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𝗕𝗜𝗚𝗧𝗘𝗖𝗛 𝗔𝗙𝗥𝗜𝗖𝗔 𝟮𝟬𝟮𝟱 : 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘁𝗿𝘂𝗶𝗿𝗲 𝘂𝗻 𝗵𝘂𝗯 𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻, 𝘀𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗮𝗶

Organisé par TPM Events, en collaboration avec le Ministère des Technologies de la Communication, BIGTECH AFRICA revient du 9 au 11 septembre 2025 avec une ambition renforcée : faire de Tunis le cœur battant de l’innovation, de l’investissement et de la coopération technologique en Afrique.

L’édition 2025 sera également inaugurée le 9 septembre par M. Sofiene HEMISSI, Ministre des Technologies de la Communication. Cet acte marquera le coup d’envoi d’un événement d’envergure, placé sous le signe de la souveraineté numérique et de l’ouverture sur le monde.

Avec plus de 12 000 participants, 200 exposants et startups, 100 speakers internationaux, 50 investisseurs, et des pavillons institutionnels multisectoriels, BIGTECH AFRICA s’impose comme un rendez-vous continental stratégique, pensé pour connecter les talents africains aux marchés, aux capitaux et aux décideurs publics et privés.

Bien au-delà d’un salon technologique, BIGTECH AFRICA est une plateforme où la tech soigne, éduque, inclut, investit et transforme — en plaçant l’humain, les valeurs et les Objectifs de Développement Durable (ODD) au cœur du progrès.

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Sidi Bouzid : Modernisation du réseau d’éclairage pour réduire les risques d’accidents de la route

Les travaux liés aux projets d’extension du réseau d’éclairage public, réalisés par la municipalité de Sidi Bouzid, avancent à un rythme soutenu.

Parmi ces travaux, ceux portant modernisation du réseau d’éclairage public en zone urbaine, dont le coût s’élève à 380 mille dinars, avec installation de poteaux électriques équipés d’ampoules économiques en énergie.

Il s’agit également des travaux d’installation d’un réseau d’éclairage public solaire au niveau des intersections, des ronds-points giratoires et des virages aigus, moyennant une enveloppe de 450 mille.

“Ces travaux s’inscrivent dans le cadre de l’amélioration de la qualité de l’infrastructure routière en vue de réduire les risques des accidents de la route”, a souligné à l’Agence TAP, le chargé de la gestion de la municipalité de Sidi Bouzid, Mohamed Saleh Khaskhoussi.

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Zaghouan : Un nouveau centre de formation pour les jeunes filles rurales à Bir Mcherga

Les études liées au projet d’aménagement d’un nouveau centre de formation destinée à la jeune fille rurale dans la délégation de Bir Mcherga (gouvernorat de Zaghouan) seront achevées d’ici la fin de l’année en cours, a indiqué à l’Agence TAP le directeur régional de l’emploi Anis Lacheheb.

La même source a rappelé que ce projet, programmé depuis 2017, sera aménagé sur un terrain domanial couvrant une superficie de 1,5 hectare.

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Tunisie : Réouverture des agréments pour les établissements privés de formation paramédicale

Un conseil ministériel restreint tenu, mercredi, 27 août courant, sous la présidence de la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a été consacré au dossier de la formation paramédicale dans les établissements privés d’enseignement supérieur.

Lors de cette réunion, rapporte un communiqué, le conseil a décrété une série de mesures, dont notamment, l’annulation des décisions prises lors de deux séances de travail ministérielles, tenues respectivement, les 5 mai 2011 et 7 juin 2012 et portant suspension de l’octroi des agréments aux fins de création de nouveaux établissements privés d’enseignement supérieur dans le domaine paramédical.

Dans ce contexte, le conseil a décidé de reprendre le recours à la procédure d’octroi des agréments pour créer de nouveaux établissements privés d’enseignement supérieur paramédical.

Pour ce faire, il a ordonné de prendre une série de mesures, dont notamment, la révision du cahier des charges relatif à la création de ces établissements et la détermination de la capacité maximale d’accueil des étudiants, toutes spécialités paramédicales confondues, en fonction de la disponibilité des stages, du corps enseignant et des besoins du pays en matière de formation.

Le conseil a également exigé la mise en place d’une grille de critères d’admission des étudiants dans le secteur privé prenant en considération les résultats et le type du baccalauréat des candidats, le test psychotechnique, ainsi que la mise à la disposition du secteur privé d’une cartographie spécifique aux créations selon les spécialités.

