Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Production de zgougou: Le gouvernorat de Siliana se classe premier avec 132 000 kg

Le gouvernorat de Siliana se positionne comme le premier producteur national de pignon de pin d’Alep (zgougou). Durant la saison actuelle, environ 132 000 kg de graines de zgougou ont été stockés. La région est le principal fournisseur du marché pour ce produit, essentiel à la préparation de l’assida de zgougou, une crème traditionnellement consommée par la plupart des familles tunisiennes lors du Mawlid, la fête commémorant la naissance du prophète Mahomet.

Prix et Réglementation
Le prix du kilogramme de zgougou varie entre 44 et 50 dinars cette saison. Des vendeurs, interrogés par l’agence de presse TAP, expliquent cette hausse par les importants dégâts causés aux forêts de pins d’Alep par des incendies à Siliana.

Les services de la Direction régionale des forêts de Siliana ont officialisé le processus de stockage du zgougou, en enregistrant les entrepôts avec des coordonnées précises pour en faciliter la surveillance par les forces de sécurité et les services douaniers.

Exploitation et Commercialisation
Sur les 55 parcelles mises en vente pour l’exploitation des fruits du pin d’Alep, seules 24 ont été utilisées. Cette situation est due à la nouvelle approche imposée par la Direction générale des forêts pour réglementer l’exploitation de cette ressource, qui génère désormais un revenu économique significatif. Le produit est vendu via des enchères publiques, et tout exploitant doit posséder une licence fiscale (patente) pour le commerce de produits forestiers.

D’importantes quantités de zgougou sont acheminées vers les gouvernorats voisins pour y être vendues. Le gouvernorat de Bizerte est la première destination, absorbant plus de 70 tonnes en raison de la présence d’une usine de transformation et de conditionnement de ce produit. Bizerte est suivie par les régions côtières, notamment Moknine, puis par les gouvernorats de Nabeul et du Grand Tunis.

La Direction générale des forêts continue ses efforts pour mieux organiser l’exploitation de ce produit, qui représente une source de revenus vitale pour de nombreuses personnes.

ST – L’efficacité offensive au centre des préoccupations : L’attaque, chantier prioritaire

Aujourd’hui, Chokri Khatoui doit trouver le bon alliage au milieu et surtout la bonne association offensive sans quoi la cohérence dans le jeu ne saurait être atteinte.

La Presse — S’il s’est séparé de pas moins de onze joueurs dont deux sous forme de prêt, le Stade a cependant pesé de tout son poids lors du mercato estival avec 14 transferts réalisés jusque-là. Certes, les Bardolais ont cédé ou délivré leurs bons de sortie à des éléments importants tels qu’Ousmane Ouattara, Bonheur Mugisha et Khalil Ayari (international A’), alors que Nidhal Laifi a opté pour l’EST dans le cadre d’un transfert libre, mais le plus important aujourd’hui est de retrouver cohésion, alchimie et automatismes entre les nouveaux et les joueurs déjà dans le moule du groupe.

Ce faisant, volet pré-bilan comptable, à ce stade de la compétition, le Stade reste invaincu après quatre rondes avec deux victoires et deux parités. Par ailleurs, ce qui est important à souligner est en rapport avec la bonne tenue d’ensemble de la défense stadiste, un compartiment qui n’a pris qu’un but jusque-là.

Ce qui dénote des bonnes dispositions du gardien international Noureddine Farhati, du leadership de l’axial Marouen Sahraoui, capitaine stadiste appelé avec la sélection A’, aux côtés de la rigueur affichée par le jeune stopper Adem Arous, dans le viseur du Kasımpaşa SK, ces jours-ci, aux côtés de l’expérimenté latéral Hedi Khalfa et de l’autre joueur de flanc, Wael Ouerghemmi, alors que dans le même temps, Chokri Khatoui peut aussi compter sur des alternatives défensives fiables, à l’instar de la recrue Aziz Sayhi, latéral gauche de 24 ans, un autre latéral gauche en la personne de Yassine Mizouni et Iyadh Riahi, arrière droit.

