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Ben Guerdane | Enquête sur le décès par balles d’un homme le jour de son mariage

Une fête de mariage a viré au drame à Ben Guerdane après le décès du marié qui a reçu accidentellement une balle lors de tirs de célébration au fusils.

Cet accident tragique est survenu hier soir dans la région d’El Amria lorsqu’un des participants au cortège a fait usage, par erreur, de son fusil de chasse, provoquant plusieurs blessures parmi les invités, dont le marié, grièvement touché et mort sur le coup.

Sur ordre du ministère public de Médenine, une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes du décès.

Y. N.

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Un mineur tunisien décède dans une prison italienne

Un drame a secoué la communauté tunisienne en Italie. Selon l’ancien député résidant en Italie, Majdi Karbai, un jeune Tunisien connu sous le nom de Danilo Riahi, âgé de 17 ans, est décédé à l’hôpital après avoir tenté de se suicider dans une prison italienne située dans la région de Trévise.

D’après le témoignage de Karbai, publié sur Facebook, le jeune homme aurait été retrouvé dans sa cellule, dans la nuit de dimanche à lundi, pendu à l’aide d’un pantalon en jean. Les autorités italiennes indiquent que l’adolescent avait été arrêté quelques jours plus tôt à Vicenza.

Alertés à temps, les gardiens et un médecin de l’établissement avaient réussi à le ranimer, permettant son transfert en urgence à l’hôpital. Placé sous surveillance médicale en soins intensifs, Danilo Riahi n’a pas survécu : il est décédé moins de 48 heures après l’incident, malgré les efforts du corps médical.

Les circonstances exactes de son arrestation et de sa détention restent encore floues. Ce décès soulève de nouvelles interrogations sur les conditions de détention des mineurs en Italie et sur l’accompagnement psychologique dans les établissements pénitentiaires.

Les proches du défunt et des membres de la communauté tunisienne réclament des éclaircissements et, le cas échéant, l’ouverture d’une enquête indépendante.

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Hamadi Ben Saad, figure de la peinture tunisienne, s’est éteint à 77 ans

Le peintre tunisien Hamadi Ben Saad est décédé vendredi 25 juillet à l’âge de 77 ans, jour anniversaire de la proclamation de la République. Sa disparition marque la perte d’un artiste engagé, peu médiatisé mais profondément respecté dans les cercles culturels tunisiens.

Autodidacte, il était d’abord instituteur avant de se consacrer pleinement à l’art et à l’éducation esthétique. Convaincu que la sensibilité s’éduque dès l’enfance, il a animé pendant plusieurs décennies des clubs de peinture destinés aux plus jeunes, défendant l’idée d’un art formateur, ancré dans la vie quotidienne.

Né en 1948 à Tunis, Hamadi Ben Saad développe une œuvre personnelle, loin des tendances dominantes, à la fois expressive et enracinée. Il passe trois années à la Cité internationale des arts de Paris, où il découvre les grands courants de l’abstraction et affine son langage plastique. Ce séjour marque un tournant dans sa trajectoire, renforçant son ouverture artistique sans l’éloigner de ses repères identitaires.

Il a participé à plusieurs expositions collectives majeures, notamment au sein de l’École de Tunis, tout en présentant ses œuvres en France, en Italie, en Suisse ou au Danemark. Son style, caractérisé par une densité émotionnelle et une palette sobre, a été salué par la critique comme une contribution significative à la peinture contemporaine tunisienne.

Sa mort intervient quelques mois après celle de son ami et confrère Lamine Sassi, avec qui il partageait la même discrétion et le même attachement à une vision humaniste de l’art.

Le ministère des affaires culturelles et l’Union des artistes plasticiens lui ont rendu hommage, saluant un « pilier de l’art plastique » et un « passeur de beauté ».

Hamadi Ben Saad laisse derrière lui une œuvre sincère, exigeante et trop peu valorisée. Elle mérite aujourd’hui d’être relue à la lumière de son engagement : celui d’un artiste pour qui peindre relevait d’un acte de transmission, plus que d’une quête de reconnaissance.

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Tunisie : Polémique suite au décès d’une jeune à l’hôpital de Gafsa

Le drame a secoué la région de Gafsa. Une jeune femme de 21 ans est décédée à l’hôpital régional « Houcine Bouzayen » après la rupture de son appendice, dans des circonstances jugées troublantes par sa famille. Cette dernière pointe du doigt des négligences graves au sein de l’établissement hospitalier.

