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S&P confirme la note « AA+ » des États-Unis

S&P Global confirme sa note de crédit « AA+ » pour les États-Unis, estimant que les revenus provenant des tarifs douaniers de Trump compenseront le coût budgétaire d’un projet de loi massif sur les impôts et les dépenses.

Rappelons au passage que Trump a promulgué le projet de loi « Big and Beautiful » en juillet, après son adoption par le Congrès, contrôlé par les Républicains. Ce projet de loi, qui a instauré de nouveaux allégements fiscaux, a également pérennisé les précédentes réductions d’impôts de Trump de 2017.

« Dans le contexte de l’augmentation des taux tarifaires effectifs, nous nous attendons à ce que des recettes douanières importantes compensent généralement les résultats budgétaires plus faibles qui pourraient autrement être associés à la récente législation budgétaire, qui contient à la fois des réductions et des augmentations d’impôts et de dépenses », note S&P dans son analyse.

Le gouvernement a signalé une augmentation de 21 milliards de dollars des recettes douanières grâce aux tarifs douaniers de Trump en juillet, mais le déficit budgétaire a augmenté de près de 20% au cours du même mois pour atteindre 291 milliards de dollars.

S&P, qui est devenue la première agence de notation à abaisser la note « AAA » du gouvernement américain en 2011, a également déclaré que les perspectives pour la note américaine restent stables.

L’agence de notation a également indiqué s’attendre à ce que la Réserve fédérale – que Trump a vivement critiquée pour ne pas avoir réduit ses taux d’intérêt – « relève les défis de la réduction de l’inflation intérieure et de la résolution des vulnérabilités des marchés financiers ».

L’agence prévoit un déficit public moyen de 6,0% du PIB sur la période 2025-2028, contre 7,5% en 2024 et 9,8% en moyenne sur la période 2020-2023. Elle prévient également de dégrader la note des États-Unis dans les deux à trois prochaines années si les déficits déjà élevés devaient augmenter.

Une sonnette d’alarme pour les attaques contre la Fed

« Les notations pourraient également être mises sous pression si les développements politiques pèsent sur la solidité des institutions américaines et sur l’efficacité de la politique à long terme ou sur l’indépendance de la Réserve fédérale », souligne l’entreprise.

Cependant, S&P a déclaré qu’elle pourrait relever la note des États-Unis en cas de croissance économique durable et d’ajustements du profil budgétaire américain qui réduiraient les récentes augmentations de la dette du pays.

La confirmation de la note de crédit de S&P intervient après que Moody’s a abaissé d’un cran la note des États-Unis en mai dernier, invoquant l’augmentation de la dette.

La dette américaine a dépassé le record de 37 000 milliards de dollars durant la semaine du 11 août 2025.

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Grande-Bretagne : l’inflation s’élève à 3,8 % en juillet

L’Office for National Statistics (ONS) de la Grande-Bretagne indique que le taux d’inflation pour juillet s’élève à 3,8%.

Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient une inflation atteignant 3,7% au cours des 12 mois précédant juillet, après avoir atteint 3,6% en juin.

L’inflation sous-jacente, hors catégories les plus volatiles (énergie, alimentation, alcool et tabac), est passée de 3,7% en juin à 3,8% en juillet.

La hausse de l’inflation a poussé l’indice des prix à la consommation (IPC) à son taux annuel le plus élevé depuis le début de l’année dernière, a déclaré Grant Fitzner, économiste en chef de l’ONS.

« La principale raison est la forte augmentation des prix des billets d’avion, qui constitue la plus forte progression en juillet depuis que la collecte des données sur les tarifs aériens est passée de trimestrielle à mensuelle en 2001. Elle est probablement liée au calendrier des vacances scolaires cette année », a-t-il expliqué dans un message sur la plateforme X.

« Les prix de l’essence et du diesel ont également augmenté ce mois-ci, contrairement à l’année dernière. La hausse inflationniste des prix alimentaires se poursuit, des produits comme le café, le jus d’orange frais, la viande et le chocolat enregistrant les plus fortes hausses de prix », a-t-il ajouté.

La ministre britannique des Finances, Rachel Reeves, estime qu’il fallait faire davantage pour réduire le coût de la vie. « Nous avons pris les décisions nécessaires pour stabiliser les finances publiques et nous sommes loin de l’inflation à deux chiffres que nous avons connue sous le gouvernement précédent, mais il reste encore beaucoup à faire », a-t-elle souligné.