La défense stadiste tire donc son épingle du jeu jusque-là mais en football, comme dit le dicton, la meilleure défense, c’est l’attaque. Et en l’état, Chokri Khatoui a encore du pain sur la planche même si les siens ont scoré à quatre reprises en quatre matchs de L1 disputés.    

De bonnes raisons d’espérer

Aujourd’hui donc, le plateau technique doit trouver la bonne association offensive et le bon alliage au milieu, sans quoi la cohérence dans le jeu ne saurait être atteinte. En clair, outre les pistons Yussuf Touré et le Tchadien Mahamat Thiam (convoqué en sélection des Sao en prévision du match de demain face au Ghana dans le cadre de la 7e journée des éliminatoires du Mondial), Khatoui peut compter sur Amath Ndaw et Elyes Jelassi pour apporter ces décalages et cette verticalité nécessaire au milieu, et ce, pour mieux saisir les percées des attaquants dans la zone de vérité et donc créer le déséquilibre recherché.

Et pour rester sur la ligne d’attaque stadiste, avec une batterie de néo-attaquants qui ont pour noms Hosni Guezmir, Firas Aifia, Abderrahmene Hanchi, Amine Khemissi, Amir Jaouadi, Amadou Ndiaye, Godswill Emmanuel, Amine Allah Habboubi et Riadh Ouafi (transfuge du Stade Bordelais), aux côtés des Youssef Saâfi, Moncef Gharbi et autre Nacef Atoui, pour ne citer que ce trident parmi les joueurs déjà en place depuis la saison écoulée, Chokri Khatoui peut faire évoluer ses combinaisons et peut même revoir son dispositif en tenant compte de la valeur de l’adversaire et du potentiel des siens.

Vaste programme pour le coach stadiste mais au vu de la production d’ensemble de ces derniers temps, il y a de bonnes raisons d’espérer si la réussite est au rendez-vous. 

Le président Cabiste pointe du doigt l’arbitrage ! Samir Yaâcoub : « On ne demande que l’impartialité ! »

Pour le premier responsable du CAB, l’équité doit primer sur tout autre considération.

La Presse — Le président du comité provisoire du CAB, Samir Yaâcoub,  n’a pas manqué de dénoncer l’arbitrage qui se dresse devant le CAB depuis quelque temps déjà. «Ce n’est pas parce que le président de la FTF est de Bizerte que les arbitres doivent tout faire pour afficher une personnalité qui leur permettrait d’accéder à la liste internationale.

Il n’y a pas besoin de se comporter ainsi. On demande de respecter notre équipe sans plus et cela n’a rien à voir avec ce malheureux geste isolé d’un spectateur qui a coûté une blessure à la tête de l’arbitre assistant», dit-il en substance sur un ton grave. Voilà un message clair à Moez Nasri et Himoudi ! Concernant la période à venir, post- incident  du match CAB- CA, Samir Yaâcoub doit être serein et il n’y a pas lieu de s’inquiéter quant à l’avenir proche du CAB.

Et d’ajouter sur sa lancée : «Nous avons une bonne équipe et nous allons la renforcer prochainement par deux étrangers. Je demande aux supporters cabistes de continuer à soutenir leur équipe et de s’ériger en rempart face aux faux fans qui cherchent à perturber la bonne marche du club.

La trêve sera exploitée comme il se doit et Chokri Béjaoui focalise à satiété sur son travail d’entraîneur. Maintenant, concernant les propos tenus par l’ex-entraîneur du CAB, m’accusant d’interférer dans les nominations des membres du staff technique, ce sont tout simplement des allégations fantaisistes. J

e ne lui ai jamais imposé qui que ce soit. Bien au contraire, c’est lui qui a choisi ses collaborateurs, notamment le dernier en date, à savoir Amir Dridi, après l’avoir sollicité pour discuter de son engagement. Dommage de proférer des inexactitudes pareilles…» 

Le comité des Sages aussi…

Dans les pas du comité directeur du CAB qui a condamné  le jour-même dans un communiqué l’acte irresponsable d’un spectateur sur l’arbitre assistant du dernier match contre le CA, le comité des Sages, présidé par M. Tahar Saïd Lassoued, a, lui aussi, dénoncé et condamné avec force ledit geste et a appelé par la même occasion au calme.