Le conseil a, en outre, mis l’accent sur la nécessité de garantir une formation de haute qualité, en termes de niveau minimum requis des étudiants, de qualité et de modernité des programmes.

Dans ce contexte, il a recommandé d’intégrer la simulation, les technologies modernes et les langues dans la formation dans la perspective de répondre au mieux aux normes nationales et internationales ainsi qu’aux besoins du marché de l’emploi.

Il a également appelé à la nécessité de fournir un nombre suffisant de stages de qualité, des enseignants et encadrants expérimentés et compétents, ainsi que des espaces d’enseignement et de formation appropriés.

Le conseil a aussi recommandé de multiplier les visites d’inspection auprès des établissements privés, tout au long de l’année, par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et de prendre à cet effet les mesures appropriées pour réglementer et renforcer le contrôle du système d’enseignement supérieur privé dans le domaine paramédical, y compris l’obtention par ces établissements de décisions portant homologation des spécialités proposées.

Aussi, le conseil a mis l’accent sur l’impératif de mettre en place un système qualité au sein des établissements privés d’enseignement supérieur paramédical et de former une commission technique composée de représentants du ministère de la Santé et du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

Cette commission ad hoc aura pour mission de revoir le cahier des charges, d’établir la nomenclature nationale des spécialités et de recenser les mesures à prendre pour renforcer le contrôle du système de l’enseignement supérieur privé dans le domaine du paramédical.

Prenant la parole, la cheffe du gouvernement a souligné l’importance du domaine paramédical en tant que secteur vital en Tunisie et son rôle essentiel dans le développement du système de santé.

Elle a salué, à ce propos, les compétences et les cadres qualifiés formés dans le secteur de la formation paramédicale, mettant en avant les exploits et les réalisations engrangés par les cadres paramédicaux dans les secteurs privé et public et aussi au double plan national et international.

Elle a ajouté que ces indicateurs positifs constituent un véritable stimulant pour soutenir ces compétences et  leur offrir ainsi les meilleures conditions de réussite.

Evoquant le droit à la santé, la cheffe du gouvernement a souligné l’importance d’une veiller à garantir une formation de qualité dans toutes les spécialités de santé et de faciliter l’accès aux services de soins dans les secteurs public et privé, grâce à des programmes de formation de haute qualité intégrant les technologies modernes pour promouvoir la performance et l’efficacité du secteur de la santé.

Par ailleurs, le conseil est revenu sur les indicateurs qui ont justifié le réexamen du dossier de la formation paramédicale dans les établissements privés.

Pour le conseil, il s’agit de répondre aux besoins pressants du marché local de l’emploi, notamment, en raison de la pénurie enregistrée sur les listes d’attente dans les directions régionales de la santé, notamment, pour les sciences infirmières.

Il s’agit aussi de répondre à une demande internationale sans cesse croissante en cadres paramédicaux, illustrée à travers les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

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Sarra Zaafrani Zenzri et Fathi Zouhair Nouri réaffirment la coopération pour la croissance économique

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a reçu, mercredi, 27 août, au palais du gouvernement à la Kasbah, le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), Fathi Zouhair Nouri, qui lui a remis le rapport annuel de l’institution au titre de l’année 2024.

Lors de cette réunion, cite un communiqué, la cheffe du gouvernement a salué les résultats enregistrés par la Banque centrale, tout particulièrement, en matière de maîtrise de l’inflation, du taux de change et des réserves de devises, trois indicateurs qui nécessitent de miser davantage sur la politique du compter-sur-soi.

Lors de cette réunion, cite un communiqué, la cheffe du gouvernement a appelé à redoubler d’efforts en vue de concilier entre le double impératif de la croissance économique et de la justice sociale, tout en confortant les piliers de l’Etat social.

La réunion a été également l’occasion de réaffirmer le rôle-clé joué par la banque centrale en matière de soutien des efforts de l’État dans les domaines monétaire et économique.

Zenzri a, par ailleurs, saisi l’occasion pour mettre l’accent sur la nécessité de ne pas se soumettre aux diktats extérieurs, et ce, conformément aux instructions données par le président de la République, Kais Saïed, se félicitant, à ce propos, du rôle de la Banque centrale, en tant qu’établissement public essentiel, dans la mise en œuvre des politiques publiques de l’État conformément aux choix émanant de la volonté du peuple.

Pour sa part, le gouverneur de la Banque centrale, Fathi Zouhair Nouri, a mis en exergue l’importance de la concertation étroite entre le gouvernement et la Banque centrale dans le domaine de la politique économique de l’État au service de l’intérêt supérieur de la Tunisie.

