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Fairouz Abbassi, une Tunisienne en aquaculture

Fairouz Abbassi est responsable de l’écloserie d’Aquaculture Tunisienne, la plus grande écloserie de bars et de daurades d’Afrique du Nord, avec une production annuelle pouvant atteindre 30 millions de juvéniles. Le magazine spécialisé The Fish Site a réalisé avec elle l’entretien que nous traduisons ci-dessous dans.  

Yomna Elshamy *

Pouvez-vous me présenter brièvement votre parcours ?

Diplômée de l’École nationale de médecine vétérinaire de Tunisie, je poursuis actuellement un master en épidémiologie et immunogénétique des infections virales.

Depuis 2019, je travaille dans le secteur de l’aquaculture en tant que vétérinaire chez Aquaculture Tunisienne, une entreprise tunisienne créée en 1988, spécialisée dans la production, l’élevage et la commercialisation de bars (Dicentrarchus labrax) et de dorades royales (Sparus aurata).

En 2021, j’ai pris l’entière responsabilité de l’écloserie et je supervise actuellement sa croissance et ses opérations quotidiennes en tant que directrice.

Pouvez-vous nous donner un bref aperçu du secteur de l’aquaculture en Tunisie ?

Le pays se concentre principalement sur les espèces marines à forte valeur ajoutée, notamment le bar et la dorade. Actuellement, nous ne disposons que de deux écloseries spécialisées dans la production de bars et de dorades : la nôtre, qui produit environ 30 millions de juvéniles par an, et une plus petite, située dans le sud du pays, d’une capacité de production d’environ 5 millions par an.

Ensemble, ces écloseries ne couvrent que 15 % de la demande totale d’alevins des fermes aquacoles offshore en cage, le système aquacole dominant en Tunisie. Les juvéniles restants sont importés de l’étranger. Cette pénurie d’écloseries représente un défi majeur pour la croissance du secteur.

Quelles ont été les étapes les plus importantes de votre carrière jusqu’à présent ?

L’une de mes plus grandes fiertés est d’avoir dirigé l’écloserie d’Aquaculture Tunisienne. J’ai surmonté avec succès de nombreux défis de gestion, amélioré la qualité du poisson et mis en œuvre des protocoles de biosécurité qui ont considérablement amélioré la santé et la qualité des alevins et des poissons. La satisfaction des clients a ainsi sensiblement augmenté.

Comment percevez-vous le rôle des femmes dans ce secteur en Tunisie et ailleurs ?

Je suis convaincue que les femmes jouent un rôle important dans ce domaine, notamment grâce à leurs solides compétences organisationnelles – un atout majeur pour la communication et le travail d’équipe – deux qualités essentielles en aquaculture. De plus, les femmes sont de plus en plus présentes dans les fermes piscicoles et les écloseries, notamment en Europe, où leur rôle dans le secteur gagne en visibilité et en impact.

Qu’est-ce qui vous a incitée à étudier et à travailler en aquaculture ?

Vivre sur la côte m’a toujours semblé prometteur, plein de potentiel et de défis. Mon intérêt s’est approfondi après l’obtention de mon diplôme, alors que je travaillais sur ma thèse consacrée à la dorade.

Après deux ans de travail dans l’aquaculture, ma passion a continué de grandir, ce qui m’a conduite à envisager cette activité comme un projet professionnel à long terme.

Aquaculture Tunisienne est la plus grande écloserie de bars et de brèmes de Tunisie.

Pouvez-vous nous détailler les principaux aspects de l’écloserie ?

Chez Aquaculture Tunisienne, nous sommes spécialisés dans la production de bars européens et de dorades royales, livrés entre 4 et 6 grammes. Notre écloserie entièrement intégrée comprend des unités de géniteurs, des systèmes de production d’aliments vivants, ainsi que des bassins de larves, de sevrage et de nurserie. Selon le stade physiologique des poissons, nous utilisons des bassins circulaires et rectangulaires pour garantir des conditions d’élevage optimales.