Stabilité de la monnaie britannique

La livre sterling est restée stable face au dollar après la publication des données, s’échangeant à 1,3489 $. Les derniers chiffres font suite à la décision de la Banque d’Angleterre de réduire ses taux d’intérêt de 4,25% à 4% au début du mois, revenant à une politique d’assouplissement monétaire « progressif et prudent »…

La BoE surveille de près les données sur l’inflation. « Nous prévoyons que les pressions sur les prix s’atténueront au quatrième trimestre 2025, avec un taux d’inflation annuel approchant 3,5% d’ici la fin de l’année », a déclaré Sanjay Raja, économiste principal à la Deutsche Bank, dans une note écrite vendredi.

« En outre, nous prévoyons un nouvel assouplissement des pressions sur les prix l’année prochaine. Selon nos modèles, l’IPC devrait baisser à près de 2,75% en glissement annuel au deuxième trimestre 2026, avant d’atteindre 2,25% au quatrième trimestre 2026. Toutefois, plus généralement, nous prévoyons que la voie vers l’objectif de 2% l’année prochaine se rétrécira », a-t-il ajouté.

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50% de taxes US sur l’acier et l’aluminium dérivés

Le département américain du Commerce a annoncé, mardi 19 août, avoir ajouté 407 catégories de produits supplémentaires à la liste des produits « dérivés » de l’acier et de l’aluminium soumis à des sanctions.

« La décision d’aujourd’hui couvre les éoliennes et leurs pièces et accessoires, les grues mobiles, les bulldozers et autres équipements lourds, les wagons de chemin de fer, les meubles, les compresseurs, les pompes et des centaines d’autres produits », a déclaré le département du Commerce dans un communiqué.

Les produits inclus dans la liste seront soumis à un taux de droit de douane de 50%, ajoute-t-il.

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Rubio présidera le comité sur les garanties de sécurité pour l’Ukraine

Les États-Unis, l’Ukraine et les pays européens ont créé un comité conjoint pour élaborer une proposition visant à fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine, éventuellement avec le soutien aérien américain, a rapporté mardi 19 août le site d’information Axios, citant deux sources bien informées.

Le comité est dirigé par le secrétaire d’État américain Marco Rubio, mais comprend des conseillers à la sécurité nationale d’Ukraine et de pays européens.

« Dans les prochains jours, tout le monde travaillera du matin au soir sur les garanties de sécurité. Nous pourrions avoir une architecture claire d’ici la fin de la semaine », a déclaré une source ukrainienne au site web.

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Les exportations japonaises au plus bas depuis 2021

Les exportations du Japon ont enregistré, en juillet, leur plus forte baisse depuis 2021, les expéditions de produits vers les États-Unis et la Chine ayant diminué, selon Capital.

Les exportations vers les États-Unis – le principal marché des produits japonais) – ont continué de baisser, chutant de 10,1% en juillet, mais moins que celle enregistrée en juin (11,4%).

Les expéditions vers la Chine – le deuxième plus grand marché d’exportation du Japon – ont chuté de 3,5% par rapport au même mois de l’année dernière, mais elles ont augmenté de 17,7% vers Hong Kong.

Dans le même temps, les importations de la quatrième économie mondiale ont chuté de 7,5%.

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L’Irak commence à importer des produits de transport durables

Le ministère irakien des Transports a annoncé, le 18 août 2025, des négociations avec la Turquie pour importer des bus électriques, en plus d’élaborer des plans pour introduire des trains respectueux de l’environnement dans le projet de route de développement.

Le directeur des médias et des relations publiques du ministère, Maytham Al-Safi, a déclaré : « Le projet de route de développement est un investissement de développement global, et le port de Faw est la pierre angulaire du projet, car il sera la première station reliant l’Irak au monde, ainsi que l’Est à l’Ouest ».

Et d’ajouter : « Le port de Faw sera le terminal principal et devrait être le plus proche de l’Europe. Il est prévu d’ouvrir la première phase dudit port fin 2025 ou début 2026 », selon l’Agence de presse irakienne (INA).

