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Pourquoi Adecco quitte-t-il la Tunisie après plus de 20 ans de présence ?

EmploiLe géant mondial du recrutement et des solutions en ressources humaines, Adecco, mettra fin à ses activités en Tunisie à partir du 31 octobre 2025. La nouvelle, annoncée dans un communiqué interne daté du 21 août 2025 et affiché sur ses locaux, suscite une vive inquiétude dans un pays où le chômage stagne autour de 16 %.

À l’origine de ce départ, la nouvelle législation votée par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) le 21 mai 2025, qui interdit les contrats à durée déterminée (CDD) et la sous-traitance. Ce texte a été adopté sans étude d’impact, comme l’a reconnu le député Dhafer Seghiri. Adecco cite explicitement cette loi comme principale raison de son retrait, précisant qu’elle n’acceptera plus de candidatures spontanées depuis le 21 août 2025.

Implantée en Tunisie depuis 2002, Adecco opère via quatre agences (Tunis-La Marsa, Ben Arous, Sousse, Sfax) et revendique avoir connecté plus de 120 000 personnes à des opportunités professionnelles. Son départ risque de fragiliser davantage un marché déjà marqué par un chômage structurel et un déficit de solutions d’insertion.

Cette décision relance le débat sur la régulation du travail temporaire. Le professeur émérite Hatem Kotrane a rappelé la nécessité d’un cadre clair pour protéger salariés et employeurs. De son côté, Mehdi Ayadi, président de la Chambre syndicale des sociétés de travail temporaire et de services de l’emploi (UTICA), insiste depuis 2011 sur l’urgence d’un encadrement juridique adapté. Plusieurs propositions, dont la ratification de la Convention n°181 de l’OIT, ont été soumises aux ministères concernés en 2017 et 2024, puis réitérées en avril 2025 devant l’ARP.

Pour les acteurs du secteur, il devient crucial de traduire ces réflexions en réformes concrètes afin d’éviter un vide institutionnel et de soutenir la réinsertion des jeunes diplômés comme des demandeurs d’emploi.

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TICAD 9 : santé, IA et infrastructures, les paris de la croissance africaine

TICAD
image d’illustration – IA

La cheffe du gouvernement, S. Z. Zanzari, a participé à la séance de clôture de la 9ᵉ édition du Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 9), tenue au centre des congrès de Yokohama sous la présidence du Premier ministre japonais, Shigeru Ishiba.

Placé sous le thème « Coopérer pour trouver des solutions innovantes avec l’Afrique », l’événement a rassemblé de nombreux chefs d’État et de gouvernement africains. Ishiba a souligné l’importance de renforcer la coopération pour bâtir des capacités humaines et industrielles solides, espérant que cette rencontre marque une nouvelle étape vers une renaissance africaine et un partenariat renforcé entre le Japon et le continent.

La session finale a mis en avant le rôle stratégique de l’Afrique dans l’économie mondiale et la nécessité de définir des priorités communes de développement. Les participants ont adopté à l’unanimité la Déclaration de Yokohama pour TICAD 9, qui trace une feuille de route pour les trois prochaines années.

Les recommandations portent sur trois axes majeurs :

  • Économie et innovation : investir dans la santé, les technologies de communication, l’intelligence artificielle et les infrastructures de haute qualité.
  • Société et inclusion : valoriser le rôle de la jeunesse, des femmes, des start-up et du secteur privé.
  • Paix et sécurité : affirmer que la stabilité est une condition essentielle à toute stratégie de développement.

Une planification opérationnelle accompagnera cette déclaration afin d’assurer la mise en œuvre concrète des engagements pris lors de TICAD 9.

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Marchés parallèles en Tunisie : les coulisses d’un système hors contrôle

Marché ParallèleMarché ParallèleÀ l’entrée d’un marché parallèle de la banlieue de Tunis, les étals débordent de marchandises. Ici, on trouve du lait importé à prix cassés, là, des lunettes griffées sans facture. Les clients se pressent, et parmi eux, de plus en plus de familles de la classe moyenne. « On n’a plus le choix », souffle une mère de famille, sac de provisions à la main. « Les prix sont imbattables par rapport aux grandes surfaces. »

Des marchandises sans frontière

La provenance de ces produits reste floue. Certains arrivent de pays voisins, d’autres directement de Chine, sans qu’aucune traçabilité ne soit garantie. Des cartons entiers passent la frontière comme par magie, et finissent en rayon dans des boutiques qui, aux yeux des clients, paraissent parfaitement légales. Mais derrière cette façade, c’est tout un système qui échappe aux radars fiscaux.

Une injustice qui creuse l’écart

Le paradoxe est brutal : le citoyen ordinaire paie scrupuleusement ses taxes, tandis qu’une partie de la population profite de ces circuits parallèles sans rien verser à l’État. L’exemple des produits de luxe est parlant : une Rolex ou une paire de lunettes haut de gamme peuvent franchir les douanes sans contrôle particulier, quand d’autres voyageurs se voient inspectés jusque dans le détail de leurs bagages. Certains experts proposent de lier chaque bien de luxe à une facture obligatoire, sorte de carte d’identité fiscale.

