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Tunisie : émission d’un timbre-poste sur le thème « Les cerfs-volants » le 26 août 2025

Un timbre-poste ayant pour thème « Les cerfs-volants » sera émis, mardi, 26 août 2025, a annoncé La Poste, lundi.

Conçu dans le cadre de la manifestation “Philakids”, organisée en collaboration avec le ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées, ce timbre-poste a été  conçu par des enfants des centres de l’enfance relevant du Commissariat régional de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées du gouvernorat de Sfax, ajoute, La Poste, dans un communiqué.

Ce timbre-poste ainsi que les autres produits philatéliques réalisés à cette occasion seront disponibles à la vente dans tous les Bureaux de Poste et via Internet à travers le site www.e-stamps.poste.tn, à partir du mardi 26 août 2025.

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Tunisie : formations pour porteurs de projets en situation de handicap (OTDDPH – BTS)

L’Organisation tunisienne de défense des droits des personnes handicapées (OTDDPH) organisera, dès la première quinzaine de septembre, des sessions de formation pour accompagner les porteurs de projets en situation de handicap ayant obtenu un microcrédit auprès de la Banque Tunisienne de Solidarité (BTS).

Ce programme, dont les inscriptions se font via la page Facebook de l’organisation, vise à offrir un soutien concret pour le lancement de projets personnels, encourageant l’auto-emploi et l’intégration socio-économique, en attendant la pleine application de la loi sur l’emploi des personnes handicapées.

La secrétaire générale de l’OTDDPH, Bouraouia Aghrebi, a précisé à l’agence TAP que cette initiative cible spécifiquement les bénéficiaires de la ligne de financement de la BTS, dont la période de candidature s’est achevée le 25 août. « L’objectif est de les accompagner et de leur apporter le soutien nécessaire pour qu’ils puissent rechercher des solutions alternatives les préservant de la précarité », a-t-elle déclaré.

Les sessions, limitées à 20 ou 25 participants chacune, aborderont plusieurs thématiques essentielles : le concept du handicap, son cadre juridique, l’approche basée sur les droits, le développement durable, l’économie sociale et les modalités de création d’entreprise.

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Enseignement supérieur : 30 bourses pour les étudiants tunisiens en cycle ingénieur

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé l’ouverture d’un appel à candidatures pour 30 bourses universitaires destinées aux étudiants tunisiens qui envisagent réaliser leurs projets de fin d’études (PFE) au titre de l’année 2025-2026.

Dans un communiqué publié, dimanche, le ministère tient à préciser que la date-limite de dépôt des dossiers de candidature est fixée au 17 septembre 2025, rappelant que ces bourses universitaires seront accordées dans le cadre de l’accord de coopération conclu entre le ministère et l’institution MITACS (Canada).

Selon la même source, ces bourses sont destinées aux étudiants inscrits en troisième année cycle ingénieur dans les établissements universitaires publics pour l’année universitaire 2025-2026, ajoutant que les inscriptions doivent se faire impérativement via le lien officiel du programme.

Les candidats retenus bénéficieront ainsi d’une bourse couvrant les frais et les ateliers professionnels sous la supervision d’un encadreur. Les frais afférents au logement seront couverts par la même institution canadienne.

La période de réalisation des projets de fin d’études s’étend sur deux périodes. La première (février-avril 2026) étant consacrée à la partie théorique et à la préparation des sujets de stage dans l’établissement universitaire tunisien, alors que la deuxième période (mai-octobre 2026) concerne les travaux pratiques au Canada sous la supervision de professeurs tunisiens et canadiens.

En plus des conditions précitées, le ministère a mentionné, en outre, d’autres conditions supplémentaires se rapportant à l’accord écrit du professeur encadreur et du directeur de l’établissement universitaire tunisien, mettant l’accent sur l’obligation de postuler sur le site web de la Direction générale des étudiants.

Le ministère tient également à prévenir les étudiants retenus pour cette bourse qu’ils ne peuvent cumuler celle-ci avec aucune une autre bourse, internationale ou de coopération internationale, pour la préparation de leurs projets de fin d’études.

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Tourisme tunisien : une reprise relative à optimiser

Pour Soufiane Tekaya, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, qui a récemment tenu une conférence de presse, le tourisme durement touché par la crise sanitaire et ses répercussions économiques, récupère de plus en plus de la vigueur. Après deux années d’activité réduite, 2024 a marqué un tournant avec un taux d’occupation hôtelier moyen qui a atteint les 42,1 %, contre seulement 30,5 % en 2022 et des recettes touristiques de près de 7,5 milliards de dinars contre 6,9 en 2023 et 5,4 en 2022.

Les recettes en devises, dépassent pour leurs parts les niveaux d’avant pandémie. Ce redressement ne s’est pas fait du jour au lendemain. Entre la fermeture des frontières, la frilosité des marchés émetteurs et la concurrence accumulée en Méditerranée, la reprise a été lente et progressive. Mais les chiffres 2025 confirment une tendance solide, soutenue par la diversification des clientèles et l’amélioration de l’offre.

 Un net rebond de la fréquentation

La chute enregistrée entre 2019 souligne l’ampleur de la crise avec un recul de plus de 10% entre les deux années. Depuis, la courbe s’est inversée. En 2023, le taux d’occupation a atteint les 38,7 % et en 2024 : 42,1 %.

