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Top 3 des marchés des dattes tunisiennes

Les recettes d’exportation des dattes tunisiennes ont enregistré, depuis le début de la campagne en octobre 2024 jusqu’à fin juillet 2025, une baisse de 3,5% pour s’établir à 809,6 millions de dinars (MD) par rapport à la même période de la campagne précédente, selon les données publiées vendredi par l’ONAGRI.

Les quantités de dattes exportées ont atteint 127,2 mille tonnes, soit une diminution de 5,7%. En revanche, le prix moyen observé à fin juillet 2025 a augmenté de 2,3%, s’élevant à 6,36 D/kg contre 6,22 D/kg à la même date en 2024.

En termes de destination, l’Italie demeure le principal marché des dattes tunisiennes en juillet 2025, avec 12,6% des quantités exportées, suivie par l’Allemagne et l’Espagne, respectivement à 11,5% et 9%.

Pour les produits à base de dattes biologiques, les exportations ont atteint, durant les dix premiers mois de la campagne 2024/2025, 7 639,8 tonnes d’une valeur de 66,5 MD, avec un prix moyen de 8,70 D/kg. Ces produits représentent 6% du volume total et 8,2% de la valeur des exportations de dattes tunisiennes. L’Allemagne constitue le principal marché des dattes biologiques avec 31% des quantités exportées, suivie par la Belgique et les Pays-Bas, avec respectivement 13% et 11%.

Ouafa Kourdaa : la première Tunisienne à diriger TotalEnergies Marketing Tunisie

TotalEnergies Marketing Tunisie annonce la nomination de Ouafa Kourdaa au poste de directrice générale, succédant à Mutaz Nazzal. Cette nomination marque un jalon important pour le leadership féminin dans le secteur de l’énergie en Tunisie.

Forte de plus de 12 ans d’expérience au sein de TotalEnergies, Ouafa Kourdaa a occupé plusieurs postes stratégiques, dont vice-présidente de la stratégie d’entreprise, responsable du développement commercial du réseau autoroutier en France et responsable des stations-service. Elle a également travaillé comme consultante principale chez Capgemini, spécialisée dans la stratégie de croissance, la transformation d’entreprise et la gestion de projet.

Diplômée de l’ESCP Business School et formée à l’Institut des Hautes Études de l’Entreprise (IHEE), elle combine rigueur analytique et leadership de proximité. Dans son discours inaugural, elle a souligné l’importance des partenariats durables et des relations humaines, affirmant : « Ce sont des partenariats de longue date qui se transforment en amitié ; c’est la beauté des relations humaines que nous tissons au quotidien. »

Sous sa direction, TotalEnergies Marketing Tunisie entend consolider ses partenariats, améliorer l’excellence opérationnelle et renforcer son ancrage local, tout en poursuivant une dynamique de croissance et d’innovation.

Cette nomination est également un signal fort pour la promotion du leadership féminin dans le secteur énergétique en Tunisie, soulignant la capacité des professionnelles tunisiennes à occuper des postes stratégiques à haute responsabilité.

Le brut russe coule à flots vers la Chine

Cette décision interviendrait dans un contexte de baisse des achats indiens à la suite des menaces de droits de douane de Trump.

Les raffineries de pétrole chinoises ont augmenté leurs importations de brut russe après que l’Inde a réduit ses achats sous la pression tarifaire américaine, rapporte CNN, citant des analystes.

La Chine et l’Inde sont devenues les principaux acheteurs de pétrole russe après que les sanctions occidentales ont frappé Moscou à la suite de la guerre contre l’Ukraine.

À rappeler que Donald Trump a récemment imposé un droit de douane de 25% sur les importations indiennes, lequel tarif entre en vigueur le 27 août, invoquant la poursuite des échanges pétroliers entre New Delhi et la Russie, en plus d’un droit de 25% précédemment imposé après l’échec des négociations commerciales entre les deux pays. Cette nouvelle mesure aurait conduit les raffineurs publics indiens à suspendre temporairement leurs importations du brut russe, qui représentaient auparavant 36% de l’approvisionnement national.

Muyu Xu, analyste principal du pétrole brut chez Kpler, a déclaré à CNN que les raffineurs publics et privés chinois ont acheté environ 13 cargaisons de pétrole brut russe pour octobre et au moins deux pour novembre, qui seront expédiées depuis les ports russes de l’Arctique et de la mer Noire, des itinéraires qui desservent habituellement l’Inde.

Xu a qualifié cette décision d’« opportuniste », citant la réduction de 3 dollars le baril de brut russe par rapport aux alternatives moyen-orientales, et a prédit que la Chine continuerait probablement d’accroître ses importations, Trump continuant d’ exercer une forte pression sur l’Inde. Bien que Trump ait déclaré qu’il pourrait également imposer des droits de douane à la Chine pour ses achats de pétrole russe, il a dernièrement affirmé qu’il n’envisageait pas cette option dans l’immédiat…

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ONAGRI : Recul de 5,7% des quantités exportées de dattes tunisiennes en 2025

Les recettes d’exportations des dattes tunisiennes, depuis le début de la campagne en octobre 2024 à fin juillet 2025, ont baissé de 3,5% à 809,6 millions de dinars(MD) par rapport à la même période de la campagne précédente, d’après les données publiées, vendredi, par l’ONAGRI.

