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Tunisie – Hausse de 4 % du prix du mètre carré d’appartement au premier semestre 2025

Le marché immobilier résidentiel tunisien a enregistré une appréciation des prix au cours du premier semestre 2025, selon un rapport du site spécialisé « Mubawab ».

Ainsi, le prix moyen au mètre carré des appartements en Tunisie a augmenté de 4 % au premier semestre 2025 par rapport à la même période de 2024. Les appartements neufs ont connu une hausse plus marquée de 5 %, accentuant l’écart de prix avec les logements anciens.

Face à cette inflation des prix, la demande pour les appartements, qu’ils soient neufs ou anciens, a reculé de 1 % sur un an, tandis que l’offre a progressé de 3 %. Les logements anciens dominent le marché avec 59 % de l’offre totale, contre 41 % pour les neufs.

En termes de préférence, la demande s’est portée principalement sur les appartements de type F3 (salon + deux chambres), suivis des F4 (salon + trois chambres) qui ont représenté 32 % des recherches.

Quant aux superficies les plus recherchées, elles sont comprises entre 90 et 180 mètres carrés.

Géographiquement, la région de La Marsa a concentré à elle seule 20 % de la demande totale, se positionnant comme la zone la plus prisée. Elle est suivie par l’Ariana (11,9 %), La Soukra et Hammamet, ex æquo avec 9 % chacune.

Selon Mubawab, ces indicateurs dessinent une image claire des tendances du marché et offrent une base solide pour des décisions d’achat ou de vente éclairées.

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Décès d’un ressortissant tunisien à Marseille : le chargé d’affaires français convoqué au ministère des Affaires étrangères

À la suite du décès tragique du citoyen tunisien, Abdelkader Dhibi, survenu le mardi 2 septembre 2025 à Marseille dans des circonstances impliquant les forces de l’ordre françaises, les autorités tunisiennes ont exprimé leur profonde indignation.

Sur instruction du président de la République, Kaïs Saïed, le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ben Ayed, a convoqué, dans l’après-midi du mercredi 3 septembre, le chargé d’affaires par intérim de l’ambassade de France à Tunis, en l’absence de l’ambassadrice actuellement en déplacement.

Au cours de cet entretien, une protestation officielle lui a été transmise, dénonçant ce que la Tunisie considère comme un « recours injustifié à la force létale ».

Dans un communiqué publié à l’issue de cette rencontre, le ministère des Affaires étrangères a fermement condamné l’incident, qualifié de « gravement préoccupant », et a appelé les autorités françaises à l’ouverture immédiate d’une enquête indépendante, approfondie et transparente, en vue d’établir les faits et de déterminer les responsabilités.

Le ministère a également souligné l’importance d’une action judiciaire équitable et rapide, tout en affirmant que la Tunisie suivra de près le déroulement de cette affaire. Il a réitéré sa volonté de veiller à ce que les droits de la victime et de sa famille soient pleinement respectés, et à ce que justice leur soit rendue.

Par ailleurs, sur instruction du chef de l’État, l’ambassadeur de Tunisie à Paris a été chargé de transmettre la position officielle des autorités tunisiennes à ses interlocuteurs français et de coordonner, en lien avec le consulat général à Marseille, les démarches relatives au rapatriement de la dépouille.

Le ministère a également pris contact avec la famille du défunt pour lui présenter ses condoléances et l’informer des actions entreprises par l’État tunisien.

La Tunisie réaffirme à cette occasion son attachement indéfectible à la protection de ses ressortissants à l’étranger et à la défense de leurs droits, dans le respect des conventions internationales et des principes de justice.

Affaire à suivre.

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Kaïs Saïed et Abdelmajid Tebboune s’engagent à renforcer la coopération tuniso-algérienne

Le président de la République, Kaïs Saïed, est arrivé dans la soirée du mercredi 3 septembre à Alger pour participer aux travaux de la quatrième édition du Salon Africain du Commerce Intra-africain, qui se tiendra en Algérie du 4 au 10 septembre 2025.

À son arrivée à l’aéroport international Houari Boumédiène, il a été accueilli par le président algérien Abdelmadjid Tebboune. Les deux chefs d’État ont honoré les drapeaux nationaux au son des hymnes officiels des deux pays, puis ont passé en revue un détachement militaire leur rendant les honneurs.