« Le CAB, dit-il également, est une grande école de football et prône le fair-play et le respect de la charte sportive depuis toujours». D’autres anciens responsables ont même demandé de dissoudre les groupes de supporters ou de les fusionner pour parler ainsi d’une même voix, celle du respect et de la sagesse.

Chaâbane et Ben Salha avec la sélection des jeunes

Enfin, volet grenier cabiste, le jeune Aziz Chaâbane a été convoqué en Equipe de Tunisie U17 pour un stage à Aïn Draham qui a débuté en début de semaine et s’achèvera le 10 septembre. Ce rassemblement entre dans le cadre de la préparation des Aiglons en vue de la participation tunisienne à la phase finale de la Coupe du monde de cette catégorie qui aura lieu cette année au Qatar.

Un autre Cabiste, en l’occurrence Yaquine Ben Sakha, est également en stage avec la sélection des natifs de 2009 pour un stage à Hammamet jusqu’au 9 septembre en vue de préparer les Jeux africains. On ne peut que leur souhaiter un avenir prometteur!

L’élite du Basket Tunisien repartirait-elle d’une page blanche ? Seule alternative : la reconstruction

Une réunion s’est tenue et a réuni le nouveau comité de la fédération et les clubs de la Ligue professionnelle et du Championnat national senior de Division 1.

Elle  s’inscrit dans une démarche participative  à même de  garantir l’implication des différentes parties prenantes dans l’élaboration de la nouvelle saison sportive 2025-2026.

La Presse — Cette réunion s’inscrit donc dans le cadre de l’engagement de la Fédération à «éviter toute prise de décision unilatérale et à permettre aux clubs d’exprimer leurs opinions et préoccupations, reflétant ainsi sa volonté d’instaurer des traditions démocratiques dans la gestion du sport, fondées sur le dialogue et la concertation».

Le bureau fédéral ambitionne d’essayer  de résoudre les préoccupations des clubs, financières, logistiques ou organisationnelles. Très bien, cela dit. Mais qu’en est-il de la situation de notre élite qui s’est fait étriller par des adversaires qui étaient largement à notre portée? La réponse est venue quelques jours plus tard, avec la nomination d’Adel Tlatli en qualité de sélectionneur.

Adel Tlatli a été, rappelons-le, le sélectionneur de l’équipe de Tunisie masculine de basket-ball, mais il a démissionné en 2016 après avoir remporté l’AfroBasket 2011 et participé aux Jeux Olympiques de Londres. Quel sera son rôle ? D’après nos archives, le sélectionneur, qui devait lui succéder, aurait comme mission de « mettre en place sa philosophie et donner sa chance à de nouveaux joueurs.

Et surtout investir dans les équipes de jeunes, à l’instar de pays comme l’Angola, le Mali et l’Egypte». Qu’est-ce qui a été réalisé ? Personne ne le sait et on n’en a pas parlé à l’occasion de cette réunion. C’était pourtant important de faire le bilan et de demander aux clubs de s’investir pour élargir la base et investir au niveau des jeunes. Comment le faire alors que les clubs  sont en plein marasme ? 

L’ombre de Salah Mejri…

Sur ce, comment Adel Tlatli, qui connaît à fond les problèmes relancera t-il la machine ? Pourra-t-il recoudre ce qui a été effiloché durant de longues années où on s’est contenté d’épuiser à fond ce que l’on a hérité ? La seule issue de rejoindre le fiacre est bien de tout reprendre et de reconstruire.

Il y a des éléments qui promettent aussi bien chez les filles que chez les garçons, mais il faudrait un autre rythme, une autre organisation. Il faut des moyens, alors que les clubs en manquent et qu’ils sont à l’étroit. Il faut un meneur tel qu’était Salah Mejri et ce n’est pas facile d’en trouver. Pour la direction technique et pour le sélectionneur, la tâche ne sera pas de tout repos.

