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Marokko – Aktivistin Ibtissam Lachgar zu Haftstrafe verurteilt

Ibtissame LachgarDas Urteil gegen Ibtissam Lachgar wegen „Blasphemie“ löst eine Debatte über die Meinungsfreiheit im Königreich aus. Rabat – Ibtissam Lachgar, eine bekannte feministische und Menschenrechtsaktivistin, ist in Marokko zu einer Gefängnisstrafe verurteilt worden. Die Entscheidung des Gerichts hat eine weitreichende Diskussion über die Grenzen der Meinungsfreiheit in der Gesellschaft und unter Menschenrechtsorganisationen ausgelöst. Wie marokkanische […]

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Drame de Marseille : enquête exigée par la Tunisie et la LTDH

La Ligue tunisienne des droits de l’Homme (LTDH) appelle les autorités françaises à ouvrir sans délai une enquête immédiate, sérieuse, indépendante et transparente sur les circonstances du décès du citoyen tunisien Abdelkader Dhibi, que des policiers français ont tué le 2 septembre 2025 à Marseille.

Dans une déclaration publiée jeudi, la Ligue exige que les autorités rendent publiques les conclusions de l’enquête et que la justice juge les agents impliqués dans ce drame, qu’elle qualifie de « violation grave des droits de l’homme relevant du crime international ».

La LTDH exhorte également les autorités tunisiennes à assumer pleinement leurs responsabilités dans la protection de leurs ressortissants à l’étranger. Elle les presse d’assurer un suivi de ce dossier au plus haut niveau et de fournir à la famille de la victime un soutien juridique, politique et moral afin de lui faire valoir ses droits.

La Ligue exprime sa consternation et sa condamnation la plus ferme face à ce qu’elle décrit comme « un crime odieux » que des agents de police français ont perpétré contre Abdelkader Dhibi, « lors d’une intervention où les forces de l’ordre ont fait preuve d’un mépris flagrant pour la loi et les principes fondamentaux des droits humains, auxquels la France est pourtant tenue »

Elle souligne que l’impunité dans de tels cas menacerait directement les communautés tunisiennes, arabes et musulmanes en France. Elle affirme que le respect du droit international humanitaire et la lutte contre toutes les formes de violence, de discrimination et de racisme engagent une responsabilité collective qui ne souffre ni retard ni justification.

Pour rappel, le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens de l’étranger, Mohamed Ben Ayed, a convoqué, mercredi, le chargé d’affaires de l’ambassade de France à Tunis pour lui signifier une protestation ferme concernant cet homicide.

Le secrétaire d’État a prié le diplomate français de transmettre à son gouvernement que la Tunisie considère cet acte comme un homicide injustifiable et compte sur les autorités françaises pour qu’elles mènent une enquête rigoureuse afin d’établir les responsabilités.

Avec TAP

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La tradition séculaire de l’Hamziyya rassemble les fidèles pour Mouled

A l’occasion du Mouled, la mosquée Zitouna, au cœur de la médina, a connu, ce jeudi matin – correspondant au 12 Rabii Al-Awal 1447 de l’hégire –, une affluence importante de Tunisiens de tous âges, venus célébrer la fête du Moulid (naissance du Prophète), avec la récitation de la Qasida Al-Hamziyya en l’honneur du Prophète, composée par l’imam Al-Boussayri.

Dans une atmosphère solennelle, le ministère des Affaires religieuses a organisé cette manifestation, en présence du ministre des Affaires religieuses, Ahmed Bouhali, et du mufti de la République, Hichem Ben Mahmoud. Des fidèles tunisiens, mais aussi des visiteurs de différentes nationalités arabes, africaines et asiatiques, ont pris part à la récitation à l’occasion du Mouled.

Le ministre des Affaires religieuses a souligné, dans une déclaration aux médias, que l’organisation de cette cérémonie perpétue une tradition bénie, à laquelle les Tunisiens tiennent depuis des siècles, en chantant la Hamziyya à la mosquée Zitouna le matin du Moulid, convaincus que cette célébration apporte protection et sérénité au pays pour toute l’année.