D’après la même source, les quantités de dattes exportées ont atteint 127,2 mille tonnes, soit une diminution de 5,7%.

Le prix moyen observé, à fin juillet 2025, a augmenté de 2,3%, soit 6,36 D/kg contre 6,22 D/kg enregistré à fin juillet 2024.

En termes de destination, l’Italie est la principale destination des dattes tunisiennes, au cours du mois de juillet 2025, avec 12,6% des quantités exportées suivi par l’Allemagne et l’Espagne avec respectivement 11,5% et 9%.

Durant les dix premiers mois de la campagne 2024/2025, les exportations des produits des dattes biologiques ont atteint 7639,8 tonnes d’une valeur de 66,5 MD avec un prix moyen de 8,70 D/kg.

Leur part dans le total des exportations de dattes tunisiennes est de 6% et 8,2% respectivement, en termes de quantité et de valeur.

L’Allemagne est la principale destination des produits de dattes biologiques avec 31% des quantités exportées, suivie par la Belgique et les Pays-Bas avec respectivement 13% et 11%.

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Les dattes s’exportent moins bien cette année

Les dattes s’exportent moins bien cette année | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Agriculture) – Les recettes d’exportations des dattes tunisiennes, depuis le début de la campagne en octobre 2024 à fin juillet 2025, ont baissé de 3,5% à 809,6 millions de dinars (MDt) par rapport à la même période de la campagne précédente, d’après les données publiées, vendredi, par l’ONAGRI.

D’après la même source, les quantités de dattes exportées ont atteint 127,2 mille tonnes, soit une diminution de 5,7%. Le prix moyen observé, à fin juillet 2025, a augmenté de 2,3%, soit 6,36 D/kg contre 6,22 D/kg enregistré à fin juillet 2024. En termes de destination, l’Italie est la principale destination des dattes tunisiennes, au cours du mois de juillet 2025, avec 12,6% des quantités exportées suivi par l’Allemagne et l’Espagne avec respectivement 11,5% et 9%.

Durant les dix premiers mois de la campagne 2024/2025, les exportations des produits des dattes biologiques ont atteint 7639,8 tonnes d’une valeur de 66,5 MD avec un prix moyen de 8,70 D/kg. Leur part dans le total des exportations de dattes tunisiennes est de 6% et 8,2% respectivement, en termes de quantité et de valeur.

L’Allemagne est la principale destination des produits de dattes biologiques avec 31% des quantités exportées, suivie par la Belgique et les Pays-Bas avec respectivement 13% et 11%.

Pommes de Sbiba: Récolte de 12 mille tonnes de plus que l’année dernière!!!

Pommes de Sbiba: Récolte de 12 mille tonnes de plus que l’année dernière!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Agriculture) – La récolte de pommes au gouvernorat de Kasserine devrait enregistrer une hausse, cette année, pour atteindre 62 mille tonnes contre 50 mille tonnes pendant la dernière saison.

Le directeur régional au développement agricole, Amor Saadaoui a indiqué à l’Agence TAP que la campagne de cueillette de pommes a démarré, à la mi-août, ajoutant que le prix de vente au kilo varie entre 1,5 et 3 dinars.

Une superficie de 10,8 mille ha est consacrée à la culture de pommes dans le gouvernorat de Kasserine où les délégations de Foussana et Sbiba assurent 80% de la production.

Quelque 137 centres de collecte d’une capacité de 54 mille tonnes y sont disponibles dans la région pour le stockage de la récolte.

Bizerte accueille le 8e Forum mondial de la mer

La huitième édition du Forum mondial de la mer, qui se tiendra à Bizerte le 12 septembre 2025, aidera à définir des stratégies pour une Méditerranée plus durable.

Sous le thème «De Nice à Bizerte : où en est la Méditerranée ?», le forum vise à sensibiliser à l’urgence de protéger l’équilibre écologique et environnemental de nos mers, conformément aux orientations définies lors du Sommet Océan de Nice, rapporte l’agence de presse Tap.

L’événement, organisé par La Saison Bleue, réunira institutions, universitaires, associations et chercheurs pour discuter de solutions et de stratégies visant à garantir une Méditerranée plus propre, protégée et plus durable.

Une attention particulière sera accordée au développement de l’«économie bleue» et à la conservation de la biodiversité marine, piliers essentiels d’un avenir équilibré pour la région.

Le Forum abordera également la question de la pollution plastique, l’un des fléaux de la Méditerranée. Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature, le bassin méditerranéen reçoit environ 220 000 tonnes de déchets plastiques chaque année, un flux qui pourrait doubler d’ici 2040 si des mesures concrètes ne sont pas mises en œuvre. Cependant, le rapport de l’association souligne que l’adoption de normes internationales dans seulement 100 villes côtières de la région pourrait réduire cette pollution de 50 000 tonnes par an, offrant ainsi un espoir concret pour un avenir meilleur.