Nous exploitons également une nurserie de 5 000 m³. Cette étape est réalisée en circuit ouvert avec de l’eau de mer directe. Les niveaux d’oxygène et la température sont surveillés régulièrement pour garantir des conditions de croissance optimales. Cette phase est cruciale pour renforcer la robustesse des poissons et garantir une taille uniforme avant le transfert en cages marines ou la livraison aux clients. Elle permet une meilleure sélection, une meilleure croissance et une meilleure qualité globale des juvéniles.

En quoi consiste une journée de travail typique à l’écloserie ?

Bien qu’il n’y ait pas de routine fixe dans notre écloserie, la journée commence généralement à 8 h par une visite de chaque section, en compagnie des chefs de section, afin d’évaluer l’état général, de surveiller les stocks et d’observer la santé et l’activité des poissons. Chaque jour apporte son lot de nouvelles tâches et de défis uniques.

Quels sont les principaux défis de l’aquaculture ?

Une écloserie représente le tout premier stade de la vie et les larves, comme les nouveau-nés, nécessitent des soins et une attention constants. Le principal défi consiste à offrir des conditions idéales, notamment en termes de qualité de l’eau et de nutrition. Des larves saines donnent naissance à des alevins et des poissons robustes, caractérisés par une bonne santé et un taux de croissance élevé, avec une mortalité minimale.

Par ailleurs, si les femmes bénéficient généralement d’une position respectée et d’un accès égal aux opportunités d’emploi en Tunisie, l’aquaculture est encore largement perçue comme un secteur à prédominance masculine, ce qui représente un défi, surtout lorsqu’une femme occupe un poste de direction. De mon point de vue, la clé pour surmonter ce problème est la communication. En restant connecté avec son équipe, en résolvant les problèmes ensemble et en gérant efficacement le stress, la réussite devient possible. Bien sûr, la pression du travail peut être importante, et elle s’accroît encore lorsqu’une femme a des enfants, mais avec de la détermination, il est possible de s’épanouir.

Quels conseils donneriez-vous aux femmes qui envisagent de travailler dans l’aquaculture ?

Mon conseil est que même sans expérience préalable, vous pouvez en acquérir en travaillant. Cependant, le plus important est d’être patient pour surmonter les défis de ce secteur. Être passionné par la pisciculture est essentiel : cela vous permet d’apprécier votre travail et de vous y investir. De plus, il est important de se tenir constamment informé, d’être sociable, de lire régulièrement sur les dernières technologies en aquaculture et d’assister à des conférences et des ateliers pour continuer à apprendre et à progresser. L’aquaculture n’est pas facile au début, mais cela en vaut vraiment la peine.

Quelles sont vos ambitions à long terme ?

Mon ambition est de développer davantage l’écloserie afin d’augmenter la production et de contribuer à réduire la dépendance du pays aux alevins importés. Sur le plan personnel, j’aspire à évoluer professionnellement et à occuper des postes de direction plus importants au sein du secteur aquacole.

Si vous pouviez résoudre un problème dans le secteur aquacole, quel serait-il ?

Le défi de la mortalité des poissons causée par la hausse des températures et le changement climatique. Le réchauffement climatique contribue à l’émergence de nouveaux agents pathogènes et rend la gestion sanitaire de plus en plus difficile. En améliorant la prévention des maladies grâce à des vaccins efficaces, des traitements et des mesures de biosécurité plus strictes, nous pouvons réduire les taux de mortalité et améliorer l’aquaculture.

* Spécialiste égyptienne d’aquaculture.

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Riposte iranienne après les frappes à Téhéran : au moins 8 morts en Israël

(Mise à jour @9H00) Après les frappes massives menées par Israël contre des cibles iraniennes, y compris la capitale Téhéran, l’Iran a riposté dans la nuit du 15 au 16 juin par une nouvelle salve de missiles. Selon Reuters, ces attaques ont touché Tel‑Aviv et Haïfa, causant la mort d’au moins huit personnes et blessant des dizaines d’autres.