Il a ajouté que la Tunisie a poursuivi ses efforts pour atteindre la stabilité macroéconomique et est parvenue à améliorer le taux de croissance économique, à contrôler l’inflation et les réserves de devises, et à maintenir la valeur du dinar tunisien.

En matière de politique monétaire, le gouverneur de la Banque centrale a tenu à préciser que malgré les « progrès palpables » dans la trajectoire descendante de l’inflation, le taux d’intérêt directeur a été réduit de 50 points de base le 26 mars 2025.

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Taekwondo : Défaite du champion olympique tunisien Firas Katoussi face à Victor Rodriguez

Le champion olympique tunisien Firas Katoussi a été éliminé en quarts de finale du Grand Prix Challenge de taekwondo de Mujo en Corée du Sud, après sa défaite face à l’Américain Victor Rodriguez sur les scores de (14-9, 8-3), jeudi matin.

Katoussi avait bien entamé la compétition, en s’imposant d’abord contre le Chinois Mingkuan Ming (6-3, 4-3) puis face au Tchèque Tomas Sittek (14-4, 6-1).

Pour rappel, Firas Katoussi est l’actuel champion olympique en -80 kg, sacré aux Jeux olympiques de Paris 2024.

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Cosmétiques : Le TPO, toxique pour la reproduction, bientôt proscrit en Europe et en France

L’oxyde de diphényl triméthylbenzoyl phosphine (TPO), une substance toxique présente dans les vernis à ongles semi-permanents, sera interdite en France et en Europe, dès le 1er septembre 2025, annonce le ministère français de l’Économie et des Finance, dans un communiqué.

Cette substance utilisée dans les produits pour ongles artificiels et pourtant autorisée, en France, uniquement pour un usage professionnel dans les préparations pour ongles artificiels à une concentration maximale de 5 %, est toxique pour la reproduction, selon la même source.

“Cette interdiction entre dans le cadre du règlement européen dit Omnibus VII, en ce qui concerne l’utilisation, dans les produits cosmétiques, de certaines substances classées comme cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction”, indiquent les autorités. Plus précisément, à compter de la rentrée, il sera proscrit de mettre sur le marché des produits cosmétiques contenant du TPO, de mettre à disposition ces produits, y compris à des professionnels, et d’utiliser ces produits, notamment par les professionnels dans le cadre de leurs prestations (pose de vernis, manucure, etc.).

Cette interdiction entre dans le cadre du règlement européen dit Omnibus VII, en ce qui concerne l’utilisation, dans les produits cosmétiques, de certaines substances classées comme cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction. Aucun délai d’écoulement des stocks n’est prévu pour les professionnels concernés.

Selon des médecins et des activistes de la société civile en Tunisie, les ministères tunisiens du Commerce et de la Santé devraient engager des démarches pareilles pour interdire toute substance toxique présente dans les produits cosmétiques dans l’objectif de protéger la santé humaine, sachant que l’UE, demeure le premier partenaire économique et commercial de la Tunisie.

En Tunisie, le secteur des Industries chimiques compte environ 513 entreprises employant 10 personnes et plus. Parmi elles, 71 entreprises opèrent dans les activités liées à l’hygiène et la cosmétique (Savons, détergents, produits d’entretien, parfum et produits cosmétiques).

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Billets d’avion, surtaxes, nouvelle réglementation sur les chèques, manque de vision : le cri d’alarme de Mouna Ben Halima

Législation punitive, fiscalité dissuasive et absence de vision stratégique : pour Mouna Ben Halima, CEO de l’hôtel de luxe Al Badira, le tourisme tunisien, y compris dans son segment haut de gamme, paie cher les effets de lois mal conçues et mal appliquées. Entre une clientèle étrangère découragée par les prix des billets d’avion, des taxes accumulées qui freinent l’investissement et une réglementation qui désorganise le travail saisonnier, elle dresse un tableau lucide et franc d’un secteur en manque de cap.

Comment jugez-vous la saison touristique actuelle dans vos établissements ?

Je préfère parler de la basse saison. Dès février, nous avons ressenti une nette baisse d’activité. À mon sens, cela est directement lié à la loi criminalisant les chèques sans provision. De nombreux Tunisiens avaient l’habitude de régler leur séjour en plusieurs fois par chèque, notamment pour des occasions spéciales comme un anniversaire de mariage.

Ce n’est plus possible aujourd’hui, et cela a clairement freiné la demande. Jusqu’en juin, nous étions en retard par rapport à nos prévisions, avec à peine 1 % de croissance par rapport à l’an dernier – une hausse totalement absorbée par l’inflation. Autant dire que c’est une saison faible, en réalité.

