyait envoyer le vice-président JD Vance à sa place.

Il a également indiqué que les Etats-Unis accueilleraient le G20 de l’année prochaine dans son club de golf, le Trump National Doral, près de Miami.

“C’est juste à côté de l’aéroport. C’est le meilleur emplacement. C’est beau”, a dit M. Trump aux journalistes présents dans le bureau ovale, ajoutant que son entreprise familiale “ne fera pas d’argent dessus”.

Lors de son premier mandat en 2019, M. Trump avait abandonné un projet visant à utiliser Doral comme site hôte du sommet du G7 en 2020, à la suite de critiques bipartisanes selon lesquelles cela pourrait lui bénéficier financièrement et violer la Constitution.

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Les États-Unis vont-ils envahir le Venezuela ?

Les États-Unis lanceraient-ils réellement des attaques de grande ampleur contre le Venezuela, voire l’envahiraient-ils, suite à la récente escalade militaire et diplomatique sans précédent entre les deux pays ? Donald Trump roule-t-il les mécaniques en intimidant le régime vénézuélien ? Ou bien le président américain va-t-il mettre sa menace à exécution ? 

Imed Bahri

Ce sont les interrogations auxquelles le magazine américain Newsweek a tenté de répondre dans une analyse de ses journalistes spécialistes de la défense Ellie Cook et John Feng. 

Les experts consultés doutent que le renforcement militaire américain actuel dans le sud des Caraïbes et les eaux avoisinantes constitue les premiers pas vers une invasion. Cependant, le magazine américain estime que le déploiement d’au moins trois destroyers, d’un sous-marin et d’un groupe de débarquement amphibie (ARG) composé de Marines représente une nouvelle escalade dans les relations déjà dégradées entre Washington et Caracas, suscitant l’inquiétude du président vénézuélien Nicolás Maduro.

Campagne de lutte contre les cartels de la drogue

Trump a annoncé mardi dernier que les États-Unis avaient ciblé un navire près du Venezuela. Maduro avait déclaré la veille que son pays était en «alerte maximale» et prêt à répondre à toute éventuelle action militaire américaine.

Des responsables américains ont rapporté le mois dernier que Washington avait déployé trois destroyers équipés de missiles sophistiqués et des milliers de soldats au large du Venezuela dans le cadre d’une campagne de lutte contre les cartels de la drogue et les groupes criminels en Amérique latine.

Le magazine américain a également cité Maduro déclarant qu’il déclarerait une «république armée» si l’armée américaine attaquait son pays, s’engageant à mobiliser 4,5 millions de miliciens pour défendre le Venezuela.

En revanche, le président américain a justifié ce renforcement militaire par sa guerre contre les cartels de la drogue, accusant son homologue vénézuélien de diriger un réseau transnational de «narco-terroristes».

La probabilité d’une invasion reste faible

Newsweek estime que l’absence de relations diplomatiques officielles entre Washington et Caracas et rappelé que les relations entre les deux pays sont extrêmement tendues et dépourvues de toute affinité personnelle apparente entre Trump et Maduro.

Le magazine américain estime que la probabilité d’une invasion est faible, Washington n’ayant pas manifesté clairement son intention d’envahir le pays.

Bien que Maduro ait qualifié le déploiement militaire de «menace historique», les experts militaires y voient davantage une démonstration de force qu’un prélude à une véritable invasion.

Ces experts estiment que Washington ne se risquerait pas à s’engager dans une opération militaire de grande envergure dans un pays aussi complexe que le Venezuela, caractérisé par des montagnes, des jungles et des centres urbains difficiles à contrôler. Cela est d’autant plus vrai que le nombre de militaires déployés ne dépasse pas quelques milliers de soldats ce qui est insuffisant pour une invasion à grande échelle.

Newsweek cite Christopher Sabatini, chercheur sur l’Amérique du Sud à Chatham House à Londres, qui a déclaré au journal britannique The Guardian : «Personne de sensé ne croirait que 4 500 soldats seraient capables d’envahir un pays avec des montagnes, des jungles et plusieurs centres urbains. Ce n’est que du  spectacle des deux côtés»

William Freer, chercheur en sécurité nationale au British Geostrategy Council, a déclaré pour sa part à Newsweek: «Il est toujours difficile de lire les intentions mais l’administration Trump, bien que préoccupée par le rôle du Venezuela dans le trafic de drogue n’a jusqu’à présent montré aucune intention claire d’intervention militaire directe».