De son côté, le mufti de la République a précisé que la cérémonie comprend la lecture et le récit de la naissance du Prophète, présentés par l’imam principal de la Zitouna, avant la récitation collective de la Hamziyya par les fidèles, en signe de joie et de ferveur.

Il a ajouté que ce poème retrace les différentes étapes de la vie du Prophète, rappelant ainsi aux musulmans son histoire et ses bienfaits envers l’ensemble de la communauté islamique et l’humanité.

La récitation de la Hamziyya, la nuit ou le matin du Moulid, est une tradition séculaire en Tunisie, devenue une célébration officielle sous l’égide de l’État à partir du XIXe siècle, à l’initiative de l’imam de la Zitouna et du mufti du pays de l’époque, le cheikh Ibrahim Riahi.

La Qasida Al-Hamziyya, qui compte plus de 150 vers, a été composée par le poète Mohamed Ben Hammad Al-Boussayri à la fin du VIIe siècle de l’hégire. Elle se distingue par son éloquence et la force de sa composition, et reste l’un des poèmes les plus célèbres en l’honneur du Prophète.

Avec TAP

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Culture et économie : l’IMA et l’Union des Chambres arabes main dans la main

Un mémorandum d’entente a été signé ce mercredi à Paris entre l’Union des Chambres arabes et l’Institut du Monde Arabe (IMA), dans le but de renforcer la coopération culturelle et économique, et de promouvoir la créativité et l’innovation dans le monde arabe à l’échelle régionale et internationale.

Cet accord a été paraphé par Khaled Hanafy, secrétaire général de l’Union des Chambres arabes et président de l’Union tunisienne de l’industrie (UTICA), et Jack Lang, président de l’IMA, à l’occasion d’une cérémonie organisée en marge des travaux du Conseil d’administration de la Chambre arabo-française de commerce, et dans le cadre des préparatifs du prochain Sommet économique arabo-français, prévu pour décembre 2025, selon la TAP.

Hanafy a souligné que ce partenariat vise en particulier à valoriser le Prix de design de l’IMA dans l’ensemble du monde arabe, en mobilisant le vaste réseau des chambres de commerce et des milieux d’affaires membres de l’Union.

L’accord prévoit également la mise en place d’ateliers, de programmes de formation et d’échanges de savoir-faire à destination des entrepreneurs arabes, en collaboration avec des institutions partenaires, dans le but de soutenir l’entrepreneuriat, l’innovation et l’économie créative.

« Ce mémorandum jette les bases d’un cadre de coopération structuré qui permettra d’élargir la portée du Prix de design et d’en amplifier l’impact culturel et économique », a ajouté Khaled Hanafy.

Depuis septembre 2024, l’Union des Chambres arabes, basée à Beyrouth, est présidée par Samir Majoul, également président de l’UTICA.

Créé en 1980, l’Institut du Monde Arabe est une fondation française issue d’un partenariat entre la France et 18 pays arabes. Sa mission est de promouvoir la culture arabe, de favoriser le dialogue interculturel, et de contribuer au développement des échanges scientifiques, culturels et technologiques entre le monde arabe et l’Europe.

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Avec 132 kg, Siliana est le premier producteur national de pin d’Alep

La production de pin d’Alep (zgougou) dans le gouvernorat de Siliana a atteint environ 132 000 kilogrammes pour la saison en cours, positionnant la région comme premier producteur et principal fournisseur de ce produit à l’échelle nationale.

A noter au passage que le zgougou constitue l’ingrédient de base de la célèbre pâte traditionnelle préparée à l’occasion du Mouled, célébration de la naissance du Prophète Mohammed, profondément ancrée dans les traditions culinaires tunisiennes.

Selon des commerçants interrogés par l’Agence TAP, le prix du kilogramme de zgougou varie cette année entre 44 et 50 dinars, une hausse attribuée aux dégâts causés par les récents incendies ayant touché plusieurs zones forestières de Siliana, impactant ainsi la disponibilité du produit.