Il a expliqué que des projets stratégiques existent dans le secteur des transports respectueux de l’environnement, notamment le projet de développement routier, et que des trains modernes et respectueux de l’environnement seront construits. Il a ajouté que ces trains seront électriques, conformément au système européen, ce qui contribuera à une amélioration qualitative du niveau de services en Irak…

Concernant la coopération avec le secteur privé, Al-Safi a souligné que « le ministère n’a aucune réserve quant aux partenariats avec le secteur privé, à condition que les droits du secteur public soient garantis ». Il a noté que « le ministère des Transports met en œuvre de nombreux projets avec le secteur privé, dont les plus importants sont la Société générale de gestion des transports privés et le Projet national de taxis, ainsi que des partenariats avec Iraqi Airways, les aéroports, les ports et d’autres acteurs ».

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JPMorgan s’attend à une hausse des actions bancaires chinoises

La banque s’attend à des dividendes en espèces de plus de 4 % et à une amélioration des revenus.

JPMorgan s’attend à ce que les actions des banques chinoises cotées sur les principaux marchés et à Hong Kong augmentent au cours du second semestre de cette année.

La banque a déclaré ce 19 août que les actions des banques cotées sur le marché chinois pourraient augmenter jusqu’à 15 %, tandis que les actions des banques cotées à Hong Kong devraient réaliser des gains allant jusqu’à 8 %.

JPMorgan a indiqué que les banques chinoises distribueraient des dividendes en espèces cette année à un taux supérieur à 4 %. Elle attribue cette prévision optimiste à l’amélioration des marges nettes d’intérêt et à la croissance des revenus tirés des commissions bancaires.

La banque a noté que le cycle de baisse des taux d’intérêt en Chine touche à sa fin, avec des attentes d’une ou deux baisses supplémentaires entre la seconde moitié de 2025 et 2026.

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L’or progresse, les taux en ligne de mire

Les prix de l’or ont légèrement augmenté au début des échanges du mardi 19 août, alors que les investisseurs attendent le discours du président de la Réserve fédérale américaine (Fed), Jerome Powell, cette semaine, qui pourrait révéler les futures orientations de la politique monétaire de la Banque centrale américaine.

Selon le suivi du marché des agences spécialisées, le métal jaune sera affecté par tout signe d’une baisse imminente des taux d’intérêt, en particulier avec les attentes croissantes d’une baisse de 25 points de base lors de la prochaine réunion.

L’évolution des efforts diplomatiques menés par Washington pour mettre fin à la guerre en Ukraine, est également suivie, à la suite des rencontres entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky.

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Légère baisse des prix du pétrole 

Les prix du pétrole ont légèrement baissé au début des échanges du mardi 19 août, alors que les marchés anticipaient la possibilité de pourparlers tripartites entre Moscou, Kiev et Washington visant à mettre fin à la guerre en Ukraine.

Selon le suivi de l’évolution du marché pétrolier effectué par Energy Platform, basée à Washington, les discussions à venir pourraient ouvrir la porte à la levée des sanctions sur le pétrole russe.

Les investisseurs attendent le résultat des efforts diplomatiques menés par Donald Trump, Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, pour tenter de mettre fin à la guerre la plus longue et la plus violente d’Europe depuis 80 ans.

Les prix du pétrole ont augmenté d’environ 1% à la clôture des échanges lundi 18 août, le prix du brut Brent approchant les 67 dollars le baril, avant de baisser au début des échanges aujourd’hui.

Par contre, mardi 19 courant à 06h00 GMT, les contrats à terme sur le brut Brent pour livraison en octobre 2025 étaient en baisse de 53 cents, soit 0,8 %, à 66,07 dollars le baril.

Les contrats à terme sur le brut américain West Texas Intermediate pour livraison en septembre ont également chuté de 44 cents, soit 0,7 %, à 62,98 dollars le baril, selon les données surveillées en direct par la Energy Plateform .

Les contrats à terme sur le brut West Texas Intermediate de septembre devraient expirer demain, mercredi, tandis que le contrat pour livraison en octobre a chuté d’environ 55 cents, soit 0,9 %, à 62,15 $ le baril.

Analyse du prix du pétrole

Les analystes soulignent que tout dégel dans la crise entre la Russie et l’Ukraine pourrait apaiser les inquiétudes géopolitiques et faire baisser encore davantage les prix du pétrole, la probabilité de nouvelles sanctions ou d’une escalade des tensions diminuant à court terme.

L’analyste de la DBS Bank, Sevru Sarkar, a déclaré que les prix du pétrole réagissaient aux résultats des récentes réunions entre Trump, Poutine et Zelensky, notant que les risques d’escalade ou de durcissement des sanctions ont considérablement diminué cette semaine.