La technologie comme bouclier

Face à cette économie souterraine tentaculaire, les intervenants avancent des solutions concrètes. Dématérialiser les procédures douanières, surveiller les frontières grâce aux drones, utiliser l’intelligence artificielle pour détecter les flux suspects : les outils existent déjà. Encore faut-il les mettre en œuvre. Certains vont plus loin et suggèrent de confier la gestion des drones à l’armée, gage d’efficacité, ou de créer des zones franches aux frontières afin de canaliser le commerce dans des circuits maîtrisés.

Tout dépend de la volonté politique

Mais au-delà des technologies et des dispositifs imaginés, la conclusion est unanime : rien ne changera sans une volonté politique ferme. « Quand la volonté existe, tout devient possible », résume un intervenant. En attendant, l’économie parallèle continue de prospérer, pesant lourdement sur les finances publiques et fragilisant l’équilibre économique du pays.

Chiffres clés

  • 50% : part estimée de l’économie informelle dans l’économie tunisienne selon plusieurs études récentes.
  • 20 milliards de dinars : valeur approximative des échanges annuels échappant au contrôle fiscal.
  • 3ᵉ rang mondial : la Tunisie figure parmi les pays où l’économie informelle pèse le plus sur le PIB.

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Tunisie : peut-elle transformer son succès touristique en modèle durable ?

Tourisme TunisieAprès des années d’instabilité, le tourisme tunisien enregistre une reprise remarquable. Fort d’un record historique en 2024, le pays déploie une stratégie ambitieuse pour franchir un nouveau cap et séduire des voyageurs toujours plus nombreux, tout en posant les bases d’un modèle plus durable et compétitif.

Après plus d’une décennie marquée par les turbulences, chute du régime en 2011, attentats terroristes commandités pour nuire à l’image du pays, années Covid néfastes sur le tourisme partout dans le monde, la Tunisie touristique retrouve ses couleurs. Boostée par une fréquentation record en 2024 et une stratégie de promotion ambitieuse, la destination espère franchir la barre des 11 millions de visiteurs en 2025.

L’année 2024 aura marqué un tournant décisif pour le tourisme tunisien. Avec plus de 10,2 millions de visiteurs enregistrés à fin décembre, le pays a dépassé non seulement ses objectifs annuels, mais aussi les niveaux d’avant la pandémie.

En comparaison avec 2023, le nombre d’arrivées a progressé de 9,5 %, et de 8,9 % par rapport à 2019. Des indicateurs en nette hausse qui confirment le retour en force de la Tunisie sur les radars des tour-opérateurs et des voyageurs internationaux.

« Après une décennie de turbulences, la Tunisie retrouve sa place sur la carte mondiale du tourisme. »

Une campagne de promotion offensive et ciblée

Forte de cette dynamique, la Tunisie vise désormais un palier symbolique : dépasser les 11 millions de touristes en 2025. Pour y parvenir, l’Office National du Tourisme et le ministère de tutelle misent sur une offensive promotionnelle d’envergure.

La nouvelle campagne, lancée sous le slogan évocateur « Vivez l’instant T, vivez l’instant Tunisie », a été déployée dans 16 pays européens et traduite en 14 langues. Elle a été déployée dans les métros, les rues et les aéroports des grandes capitales, en misant sur une image chaleureuse, spontanée d’une Tunisie qui malgré l’adversité ne perd rien de son charme et reste résolument humaine.

Une communication misant sur les dimensions émotionnelles et immersive

Plus qu’un simple slogan, cette campagne s’est voulue en rupture avec les codes classiques de la communication touristique. L’expérience sensorielle et émotionnelle a été mise au premier plan. Loin de se limiter aux clichés, la Tunisie souhaite montrer la richesse de son patrimoine, la diversité de ses paysages et la sincérité de son accueil. L’approche repose sur l’usage massif du numérique, le recours à des influenceurs, et une segmentation affinée des messages selon les marchés cibles.

Un retour actif sur les salons internationaux

La stratégie de reconquête passe également par une présence active sur les grands salons internationaux. Europe, Canada, Chine, Russie ou encore Maghreb : les délégations tunisiennes multiplient les contacts, renouent avec les grands réseaux de distribution et rassurent les partenaires étrangers. Les premiers retours sont encourageants.

Plusieurs tour-opérateurs ont confirmé leur intention de renforcer leur programmation sur la destination tunisienne dès l’été 2025.