De son côté, une source officielle au sein du Commissariat régional au développement agricole (CRDA) de Siliana a précisé que le stockage du pin d’Alep dans la région est désormais soumis à un cahier des charges strict, permettant un meilleur encadrement et une surveillance renforcée des entrepôts.

La même source a également indiqué que sur 55 lots de terrains domaniaux situés en zones forestières et dédiés à la culture du pin d’Alep, seuls 24 ont été effectivement exploités jusqu’à présent, soulignant un potentiel encore sous-exploité.

Bien que Siliana occupe désormais la première place, la culture du pin d’Alep reste également présente dans d’autres régions du pays, notamment à Bizerte, Nabeul, Moknine et dans le Grand Tunis.

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Carthage Cement, un bénéfice de 28 MDT, à fin juin 2025

Les états financiers intermédiaires de la Société Carthage Cement SA, portant sur la période allant du 1er janvier au 30 juin 2025, révèlent des capitaux propres de 356,7 millions de dinars (MDT), y compris un résultat bénéficiaire s’élevant à 28,1 MDT.

D’après des données, publiées sur le site de la Bourse de Tunis, les capitaux propres de la société ont augmenté de 8,5%, au 30 juin 2025, par rapport au solde enregistré, à fin décembre 2024. Pour ce qui est des revenus, ils se sont élevés à 183,5 MDT, au cours du premier semestre 2025.

Il convient de préciser, que compte tenu du résultat bénéficiaire du premier semestre de 2025, Carthage Cement a accumulé des pertes reportées de 141 MDT, au 30 juin 2025.

La société a expliqué ces pertes, essentiellement, par « le retard dans l’entrée en production de la cimenterie », et « le surcoût enregistré par rapport au coût de l’investissement initial prévu pour la cimenterie ayant entraîné le recours à des crédits supplémentaires à court terme ainsi que des concours bancaires pour  boucler le schéma de financement ainsi qu’un coût élevé de la sous-traitance de la production de ciment ».

A cela s’ajoute « la conjoncture économique difficile qu’a connue la Tunisie ainsi que la surcapacité de production de ciment ayant entraîné une baisse significative des prix de vente sur le marché local ».

Carthage Cement SA est une société anonyme de droit tunisien constituée le 16 octobre 2008, suite à la scission de la société Les Grandes Carrières du Nord, en deux sociétés : Carthage Cement SA et GCN Trade.

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Venise : standing ovation pour Gaza et La Voix de Hind Rajab

Le film de la réalisatrice tunisienne, Kaouther Ben Hania,  » La Voix de Hind Rajab », a été salué par une ovation record de 24 minutes lors de sa première projection, mercredi soir 3 septembre à Venise.

Tiré d’une véritable tragédie survenue à Gaza le 29 janvier 2024, ce long-métrage bouleversant de 89 minutes en compétition pour le Lion d’or de la 82e Mostra de Venise, est un appel poignant pour l’arrêt du génocide en Palestine occupée.

En même temps que la longue ovation, les spectateurs ont scandé le slogan « Free, Free Palestine » et certains ont brandi des drapeaux palestiniens dans la salle, un moment marquant un véritable engagement politique du cinéma mondial en faveur de la libération de la Palestine.

 »The Voice of Hind Rajab » met en lumière des opérateurs du Croissant-Rouge qui reçoivent un appel d’urgence de la petite Palestinienne Hind Rajab, 6 ans. Piégée dans une voiture sous le feu de l’occupation à Gaza, elle implore des secours. Tout en essayant de la garder en ligne, ils font tout leur possible pour lui envoyer une ambulance. Ont été choisis pour le casting, Amer Hlehel, Clara Khoury, Motaz Malhees et Saja Kilani.

Une Mostra pour la Paix à Gaza

Bien avant la présentation du long-métrage, tous les regards étaient déjà braqués sur ce film, qui a constitué l’événement phare de cette Biennale vénitienne.

En marge du festival, la Mostra a été marquée par un mouvement populaire sans précédent pour la paix en Palestine occupée. Plusieurs milliers d’Italiens ont manifesté le 30 août 2025 pour demander l’arrêt du génocide dont est victime le peuple palestinien et dénoncer la complicité des pays occidentaux.