Lire aussi: IATF 2025 à Alger : Booster le commerce et l’innovation au cœur de l’Afrique

Ensuite, ils ont tenu une longue séance de travail au cours de laquelle ils ont particulièrement mis en avant les relations bilatérales excellentes entre l’Algérie et la Tunisie ainsi que les liens fraternels unissant leurs peuples. Ils ont également abordé plusieurs questions régionales et internationales d’importance commune.

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Marokko – König Mohammed VI. leitet religiöse Feier zum Eid Al-Mawlid in Rabat

KönigIn der Hassan-Moschee in Rabat wird das islamische Fest Eid Al-Mawlid Annabaoui Acharif mit einer offiziellen Mahnwache begangen. Rabat – König Mohammed VI. wird am heutigen Donnerstag, dem 4. September 2025, in seiner Rolle als Amir al-Mouminine (Führer der Gläubigen) eine religiöse Mahnwache in der Hassan-Moschee von Rabat leiten. Laut einer Mitteilung des Ministeriums für […]

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Coopération Tunisie-BERD : alignement sur les objectifs du plan de développement 2026-2030

La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) réaffirme sa détermination à soutenir les programmes et projets de la Tunisie, tant par le financement que par l’assistance technique. Cet engagement fait suite à une convergence de vues entre les deux parties sur les priorités de développement. Cette position a été exprimée par Catherine Stewart, membre du Conseil d’administration de la BERD, lors d’une rencontre, mercredi 3 septembre, avec le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh.

En visite de travail actuellement en Tunisie, Catherine Stewart s’est entretenue avec Samir Abdelhafidh sur les relations de coopération financière et technique entre la Tunisie et la Banque, et des moyens de les renforcer à l’avenir, en adéquation avec les priorités de développement du pays.

Abdelhafidh a souligné la nécessité de consolider davantage ce partenariat, en le alignant sur les objectifs et les priorités nationales.

Lors de cette réunion, qui s’est tenue en présence de la directrice du bureau de la BERD à Tunis, Nodira Mansurova, le ministre a également présenté les indicateurs d’amélioration de la situation économique au cours de la période récente. Il a aussi exposé les grandes orientations du développement de la Tunisie, intégrées dans le plan 2026-2030, qui mettent l’accent sur la complémentarité entre les dimensions économique et sociale.

Avec TAP

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Réaction du ministère des Affaires étrangères au décès du ressortissant tunisien

Le ministère des Affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens à l’étranger a annoncé via un communiqué officielle que suite au décès du citoyen tunisien Abdelkader Dheibi, survenu le 2 septembre 2025 à Marseille, et conformément aux instructions du président de la République, le secrétaire d’État auprès du Ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger a convoqué, cet après-midi du 3 septembre 2025, le chargé d’affaires par intérim de l’Ambassade de France à Tunis, en l’absence de l’ambassadrice française hors du territoire, pour lui exprimer une vive protestation contre ce meurtre commis par des membres des forces de l’ordre françaises.

Les services du ministère des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger ont également contacté la famille du défunt pour présenter leurs condoléances et l’informer de toutes les démarches entreprises pour garantir les droits du défunt et de ses proches.
La Tunisie réaffirme son engagement total et sa grande vigilance à protéger les intérêts de tous les Tunisiens et à les défendre partout où ils se trouvent à l’étranger.

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Tunisie-Égypte : une feuille de commune pour des projets concrets en Afrique

L’Égypte est prête à accueillir la 18e session de la Commission supérieure mixte tuniso-égyptienne. Celle-ci se tiendra du 8 au 11 septembre 2025 au Caire, comme l’a indiqué l’ambassadeur de la République arabe d’Égypte en Tunisie, Bassem Yahya Hassan, à l’issue d’une rencontre avec le ministre de l’Équipement et du Logement, Salah Zouari.

Cette entrevue a été l’occasion d’examiner les perspectives de coopération bilatérale et les moyens de les renforcer. L’objectif est de faciliter la participation d’entreprises tunisiennes et égyptiennes, œuvrant dans le domaine de la promotion immobilière, à la réalisation de grands projets en Tunisie, en Égypte et dans d’autres pays africains, dans les secteurs de la construction et des travaux publics.

De son côté, M. Zouari a souligné l’importance de la mise en œuvre effective des accords et des mémorandums d’entente conclus entre les deux parties.