Sur les sept premiers mois de 2025, le taux d’occupation atteint 35,3 %, soit une hausse de 2,1 points par rapport à la même période de 2024. Ce niveau reste cependant inférieur à celui observé en 2019 (38,8 %), ce qui laisse une marge de progression pour retrouver la pleine performance.

Ce rebond est notamment lié au retour des marchés traditionnels européens, à la reprise des arrivées maghrébines et à la réouverture progressive des circuits longs courriers. Les tour-opérateurs rapportent également un regain d’intérêt pour la Tunisie en tant que destination compétitive offrant un bon rapport qualité-prix.

« Après deux années noires, le tourisme tunisien retrouve des couleurs et se rapproche des niveaux records de 2019. »

Des recettes en devises en hausse

Du premier janvier au 20 juillet 2025, les recettes en devises ont atteint les 3,9 milliards de dinars soit plus de 8,2% si nous comparons avec la même période l’année dernière. En Euros, c’est 1 164 Md€ (+9 %) et 1 276 Md$ (+10,5 %) par rapport à la même période en 2024.

Une reprise qualitative

La reprise tunisienne n’est pas qu’une question de volumes, elle est aussi qualitative. Trois facteurs y contribuent :

  • diversification des marchés émetteurs : au-delà de l’Europe traditionnelle, la Tunisie attire davantage de visiteurs d’Europe de l’Est, d’Afrique subsaharienne et du Moyen-Orient même si les performances sont assez modestes par rapport à son potentiel ;
  • optimisation des capacités hôtelières : les opérateurs parviennent à mieux remplir leurs établissements grâce à des stratégies tarifaires et promotionnelles adaptées aux saisons quoique nombre d’unité hôtelières ont intérêt à investir dans la rénovation pour améliorer leur apparence et leur fonctionnalité ;
  • on relève le retour de segments à forte dépense : tourisme haut de gamme, tourisme d’affaires (MICE), croisières et voyages à thème régnant du terrain. Ces évolutions renforcent la résilience du secteur face aux aléas économiques et géopolitiques.

2019-2025, quels enseignements tirer ?

En observant l’évolution sur six ans, plusieurs enseignements ressortent :

  • rebond post-crise : après le point bas de 2022, la fréquentation repart à la hausse, avec un taux d’occupation qui gagne près de 12 points en deux ans ;
  • croissance soutenue des recettes : les entrées en devises progressent plus vite que la fréquentation, signe d’une dépense moyenne par touriste en hausse ;
  • reprise qualitative : l’écart entre la croissance des arrivées et celle des recettes montre que le secteur parvient à mieux monétiser ses services.

Si nous considérons les éléments cités plus haut et si les réalisations touristiques sont meilleures au mois d’août et sur l’arrière-saison jusqu’à fin décembre, nous pourrions espérer une année 2025 plus performante que 2019. 2025 pourrait même devenir une année record en termes de recettes touristiques. D’autant plus que le taux d’occupation, légèrement en retrait, laisse un potentiel de croissance important pour les mois prochains.

« La reprise n’est pas seulement quantitative : la dépense moyenne par touriste est en nette hausse. »

Un scénario optimiste qui requiert certaines conditions

L’optimisme est de mise mais pour ce, il est important d’insister sur la stabilité de la situation sécuritaire et politique, la poursuite de la promotion ciblée sur les marchés stratégiques et capacité des opérateurs à maintenir un bon niveau de service et de rapport qualité-prix.

Tourisme Tunisie 7 moisUn enjeu macroéconomique majeur

Au-delà du secteur lui-même, la reprise du secteur du tourisme est stratégique pour l’économie tunisienne. Le tourisme représente une source essentielle de devises, contribuant à réduire le déficit de la balance des paiements et à soutenir la stabilité monétaire.

Dans un contexte où la Tunisie cherche à relancer ses exportations, aujourd’hui en baisse, et à attirer les investissements étrangers, chaque dinar gagné grâce au tourisme compte double. En d’autres termes, le rebond touristique ne se mesure pas seulement en taux d’occupation et en millions d’euros ou de dollars. Il est également traduit par des emplois maintenus ou créés, des revenus pour les régions, et un impact positif sur tout un écosystème d’activités connexes : transport, restauration, artisanat, agriculture, services.

« Le retour des marchés européens et maghrébins redonne un souffle stratégique au secteur. »

 

Le tourisme tunisien est en train de réussir son pari de sortie de crise, mais la partie n’est pas encore gagnée. L’objectif des prochaines années ne sera pas seulement de retrouver les niveaux d’avant 2020, mais de les dépasser en capitalisant sur la diversification, la qualité et la valeur ajoutée des séjours. Si la trajectoire actuelle se confirme, 2025 pourrait bien marquer le début d’un nouveau cycle de prospérité pour l’une des vitrines économiques du pays.

A.B.A

(Source chiffres : document ministère du tourisme.)

EN BREF

  • Le tourisme tunisien confirme son rebond post-crise avec des recettes record et un taux d’occupation en progression.
  • 2024 a marqué un tournant : +12 points de taux d’occupation en deux ans et recettes de 7,5 Md TND.
  • En 2025, les recettes en devises affichent déjà +8,2 % sur sept mois.
  • Le retour des marchés européens, maghrébins et des circuits longs courriers stimule la reprise.
  • Le défi reste qualitatif : diversification des marchés, montée en gamme et rénovation hôtelière.
  • Objectif : dépasser les niveaux de 2019 et installer un cycle durable de croissance.