Cette manifestation a été organisée à la demande du collectif Venice4Palestine ou V4P (Venise pour la Palestine), soutenu par de nombreuses associations, ainsi que par des acteurs et professionnels italiens et internationaux. Le collectif a également lancé une lettre ouverte demandant au festival de prendre position contre le génocide à Gaza, confirmant ainsi la politisation de l’événement.

Les stars internationales aux cotés de Hind Rajab

Hollywood et le cinéma mondial ont tendu la main à «The Voice of Hind Rajab ». Parmi les grands noms du 7e art qui ont soutenu le film figurent Brad Pitt, Joaquin Phoenix, Rooney Mara, Alfonso Cuarón, Jonathan Glazer qui sont devenus les producteurs exécutifs de ce long métrage sur la tragédie qu’a vécu la petite Hind et un tournant marquant du cinéma occidental pour la cause palestinienne.

 C’est dire que première à Venise et la force émotionnelle du film de Kaouther Hania ne manqueront pas de donner davantage de visibilité à cette œuvre tirée du réel,  déjà la candidate de la Tunisie pour les Oscars 2026.

En compétition pour le Lion d’or de cette 82e Mostra de Venise,  » The Voice of Hind Rajab » est déjà le vainqueur dans le cœur de ceux qui aspirent à la paix et à l’arrêt de la guerre en Palestine occupée.

Avec TAP

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Tunisie – Hausse de 4 % du prix du mètre carré d’appartement au premier semestre 2025

Le marché immobilier résidentiel tunisien a enregistré une appréciation des prix au cours du premier semestre 2025, selon un rapport du site spécialisé « Mubawab ».

Ainsi, le prix moyen au mètre carré des appartements en Tunisie a augmenté de 4 % au premier semestre 2025 par rapport à la même période de 2024. Les appartements neufs ont connu une hausse plus marquée de 5 %, accentuant l’écart de prix avec les logements anciens.

Face à cette inflation des prix, la demande pour les appartements, qu’ils soient neufs ou anciens, a reculé de 1 % sur un an, tandis que l’offre a progressé de 3 %. Les logements anciens dominent le marché avec 59 % de l’offre totale, contre 41 % pour les neufs.

En termes de préférence, la demande s’est portée principalement sur les appartements de type F3 (salon + deux chambres), suivis des F4 (salon + trois chambres) qui ont représenté 32 % des recherches.

Quant aux superficies les plus recherchées, elles sont comprises entre 90 et 180 mètres carrés.

Géographiquement, la région de La Marsa a concentré à elle seule 20 % de la demande totale, se positionnant comme la zone la plus prisée. Elle est suivie par l’Ariana (11,9 %), La Soukra et Hammamet, ex æquo avec 9 % chacune.

Selon Mubawab, ces indicateurs dessinent une image claire des tendances du marché et offrent une base solide pour des décisions d’achat ou de vente éclairées.

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Décès d’un ressortissant tunisien à Marseille : le chargé d’affaires français convoqué au ministère des Affaires étrangères

À la suite du décès tragique du citoyen tunisien, Abdelkader Dhibi, survenu le mardi 2 septembre 2025 à Marseille dans des circonstances impliquant les forces de l’ordre françaises, les autorités tunisiennes ont exprimé leur profonde indignation.

Sur instruction du président de la République, Kaïs Saïed, le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ben Ayed, a convoqué, dans l’après-midi du mercredi 3 septembre, le chargé d’affaires par intérim de l’ambassade de France à Tunis, en l’absence de l’ambassadrice actuellement en déplacement.

Au cours de cet entretien, une protestation officielle lui a été transmise, dénonçant ce que la Tunisie considère comme un « recours injustifié à la force létale ».

Dans un communiqué publié à l’issue de cette rencontre, le ministère des Affaires étrangères a fermement condamné l’incident, qualifié de « gravement préoccupant », et a appelé les autorités françaises à l’ouverture immédiate d’une enquête indépendante, approfondie et transparente, en vue d’établir les faits et de déterminer les responsabilités.

