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Tunisie : les déchets plastiques coûtent 60 millions de dinars par an à l’économie

Tunisie : les déchets plastiques coûtent 60 millions de dinars par an à l’économie

Selon des rapports récents du Fonds mondial pour la nature et de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, les déchets plastiques coûtent à l’économie tunisienne près de 60 millions de dinars par an. Ces pertes sont principalement liées aux répercussions négatives de la pollution plastique sur les ressources halieutiques et sur le […]

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Bourse de Tunis : Clôture quasi-stable à 11 839 points, UNIMED domine les échanges

Le marché boursier a terminé la séance de jeudi, sur une note quasi-stable (+0,05 %) à 11839 points, dans un volume de 7,8 MDt.

▪ Le titre BTE s’est offert la meilleure performance de la séance. Sans faire l’objet de transactions, l’action de la banque mixte a signé une progression de 4,4 % à 4,310 Dt.

▪ Le titre ENNAKL a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action du concessionnaire automobile a inscrit une hausse de 3 % à 13,900 Dt.

▪ Le titre CIL s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du leaseur indépendant a dévissé de –4 % à 25,600 Dt. Les échanges sur le titre ont été très faibles, se montant à 11 mille dinars.

▪ Le titre UNIMED a figuré parmi les plus fortes baisses de la séance. L’action du fleuron national des produits stériles a reculé de –3,2 % à 9,100 Dt. Valeur la plus dynamique de la séance, UNIMED a alimenté le marché avec des capitaux de 5,5 MDt.

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Fatma Thabet Chiboub appelle à moderniser le réseau électrique et investir dans les énergies alternatives

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a effectué, vendredi, une visite de travail au Centre national de pilotage du système électrique, relevant de la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG), où elle s’est enquise sur les moyens employés pour maitriser la production et le transport d’électricité, ainsi que les systèmes de surveillance avancés permettant d’assurer l’équilibre entre l’offre et la demande d’électricité, outre les mécanismes mobilisés pour assurer une analyse instantanée des données, à même de prévoir des pannes potentiels sur le réseau électrique.

D’après un communiqué, publié par le département de l’Industrie, Chiboub a visité, également, le Centre de Surveillance et de Diagnostic de la Performance des Stations de Production d’électricité (relevant de la Direction centrale de production de l’électricité). Elle a pris connaissance, ainsi, du rôle de ce centre relatif au suivi des unités de production, ce qui permet de prévoir les pannes et d’éviter les coupures imprévues.

Par ailleurs, la ministre a présidé une réunion avec des responsables de la STEG, durant laquelle elle a évoqué plusieurs problématiques, portant, notamment, à la satisfaction de la demande énergétique, surtout pendant la saison estivale, les défis relatifs au bilan énergétique, et les répercussions des changements climatiques.

La réunion a constitué, aussi, une occasion pour passer en revue les solutions pratiques permettant de garantir l’approvisionnement continu en électricité, d’améliorer la qualité du service, et de développer le système électrique, ainsi que de renforcer la production de l’électricité.

Chiboub a souligné, dans ce cadre, l’impératif d’accroître les investissements dans le domaine des énergies alternatives et de moderniser le réseau électrique, tout en développant les infrastructures et en adoptant des technologies modernes pour répondre à la demande accrue d’énergie.

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La TIA parle d’une reprise de l’investissement en Tunisie

La Tunisia Investment Authority (TIA) annonce une progression des investissements déclarés à l’échelle nationale pour la période de janvier à juin 2025. Le total de ces investissements déclarés s’élève à 3 299,8 millions de dinars, soit une augmentation de 16,9 % par rapport à la même période en 2024.

Cette dynamique est largement portée par un projet touristique majeur dans le gouvernorat de Jendouba, d’un montant de 300 MDT, qui devrait générer 600 nouveaux emplois, ajoute la TIA dans son communiqué publié le 7 août 2025.

Les investissements déclarés sont prévus pour créer environ 45 839 opportunités d’emploi, soit une hausse de 4% par rapport à l’année précédente.

Les opérations de création dominent, représentant 75% des investissements (2 477,9 MDT) et 88 % des emplois déclarés (40 310), soulignant un élan entrepreneurial dans le pays.

Sur le plan sectoriel, le secteur industriel reste en tête, captant 37% des investissements totaux déclarés et 39% des emplois projetés, avec une augmentation de 9,6% des investissements et de 7,5 % des créations d’emplois par rapport à 2024.

