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Qualification Mondial 2026 : l’Allemagne peut-elle encore viser la première place ?

L’Allemagne a démarré sa campagne de qualification pour la Coupe du monde 2026 de la pire des manières. Jeudi soir à Bratislava, la Mannschaft s’est inclinée 2 à 0 face à la Slovaquie, une défaite qui la place déjà dans une situation délicate.

Les Slovaques ont fait la différence grâce à deux réalisations signées David Hancko (42e) et David Strelec (55e). Ce succès leur permet de prendre une longueur d’avance dans un groupe où chaque point comptera.

Une défaite historique pour la Mannschaft

Cette rencontre marque la première défaite de l’Allemagne à l’extérieur dans le cadre d’une qualification pour une Coupe du monde. Jusqu’ici, les revers enregistrés concernaient uniquement des matches à domicile : contre le Portugal en 1985 (1-0), l’Angleterre en 2001 (5-1) et la Macédoine du Nord en 2021 (2-1).

Pour Julian Nagelsmann et ses joueurs, ce revers arrive au pire moment : avec une phase de qualification réduite à seulement six matches, chaque faux pas pèse lourd.

Une obligation de réaction dès dimanche

L’Allemagne n’aura pas le temps de tergiverser. Dimanche soir (20h45), elle accueillera l’Irlande du Nord à Cologne pour un rendez-vous déjà crucial. Les Nord-Irlandais ont entamé leur parcours par une victoire 3-1 au Luxembourg, et se présentent donc avec confiance.

En cas de nouveau contretemps, la Mannschaft verrait ses chances de qualification directe sérieusement compromises, ce qui la contraindrait à passer par les barrages en mars, une étape toujours risquée.

Une histoire presque ininterrompue en Coupe du monde

L’Allemagne, quadruple championne du monde, n’a manqué la phase finale de la compétition qu’à deux reprises dans son histoire : en 1930 et en 1950. Tout échec dans ces qualifications représenterait donc un événement majeur et inédit depuis plus de 70 ans.

Nagelsmann et ses hommes savent désormais qu’ils n’ont plus droit à l’erreur s’ils veulent éviter de graver ce nouveau revers dans les annales.

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Plus de 3 millions de chômeurs en Allemagne

Selon les derniers chiffres publiés vendredi 29 août par l’Office allemand des statistiques, le nombre de chômeurs atteint 3 025 000. C’est la première fois depuis février 2015, période qui a marqué le pic de la crise de l’euro.

Comparée à juillet, la hausse d’août n’est peut-être pas énorme, puisque le nombre de nouveaux chômeurs s’élève à environ 46 000, mais le chiffre de trois millions est considéré comme un seuil psychologique important. Le nombre de chômeurs avait approché les mêmes niveaux en 2020, au plus fort de la première vague de la pandémie du Covid-2019. Les taux les plus élevés sont enregistrés à Brême (11,8 %) et Berlin (10,5 %), tandis que le taux le plus bas est enregistré en Bavière (4,2 %).

Selon l’Office fédéral du travail, la hausse du chômage d’août est en partie due à des facteurs conjoncturels, notamment un ralentissement relatif de l’activité économique durant l’été. Cependant, il est clair que « le marché du travail est toujours affecté par la faiblesse économique de ces dernières années », comme l’indique un communiqué. « On observe quelques premiers signes de stabilisation », affirme la présidente de l’Office fédéral du travail (et ancienne ministre du Travail), Andrea Nahles.

Baisse également du commerce de détail

Autre mauvaise nouvelle pour l’économie allemande : les ventes au détail ont reculé de 1,5 % en juillet, contre une hausse de 1 % en juin. Cette évolution est principalement due à une baisse inattendue et significative des transactions en ligne (-3,8 %).

L’indice de confiance des consommateurs, établi par le cabinet d’études de marché privé GfK, a reculé en août pour le troisième mois consécutif. Ce nouveau recul est attribué à la montée des inquiétudes concernant les pertes d’emplois et à l’incertitude quant à l’évolution de l’inflation, notamment des prix de l’énergie.

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Les signaux mitigés de l’investissement en Tunisie

Alors que les agences spécialisées de l’Etat ne cessent de présenter des chiffres de «croissance remarquable» des investissements directs étrangers (IDE) en Tunisie, l’investissement dans notre pays continue d’envoyer des signaux mitigés : en 2024, les IDE ont enregistré une performance notable avec 2 910,2 millions de dinars tunisiens (MDT), en hausse de 21,4% par rapport à 2023, mais le taux d’investissement global a baissé à 16% du PIB sur la période 2020-2024, avec un faible niveau d’investissement privé intérieur, selon la Cnuced. En raison, notamment, d’un climat des affaires marqué par la crainte, le doute et la suspicion.