« On préfère ponctionner un secteur au lieu de l’encourager à se moderniser. »

 

Avez-vous constaté une augmentation des réservations, de la part des touristes étrangers ? Et côté tourisme intérieur ?

Ma clientèle est très spécifique : haut de gamme, avec un fort pouvoir d’achat, indépendante des circuits de tour-opérateurs et des vols charters. Elle réserve souvent plusieurs mois à l’avance, parfois dès mars pour août. Mais ces deux dernières années, les tarifs aériens excessifs ont poussé nombre de nos fidèles à reporter leurs vacances à l’automne, voire à changer de destination.

Même les Tunisiens résidant à l’étranger, pourtant attachés à la Tunisie, achètent aujourd’hui des résidences secondaires en Espagne, en Croatie ou en Turquie. Une famille de quatre personnes ne peut pas raisonnablement payer 700 € par billet en été. Et pourtant, on vient d’assister à un revirement : Tunisair, constatant que ses avions étaient à moitié vides, a lancé des promotions de dernière minute, faisant chuter les prix à 200 € l’aller simple.

Un non-sens économique. On pénalise les voyageurs prévoyants qui ont réservé en février à 800 €, alors qu’on récompense ceux qui réservent la veille. Ce mauvais pilotage du revenue management pénalise toute la chaîne touristique. À l’hôtel, nous avons une politique tarifaire progressive, logique et respectueuse des clients.

Quels marchés ont le plus répondu présent cette année ?

EasyJet, avec ses vols vers Enfidha, reste une bouffée d’oxygène. Elle permet d’attirer une clientèle britannique avec des prix compétitifs. Mais globalement, la Tunisie perd des touristes étrangers. Cela signifie moins de devises pour le pays, ce qui devrait alerter les décideurs.

Car en parallèle, la clientèle locale prend la place, mais elle réserve à la dernière minute, avec un budget moindre. Il faut choisir : veut-on maximiser les rentrées en devises ou préserver les habitudes de consommation internes ? Cela passe essentiellement par une politique claire d’accessibilité aérienne.

« Une famille de quatre personnes ne peut pas raisonnablement payer 700 € par billet en été. »

 

Parvenez-vous à maintenir la rentabilité malgré ce contexte ?

Oui, car je ne travaille pas avec les tour-opérateurs et tous mes clients paient à la réservation ou à l’arrivée. Je n’ai pas de problème de trésorerie et mon hôtel est rentable. Mais cela reste une exception, pas la norme du secteur.

Quels sont les principaux coûts qui grèvent aujourd’hui votre marge ?

Depuis la loi de finances 2024, nous sommes surtaxés. En plus des 3% de taxes déjà en place sur le chiffre d’affaires (2% pour l’ONTT, 1% pour les municipalités), une nouvelle taxe de 3% a été imposée au profit de la caisse de compensation. Pourtant, cette dernière représente à peine 0,1% de notre activité.

Résultat : nous supportons 6 % de charges sur le chiffre d’affaires, ce qui est énorme. C’est autant d’argent qui ne peut pas être réinjecté dans la rénovation ou le développement. À mon échelle, cela représente 800.000 dinars par an ! On préfère ponctionner un secteur au lieu de l’encourager à se moderniser.

« Même ceux que nous avons formés partent : les croisières et l’Arabie saoudite débauchent à tout-va. »

 

Recevez-vous un quelconque soutien de l’État ?

Aucun. Ni soutien fiscal, ni accompagnement bancaire. Quand j’étais au bureau exécutif de la FTH, nous avions même ironisé avec un slogan : « FTH, sallakha wahdek ». Cela résume bien la situation.

La loi sur les chèques sans provision a-t-elle des impacts concrets sur votre quotidien ?

Évidemment. Elle a réduit la demande locale. Et paradoxalement, le cash est revenu en force. On a dû acheter une machine pour compter les billets ! Nous qui plaidions pour la transparence et la traçabilité, nous nous retrouvons à gérer des sacs remplis d’espèces. Ce n’est ni moderne ni souhaitable.

Avez-vous revu votre politique d’investissement ou de rénovation ?

Oui, à la baisse. Non pas à cause de la conjoncture, mais à cause de la surtaxe fiscale. Ces 3 % supplémentaires que je dois verser à l’État m’empêchent de réinvestir comme je le voudrais, dans du mobilier, des cuisines, des équipements. C’est une politique absurde.