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La Tunisie lance une application pour la sélection des projets d’investissement

Le ministère de l’Économie et de la Planification a officiellement lancé, au mois de juillet dernier, l’application logicielle Tartib 2.0, conçue pour évaluer, prioriser et sélectionner les projets d’investissement public à inclure dans le budget de l’État.

L’atelier de lancement de l’application, réalisée avec l’appui de la Banque mondiale, a été présidé par le directeur de cabinet du département de tutelle et a réuni des représentants des ministères sectoriels, ainsi que des représentants des partenaires techniques et financiers impliqués dans cette initiative.

À partir de 2026, a expliqué le ministère dans un communiqué, tous les ministères sectoriels seront tenus d’utiliser l’application Tartib 2.0 pour inscrire leurs nouveaux projets d’investissement public au budget de l’État.

Le lancement de Tartib 2.0 s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du cadre unifié d’évaluation et de gestion des investissements publics, formalisé par le décret n° 2017-394, qui a institutionnalisé un Comité national d’approbation des projets publics. Ce comité, présidé par le ministère de l’Économie et de la Planification, dispose désormais d’un outil d’aide à la décision performant et convivial pour la sélection des projets à inclure dans le budget de l’État.

Tartib 2.0 s’inscrit dans un processus de digitalisation de la gouvernance publique visant à améliorer l’efficacité et la transparence de la gestion des investissements publics. L’application fiabilise chaque étape du processus, en s’appuyant sur un flux décisionnel cohérent avec le cadre unifié d’évaluation et de gestion des investissements publics. Son objectif est de faciliter la sélection des projets offrant la meilleure qualité de préparation et le plus grand potentiel d’impact sur le développement durable de la Tunisie.

Tartib 2.0 intègre une méthode de priorisation des projets d’investissement basée sur une grille d’analyse multicritère structurée autour de différentes composantes : qualité de préparation, impact économique, impact social, impact environnemental et climatique, et impact transversal. Chaque composante est déclinée en critères et indicateurs, permettant de déterminer le potentiel du projet grâce à une note pondérée. Cette note est ensuite améliorée en fonction des priorités géographiques et sectorielles du gouvernement. Cette méthode est le fruit d’un processus participatif impliquant les principaux acteurs de la gestion des investissements publics.

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L’or chute avant le discours de Powell à Jackson Hole

Les prix de l’or ont chuté jeudi 21 août alors que le dollar se renforçait, tandis que les investisseurs attendaient le discours du président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, lors du symposium de Jackson Hole pour obtenir des indices sur l’orientation de la politique américaine.

Le cours de l’or au comptant a chuté de 0,19% à 3 382,10 $ l’once. Les contrats à terme sur l’or ont clôturé mercredi en baisse de 0,2% à 3 386,50 $.

L’indice du dollar américain a augmenté de 0,4%, ce qui rend l’or libellé en dollars américains cher pour les acheteurs étrangers.

Powell devrait s’exprimer ce vendredi lors du symposium de Jackson Hole sur les perspectives économiques et la position de la Fed sur la politique monétaire.

Par ailleurs, le nombre d’Américains demandant des allocations chômage a fortement augmenté la semaine dernière, marquant la plus forte augmentation en près de trois mois.

Pendant ce temps, le ministère américain de la Justice prévoit d’enquêter sur la gouverneure de la Fed, Lisa Cook, pour des allégations de fraude hypothécaire, un haut responsable exhortant le président Jerome Powell à la retirer du conseil d’administration, selon un rapport de Bloomberg News publié jeudi.

Le cabinet de recherche BMI de Fitch Solutions a révisé mercredi à la hausse de 150 dollars ses prévisions de prix de l’or pour 2025, à 3 250 dollars l’once.

« Les prix resteront élevés dans les semaines à venir, le marché se préparant à une baisse des taux de la Réserve fédérale américaine en septembre. Même dans ce cas, nous pensons que le potentiel de hausse de l’or après la baisse des taux sera limité, car la majeure partie de son cours est déjà intégrée », a déclaré BMI dans une note.

Le prix spot de l’argent a augmenté de 0,6% à 38,10 $ l’once, le platine a augmenté de 1,1% à 1 354,20 $ et le palladium a chuté de 0,6% à 1 107,41 $.

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Plan de développement 2026-2030 : l’immobilier public au cœur de la stratégie du ministère des Domaines de l’État

Le rapport sur la politique publique du ministère des Domaines de l’Etat et des Affaires Foncières inscrit dans le cadre du plan de développement quinquennal 2026-2030 devrait refléter la nouvelle approche sur laquelle travaille le département ministériel afin de valoriser le rôle social et économique de l’immobilier de l’Etat, a souligné jeudi le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires Foncières Wajdi Hedhili.