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Washington-Moscou : vers des négociations de haut niveau

Le président russe Vladimir Poutine et son homologue américain Donald Trump ont discuté lundi 18 août, lors d’une conversation téléphonique de 40 minutes, de l’idée d’élever le niveau de représentation dans les négociations pour résoudre le conflit armé en Ukraine, ont rapporté les agences de presse russes.

« L’idée a été discutée qu’il serait utile d’explorer la possibilité d’élever le niveau de représentation des parties ukrainienne et russe », ou en d’autres termes, qui participerait aux « négociations directes », a rapporté l’agence de presse RIA, citant le conseiller présidentiel russe Iouri Ouchakov.

Par ailleurs, Vladimir Poutine a assuré à Donald Trump qu’il était prêt à rencontrer le dirigeant ukrainien Volodymyr Zelensky, selon une source proche des discussions.

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Hydrocarbures : l’Algérie signe deux accords avec l’Occidental

L’Agence nationale algérienne pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (ANNET ou ALNAFT) et la société américaine Occidental Petroleum ont signé, dimanche 17 août 2025, deux conventions pour la réalisation d’études visant à évaluer le potentiel pétrolier dans deux zones.

Les deux accords portent sur les zones d’Awabid et de Dhahar, situées respectivement dans la zone de Banoud et la partie nord des bassins de Berkine et d’Oued Mia, selon un communiqué de la Société nationale des pétroles.

Le communiqué explique que les deux accords, qui s’inscrivent dans le cadre du renforcement de la coopération entre ALNAFT et Occidental Petroleum, visent à créer de nouvelles opportunités d’investissement dans le domaine de l’exploration et du développement des hydrocarbures, selon Algérie Presse Services (APS).

Occidental Petroleum, dont le siège social est situé aux États-Unis, est une société énergétique disposant d’un portefeuille diversifié d’actifs internationaux. En Algérie, l’entreprise est active dans plusieurs projets majeurs depuis les années 1980.

« Les deux accords d’étude signés entre ALNAFT et Occidental Petroleum incarnent l’engagement des deux sociétés à coopérer pour améliorer l’évaluation et la valorisation du secteur minier des hydrocarbures ».

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Les EAU suspendent la licence de l’assureur Yas Takaful

Cette action fait suite au non-respect par la société du cadre réglementaire des compagnies d’assurance en vigueur aux Émirats arabes unis (EAU), rapporte l’agence de presse émiratie WAM, lundi 18 août.

La Banque centrale des Émirats arabes unis a suspendu la licence de la société Yas Takaful, conformément à l’article 33 (2) (k) du décret-loi fédéral n° 48 de 2023 réglementant les activités d’assurance.

Toutefois, Yas Takaful reste responsable de tous les droits et obligations découlant des contrats d’assurance conclus avant la décision de suspension, précise WAM.

Par ses fonctions de surveillance et de réglementation, la Banque centrale veille à ce que toutes les compagnies d’assurance, leurs propriétaires et leurs employés respectent les lois en vigueur dans le pays, ainsi que les réglementations et normes qu’elle a adoptées.

Cette démarche vise à préserver la transparence et l’intégrité du secteur de l’assurance et à protéger le système financier du pays, selon les autorités émiraties.

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La dette publique italienne s’élève à plus de 3 000 milliards d’euros

La Banque d’Italie vient de publier ses statistiques mises à jour sur le marché financier, avec des données de juin-juillet 2025. La dette publique italienne a augmenté, selon elle, de 18 milliards d’euros en juin par rapport à mai, atteignant un niveau record de 3 070 milliards d’euros.

La Banque d’Italie attribue cette augmentation aux besoins de financement du gouvernement de 16,4 milliards d’euros, en plus d’une augmentation des soldes du Trésor d’environ 0,8 milliard d’euros, portant le total à 47 milliards d’euros.

D’autres facteurs ont contribué à cette augmentation, notamment les différences dans les prix d’émission et de rachat, la réévaluation des titres indexés sur l’inflation et les fluctuations des taux de change, qui ont ajouté ensemble environ 0,8 milliard d’euros à la dette publique, selon l’agence de presse du Qatar (QNA).