« Depuis 15 ans, les recommandations n’ont jamais été appliquées. »

 

L’emploi saisonnier est-il toujours aussi disponible ? Trouvez-vous du personnel qualifié ?

L’emploi saisonnier existe encore, mais la nouvelle législation sur le travail rend les saisonniers moins motivés. On ne peut plus les fidéliser avec des CDD renouvelés.

Résultat: perte d’efficacité. Quant au personnel qualifié, c’est un problème structurel : effondrement de l’école publique, disparition de la formation professionnelle, etc. Nous formons nos équipes en interne, avec des experts internationaux. Mais désormais, même ceux que nous avons formés partent : les croisières et l’Arabie saoudite débauchent à tout-va, avec de bien meilleures conditions.

« Nous plaidions pour la transparence et nous nous retrouvons à gérer des sacs remplis d’espèces. »

 

Craignez-vous une fragilité structurelle du secteur hôtelier ?

Ce n’est pas une crainte, c’est un constat. Depuis le rapport Roland Berger en 2009 jusqu’aux assises nationales de 2017, les recommandations structurantes n’ont jamais été appliquées.

Résultat : la capacité hôtelière est en baisse, les hôtels vétustes ferment faute de rénovation. Les nouveaux promoteurs ne se lancent plus dans ce secteur devenu trop risqué, trop taxé, trop exposé. Rien n’a changé depuis quinze ans. Et c’est tragique.

Entretien conduit par Amel Belhadj Ali

En bref

Mouna Ben Halima, CEO de l’hôtel Al Badira, dresse un constat sévère sur le tourisme tunisien : flambée des prix des billets d’avion, surtaxes fiscales, loi sur les chèques qui freine la demande, absence de vision stratégique… Le haut de gamme hôtelier peine à maintenir son attractivité. La fiscalité pèse lourdement sur l’investissement, tandis que la fuite des compétences fragilise un secteur en manque de réformes structurelles.

 

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Météo en Tunisie : à quoi faut-il s’attendre jeudi entre orages, pluies diluviennes et fortes chaleurs ?

Le temps sera jeudi partiellement nuageux sur tout le pays. Des cellules orageuses vont apparaitre localement accompagnées de chutes de pluies parfois diluviennes l’après midi et pendant la nuit sur les régions du Nord-Ouest et le centre.

Les chutes de pluies concerneront localement les régions de l’Est avec des chutes de grêles dans des endroits limités, selon les prévisions de l’Institut national de la Météorologie (INM).

Le vent soufflera de secteur Sud faible à modéré. Puis il se dirigera l’après midi vers le secteur Nord et sera relativement fort à localement fort près des côtes, lors de l’apparition des averses orageuses, atteignant une vitesse dépassant provisoirement 70km/h sous forme de rafales.

Le vent sera renforcé pendant la nuit sur le sud avec des tourbillons de sables locaux contribuant à la baisse de la vision verticale. La mer sera agitée à localement très agitée et les températures maximales seront comprises entre 30 et 36 degrés sur les régions côtières du Nord, le Centre et les hauteurs de l’Ouest et entre 37 et 43 degrés sur le reste des régions atteignant localement 45 degrés sur le Sud avec une apparition locale des siroccos, selon la même source.

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Bourse de Tunis : Le TUNINDEX grimpe, SFBT en tête des volumes

Le marché boursier a clôturé la séance du mercredi dans le vert. L’indice de référence a affiché une embellie de 0,5 % à 11924,4 points.

A l’image de la séance de la veille, les échanges ont été maigres, se montant à 3,3 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre MONOPRIX s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action s’est bonifiée de 4,4 % à 6,480 D, dans un flux réduit de 3 mille dinars.

Le titre BNA a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. L’action de la banque publique s’est appréciée de 4,2 % à 8,940 D. La valeur a été échangée à hauteur de 163 mille dinars sur la séance.

Le titre SOMOCER s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du spécialiste des carreaux en céramique a reculé de 3,9 % à 0,490 D. La valeur a amassé un volume limité de 4 mille dinars sur la séance.

Le titre SIAME a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action du spécialiste des appareillages électriques s’est délestée de 3,4 % à 2,250 D, en mobilisant de modestes échanges de 19 mille dinars.

SFBT a été la valeur vedette de la séance. L’action a terminé la séance en territoire positif (+1,9 % à 12,640 D), en alimentant le marché avec des capitaux de 540 mille dinars.