« Avec la campagne “Vivez l’instant T, vivez l’instant Tunisie”, le pays mise sur l’émotion et l’authenticité. »

Une ambition déclarée : mieux connecter les territoires touristiques

Pour renforcer la compétitivité de l’offre, le ministère mise aussi sur l’amélioration des infrastructures. Un effort particulier est consacré à l’élargissement de l’offre aérienne, notamment en renforçant la connectivité avec les aéroports régionaux. Cette stratégie vise à désenclaver certaines zones touristiques, à attirer de nouveaux profils de voyageurs et à élargir l’éventail des destinations accessibles dans le pays.

Le ministère a-t-il les moyens de ses ambitions ? Attendons voir

Réformes structurelles et durabilité

Au-delà de la promotion, le cadre réglementaire fait également peau neuve. Une « Commission nationale pour la durabilité du tourisme » a été créée pour piloter une réforme en profondeur du secteur. Elle regroupe les représentants du métier, les ministères concernés et les structures publiques. Son objectif : repenser les modèles économiques, assurer la résilience du secteur face aux crises, et intégrer pleinement les enjeux environnementaux et sociaux.

Vers un Code du tourisme modernisé

Dans cette même logique, le gouvernement s’est engagé dans l’élaboration d’un « Code du tourisme », destiné à unifier et moderniser l’ensemble des textes encadrant les activités touristiques. Ce projet, structurant et attendu depuis des années, vise à clarifier les procédures, à sécuriser les investisseurs et à offrir un socle juridique lisible pour tous les acteurs. Il s’accompagne d’une refonte des procédures de classement des établissements et d’une réglementation spécifique pour les formes d’hébergement alternatives.

« Le véritable défi est de conjuguer attractivité touristique et durabilité environnementale. »

Une vision tournée vers la qualité et la valeur ajoutée

À travers cette vision rénovée, les autorités entendent conforter la place de la Tunisie comme une destination fiable, moderne et tournée vers l’avenir. L’enjeu est de taille : il s’agit non seulement d’attirer plus de touristes, mais aussi de générer plus de valeur ajoutée, en misant sur des marchés à fort pouvoir d’achat et en allongeant la durée moyenne des séjours.

L’environnement : grande faiblesse du tourisme tunisien

La Tunisie doit investir plus d’efforts dans le nettoyage des villes. Une ville propre et bien entretenue améliore l’image de la destination, favorise une expérience touristique de qualité et contribue à la sécurité sanitaire des visiteurs.

Le développement touristique ne peut être durable que s’il s’appuie sur un environnement humain et physique préservé. La qualité de l’accueil, l’authenticité des échanges et la sécurité sont des éléments humains qui façonnent l’expérience du voyageur mais la préservation de l’environnement est aussi importante et même capitale.

En négligeant ces dimensions, une destination risque de compromettre son attractivité à long terme. Miser sur un tourisme respectueux des écosystèmes et des équilibres sociaux est donc non seulement une exigence éthique, mais aussi une stratégie économique lucide.

A.B.A

EN BREF

  • Après une décennie marquée par les crises, le tourisme tunisien retrouve une dynamique forte.
  • En 2024, plus de 10,2 millions de visiteurs ont été enregistrés, soit une hausse de 9,5 % sur un an.
  • Objectif 2025 : dépasser les 11 millions grâce à une campagne internationale déployée dans 16 pays.
  • La stratégie inclut salons, partenariats, connectivité aérienne et modernisation réglementaire.
  • Une commission pour la durabilité et un futur Code du tourisme visent à renforcer la compétitivité et la durabilité.

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Pension alimentaire, divorce et garde partagée : faut-il réformer le Code du statut personnel en Tunisie ?

Famille divorceReem Belkhodiri, présidente de l’Organisation pour la protection des enfants du bassin méditerranéen, appelle à une réforme en profondeur du Code du Statut Personnel en Tunisie. Dans une interview téléphonique sur Radio ExpressFM, elle souligne la nécessité d’adapter un cadre juridique resté inchangé depuis 1993, afin de mieux refléter la réalité sociale de 2025.

Parmi les propositions phares figure le changement de nom, actuellement intitulée « مجلة الأحوال الشخصية » (Code du statut personnel), en « مجلة الأسرة التونسية » (Code de la famille tunisienne). Cette nouvelle appellation vise à promouvoir une approche plus inclusive, centrée sur la co-parentalité et l’intérêt supérieur de l’enfant.

Le projet de réforme envisage également une révision des lois sur le divorce et la garde. Aujourd’hui, la garde des enfants est presque automatiquement attribuée à la mère. Reem Belkhodiri défend une garde partagée, basée sur l’évaluation des capacités financières, mentales et affectives des deux parents. Elle insiste sur la nécessité de reconnaître le rôle éducatif du père, souvent marginalisé par la législation actuelle, alors même que son absence est associée à des dérives sociales chez les enfants.

Concernant la pension alimentaire, la réforme propose une approche plus flexible : elle pourrait être annulée si les deux parents remplissent équitablement leurs obligations de garde, avec une prise en compte des situations où la mère dispose de revenus supérieurs à ceux du père.