Ouverture de la 32e édition du Festival International du Théâtre Expérimental du Caire : Le Caire ou le théâtre en mouvement

Moment fort de la soirée : le spectacle «La victoire d’Horus», signé par le dramaturge Mohamed Samir El-Khatib et mis en scène par Walid Aouni. Dans un ballet de corps en mouvement, de lumière et de symboles, l’œuvre a puisé dans la mythologie pharaonique pour raconter le triomphe de la lumière sur l’obscurité.

Un final grandiose, comme une passerelle entre les racines ancestrales de l’Égypte et les expérimentations contemporaines.

La Presse —Entre hommage à Robert Wilson, fresques pharaoniques et célébration de créateurs venus des quatre coins du monde, la 32e édition du Festival international du théâtre expérimental s’est ouverte à l’Opéra du Caire dans une atmosphère festive et foisonnante, confirmant la ville comme un carrefour des scènes audacieuses.

C’est sous les dorures de l’Opéra du Caire que le rideau s’est levé, lundi soir, sur la 32e édition du Festival international du théâtre expérimental. Un rendez-vous attendu, où se croisent expériences scéniques venues du monde entier et où l’audace théâtrale s’offre au public égyptien.

La soirée d’ouverture a débuté par un hommage vibrant à l’immense metteur en scène américain Robert Wilson, figure du théâtre expérimental. Inspiré de son univers visuel et sonore, le chorégraphe Walid Aouni a conçu une fresque en mouvement, entre lumière et abstraction, qui a transporté la salle vers l’essence même de la création scénique.

Un film documentaire est ensuite venu rappeler l’esprit collectif qui anime le festival : des images de préparation et de coulisses ont retracé l’effervescence d’une équipe entièrement mobilisée pour donner à cette édition sa dimension internationale.

Hommages et reconnaissances

La cérémonie a également mis à l’honneur des figures marquantes du théâtre. L’acteur Sabry Fawaz, l’artiste Hanane Youssef, le professeur Hassan Khalil ou encore le dramaturge Bahi Ismaïl ont reçu des distinctions, rejoints par des créateurs venus de Tunisie, du Cameroun, de France, d’Angleterre, du Liban, du Koweït, d’Irak et du Qatar… Autant de trajectoires diverses, réunies dans un même salut au théâtre.

Un voyage dans la mythologie égyptienne

Moment fort de la soirée: le spectacle « La Victoire d’Horus », signé par le dramaturge Mohamed Samir El-Khatib et mis en scène par Walid Aouni. Dans un ballet de corps en mouvement, de lumière et de symboles, l’œuvre a puisé dans la mythologie pharaonique pour raconter le triomphe de la lumière sur l’obscurité. Un final grandiose, comme une passerelle entre les racines ancestrales de l’Egypte et les expérimentations contemporaines.

Un carrefour des expériences théâtrales

Créé pour offrir une tribune aux écritures innovantes et aux formes hybrides, le Festival international du théâtre expérimental du Caire s’impose comme l’un des rares espaces où les scènes du monde arabe dialoguent directement avec les courants internationaux. 

Du 1er au 8 septembre, la capitale égyptienne devient ainsi un laboratoire vivant de la création scénique, accueillant troupes, metteurs en scène et spectateurs avides de découvertes.

Plus qu’un simple festival, cette 32e édition s’affirme comme une célébration du théâtre dans toutes ses métamorphoses, un lieu où la fête, l’expérimentation et la rencontre se confondent dans une même énergie.

L’AFPEC organise une journée d’étude au Cinémadart à Carthage : Le génocide à Gaza comme corpus

La pédopsychiatre et psychanalyste Amira Zaâter y proposera une intervention intitulée : «Du malaise au génocide : Un échec de civilisation ?». Elle y questionnera plus spécifiquement les effets de ce génocide sur la psyché des enfants et des adolescents : Que rêvent-ils ? Que dessinent-ils? Comment leur expliquer le meurtre de plus de dizaines de milliers d’enfants abattus de sang-froid ou affamés ?