Des vidéos diffusées par les chaînes israéliennes montrent plusieurs bâtiments endommagés dans le centre du pays, notamment à Tel-Aviv, où l’une des roquettes aurait frappé un immeuble résidentiel. Les secours ont transporté en urgence plus de 70 personnes, pour la plupart légèrement blessées.

Ce raid intervient moins de 24 heures après qu’Israël a mené une série de frappes ciblées sur Téhéran. Selon les autorités iraniennes, l’armée israélienne a visé le quartier général de la force Qods, des sites de missiles sol-sol ainsi que le ministère iranien des Affaires étrangères. Plusieurs civils ont été blessés lors de l’attaque sur ce dernier.

Le bilan humain s’alourdit rapidement côté iranien. Depuis le début de cette escalade, vendredi 13 juin, 224 personnes ont été tuées, dont au moins 70 femmes et enfants, selon le ministère iranien de la Santé. Parmi les victimes figurent aussi plusieurs hauts responsables militaires, dont Mohammad Kazemi, chef du renseignement des Gardiens de la Révolution, et deux de ses adjoints.

Dans un communiqué relayé par l’agence IRNA, les Gardiens de la Révolution annoncent que des « opérations plus ciblées et dévastatrices » contre les infrastructures israéliennes « se poursuivront jusqu’à l’anéantissement du régime sioniste ».

L’armée israélienne confirme que « les opérations préventives et de neutralisation des menaces se poursuivent ». Le porte-parole de Tsahal a évoqué « une guerre d’attrition inévitable contre un ennemi déterminé à frapper au cœur ».

Trump tente d’éviter l’escalade

Depuis Washington, le président américain Donald Trump, s’apprêtant à quitter le pays pour le sommet du G7 au Canada, a appelé à « une désescalade rapide » tout en réitérant son « soutien inébranlable à la sécurité d’Israël ». Selon plusieurs sources, Trump aurait mis son veto à un projet israélien d’assassinat ciblé de l’ayatollah Khamenei, jugeant l’opération « trop risquée ».

Alors que la guerre ouverte entre Israël et l’Iran se poursuit, l’ampleur des pertes civiles de part et d’autre inquiète les chancelleries internationales. Le Proche-Orient s’installe dans un nouveau cycle de feu, à haut risque de débordement régional.

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Les Houthis revendiquent une frappe sur Israël en coordination avec l’Iran

Pour la première fois, les rebelles Houthis du Yémen ont revendiqué publiquement une frappe coordonnée avec l’Iran contre Israël, survenue dans la nuit du 13 au 14 juin 2025. Des missiles balistiques, dont des hypersoniques de type « Palestine 2 », ont visé des sites qualifiés de « sensibles » dans la région de Jaffa, au centre du pays.

Quelques heures plus tôt, l’armée israélienne avait annoncé que plusieurs projectiles tirés vers le centre d’Israël provenaient du territoire yéménite. Cette information a été confirmée par les Houthis dans un communiqué diffusé par la chaîne Al Masirah.

Le porte-parole militaire houthi, Yehya Sarea, a déclaré que l’opération avait été menée en coordination avec l’armée iranienne, dans ce qu’il a qualifié d’« acte de solidarité avec les peuples palestinien et iranien opprimés ».

Le bilan provisoire des frappes s’élève à au moins quatre morts et plusieurs dizaines de blessés dans le centre d’Israël. Une précédente série d’attaques sur le nord du pays avait déjà fait quatre morts supplémentaires.

Cette annonce marque un tournant : c’est la première fois qu’un groupe allié à l’Iran reconnaît ouvertement une coopération militaire directe avec Téhéran dans des frappes contre Israël. Un signal fort, tant pour les alliés occidentaux que pour la dissuasion israélienne.