Le ministère a également souligné l’importance d’une action judiciaire équitable et rapide, tout en affirmant que la Tunisie suivra de près le déroulement de cette affaire. Il a réitéré sa volonté de veiller à ce que les droits de la victime et de sa famille soient pleinement respectés, et à ce que justice leur soit rendue.

Par ailleurs, sur instruction du chef de l’État, l’ambassadeur de Tunisie à Paris a été chargé de transmettre la position officielle des autorités tunisiennes à ses interlocuteurs français et de coordonner, en lien avec le consulat général à Marseille, les démarches relatives au rapatriement de la dépouille.

Le ministère a également pris contact avec la famille du défunt pour lui présenter ses condoléances et l’informer des actions entreprises par l’État tunisien.

La Tunisie réaffirme à cette occasion son attachement indéfectible à la protection de ses ressortissants à l’étranger et à la défense de leurs droits, dans le respect des conventions internationales et des principes de justice.

Affaire à suivre.

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Kaïs Saïed et Abdelmajid Tebboune s’engagent à renforcer la coopération tuniso-algérienne

Le président de la République, Kaïs Saïed, est arrivé dans la soirée du mercredi 3 septembre à Alger pour participer aux travaux de la quatrième édition du Salon Africain du Commerce Intra-africain, qui se tiendra en Algérie du 4 au 10 septembre 2025.

À son arrivée à l’aéroport international Houari Boumédiène, il a été accueilli par le président algérien Abdelmadjid Tebboune. Les deux chefs d’État ont honoré les drapeaux nationaux au son des hymnes officiels des deux pays, puis ont passé en revue un détachement militaire leur rendant les honneurs.

Lire aussi: IATF 2025 à Alger : Booster le commerce et l’innovation au cœur de l’Afrique

Ensuite, ils ont tenu une longue séance de travail au cours de laquelle ils ont particulièrement mis en avant les relations bilatérales excellentes entre l’Algérie et la Tunisie ainsi que les liens fraternels unissant leurs peuples. Ils ont également abordé plusieurs questions régionales et internationales d’importance commune.

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Marokko – König Mohammed VI. leitet religiöse Feier zum Eid Al-Mawlid in Rabat

KönigIn der Hassan-Moschee in Rabat wird das islamische Fest Eid Al-Mawlid Annabaoui Acharif mit einer offiziellen Mahnwache begangen. Rabat – König Mohammed VI. wird am heutigen Donnerstag, dem 4. September 2025, in seiner Rolle als Amir al-Mouminine (Führer der Gläubigen) eine religiöse Mahnwache in der Hassan-Moschee von Rabat leiten. Laut einer Mitteilung des Ministeriums für […]

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Coopération Tunisie-BERD : alignement sur les objectifs du plan de développement 2026-2030

La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) réaffirme sa détermination à soutenir les programmes et projets de la Tunisie, tant par le financement que par l’assistance technique. Cet engagement fait suite à une convergence de vues entre les deux parties sur les priorités de développement. Cette position a été exprimée par Catherine Stewart, membre du Conseil d’administration de la BERD, lors d’une rencontre, mercredi 3 septembre, avec le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh.

En visite de travail actuellement en Tunisie, Catherine Stewart s’est entretenue avec Samir Abdelhafidh sur les relations de coopération financière et technique entre la Tunisie et la Banque, et des moyens de les renforcer à l’avenir, en adéquation avec les priorités de développement du pays.

Abdelhafidh a souligné la nécessité de consolider davantage ce partenariat, en le alignant sur les objectifs et les priorités nationales.

Lors de cette réunion, qui s’est tenue en présence de la directrice du bureau de la BERD à Tunis, Nodira Mansurova, le ministre a également présenté les indicateurs d’amélioration de la situation économique au cours de la période récente. Il a aussi exposé les grandes orientations du développement de la Tunisie, intégrées dans le plan 2026-2030, qui mettent l’accent sur la complémentarité entre les dimensions économique et sociale.