Au-delà des aspects techniques, l’objectif global est clair : protéger l’enfant dans un contexte post-divorce, en modernisant des lois héritées des années 1957 et 1993 pour les adapter aux réalités contemporaines de la société tunisienne.

EN BREF

  • La Tunisie envisage une réforme du droit de la famille, inchangé depuis 1993.
  • Reem Belkhodiri propose de renommer le Code du statut personnel en Code de la famille tunisienne.
  • Objectif : renforcer la co-parentalité et centrer les décisions sur l’intérêt de l’enfant.
  • La réforme inclut la garde partagée, une révision de la pension alimentaire et une reconnaissance accrue du rôle du père.
  • Elle vise à adapter la législation aux réalités sociales de 2025, loin des modèles hérités de 1957.

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AfroBasket 2025 : la Tunisie éliminée, Sofiane Jribi annonce une évaluation globale

Le président de la Fédération Tunisienne de Basket-Ball (FTBB), Sofiane Jribi, a souligné la nécessité pour la prochaine étape d’être marquée par une évaluation objective et globale. Cette annonce fait suite à la performance décevante de la sélection nationale lors de l’AfroBasket 2025 actuellement en cours en Angola et à son élimination prématurée en match de barrage pour les quarts de finale, subissant une lourde défaite avec un écart de 33 points (54-87) face au Cap-Vert.

Dans une déclaration, faite ce jeudi, à la TAP, Jribi a fait savoir que le Bureau fédéral recevra un rapport détaillé du staff technique, dirigé par le sélectionneur franco-algérien Mehdi Mary, concernant la participation à l’Afrobasket. Des décisions appropriées concernant le staff technique seront ensuite prises. Il a précisé que le contrat liant Mary à la FTBB s’étend jusqu’à fin 2026 et stipule, parmi ses objectifs, l’obligation d’atteindre le podium lors de cette compétition continentale.

Sofiane Jribi, récemment élu à la tête de la FTBB, a estimé que les préparatifs pour le tournoi africain avaient été marqués par l’improvisation et un mauvais jugement. Il a pointé du doigt le choix de participer au Championnat Arabe, où selon lui, la compétitivité était absente en raison de la non-participation des géants arabes comme le Liban et la Jordanie, ainsi que de la présence d’équipes jouant avec leurs réserves, comme l’Egypte. Il a ajouté que le staff technique aurait dû privilégier une stratégie de matchs de préparation contre des équipes européennes et africaines de haut niveau.

Dans le même sillage, il a souligné que la participation tunisienne à l’AfroBasket avait été décevante en raison de l’absence de piliers essentiels de l’équipe, dont le manque s’est cruellement fait sentir, citant notamment Haythem Saada, Firas Lahiani et Zied Chennoufi, sans oublier le vide considérable laissé par le capitaine historique de l’équipe, Makram Ben Romdhane, après sa décision de prendre sa retraite internationale.

Selon Jribi, le Bureau fédéral actuel tentera dans la période à venir de convaincre Makram Ben Romdhane de revenir sur sa décision et de retrouver le maillot national, compte tenu de sa valeur technique avérée et de sa contribution au niveau de l’encadrement du groupe. L’objectif est de redorer le blason du basket-ball tunisien lors des prochains rendez-vous.

“L’ex-international et actuel deuxième vice-président de la FTBB, Salah Mejri, sera chargé de communiquer avec Makram Ben Romdhane pour le persuader de revenir renforcer les rangs des du cinq national, compte tenu des relations solides qui lient les deux hommes”, a indiqué Jribi.

Il a également assuré qu’un certain nombre de dossiers urgents sont sur la table du nouveau Bureau Fédéral, dont certains sont immédiats, comme la préparation sérieuse de la première fenêtre africaine des qualifications pour la Coupe du Monde 2027 au Qatar, qui se déroulera du 27 au 30 novembre prochain. Il a précisé que la Fédération s’efforcera d’accueillir en Tunisie les matchs du Groupe C, qui comprend la Tunisie, le Nigeria, la Guinée et le Rwanda.

Enfin, le président de l’instance fédérale s’est dit convaincu que la prochaine étape exige la définition d’une feuille de route visant à travailler sur la formation de base et les équipes de jeunes parallèlement à la nécessité de retrouver l’éclat de l’Equipe Nationale A. Cela passera par la fidélisation des piliers expérimentés actuels et le renforcement de l’effectif par de nouveaux éléments susceptibles d’apporter une plus-value.

Le cinq national, triple vainqueur de l’AfroBasket, a quitté la compétition avec un bilan négatif : une seule victoire en phase de groupes contre Madagascar (81-60), deux défaites contre le Cameroun (65-86) et le Nigeria (66-87), suivies de la lourde défaite en barrages contre le Cap-Vert.