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QNB – Revue Economique : How will the US economy adjust to its new trade conditions?

Since the end of World War II, trade liberalization and economic integration have been embraced by the more advanced economies as pillars of prosperity and global peace. During this period, global tariffs were gradually brought down and trade barriers were dismantled, facilitated by the rules and mechanisms of the General Agreement on Tariffs and Trade (GATT), and later the World Trade Organization (WTO). Additional boosts to international trade were provided by the integration of former-communist economies into global markets, the proliferation of multilateral agreements, and the economic opening of China.

These developments helped push trade to record highs. In 2008, the sum of exports of all countries reached its peak of 24% of global GDP. But the rapid expansion of global trade flows then came to a sudden halt. The Global Financial Crisis (GFC) represented an abrupt interruption of the positive trend, as major economies entered recession and faced a financial crunch, causing consumer and business demand for goods to plummet. Growth in trade fluctuated sharply in the following years, amid increasing protectionism, geopolitical polarization, and the nationalist “America First” doctrine during the first Trump presidency.

In early April this year, on what has come to be known as “Liberation Day,” President Trump unveiled a sweeping package of tariffs that hit practically all countries. This unprecedented event placed the US at the epicentre of a major global trade shock, and marked the beginning of a period of high economic uncertainty. Countries rushed to put together comprehensive offer packages to soften the initially unyielding position of President Trump. The terms of bilateral negotiations extended beyond tariff levels, and included investment pledges destined to the North American economy, as well as the outright purchase of US goods, spanning from agricultural to energy products.

The conclusion of a first set of negotiations helped moderate uncertainty and discard the extreme case scenarios. Deals were reached with the UK, Japan, Indonesia, Vietnam, the Philippines, and the EU, narrowing the range of potential outcomes for the rest of the world, and slowly uncovering a new “high-tariff world.”  The effective tariff rate (ETR) is a useful measure of the burden imposed on a country’s imports, measuring the average rate of tariffs weighted by the value of imported goods. The latest estimate points to an overall average effective rate of 18.2%, the highest level since the peak of 19.8% in 1933, a period of strongly protectionist policies.

This level of tariffs in the US, together with potential retaliatory tariffs from other countries introduce substantial headwinds to the US growth outlook. In

this article, we discuss the key consequences of the new tariffs for the performance of the US economy.

Tariffs are set to have an impact on prices faced by US households and firms. Typically the “pass-through” effect of tariffs to final prices is not complete, since part of the increase in costs is absorbed via squeezed profit margins of US importers, as well as of foreign producers. Nevertheless, estimates of the final impact on prices are significant, in a range from 0.4 to 2 percentage points (p.p.) in headline inflation. Even in the more optimistic scenarios, the expected increment in final prices represents an important cost for households. As a result, higher tariffs are expected to curb household purchasing power, supressing overall consumption and economic growth.

On the production-side, higher tariffs raise input costs and disrupt supply chains, deteriorating competitiveness and lowering investments. Policy uncertainty and higher costs from tariffs reduce investment, particularly in manufacturing. As a result of higher tariffs, consensus growth expectations for this year have descended sharply, from 2.2% before Liberation Day, to 1.5%. This is a meaningful downgrade on the growth outlook for the US economy as a result of the new high-tariff reality.

Tariffs act as a tax on imports and are therefore a means to generate revenues for the federal government, contributing to reduce the fiscal deficit. According to the most optimistic estimates on the fiscal impact, the new tariffs to date could raise USD 2.3 trillion over the period 2026-35. Although, this is a substantial increase in resources for the government, the negative impact on the economy could diminish other sources of fiscal revenues. Furthermore, it is uncertain if current tariffs would be maintained beyond the end of President Trump’s terms.

All in all, higher tariffs create significant headwinds for the US economic growth outlook, as higher prices reduce household spending, and uncertainty and increased costs affect production and investment.

 

 

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TICAD9 : Sarra Zaafrani Zanzari et Shigeru Ishiba discutent du renforcement des relations

Le renforcement de la coopération tuniso-japonaise a été au centre de l’entretien qu’à eu  vendredi, la cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zanzari et le Premier ministre japonais Shigeru Ishiba, à Yokohama, (au Japon), en marge de la 9ème conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique « TICAD 9 ».

Selon un communiqué publié par la présidence du gouvernement, la cheffe du gouvernement a exprimé l’engagement à  de la Tunisie à surmonter toutes les formalités administratives qui pourraient entrave l’ investissement japonais en Tunisie se félicitant du niveau atteint par la coopération bilatérale.

Elle a également réitéré sa proposition d’organiser dans les meilleurs délais un forum économique tuniso-japonais.

Evoquant la question palestinienne, la présidente du gouvernement a réaffirmé la position de la Tunisie en la matière et son attachement à voir le peuple palestinien à recouvrer  ses droits.

Pour sa part, le premier ministre japonais cité dans le communiqué,  a souligné les efforts déployés par le Japon pour obtenir un cessez-le-feu et aider les Palestiniens à surmonter cette situation difficile.

Il a en outre rappelé l’adoption par la Tunisie et le Japon en 2022  d’une déclaration commune,  servant de cadre général pour  la coopération bilatérale.