Avec TAP

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Réaction du ministère des Affaires étrangères au décès du ressortissant tunisien

Le ministère des Affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens à l’étranger a annoncé via un communiqué officielle que suite au décès du citoyen tunisien Abdelkader Dheibi, survenu le 2 septembre 2025 à Marseille, et conformément aux instructions du président de la République, le secrétaire d’État auprès du Ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger a convoqué, cet après-midi du 3 septembre 2025, le chargé d’affaires par intérim de l’Ambassade de France à Tunis, en l’absence de l’ambassadrice française hors du territoire, pour lui exprimer une vive protestation contre ce meurtre commis par des membres des forces de l’ordre françaises.

Les services du ministère des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger ont également contacté la famille du défunt pour présenter leurs condoléances et l’informer de toutes les démarches entreprises pour garantir les droits du défunt et de ses proches.
La Tunisie réaffirme son engagement total et sa grande vigilance à protéger les intérêts de tous les Tunisiens et à les défendre partout où ils se trouvent à l’étranger.

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Tunisie-Égypte : une feuille de commune pour des projets concrets en Afrique

L’Égypte est prête à accueillir la 18e session de la Commission supérieure mixte tuniso-égyptienne. Celle-ci se tiendra du 8 au 11 septembre 2025 au Caire, comme l’a indiqué l’ambassadeur de la République arabe d’Égypte en Tunisie, Bassem Yahya Hassan, à l’issue d’une rencontre avec le ministre de l’Équipement et du Logement, Salah Zouari.

Cette entrevue a été l’occasion d’examiner les perspectives de coopération bilatérale et les moyens de les renforcer. L’objectif est de faciliter la participation d’entreprises tunisiennes et égyptiennes, œuvrant dans le domaine de la promotion immobilière, à la réalisation de grands projets en Tunisie, en Égypte et dans d’autres pays africains, dans les secteurs de la construction et des travaux publics.

De son côté, M. Zouari a souligné l’importance de la mise en œuvre effective des accords et des mémorandums d’entente conclus entre les deux parties.

Avec TAP

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Marokko – Neues Erdbeben erschüttert die Provinz Al Haouz

ErdbebenEin Beben der Stärke 4,6 hat am frühen Morgen Teile der Region südlich von Marrakesch getroffen. Die Bevölkerung erinnert sich an die schweren Folgen des Vorjahres. Marrakech – Am Dienstagmorgen, den 3. September 2025, wurde in der Provinz Al Haouz ein Erdbeben der Stärke 4,6 registriert. Das Nationale Institut für Geophysik meldete das Epizentrum in […]

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Marokko – Rekordüberweisungen von Auslandsmarokkanern stützen Zahlungsbilanz

DevisenGeldtransfers (Rücküberweisungen) der Diaspora (MRE) erreichen 2024 ein historisches Hoch und gewinnen für Wirtschaft und Haushaltsbilanz weiter an Bedeutung. Rabat – Die Überweisungen von im Ausland lebenden Marokkanern (MRE) haben im Jahr 2024 ein neues Rekordniveau erreicht. Nach Angaben des Office des Changes beliefen sich die Einnahmen auf 119 Milliarden marokkanische Dirham MAD. Dies entspricht […]

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L’Inde, roi des tarifs douaniers ? Pas vraiment

Il existe une perception répandue, mais erronée, selon laquelle les droits de douane indiens seraient excessivement élevés. Des facteurs subjectifs entrent en jeu dans la définition d’un pays, comme la qualité de vie, la courtoisie publique ou même l’accueil des étrangers. Or, les droits de douane sont quantifiables et la subjectivité ne devrait pas avoir sa place. Examinons donc les faits.

 

Avant cela, il pourrait toutefois être utile au lecteur lambda de comprendre la fonction des droits de douane dans un pays en développement à faible revenu comme l’Inde, par opposition à un pays développé à revenu élevé comme les États-Unis. Traditionnellement, les pays en développement à faible revenu utilisent les droits de douane pour deux raisons : protéger leur industrie nationale et en tirer des recettes. La protection de l’industrie nationale est un argument accepté par les économistes du monde entier, surtout si l’industrie est naissante et que le pays doit développer une base industrielle. Il existe également une fonction de génération de recettes, comme le montrent les droits de douane sur l’alcool ou les motos de luxe, par exemple.