La tante de la défunte a livré un témoignage poignant sur les ondes de Jawhara FM. Elle a raconté que sa nièce avait commencé à ressentir de fortes douleurs dimanche. Transportée aussitôt à l’hôpital régional, elle aurait été refusée à l’admission par le personnel de l’accueil, au motif que son nom n’était pas inscrit sur sa carte de soins. Il lui aurait été demandé de régulariser la situation ou de payer des frais d’enregistrement avant de pouvoir accéder aux soins.

Face à ce refus, le père de la jeune femme aurait dû la ramener chez elle, puis régulariser sa situation le lendemain matin (lundi) avant de la reconduire à l’hôpital. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle a pu bénéficier d’une première prise en charge médicale et d’examens urgents.

Selon sa tante, l’état de la jeune patiente s’était déjà gravement détérioré à ce stade : son appendice avait explosé. La médecin de garde aurait immédiatement ordonné une intervention chirurgicale en urgence. Toutefois, l’opération aurait été retardée de quatre heures car la patiente avait bu de l’eau, une contre-indication avant une anesthésie.

Sortie du bloc opératoire environ deux heures plus tard, elle était dans un état critique, ce qui a nécessité son transfert immédiat en soins intensifs. Elle y a finalement rendu l’âme.

Le décès a provoqué une onde de choc parmi les proches, qui exigent que toute la lumière soit faite sur les responsabilités médicales et administratives. L’affaire relance le débat sur les défaillances du système de santé public et les obstacles bureaucratiques qui peuvent, parfois, coûter la vie.

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Le « Prince endormi » s’est éteint après 20 ans de coma

Le prince saoudien Al-Waleed bin Khaled bin Talal Al Saud, surnommé le « prince endormi », est décédé ce 19 juillet 2025, après avoir passé près de vingt ans dans un état de coma profond. L’annonce de sa mort a été faite par sa famille sur les réseaux sociaux, suscitant une vive émotion en Arabie saoudite et dans le monde arabe.

Âgé de 36 ans, le prince Al-Waleed avait été victime d’un grave accident de la route en 2005, alors qu’il étudiait à l’académie militaire de Londres. Depuis ce jour, il était maintenu en vie dans un état végétatif persistant, malgré les diagnostics médicaux affirmant l’absence d’espoir de rétablissement. Son père, le prince Khaled bin Talal, avait toutefois toujours refusé de suspendre l’assistance médicale, convaincu d’une possible guérison.

Au fil des années, des vidéos montrant de légers mouvements des doigts ou des paupières du prince avaient circulé, nourrissant l’espoir d’un miracle au sein de la famille royale et de l’opinion publique. Ces images, devenues virales, avaient renforcé la notoriété du jeune prince, affectueusement surnommé « le prince endormi ».

Les funérailles ont eu lieu ce samedi 20 juillet à Riyad, en présence de nombreux membres de la famille royale et de dignitaires saoudiens. Les prières ont été organisées dans le respect des traditions, avec des cérémonies distinctes pour les hommes et les femmes.

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Le journaliste Youssef Oueslati s’éteint, la presse tunisienne en deuil

Le journaliste Youssef Oueslati est décédé ce vendredi matin, plongeant le monde médiatique tunisien dans une profonde tristesse. Figure marquante du journalisme indépendant, il a laissé une empreinte durable par son engagement sans faille en faveur de la liberté d’expression et de la déontologie professionnelle.

Ancien membre du bureau exécutif du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Oueslati s’est distingué à travers de nombreux congrès et combats syndicaux. Défenseur inlassable des droits des journalistes, il incarnait une voix libre, critique et profondément attachée aux valeurs de la presse indépendante.

Au cours de sa carrière, il a dirigé la rédaction du journal Echaâb et du magazine Akher Khabar, tout en collaborant avec de nombreux médias tunisiens et internationaux. Son professionnalisme et sa rigueur journalistique ont fait de lui une référence respectée parmi ses pairs.

Dans un communiqué publié à l’annonce de sa disparition, le SNJT a salué la mémoire d’un homme intègre, généreux et engagé, soulignant sa présence constante aux côtés de ses confrères, que ce soit dans les luttes syndicales ou les élans de solidarité.

Le syndicat a exprimé ses condoléances les plus sincères à la famille du défunt, à ses proches ainsi qu’à l’ensemble de la profession, partageant leur peine en cette douloureuse circonstance.

Que Dieu accorde à Youssef Oueslati sa miséricorde et l’accueille en Son vaste paradis.