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Restauration de la Mosquée Maazouzine à Djerba : Un chantier, une école, une fierté

Djerba, août 2025 – Le mois d’août 2025 restera une date marquante pour le patrimoine religieux et architectural de l’île de Djerba, inscrite depuis 2023 sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Du 10 au 25 août 2025, la mosquée historique de Mezraya, connue sous le nom de Mosquée Maazouzine, a bénéficié d’un Chantier-École de restauration exemplaire. Cette initiative a été menée conjointement par l’ESAD (École Supérieure d’Architecture d’Audiovisuel et de Design de Tunis) et l’ENAU (École Nationale d’Architecture et d’Urbanisme), sous la direction de M. Mouldi Chaabani, Directeur de l’ESAD.

Le projet a bénéficié de l’autorisation de l’Institut National du Patrimoine (en date du 8 aout 2025). Sur le plan financier, la réussite de l’opération doit beaucoup à l’appui de l’entreprise Bab Bhar Travaux ainsi qu’à Ben Jemaa Motors (Groupe Ben Jemaa) et à TPR (Groupe Bayahi), deux partenaires déjà engagés ces dernières années dans des actions de sauvegarde du patrimoine Djerbien.

Au cœur du projet, 50 étudiants en architecture de l’ESAD et de l’ENAU ont activement participé aux travaux. Leur engagement, leur sens de la responsabilité et leur motivation ont non seulement contribué à la réussite du projet, mais ont également constitué une expérience pédagogique inestimable.

Ce chantier a permis aux étudiants d’acquérir, sur le terrain, des compétences pratiques en matière de restauration et de conservation du patrimoine, tout en nourrissant un sentiment profond de fierté et d’appartenance.

Une mosquée retrouvée, une mémoire préservée

La restauration de la mosquée Maazouzine a permis de redonner toute sa dignité à ce monument emblématique, reflet de la richesse et de la beauté de l’architecture djerbienne.

Au-delà de la restauration de l’édifice, cette opération met en lumière l’importance de l’action collective – institutions, société civile, mécènes et étudiants unissant leurs forces – pour préserver et valoriser le patrimoine. Elle ravive l’espoir d’une véritable mise en valeur du patrimoine architectural de Djerba et, au-delà, de l’ensemble du patrimoine tunisien.

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Assurances ZITOUNA TAKAFUL confirme son élan de croissance et signe une nouvelle année de résultats solides

Dans un environnement en profonde mutation, marqué par la transformation structurelle du secteur des assurances, Assurances ZITOUNA TAKAFUL poursuit avec constance sa trajectoire ascendante, témoignant de la pertinence et de la solidité de son modèle économique. Forte d’une gouvernance rigoureuse, d’indicateurs financiers robustes et d’un réseau commercial en constante expansion, la compagnie affirme une nouvelle fois sa capacité à conjuguer performance, innovation et résilience.

Des résultats financiers qui confirment la solidité du modèle

Durant l’année 2024, Assurances ZITOUNA TAKAFUL a enregistré des résultats particulièrement probants, avec un chiffre d’affaires de 128 millions de dinars et un résultat net combiné de 10,3 millions de dinars.

Ces performances, fruits d’une gestion rigoureuse des provisions techniques et des placements financiers, traduisent la solidité d’un pilotage aligné sur les exigences réglementaires et animé par une stratégie axée sur la pérennité et la création de valeur durable.

« Ces résultats ne sont pas le fruit du hasard, mais l’aboutissement d’une stratégie cohérente, soutenue par un investissement continu dans l’humain, la technologie et l’excellence du service », déclare Makrem BEN SASSI, Directeur Général de la compagnie.

Une avancée majeure : La première distribution du surplus

L’année 2024 s’illustre également par une étape déterminante dans la vie de ZITOUNA TAKAFUL : La première distribution du surplus au bénéfice des clients éligibles marque la concrétisation tangible des principes fondateurs du Takaful, reposant sur la transparence, l’équité et le partage au profit des participants.

Un ancrage territorial renforcé

Au-delà de ses performances financières, Assurances ZITOUNA TAKAFUL consolide sa présence à travers le territoire national. Forte de 56 points de vente et d’un effectif de plus de 250 collaborateurs directs et indirects, la compagnie affirme sa volonté d’être au plus près de ses clients et partenaires. Ce maillage dense, pensé dans une logique de proximité et d’accessibilité, illustre l’engagement de la compagnie à offrir des services adaptés aux spécificités locales et aux attentes de chaque assuré.

Une transformation numérique au service de l’expérience client

Parallèlement, la compagnie accélère sa dynamique de transformation digitale. Modernisant ses processus internes et repensant l’ensemble de l’expérience client, elle déploie des solutions numériques innovantes : digitalisation des services, dématérialisation des procédures et plateformes interactives.