 

Les droits de douane indiens, élevés dans les années 1980, ont été considérablement réduits depuis le lancement des réformes de 1991 et lors des négociations du Cycle d’Uruguay, qui ont conduit à la création de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Depuis lors, la tendance séculaire en Inde est à une réduction progressive des droits de douane applicables, année après année.

 

D’un point de vue technique, les pays appliquent deux types de droits de douane. Le premier est le droit de douane appliqué, qui, comme son nom l’indique, correspond au droit de douane réel (généralement ad valorem ) imposé à la frontière lorsqu’un bien étranger entre dans un pays.

 

L’autre est celui des tarifs consolidés, qui constituent le tarif maximum qu’un pays peut imposer sur un produit étranger en vertu d’une obligation légale découlant de ses engagements de nation la plus favorisée (NPF) envers l’OMC.

 

Il va sans dire que la guerre tarifaire lancée par les États-Unis viole leurs engagements au titre des accords de l’OMC. Or, l’OMC elle-même est moribonde depuis un certain temps. Il convient également de noter que les droits de douane ne peuvent être identiques pour tous les pays. Il est évident que les pays en développement à faible revenu se verront imposer des droits de douane plus élevés (pour les raisons évoquées précédemment) que les pays du G7.

 

Alors, où se situe l’Inde dans tout cela ? Lorsque l’Inde est évaluée sur la base de ses droits de douane, deux paramètres sont utilisés : la moyenne simple des droits de douane et les droits pondérés en fonction des échanges. Si l’on utilise la première mesure, les droits de douane indiens semblent élevés ( 15,98 % ). Mais cela est à bien des égards théorique, car pour la plupart des biens entrant sur le marché indien, c’est le droit de douane appliqué pondéré en fonction des échanges qui compte. Or, le droit de douane pondéré en fonction des échanges que l’Inde maintient est de 4,6 %, un niveau très respectable. Ce niveau de droits de douane contredit les affirmations selon lesquelles l’Inde serait un roi des droits de douane. Les moyennes simples faussent la situation, car elles traitent tous les produits de la même manière, quel que soit le volume des échanges. Alors, pourquoi y a-t-il une telle différence entre la moyenne simple des droits de douane et les droits pondérés en fonction des échanges de l’Inde ?

 

L’Inde maintient des droits de douane relativement élevés sur l’agriculture et l’automobile. Dans les deux cas, l’objectif principal de ces droits est de protéger l’industrie nationale. L’agriculture indienne est unique en son genre et ne ressemble à aucun autre grand pays au monde. Environ 50 % de la population indienne, immense, dépend directement ou indirectement de l’agriculture. De plus, l’agriculture indienne n’est pas mécanisée et les exploitations agricoles sont si petites que l’agriculture est une question de survie et non de commerce. Demander à l’Inde d’ouvrir son secteur agricole aux importations revient à lui demander de se suicider, ce qu’aucun gouvernement élu indien n’accepterait. Cette demande est d’autant plus flagrante que les agriculteurs occidentaux bénéficient de subventions directes et indirectes.

 

Compte tenu de tout cela, l’Inde maintient des droits de douane relativement élevés sur les produits agricoles, avec des taux moyens d’environ 33 % sur la viande, les produits laitiers, les fruits et les céréales. Mais cela n’est pas surprenant si l’on considère que le taux moyen de l’ Union européenne est de 37,5 % sur les produits laitiers, allant jusqu’à 205 %, et jusqu’à 261 % sur les fruits et légumes. Comparez cela au Japon , dont le taux est de 61,3 % sur les produits laitiers, allant jusqu’à 298 %, et jusqu’à 258 % sur les céréales, et 160 % sur la viande et les légumes. Ou encore à la Corée du Sud , dont la moyenne est de 54 % sur les produits agricoles, 800 % sur les légumes et 300 % sur les fruits. Qui est le roi des droits de douane dans l’agriculture, pourriez-vous demander ? Quant à l’automobile, ce secteur crée des emplois de masse et est crucial pour cette raison.