 

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L’Europe face à son “Daddy” Trump : l’OTAN entre dépendance et humiliation

Trump

Le sommet de l’OTAN de La Haye, fin juin, restera dans les mémoires moins pour ses avancées stratégiques que pour la mise en scène d’une Europe soumise aux humeurs de Donald Trump. Pour éviter que le président américain ne sabote la réunion, les chefs d’État ont réduit leurs ambitions à peau de chagrin : une déclaration courte, pas un mot sur la guerre en Ukraine, et surtout une promesse spectaculaire – mais irréaliste – de porter les dépenses de défense à 5 % du PIB d’ici 2035.

Cette concession, présentée comme un “accord 5 pour 5” (réaffirmation de l’article 5 du traité de Washington contre 5 % de budgets militaires), illustre la fragilité de l’Alliance. “Ce n’était pas la dissuasion l’objectif, mais la survie”, résume une experte de la Carnegie. Aux yeux de nombreux observateurs, l’OTAN ressemble désormais à une “North Atlantic Trump Organization”, où tout est pensé pour flatter l’ego du président américain.

La scène qui a le plus marqué les esprits fut sans doute celle où le secrétaire général Mark Rutte a qualifié Trump de “Daddy”. Geste maladroit ou révélateur d’une attitude générale ? Beaucoup y ont vu le symbole d’une servilité européenne, contrainte d’offrir loyauté et sacrifices budgétaires en échange de la protection américaine. Comme l’a relevé la presse allemande, la manière “dégradante” dont s’est conclu l’accord montre qu’il ne peut être question de véritable souveraineté européenne.

Pourtant, 81 % des citoyens européens souhaitent une défense commune. Mais leurs dirigeants continuent de quémander la bienveillance de Washington, au risque d’ignorer ce désir d’autonomie. Derrière l’affichage d’unité, le malaise est profond : l’Europe finance son réarmement, mais reste dépendante du “père protecteur” américain. Et tant que cette dépendance perdure, l’OTAN demeure l’ombre d’elle-même – plus une scène d’humiliation que de puissance collective.

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US Open 2025 : Quels premiers tours pour Sinner, Sabalenka, Djokovic et Swiatek à New York ?

TennisLe tirage au sort de l’US Open 2025, dévoilé jeudi à New York, a offert des débuts abordables aux deux numéros 1 mondiaux, Jannik Sinner et Aryna Sabalenka, qui défendront leur titre à Flushing Meadows du 24 août au 7 septembre.

Champion en titre, l’Italien de 24 ans entamera son tournoi contre le Tchèque Vit Kopriva (87e mondial), tandis que la Bélarusse de 27 ans sera opposée à la Suissesse Rebeka Masarova (109e).

Les autres têtes d’affiche semblent elles aussi épargnées par le hasard du tirage. Chez les hommes, Carlos Alcaraz (N.2) affrontera l’Américain Reilly Opelka, géant de 2,11 m (66e mondial), et Alexander Zverev (N.3) sera opposé au Chilien Alejandro Tabilo (126e). Novak Djokovic (N.7), situé dans la même partie de tableau qu’Alcaraz, débutera face à l’Américain Learner Tien et pourrait retrouver l’Espagnol en demi-finale.

Chez les dames, Iga Swiatek (N.2), titrée à New York en 2022 et fraîche vainqueure de Wimbledon et Cincinnati, fera son entrée contre la Colombienne Emiliana Arango (81e). Elle pourrait croiser en demi-finale Coco Gauff (N.3), sacrée à Roland-Garros cette année. L’Américaine sera opposée dès le premier tour à Ajla Tomljanovic (84e), tandis que sa compatriote Jessica Pegula (N.4), finaliste en 2024, affrontera l’Égyptienne Maya Sherif (104e).

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Météo Tunisie : forte chaleur annoncée pouvant atteindre 44°C

météoLe temps sera marqué ce vendredi par des nuages passagers sur l’ensemble du pays, qui deviendront progressivement plus denses sur les régions ouest du nord et du centre. Selon l’Institut National de la Météorologie (INM), ces formations s’accompagneront de cellules orageuses et de pluies éparses.

Côté températures, le nord, les zones côtières et les hauteurs afficheront des maximales comprises entre 29 et 35°C. Ailleurs, le thermomètre oscillera entre 36 et 42°C, avec des pics atteignant 44°C dans le sud, sous l’effet du vent de sirocco.

Le vent soufflera du secteur nord au nord et du secteur est au centre et au sud. Il sera relativement fort près des côtes et faible à modéré à l’intérieur, avant de se renforcer l’après-midi sur le sud. Lors des épisodes orageux, il pourra dépasser 60 km/h en rafales.

La mer sera agitée, devenant progressivement très agitée dans le nord. L’INM appelle à la vigilance face aux risques liés aux vents forts et aux conditions maritimes dégradées.

