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Danemark : suppression des taxes sur le café et le chocolat

Le Danemark a annoncé vendredi 22 août qu’il supprimerait les taxes sur le café et le chocolat afin de soulager les ménages qui ont été accablés par la hausse des prix des denrées alimentaires.

« Nous avons choisi quelque chose qui a un impact direct sur les Danois, qui peut immédiatement sentir qu’ils auront plus d’argent à leur disposition », a expliqué à TV2 le vice-Premier ministre danois, Trolls Lund Poulsen, qui est également ministre de la Défense et chef du Parti libéral.

Selon le ministère des Impôts, un paquet de café au Danemark coûtera cinq couronnes de moins (66 centimes d’euro).

Considérée comme la plus ancienne taxe sur le chocolat au Danemark, elle s’applique à tous les produits contenant du cacao, aux bonbons, aux fruits confits et aux chewing-gums. Son montant varie de 3 à 3,5 euros, selon la teneur en sucre de l’aliment.

Selon les statistiques nationales, en juillet, le prix du chocolat a augmenté de plus de 25,3 % par rapport à l’année précédente. Le prix du café a augmenté de 35,5 %. Dans l’ensemble, les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 6,5 % sur une base annuelle.

En supprimant ces taxes, les pertes pour les finances publiques danoises devraient s’élever à 2,4 milliards de couronnes (321 millions d’euros).

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Le Canada annule les taxes punitives sur les produits américains

Ottawa éliminera de nombreux tarifs de rétorsion qu’il a imposés sur les produits américains et intensifiera ses contacts avec les États-Unis pour forger une nouvelle relation avec Washington en matière de commerce et de sécurité. C’est ce qu’a annoncé vendredi 22 août le Premier ministre canadien, Mark Carney.

Lors d’une conférence de presse à Ottawa après une conversation téléphonique avec le président américain, Donald Trump, Carney a déclaré que les tarifs sur tous les produits couverts par l’Accord de libre-échange États-Unis-Canada-Mexique (AEUMC) seront éliminés à compter du 1er septembre. Mais les droits de douane sur les voitures, l’acier et l’aluminium resteront toutefois en vigueur.

Carney a noté que les États-Unis ont récemment précisé qu’ils n’imposeraient pas de droits de douane sur les produits canadiens couverts par l’AEUMC, ce qu’il a qualifié de développement positif.

« Le Canada et les États-Unis ont maintenant rétabli le libre-échange pour la plupart de nos marchandises », a-t-il ajouté, réitérant que, par rapport aux autres partenaires commerciaux des États-Unis, les exportations canadiennes sont soumises à des tarifs douaniers globaux inférieurs.

La Maison-Blanche a salué la décision du Canada de lever les droits de douane de rétorsion, un geste de bonne volonté visant à relancer les négociations commerciales, au point mort. « Nous saluons cette action attendue depuis longtemps par le Canada. Nous sommes impatients de poursuivre les discussions avec le Canada » sur les questions de commerce et de sécurité nationale.

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Trump taxe, le déficit pourrait reculer de 4 000 Mds$

Les revenus provenant des droits de douane imposés par Donald Trump sur les biens importés aux États-Unis pourraient réduire le déficit public de 4 000 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie, selon une estimation du Congressional Budget Office (CBO) publiée vendredi 22 août.

Si les hausses de tarifs douaniers de Trump se poursuivent, les recettes pourraient réduire le déficit primaire de 3 300 milliards de dollars et les paiements d’intérêts du gouvernement fédéral de 700 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie, selon le CBO…

Les recettes supplémentaires provenant des tarifs douaniers pourraient aider à compenser l’augmentation du déficit causée par le projet de loi de Trump de réduction d’impôts.

Selon le Trésor américain, la dette fédérale s’élève à 37 180 milliards de dollars. Elle a continué de croître sous les administrations républicaine et démocrate, le Congrès américain autorisant toujours le gouvernement fédéral à dépenser plus d’argent qu’il n’en perçoit.

L’estimation la plus récente du CBO « voit » une augmentation des bénéfices pour le gouvernement américain par rapport à juin, lorsqu’il prévoyait une réduction de 2,5 billions de dollars du déficit primaire et une réduction de 500 milliards de dollars des paiements d’intérêts.

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Baisse des taux en vue ? Powell laisse la porte ouverte

Le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a donné, vendredi 22 août, un signal tiède sur d’éventuelles baisses des taux d’intérêt, soulignant que le niveau élevé d’incertitude rend le travail des responsables de la politique monétaire particulièrement difficile.