La Presse —L’Association de formation à la psychanalyse et d’échangés cliniques (Afpec) organise, le 6 septembre au Cinémadart à Carthage, une journée d’étude autour du thème : «De la rivalité fraternelle à la haine fratricide».   

Il y est question de poursuivre des questionnements et réflexions entamés l’année dernière autour du génocide à Gaza et en Cisjordanie, de la colonisation, et des effets du nettoyage ethnique des Palestiniens sur les subjectivités. Quatre ateliers de réflexion ont été alors organisés abordant les questions : «Que nous apprend Gaza sur nous-mêmes ?», «Les effets de l’impérialisme sur les subjectivités» à partir des textes d’Edward Saïd, «Penser le colonialisme avec Frantz Fanon» et «Peut-on encore rêver d’un monde habitable ?».

«En Tunisie, patients et cliniciens sont durement affectés par la tragédie que vivent les Palestiniens. Elle s’est imposée dans les cures, tant dans sa dimension politique et éthique que par ses échos subjectifs en lien avec l’infantile», notent les organisateurs de l’événement, soulignant que la violence et la cruauté perpétrées contre les enfants palestiniens font émerger de façon traumatique dans les cures des défenses archaïques et des sentiments de désaide/détresse qui n’étaient jusque-là que peu élaborés.

Ils ajoutent que l’alignement inconditionnel de la majorité du monde occidental sur la politique d’Israël a amené chacun d’entre nous à se poser des questions identitaires. Cela a réactualisé la question coloniale, en nous faisant reconsidérer notre rapport à nous-mêmes, à l’autre, à la notion de l’étranger articulée à la culture, à l’Idéal.

Gérard Haddad

Pour eux, l’extermination de masse des Palestiniens, commise par l’entité sioniste, constitue une rupture anthropologique, un risque pour chacun, patients et thérapeutes, d’effondrement psychique qu’il est nécessaire, voire vital, de déplier. 

Des arguments qui viennent abreuver cette journée d’étude, qui débutera avec un atelier de réflexion exclusivement ouvert aux cliniciens. Intitulé : «Actualités cliniques dans le contexte du génocide à Gaza», il sera introduit et modéré par Nédra Ben Smail et abordera des questions liées à la dimension politique dans la réalité psychique du patient et celle de l’analyste, ainsi que la manière dont le politique affecte l’espace de la cure altérant parfois de manière significative les rapports transférentiels et contre-transférentiels. 

À partir de 14h00, le programme sera ouvert au public. La pédopsychiatre et psychanalyste Amira Zaâter y proposera une intervention intitulée : «Du malaise au génocide : Un échec de civilisation ?».

Elle y questionnera plus spécifiquement les effets de ce génocide sur la psyché des enfants et des adolescents : Que rêvent-ils ? Que dessinent-ils ? Comment leur expliquer le meurtre de plus de dizaines de milliers d’enfants abattus de sang-froid ou affamés ?

Le psychiatre et psychanalyste Gérard Haddad (auteur de plusieurs livres dont «Le Complexe de Caïn» et «Archéologie du sionisme») présentera une réflexion intitulée : «D’Œdipe à Caïn, un renouveau de la psychanalyse ?».

Il s’appuiera, entre autres, sur Freud, qui place la haine originaire au cœur de la psyché humaine, antérieure même à l’amour. Ce dernier désigne le meurtre du père et l’entente entre les fils qui suivra comme éléments fondateurs des sociétés humaines, les assises indispensables à toute civilisation.

Il écrit, comme le rappellent les organisateurs : «L’essence de la famille est un meurtre» (Totem et tabou – 1913). Comment passe-t-on de la rivalité fraternelle à la haine fratricide ? Et que nous révèle cette dynamique, à la lumière des tragédies actuelles? C’est à cette question qu’essaiera de répondre Haddad.

La journée se clôturera par l’intervention du psychologue clinicien et écrivain Aymen Daboussi, qu’il a choisi de nommer : «De quoi Gaza est-elle le nom».