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Intempéries en Tunisie : fortes pluies, orages et vents violents annoncés

OragesL’Institut National de la Météorologie (INM) alerte sur un épisode orageux marqué à partir de vendredi après-midi. Des cellules orageuses, accompagnées de pluies parfois intenses, sont attendues principalement à Kasserine, Siliana, Kairouan, Zaghouan et dans le nord de Sidi Bouzid.

Ces perturbations s’accompagneront de rafales de vent dépassant temporairement 70 km/h. L’INM précise que le phénomène se poursuivra samedi, touchant cette fois les hauteurs de l’ouest au nord et au centre, avant de s’étendre vers les régions de l’est.

Les précipitations pourraient atteindre entre 30 et 50 mm, avec des épisodes de grêle localisée. Le vent, déjà fort, pourrait souffler en rafales dépassant 80 km/h lors du passage des orages.

Les autorités appellent à la prudence, notamment dans les zones à risque d’inondations soudaines, et recommandent de limiter les déplacements durant les pics d’intempéries.

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Transplantation cardiaque : un cœur voyage 900 km pour sauver un enfant

Sante Medical CoeurLe King Faisal Specialist Hospital & Research Centre (KFSHRC) de Riyad a réalisé avec succès une transplantation cardiaque sur un enfant saoudien de 7 ans, grâce à un cœur prélevé sur un donneur en état de mort cérébrale à Abou Dhabi. Cette prouesse médicale illustre la force de la coopération entre l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis dans le domaine de la santé.

L’opération a mobilisé le Centre saoudien pour la transplantation d’organes et le programme émirati HAYAT. La procédure a exigé une logistique millimétrée : prélèvement, transport aérien rapide et préparation en salle d’opération, le tout dans une fenêtre critique de cinq heures. Cette réactivité a permis de sauver un enfant atteint d’une cardiopathie congénitale avancée, pour lequel toutes les autres options thérapeutiques avaient échoué.

Ce succès s’inscrit dans le parcours d’excellence du KFSHRC, reconnu pour ses avancées inédites : première greffe cardiaque totalement robotisée, implantation de pompe cardiaque artificielle sans ouverture thoracique, et développement d’approches de chirurgie cardiaque de pointe.

Classé premier au Moyen-Orient et en Afrique du Nord et quinzième au niveau mondial parmi les centres médicaux universitaires, le KFSHRC confirme son rôle de leader régional et mondial en matière d’innovation médicale. En 2024, Brand Finance l’a désigné comme la marque de santé la plus valorisée du Royaume et de la région, et Newsweek l’a intégré à la liste des 250 meilleurs hôpitaux et des “Smart Hospitals” mondiaux pour 2025.

Cette greffe illustre non seulement les progrès technologiques et humains de la médecine dans la région, mais aussi l’importance de la coopération internationale pour sauver des vies là où chaque minute compte.

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Cartes du monde : l’Afrique est-elle la grande oubliée de la géographie ?

Afrique du NordL’Union africaine (UA) a officiellement apporté son soutien à la campagne « Correct The Map », une initiative internationale qui dénonce les distorsions cartographiques héritées de la projection de Mercator, utilisée depuis le XVIᵉ siècle.

Cette représentation, conçue pour faciliter la navigation maritime, conserve les angles mais déforme les surfaces. Résultat : des territoires comme l’Europe ou l’Amérique du Nord apparaissent exagérément grands, tandis que l’Afrique est réduite de près de moitié. Ainsi, le Groenland (2,1 millions de km²) semble aussi vaste que l’Afrique, alors que ce continent pourrait y entrer près de quinze fois (30,37 millions de km²).

Selon plusieurs experts, ces cartes, encore largement diffusées dans les atlas scolaires ou sur Google Maps, alimentent un imaginaire eurocentré où l’Afrique paraît marginalisée.

Pour corriger ces biais, les organisations Correct The Map et Speak Up Africa plaident pour l’adoption de la projection Equal Earth, mise au point en 2018, qui respecte davantage les superficies réelles tout en restant lisible.

Mais au-delà de la technique, l’enjeu est politique et symbolique. « Corriger la carte touche à la dignité et à la justice, et participe à construire un récit positif autour du continent », explique Moky Makura, directrice exécutive d’Africa No Filter.

L’UA entend porter ce plaidoyer auprès des institutions internationales afin d’obtenir, à terme, une révision globale de la manière dont le monde est représenté. Une bataille qui vise autant à redonner à l’Afrique sa véritable taille qu’à déconstruire des siècles d’invisibilisation cartographique.

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Xiaomi SU7 et YU7 : des voitures capables de rivaliser avec Porsche et Tesla ?

VoitureLe géant chinois Xiaomi, connu pour ses smartphones, accélère dans l’automobile électrique et prépare son entrée sur le marché européen en 2027.