Dans son discours au symposium annuel de la Fed à Jackson Hole, dans le Wyoming, le président de la Banque centrale américaine, Jerome Powell, a évoqué des « changements radicaux » dans les politiques fiscale, commerciale et d’immigration. Il en résulte que « l’équilibre des risques semble se déplacer » entre les deux principaux objectifs de la Fed :  le plein emploi et la stabilité des prix.

Tout en notant que le marché du travail reste solide et que l’économie a fait preuve de « résilience », il a reconnu que les risques de récession augmentent. Parallèlement, il a souligné que les droits de douane créent des risques de résurgence de l’inflation, un scénario de stagflation que la Fed souhaite éviter.

 

Lire aussi : L’or chute avant le discours de Powell à Jackson Hole

« Un certain ajustement de la politique monétaire est justifié »

Avec un taux d’intérêt directeur de la Fed inférieur d’un point de pourcentage à celui de l’année dernière et un chômage qui reste faible, les conditions permettent, selon Powell, à la Banque centrale fédérale de « procéder avec prudence à sa révision de la politique ». Toutefois, avec une politique à des niveaux restrictifs, les perspectives et l’évolution de l’équilibre des risques pourraient justifier un ajustement, a-t-il ajouté.

A rappeler que la Réserve fédérale a maintenu son taux directeur dans une fourchette de 4,25 % à 4,50 % depuis décembre 2024. Les décideurs de la politique monétaire continuent de souligner l’incertitude que les droits de douane engendrent sur l’inflation et estiment que les conditions actuelles laissent du temps avant de prendre de nouvelles décisions.

L’indépendance de la Fed et les leçons de l’inflation

Bien qu’il n’ait pas répondu directement aux pressions et aux attaques lancées contre lui par la Maison Blanche, Powell a souligné l’importance de l’indépendance de la Fed. « Les membres du FOMC prendront leurs décisions uniquement sur la base d’une analyse des données macroéconomiques et de leurs implications pour les perspectives économiques et l’équilibre des risques. Nous ne dévierons jamais de cette approche », a-t-il martelé.

Ce discours intervient alors que des négociations sont en cours entre la Maison Blanche et les partenaires commerciaux des États-Unis, dans un contexte de volatilité et d’incertitude. Les indicateurs récents montrent que les prix à la consommation aux États-Unis augmentent progressivement, tandis que ceux de gros augmentent plus rapidement.

L’administration Trump estime que les droits de douane n’entraîneront pas d’inflation durable et que des baisses de taux d’intérêt sont donc justifiées. Mais Powell a souligné qu’il existe plusieurs scénarios possibles, avec un « scénario de base raisonnable » selon lequel les effets des droits de douane seront « à court terme – avec un ajustement ponctuel du niveau des prix », ce qui ne justifierait probablement pas le maintien de taux d’intérêt élevés. Cependant, rien n’est certain. « Il faudra du temps pour que les effets des droits de douane se propagent dans les chaînes d’approvisionnement et les réseaux de distribution », a-t-il expliqué.

Dans son discours, M. Powell a également évoqué la révision quinquennale du cadre de politique monétaire de la Fed. Cette révision a entraîné des changements importants par rapport à la précédente, en 2020.

Puis, en pleine pandémie de Covid, la Fed avait adopté le régime de « ciblage flexible de l’inflation moyenne », qui a temporairement autorisé une inflation plus élevée après une longue période de baisse des prix. L’objectif était de soutenir la reprise du marché du travail. Mais peu après l’adoption de cette stratégie, l’inflation a grimpé en flèche pour atteindre son plus haut niveau en 40 ans, la Fed la considérant initialement comme « transitoire » et n’ayant pas immédiatement relevé les taux d’intérêt.

Powell a reconnu les erreurs commises : « L’idée d’un excès délibéré et modéré d’inflation s’est avérée vaine. L’inflation qui a suivi quelques mois après l’annonce des changements de 2020 n’avait rien de délibéré ni de modéré, comme je l’ai publiquement admis en 2021. Les cinq dernières années ont été un rappel douloureux des conséquences d’une inflation élevée, en particulier pour ceux qui ont du mal à faire face à l’augmentation du coût des biens de première nécessité », regrette-t-il.

Lors de cette revue, la Fed a réaffirmé son engagement envers un objectif d’inflation de 2 % . Cette approche a suscité des critiques des deux côtés : certains considèrent 2 % comme un objectif élevé et une source de faiblesse du dollar, tandis que d’autres appellent à plus de flexibilité. « Nous pensons que notre engagement envers cet objectif est un facteur clé pour maintenir des attentes d’inflation stables à long terme », a conclu Powell.

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Zone euro : le secteur manufacturier propulse la croissance

L’activité commerciale dans la zone euro a progressé à son rythme le plus rapide depuis 15 mois en août, selon les données préliminaires du PMI publiées jeudi 21 août. 