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Tunisie : Moins d’accidents, mais plus de morts en 2025

Entre le 1er janvier et le 10 juillet 2025, 598 personnes ont perdu la vie sur les routes tunisiennes, selon les chiffres publiés dimanche par l’Observatoire national de la sécurité routière. Ce chiffre marque une hausse inquiétante de la mortalité, malgré une baisse du nombre total d’accidents. Les principales causes restent liées au comportement humain, notamment l’inattention et la vitesse.

Une mortalité en hausse de 9,93%

Le dernier rapport de l’Observatoire national de la sécurité routière révèle que 598 décès ont été enregistrés depuis le début de l’année, contre 544 à la même période en 2024, soit une hausse de 9,93%.

En parallèle, le nombre total d’accidents a chuté de 16,14%, passant de 3066 à 2571. Les blessés sont également moins nombreux, avec 3390 cas recensés en 2025, contre 4105 un an plus tôt, ce qui représente une baisse de 17,42%.

L’inattention et la distraction au volant sont à l’origine de 40,3% des accidents, suivies par la vitesse excessive (15,3%) et le non-respect de la priorité (9%).

Appels à une révision des sanctions

Le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, a présenté ce lundi un plan national intégré de sécurité routière visant à réduire de 50% les accidents de la route d’ici 2034. Ce plan, dévoilé lors d’une session au Conseil National des Régions et des Districts, sera mis en œuvre en trois étapes : -10% d’ici 2027, -25% d’ici 2030, puis -50% à l’horizon 2034.

La stratégie repose sur le traitement des causes principales des accidents, une réforme législative, et une application plus rigoureuse des lois. Elle prévoit aussi des campagnes de terrain ciblées, l’élargissement du réseau de radars, la numérisation des systèmes et une analyse approfondie des données statistiques.

Par ailleurs des appels à durcir les contrôles routiers commencent à émerger dans les milieux associatifs spécialisés dans la sécurité routière. Plusieurs observateurs demandent également une révision des sanctions et une meilleure éducation routière, en particulier chez les jeunes conducteurs.

Vers un renforcement des campagnes de sensibilisation ?

La Tunisie connaît depuis plusieurs années une situation préoccupante en matière de sécurité routière. En 2024 déjà, les chiffres de la mortalité étaient jugés alarmants avec 544 morts à mi-juillet. Malgré des campagnes de sensibilisation ponctuelles, les comportements à risque restent largement répandus sur les routes.

Dans ses précédents rapports, l’Observatoire avait souligné l’impact des infrastructures dégradées et de la faible application du code de la route sur l’insécurité routière.

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Disparition de Chawki Gaddès, ancien président de l’INPDP et figure du droit public tunisien

Chawki Gaddès, ancien président de l’Instance nationale de protection des données personnelles (INPDP) et éminent spécialiste du droit public, s’est éteint vendredi après un long combat contre la maladie. Son décès suscite une vive émotion dans les milieux juridiques et institutionnels.

Le monde académique et juridique tunisien est en deuil. Chawki Gaddès, ancien président de l’Instance nationale de protection des données personnelles (INPDP), est décédé vendredi 4 juillet 2025, après une longue maladie, a annoncé sa famille.

Titulaire d’un diplôme en droit de l’Université de Tunis, Chawki Gaddès a marqué de son empreinte l’enseignement supérieur et les institutions juridiques du pays. Professeur de droit constitutionnel, administratif et des droits de l’Homme depuis 1987 à la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis, il a contribué à la formation de plusieurs générations de juristes tunisiens.

En 2015, il est nommé à la tête de l’INPDP, une institution clé dans la défense de la vie privée et des libertés individuelles à l’ère numérique. Il en restera président jusqu’en juillet 2023, œuvrant durant huit années à promouvoir la culture de la protection des données personnelles en Tunisie.

Son engagement en faveur des droits fondamentaux et de l’État de droit était unanimement salué, tant en Tunisie qu’à l’international. Le bureau du Conseil de l’Europe à Tunis a exprimé, vendredi, sa « profonde tristesse » et rendu hommage à « un fervent défenseur du droit à la vie privée et des droits de l’Homme ».

L’Association tunisienne de droit constitutionnel, dont il était le vice-président et ancien secrétaire général, a également fait part de sa grande émotion, saluant la mémoire d’un « juriste rigoureux et engagé » et présentant ses condoléances à sa famille et à ses proches.