Avec TAP

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Marokko – Neues Erdbeben erschüttert die Provinz Al Haouz

ErdbebenEin Beben der Stärke 4,6 hat am frühen Morgen Teile der Region südlich von Marrakesch getroffen. Die Bevölkerung erinnert sich an die schweren Folgen des Vorjahres. Marrakech – Am Dienstagmorgen, den 3. September 2025, wurde in der Provinz Al Haouz ein Erdbeben der Stärke 4,6 registriert. Das Nationale Institut für Geophysik meldete das Epizentrum in […]

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Marokko – Rekordüberweisungen von Auslandsmarokkanern stützen Zahlungsbilanz

DevisenGeldtransfers (Rücküberweisungen) der Diaspora (MRE) erreichen 2024 ein historisches Hoch und gewinnen für Wirtschaft und Haushaltsbilanz weiter an Bedeutung. Rabat – Die Überweisungen von im Ausland lebenden Marokkanern (MRE) haben im Jahr 2024 ein neues Rekordniveau erreicht. Nach Angaben des Office des Changes beliefen sich die Einnahmen auf 119 Milliarden marokkanische Dirham MAD. Dies entspricht […]

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L’Inde, roi des tarifs douaniers ? Pas vraiment

Il existe une perception répandue, mais erronée, selon laquelle les droits de douane indiens seraient excessivement élevés. Des facteurs subjectifs entrent en jeu dans la définition d’un pays, comme la qualité de vie, la courtoisie publique ou même l’accueil des étrangers. Or, les droits de douane sont quantifiables et la subjectivité ne devrait pas avoir sa place. Examinons donc les faits.

 

Avant cela, il pourrait toutefois être utile au lecteur lambda de comprendre la fonction des droits de douane dans un pays en développement à faible revenu comme l’Inde, par opposition à un pays développé à revenu élevé comme les États-Unis. Traditionnellement, les pays en développement à faible revenu utilisent les droits de douane pour deux raisons : protéger leur industrie nationale et en tirer des recettes. La protection de l’industrie nationale est un argument accepté par les économistes du monde entier, surtout si l’industrie est naissante et que le pays doit développer une base industrielle. Il existe également une fonction de génération de recettes, comme le montrent les droits de douane sur l’alcool ou les motos de luxe, par exemple.

 

Les droits de douane indiens, élevés dans les années 1980, ont été considérablement réduits depuis le lancement des réformes de 1991 et lors des négociations du Cycle d’Uruguay, qui ont conduit à la création de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Depuis lors, la tendance séculaire en Inde est à une réduction progressive des droits de douane applicables, année après année.

 

D’un point de vue technique, les pays appliquent deux types de droits de douane. Le premier est le droit de douane appliqué, qui, comme son nom l’indique, correspond au droit de douane réel (généralement ad valorem ) imposé à la frontière lorsqu’un bien étranger entre dans un pays.

 

L’autre est celui des tarifs consolidés, qui constituent le tarif maximum qu’un pays peut imposer sur un produit étranger en vertu d’une obligation légale découlant de ses engagements de nation la plus favorisée (NPF) envers l’OMC.

 

Il va sans dire que la guerre tarifaire lancée par les États-Unis viole leurs engagements au titre des accords de l’OMC. Or, l’OMC elle-même est moribonde depuis un certain temps. Il convient également de noter que les droits de douane ne peuvent être identiques pour tous les pays. Il est évident que les pays en développement à faible revenu se verront imposer des droits de douane plus élevés (pour les raisons évoquées précédemment) que les pays du G7.

 

Alors, où se situe l’Inde dans tout cela ? Lorsque l’Inde est évaluée sur la base de ses droits de douane, deux paramètres sont utilisés : la moyenne simple des droits de douane et les droits pondérés en fonction des échanges. Si l’on utilise la première mesure, les droits de douane indiens semblent élevés ( 15,98 % ). Mais cela est à bien des égards théorique, car pour la plupart des biens entrant sur le marché indien, c’est le droit de douane appliqué pondéré en fonction des échanges qui compte. Or, le droit de douane pondéré en fonction des échanges que l’Inde maintient est de 4,6 %, un niveau très respectable. Ce niveau de droits de douane contredit les affirmations selon lesquelles l’Inde serait un roi des droits de douane. Les moyennes simples faussent la situation, car elles traitent tous les produits de la même manière, quel que soit le volume des échanges. Alors, pourquoi y a-t-il une telle différence entre la moyenne simple des droits de douane et les droits pondérés en fonction des échanges de l’Inde ?