La 9ème Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD) a pris fin vendredi à Yokohama au Japon. La Cheffe de gouvernement tunisien,  qui a dirigé la participation tunisienne  à cette conférence, a pris part à  la séance de clôture,  laquelle a été  marquée par l’adoption de la déclaration de Yokohama. Un plan de travail sur trois ans sera adopté pour concrétiser cette déclaration.

Dans la déclaration, les participants ont souligné l’importance de parvenir à  consensus concernant les priorités du développement en Afrique, selon la présidence du gouvernement tunisien.

Le Japon et les pays africains se sont engagés dans la déclaration, à  renforcer la coopération notamment dans les domaines de la santé et, les secteurs à  haute valeur technologique.

Le premier ministre japonais Shigeru Ishiba a réitéré au cours de la séance de clôture, la volonté de son pays  l’ de renforcer sa relation avec l’Afrique soulignant l’importance de l’action commune dans la consolidation des capacités humaines et industrielles du continent.

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BCT – Rapport annuel 2024 : recul des interventions et lancement d’un refinancement à six mois

Les interventions de la Banque Centrale de Tunisie (BCT) sur le marché monétaire ont enregistré une baisse, se situant en moyenne à 13,688 MD en 2024, contre 14.604 MD une année auparavant, selon le rapport annuel de la BCT de l’exercice 2024.

Cette réduction a concerné la quasi-totalité des instruments, notamment, les opérations principales de refinancement (-2.531 MD), les opérations de refinancement à plus long terme d’un mois (-244 MD) et les swaps de change à des fins de politique monétaire (-14 MD).

En revanche, les opérations d’achats fermes ont été renforcées en 2024, augmentant de 1,649 MD. Il est à noter qu’à compter du mois d’octobre 2024, la BCT a introduit un instrument de refinancement à plus long terme de six mois, donnant lieu à une enveloppe annuelle moyenne de 234 MD en 2024.

Les interventions de la BCT ont permis de satisfaire la quasi-totalité des besoins des banques en liquidité, limitant le déficit moyen sur le marché monétaire, à 176 MD au cours de l’année 2024, contre 293 MD une année auparavant.

Ce rapport a été remis, le 20 août 2025, par le Gouverneur de la BCT, Fethi Zouhair Nouri, au président de la République, Kaïs Saïed.

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FIC2025 : un final en beauté grâce à la diva du Golfe, Ahlam

Les projecteurs du grand Théâtre antique de Carthage se sont allumés une dernière fois, dans la soirée du jeudi 21 août 2025, pour auréoler la clôture de la 59ème édition du Festival international de Carthage (FIC). Dans cette arène millénaire, chargée d’histoire et de mémoire, la star du Golfe, la chanteuse émiratie Ahlam, a signé son grand retour après vingt-huit ans, depuis sa première apparition en 1997. Un retour exceptionnel et des retrouvailles marquantes, portés par le dernier concert de cette édition, qui restera comme l’un des moments phares de la saison estivale 2025.

Plus qu’un simple spectacle, la soirée s’est transformée en un hommage vibrant : hommage à la Tunisie, à l’amphithéâtre romain de Carthage et à ce public fidèle qui, en 1997, avait accueilli la jeune chanteuse avec chaleur et bienveillance, contribuant à lancer une carrière aujourd’hui couronnée de gloire. “Carthage restera toujours le point de départ de mon parcours” s’est confiée Ahlam avec émotion, avouant que c’est cette scène mythique qui l’a propulsée vers la célébrité.

De sa voix puissante et nuancée, portée par une spontanéité et une générosité captivantes, l’artiste, accompagnée de sa troupe sous la direction du maestro Walid Fayed, a su instaurer une véritable complicité avec son public. Entre gestes empreints de délicatesse, mots chargés de reconnaissance et extraits soigneusement choisis de son vaste répertoire, elle a chanté l’amour, la loyauté, la nostalgie et la beauté. Passant avec aisance des ballades douces aux morceaux plus rythmés, Ahlam a enchainé avec “Tedri Lich”, reprise en chœur par l’auditoire, tout en improvisant un refrain vibrant, dédié à la Tunisie et à son amour pour ce pays.

Virevoltant sur scène, Ahlam a, durant plus de deux heures et demie, su surprendre en mêlant ses propres succès à des chansons profondément ancrées dans la mémoire collective tunisienne. Ainsi, avec des morceaux comme “Ghanni li chouwaya chouwaya” ou encore “koul alaya ma tkoul” ont suffi pour faire monter crescendo le public, doublement ravi par son interprétation en dialecte tunisien de “Megyess” de Zied Gharsa ou encore du classique du patrimoine musical “Ya Khlila”. Le tout était sublimé par des tableaux chorégraphiques folkloriques qui ont transformé la soirée en une véritable aubaine festive.

Diffusé en direct sur les chaînes MBC et El Wataniya, ce concert n’a pas seulement clos une édition mais il a ravivé l’essence du Festival international de Carthage : un lieu où artistes et public se rejoignent dans l’éclat d’instants partagés. Avec Ahlam, le festival s’est ainsi clôturé par une soirée spéciale, terminant la 59ème édition sur une note de nostalgie, de mémoire et de gratitude tout en éveillant déjà la curiosité autour de la 60ème édition-anniversaire appelée à être à la hauteur de ce rendez-vous estival d’exception en Tunisie.