Chawki Gaddès laisse derrière lui un héritage juridique et académique considérable, ainsi qu’un profond respect pour son intégrité et son dévouement au service de la démocratie et des libertés.

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Un Tunisien tué en Belgique en tentant de sauver une femme

Un drame poignant a récemment ému la communauté tunisienne en Belgique et en Tunisie. Un jeune homme tunisien de 34 ans, originaire de la région de Kairouan et résidant en Belgique, a perdu la vie il y a deux ans après avoir été poignardé alors qu’il tentait de porter secours à une mère et sa fille victimes d’une tentative de braquage.

Ce geste héroïque, bien que survenu il y a quelque temps, continue de susciter une vive émotion. La mère du défunt a récemment lancé un appel émouvant aux autorités tunisiennes, sollicitant leur aide pour faciliter le rapatriement du corps de son fils afin qu’il puisse être inhumé dans sa terre natale.

Dans une déclaration à la radio Mosaïque FM ce mercredi, elle a exprimé son souhait de voir son fils reposer parmi les siens, soulignant l’importance de cette démarche pour le deuil de la famille. 

Cet acte de bravoure rappelle d’autres incidents similaires où des individus ont risqué leur vie pour en sauver d’autres. Par exemple, en 2020 à Mellassine, un quartier de Tunis, un jeune homme de 23 ans a été mortellement poignardé en tentant de défendre une femme enceinte lors d’un braquage. Son courage a été salué, et une rue a été nommée en son honneur pour commémorer son sacrifice. 

Ces histoires mettent en lumière le courage et l’altruisme de ceux qui n’hésitent pas à intervenir face au danger pour protéger autrui. Elles soulignent également l’importance de reconnaître et d’honorer ces actes héroïques, tout en mettant en évidence les défis auxquels sont confrontées les familles endeuillées, notamment en ce qui concerne les procédures de rapatriement.

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Décès d’Ahmed Bennys, pilier du cinéma tunisien et africain

Le ministère des Affaires culturelles a annoncé avec tristesse le décès du directeur de la photographie et réalisateur Ahmed Bennys, survenu le 20 août 2025.

Au cours de sa carrière riche de plus de quatre décennies, Ahmed Bennys a contribué à forger une identité visuelle unique, illustrant la spécificité du cinéma tunisien. Son travail a également enrichi le paysage cinématographique arabe et africain grâce à une vision artistique singulière, qui restera à jamais gravée dans la mémoire collective.

Parmi ses œuvres majeures, on compte « Les Ambassadeurs » de Nasser Kettari, « Ô Sultan de la ville » et « La Télévision arrive » de Moncef Zouaïb, ainsi que « Les Zazouates » de Mohamed Ali Akabi, œuvres qui ont marqué un tournant dans l’histoire du cinéma tunisien.

Le ministère exprime ses condoléances à la famille d’Ahmed Bennys ainsi qu’à toute la communauté artistique.

Le cinéma tunisien en deuil | Décès du « magicien de la lumière » Ahmed Bennys

Le Centre national du cinéma et de l’image (CNCI) a annoncé le décès d’Ahmed Bennys, une figure emblématique du cinéma tunisien et arabe, survenu ce mercredi 20 août 2025.

Surnommé « le magicien de la lumière » Ahmed Bennys, talentueux directeur de la photographie a marqué de son empreinte de nombreux films en Tunisie et au-delà, laissant derrière lui une œuvre visuelle exceptionnelle.

« À travers son objectif, Ahmed Bennys a su insuffler une vision unique qui a fait de ses œuvres des références en matière de beauté et de profondeur de l’image. Ses plans, devenus intemporels, ont enrichi la scène cinématographique tunisienne, arabe et africaine, et resteront à jamais gravés dans la mémoire collective », déplore le CNCI.

Avec son départ, le monde du cinéma perd un artiste singulier, un mentor dévoué qui a su transmettre sa passion aux nouvelles générations.

Y. N.

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Décès en Italie de ​Pippo Baudo : Le grand show-man a tiré sa révérence

Le décès de Pippo Baudo, le célèbre animateur de la Rai, est décédé le 16 août. Un lien indéfectible entre la Tunisie et la RAI1.