Il a ajouté, lors de sa présidence d’une réunion consacrée à l’examen du rapport sur la politique publique soumis au département ministériel des domaines de l’Etat, dans le cadre de la préparation du plan de développement pour la période 2026-2030, que cette étape vise à accélérer la réalisation de projets liés à diverses installations publiques et également à régler les situations immobilières dans le but d’introduir un certain nombre de propriétés dans le cycle économique.

La réunion a examiné le rapport avant de le transférer au ministère de l’Économie et de la Planification, en présence des cadres du ministère et des structures d’intervention, afin d’établir une approche participative dans la préparation du rapport.

Au cours de la réunion, Hedhili a examiné la grande stratégie de son département ministériel pendant la période du plan, qui a été établie dans le cadre de la politique générale de l’État dans les domaines sociaux et économiques et d’une manière qui répond aux exigences de développement local, régional et interrégional.

Les participants ont examiné les textes juridiques et réglementaires sur lesquels le ministère travaille et des propositions pour simplifier les procédures dans divers domaines de son intervention afin d’augmenter encore le rythme de réalisation tout en fixant des objectifs qui seront incarnés pendant la période du plan de développement selon des normes qui assurent un suivi et une évaluation périodique pour garantir l’efficacité du travail administratif.

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Cnuced16 : construire l’avenir du développement dans un monde incertain

ONU Commerce et Développement (ou Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement – Cnuced) réunit dirigeants mondiaux, ministres, experts, chefs d’entreprise, universitaires et représentants de la société civile pour aborder les grands défis économiques du moment, renforcer la coopération internationale et tracer des voies vers un avenir plus inclusif et durable.

Du 20 au 23 octobre 2025, Genève (Suisse) accueillera la 16e session ministérielle de la Cnuced, un rendez-vous décisif pour repenser les règles du commerce, de l’investissement et de l’innovation dans un contexte mondial marqué par l’incertitude.

Répondre aux urgences, construire la résilience

Dans un monde où les technologies évoluent à grande vitesse et où les économies sont soumises à des chocs multiples, les pays en développement sont confrontés à des enjeux cruciaux : accéder au financement, aux marchés mondiaux et à l’innovation, tout en renforçant leur résilience.

La Cnuced16 offrira une plateforme unique de dialogue et d’action, avec plus de 40 sessions de haut niveau, des tables rondes ministérielles et des événements thématiques. Les débats se concentreront sur des solutions concrètes pour naviguer dans les incertitudes actuelles et promouvoir une croissance durable.

« Il ne s’agit pas d’une conférence de plus, mais d’une véritable opportunité pour restaurer la confiance, proposer des solutions innovantes et démontrer que le multilatéralisme peut servir les peuples et la planète », a déclaré Rebeca Grynspan, secrétaire générale de la Cnuced.

Un dialogue inclusif, des voix multiples

Le programme comprendra des dialogues quotidiens de haut niveau sur les questions mondiales pressantes, une table ronde sur le commerce et les finances, ainsi qu’une session de clôture dédiée à la redéfinition de la coopération dans un monde de plus en plus fragmenté.

Des chefs d’État, lauréats du prix Nobel, ministres, PDG, acteurs de la société civile, jeunes et chercheurs viendront enrichir les discussions, dans un esprit d’inclusion et de coconstruction.

Un retour aux sources pour un nouveau départ

La Cnuced16 marque également un retour symbolique à Genève, ville où l’organisation a vu le jour en 1964. Depuis plus de 60 ans, la Cnuced joue un rôle de passerelle entre les économies avancées et les pays en développement, défendant un commerce au service d’une prospérité partagée.

Les conclusions de cette session orienteront les priorités stratégiques de la Cnuced pour les quatre prochaines années et nourriront les réflexions globales sur la gouvernance économique mondiale.

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TICAD9 : Zenzri appelle les entreprises japonaises à investir en Tunisie

À l’occasion de la neuvième édition de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique, « TICAD9 », qui se tient dans la ville japonaise de Yokohama, la cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri a rencontré le président de l’Association japonaise de l’économie et du développement Africains (AFRECO) Tetsuro Yano, et un certain nombre d’entreprises japonaises représentées par le Président du Conseil d’administration (Association des directeurs d’entreprises japonaises) et le Vice-président et membre du Conseil d’administration de Toyota Tsusho Group.

Selon les services de la résidence du gouvernement, au cours de cette rencontre, les deux parties ont réitéré la volonté de renforcer la coopération entre la Tunisie et le Japon et les opportunités d’investissement offertes par la Tunisie aux entreprises et groupes économiques, ainsi que les secteurs les plus importants dans lesquels la Tunisie souhaite investir.

La Cheffe du gouvernement a souligné la volonté de la Tunisie de surmonter toutes les difficultés auxquelles tout investisseur peut être confronté, appelant le secteur privé japonais et les grandes entreprises à investir en Tunisie, et les entreprises présentes en Tunisie à étendre leurs activités.