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Tunisie : TMM stable, TMP aligné sur le taux directeur et liquidité interbancaire améliorée

L’année 2024 s’est caractérisée par une relative stabilité du Taux Moyen Mensuel du Marché Monétaire (TMM), évoluant au voisinage du taux directeur (TD) maintenu à 8%, souligne le rapprot annuel 2024 de la Banque Centrale de Tunisie (BCT).

En effet, le TMM a débuté l’année à 7,98%, avant de remonter à 7,99% à partir du mois de juillet 2024, niveau auquel il s’est stabilisé jusqu’à la fin de l’année. Cette stabilité reflète un équilibre soutenu des conditions monétaires, aligné sur les orientations de la politique monétaire (Cf. Graph 1-14).

Parallèlement, le Taux Moyen Pondéré (TMP) de l’OPR a affiché une tendance stable sur toute l’année 2024, évoluant systématiquement autour du taux directeur avec une moyenne annuelle de 8,01%, précise la même source.

S’agissant des transactions interbancaires, le rapport souligne que la tendance haussière du volume observée au cours des dernières années s’est confirmée en 2024, tant sur le marché en blanc que sur celui des pensions livrées, annonçant que l’encours mensuel moyen sur le marché en blanc a enregistré en 2024 une croissance significative de 30,1% par rapport à 2023.

Cette dynamique a été principalement portée par les opérations à vue, dont l’encours moyen a progressé de 47,6%, atteignant 1.683 MDT contre 1.140 MDT une année auparavant. Parallèlement, les transactions à terme ont connu une légère contraction de 7,4%, revenant de 532 MDT à 493 MDT.

Cette évolution témoigne d’une consolidation progressive du marché interbancaire en blanc, marquée par une préférence accrue pour les opérations à vue, précise la même source.

L’analyse de la structure de l’encours annuel moyen des opérations interbancaires en blanc durant l’année 2024 met en évidence une consolidation de la prédominance des transactions au jour le jour.

Celles-ci représentent 77,4% de l’encours global des transactions interbancaires en blanc, contre 68,2% en 2023, soit une augmentation de 9,2%. En parallèle, une diminution de l’encours moyen des opérations à terme a été observée pour la majorité des échéances.

Les échanges à une semaine ont notamment enregistré une baisse significative, leur part dans l’encours total des transactions en blanc étant revenue de 6,1% en 2023 à moins de 0,8% en 2024.

Une tendance similaire a été constatée pour les opérations à un mois, dont la part s’est située à 14,1% en 2024 contre 17,7% l’année précédente.

Seules les transactions à deux mois ont connu une légère progression, leur part a augmenté de 1,9% à 3,2%.

L’encours moyen des opérations interbancaires en blanc s’est établi à 16,6%, en moyenne, par rapport au VGR (volume global du refinancement des banques auprès de la BCT), contre 11,3% l’année précédente, ce qui témoigne d’un allégement de la dépendance des banques à l’égard des ressources de refinancement de la Banque Centrale, associé à une situation de liquidité relativement favorable sur le marché interbancaire.

Au cours de l’année 2024, l’encours moyen des transactions interbancaires en blanc a connu une augmentation notable, culminant à 3.450 MDT à la clôture de l’année. Cette dynamique a entraîné une hausse du ratio “encours moyen des transactions en blanc/VGR”, qui a atteint son niveau le plus élevé des cinq dernières années, s’établissant à 32,6%.

Cette évolution reflète, selon le rapport, une amélioration notable des conditions de liquidité sur le marché interbancaire, ainsi qu’une réduction de la pression sur les mécanismes de refinancement de la Banque Centrale .

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BCT : la croissance économique tunisienne soutenue par l’agriculture et le tourisme en 2024

Dans une conjoncture économique internationale complexe et instable, la Tunisie a poursuivi ses efforts de stabilisation macroéconomique en renouant avec une croissance modérée (+1,4%), après une stagnation en 2023, a déclaré le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie (BCT) Fathi Nouri, c’est ce qu’écrit le gouverneur de la BCT, Marouane El Abassi dans son mot d’ouverture du rapport annuel de l’Institut d’émission pour l’année 2024.

Et d’expliquer que ce résultat est soutenu, essentiellement, par une bonne campagne agricole, suite à l’amélioration des conditions climatiques, ainsi que par la performance du secteur des services marchands notamment le tourisme.

Cette évolution a pu, en fait compenser la contre-performance du secteur industriel, qui a subi les effets de l’affaiblissement de l’activité manufacturière dans la Zone Euro et les difficultés du secteur extractif, précise Nouri, ajoutant que l’activité économique a été essentiellement tirée par la demande intérieure, qui a constitué le principal moteur de la croissance, grâce à la vigueur de la consommation privée et la reprise de l’investissement malgré l’effet négatif exercé par la demande extérieure en relation avec le ralentissement des économies des principaux partenaires commerciaux dans la Zone Euro.

Pour le gouverneur, ce rythme de croissance économique reste toutefois insuffisant pour absorber le chômage, dont le taux a légèrement reculé à 16% au terme du troisième trimestre de 2024 (contre 16,4 % au terme de 2023).

S’agissant du secteur extérieur, l’année 2024 a été marquée par la poursuite de la maîtrise du déficit courant, revenant à -2.425 MDT, soit -1,5% du PIB contre -2,2% un an plus tôt, a-t-il rappelé. Et d’ajouter que cette amélioration est attribuable à la performance des secteurs pourvoyeurs de devises, notamment la consolidation des recettes touristiques et des transferts des travailleurs tunisiens à l’étranger.