En moins de deux ans, la firme s’est imposée comme un acteur sérieux du secteur. Au deuxième trimestre 2025, son chiffre d’affaires automobile a plus que triplé, atteignant 20,6 milliards de yuans (environ 2,87 milliards USD). Portée par le lancement de son SUV YU7, Xiaomi a vendu plus de 81 000 véhicules en trois mois, soit une hausse de près de 200 % sur un an. La demande a été spectaculaire : près de 289 000 commandes en une heure lors de l’ouverture des préventes.

Son premier modèle, la berline SU7 lancée fin 2023 pour concurrencer la Tesla Model 3, s’est distinguée par un design proche de la Porsche Panamera et une aérodynamique exceptionnelle (Cx 0,195). La version SU7 Ultra a frappé un grand coup en battant le record de Nürburgring pour une voiture électrique de série avec un temps de 7 min 04,957s.

Avec le YU7, un SUV haut de gamme décliné en trois versions, Xiaomi affiche des ambitions claires : autonomie jusqu’à 835 km, puissance jusqu’à 690 ch et accélération de 0 à 100 km/h en 3,2 secondes. Le tout embarqué dans une architecture technique de pointe, avec conduite semi-autonome, affichage tête haute dernière génération et processeur Snapdragon 8 Gen 3.

Pour réussir son pari européen, le groupe a annoncé l’ouverture d’un centre de R&D en Europe et le recrutement d’anciens cadres de BMW. Malgré des contraintes de production et des délais de livraison longs en Chine, Xiaomi envisage même d’investir dans des usines sur le continent.

En visant un marché saturé par les smartphones et dopé par la transition énergétique, Xiaomi transforme l’automobile en véritable relais de croissance. Avec des prix compétitifs face aux Tesla et constructeurs européens, la marque chinoise s’annonce comme un concurrent redoutable.

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Innovation ou illusion : que vaut la première supercar afghane ?

VoitureEn Afghanistan, un jeune ingénieur, Mohamed Ridha Ahmadi, a présenté un projet qui suscite autant l’admiration que le scepticisme : la première voiture de sport du pays, baptisée Hilmet (« حلمت », qui signifie J’ai rêvé). Conçu dans un contexte de fortes contraintes économiques et politiques, ce prototype veut démontrer que l’innovation peut naître même là où l’on s’y attend le moins.

Un design audacieux et futuriste

La Hilmet se distingue par une ligne aérodynamique et un centre de gravité bas qui promet une meilleure stabilité. Les séquences vidéo publiées montrent les étapes de sa fabrication sur le sol afghan et mettent en avant la détermination d’une équipe locale.

Des performances controversées

Affiché à un coût de plus de 50.000 dollars, le véhicule combine trois moteurs, dont un issu d’une Toyota Corolla, pour former un système hybride. La consommation annoncée – un litre pour 100 kilomètres – paraît cependant irréaliste selon plusieurs observateurs. Malgré tout, le gouvernement afghan affirme que le prototype est fonctionnel et des tests de conduite ont déjà été réalisés.

Entre fierté nationale et doutes

Les réseaux sociaux se sont rapidement emparés du sujet : certains y voient un symbole de fierté et d’ingéniosité nationale, d’autres doutent de l’authenticité de l’assemblage et soupçonnent l’importation de pièces étrangères.

Une ambition tournée vers l’international

Le projet ne s’arrête pas là. Une présentation officielle est prévue au Salon automobile de Doha en octobre, avec un prix final qui pourrait descendre en dessous des 40 000 dollars. L’objectif affiché est clair : poser les bases d’une industrie automobile locale et redonner à l’Afghanistan une image de créativité et de résilience.

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Foire commerciale d’Alger : plus de 30 entreprises tunisiennes au rendez-vous

La Tunisie prendra part à la 4ᵉ édition de la Foire commerciale intra-africaine (IATF 2025), prévue du 4 au 10 septembre à Alger, avec un pavillon national de 300 m². Plus de 30 entreprises tunisiennes y exposeront leurs produits et services, couvrant les secteurs automobile, agroalimentaire et pharmaceutique, aux côtés de PME et d’institutions telles que le Cepex, la FIPA, le TABC et les Chambres de commerce.

Selon Hafedh Ben Afia, chef de la région Afrique du Nord à Afreximbank, cet événement placé sous l’égide de l’Union africaine et d’Afreximbank constitue une opportunité stratégique pour renforcer la place de la Tunisie dans les échanges intra-africains et mettre en valeur son expertise continentale.

Organisée avec le Secrétariat de la ZLECAF, la foire se veut une plateforme commerciale et un levier d’intégration économique africaine. Ben Afia rappelle que l’Afrique représente non seulement un marché mais « un avenir commun de croissance, d’innovation et de solidarité.

La Tunisie, déjà active dans les secteurs du textile, de la santé, des technologies et des énergies renouvelables, ambitionne de consolider son rôle de passerelle économique en Afrique. À cet effet, un atelier consacré au climat des affaires tunisien se tiendra le 5 septembre, mettant en avant sa stratégie d’intégration dans la ZLECAF.