Le magazine indique que les scénarios envisagent généralement un débarquement de Marines américains au Venezuela mais Carlos Solar, chercheur au Royal United Services Institute de Londres, s’est montré sceptique quant à cette option: «Si une telle opération devait avoir lieu, elle serait très tardive»

Solar s’attend à ce que l’intervention commence probablement par des attaques de missiles Tomahawk à longue portée visant à détruire les défenses et les capacités militaires du Venezuela ciblant les sites d’approvisionnement, les dépôts de munitions, les radars, les centres de communication et les plateformes de drones.

Il ajoute que les États-Unis ont mené des opérations similaires au Moyen-Orient cette année avec une précision et une efficacité remarquables contre des adversaires mieux équipés que les forces armées vénézuéliennes. Il estime que cette approche minimise les pertes matérielles et humaines américaines et affaiblit considérablement les capacités de l’adversaire.

Les capacités militaires du Venezuela sont très limitées

Selon Solar, le Venezuela, en revanche, aura du mal à riposter, étant donné que les capacités de son armée de l’air sont limitées et inefficaces, ses frégates ne sont pas entretenues et ses sous-marins sont obsolètes. Il affirme que les forces américaines prendront le dessus lors de la deuxième phase grâce à des torpilles, des munitions guidées et des missiles antiaériens.

Selon la presse, cette controverse rappelle l’invasion américaine du Panama en 1989, autorisée par le président George Bush père sous prétexte de traduire en justice son dirigeant Manuel Noriega. Washington y a déployé plus de 20 000 soldats, un nombre bien supérieur aux forces américaines actuellement déployés au large du Venezuela.

Au niveau régional, les renforts américains ont été vivement critiqués par plusieurs pays d’Amérique du Sud notamment Cuba qui les a décrits comme «une démonstration de force agressive contre la souveraineté des peuples du continent»

La Havane a affirmé que les allégations des États-Unis liant le gouvernement légitime du Venezuela et son président Nicolás Maduro à des organisations criminelles impliquées dans le trafic de drogue sont tout simplement absurdes et sans fondement.

Newsweek rappelle cependant que les États-Unis, tout comme les pays européens et sud-américains, ne reconnaissent pas la victoire de Maduro aux élections de juillet 2024.

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L’Afrique du Sud renforce ses liens commerciaux avec l’Inde

Un accord préliminaire a été signé mercredi 3 septembre entre les chambres de commerce d’Afrique du Sud et d’Inde, établissant un cadre de partenariat.

La Chambre de commerce Inde-Afrique du Sud (ISACC) et l’India Commonwealth Trade Council (ICTC) ont annoncé la signature d’un protocole d’accord visant à renforcer les liens économiques. Cette initiative fait suite à la visite de travail du ministre sud-africain du Commerce, de l’Industrie et de la Concurrence, Parks Tau, à New Delhi.

Un protocole d’accord est un document qui décrit un accord entre deux ou plusieurs parties, exprimant une intention commune ou un cadre pour un partenariat ou une action commune.

La signature du protocole d’accord entre l’ISACC et l’ICTC vise à promouvoir la coopération économique mutuelle et le partenariat entre les entreprises indiennes et sud-africaines.

Pradeep Ramlall, de la Chambre de commerce Inde-Afrique du Sud (ISACC), a déclaré qu’il était nécessaire de collaborer avec les chambres de petites entreprises en Inde, « parce que nous avons besoin d’une stratégie ciblée plutôt que d’une approche à grande échelle ».

« Il s’agit de contacts interpersonnels, interentreprises, car de nombreux investisseurs envisagent de pénétrer le marché sud-africain, mais ce protocole d’accord leur permettra de passer par la chambre, où ils ont l’influence appropriée ».

Ramlall a ajouté que la signature de protocoles d’accord avec diverses chambres plus petites à travers l’Inde leur permet également d’impliquer des groupes d’intérêt plus petits, plutôt que de les exclure de la conversation. « Nous avons des objectifs spécifiques et nous nous intéressons également aux infrastructures, car les énergies renouvelables sont un enjeu majeur, et il existe d’autres projets d’infrastructure dans le secteur médical, car l’Inde est devenue une plaque tournante pour les fabricants de génériques à bas prix.

Il a expliqué qu’une chambre joue un rôle important pour attirer les investisseurs et que l’Afrique du Sud accueille favorablement les capitaux propres dans le pays.  « Le marché est ouvert, mais il faut gérer l’entrée sur ces marchés, car il y a toujours la peur d’être dupé, et c’est là que ces chambres jouent un rôle important. »

« De nombreux pays sont isolés et subissent l’impact des droits de douane. Nous souhaitons intervenir et être le point de contact privilégié pour répondre aux besoins financiers de ces pays. Nous ouvrons des portes pour que leur développement ne soit pas affecté », a-t-il conclu.

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