Pour revenir aux agences de l’Etat, l’Agence de promotion des investissements étrangers (Fipa) vient de publier des données affirmant que les IDE en Tunisie ont enregistré une croissance remarquable de 20,8 % au cours du 1er semestre 2025, atteignant 1 650,3 MDT, contre 1 366 MDT au cours de la même période en 2024.

Les IDE, hors secteur énergétique, ont créé 4 677 emplois au cours des six premiers mois de l’année. En devises, les flux d’investissement ont atteint 537,2 millions de dollars américains (+22 % par rapport à 2024) et 492,7 millions d’euros (+21,7 %).

Les IDE ont particulièrement stimulé le secteur manufacturier, qui a attiré 1 031,3 MDT, soit une croissance de 22,9 %, représentant 62,9 % du total des IDE.

Le secteur de l’énergie a également progressé de 60 %, passant de 248,3 MDT à 398 MDT, grâce aux projets d’énergies renouvelables et à la reprise de l’exploration pétrolière, avec le forage de 11 puits d’exploration.

En revanche, les investissements de portefeuille ont chuté de 28,3 %, à 9,7 MDT, tandis que le secteur des services a vu ses entrées diminuer de 24,6 %, à 191 MDT. Le secteur agricole, en revanche, a progressé, passant de 11,6 MDT à 20,1 MDT.

Sur le plan géographique, la France reste le premier investisseur avec 421 MDT, suivie de l’Italie (159,4 MDT), de l’Allemagne (124,2 MDT), des Pays-Bas (91 MDT) et des États-Unis (88,4 MDT). Parmi les pays arabes, le Qatar arrive en tête avec 66,5 millions de dinars tunisiens.

Au total, 623 opérations d’investissement ont été réalisées hors énergie, pour un montant de 1 242,5 millions de dinars.

La répartition sectorielle des IDE montre une prédominance des industries manufacturières (62,9 %), suivies de l’énergie (24,3 %), des services (11,6 %) et de l’agriculture (1,2 %).

La Tunisie ambitionne d’atteindre 3 400 MDT d’investissements étrangers d’ici fin 2025, et 4 milliards de dinars en 2026, première année du nouveau Plan de développement (2026-2030).

La Fipa n’explique pas cependant les raisons de son optimisme quand à la relance de l’investissement dans le pays.

I. B.

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La Tunisie a dépensé 16 millions d’euros pour les visas Schengen en 2024

Selon une analyse publiée par Carthage Magazine à partir des données de Schengenvisa.info.com, les citoyens tunisiens ont dépensé plus de 16 millions d’euros en frais consulaires pour les demandes de visa en 2024. Le nombre de demandes a atteint un record historique de 177 951, avec 38 055 rejets, soit un taux de rejet de 21,39 %.

Cette situation nationale s’inscrit dans une tendance européenne de reprise des flux de visas, avec 11,7 millions de demandes déposées en 2024 et plus de 9,7 millions de visas délivrés.

Les données, compilées à partir des statistiques européennes, indiquent que la France est la principale destination des demandeurs tunisiens, avec 106 617 demandes. Paris a approuvé 85 476 visas et en a rejetés 19 626.

La Grèce est le pays qui enregistre le taux de refus de visas le plus élevé pour les Tunisiens, tandis que l’Allemagne affiche le taux d’approbation le plus élevé parmi les principaux pays de destination.

La charge financière s’est alourdie en milieu d’année en raison de l’ajustement des tarifs européens : à compter du 11 juin 2024, le coût des visas de court séjour est passé de 80 € à 90 € pour les adultes et de 40 € à 45 € pour les enfants de 6 à 12 ans. Cela explique l’écart entre l’estimation de «plus de 16 millions d’euros», également rapportée par les médias tunisiens, et l’estimation plus prudente de 14,24 millions d’euros calculée par SchengenVisaInfo à partir de ses propres hypothèses de moyenne annuelle.

Aux seuls frais consulaires, il faut ajouter les frais des prestataires de services externes. Ces frais, qui varient selon le pays et le prestataire, ne sont pas inclus dans les tarifs européens et augmentent le coût réel supporté par les familles.

2024 marque une augmentation à la fois de la demande de visas Schengen et des dépenses globales pour la Tunisie, dans un contexte européen de tarifs actualisés et de procédures externalisées.

L’écart entre les 14,2 millions estimés et les plus de 16 millions déclarés s’explique par des méthodologies différentes et par l’effet combiné des hausses tarifaires et des frais de service.

La question des frais non remboursables en cas de refus reste au cœur du débat public, avec des appels à une plus grande transparence et à un soutien administratif pour réduire les erreurs de procédure.