La Maison des Arts du Belvédère fait sa rentrée culturelle avec l’exposition collective « Big Moments » : Regards pluriels

L’exposition, qui se tiendra jusqu’au 20 septembre prochain, rassemble 27 artistes de différentes générations dont Samir Makhlouf, Emna Masmoudi, Nadia Zouari, Walid Zouari, Islem Bel Hadj Rhouma, Sami Ben Ameur, Neïla Ben Ayed et Baker Ben Frej.

La Presse — La Maison des Arts du Belvédère – Cnav, en collaboration avec l’association «Art Cot» et sous le patronage du ministère des Affaires culturelles, organise l’exposition de groupe «Big Moments» (Grands Moments), dont le vernissage est prévu pour le 6 septembre 2025.

Après une saison culturelle 2024/2025, marquée par une ouverture majeure sur les arts plastiques, l’établissement inaugure cette rentrée avec une exposition collective réunissant 27 artistes tunisiens issus de différentes générations.

La saison écoulée a été l’occasion pour la Maison des Arts de rendre hommage à plusieurs grandes figures disparues de la scène artistique, notamment Jabeur Al Mahjoub, Amara Ghrab et Moncef Ben Amor. Ces artistes, à travers leurs œuvres intemporelles, ont marqué la mémoire collective et continuent d’inspirer de nouvelles générations de créateurs.

Cet hommage s’est accompagné d’une célébration des artistes encore parmi nous, dont la contribution continue d’enrichir le paysage artistique tunisien et de porter haut les couleurs de la création contemporaine.

La saison s’est clôturée avec la première édition du Salon National des Beaux-Arts, un événement  qui ambitionne de devenir un rendez-vous semestriel pour les passionnés d’art et les acteurs du secteur.

Organisé au sein de la Maison des Arts, ce salon a réuni 84 œuvres signées par 63 artistes tunisiens venus des quatre coins du pays. Il a permis d’explorer la richesse et la diversité des formes d’expression plastique, de la peinture à la sculpture en passant par les installations et les arts visuels contemporains.

L’objectif était double : soutenir les jeunes talents des régions et offrir une visibilité nouvelle aux parcours artistiques exceptionnels. L’événement a également favorisé les rencontres entre artistes, public, médias, galeries et institutions culturelles, consolidant ainsi les échanges et les passerelles nécessaires au rayonnement des arts plastiques en Tunisie.

L’exposition «Big Moments», qui se tiendra jusqu’au 20 septembre 2025, réunit 27 artistes tunisiens aux approches, styles et univers variés, entre autres : Samir Makhlouf, Emna Masmoudi, Nadia Zouari, Walid Zouari, Islem Bel Hadj Rhouma, Sami Ben Ameur, Neïla Ben Ayed et Baker Ben Frej, entre autres.

En rassemblant des artistes de différentes générations, la Maison des Arts souhaite proposer une vision plurielle de la création contemporaine, où se croisent héritage, innovation, mémoire et expérimentation.

La Russie sous pression : la rente pétro-gazière s’effondre, le budget vacille

La Russie est en train de vivre un choc économique majeur. En 2025, ses exportations de pétrole, de gaz et de charbon se sont effondrées de 50%, privant l’État d’un tiers de ses revenus budgétaires. Une conséquence directe de la guerre en Ukraine et des sanctions internationales. C’est ce qu’indique le site legaz.fr.

  • -50% d’exportations fossiles depuis le début de la guerre
  • 1/3 du budget national envolé
  • 60% des exportations russes dépendent encore du pétrole, du gaz et du charbon
  • 40% du budget de l’État va à l’armée.

 

Ce n’est pas étonnant en ce sens que le pétrole représente à lui seul 72% des exportations fossiles russes, suivi du gaz (18%) et du charbon (10%). Ensemble, ils forment 60% des exportations totales du pays. Autrement dit, comme la structure des pays sous-développés.

Il faut souligner que cette rente a longtemps financé l’appareil d’État russe — et surtout les dépenses militaires, qui comptent désormais pour 40% du budget fédéral. Du coup, cette dépendance au secteur énergétique se retourne aujourd’hui contre Moscou.