L’État hébreu n’a pas encore officiellement réagi à cette revendication, mais les médias israéliens évoquent un renforcement imminent de la défense antimissile dans les zones centrales.

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Frappe iranienne : au moins 10 morts, des zones proches de Tel-Aviv atteintes

L’escalade entre Téhéran et Tel-Aviv a franchi un nouveau seuil ce matin, 15 juin. En représailles à une série de frappes israéliennes ayant ciblé des infrastructures civiles et énergétiques en Iran, dont le site pétrolier de Shahran à Téhéran, les forces iraniennes ont lancé plusieurs missiles sur le territoire israélien, provoquant la mort d’au moins dix personnes selon des sources médicales citées par plusieurs médias locaux.

Des missiles ont touché plusieurs régions, notamment les abords de Haïfa et de Tel-Aviv. À Bat Yam, au sud de la métropole israélienne, six morts ont été confirmés, et des dizaines de disparus sont toujours recherchés sous les décombres.

Le président israélien Isaac Herzog a qualifié cette journée de « terrible », dénonçant des « attaques criminelles de l’Iran » et appelant à l’unité nationale. Il a évoqué un bilan encore provisoire : au moins huit morts et des dizaines de blessés.

Côté iranien, les chiffres sont bien plus lourds. Selon les médias officiels, les bombardements israéliens de ces deux derniers jours auraient fait au moins 80 morts, dont 20 enfants, et près de 800 blessés.

Dans ce climat d’embrasement régional, le président américain Donald Trump a annoncé un accord avec son homologue russe Vladimir Poutine pour œuvrer à une désescalade. Mais ces appels à la retenue peinent à convaincre.

En signe de rupture, l’Iran a annoncé l’annulation de la sixième session des pourparlers nucléaires avec les États-Unis, dénonçant l’« hypocrisie » des puissances occidentales face à l’agression israélienne.

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L’italien SAGE Automotive va doubler ses emplois en Tunisie d’ici 2027

Le groupe italien SAGE Automotive, spécialisé dans les textiles techniques pour l’automobile, prévoit de créer un nouveau site de production en Tunisie, avec pour objectif 3 000 emplois d’ici 2027. Une annonce qui conforte la stratégie tunisienne de faire du secteur des composants automobiles un pilier de l’export et de l’innovation.

Le géant italien des textiles techniques pour l’automobile, SAGE Automotive Interiors, poursuit son ancrage en Tunisie. Lors d’une séance de travail tenue mercredi avec la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, la direction du groupe a exprimé son intention d’étendre ses activités en lançant un nouveau site de production sur le territoire tunisien.

Objectif affiché : doubler le nombre de postes d’ici 2027, pour atteindre les 3 000 emplois directs. Un projet ambitieux qui s’inscrit dans une stratégie plus large visant à renforcer la valeur ajoutée locale et à faire de la Tunisie une plateforme régionale dans le domaine des composants automobiles.

La ministre a rappelé que le secteur fait partie des priorités nationales, notamment à travers la charte de partenariat public-privé pour les équipements automobiles, qui vise un doublement des exportations et des emplois à l’horizon 2027.

Présent en Tunisie depuis mars 2019, SAGE Automotive dispose déjà d’une usine implantée dans la zone industrielle d’El Agba, sur une superficie de 27 000 m², et qui emploie actuellement plus de 1 400 personnes. Le groupe opère à l’international avec 22 sites de production répartis dans 18 pays.

La Tunisie, deuxième exportateur africain de composants automobiles, abrite plus de 280 entreprises industrielles dans ce domaine, dont 140 à participation étrangère. 65 % d’entre elles sont totalement tournées vers l’export, générant plus de 100 000 emplois, selon les derniers chiffres officiels.