L’indice PMI composite du secteur manufacturier et des services a progressé à 51,1 en août, contre 50,9 en juillet, dépassant les attentes des analystes qui tablaient sur une légère baisse à 50,7 selon une enquête Reuters. L’indice a progressé pendant trois mois et a atteint son plus haut niveau depuis mai 2024.

« La situation s’améliore. L’activité économique s’est renforcée dans le secteur manufacturier et les services. Globalement, nous constatons une légère accélération de la croissance au cours des trois derniers mois », a commenté Cyrus de la Rubia, économiste en chef de la Hamburg Commercial Bank.

L’indice PMI manufacturier est passé de 49,8 à 50,5 en juillet, passant ainsi en expansion (au-dessus de 50) pour la première fois depuis plus de trois ans. La production manufacturière a progressé à son rythme le plus rapide depuis près de trois ans et demi, l’indice passant de 50,6 à 52,3.

En revanche, dans les services, l’activité des entreprises a légèrement ralenti, l’indice PMI étant tombé à 50,7 points contre 51,0 points en juillet.

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Spiritueux sous pression : l’UE exige un allègement des taxes US

L’UE continuera à faire pression pour une baisse des tarifs sur le vin et les spiritueux, à la suite d’un accord commercial avec les États-Unis qui a suscité de fortes réactions de l’industrie, car les exportations vers l’Amérique sont soumises à des tarifs de 15%, selon des responsables européens.

Le problème concerne le traitement du champagne, des spiritueux et autres produits alcoolisés exportés vers les États-Unis, l’un des principaux marchés pour les vins et spiritueux de l’UE. Depuis des semaines, les dirigeants européens font pression, sans succès, sur les autorités américaines pour qu’elles exemptent ces produits des droits de douane réciproques de Donald Trump.

Bien que l’UE n’ait pas obtenu cette concession, « ces portes ne sont pas fermées pour autant », a déclaré à Bruxelles le responsable du commerce des 27, Maros Sefcovic. « Nous avons travaillé très dur pour y parvenir. Nous n’y sommes pas parvenus dans ce cas précis, mais je peux vous dire que la Commission européenne s’est clairement engagée à mettre ce dossier sur la table et que nous avons tout mis en œuvre pour élargir le nombre de secteurs concernés ».

Les actions des sociétés européennes de spiritueux, dont Pernod Ricard SA, Remy Cointreau SA, Davide Campari-Milano NV et Diageo PLC, ont chuté après le rejet de la demande de réduction des tarifs douaniers de l’industrie, selon Bloomberg.

Une déclaration conjointe des États-Unis et de l’UE laisse ouverte la possibilité que davantage de produits européens soient éventuellement exemptés des tarifs douaniers de Trump, les soumettant uniquement aux taux minimaux de la nation la plus favorisée (NPF).

Cette réduction s’appliquera aux avions européens, aux produits pharmaceutiques et au liège à partir du 1er septembre, selon l’accord, mais les deux parties se sont engagées à « prendre en compte d’autres secteurs et produits importants pour leurs économies et leurs chaînes de valeur, afin de les inclure dans la liste des produits pour lesquels seuls les tarifs de la nation la plus favorisée s’appliqueront ».

Un haut responsable européen a souligné que les spiritueux sont un secteur où les flux commerciaux transatlantiques sont plus équilibrés que dans le secteur des vins, avec une forte demande des consommateurs des deux côtés et la présence d’entreprises actives sur les deux marchés désireux de trouver une solution, un facteur qui pourrait rendre les États-Unis plus réceptifs à un allègement tarifaire.

Le ministre délégué au Commerce extérieur, Laurent Saint-Martin, a adopté une position de défi jeudi 21 août, déclarant dans un message sur X que «la défense de nos secteurs d’exportation reste notre priorité».

La Fédération française des exportateurs de vins et spiritueux (FEVS) indique que la décision avait provoqué une « énorme déception » dans le secteur et a appelé l’UE à fournir un soutien immédiat pour aider le secteur à court terme et à poursuivre les négociations pour garantir que les vins et spiritueux soient ajoutés à la liste des produits exemptés.

« Ce sera une période extrêmement difficile pour tous les exportateurs français et européens », a souligné le président de la FEVS, Gabriel Picard, dans un communiqué.

Le conseiller commercial de la Maison Blanche, Peter Navarro, a refusé de répondre jeudi à la question d’un journaliste lui demandant si l’administration envisageait de réduire les tarifs douaniers sur le vin et les spiritueux.

Plaintes de l’industrie

Certains producteurs de spiritueux américains ont également encouragé un accord, mettant en garde contre les impacts négatifs potentiels sur leurs propres produits des éventuels droits de douane de rétorsion sur leurs exportations vers l’UE, ainsi que des pertes pour les bars et restaurants américains qu’ils approvisionnent.

