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Agression sioniste : des centaines d’arbres palestiniens déracinés en Cisjordanie occupée

Des bulldozers sionistes ont déraciné des centaines d’arbres dans le village d’al-Mughayyir, dans le centre de la Cisjordanie occupée, ont rapporté dimanche des médias.

Abdelatif Mohamed Abou Aliya, un agriculteur de cette commune proche de Ramallah, a raconté avoir perdu des oliviers « de plus de 70 ans » sur l’équivalent d’un hectare de terre.

« Ils les ont complètement déracinés et rasés, sous des prétextes fallacieux », a-t-il dit. Il a ajouté avoir déjà commencé à replanter ses arbres, tandis que d’autres habitants étaient en train de bêcher dans le même but dimanche matin.

Plusieurs bulldozers ont roulé sur les hauteurs d’al-Mughayyir, alors qu’en contrebas, des véhicules militaires étaient stationnés, selon des médias.

« L’objectif est de contrôler et de forcer les gens à émigrer », a commenté Ghassan Abou Aliya, responsable d’une association agricole locale, « c’est le début et cela va s’étendre à toute la Cisjordanie occupée ».

Plusieurs habitants ont indiqué que l’opération avait débuté jeudi, et une ONG palestinienne de défense des prisonniers a fait état de 14 arrestations dans le village en trois jours.

Le 16 août, un jeune homme de 18 ans est tombé en martyr par les balles  des forces sionistes, dans ce même village.

« Pas de place pour les criminels dans l’État » : avertissement de Kaïs Saïed aux corrompus de l’Éducation

Le président de la République, Kaïs Saïed, a effectué jeudi une visite surprise au Centre national pédagogique où il a dénoncé fermement la « corruption endémique » dans certains établissements éducatifs, promettant que « quiconque s’est rendu coupable de corruption devra assumer pleinement ses responsabilités devant la justice ».

Lors de cette visite non annoncée, le chef de l’État a catégoriquement rejeté que la distribution des manuels et cahiers subventionnés soit considérée comme une « aide » ou une « faveur », affirmant qu’il s’agit d’« un droit légitime pour chaque enfant tunisien et non une charité ». « Je déteste le mot ‘aide’ », a-t-il insisté.

Au cours des échanges, plusieurs employés ont dénoncé une « corruption endémique » dans certaines institutions éducatives et des représailles pour avoir révélé des irrégularités. Face à ces témoignages, le président a réagi fermement : « Quiconque s’est rendu coupable de corruption devra assumer pleinement ses responsabilités devant la justice. Il n’y a pas de place pour les criminels au sein des institutions de l’État. »

Il a en outre appelé à assainir le pays et à traduire en justice tous ceux qui ont commis des « forfaits contre le peuple », assurant que le processus de réforme se poursuivrait malgré les obstacles. « L’État ne reculera pas », a-t-il affirmé, ajoutant que les véritables responsables sont ceux qui « internalisent leurs institutions » en servant l’intérêt général sans obéir à des ordres occultes.

Le président Saïed a également adressé un message d’encouragement aux élèves et aux personnes à besoins spécifiques, saluant leurs réalisations « remarquables » et les qualifiant de « créateurs et personnes exceptionnelles ».

Enfin, il a fustigé les parties qui tentent, selon lui, « d’entraver le fonctionnement de l’État et de saboter le pays », promettant de ne pas permettre une telle situation.

Kaïs Saïed dialogue avec les docteurs en sit-in et promet des solutions d’emploi

Le président de la République, Kaïs Saïed, s’est rendu jeudi sur le lieu du sit-in des docteurs sans emploi, installés depuis plusieurs semaines devant le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, où il a entamé un dialogue direct avec eux, promettant des solutions équitables pour leur accès à l’emploi.

Le chef de l’État a écouté les revendications des docteurs, affirmant que la lutte contre le chômage des titulaires de doctorat est une « priorité nationale ». Il a assuré que l’État œuvre à mettre en place un processus de recrutement fondé sur la compétence, le mérite et des salaires équitables, conformément aux qualifications académiques.

« Nous déployons tous les efforts pour établir un recrutement juste », a-t-il déclaré, soulignant que toute intégration devra respecter les cadres juridiques en vigueur. Il a ajouté que des solutions pratiques sont en cours d’élaboration pour intégrer progressivement ces compétences dans les institutions publiques, selon des besoins réels et dans le cadre d’une réforme globale du secteur.

Les manifestants ont salué la visite présidentielle comme un geste de reconnaissance de leurs revendications. Ils ont réaffirmé leur attachement à leur droit au travail et leur volonté de servir le pays, malgré les circonstances difficiles qu’ils traversent.

Kaïs Saïed exige la prise en charge immédiate des urgences sans condition financière

Le président de la République, Kaïs Saïed a effectué jeudi une visite surprise à l’hôpital de La Rabta, où il a exigé que « tout patient en état d’urgence soit pris en charge immédiatement, sans condition financière ni formalité administrative préalable ».

Durant cette visite non annoncée, le chef de l’État a inspecté le fonctionnement du service des urgences, a échangé avec le personnel médical et a écouté leurs préoccupations. Il a affirmé que « la santé humaine est une priorité » et qu’elle ne doit jamais être soumise à des contraintes matérielles ou bureaucratiques.

« Lorsqu’un citoyen arrive en état d’urgence, il est de notre devoir de l’accueillir et de le soigner immédiatement », a déclaré le président. « Il est inacceptable qu’un malade soit tenu de payer avant de recevoir des soins. C’est au médecin qu’il appartient d’évaluer l’état du patient, pas à un guichet. »

Kaïs Saïed a insisté sur le fait que les démarches administratives et les aides financières doivent intervenir après la prise en charge médicale, et non avant. Il a appelé à lutter contre les obstacles bureaucratiques qui compromettent la dignité des patients et mettent en danger leur vie.

Le président a également dénoncé des incidents récents survenus dans plusieurs régions, notamment à Gafsa, qualifiant d’« inacceptables » certaines pratiques de refus de soins. Il a affirmé que de telles situations ne doivent pas se reproduire.

La réforme du système de santé, a-t-il ajouté, doit reposer sur l’égalité, l’équité et la dignité du citoyen tunisien. Le droit aux soins, a-t-il conclu, est fondamental et ne saurait être conditionné.

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