Ces initiatives offrent à ses clients une relation simplifiée, fluide et personnalisée, tout en consolidant les atouts de compétitivité de la compagnie.
Dans cette même dynamique d’innovation, le lancement du nouveau produit d’assurance santé Zitouna Health Premium illustre la volonté de la compagnie d’élargir son offre avec des solutions modernes, flexibles et adaptées aux besoins évolutifs de ses assurés.

Une vision fondée sur la responsabilité et la confiance

Dans un contexte où la confiance constitue un levier stratégique, Assurances ZITOUNA TAKAFUL inscrit son action dans une vision de long terme, guidée par trois piliers essentiels : La transparence, comme gage de confiance ; la performance durable, comme moteur de croissance et la responsabilité sociétale, comme engagement envers la collectivité.

En conjuguant innovation, proximité et rigueur, Assurances ZITOUNA TAKAFUL confirme sa vocation à être un acteur de référence du secteur, au service de ses assurés et de la société dans son ensemble.

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Aviron : la Tunisie vise le titre au championnat d’Afrique 2025 en Afrique du Sud

Le directeur technique de la Fédération Tunisienne d’Aviron, Fayçal Soula, a indiqué que l’objectif de la sélection tunisienne lors de sa prochaine participation au championnat d’Afrique d’aviron classique et de plage, prévu fin octobre-début septembre 2025 en Afrique du Sud, est de remporter le titre continental.

Dans une déclaration à l’agence TAP, Soula a précisé que les rameurs tunisiens entameront leur participation au championnat d’Afrique début septembre prochain, à l’occasion du championnat national considéré comme une étape clé pour évaluer l’état de forme des athlètes.

Il a ajouté qu’avant de prendre part à ce rendez-vous continental, la Tunisie participera au Championnat du monde d’aviron classique et paralympique, qui se tiendra à Shanghai du 21 au 28 septembre. L’objectif fixé par la Fédération est d’atteindre la finale B et de se classer parmi les 15 meilleures nations, a-t-il souligné.

“Parmi les athlètes les plus attendus lors de ce mondial figurent Khadija Krimi et Salma Dhaouadi en double féminin, Fadi Ben Hammouda en skiff seniors, et Gaith Kadri en skiff poids léger. En aviron paralympique, les espoirs tunisiens reposeront sur Ahlem Jeddi, alors que Maher Rahmani devrait être absent en raison d’une blessure nécessitant une intervention chirurgicale.

Interrogé sur les raisons de l’échec des rameurs tunisiens à atteindre le podium mondial et olympique, contrairement à d’autres disciplines individuelles comme la natation ou le taekwondo, Fayçal Soula a pointé du doigt deux principaux obstacles : le manque de moyens alloués à la discipline, et le nombre restreint de clubs, avec seulement 10 associations actives réparties à travers le pays.

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Siliana : forte collecte de blé dur et d’orge pour la saison 2025

Les quantités de céréales collectées dans le gouvernorat de Siliana ont atteint cette saison un million et 577 mille quintaux.

Parmi ces quantités, 737 mille quintaux de blé dur, 148 mille quintaux de blé tendre, 697 mille quintaux d’orge et 491 quintaux de triticale, a indiqué à l’Agence TAP, Mohamed Taher Azouz, chef de service au Commissariat régional au développement agricole.

La même source a ajouté que 435 mille quintaux de blé dur, 88 mille quintaux de blé tendre et 350 mille quintaux d’orge ont été vendus jusqu’à présent, ajoutant que les quantités de blé tendre et dur stockées à l’air libre ont été toutes ramassées.

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Tunisie : une tournée régionale valide le plan d’échantillonnage des sols du projet SOILFER

Une tournée régionale organisée, récemment, à Béja, à Sousse, à Sidi Bouzid, à Tozeur, à Gabès et à Tunis, dans le cadre du projet SOILFER, a permis de valider un plan d’échantillonnage des sols.

Cette tournée a réuni la Direction générale de l’aménagement et de la conservation des terres agricoles (DGACTA), les représentants de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et les 24 chefs d’arrondissements sols des Commissariats régionaux de développement agricole (CRDA) concernés.

L’objectif est de renforcer les capacités locales en matière de collecte, d’analyse et de diffusion des données relatives aux  sols, a indiqué la FAO dans un communiqué publié, mercredi.

Les Commissariats régionaux au développement agricole (CRDA’s) se sont engagés d’assumer leur rôle et leurs responsabilités lors des prochaines campagnes d’échantillonnage.