Cependant, les données de l’Office italien des statistiques (ISTAT) ont également montré que l’excédent commercial de l’Italie a augmenté en juin, grâce à une augmentation significative des exportations. Cet excédent commercial a atteint 5,4 milliards d’euros en juin, contre 5,2 milliards d’euros au même mois de l’année dernière.

Les exportations italiennes ont augmenté de 4,9% en glissement annuel en juin, contre une baisse de 1,8% en mai. Parallèlement, les importations ont progressé de 4,8%, après une baisse de 1,5% au cours de la même période.

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Zelensky et Trump en prélude aux discussions avec les dirigeants européens

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’entretiendra, lundi 18 août, d’abord en privé avec le président américain Donald Trump, puis s’en suivront des discussions élargies avec des dirigeants européens. selon plusieurs médias européens.

Sont en effet attendus, outre Zelensky, le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, la présidente du Conseil italien Giorgia Meloni, le Premier ministre britannique Keir Starmer, le président finlandais Alexander Stubb, le chef de l’Otan Mark Rutte, et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

L’ordre du jour de la réunion portera notamment sur les garanties de sécurité, les questions territoriales et les questions de procédure, comme la nécessité d’un cessez-le-feu avant les négociations sur un accord de paix. Ces points ont également été au cœur des discussions lors de la téléconférence « Prothymos » qui s’est tenue dimanche après-midi.

Selon la télévision publique allemande ARD, le séjour du chancelier allemand Friedrich Merz dans la capitale américaine ne devrait durer que quelques heures. Il arrivera à la Maison Blanche lundi midi et son vol de retour est prévu à 17h00 (heure tunisienne).

Dans le même temps, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a déclaré que les États-Unis continueront d’essayer de créer un scénario pour aider à mettre fin à la guerre de la Russie en Ukraine, mais cela pourrait ne pas être possible.

« Si la paix ne peut être obtenue et que la guerre continue, des milliers de personnes continueront de mourir… Malheureusement, nous pourrions en arriver là, mais nous ne voulons pas en arriver là », a souligné Rubio dans une interview accordée dimanche à « Face the Nation » sur CBS.

« Il y a des choses qui ont été discutées dans le cadre de cette rencontre (ndlr : Trump-Poutine en Alaska) qui ont le potentiel de développements significatifs et de progrès », a noté le secrétaire d’État américain, ajoutant que les questions à discuter incluront les garanties de sécurité pour l’Ukraine.

Il a également déclaré que les deux parties devront faire des concessions pour parvenir à un accord de paix.

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Manifestation géante à Tel-Aviv pour Gaza et les otages

Des dizaines de milliers d’Israéliens se sont rassemblés dimanche 17 août à Tel-Aviv pour exiger de leur gouvernement un accord de cessez-le-feu à Gaza qui garantirait la libération des otages, lors de l’un des plus grands rassemblements de solidarité organisés en Israël depuis le début de la guerre de Gaza en octobre 2023.

« Ramenez-les tous ! », « Arrêtez la guerre ! », criait l’immense foule rassemblée sur une place emblématique de Tel-Aviv, où des familles se réunissent depuis près de deux ans pour réclamer la libération de leurs proches détenus par le Hamas à Gaza.

Le Forum des familles d’otages, qui organisait cette journée de mobilisation, a estimé le nombre de manifestants à près de 500 000. « Nous exigeons un accord global et applicable, ainsi que la fin de la guerre. Nous exigeons ce qui nous revient de droit, à nous, nos enfants ».

« Le gouvernement israélien n’a jamais proposé de véritable initiative en faveur d’un accord global et de la fin de la guerre. Il a transformé la guerre la plus juste en une guerre inutile », a déploré Einar Zangauker, mère de l’otage Matan, s’adressant à la foule.

Les manifestants brandissaient des portraits des otages, des drapeaux israéliens et des drapeaux jaunes, couleur symbolisant les otages. « Paix maintenant », « Ramenez-le à la maison », pouvait-on lire sur les pancartes sous les portraits des 49 otages toujours détenus à Gaza, dont 27 seraient morts aux mains de l’armée…

De nombreux Israéliens ont cependant exprimé leur scepticisme quant aux objectifs de cette mobilisation. « Bien sûr, il est temps de mettre fin à la guerre, tout le monde est fatigué (…). Cela doit cesser, mais la manière dont cela finira ne dépend pas de nous, mais du Hamas. Toutes ces manifestations, à quoi bon ? Je ne comprends pas », a déclaré Patrick Menas, investisseur immobilier, à l’Agence France-Presse.