 

L’Inde maintient des droits de douane relativement élevés sur l’agriculture et l’automobile. Dans les deux cas, l’objectif principal de ces droits est de protéger l’industrie nationale. L’agriculture indienne est unique en son genre et ne ressemble à aucun autre grand pays au monde. Environ 50 % de la population indienne, immense, dépend directement ou indirectement de l’agriculture. De plus, l’agriculture indienne n’est pas mécanisée et les exploitations agricoles sont si petites que l’agriculture est une question de survie et non de commerce. Demander à l’Inde d’ouvrir son secteur agricole aux importations revient à lui demander de se suicider, ce qu’aucun gouvernement élu indien n’accepterait. Cette demande est d’autant plus flagrante que les agriculteurs occidentaux bénéficient de subventions directes et indirectes.

 

Compte tenu de tout cela, l’Inde maintient des droits de douane relativement élevés sur les produits agricoles, avec des taux moyens d’environ 33 % sur la viande, les produits laitiers, les fruits et les céréales. Mais cela n’est pas surprenant si l’on considère que le taux moyen de l’ Union européenne est de 37,5 % sur les produits laitiers, allant jusqu’à 205 %, et jusqu’à 261 % sur les fruits et légumes. Comparez cela au Japon , dont le taux est de 61,3 % sur les produits laitiers, allant jusqu’à 298 %, et jusqu’à 258 % sur les céréales, et 160 % sur la viande et les légumes. Ou encore à la Corée du Sud , dont la moyenne est de 54 % sur les produits agricoles, 800 % sur les légumes et 300 % sur les fruits. Qui est le roi des droits de douane dans l’agriculture, pourriez-vous demander ? Quant à l’automobile, ce secteur crée des emplois de masse et est crucial pour cette raison.

 

Même les niveaux tarifaires moyens simples de l’Inde, à 15,98 %, sont conformes aux normes mondiales pour les économies en développement. Le Bangladesh (14,1 %), l’Argentine (13,4 %) et la Turquie (16,2 %), qui sont tous des pays ayant un PIB par habitant comparable ou supérieur, maintiennent des tarifs similaires ou plus élevés.

 

Concernant les États-Unis affirmant que leurs exportations de produits non agricoles sont confrontées à des barrières tarifaires en Inde , il convient de noter que les exportateurs américains sont souvent confrontés à des droits de douane équivalents, voire inférieurs, en Inde par rapport à de nombreux concurrents asiatiques. Dans le secteur de l’électronique et des technologies, par exemple, l’Inde applique des droits de douane nuls sur la plupart des matériels informatiques, semi-conducteurs, ordinateurs et pièces détachées, avec des droits de douane moyens de 10,9 % sur l’électronique et de 8,3 % sur les machines informatiques.

 

En comparaison, le Vietnam applique un tarif douanier de 8,5 % sur les équipements électroniques, pouvant aller jusqu’à 35 %. La Chine applique un tarif douanier de 5,4 %, pouvant aller jusqu’à 20 % sur les produits électroniques et jusqu’à 25 % sur les machines informatiques. L’Indonésie applique un tarif douanier de 6,3 % sur les équipements électroniques, pouvant aller jusqu’à 20 %, et jusqu’à 30 % sur les machines informatiques.

 

Il est vrai que l’Inde maintient une protection tarifaire justifiée sur ses marchés agricoles, laitiers et automobiles pour des raisons valables. Mais ses droits de douane pondérés en fonction des échanges appliqués dans d’autres secteurs ne justifient en rien son appellation de « roi des tarifs douaniers ».

 

 

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*Dr Mohan Kumar est un ancien ambassadeur indien et directeur général du nouvel Institut Jadeja Motwani pour les études américaines à l’Université mondiale OP Jindal.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur.

 

 

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Tourisme et transferts des expatriés : un pactole de 11 milliards de dinars

Les revenus cumulés des transferts des Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) ont enregistré une progression de 8,28% à 5,79 milliards de dinars (Mrds) au 31 août 2025 contre 5,34 milliards de dinars à la même date en 2024. C’est ce qui ressort des indicateurs monétaires et financiers publiés par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

Pour leur part, les recettes touristiques ont augmenté de 8,60% pour atteindre 5,44 milliards de dinars contre 5,01 milliards de dinars une année auparavant.