De leur côté, les représentants des entreprises japonaises ont exprimé leur satisfaction quant au climat des affaires dans notre pays et souligné que la Tunisie reste une destination d’investissement prometteuse pour eux.

La réunion a été marquée par la présence de l’ambassadeur de Tunisie au Japon, Ahmed Chafra, et des responsables du cabinet de la Cheffe du gouvernement et du ministère des Affaires étrangères, de l’Immigration et des Tunisiens à l’étranger.

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Tunisie, hub méditerranéen pour l’Afrique : un atout majeur pour les investisseurs japonais

La Tunisie est devenue un pôle d’attraction du commerce et de l’investissement grâce à son positionnement géographique, a indiqué la Cheffe du gouvernement dans un discours adressé aux hommes d’affaires et sociétés japonais lors du « discover Tunisia », un événement organisé en mage de la TICAD 9 qui se tient à Yokohama (Japon).

Et d’ajouter que la Tunisie, porte d’entrée méditerranéenne vers l’Afrique, pourrait renforcer son rôle stratégique dans le réseautage des marchés européen, africain et arabe, outre son rôle que ce soit à travers la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) ou le Marché commun pour l’Afrique orientale et australe (COMESA).

Zenzri a, par ailleurs, rappelé la stabilité du climat de la Tunisie dans toutes ses dimensions politique, sociale et économique, ce qui a contribué à la création d’une dynamique commerciale qui attire les investissements dans divers secteurs, tels que le tourisme, l’éducation, la digitalisation, les nouvelles technologies, la santé, le secteur bancaire, les mines et l’industrie pharmaceutique.

Elle a fait savoir dans ce cadre que la Tunisie accueillera, du 4 au 8 novembre 2025, le congrès mondial de la Jeune chambre internationale pour l’année 2025.

Cette conférence mettra en lumière la contribution positive des investissements japonais à l’économie tunisienne et sera également une occasion pour faire connaitre l’histoire, la richesse culturelle et le patrimoine de la Tunisie.

La Cheffe du gouvernement a, par ailleurs, mis l’accent sur le partenariat dynamique entre les deux pays et le développement d’une action commune pour l’avenir de l’Afrique, rappelant l’organisation de la TICAD 8 en 2022, en Tunisie, d’où la nécessité d’exploiter les opportunités offertes dans tous les domaines pour parvenir à un partenariat durable.

Elle a indiqué que la déclaration conjointe de 2022 du président de la République Kaïs Saïed et du premier ministre japonais Fumio Kishida reflète la volonté politique des deux pays de renforcer leur coopération et de soutenir une action commune pour développer l’Afrique.

Zenzri a ainsi souligné l’importance de l’investissement dans le capital humain, un élément fondamental du processus de planification, de la croissance économique et d’ouverture sur le monde extérieur.

Plus de 20 000 ingénieurs tunisiens sont diplômés chaque année, a souligné la Cheffe du gouvernement, précisant que l’Europe et tous les pays du monde cherchent à les attirer pour bénéficier de leur expertise et compétence.

Elle a rappelé que les entreprises japonaises installées en Tunisie, offrent environ 16 000 emplois, ce qui témoigne de l’importance de l’investissement en Tunisie et de son rôle dans le secteur industriel.

La Cheffe du gouvernement a mis l’accent aussi sur l’arsenal législatif tunisien mis en place conformément aux conventions et normes internationales, pour faciliter l’investissement et protéger les investisseurs, tels que les investisseurs japonais.

Elle a souligné par ailleurs que la prochaine session de négociations sur les investissements bilatéraux entre la Tunisie et le Japon, sera organisée en octobre à Tokyo.

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Chine-Pékin : Une stratégie économique bien réfléchie

Entre héritage culturel et puissance technologique, Pékin s’affirme comme un modèle économique singulier. La capitale chinoise conjugue préservation patrimoniale et innovation de pointe, transformant ses traditions en levier d’attractivité et ses industries high-tech en moteur de croissance.

La Presse — Pékin, capitale politique et culturelle de la Chine, allie préservation patrimoniale et vie poussée vers l’innovation. Ces deux forces, parfois opposées, se révèlent en réalité complémentaires, nourrissant simultanément la croissance économique et la notoriété internationale de la ville.

Poids économique solide et concentré

En 2024, Pékin affichait un PIB nominal de 4.984.000 millions de yuans, soit environ 700 milliards de dollars, représentant 3,69 % du PIB national, selon des données officielles.

Avec un PIB par habitant proche de 227.652 yuans (32.038 USD), la ville se distingue par un niveau de vie élevé et un pouvoir d’achat fort.

Son économie repose principalement sur les services, qui génèrent 76,9 % de la production, tandis que l’industrie contribue pour 22,2 %. L’agriculture pèse, elle, 0,8 %.

Patrimoine : levier touristique et culturel

Le secteur du tourisme et des voyages, en plein redressement, s’approche des niveaux de l’avant-crise : en 2022, sa contribution au PIB était à moins de 4 % de son niveau de 2019 (34 milliards USD en 2022 contre 31 milliards en 2019).