I. B.

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L’Allemagne suspend ses exportations d’armes vers Israël

L’Allemagne a suspendu « jusqu’à nouvel ordre » toute exportation d’équipements militaires susceptibles d’être utilisés dans la bande de Gaza. Cette mesure marque un tournant significatif dans la politique de Berlin envers Israël, et fait suite à l’annonce par le gouvernement israélien de son intention d’occuper totalement la bande de Gaza.

Dans un communiqué, le chancelier Friedrich Merz a expliqué qu’il devient « de plus en plus difficile pour le gouvernement allemand de voir comment les objectifs de libération des otages et de cessez-le-feu peuvent être atteints » dans le contexte actuel. L’Allemagne, historiquement l’un des alliés les plus fidèles d’Israël et son deuxième plus grand fournisseur d’armes, exprime ainsi de sérieuses réserves sur la stratégie militaire israélienne.

Un soutien historique remis en question

Cette suspension intervient sous une pression croissante, tant internationale que nationale. L’Allemagne a longtemps justifié son soutien militaire à Israël en invoquant une « raison d’État » liée à son passé historique, notamment l’Holocauste. Cependant, la gravité de la catastrophe humanitaire à Gaza a provoqué une réévaluation profonde de cette posture, avec plusieurs voix, y compris au sein de la coalition gouvernementale allemande, demandant un réexamen de la politique d’exportation d’armes.

L’Allemagne est un fournisseur clé pour Israël, notamment avec la vente de systèmes de défense antimissile (comme le système Iron Dome), de véhicules blindés, ainsi que d’armes légères et de pièces détachées.

Dans sa déclaration, Berlin a exprimé sa « profonde préoccupation » face aux souffrances de la population civile à Gaza, insistant sur la responsabilité accrue de l’État hébreu dans l’approvisionnement humanitaire.

Cette décision fait suite à des années de débats et de contestations, notamment de la part d’ONG de défense des droits humains, et traduit une prise de conscience allemande des limites de son soutien inconditionnel face à une crise humanitaire jugée intenable.

Lire aussi: Netanyahu obtient le feu vert pour occuper Gaza-Ville : un nouvel acte du génocide en cours

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Attaque au couteau en Allemagne : douze blessés à la gare centrale de Hambourg

Une femme a été arrêtée après avoir agressé plusieurs personnes au couteau sur un quai de la gare centrale de Hambourg. L’attaque, survenue vendredi 23 mai, a fait douze blessés, dont six en urgence absolue. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances de cet acte violent.

Une violente attaque au couteau s’est produite vendredi en fin de matinée sur un quai de la gare centrale de Hambourg, dans le nord de l’Allemagne. Douze personnes ont été blessées, dont six grièvement, selon les services de secours. Trois victimes présentent des blessures sérieuses, et trois autres ont été légèrement touchées.

Les pompiers et les forces de l’ordre sont rapidement intervenus sur les lieux, transformant le site en zone de secours d’urgence.

La police a interpellé une femme de 39 ans, suspectée d’être l’auteure de l’attaque. D’après les premières constatations, elle aurait agi seule. Les motivations de cette agression restent à ce stade inconnues.

L’entreprise ferroviaire Deutsche Bahn a annoncé d’importants retards et des annulations de trains, en raison de l’opération de sécurisation et des investigations en cours.

Cet événement survient alors que l’Allemagne est confrontée à une hausse des attaques à l’arme blanche. Le 17 mai dernier, quatre personnes avaient été blessées dans une agression similaire à Bielefeld.

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Allemagne : Une attaque à la hache fait quatre blessés dans un train

Ce jeudi 3 juillet, un homme a attaqué plusieurs passagers à bord d’un train InterCity-Express (ICE) reliant Hambourg à Vienne. L’attaque s’est produite alors que le train traversait la Bavière, dans le sud-est de l’Allemagne. Quatre personnes ont été légèrement blessées.

Vers 13h55, le suspect a agressé les voyageurs avec une hache. Plusieurs passagers se sont alors unis pour le maîtriser. Ils ont aussi actionné le frein d’urgence, ce qui a permis au train de s’arrêter sur une voie libre.

La police, les pompiers et les équipes d’urgence de la Deutsche Bahn sont rapidement intervenus. Le suspect, blessé au cours de l’altercation, a été transporté par hélicoptère à l’hôpital. Les autorités enquêtent toujours pour comprendre les circonstances exactes de l’attaque.

Certains médias évoquent une origine syrienne pour l’agresseur, mais la police ne l’a pas confirmée.

Cette attaque survient alors que l’Allemagne fait face à plusieurs agressions à l’arme blanche ces derniers mois. Certaines ont été liées à des actes djihadistes ou à des violences d’extrême droite. Le 23 mai dernier, une attaque au couteau à la gare de Hambourg avait fait douze blessés.

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