En revanche, le déficit de la balance commerciale (FOB-CAF) s’est creusé d’environ 11% par rapport à 2023, traduisant un regain des importations contre une stagnation des exportations en dépit de l’accroissement des recettes d’exportation générées par le secteur oléicole, a–il encore indiqué.

La bonne tenue des principaux indicateurs du compte courant de la balance des paiements a permis de reconstituer le stock des avoirs en devises qui se sont situés à 27,3 milliards de dinars au terme de l’année 2024, soit l’équivalent de 121 jours d’importation (contre 120 jours une année auparavant) et ce, malgré la forte augmentation des dépenses au titre des remboursements du service de la dette extérieure à long terme. En conséquence, le taux de change du dinar vis-à-vis des principales devises a connu une quasi-stabilité.

S’agissant des finances publiques, le gouverneur rappelle que le déficit budgétaire hors privatisations et dons a connu une contraction, revenant à 6% du PIB en 2024 (contre -7,6% en 2023).

Cette consolidation budgétaire témoigne d’une gestion plus rigoureuse des dépenses budgétaires combinée à un accroissement des recettes propres de l’Etat favorisé par la reprise de l’activité économique. De son côté, le taux d’endettement public a baissé de 3,4 points de pourcentage pour revenir à 81,2% du PIB contre 84,6% une année auparavant.

Concernant les prix à la consommation, le taux d’inflation s’est progressivement replié pour s’établir à 6,2%, en glissement annuel, à fin 2024, contre 8,1% un an plus tôt. Le taux d’inflation annuel moyen est revenu pour sa part à 7% contre 9,3%, en 2023. Selon Nouri, cette détente porte, surtout, la marque de la baisse des prix des produits de base sur les marchés internationaux conjuguée à la quasi-stabilité du taux de change du dinar, de même que l’impact de la politique monétaire restrictive sur la demande.

Malgré la poursuite progressive de ce processus désinflationniste, le contexte international est demeuré marqué par des risques haussiers sur les prix incitant la BCT à mener une politique monétaire prudente en maintenant son taux d’intérêt directeur à 8% tout au long de l’année 2024.

Sur un autre volet, la BCT a poursuivi, au cours de l’année 2024, la mise en œuvre de son deuxième plan stratégique (2023-2025), en consolidant les efforts de pilotage et de suivi des projets, tout en veillant à leur alignement avec les Sur un autre volet, la BCT a poursuivi, au cours de l’année 2024, la mise en œuvre de son deuxième plan stratégique (2023-2025), en consolidant les efforts de pilotage et de suivi des projets, tout en veillant à leur alignement avec les Rapport Annuel 2024. Cette dynamique s’est concrétisée, notamment, par l’achèvement du projet stratégique de ” mise en place d’un dispositif de management et de l’innovation de la BCT”.

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Tunisie : CMF et OECT lancent un plan d’action pour renforcer la transparence et la gouvernance financière

Le Conseil du Marché Financier (CMF) et l’Ordre des Experts Comptables de Tunisie (OECT) se sont accordés sur un plan d’action commun, et ce, dans le cadre du renforcement de la transparence, la bonne gouvernance et la protection des épargnants.

Les deux parties ont convenu la publication d’une note d’orientation, mettant en relief les diligences spécifiques et particulières de l’audit des intermédiaires en bourse par l’OECT.

Il s’agit également de la mise en place d’actions conjointes de sensibilisation et de formation et la coordination entre les deux institutions afin d’assurer une supervision intégrée et proactive du secteur et du marché financier.

Ces décisions ont été prises dans le cadre d’une réunion consacrée, vendredi, aux particularités de l’audit des sociétés d’intermédiation en bourse et aux diligences réglementaires spécifiques s’y rattachant.

À travers cette coopération, le CMF et l’OECT affirment leur détermination à préserver l’intérêt public, notamment à travers la consolidation de la fiabilité de l’information financière, le renforcement de la confiance des investisseurs et le soutien de l’attractivité de la place financière tunisienne.

Les deux institutions ont rappelé que la qualité de l’information financière et la qualité de l’audit constituent deux piliers essentiels du bon fonctionnement des marchés de capitaux. Elles ont souligné, à ce titre, le rôle central des commissaires aux comptes, dans le cadre de l’exercice de leurs missions conformément aux normes d’audit, aux règles d’éthique professionnelle et à la réglementation en vigueur, particulièrement auprès des intermédiaires en bourse, entités d’intérêt public.

Cette réunion a permis de mettre l’accent sur les principaux axes du plan d’action du CMF, à savoir le renforcement de la transparence et de l’accès à l’information, à travers la publication, sur le site du CMF, des états financiers arrêtés au 31 décembre 2025 des intermédiaires en bourse et des sociétés de gestion, accompagnés des rapports des commissaires aux comptes.

Il s’agit également de la mise en place d’un référentiel comptable sectoriel élaboré en concertation avec le Conseil National de la Comptabilité, l’OECT et les acteurs du marché, afin de tenir compte de la nature particulière des activités des intermédiaires en bourse, d’améliorer la fiabilité et la comparabilité de l’information financière et de consolider les exigences du contrôle interne.