À rappeler que le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahou a souligné sa détermination à poursuivre son offensive dans la bande de Gaza pour en finir avec le Hamas et prendre le contrôle de l’ensemble du territoire palestinien assiégé et frappé par la famine. D’ailleurs, au moins 60 Palestiniens y ont été tués dimanche, selon les services locaux de protection civile.

« Ceux qui appellent aujourd’hui à la fin de la guerre sans la défaite du Hamas (…) renforcent la position de ce dernier et retardent la libération de nos otages (…) », répond pour sa part Netanyahu lors d’une réunion du cabinet.

Le chef d’état-major des forces armées israéliennes, Eyal Zamir, a rencontré dimanche des responsables militaires et a ensuite annoncé que l’armée « concentrerait » ses opérations sur la ville de Gaza, avec l’objectif déclaré de vaincre le Hamas et de libérer les otages pris lors de l’attaque du 7 octobre…

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Stagnation de l’économie chinoise en juillet 2025

L’économie chinoise a perdu de son élan en juillet, la croissance ralentissant dans tous les domaines, la demande intérieure restant faible…

Selon le Bureau national des statistiques de Chine, les ventes au détail ont augmenté de 3,7 % en juillet par rapport à l’année précédente, mais en deçà des estimations des analystes qui tablaient sur une croissance de 4,6 %, alors qu’en juin elles avaient augmenté de 4,8 %.

La production industrielle a augmenté de 5,7 % par rapport à juillet 2024, mais il s’agit du niveau de croissance le plus bas depuis novembre de 2024 et également inférieur aux estimations des analystes d’une augmentation de 5,9 %.

L’investissement en actifs fixes a progressé de 1,6 % sur la période janvier-juillet, aussi en deçà des prévisions des économistes qui tablaient sur +2,7 %. Dans cette catégorie, la contraction de l’investissement immobilier s’est aggravée, atteignant -12 % sur les sept premiers mois de l’année 2025.

Selon les estimations de Goldman Sachs, rien qu’en juillet, les investissements en actifs fixes ont chuté de 5,2 % sur un an, enregistrant leur plus forte baisse depuis mars 2020, lorsque le pays était confronté à l’épidémie de Covid-19.

Le Bureau national des statistiques de Chine a attribué les résultats économiques décevants aux « défis persistants liés à un environnement extérieur complexe et imprévisible » et à des conditions météorologiques extrêmes. En effet, des températures élevées, de fortes pluies et des inondations ont frappé plusieurs régions du pays le mois dernier, forçant usines et chantiers de construction à suspendre leurs activités.

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S&P relève la note du Liban en monnaie locale à ‘CCC’

Standard & Poor’s déclare avoir relevé la note à long terme du Liban en monnaie locale à CCC avec une perspective stable, et confirme, parallèlement, sa note de crédit en devises étrangères à SD.

L’agence Standard & Poor’s ajoute qu’elle avait une perspective stable sur la notation à long terme de la monnaie locale. Cependant, le risque de défaut de paiement de la dette intérieure existe en raison des pressions sur les dépenses, de l’accès limité aux marchés et des déficiences en matière de gestion et de gouvernance.

Elle souligne également que le risque de défaut existe en raison des contraintes de liquidité dans le système bancaire local et d’un environnement économique moins favorable.

L’élection d’un président soutenu par les États-Unis en début d’année et la formation d’un gouvernement technocratique ont contribué à restaurer la confiance des investisseurs. Les obligations souveraines libanaises, en difficulté, ont connu une forte hausse, générant un rendement de 45 % pour les investisseurs cette année, soit la meilleure performance parmi les 69 marchés émergents suivis par l’indice Bloomberg Emerging Markets Sovereign Total Return.

Les prêteurs libanais ont déposé des milliards de dollars auprès de la Banque du Liban (BDL) après le lancement en 2016 de ce qu’elle a appelé l’ingénierie financière, un mécanisme qui a permis de financer les dépenses publiques tout en attirant des dépôts à des taux d’intérêt élevés. Cependant, ce mécanisme s’est effondré en 2019, suite au tarissement des flux de capitaux étrangers et à l’effondrement de l’ancrage de la monnaie au dollar. La BDL n’a pas été en mesure de rembourser sa dette estimée à 80 milliards de dollars auprès des banques, et les deux parties sont depuis lors dans une impasse.