… à l’âge de 89 ans à Rome. Né Giuseppe Raimondo Vittorio Baudo, le Sicilien a traversé les générations avec plus de 60 ans de carrière sur le petit écran et laisse donc un immense vide dans le cœur des téléspectateurs et marque la fin d’une ère pour la télévision italienne. Si sa carrière est intrinsèquement liée à l’histoire de la RAI, son héritage dépasse largement les frontières de l’Italie, et trouve un écho particulièrement fort en Tunisie. Pour toute une génération de Tunisiens, la RAI1 n’était pas qu’une simple chaîne de télévision étrangère. Elle était un pont culturel, rendu possible par la puissance du signal émis depuis le répéteur du Boukornine. Dans les années 80, à l’occasion du championnat du monde de football, ce signal amplifié a permis à des foyers tunisiens d’accéder à un monde de programmes italiens, et de s’immerger dans une culture vivante et colorée.    

Pippo Baudo, Raffaella Carrà, et l’apprentissage de l’italien

​Ce « soft power » involontaire a été porté par des figures emblématiques. Pippo Baudo, le maestro, animait des émissions de divertissement  comme Domenica IN, le Festival de Sanremo…, qui étaient de véritables rendez-vous pour les familles. Avec des artistes comme la regrettée Raffaella Carrà, et des figures intellectuelles comme Piero Angela, la télévision italienne offrait un mélange unique de divertissement, de culture et d’information.    

​Les soirées passées devant ces émissions, les rires partagés, et l’attente des épisodes de dessins animés comme Topo Gigio ont permis à des milliers de jeunes Tunisiens d’apprendre l’italien de manière ludique et naturelle. Sans cours formels ni manuels, ils se sont familiarisés avec la langue, la musique, et les codes culturels de l’Italie. La culture italienne, déjà aimée et appréciée pour sa gastronomie et son art de vivre, s’est ancrée encore plus profondément.

Cette fascination pour la culture italienne, nourrie par la RAI, a créé un véritable capital sympathie en Tunisie. Une opportunité unique s’est offerte au gouvernement italien de l’époque, qui aurait pu facilement capitaliser sur cette affection. Il aurait suffi d’une simple volonté politique et d’un développement de l’italophonie et d’une politique linguistique à l’étranger.   

​Hélas, cette opportunité a été manquée. On peut regretter que l’Italie n’ait pas su transformer cette diffusion culturelle spontanée en une stratégie de long terme pour sa langue et son patrimoine. Le legs de Pippo Baudo et de la RAI1 en Tunisie demeure un exemple éloquent de l’impact des médias sur les relations culturelles, et un rappel poignant de ce qui aurait pu être. Son décès est un adieu non seulement à un grand animateur, mais aussi à une époque dorée des liens culturels entre les deux rives de la Méditerranée.

Tunisie | Décès du Dr Béchir Gueddana

La section de Jendouba du Syndicat tunisien des médecins libéraux (STML) a annoncé le décès du Dr Béchir Gueddana survenu ce lundi 18 août 2025.

Fondateur et premier secrétaire général du STML , Dr Gueddana a également présidé le collectif des professionnels de la santé et l’association générale des médecins de Tunisie, rappelle la même source.

De nombreux médecins et professionnels de la santé ont regretté le départ de Béchir Gueddana, «un médecin d’une grande droiture, d’une compétence reconnue et d’un engagement sans faille au service de ses patients et de la profession», déplore pour sa part son confrère Nejib Chaabouni.

Y. N.

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Incendie à Sfax | Décès d’un enfant, trois autres secourus et un sauveteur hospitalisé

Le quartier Ennour à Sfax a été le théâtre d’un véritable drame vendredi, après un incendie qui s’est déclaré dans une maison où se trouvaient 4 enfants, sans leurs parents…

L’incendie a coûté la vie à l’un des enfants, victime de brûlures et d’asphyxie, alors que les trois autres ont été secourus par des citoyens qui, en attendant l’arrivée de la protection civile, ont décidé de monter à la fenêtre pour aider les enfants en détresse.

L’un des hommes est par ailleurs tombé de l’échelle la plus haute et souffre de blessures à la poitrine et à la colonne vertébrale mais son état est stable, selon une déclaration aux médias, ce samedi 8 août 2025, du directeur régional de la santé de Sfax Hatem Cherif

Pris en charge par la protection civile, les enfants rescapés ont été transportés à l’hôpital Habib Bourguiba de Sfax, ajoute la même source.

Y. N.

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Diogo Jota, star de Liverpool et du Portugal, meurt dans un accident de voiture

L’attaquant international portugais Diogo Jota est décédé dans un accident de la route en Espagne dans la nuit du 2 au 3 juillet 2025. Agé de 28 ans, le joueur de Liverpool venait tout juste de se marier. Son frère André, également footballeur, a perdu la vie à ses côtés.