« Sans un retour permanent à des tarifs zéro pour zéro sur les spiritueux, les distillateurs américains n’ont pas la certitude de planifier les exportations futures et la croissance de l’emploi sans craindre le retour de tarifs de rétorsion », a déclaré Chris Swonger, PDG du U.S. Distilled Spirits Council, dans un communiqué jeudi…

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Moins polluant, mais plus cher : le train reste à la traîne en Europe

Voyager en train à travers l’Europe est plus cher par rapport à l’avion dans 54% des cas, selon une étude de l’ONG Greenpeace Europe.

L’organisation non gouvernementale a analysé 109 voyages transfrontaliers et 33 voyages à l’intérieur d’un même pays. Dans tous les cas, le trajet en train était « raisonnablement » praticable, de jour comme de nuit.

Le train coûte jusqu’à 26 fois plus cher que l’avion, selon les comparaisons faites par Greenpeace, qui cite l’exemple extrême d’une ligne Barcelone-Londres, fermée il y a un mois : 389 euros pour le train contre 14,99 euros pour l’avion.

« Il est clair que les gens sont encouragés à prendre l’avion pour se rendre en Europe, même lorsqu’il existe une liaison ferroviaire abordable », souligne l’ONG environnementale. Les trains de nuit sont, selon l’ONG, « la meilleure option pour les voyages longue distance respectueux du climat », même s’ils sont « généralement plus chers » que les vols low cost.

La France est le pays où les voyages transfrontaliers en train sont plus chers que les vols, où « 95% de tous les trajets étaient plus chers au moins 6 jours sur 9 », selon le même rapport.

Greenpeace espère que le transport ferroviaire deviendra « systématiquement moins cher sur tous les itinéraires à travers l’Europe » et dénonce le fait que le kérosène ne soit pas taxé, alors que « les compagnies ferroviaires sont soumises à des taxes sur l’énergie, à la TVA et à des frais d’accès élevés dans de nombreux pays ». Le train est l’un des moyens de transport qui émet le moins de CO2 par passager-kilomètre, contrairement à l’avion, plus polluant.

En revanche, à l’échelle nationale, les liaisons ferroviaires sont moins chères que celles par avion pour « 70% d’entre elles », selon Greenpeace Europe.

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Le brut russe coule à flots vers la Chine

Cette décision interviendrait dans un contexte de baisse des achats indiens à la suite des menaces de droits de douane de Trump.

Les raffineries de pétrole chinoises ont augmenté leurs importations de brut russe après que l’Inde a réduit ses achats sous la pression tarifaire américaine, rapporte CNN, citant des analystes.

La Chine et l’Inde sont devenues les principaux acheteurs de pétrole russe après que les sanctions occidentales ont frappé Moscou à la suite de la guerre contre l’Ukraine.

À rappeler que Donald Trump a récemment imposé un droit de douane de 25% sur les importations indiennes, lequel tarif entre en vigueur le 27 août, invoquant la poursuite des échanges pétroliers entre New Delhi et la Russie, en plus d’un droit de 25% précédemment imposé après l’échec des négociations commerciales entre les deux pays. Cette nouvelle mesure aurait conduit les raffineurs publics indiens à suspendre temporairement leurs importations du brut russe, qui représentaient auparavant 36% de l’approvisionnement national.

Muyu Xu, analyste principal du pétrole brut chez Kpler, a déclaré à CNN que les raffineurs publics et privés chinois ont acheté environ 13 cargaisons de pétrole brut russe pour octobre et au moins deux pour novembre, qui seront expédiées depuis les ports russes de l’Arctique et de la mer Noire, des itinéraires qui desservent habituellement l’Inde.

Xu a qualifié cette décision d’« opportuniste », citant la réduction de 3 dollars le baril de brut russe par rapport aux alternatives moyen-orientales, et a prédit que la Chine continuerait probablement d’accroître ses importations, Trump continuant d’ exercer une forte pression sur l’Inde. Bien que Trump ait déclaré qu’il pourrait également imposer des droits de douane à la Chine pour ses achats de pétrole russe, il a dernièrement affirmé qu’il n’envisageait pas cette option dans l’immédiat…

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L’or chute avant le discours de Powell à Jackson Hole

Les prix de l’or ont chuté jeudi 21 août alors que le dollar se renforçait, tandis que les investisseurs attendaient le discours du président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, lors du symposium de Jackson Hole pour obtenir des indices sur l’orientation de la politique américaine.