Des études prospectives indiquent que Pékin pourrait bientôt devenir la première destination mondiale de tourisme urbain, devant Paris.

Ainsi, les districts historiques comme les hutongs, réhabilités en espaces culturels, cafés et librairies, constituent désormais un moteur économique, attirant jeunes urbains et voyageurs internationaux.

Modernité technologique et innovation

Selon des projections de « Bloomberg Economics » citées dans des analyses reconnues, le secteur de la haute technologie à Pékin (médical, équipement avancé, technologies de l’information) pourrait représenter d’ici 2026, environ 19 % du PIB (contre 11 % en 2018), et aller jusqu’à 23 % en intégrant les secteurs des véhicules électriques, batteries et panneaux solaires.

Le plan « Made in China 2025 », fortement soutenu par l’Etat, a permis de multiplier les incitations fiscales (environ 29 % de croissance annuelle des avantages fiscaux entre 2018 et 2022, totalisant 1,3 trillion de yuans, soit 185 milliards USD en 2022), représentant plus de 50 % des dépenses des entreprises.

Pékin concentre aussi les pôles technologiques majeurs : « Haidian », avec le quartier Zhongguancun, accueille les sièges d’entreprises comme « Baidu », « ByteDance»  (TikTok), « Lenovo », « Xiaomi », « COMAC », et d’autres géants du numérique. « Wangjing » héberge de nombreux bureaux de grandes firmes technologiques (Microsoft, Siemens, Ericsson, Motorola…).

Pékin illustre, in fine, parfaitement la dualité stratégique de la Chine contemporaine : entretenir ses racines culturelles pour alimenter l’attractivité, et investir massivement dans l’innovation pour structurer son avenir économique. La tradition devient ainsi un socle, tandis que la modernité s’impose comme un relais de croissance. La Tunisie, qui ne cesse d’entretenir des relations bilatérales porteuses avec ce géant asiatique,  peut procéder à l’instar de ce géant asiatique pour ainsi renaître de ses propres cendres.

L’explosion du cash : Vers quels risques allons-nous ?

La Tunisie devient de plus en plus dépendante du cash, un phénomène qui soulève des questions sur ses conséquences pour l’économie, notamment l’inflation, l’expansion de l’informel et l’affaiblissement de la politique monétaire, et pose la question d’une transition numérique indispensable pour réintégrer les flux monétaires dans le circuit formel.

La Presse — Le 14 août 2025, la masse monétaire fiduciaire en Tunisie a atteint un niveau inédit : 25,9 milliards de dinars en circulation sous forme de billets et de pièces.

Cette envolée sans précédent reflète un changement structurel dans les comportements économiques et suscite l’inquiétude des experts quant aux risques d’inflation, d’essor du secteur informel et d’érosion de l’efficacité de la politique monétaire. Que signifie cette montée en puissance du cash dans une économie en quête de stabilité et quelles en sont les causes et les conséquences ?

Pourquoi le cash reprend-il le dessus ?

Cette croissance est d’autant plus préoccupante qu’elle ne semble pas directement liée à une augmentation équivalente du produit intérieur brut ni à une relance significative de l’investissement.

Elle traduit avant tout un changement dans les habitudes de paiement et de conservation de valeur, au détriment des instruments bancaires classiques. Mais pourquoi ce recours toujours plus massif au cash ?

Selon les spécialistes, plusieurs facteurs expliquent cette poussée spectaculaire du cash dans l’économie tunisienne.

D’abord, les changements réglementaires avec l’adoption en août 2024 d’une législation durcissant les règles liées aux chèques, notamment avec des peines de prison en cas de rejet, ont eu un effet dissuasif aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers, qui se tournent alors massivement vers les paiements en espèces.

Ensuite, la suppression des obligations de justification en octobre 2024, consistant à ne plus exiger la déclaration de l’origine des fonds en cash, a facilité leur circulation dans l’économie et réduit les contraintes administratives. Si cette mesure a allégé le quotidien des opérateurs économiques, elle peut également encourager un recours accru au cash et freiner la transition numérique des paiements en l’absence de mesures d’accompagnement telles que des incitations fiscales pour les paiements électroniques, le plafonnement de certains paiements en cash ou des campagnes de sensibilisation.

Autre facteur conjoncturel, les dépenses estivales ont contribué à accentuer la demande en espèces. Entre les mariages, les vacances et les préparatifs de la rentrée scolaire, les retraits de cash ont atteint des niveaux particulièrement élevés durant les mois de juillet et août 2025. Enfin, et selon les spécialistes, la crise de confiance dans le système bancaire peut également être à l’origine de la prolifération du cash. Une part croissante de la population et des opérateurs économiques choisissent de conserver leur épargne en liquide, par crainte d’un accès restreint à leurs dépôts ou de nouvelles taxes bancaires.