Sanctions et réalignement mondial

En effet, depuis l’invasion de l’Ukraine, les sanctions économiques ont frappé de plein fouet les capacités d’exportation russe. Même si la Chine et l’Inde restent de gros clients – qui sans doute bénéficient d’un “prix d’ami“ -, la baisse des prix mondiaux et les restrictions technologiques freinent les revenus.

D’ailleurs, en mai 2025, les exportations fossiles russes ont atteint leur niveau le plus bas depuis une décennie.

Quelles conséquences pour Moscou ?

Les analystes soulignent que la chute des recettes énergétiques met sous pression les finances publiques. Le Kremlin est contraint de réduire ses ambitions ou de puiser dans ses réserves. Et dans un contexte de transition énergétique mondiale accélérée, ses marges de manœuvre se réduisent, disent-ils.

Dans ce contexte, la Russie doit désormais choisir : réformer son modèle économique ou s’enfoncer dans l’isolement.

L’article La Russie sous pression : la rente pétro-gazière s’effondre, le budget vacille est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Kaïs Saïed à Alger pour le Salon du commerce intra-africain

Le président de la République  Kaïs Saïed effectuera une visite officielle en Algérie les 3 et 4 septembre 2025, sur invitation de son homologue Abdelmadjid Tebboune.

Cette visite est motivée par la tenue du Salon africain du commerce intra-africain, un événement économique majeur dont la quatrième édition se déroulera à Alger du 4 au 10 septembre. L’objectif principal de ce salon est de renforcer les échanges commerciaux entre les nations du continent et de promouvoir l’intégration économique africaine.

L’article Kaïs Saïed à Alger pour le Salon du commerce intra-africain est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Marokko – Rekordüberweisungen von Auslandsmarokkanern stützen Zahlungsbilanz

DevisenGeldtransfers (Rücküberweisungen) der Diaspora (MRE) erreichen 2024 ein historisches Hoch und gewinnen für Wirtschaft und Haushaltsbilanz weiter an Bedeutung. Rabat – Die Überweisungen von im Ausland lebenden Marokkanern (MRE) haben im Jahr 2024 ein neues Rekordniveau erreicht. Nach Angaben des Office des Changes beliefen sich die Einnahmen auf 119 Milliarden marokkanische Dirham MAD. Dies entspricht […]

Der Beitrag Marokko – Rekordüberweisungen von Auslandsmarokkanern stützen Zahlungsbilanz erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Fournitures scolaires | Plusieurs saisies annoncées par le ministère du Commerce

Le ministère du Commerce a annoncé ce mercredi 3 septembre 2025 les résultats d’une vaste campagne de contrôle menée dans le but de s’assurer de la conformité des fournitures scolaires sur le marché.

Dans son communiqué, le département du Commerce a précisé que cette opération a été menée en collaboration avec les ministères de l’Intérieur et de la Santé, ainsi qu’avec la Douane, et ce, afin de protéger les consommateurs et à garantir la qualité des produits destinés aux élèves à l’approche de la rentrée scolaire ce 15 septembre.

Sur un total de 1456 visites d’inspection effectuées, les agents de contrôle ont saisi 9.016 unités de fournitures scolaires diverses, notamment des stylos, des colles, des feutres, des pâtes à modeler … qui ont été retirées de la vente pour non-conformité aux réglementations en vigueur.

La campagne a également mis en lumière des pratiques de spéculation de produits subventionnés, indique la même source en annonçant la saisie de près de 13 526 cahiers subventionnés.

Les équipes de contrôles ont également enregistrés 263 infractions, notamment le non-affichage des prix, l’absence de factures d’achat, le refus de vente et la vente conditionnée…

L’article Fournitures scolaires | Plusieurs saisies annoncées par le ministère du Commerce est apparu en premier sur Kapitalis.

Kairouan : 263 activités religieuses programmées pour le Mouled

Le directeur régional des affaires religieuses à Kairouan, Salah Dhouibi, a annoncé mercredi 3 septembre 2025 la programmation de 263 activités religieuses à l’occasion de la célébration du Mouled, la naissance du Prophète.

Dans une déclaration à la radio nationale, il a précisé que ce programme s’étend sur les 13 délégations du gouvernorat et comprend des cours, des lectures et clôtures religieuses et coraniques, ainsi que des concours.