Les créanciers insistent pour que la Banque centrale et le gouvernement assument les pertes. Cette impasse a entravé un éventuel accord avec le Fonds monétaire international, qui a récemment averti que le Liban restait confronté à des besoins de financement extérieur « importants ».

Toute aide étrangère dépend de la capacité du nouveau gouvernement à mettre en œuvre des réformes, notamment un plan visant à remédier aux pertes de la Banque centrale du Liban et à restituer les fonds des déposants.

Le Parlement libanais a déjà progressé dans la satisfaction des exigences du FMI en matière de transparence du secteur financier et a récemment approuvé un plan de restructuration bancaire.

Le Fonds est en pourparlers avec le gouvernement concernant un nouvel accord au niveau du personnel sur ces réformes, soulignant la nécessité de déployer des efforts supplémentaires pour garantir que la stratégie du gouvernement soit conforme aux « normes internationales et aux exigences de viabilité de la dette ».

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La Chine riposte à l’UE concernant les sanctions contre la Russie

Pékin a sanctionné deux banques lituaniennes, honorant ainsi sa promesse de riposter après que les 27 ont ciblé des prêteurs chinois dans le cadre du conflit ukrainien.

Pékin a annoncé le 15 août avoir mis sur liste noire deux banques de l’UE, en réponse au ciblage par le bloc des prêteurs chinois dans le cadre du dernier ensemble de sanctions liées à l’Ukraine contre la Russie.

Bruxelles a présenté le mois dernier son 18e train de mesures contre Moscou, ciblant les secteurs énergétique et bancaire russes. Ce train de mesures comprenait, entre autres, des restrictions visant plusieurs entités et institutions financières basées en Chine, en Inde, aux Émirats arabes unis et en Turquie.

Selon un communiqué publié mercredi par le ministère chinois du Commerce, Pékin a inclus les sociétés UAB Urbo et AB Mano, basées en Lituanie, dans sa liste de contre-mesures, interdisant immédiatement aux organisations et aux individus chinois toute transaction, coopération et autres activités avec elles.

Il a rappelé que la mesure prise par les autorités de l’UE contre la Suifenhe Rural Commercial Bank et la Heihe Rural Commercial Bank chinoises constitue « une grave violation du droit international » qui « a causé un préjudice important aux droits et intérêts légitimes des entreprises chinoises ».

La Commission européenne s’est engagée à examiner en détail les mesures prises par Pékin avant de prendre de nouvelles mesures. L’Union « est disposée à trouver une solution mutuellement acceptable qui pourrait aboutir à la radiation des banques de la cote », a déclaré mercredi Olof Gill, porte-parole de la Commission européenne, cité par Bloomberg.

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Poutine à Trump : « La prochaine fois à Moscou »

Le président russe a parlé en anglais pour présenter l’idée à son homologue américain lors de la conférence de presse qui a suivi le sommet d’Anchorage en Alaska.

Vladimir Poutine a fait un rare pas en avant en anglais pour inviter le président américain Donald Trump à Moscou pour la prochaine série de négociations de paix, après leur sommet d’Anchorage, en Alaska, vendredi 15 août. Trump a déclaré qu’il envisageait la tenue de cette rencontre, même si elle se heurterait probablement à une résistance politique.

Lors de la conférence de presse d’après sommet, Trump a qualifié la réunion d’« extrêmement productive » et a déclaré : « Nous n’y sommes pas parvenus, mais nous avons de très bonnes chances d’y parvenir », sous-entendant qu’aucun accord n’avait encore été conclu.

À la fin de la conférence de presse, Trump a remercié Poutine et a déclaré qu’il espérait lui parler à nouveau bientôt.

« La prochaine fois à Moscou », a déclaré Poutine en anglais. « C’est intéressant », a répondu Trump. « Je vais être un peu critiqué pour ça. Mais je vois bien que ça pourrait arriver ».

Poutine a remercié Trump pour ce qu’il a qualifié de ton « amical » et d’approche « axée sur les résultats », affirmant que cela pourrait « nous mettre sur la voie d’une résolution en Ukraine ». Il a qualifié les discussions de « constructives » et a réitéré son point de vue selon lequel il n’y aurait pas eu de guerre en Ukraine si Trump avait été président lorsque le conflit a éclaté…

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