Le cours de l’or au comptant a chuté de 0,19% à 3 382,10 $ l’once. Les contrats à terme sur l’or ont clôturé mercredi en baisse de 0,2% à 3 386,50 $.

L’indice du dollar américain a augmenté de 0,4%, ce qui rend l’or libellé en dollars américains cher pour les acheteurs étrangers.

Powell devrait s’exprimer ce vendredi lors du symposium de Jackson Hole sur les perspectives économiques et la position de la Fed sur la politique monétaire.

Par ailleurs, le nombre d’Américains demandant des allocations chômage a fortement augmenté la semaine dernière, marquant la plus forte augmentation en près de trois mois.

Pendant ce temps, le ministère américain de la Justice prévoit d’enquêter sur la gouverneure de la Fed, Lisa Cook, pour des allégations de fraude hypothécaire, un haut responsable exhortant le président Jerome Powell à la retirer du conseil d’administration, selon un rapport de Bloomberg News publié jeudi.

Le cabinet de recherche BMI de Fitch Solutions a révisé mercredi à la hausse de 150 dollars ses prévisions de prix de l’or pour 2025, à 3 250 dollars l’once.

« Les prix resteront élevés dans les semaines à venir, le marché se préparant à une baisse des taux de la Réserve fédérale américaine en septembre. Même dans ce cas, nous pensons que le potentiel de hausse de l’or après la baisse des taux sera limité, car la majeure partie de son cours est déjà intégrée », a déclaré BMI dans une note.

Le prix spot de l’argent a augmenté de 0,6% à 38,10 $ l’once, le platine a augmenté de 1,1% à 1 354,20 $ et le palladium a chuté de 0,6% à 1 107,41 $.

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La Fed face à un dilemme : maîtriser l’inflation, sauver l’emploi

Une forte majorité des responsables de la Réserve fédérale ont voté pour maintenir les taux d’intérêt inchangés lors de la réunion de politique monétaire de la Banque fédérale fin juillet…

La vice-présidente chargée de la supervision, Michelle Bowman, et le gouverneur Christopher Waller ont appelé à une baisse de 25 points de base des taux d’intérêt, invoquant un affaiblissement du marché du travail. Sachant que la Fed a une double mission : maintenir l’inflation à 2% à moyen terme et assurer le plein emploi.

« Presque tous les responsables ont estimé que la solution appropriée consistait à maintenir les taux d’intérêt entre 4,25 et 4,50% », indique le compte rendu de la réunion des 29 et 30 juillet. La décision a été adoptée par 9 voix contre 2.

Le compte rendu montre que les responsables de la Banque centrale continuent de discuter activement de l’impact des droits de douane imposés par le président Donald Trump sur l’inflation. D’ailleurs, les dernières données montrent que l’inflation globale s’est établie à 2,7% en juillet, l’inflation sous-jacente atteignant 3,1%.

Les responsables de la Fed ont également estimé que les effets des tarifs douaniers ont commencé à se faire davantage sentir sur les prix de certains biens, même si l’impact plus large ne s’est pas encore pleinement répercuté sur l’économie et l’inflation.

En ce qui concerne l’avenir, les membres du Comité ont noté qu’ils pourraient être confrontés à la tâche difficile de maintenir l’équilibre si l’inflation élevée s’avère plus persistante et si les perspectives du marché du travail se détériorent davantage.

La prochaine réunion de la Fed aura lieu les 16 et 17 septembre. Les investisseurs estiment à 85% la probabilité d’une baisse de 25 points de base, selon l’outil FedWatch du CME.

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L’incertitude géopolitique freine l’investissement mondial

Les investissements mondiaux en capital-investissement ont chuté de 505,3 milliards de dollars au premier trimestre 2025 à 363,7 milliards de dollars au deuxième trimestre, le volume des transactions passant de 4 527 à 3 769. Cette baisse reflète la prudence accrue des investisseurs en raison des tensions géopolitiques, de l’évolution des conditions du commerce mondial et de l’incertitude entourant les politiques douanières américaines. C’est ce que révèle le rapport « Pulse of Private Equity » de KPMG publié mercredi 20 août.

Par région, le ralentissement a été plus prononcé dans la région « Amériques », où les investissements ont chuté de 319,8 milliards de dollars à près de 214 milliards de dollars. Les États-Unis ont absorbé la part du lion, avec 202 milliards de dollars pour 1 608 transactions.

La région EMA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) a également enregistré une baisse, passant de 136,6 à 117,4 milliards de dollars pour 1 669 transactions.

La région ASPAC (Asie-Pacifique) a subi la plus forte baisse, passant de 36,2 milliards de dollars à seulement 20,8 milliards, tandis que les transactions sont passées de 282 à 220.