Des effets délétères pour l’économie

L’augmentation de la masse fiduciaire n’est pas sans risques et engendre plusieurs effets macroéconomiques.

Elle alimente l’inflation en accroissant la monnaie en circulation sans contrepartie productive, favorisant ainsi la montée des prix.

La relation classique de la théorie quantitative de la monnaie s’applique pleinement : plus de cash signifie plus de pression sur la demande, ce qui entraîne une hausse des prix.

Elle nourrit aussi la menace de l’expansion de l’économie informelle, car les transactions en liquide échappent plus facilement aux radars fiscaux.

En Tunisie, où le secteur informel est déjà estimé à près de 40 % du PIB, cette tendance compromet davantage les recettes fiscales de l’État.

Le risque d’affaiblissement de la politique monétaire n’est pas non plus exclu : plus la masse de cash circule en dehors du système bancaire, plus les outils de régulation, tels que les taux d’intérêt, les réserves obligatoires ou les injections de liquidités, perdent en efficacité, limitant la capacité de la Banque centrale à influencer l’économie.

L’autre danger majeur concerne l’évasion fiscale et le blanchiment d’argent, car l’accumulation de cash facilite les activités non déclarées, notamment dans les secteurs du commerce, de l’immobilier et de la sous-traitance, avec un risque accru de blanchiment.

Vers une transition numérique nécessaire

Face à cette montée du cash, les économistes et les acteurs financiers appellent à une accélération de la digitalisation des paiements et à une modernisation de l’inclusion financière. Le développement de solutions de paiement mobile, de portefeuilles électroniques et de systèmes bancaires plus accessibles est crucial pour réintégrer les flux monétaires dans le circuit formel. Il devient également urgent de restaurer la confiance dans les institutions financières en garantissant la transparence, la sécurité des dépôts et la stabilité réglementaire, car sans ces conditions, l’économie tunisienne risque de rester piégée dans une logique de «cash first», avec tous les effets pervers que cela implique. La barre symbolique des 25,9 milliards de dinars en circulation illustre une mutation profonde des comportements économiques tunisiens, mais elle peut aussi devenir un levier pour accélérer la digitalisation des paiements, renforcer l’inclusion financière et améliorer la traçabilité fiscale tout en consolidant l’efficacité de la politique monétaire.

Depuis Yokohama, Mme Zenzri rassure les investisseurs japonais

À l’occasion de la neuvième édition de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique « TICAD9 », qui se tient dans la ville japonaise de Yokohama, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a rencontré le président de l’Association japonaise de l’économie et du développement africains (AFRECO), Tetsuro Yano, ainsi qu’un certain nombre d’entreprises japonaises représentées par le président du Conseil d’administration de l’Association des dirigeants d’entreprises japonaises et le vice-président et membre du Conseil d’administration de Toyota Tsusho Group.

Selon les services de la présidence du gouvernement, au cours de cette rencontre, les deux parties ont réitéré la volonté de renforcer la coopération entre la Tunisie et le Japon ainsi que les opportunités d’investissement offertes par la Tunisie aux entreprises et groupes économiques, de même que les secteurs les plus importants dans lesquels la Tunisie souhaite attirer des investissements.

La cheffe du gouvernement a souligné la volonté de la Tunisie de surmonter toutes les difficultés auxquelles tout investisseur peut être confronté, appelant le secteur privé japonais et les grandes entreprises à investir en Tunisie, et encourageant les entreprises déjà présentes en Tunisie à étendre leurs activités.

De leur côté, les représentants des entreprises japonaises ont exprimé leur satisfaction quant au climat des affaires dans notre pays et souligné que la Tunisie demeure une destination d’investissement prometteuse pour eux.

La réunion a été marquée par la présence de l’ambassadeur de Tunisie au Japon, Ahmed Chafra, ainsi que des responsables du cabinet de la cheffe du gouvernement et du ministère des Affaires étrangères, de l’Immigration et des Tunisiens à l’étranger.

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Foire commerciale d’Alger : plus de 30 entreprises tunisiennes au rendez-vous

La Tunisie prendra part à la 4ᵉ édition de la Foire commerciale intra-africaine (IATF 2025), prévue du 4 au 10 septembre à Alger, avec un pavillon national de 300 m². Plus de 30 entreprises tunisiennes y exposeront leurs produits et services, couvrant les secteurs automobile, agroalimentaire et pharmaceutique, aux côtés de PME et d’institutions telles que le Cepex, la FIPA, le TABC et les Chambres de commerce.

Selon Hafedh Ben Afia, chef de la région Afrique du Nord à Afreximbank, cet événement placé sous l’égide de l’Union africaine et d’Afreximbank constitue une opportunité stratégique pour renforcer la place de la Tunisie dans les échanges intra-africains et mettre en valeur son expertise continentale.

Organisée avec le Secrétariat de la ZLECAF, la foire se veut une plateforme commerciale et un levier d’intégration économique africaine. Ben Afia rappelle que l’Afrique représente non seulement un marché mais « un avenir commun de croissance, d’innovation et de solidarité.