Le plan en question porte également sur la consolidation de la coopération institutionnelle notamment avec l’OECT et les autres instances de contrôle en vue de mettre en place un dispositif global de prévention et de surveillance et la mise en œuvre d’un programme d’inspections ciblées portant en particulier sur la gestion par les sociétés d’intermédiation en bourse des avoirs des clients, le respect des règles prudentielles et l’efficacité des dispositifs de contrôle interne.

Ces inspections contribueront à une supervision intégrée et proactive du secteur, a-t-on ajouté.

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Mornag : plus de 3 MD pour la modernisation du réseau routier en 2025

La municipalité de Mornag, relevant du gouvernorat de Ben Arous, bénéficiera prochainement d’un renforcement notable de ses infrastructures routières, suite à l’approbation du financement d’un projet de réaménagement du réseau routier local, d’un montant dépassant les 3 millions de dinars.

Ce financement a été accordé à la municipalité par la Caisse de prêts et de soutie des collectivités locales, qui a intégré le projet dans la liste des interventions retenues au titre de la deuxième tranche du Programme de modernisation des routes municipales pour l’année 2025.

Selon Aziz Ben El Akhdar, député de la région, une enveloppe de 3,125 millions de dinars a été alouée pour la réalisation de ce projet qui vise à améliorer les conditions de mobilité au sein du périmètre municipal, à traiter les points noirs du réseau routier, et à consolider les infrastructures existantes.

Le projet comprend notamment la réhabilitation des trottoirs, l’entretien des réseaux d’évacuation des eaux pluviales, ainsi que la mise à niveau des dispositifs de sécurité routière sur les tronçons concernés.

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Tunisie : la rentrée de la formation professionnelle démarre le 17 septembre 2025 avec plus de 23 600 offres

“La nouvelle année de formation démarre le 17 septembre 2025 a indiqué la directrice de communication et d’information à l’agence tunisienne de la formation professionnelle Feten Adsi.

Ella a précisé que la session de l’automne 2025 a enregistré une augmentation de 6,53 des offres de formation par rapport à l’année 2024 soit 23 623 offres contre 22 174 au cours de l’année écoulée.

Adsi a souligné dans une déclaration à la TAP que cette hausse reflète la dynamique du système de la formation professionnelle et sa capacité à s’adapter aux besoins du marché de l’emploi, grâce à une méthodologie adoptée en matière de suivi et de mise à jour des programmes de formation basée sur des données réelles, et les spécificités régionales et sectorielles.

De nouvelles spécialités dans plusieurs centres de formation:

La directrice de communication a affirmé que la session de l’automne 2025 se caractérise par le lancement de nouvelles spécialités, dont une nouvelle spécialité au centre des métiers de l’aéronautique El Imtiyez (Mghira) et la relance de deux spécialités au centre de Bousalem et deux autres au centre des métiers traditionnels à Douz, outre 6 nouvelles spécialités au centre de formation de Kébili.

De nouvelles spécialités ont été introduites dans les centres de formation professionnelle actifs tels que le centre de la fille rurale à Balta Bouaouane (9) le centre du Kef (2) le centre Sers (2) le centre sectoriel des industries électroniques à Tunis (2) le centre sectoriel de formation en habillement (3) et le centre de Djerba. La liste comprend également les centres de Bouhajla, Sidi Mansour, Korba, Gafsa Aguila, Siliana et Sbeitla.

Une plateforme numérique pour l’inscription à distance:

Adsi a relevé que la plateforme numérique est le seul mécanisme utilisé pour l’inscription à distance dans les différents centres de formation, précisant que les opérations d’inscription ont démarré le 22 juin 2025 et sont ouvertes dans la limite des places disponibles.

Elle a ajouté que l’agence s’emploie à parachever les différentes unités du système numérique couvrant tout le cursus de la formation professionnelle à partir de l’inscription jusqu’à l’obtention des diplômes y compris la numérisation des demandes administratives déposées par les apprenants, le suivi pédagogique, le logement, la subsistance et l’évaluation.

Création de nouvelles unités d’hébergement et de restauration au cours de la nouvelle année de formation professionnelle:

La directrice de communication à l’agence nationale de formation a annoncé la création prochainement de 6 nouveaux foyers. Elle a souligné que le nombre total des foyers atteindra 83 avec une capacité de 1200 lits, dans les centres de formation de Djerba, de Sidi Mansour, de Bousalem, de Kébili, de Mahdia et de Téboulba, outre la création de 8 nouveaux restaurants, pour atteindre un nombre global de 87.

Evoquant les travaux de maintenance et de réhabilitation, elle a souligné que l’agence nationale a prévu de soutenir les établissements de formation avec une aide financière pour la réalisation des travaux de maintenance, ainsi que la publication d’un guide pratique pour la réhabilitation des réseaux techniques de manière périodique et la remise d’équipements informatiques et des imprimantes afin de promouvoir les services de formation.

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Haltérophilie : la Tunisie décroche 30 médailles dont 12 en or aux Championnats d’Afrique cadets et juniors

La Tunisie a clôturé sa participation aux Championnats d’Afrique d’haltérophilie cadets et juniors (filles et garçons) disputés à Accra, au Ghana, avec un total de 30 médailles dont 12 en or.

Khalil Jaouadi a offert ses trois dernières médailles à la Tunisie à l’occasion de la dernière journée des épreuves, disputée jeudi. Jaouadi (-110 kg) a décroché trois médailles d’argent chez les juniors.