Les secteurs résistants

Malgré le déclin général, certains secteurs ont fait preuve d’une résilience impressionnante. Les sciences de la vie se sont distinguées avec 6,9 milliards de dollars d’investissements à la mi-année, dépassant ainsi les 4,2 milliards de dollars de 2024. Les secteurs de la santé (79,3 milliards de dollars), de l’énergie et des ressources naturelles (110,8 milliards de dollars) et des infrastructures (74,4 milliards de dollars) ont également affiché une forte croissance, tous déjà supérieurs à leurs totaux annuels de 2024.

Comme l’a déclaré Gavin Geminder, responsable mondial du capital-investissement chez KPMG International : « Nous constatons clairement un déplacement des investissements vers les entreprises nationales et régionales en raison de l’incertitude entourant les politiques commerciales. Cependant, les investisseurs ne manqueront pas l’opportunité de réaliser des transactions mondiales si des actifs véritablement exceptionnels émergent ».

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Moscou et New Delhi tournent le dos au dollar

Le premier vice-Premier ministre russe, Denis Manturov, affirme que la part des règlements entre la Russie et l’Inde en monnaies nationales a dépassé les 90%. C’était lors d’une réunion de la commission intergouvernementale russo-indienne.

« Il est important de garantir des règlements mutuels ininterrompus, surtout dans les circonstances actuelles. Nous avons déjà réussi à convertir plus de 90% des paiements entre la Russie et l’Inde en monnaies nationales », a déclaré Manturov.

Les deux pays continueront à renforcer la coopération dans le secteur bancaire, ajoute-t-il, soulignant la « nécessité de renforcer l’interaction entre les banques dans le secteur des assurances ».

L’ambassadeur de Russie en Inde, Denis Alipov, affirme que les deux pays avaient enregistré des « succès significatifs » en surmontant les obstacles liés aux règlements mutuels en devises fortes et étaient engagés dans un dialogue actif sur l’intégration des systèmes de paiement.

Par ailleurs et dans le cadre des échanges commerciaux, il est souligné que New Delhi importerait à peu près la même quantité de pétrole russe malgré les récents développements… « L’Inde se rend compte qu’il n’y a aucune chance de changer ses approvisionnements et que les profits sont trop élevés pour elle », a-t-il poursuivi, selon Reuters.

Le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent, a déclaré mardi 19 août que l’Inde ferait partie des pays soumis à des droits de douane supplémentaires parce que l’achat de pétrole russe par l’Inde était inacceptable.

Il a ajouté que l’Inde tire profit de ses achats de pétrole russe, l’achetant à bas prix puis le revendant à un prix plus élevé. « L’Inde a réalisé d’énormes profits en vendant du pétrole russe pendant la guerre en Ukraine ».

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Transport maritime : la flambée d’incendies sur les navires de fret inquiète

Une série d’incendies graves survenus en 2025 sur des porte-conteneurs et des porte-véhicules dans l’océan Indien, la mer du Nord, la Manche, la mer Rouge et l’océan Atlantique en Afrique de l’Ouest ont mis en évidence les inquiétudes concernant la sécurité maritime et les risques liés au transport de cargaisons dangereuses.

Commentant cette évolution, Pavlos Xiradakis, président de l’Association hellénique des propriétaires de remorqueurs, de navires de sauvetage, de lutte antipollution et de soutien offshore, a souligné le 20 août que la nouvelle réalité dissipe l’idée fausse selon laquelle les pétroliers et les gaziers sont par définition les plus dangereux.

Il a insisté sur la nécessité pour les ports grecs – dont beaucoup ne disposent même pas d’un réseau de lutte contre les incendies de base – d’être protégés par une réglementation sur le remorquage garantissant l’utilisation de remorqueurs certifiés pour la lutte contre les incendies, capables de réagir immédiatement à de tels incidents, protégeant ainsi les vies humaines, l’environnement, les navires et les installations portuaires.

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Les USA vont expulser des migrants vers l’Ouganda

Kampala a conclu un accord avec Washington pour accueillir un nombre indéterminé de migrants de pays tiers qui sont expulsés des États-Unis, rapporte CBS, citant des documents officiels.

L’administration du président américain Donald Trump a conclu des accords de réinstallation dans des pays tiers pour expulser les demandeurs d’asile dans le cadre d’une répression plus large de l’immigration illégale, malgré les critiques et les protestations.

Selon CBS, l’accord avec l’Ouganda verra le pays d’Afrique de l’Est accepter un nombre indéterminé de déportés africains et asiatiques qui avaient demandé l’asile à la frontière américano-mexicaine « à condition qu’ils n’aient pas d’antécédents criminels ».