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Climat : La mer grignote les îles tunisiennes

Face à l’élévation du niveau de la mer, à la perte de biodiversité et à la dégradation accélérée de l’environnement, la Tunisie tire la sonnette d’alarme. À la veille de la conférence des Nations Unies sur l’Océan à Nice, le ministre de l’Environnement Habib Abid appelle à la création d’un front commun entre les pays méditerranéens pour protéger la région des conséquences du changement climatique.

Alors que les effets du changement climatique deviennent de plus en plus visibles en Méditerranée, la Tunisie tire la sonnette d’alarme. Le ministre de l’Environnement, Habib Abid, a annoncé que la Tunisie participera activement à la conférence des Nations Unies sur l’Océan, qui se tiendra à Nice du 9 au 13 juin 2025, avec un objectif clair : construire une alliance méditerranéenne pour faire front commun contre les menaces climatiques.

Des pertes imminentes sur les îles tunisiennes

Selon les dernières données, certaines des 60 îles tunisiennes risquent de perdre jusqu’à 20% de leur superficie dans les années à venir à cause de l’élévation du niveau de la mer. Une étude menée avec la Banque mondiale classe d’ailleurs la Tunisie comme le pays méditerranéen le plus exposé à ce phénomène.

À cela s’ajoutent 400 kilomètres de côtes menacées, une biodiversité en recul et une désertification galopante. « Nous avons perdu 30 à 40 ans d’efforts dans la reconstitution de notre patrimoine naturel », a déploré Habib Abid lors de la conférence nationale tenue le 2 juin à Tunis, intitulée « La Tunisie face à la triple crise planétaire ».

Vers une diplomatie climatique plus offensive

Pour le ministre, cette alliance régionale ne vise pas uniquement à échanger les expertises et renforcer les coopérations techniques, mais aussi à accéder à des financements internationaux pour la mise en œuvre de projets concrets, notamment pour la protection du littoral, la prévention des inondations et la lutte contre l’érosion.

Habib Abid a également souligné l’importance de mobiliser la diplomatie tunisienne, estimant que la crise climatique n’est plus un sujet périphérique, mais une priorité géostratégique. Il a appelé les pays voisins à s’unir face à une menace commune, dans un esprit de solidarité environnementale.

La conférence de Nice pourrait marquer un tournant. La Tunisie y portera la voix des pays les plus vulnérables en Méditerranée, en appelant à une coordination régionale renforcée, mais aussi à une reconnaissance accrue de l’injustice climatique que subissent des pays qui, comme elle, contribuent peu aux émissions mondiales mais en subissent lourdement les conséquences.

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Taxes sur les voitures des Tunisiens à l’étranger: La douane dévoile tout !

Le général Elyes Belkhir, chargé de la communication avec les Tunisiens à l’étranger à la direction générale des douanes tunisiennes, a annoncé que l’application de calcul des taxes et droits sur les voitures est passée d’une estimation approximative à une version désormais connectée au système informatique « Sanad » des douanes tunisiennes. Cela permettra aux Tunisiens résidant […]

Voici la nouvelle procédure pour les demandes de permis de conduire !

L’Agence Technique du Transport Terrestre a annoncé que le contrat de formation est désormais obligatoire pour passer l’épreuve théorique « code » du permis de conduire. Et de préciser, dans un communiqué, que dans le cadre de l’application des dispositions de l’article 23 du décret gouvernemental n°510 de l’année 2021, daté du 18 juin 2021 et relatif […]

Hyundai construira une usine d’assemblage automobile en Algérie

Hyundai Motor Company prévoit de construire une usine d’assemblage automobile en Algérie, alors que le constructeur sud-coréen cherche à accélérer son expansion sur les marchés du Moyen-Orient et de l’Afrique, selon des informations non confirmées citant des sources industrielles. La filiale locale de Hyundai, SARL Hyundai Motors Manufacturing Algeria, se serait associée au groupe omanais […]

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