Peu avant, la tunisienne Zaineb Naoui avait remporté six médailles: trois breloques d’or dans la catégorie cadettes (+77 kg) et trois d’argent dans la catégorie juniors (86 kg), portant.

Mercredi, Ghofrane Ghrissa avait raflé trois médailles d’or dans la catégorie cadettes (U17) chez les -77 kg.

Mardi, Eya Hosni avait également décroché trois médailles d’or dans la catégorie juniors (-63 kg).

La même journée a été marquée par les performances d’Idriss Werthi, qui a remporté trois médailles d’argent chez les juniors (-60 kg), et d’Eya Ghali (-69 kg), qui a raflé six breloques d’argent (trois chez les cadettes et trois autres chez les juniors).

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Bourse Tunis : échanges modestes à 33,3 MD, PGH valeur la plus dynamique

Le marché a terminé, la semaine du 18 au 22 août, sur une note morose. L’indice de référence a glissé de 0,2 % à 11820,6 points, ramenant sa performance annuelle à +19,5 %, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Les échanges de la semaine ont été relativement modestes, cumulant une enveloppe de 33,3 MD, soit un flux moyen quotidien de 6,7 MD. Notons la réalisation d’une transaction de bloc sur le titre POULINA GROUP HOLDING, portant sur un flux de 5 MD.

Analyse des valeurs

Le titre TUNISIE LEASING & FACTORING s’est offert la palme des hausses. L’action du leaseur s’est envolée de 15,1 % à 34,590 D, en drainant des échanges de 1,7 MD.

Le titre SOTUMAG semble avoir retrouvé les faveurs des investisseurs. L’action du gestionnaire du marché de gros s’est adjugée une progression de 6,6 % à 8,740 D. La valeur a été transigée à hauteur de 940 mille dinars sur la semaine.

Le titre BH LEASING a accusé la plus forte correction à la baisse de la semaine. L’action du loueur adossé au groupe BH a dévissé de 11,3 % à 4,170 D. La valeur a brassé un flux très réduit de 12 mille dinars sur la semaine.

Le titre DELICE HOLDING a figuré parmi les plus grands perdants de la semaine. L’action a reculé de 8,9 % à 11,8 D, en animant le marché avec un volume de 1,3 MD.

PGH a été la valeur la plus dynamique de la semaine. L’action du holding a fait sur surplace à 15,240 D, en alimentant le marché avec des capitaux de près de 6 MD.

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La Bourse de Tunis termine sur une note positive, TLF valeur vedette

Le marché a terminé la séance du vendredi sur une note d’optimisme. Le benchmark a signé une avancée de 0,23 % à 11820,6 points, dans un modeste volume de 5,8 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre NEW BODY LINE s’est offert la palme d’or. Sans faire l’objet de transactions, l’action du spécialiste des vêtements intelligents a inscrit une progression de 4,6 % à 4,560 D.

Le titre SOTIPAPIER a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action du producteur du papier Kraft et Test liner a affiché une embellie de 2,8 % à 3,340 D. Les échanges sur le titre ont été faibles, se montant à 19 mille dinars.

Le titre BH LEASING a essuyé la plus forte baisse de la séance. Dans un flux très réduit de 9 mille dinars, l’action du leaseur a reculé de 4,1 % à 4,170 D.

Le titre TAWASOL GROUP HOLDING n’a pas fait bonne figure sur le marché. L’action du holding s’est pliée de 2,9 % à 0,660 D. La valeur a brassé un volume limité de 49 mille dinars sur la séance.

TUNISIE LEASING & FACTORING a été la valeur vedette de la séance. L’action a terminé sur une note positive (+2 % à 34,590 D) en alimentant le marché avec des capitaux de 1MD.

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Challenger Hersonissos : Moez Chargui file en finale après sa victoire contre Robin Bertrand

Le joueur de tennis tunisien Moez Chargui (191e mondial), s’est qualifié pour la finale du tournoi Challenger 4 d’Hersonissos en Grèce après sa victoire ce vendredi contre le Français Robin Bertrand (315e), en eux sets (6-4, 6-1).

En finale, Chargui affrontera samedi le Français Dan Added (286e). Il s’était qualifié pour le dernier carré, la veille, en battant en quarts l’Allemand Mats Rosenkranz (352e) en deux sets (7-6, 6-3).

Le tunisien s’était imposé en huitièmes face au Grec Pavlos Tsitsipas (960e mondial) en trois sets (4-6, 6-4, 6-2).

Il avait, rappelle-t-on, remporté le challenger de Porto, le 3 août en cours, avant d’être sacré à Monastir le 10 du même mois.

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Tunisie : partenariat stratégique entre l’OIM et l’INTES pour renforcer la recherche sur la migration

L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Tunisie et l’Institut national du travail et des études sociales (INTES) ont signé mercredi dernier, un accord de partenariat stratégique afin de renforcer les liens entre recherche académique et action sur le terrain.

Selon un communiqué de l’OIM, l’accord porte sur l’organisation conjointe de l’École d’Été sur la Migration, la réalisation d’études et recherches communes et l’implication d’experts de l’OIM dans certaines formations.

Ce partenariat témoigne d’une volonté partagée de faire de la recherche et de la coopération des leviers pour mieux comprendre et accompagner les dynamiques migratoires, ajoute le communiqué.

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