Au total, les transferts et les recettes du tourisme cumulés se sont élevés à plus de 11 milliards de dinars au 31 août 2025, contre 10,36 milliards à la même date en 2024.

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Sécurité routière : le nombre de morts en hausse de plus de 8 %

Le dernier bilan de l’Observatoire national de la sécurité routière (ONSR) fait froid dans le dos. En effet, les accidents de la route ont fait 8,39 % de morts en plus sur les huit premiers mois de 2025; et ce, par rapport à la même période l’an dernier.

Rien que pour la journée du dimanche 31 août, quatre accidents ont coûté la vie à cinq personnes, faisant également cinq blessés. C’est ce qu’il ressort des données publiées sur le site officiel de l’observatoire.

Face à cette recrudescence, les autorités redoublent d’efforts en matière de prévention. Mardi, une nouvelle campagne de sensibilisation a été menée à Bizerte, le long de la route nationale n°11. Objectif : rappeler aux automobilistes les dangers de la vitesse excessive, l’importance de la ceinture de sécurité et l’interdiction du téléphone au volant.

L’Observatoire national de la sécurité routière entend poursuivre ses actions à travers le pays, dans l’espoir d’enrayer une tendance inquiétante sur les routes tunisiennes.

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Qualité du service Internet : l’OTIC tire la sonnette d’alarme

L’Organisation tunisienne pour informer le consommateur (OTIC) désigne les principaux fournisseurs d’accès à Internet et de services de télécommunications comme responsables de la détérioration constante de la qualité des services et du non-respect de leurs engagements contractuels.

Dans un communiqué, l’organisation fustige le fait que les fournisseurs de services continuent à ignorer les plaintes des consommateurs et à commercialiser des offres trompeuses qui ne reflètent pas la réalité technique du service.

En effet, l’OTIC affirme que certaines lignes téléphoniques réservées aux réclamations sont hors service ou non programmées. De même que les centres d’appel mettent souvent les consommateurs en attente sans aucune réponse.

Elle dénonce en outre l’absence de mécanismes d’indemnisation des consommateurs lésés. Et ce, malgré les interruptions fréquentes et prolongées et la mauvaise qualité du service.

Considérant que le secteur des télécommunications n’est pas un simple service de communication ou un luxe, mais un service vital qui touche à tous les aspects de la vie quotidienne des consommateurs (études, travail, transactions financières, services administratifs…), l’OTIC estime que la situation exige une intervention urgente de l’autorité de tutelle pour freiner la hausse des prix et garantir la prise en compte du pouvoir d’achat des Tunisiens.

Responsabilité des prestataires et indemnisation des consommateurs

Elle a ainsi appelé les autorités de tutelle et l’Instance Nationale des Télécommunications (INT) à engager immédiatement la responsabilité légale de tous les prestataires de services en infraction et à appliquer les sanctions financières et pénales prévues par le Code des télécommunications et les dispositions en vigueur.

Les fournisseurs sont appelés, poursuit l’OTIC, à mettre en place des mécanismes d’indemnisation obligatoires des consommateurs en cas de défaillance ou d’interruption du service. Mais aussi à suspendre immédiatement toutes les publicités mensongères et à poursuivre quiconque est impliqué dans la commercialisation d’offres ou de débits ne reflétant pas la réalité technique du service.

L’OTIC appelle, par ailleurs, à imposer la publication du lien dédié à la réception des plaintes sur le site de l’INT, de manière visible et obligatoire, sur tous les canaux des fournisseurs internet (sites web officiels, locaux commerciaux, centres d’appel, réseaux sociaux, supports papier et numériques) et à le mentionner dans toutes leurs campagnes publicitaires, offres promotionnelles et contrats-clients.

De plus, l’INT devrait, selon l’organisation, inviter les consommateurs, par le biais de SMS, de réseaux sociaux et de médias audiovisuels, à déposer leurs plaintes via son site web http://www.intt-info-conso.tn/Reclamations/login.php. Et ce, afin qu’elle puisse les suivre et prendre les mesures nécessaires.