Au total, l’IATF 2025 accueillera plus de 2 000 exposants de 75 pays et près de 35 000 visiteurs. Les organisateurs anticipent des accords commerciaux et investissements dépassant 44 milliards de dollars. Le président Kaïs Saïed, invité par son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune, assistera à l’ouverture officielle.

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Tennis tunisien : Moez Chargui enchaîne les victoires et rêve plus grand

TUNIS, 21 août 2025 (TAP) – Le tennisman tunisien Moez Chargui (191e mondial) a rejoint le dernier carré du tournoi Challenger 4 d’Hersonissos en Grèce après s’être imposé, jeudi, en quarts face à l’Allemand Mats Rosenkranz (352e) en deux sets (7-6, 6-3).

Chargui affrontera en demies, le français Robin Bertrand (315e), tombeur du suisse Jakub Paul (293e) en trois sets (6-5, 5-7, 4-6).

Le tunisien s’était imposé en huitièmes face au Grec Pavlos Tsitsipas (960e mondial) en trois sets (4-6, 6-4, 6-2).

Il avait, rappelle-t-on, remporté le challanger de Porto, le 3 août en cours, avant d’être sacré à Monastir le 10 du même mois.

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Bourse de Tunis : Poulina, Sotumag et TLF s’illustrent, BNA recule

BourseTunis,21 août (TAP)- Le marché a retrouvé des couleurs après trois séances consécutives de baisse. Le benchmark a gagné 0,01 % à 11 793,4 points dans un volume de 10,5 MDt, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Notons la réalisation d’une transaction de bloc de 5 MDt, portant sur le titre POULINA GROUP HOLDING. Le titre SOTUMAG a poursuivi son rallye boursier. L’action du gestionnaire du marché de gros de Bir El Kassaâ s’est adjugée la meilleure performance de la séance. Dans un flux de 353 mille dinars, la valeur a progressé de 6 % à 8,860 Dt.

Le titre TUNISIE LEASING ET FACTORING a affiché un bon parcours sur la séance. L’action du leaseur s’est offert un gain de 4,6 % à 33,900 Dt en amassant des capitaux de l’ordre de 263 mille dinars sur la séance.

Le titre BNA ASSURANCES a essuyé la plus forte baisse de la séance. L’action a lâché –4,5 % à 3,820 Dt dans un volume de 156 mille dinars sur la séance.

Le titre NEW BODY LINE a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action a reculé de –4,4 % à 4,360 Dt, tout en amassant un flux de mille dinars seulement sur la séance.

POULINA GROUP HOLDING a été le titre le plus échangé sur la séance. Accaparant 50 % du volume de la Cote et alimentant le marché avec des capitaux de l’ordre de 5,2 MDt, le titre s’est délesté de –0,3 % à 15,200 D.

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Championnats d’Afrique d’haltérophilie 2025 : Ghofrane Ghrissa et Eya Hosni en or

La Tunisie a porté son total à 21 médailles, dont 9 en or, aux Championnats d’Afrique d’haltérophilie pour les catégories cadets et juniors (garçons et filles) se déroulant à Accra au Ghana.

Ce mercredi, Ghofrane Ghrissa a remporté trois médailles d’or dans la catégorie cadettes (U17) chez les -77 kg.

Mardi, Eya Hosni avait également décroché trois médailles d’or dans la catégorie juniors (-63 kg). La même journée a vu les performances d’Idriss Werthi, qui a remporté trois médailles d’argent chez les juniors (-60 kg), et d’Eya Ghali (-69 kg), qui a raflé six breloques d’argent (trois chez les cadettes et trois autres chez les juniors).

Lundi, Yasmine Radhouani (-53 kg) avait ouvert le compteur en gagnant six médailles : trois d’or chez les cadettes et autant d’argent chez les juniors.

La participation tunisienne se poursuit cet après-midi avec les juniors hommes Mohamed Amine Karoui (-79 kg) et Mohamed Taher Ayadi (-88 kg).

 

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Challenger Hersonissos : Aziz Dougaz affrontera l’Allemand Mats Rosenkranz en quart de finale

Le tennisman tunisien Aziz Dougaz (191e mondial) s’est qualifié pour les quarts de finale du tournoi Challenger d’Hersonissos en Grèce après sa victoire aux dépens du Grec Pavlos Tsitsipas (960e mondial) en trois sets (4-6, 6-4, 6-2) ce mercredi en huitièmes de finale.

Dougaz s’était avait validé son billet pour les huitièmes en battant, lundi, le Japonais Jay Dylan Friend (864ème) également en trois sets (4-6, 6-2, 6-4).

Le Tunisien affrontera demain, jeudi, l’Allemand Mats Rosenkranz (352e) pour une place en demies.

 

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