Les participants ont discuté de l’approche du projet SOILFER et le plan d’échantillonnage proposé, échangé sur l’emplacement de ces points afin de couvrir l’ensemble des unités homogènes des sols.

Par cette initiative, les partenaires avec l’appui du projet SOILFER, ont réaffirmé leur engagement à renforcer les capacités locales et à promouvoir une gestion durable des sols en Tunisie contribuant ainsi à la sécurité alimentaire.

A rappelé SOILFER qui est financé à hauteur de six millions de dollars accordé par le Ministère des Affaires Etrangères du Japon,  est mené par le ministère de l’Agriculture en partenariat avec l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Il permettra de fournir des données actualisées et précises sur les sols à différentes échelles – locale, infranationale (échelle administrative inférieure à celle de la nation: région, département ou commune) et nationale, en vue d’une prise de décision éclairée.

Ces données serviront de base à une série d’outils et de plateformes, notamment des cartes des sols à haute résolution et des applications décisionnelles faciles à utiliser. L’objectif étant d’aider les agriculteurs et le gouvernement à optimiser la productivité et la durabilité de l’agriculture.

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US Open 2025 : Iga Swiatek domine Arango et file au 2ᵉ tour

Iga Swiatek s’est imposée sans frayeur mardi face à la Colombienne Emiliana Arango, que la Polonaise a battu 6-1, 6-2 au premier tour de l’US Open.

Récente vainqueure de Wimbledon et du tournoi WTA 1000 de Cincinnati, Swiatek est arrivée à New York sur la lancée d’un été faste, avec des succès à Wimbledon et Cincinnati, au point d’être la favorite des bookmakers.

En entrée, la N.2 mondiale, sacrée en 2022 de l’US Open, a passé facilement face à Emiliana Arango (84e).

Elle affrontera au deuxième tour la Néerlandaise Suzan Lamens (66e), sur la route d’un possible quart de finale face à la lauréate de Roland-Garros, Américaine Coco Gauff.

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US Open 2025 : Jannik Sinner se qualifie sans trembler pour le 2ᵉ tour

Le N.1 mondial Jannik Sinner s’est qualifié mardi pour le deuxième tour de l’US Open en battant le Tchèque Vit Kopriva (89e au classement ATP).

L’Italien, qui a été contraint à l’abandon en finale du Masters 1000 de Cincinnati, il y a une semaine, face à l’Espagnol Carlos Alcaraz, l’a emporté 6-1, 6-1, 6-2.

Son principal rival, Carlos Alcaraz, s’était lui déjà qualifié, la veille, pour le deuxième tour, sans trembler non plus.

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Genève : la Tunisie réaffirme son engagement contre le racisme et condamne le génocide à Gaza

Le représentant de la mission permanente de la Tunisie auprès du Conseil des droits de l’homme à Genève a réaffirmé l’engagement de la Tunisie à lutter contre toutes les formes de racisme, de discrimination raciale et de haine, conformément au texte de sa Constitution.

Il a également réitéré l’engagement de notre pays à protéger tous les résidents sur son territoire dans le cadre de l’État de droit et de ses institutions, conformément à ses lois nationales et aux engagements découlant des pactes et instruments internationaux.

Dans une allocution prononcée, mardi, dans le cadre d’une table ronde de haut niveau organisée au siège du  Conseil des droits de l’homme, le représentant de la Tunisie a exprimé la ferme condamnation de la Tunisie à l’égard du crime de génocide commis, sur une base raciste, par les forces de l’entité sioniste contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza et dans le reste des territoires palestiniens occupés.

Dans sa page officielle, la mission tunisienne a, en outre, vivement dénoncé ce qu’elle a qualifié “d’agression raciste barbare”, fustigeant la politique d’affamer le peuple palestinien et les pratiques de déplacement forcé visant la population de Gaza.

Elle a également condamné les agressions systématiques ciblant les hôpitaux et personnel y relevant, réitérant les appels incessants de la Tunisie à la communauté internationale en vue d’intervenir en urgence afin de mettre fin aux hostilités, de faciliter l’entrée immédiate de l’aide humanitaire et de lever le blocus injuste imposé aux territoires palestiniens occupés.

La mission tient aussi à exprimer le soutien constant et de principe de la Tunisie en faveur des droits du peuple palestinien, dont en particulier, son droit à disposer de lui-même et à avoir son État indépendant sur l’ensemble du territoire de la Palestine avec pour capitale la ville sainte d’Al-Qods.

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