Rappelons au passage que Washington a imposé des sanctions de voyage à plusieurs responsables ougandais en raison de soupçons de corruption et de violations des droits de l’Homme à la suite de l’adoption par Kampala d’une loi anti-gay en 2023, et a retiré le pays de l’initiative commerciale en franchise de droits de l’African Growth and Opportunity Act (AGOA).

Au moins une douzaine de pays auraient accepté ou consenti à accueillir des personnes expulsées qui ne sont pas leurs propres citoyens. En effet, le Rwanda, voisin de l’Ouganda, a dernièrement conclu un accord avec la Maison Blanche pour accueillir jusqu’à 250 personnes expulsées en échange d’une subvention américaine. La porte-parole du gouvernement rwandais, Yolande Makolo, a déclaré que Kigali « approuverait chaque personne proposée à la réinstallation ».

En juillet, le département de la Sécurité intérieure des États-Unis a expulsé cinq « criminels barbares » vers l’Eswatini (ancien Swaziland), quelques semaines après avoir envoyé huit autres au Soudan du Sud, pays déchiré par un conflit. Les détails des accords conclus avec les deux pays n’ont pas été divulgués. La Maison Blanche avait auparavant révoqué tous les visas des détenteurs de passeports sud-soudanais et suspendu toute nouvelle délivrance, précisant que cette mesure pourrait être réexaminée une fois que le pays coopérerait pleinement à l’accueil des ressortissants expulsés.

Pour sa part, le Nigeria a déclaré qu’il n’accepterait pas d’étrangers expulsés des États-Unis. Ainsi, Yusuf Tuggar, le ministre des Affaires étrangères du pays le plus peuplé d’Afrique, a accusé l’administration Trump d’utiliser les restrictions de visas et les hausses de tarifs douaniers pour contraindre les pays africains à accepter des migrants.

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S&P confirme la note « AA+ » des États-Unis

S&P Global confirme sa note de crédit « AA+ » pour les États-Unis, estimant que les revenus provenant des tarifs douaniers de Trump compenseront le coût budgétaire d’un projet de loi massif sur les impôts et les dépenses.

Rappelons au passage que Trump a promulgué le projet de loi « Big and Beautiful » en juillet, après son adoption par le Congrès, contrôlé par les Républicains. Ce projet de loi, qui a instauré de nouveaux allégements fiscaux, a également pérennisé les précédentes réductions d’impôts de Trump de 2017.

« Dans le contexte de l’augmentation des taux tarifaires effectifs, nous nous attendons à ce que des recettes douanières importantes compensent généralement les résultats budgétaires plus faibles qui pourraient autrement être associés à la récente législation budgétaire, qui contient à la fois des réductions et des augmentations d’impôts et de dépenses », note S&P dans son analyse.

Le gouvernement a signalé une augmentation de 21 milliards de dollars des recettes douanières grâce aux tarifs douaniers de Trump en juillet, mais le déficit budgétaire a augmenté de près de 20% au cours du même mois pour atteindre 291 milliards de dollars.

S&P, qui est devenue la première agence de notation à abaisser la note « AAA » du gouvernement américain en 2011, a également déclaré que les perspectives pour la note américaine restent stables.

L’agence de notation a également indiqué s’attendre à ce que la Réserve fédérale – que Trump a vivement critiquée pour ne pas avoir réduit ses taux d’intérêt – « relève les défis de la réduction de l’inflation intérieure et de la résolution des vulnérabilités des marchés financiers ».

L’agence prévoit un déficit public moyen de 6,0% du PIB sur la période 2025-2028, contre 7,5% en 2024 et 9,8% en moyenne sur la période 2020-2023. Elle prévient également de dégrader la note des États-Unis dans les deux à trois prochaines années si les déficits déjà élevés devaient augmenter.

Une sonnette d’alarme pour les attaques contre la Fed

« Les notations pourraient également être mises sous pression si les développements politiques pèsent sur la solidité des institutions américaines et sur l’efficacité de la politique à long terme ou sur l’indépendance de la Réserve fédérale », souligne l’entreprise.

Cependant, S&P a déclaré qu’elle pourrait relever la note des États-Unis en cas de croissance économique durable et d’ajustements du profil budgétaire américain qui réduiraient les récentes augmentations de la dette du pays.

La confirmation de la note de crédit de S&P intervient après que Moody’s a abaissé d’un cran la note des États-Unis en mai dernier, invoquant l’augmentation de la dette.

La dette américaine a dépassé le record de 37 000 milliards de dollars durant la semaine du 11 août 2025.

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Grande-Bretagne : l’inflation s’élève à 3,8 % en juillet

L’Office for National Statistics (ONS) de la Grande-Bretagne indique que le taux d’inflation pour juillet s’élève à 3,8%.

Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient une inflation atteignant 3,7% au cours des 12 mois précédant juillet, après avoir atteint 3,6% en juin.

L’inflation sous-jacente, hors catégories les plus volatiles (énergie, alimentation, alcool et tabac), est passée de 3,7% en juin à 3,8% en juillet.

La hausse de l’inflation a poussé l’indice des prix à la consommation (IPC) à son taux annuel le plus élevé depuis le début de l’année dernière, a déclaré Grant Fitzner, économiste en chef de l’ONS.

« La principale raison est la forte augmentation des prix des billets d’avion, qui constitue la plus forte progression en juillet depuis que la collecte des données sur les tarifs aériens est passée de trimestrielle à mensuelle en 2001. Elle est probablement liée au calendrier des vacances scolaires cette année », a-t-il expliqué dans un message sur la plateforme X.

« Les prix de l’essence et du diesel ont également augmenté ce mois-ci, contrairement à l’année dernière. La hausse inflationniste des prix alimentaires se poursuit, des produits comme le café, le jus d’orange frais, la viande et le chocolat enregistrant les plus fortes hausses de prix », a-t-il ajouté.

La ministre britannique des Finances, Rachel Reeves, estime qu’il fallait faire davantage pour réduire le coût de la vie. « Nous avons pris les décisions nécessaires pour stabiliser les finances publiques et nous sommes loin de l’inflation à deux chiffres que nous avons connue sous le gouvernement précédent, mais il reste encore beaucoup à faire », a-t-elle souligné.

Stabilité de la monnaie britannique

La livre sterling est restée stable face au dollar après la publication des données, s’échangeant à 1,3489 $. Les derniers chiffres font suite à la décision de la Banque d’Angleterre de réduire ses taux d’intérêt de 4,25% à 4% au début du mois, revenant à une politique d’assouplissement monétaire « progressif et prudent »…

La BoE surveille de près les données sur l’inflation. « Nous prévoyons que les pressions sur les prix s’atténueront au quatrième trimestre 2025, avec un taux d’inflation annuel approchant 3,5% d’ici la fin de l’année », a déclaré Sanjay Raja, économiste principal à la Deutsche Bank, dans une note écrite vendredi.

« En outre, nous prévoyons un nouvel assouplissement des pressions sur les prix l’année prochaine. Selon nos modèles, l’IPC devrait baisser à près de 2,75% en glissement annuel au deuxième trimestre 2026, avant d’atteindre 2,25% au quatrième trimestre 2026. Toutefois, plus généralement, nous prévoyons que la voie vers l’objectif de 2% l’année prochaine se rétrécira », a-t-il ajouté.

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50% de taxes US sur l’acier et l’aluminium dérivés

Le département américain du Commerce a annoncé, mardi 19 août, avoir ajouté 407 catégories de produits supplémentaires à la liste des produits « dérivés » de l’acier et de l’aluminium soumis à des sanctions.

« La décision d’aujourd’hui couvre les éoliennes et leurs pièces et accessoires, les grues mobiles, les bulldozers et autres équipements lourds, les wagons de chemin de fer, les meubles, les compresseurs, les pompes et des centaines d’autres produits », a déclaré le département du Commerce dans un communiqué.

Les produits inclus dans la liste seront soumis à un taux de droit de douane de 50%, ajoute-t-il.

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Rubio présidera le comité sur les garanties de sécurité pour l’Ukraine

Les États-Unis, l’Ukraine et les pays européens ont créé un comité conjoint pour élaborer une proposition visant à fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine, éventuellement avec le soutien aérien américain, a rapporté mardi 19 août le site d’information Axios, citant deux sources bien informées.

Le comité est dirigé par le secrétaire d’État américain Marco Rubio, mais comprend des conseillers à la sécurité nationale d’Ukraine et de pays européens.

« Dans les prochains jours, tout le monde travaillera du matin au soir sur les garanties de sécurité. Nous pourrions avoir une architecture claire d’ici la fin de la semaine », a déclaré une source ukrainienne au site web.

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Les exportations japonaises au plus bas depuis 2021

Les exportations du Japon ont enregistré, en juillet, leur plus forte baisse depuis 2021, les expéditions de produits vers les États-Unis et la Chine ayant diminué, selon Capital.

Les exportations vers les États-Unis – le principal marché des produits japonais) – ont continué de baisser, chutant de 10,1% en juillet, mais moins que celle enregistrée en juin (11,4%).

Les expéditions vers la Chine – le deuxième plus grand marché d’exportation du Japon – ont chuté de 3,5% par rapport au même mois de l’année dernière, mais elles ont augmenté de 17,7% vers Hong Kong.

Dans le même temps, les importations de la quatrième économie mondiale ont chuté de 7,5%.

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