Salah Dhouibi a également souligné que la région de Kairouan se distingue par la préservation de ce patrimoine spirituel, compte tenu de son statut particulier dans le monde islamique, notamment en Afrique du Nord.

L’article Kairouan : 263 activités religieuses programmées pour le Mouled est apparu en premier sur webdo.

Polémique : une vidéo de mariage montrant des femmes dansant sur un cheval choque les internautes

Polémique : une vidéo de mariage montrant des femmes dansant sur un cheval choque les internautes

Une vidéo choquante circulant sur Facebook a suscité une vive indignation en Tunisie : on y voit une mariée et sa sœur danser, en plein mariage, sur le ventre d’un cheval étendu au sol, visiblement blessé et saignant. La scène, jugée « insoutenable et humiliante » par de nombreux internautes, a été dénoncée comme une […]

The post Polémique : une vidéo de mariage montrant des femmes dansant sur un cheval choque les internautes first appeared on Directinfo.

Tunisie: Kais Saied se rend en Algérie

Tunisie: Kais Saied se rend en Algérie

Le président de la République Kais Saied a quitté mercredi soir le territoire national en direction de l’Algérie, répondant à l’invitation de son homologue Abdelmadjid Tebboune afin d’assister la cérémonie d’ouverture de la 4ème édition du Salon africain du commerce intra-africain (IATF 2025) qui se déroule du 4 au 10 septembre 2025. A son arrivée […]

The post Tunisie: Kais Saied se rend en Algérie first appeared on Directinfo.

Tunis : la justice rend un nouveau jugement concernant une tiktokeuse accusée de débauche

Tunis : la justice rend un nouveau jugement concernant une tiktokeuse accusée de débauche

La chambre correctionnelle estivale de la Cour d’appel de Tunis a rendu, ce mercredi, un jugement annulant une condamnation par contumace de quatre ans de prison prononcée à l’encontre d’une tiktokeuse. Selon une source judiciaire citée par Diwan, la cour a de nouveau statué en faveur de l’absence de poursuites à son encontre. La jeune […]

The post Tunis : la justice rend un nouveau jugement concernant une tiktokeuse accusée de débauche first appeared on Directinfo.

La municipalité de Tunis fait le ménage à El Menzah…!!!

La municipalité de Tunis fait le ménage à El Menzah…!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Environnement) – Le phénomène d’occupation des trottoirs de façon illicite a pris de l’ampleur ces dernières années en Tunisie.  Certains commerces sont devenus ces derniers temps une source de nuisances pour les riverains qui se trouvent à proximité, avec par des dizaines de commerçants informels qui ont transformé les trottoirs en bazar à ciel ouvert.

Les terrasses de certains restaurants et cafés envahissent tout l’espace, jusque sur la chaussée. Des boutiques et des échoppes sont érigées sur les voies piétonnes, les transformant en dépôts provisoires de marchandises. A chaque «envahisseur», ses propres motifs. Bien que la législation soit très stricte en ce qui concerne l’occupation de l’espace public, certains commerçants par ignorance ou par défiance continuent d’investir des espaces strictement réservés aux piétons.

Les municipalités ont vite réagi, en vue de mettre fin à ce squat du patrimoine public qui tend à prendre des proportions alarmantes avec l’occupation illicite de centaines d’espaces de la voie publique. Les efforts de lutte contre l’occupation anarchique des espaces publics se poursuivent.

La municipalité de Tunis fait le ménage à El Menzah…!!! | Univers News

Des campagnes sécuritaires de lutte contre les étals anarchiques et l’usage intensif des trottoirs ont été organisées par la municipalité de Tunis en vue de remettre de l’ordre dans la ville tout en   débarrassant le centre-ville des marchands ambulants et des vendeurs de l’informel. Ces opérations se sont soldées par le retrait de tous les étals anarchiques, la saisie des chaises et des tables. Hier, les services municipaux ont effectué une campagne de contrôle nocturne sur les commerces de la circonscription municipale d’El Menzah. (M.S)

❌