L’OTIC a indiqué qu’elle n’acceptera pas que ce chaos numérique perdure et qu’elle procèdera par tous les moyens légaux à sa disposition pour mettre fin à ces abus et protéger les consommateurs.

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L’événement Ultra Mirage El Djerid peut compter sur le soutien d’Assurances BIAT : 350 participants attendus

Quelque 350 participants de 28 nationalités sont attendus à la 9ème édition du marathon « Ultra Mirage El Djerid ». Il est prévu du 25 au 28 septembre 2025 dans le désert de Tozeur. L’annonce a été faite par le comité d’organisation, mardi 2 courant, lors d’une conférence de presse.

La 9ème édition sera marquée par le lancement d’une nouvelle course de 25 km spécialement conçue pour les coureurs amateurs. Et ce, en complément des distances traditionnelles de 50 et 100 km, précisent les organisateurs. Lesquels visent à rendre l’événement plus inclusif et accessible à un public plus large.

« Le succès est déjà au rendez-vous, avec un fort engouement pour cette nouvelle distance », a souligné l’organisateur, Amir Belkacem.

Il a, par ailleurs, annoncé que le lieu de départ de la course sera changé. En effet, les coureurs s’élanceront cette année depuis le lac Chamsa, l’un des joyaux naturels du désert du Djerid, remplaçant ainsi le site emblématique de Ong Jemal à Nefta.

Sécurité des coureurs

Côté sécurité, il a indiqué que le marathon connaîtra aussi une nouveauté avec l’introduction de dispositifs de géolocalisation par satellite (GPS) pour les participants des courses de 50 et 100 km. Ces dispositifs permettront un suivi en temps réel par les organisateurs et les familles, en Tunisie comme à l’étranger. Ce qui constitue une avancée technologique majeure pour ce type de course, a-t-il dit.

Dans ce cadre, les trois différentes courses enregistreront la participation de 350 participants de 28 nationalités. Ce qui témoigne du succès continu de l’Ultra Mirage. Amir Belkacem estime que ces chiffres en font l’événement sportif le plus important en Tunisie impliquant des sportifs étrangers. D’autant plus que ce marathon se déroule dans des zones désertiques et non dans des zones côtières touristiques.

Assurances BIAT poursuit son engagement…

De son côté, Mehdi Masmoudi, directeur général d’Assurances BIAT, partenaire du marathon, s’est réjoui de soutenir un événement qui allie sport, aventure, culture et solidarité. Tout en soulignant l’engagement de son entreprise à promouvoir des valeurs de partage et de dépassement de soi.

Organisé chaque année au cœur du désert du Djerid, l’Ultra Mirage El Djerid est un marathon se déroulant dans des conditions extrêmes pouvant atteindre 40 °C et des parcours exigeants à travers les dunes et les pistes rocailleuses.

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Tunisie : bonne nouvelle pour les personnels éducatifs

Le gouvernement a officialisé l’intégration des agents d’encadrement scolaire et des assistants de laboratoires dans le corps des fonctionnaires du ministère de l’Éducation.

Publié mercredi au Journal Officiel de la République tunisienne (Jort), le décret n° 2025-403, daté du 1er septembre 2025, concerne tous les agents chargés d’encadrer et d’accompagner les élèves dans les collèges et lycées, ainsi que ceux qui assistent les enseignants dans les laboratoires scientifiques.

Cette mesure prend effet à compter du 2 septembre 2025, date de publication du texte et bénéficie à l’ensemble des agents relevant du ministère de l’Éducation qui ont maintenu leur activité jusqu’au 30 juin 2025.

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Météo : ciel dégagé, températures stables 

Selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie pour ce mercredi 3 septembre 2025, le temps sera dégagé à peu nuageux sur l’ensemble du pays.

Le vent soufflera de secteur nord sur le nord et de secteur est sur le centre et le sud, assez fort près des côtes orientales, sur le golfe de Tunis et dans le sud avec des tourbillons de sable locaux, et faible à modéré ailleurs. La mer sera agitée.

Les températures resteront stables : elles varieront l’après-midi entre 24 et 30 °C dans les régions de l’ouest, entre 27 et 34 °C sur les côtes et atteindront 38 °C à Tozeur.

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Tunisie – Budget 2026 : le gouvernement en mode planification

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri, a présidé, mardi 2 septembre 2025, un conseil ministériel consacré à l’examen du projet du budget économique 2026.