 

Même les niveaux tarifaires moyens simples de l’Inde, à 15,98 %, sont conformes aux normes mondiales pour les économies en développement. Le Bangladesh (14,1 %), l’Argentine (13,4 %) et la Turquie (16,2 %), qui sont tous des pays ayant un PIB par habitant comparable ou supérieur, maintiennent des tarifs similaires ou plus élevés.

 

Concernant les États-Unis affirmant que leurs exportations de produits non agricoles sont confrontées à des barrières tarifaires en Inde , il convient de noter que les exportateurs américains sont souvent confrontés à des droits de douane équivalents, voire inférieurs, en Inde par rapport à de nombreux concurrents asiatiques. Dans le secteur de l’électronique et des technologies, par exemple, l’Inde applique des droits de douane nuls sur la plupart des matériels informatiques, semi-conducteurs, ordinateurs et pièces détachées, avec des droits de douane moyens de 10,9 % sur l’électronique et de 8,3 % sur les machines informatiques.

 

En comparaison, le Vietnam applique un tarif douanier de 8,5 % sur les équipements électroniques, pouvant aller jusqu’à 35 %. La Chine applique un tarif douanier de 5,4 %, pouvant aller jusqu’à 20 % sur les produits électroniques et jusqu’à 25 % sur les machines informatiques. L’Indonésie applique un tarif douanier de 6,3 % sur les équipements électroniques, pouvant aller jusqu’à 20 %, et jusqu’à 30 % sur les machines informatiques.

 

Il est vrai que l’Inde maintient une protection tarifaire justifiée sur ses marchés agricoles, laitiers et automobiles pour des raisons valables. Mais ses droits de douane pondérés en fonction des échanges appliqués dans d’autres secteurs ne justifient en rien son appellation de « roi des tarifs douaniers ».

 

 

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*Dr Mohan Kumar est un ancien ambassadeur indien et directeur général du nouvel Institut Jadeja Motwani pour les études américaines à l’Université mondiale OP Jindal.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur.

 

 

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Tourisme et transferts des expatriés : un pactole de 11 milliards de dinars

Les revenus cumulés des transferts des Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) ont enregistré une progression de 8,28% à 5,79 milliards de dinars (Mrds) au 31 août 2025 contre 5,34 milliards de dinars à la même date en 2024. C’est ce qui ressort des indicateurs monétaires et financiers publiés par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

Pour leur part, les recettes touristiques ont augmenté de 8,60% pour atteindre 5,44 milliards de dinars contre 5,01 milliards de dinars une année auparavant.

Au total, les transferts et les recettes du tourisme cumulés se sont élevés à plus de 11 milliards de dinars au 31 août 2025, contre 10,36 milliards à la même date en 2024.

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Sécurité routière : le nombre de morts en hausse de plus de 8 %

Le dernier bilan de l’Observatoire national de la sécurité routière (ONSR) fait froid dans le dos. En effet, les accidents de la route ont fait 8,39 % de morts en plus sur les huit premiers mois de 2025; et ce, par rapport à la même période l’an dernier.

Rien que pour la journée du dimanche 31 août, quatre accidents ont coûté la vie à cinq personnes, faisant également cinq blessés. C’est ce qu’il ressort des données publiées sur le site officiel de l’observatoire.

Face à cette recrudescence, les autorités redoublent d’efforts en matière de prévention. Mardi, une nouvelle campagne de sensibilisation a été menée à Bizerte, le long de la route nationale n°11. Objectif : rappeler aux automobilistes les dangers de la vitesse excessive, l’importance de la ceinture de sécurité et l’interdiction du téléphone au volant.

L’Observatoire national de la sécurité routière entend poursuivre ses actions à travers le pays, dans l’espoir d’enrayer une tendance inquiétante sur les routes tunisiennes.

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