Le monde du football est frappé par une terrible nouvelle. Diogo Jota, attaquant de Liverpool et cadre de la sélection portugaise, est décédé dans un accident de voiture survenu dans la nuit du 2 au 3 juillet 2025 près de Zamora, en Espagne. Son frère cadet, André Jota, joueur du club portugais de Penafiel, a également péri dans l’accident.

Selon les premiers éléments rapportés par les autorités locales et les médias espagnols, le véhicule aurait quitté la route à grande vitesse après l’éclatement d’un pneu avant de s’embraser. Les secours arrivés sur place n’ont pu que constater les décès.

Diogo Jota, âgé de 28 ans, venait tout juste de célébrer son mariage le 22 juin avec Rute Cardoso, avec qui il avait trois enfants. Sa disparition brutale laisse sa famille, ses coéquipiers et ses supporters dans une immense douleur.

Jota avait rejoint Liverpool en 2020. Avec les Reds, il avait marqué 65 buts en 182 matchs. En sélection, il comptait 49 apparitions sous le maillot du Portugal et avait participé à l’Euro 2024.

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Mahjoub Guerfali n’est plus : le tourisme tunisien perd l’une de ses figures emblématiques

Le secteur du tourisme tunisien est en deuil suite à la disparition, ce jour, de Mahjoub Guerfali, l’une des figures emblématiques de l’administration.

Ancien directeur général de l’ONTT de 1988 à 1991, puis à la tête de l’Office national de l’artisanat (ONA), Mahjoub Guerfali a marqué de son empreinte des décennies d’action publique au service de la promotion touristique de la Tunisie.

Mais son engagement ne s’arrêtait pas à l’administration. Il fut aussi une figure sportive reconnue, notamment au Club sportif de Hammam Lif, avec lequel il remporta le championnat de Tunisie de handball lors de la saison 1962/63.

L’histoire retiendra également son rôle précoce dans le militantisme étudiant : il fut l’un des pères fondateurs de l’UGET (Union Générale des Étudiants de Tunisie) au début des années 1950. Jusqu’à récemment encore, il restait actif au sein de l’ATDT, l’Association des anciens du tourisme, témoignant d’un attachement indéfectible à la profession.

En cette douloureuse circonstance, nous présentons nos condoléances les plus sincères à sa famille.

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Tunisie : Décès du journaliste Walid Tlili

Le journaliste Walid Tlili s’est éteint ce mardi 24 juin 2025, laissant derrière lui un riche parcours professionnel et une empreinte durable dans le paysage médiatique tunisien.

Animateur emblématique de la Radio nationale tunisienne, il s’est distingué par son aisance à l’oral, sa capacité à captiver le public et la qualité de ses émissions. Sa voix puissante et chaleureuse a marqué plusieurs générations d’auditeurs.

Connu pour sa courtoisie, son professionnalisme et ses qualités humaines, Walid Tlili a débuté sa carrière dans la presse écrite, notamment au sein des journaux Al Akhbar, Al-Ayyam et Al-Tariq Al-Jadid.

Il a également contribué à la revue de la Radio tunisienne avant de s’illustrer en tant qu’animateur de plusieurs émissions phares telles que Al Bath Al-Moubasher, Tounes Al-Warda, Youm Saïd, Rahma Lil’Alamine, Dhayf Min Al-Zaman Al-Jamil et Aazif Al-Layl.

Paix à son âme. Toutes nos condoléances à sa famille, ses proches et ses collègues.

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Drame à Mahdia : Trois membres d’une même famille meurent noyés

Les unités maritimes à Mahdia ont retrouvé, il y a peu, le corps de la jeune fille portée disparue plus tôt dans la journée à la suite d’une noyade survenue dans la zone de Corniche Mahdia. La victime, âgée de 15 ans, est la troisième personne décédée dans ce drame familial, selon les informations rapportées par le correspondant de Jawhara FM dans la région.

La famille, originaire de la localité d’Amira Touazra dans la délégation de Moknine, se baignait près de la jetée lorsqu’un tragique incident est survenu.

Le père, âgé de 55 ans, et son neveu de 8 ans ont perdu la vie sur place, tout comme sa fille, dont le corps vient d’être repêché. La mère et une autre fille ont pu être secourues à temps.

Ce drame met une nouvelle fois en lumière les dangers de la baignade en mer, notamment dans des zones non surveillées ou soumises à des courants dangereux.

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