Lors de cette réunion, lit-on dans un communiqué, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri, a recommandé de renforcer les fondements de l’État social et d’œuvrer à la relance de la croissance économique.

En matière d’emploi et de lutte contre le chômage, le conseil a recommandé une série de mesures, dont notamment, la mise en place d’un programme de nouvelles recrues dans la fonction publique en 2026, la poursuite de la mise en œuvre du programme de régularisation des emplois précaires, la lutte contre l’emploi précaire et l’interdiction de la sous-traitance, ainsi que le renforcement du travail décent avec un salaire équitable et une protection sociale.

Le Conseil a également recommandé de soutenir les groupes vulnérables et les familles à faible revenu et d’œuvrer à leur intégration économique et à l’amélioration de leurs conditions de vie.

Il a également appelé à la nécessité d’améliorer la qualité des services et de veiller à les rapprocher des citoyens, notamment en matière de santé, d’éducation et de transport.

Plaidoyer pour davantage d’investissements publics

Volet croissance économique, les recommandations ont porté sur la promotion des investissements publics, avec un développement équitable en symbiose avec le plan de développement quinquennal 2026-2030.

Il s’agit également d’œuvrer à diversifier les sources de financement des investissements, à promouvoir les investissements dans le domaine des énergies renouvelables et à intégrer l’économie parallèle et l’investissement dans le développement équitable en s’appuyant sur les résultats des travaux des conseils locaux, régionaux et des districts.

Le Conseil a, en outre, passé en revue les perspectives économiques mondiales et le contexte national dans les domaines économique, social, technologique et environnemental, ainsi que les hypothèses liées aux politiques économiques et les estimations et les objectifs de croissance, son modèle et les taux prévus pour 2026.

Dans ce contexte, un accent particulier a été mis sur la croissance du produit intérieur brut, le développement des secteurs productifs, du secteur agricole, des industries manufacturières et non manufacturières, du secteur des services, de l’investissement, du commerce extérieur et du secteur des phosphates.

Equilibre durable entre justice sociale et efficacité économique

Le Conseil a, par ailleurs, examiné le plan de développement découlant des attentes des conseils élus et visant à atteindre un équilibre durable entre justice sociale et efficacité économique et axé sur les volets suivants :

– Renforcer l’intégration économique et sociale et consacrer le principe de justice sociale en élargissant la base de la protection sociale et en améliorant la couverture sociale et sanitaire des catégories à faible revenu.

– Faciliter l’accès aux services (transports, santé, éducation) et aux équipements publics de base, soutenir les sources de revenu et renforcer les mécanismes d’intégration économique des catégories vulnérables.

– Valoriser le capital humain et renforcer les capacités nationales au moyen d’une réforme globale du système d’éducation, d’enseignement supérieur et de formation professionnelle, en mettant l’accent sur l’amélioration de la qualité de l’enseignement à tous les niveaux et la consolidation de la transition numérique dans les méthodes d’apprentissage et d’enseignement.

Ces mesures doivent être décrétées parallèlement à l’amélioration des services de santé et l’élargissement de la couverture sanitaire universelle, ainsi que le soutien à la recherche scientifique et la stimulation de l’innovation, compte tenu de l’importance de ces domaines dans l’amélioration de la compétitivité de l’économie nationale et la réalisation de la durabilité.

 

Ces mesures doivent être décrétées parallèlement à l’amélioration des services de santé et l’élargissement de la couverture sanitaire universelle, ainsi que le soutien à la recherche scientifique et la stimulation de l’innovation,

 

– Améliorer la compétitivité de l’économie, stimuler l’investissement à travers l’intégration territoriale et l’équité spatiale et la consolidation de l’intégration entre les régions.

Plaidoyer pour une amélioration du climat des affaires

Le conseil a recommandé, à ce propos, de continuer à améliorer le climat des affaires et à simplifier les procédures administratives, à moderniser l’administration et à favoriser la transition numérique.

Pour ce faire, le gouvernement œuvrera à soutenir l’économie de la connaissance, à développer les infrastructures, à renforcer l’intégration territoriale et la justice spatiale, et à consolider l’intégration entre les régions en adaptant les investissements publics aux priorités de la politique de développement régional.