La Tunisie, déjà active dans les secteurs du textile, de la santé, des technologies et des énergies renouvelables, ambitionne de consolider son rôle de passerelle économique en Afrique. À cet effet, un atelier consacré au climat des affaires tunisien se tiendra le 5 septembre, mettant en avant sa stratégie d’intégration dans la ZLECAF.

Au total, l’IATF 2025 accueillera plus de 2 000 exposants de 75 pays et près de 35 000 visiteurs. Les organisateurs anticipent des accords commerciaux et investissements dépassant 44 milliards de dollars. Le président Kaïs Saïed, invité par son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune, assistera à l’ouverture officielle.

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TICAD9 : Sarra Zaafrani Zenzri et Robert Beugré Mambé plaident pour une coopération renforcée

La cheffe du gouvernement tunisien, Sarra Zaafrani Zenzri, a appelé mercredi à Yokohama (Japon) à renforcer et à diversifier la coopération bilatérale avec la Côte d’Ivoire, à l’occasion d’une rencontre avec le Premier ministre ivoirien, Robert Beugré Mambé.

Lors de cet entretien, les deux parties se sont félicitées du niveau des relations entre leurs pays, qui célèbrent cette année le 60e anniversaire de l’établissement de leurs relations diplomatiques.

Zenzri a souligné l’importance de la tenue prochaine en Tunisie de la 9e réunion de la haute commission mixte, afin de renforcer la coopération bilatérale entre les deux pays. Elle a exprimé sa pleine disposition à œuvrer pour élargir la coopération à de nouveaux secteurs prometteurs.

De son côté, Beugré Mambé a salué les compétences et les entreprises tunisiennes présentes dans son pays. Il a exprimé l’intérêt de la Côte d’Ivoire à développer la coopération dans des domaines spécifiques, notamment la recherche scientifique agricole, les études d’ingénierie, la formation touristique, la numérisation, les industries agroalimentaires et l’artisanat.

La rencontre s’est déroulée en marge des travaux de la neuvième édition de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 9), qui se tient du 20 au 22 août au centre de conférences de Yokohama, selon un communiqué de la présidence du gouvernement publié sur sa page Facebook.

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Gabès : Salah Zouari fait le point sur les projets de protection contre les inondations et la réhabilitation urbaine

Lors d’une visite de travail effectuée, jeudi, au gouvernorat de Gabès, le ministre de l’Équipement et de l’Habitat, Salah Zouari, a fait le point sur l’avancement de la réalisation d’un certain nombre de projets visant à protéger les villes contre les inondations, outre la rénovation urbaine et des routes.

Au programme de la visite le ministre a pris connaissance du projet de la réhabilitation de l’oued de Gabès (Griâa) et ses cours, lequel sera réalisé en deux tranches pour un coût total d’environ 50 millions de dinars. Le taux d’avancement de ses travaux a atteint 30%.

Il comprend notamment la construction de deux ponts sur la rue de Paris et la route de la Corniche, le pavage d’une partie de cet oued et l’aménagement d’une partie de l’ancien Oued de Gabès et de l’oued Kalam.

Le ministre a également examiné le projet de reconstruction d’un pont de passages sur l’Oued de Gabès  (Griâa) et la construction de deux giratoires, un projet pour lequel un appel d’offres sera publié dans un avenir proche, et des subventions  d’un montant de 07 MD lui ont été allouées dont deux millions de dinars qui seront affectés aux réseaux de transport.

Au cours de cette visite, Zouari a assuré le suivi du projet de protection de la caserne militaire et des zones de la délégation de Hamma de l’Ouest contre les inondations, dans le cadre d’un projet qui coûte la bagatelle d’environ 3,7MD, et le taux d’avancement de son travail a atteint 93%.

Le ministre de l’Equipement et de l’Habitat a été informé sur le projet de réhabilitation du quartier Khaireddine à Ouedhref, dont les travaux sont sur le point d’être achevés pour un coût supérieur à 4,1 millions de dinars, et sur le projet de réhabilitation du quartier Nakhila Farhat Choubbene à Matouya, un projet dont le taux d’avancement des travaux a atteint 63% et dont le coût dépasse 04MD.

Zouari a également pris connaissance de l’avancement des travaux de la piste “Kabakana” à Ghannouch, qui s’étend sur une longueur de 11,9 km et dont le coût s’élève à environ  03MD et le taux d’avancement de ses travaux a atteint 85 %.

Le Ministre a souligné que les efforts sont focalisés sur l’achèvement des projets bloqués, en commençant par la réalisation des projets inscrits du nouveau plan de développement 2026-2030 dans de bonnes conditions, indiquant que de nombreuses mesures ont été prises pour améliorer les conditions des entreprises qui entreprendront la mise en œuvre de ces projets.

Il a souligné que le projet de corridors économiques qui reliera le sud de l’Algérie et Gabès est l’un des grands projets en cours d’élaboration au regard de l’importance économique qu’il représente.

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