Renforcer le rôle des conseils élus

Il a été décidé également de renforcer davantage le rôle des conseils élus dans la définition des priorités et la mise en œuvre des projets de développement.

–  Consacrer la durabilité dans ses dimensions économiques, sociales et environnementales en développant l’économie verte et l’économie circulaire, tout en renforçant l’efficacité énergétique et le recours aux énergies renouvelables.

A ce titre, le conseil insiste sur la gestion rationnelle des ressources naturelles et la protection des écosystèmes et de la biodiversité en veillant autant que possible à intégrer la dimension environnementale pour renforcer la résilience face aux défis climatiques.

 

Le conseil insiste sur la gestion rationnelle des ressources naturelles et la protection des écosystèmes et de la biodiversité en veillant autant que possible à intégrer la dimension environnementale pour renforcer la résilience face aux défis climatiques.

 

Importance des fonctions du bilan économique

La cheffe du gouvernement a souligné l’importance des fonctions du bilan économique en tant que document d’orientation visant à traduire la politique économique et sociale de l’État, à définir ses priorités et à présenter une vision globale des équilibres économiques et sociaux.

Ce document, a-t-elle dit, permet également d’élaborer des plans d’action, des programmes et des projets pour parvenir à un développement global et équitable et une croissance économique répondant au souci de la justice sociale, en prenant en ligne de compte les résultats des travaux des conseils locaux, régionaux et des districts dans le cadre de l’élaboration du plan de développement pour la période 2026-2030, conformément à une nouvelle vision du développement fondée sur la construction de base et la planification ascendante.

Une approche à travers laquelle les trois conseils locaux, régionaux et des districts joueront un rôle clé  conformément aux principes de la Constitution et à la vision prônée par le président de la République.

 

Il est indispensable d’assurer les conditions d’une vie décente et à instaurer la justice sociale entre les différentes catégories sociales.

 

Quid du budget économique pour l’année 2026 ?

Elle a également souligné que le budget économique pour l’année 2026 reflète les choix et les orientations nationales en matière de construction et de développement.

Ces choix et orientations visent notamment à :

– Assurer les conditions d’une vie décente et à instaurer la justice sociale entre les différentes catégories sociales.

– Ouvrir de nouvelles perspectives à toutes les catégories et soutenir l’investissement.

– Renforcer les sources de création de richesse à travers une exploitation optimale des capacités de production.

– Confirmer la reprise économique et renforcer la capacité de résilience de l’économie nationale face aux crises.

– Entamer la mise en œuvre des projets proposés par les conseils locaux, régionaux et des districts à partir de 2026.

– Engager davantage de réformes et de programmes visant à améliorer la performance des politiques publiques.

– Améliorer le rythme d’exécution des projets publics et privés.

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La séance boursière termine en baisse

La séance boursière de mardi 2 septembre 2025 s’est clôturée sur une note négative, avec l’indice de référence qui a reculé de -0,34% pour atteindre 11 871,76 points, dans un volume d’échanges substantiel de 18 millions de dinars, selon l’intermédiaire en Bourse « Tunisie Valeurs ».

Deux transactions de bloc ont porté sur le titre SAH LILAS, totalisant un montant de 2,3 millions de dinars. Le titre TUNIS RE a signé la meilleure performance de la séance, gagnant 6% à 8,900 D sans faire l’objet de transactions. De son côté, ASSURANCES MAGHREBIA VIE a progressé de 5,3% à 6 D avec un flux de 310 mille dinars.

En revanche, LAND’OR a connu la plus forte baisse du Tunindex, chutant de -5,9% à 10,150 D avec des échanges de 464 mille dinars. CIMENTS DE BIZERTE a également reculé de -4,1% à 0,470 D, sans enregistrer de flux significatifs durant la séance.

Enfin, UNIMED s’est imposée comme la valeur la plus échangée, avec un volume important de 11,2 millions de dinars, malgré une légère baisse de -0,8% à 8,640 D.

Avec TAP

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Un jour de congé pour les fonctionnaires à l’occasion du Mouled

La présidence du gouvernement informe que, à l’occasion de la fête du Mouled célébrée le jeudi 4 septembre prochain, tous les agents de l’État, des collectivités locales ainsi que des établissements publics à caractère administratif bénéficieront d’un jour de congé exceptionnel.

Avec TAP

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