Le secteur des services suit avec 23% des investissements (749,2 MDT) et 48 % des emplois (21 795). Le secteur agricole, malgré un recul de 18 %, représente 18% des investissements (586,6 MDT) et 4 832 emplois. Le tourisme, avec 13 % des investissements (434,3 MDT), contribue à 1 050 emplois, tandis que les énergies renouvelables représentent 9 % des investissements (307 MDT).

Au niveau régional, Kairouan se distingue avec 10,1% du total, grâce à un projet d’énergie renouvelable de 280 MDT.

Les investissements dans les zones de développement régional atteignent 1 685,3 MDT, soit 51% du total.

Par ailleurs, quatre Projets d’intérêt national (PIN) ont été déclarés à la TIA, totalisant 715,2 MDT et prévus pour créer 1 319 emplois, répartis comme suit : Un projet d’énergies renouvelables à Kairouan (280 DDT, 51 emplois); 2 projets industriels à Ben Arous et Gabès (135,2 MDT, 668 emplois) ; un projet touristique à Jendouba (300 MDT, 600 emplois).

En termes de structure du capital, les projets déclarés avec participation étrangère s’élèvent à 944,5 MDT (29 %) et devraient générer 8 880 emplois, soit 19 % des emplois déclarés.

Lire le rapport de la TIA en PDF.

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Tunisie – La TIFERT pourrait reprendre ses activités

La Société Tuniso-Indienne des Engrais (TIFERT) pourrait bientôt reprendre ses activités après une longue période d’arrêt. Une réunion de travail présidée par la ministre de l’Industrie, Fatma Thabet Chiboub, s’est tenue le 6 août. Elle réunissait les représentants du Groupe Chimique Tunisien (GCT), de la Compagnie des Phosphates de Gafsa (CPG), du partenaire indien, ainsi qu’un cabinet de conseil spécialisé.

Face aux difficultés financières et techniques rencontrées par l’entreprise TIFERT, plusieurs pistes de relance sont à l’étude. Le plan de restructuration évoqué inclut principalement :

  • la modernisation des équipements;

  • l’amélioration de la productivité;

  • la sécurisation des installations;

  • et la préservation des 630 emplois que compte l’usine.

En outre, la réunion a permis de faire le point sur l’unité de refroidissement. En effet, celle-ci a été endommagée lors d’un incendie survenu le 28 mai dernier. Ainsi, la ministre a insisté sur l’urgence de renforcer la sécurité industrielle. Et ce, tout en poursuivant les réformes, en étroite collaboration avec tous les partenaires concernés.

A cet égard, soulignons que l’entrée en production de la TIFERT date de 2013. C’est un projet stratégique tuniso-indien. Lequel est détenu à 70 % par la partie tunisienne et 30 % par le partenaire indien. Cette société occupe une place clé dans l’industrie des engrais chimiques en Tunisie et dans la région.

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Industrie des conserves de tomates en Tunisie | Une catastrophe pas seulement écologique

L’industrie des conserves de tomates en Tunisie pose de grands défis pour les ressources en eau, l’énergie électrique et l’environnement. Elle appauvrit les sols de cultures dans leur partie la plus riche en nutriments pour la plante, causant des préjudices pour l’agriculture et les agriculteurs qui sont généralement sous-payés. Cette situation concerne tout le secteur de la transformation des légumes et des fruits, où des groupes importants poursuivent leurs activités en toute impunité, estime l’auteur dans son article ci-dessous. Ces derniers bénéficient de la complaisance voire du soutien actif des autorités publiques. Difficile, dans ce cas, de ne pas supposer (à défaut de pouvoir le prouver matériellement) des cas de corruption.  

Vito Calvaruso *

Une surconsommation d’eau illégale et démesurée

Pendant que la Tunisie subit un stress hydrique critique entre juillet et août, l’industrie de conserves de tomates puise sans retenue dans les nappes phréatiques. La majorité des puits utilisés sont non autorisés, même, selon des sources internes au ministère de l’Agriculture. Pourtant, aucune fermeture n’est ordonnée, contrairement aux sanctions immédiates imposées aux agriculteurs.

Les industriels manipulent leurs déclarations de consommation d’eau : ils apportent des chiffres très inférieurs à la réalité, camouflant ainsi leurs forages clandestins. Cette pratique échappe à toute facturation dans un moment ou la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (Sonede) aurait l’utilité de financement pour assurer la maintenance des réseaux nationaux vieillissants.

Les industriels mettent en avant leurs efforts dans le recyclage des eaux de lavage comme preuve de leur engagement dans la préservation des ressources en eau. Pourtant cette pratique, loin d’être vertueuse, par la qualité de l’eau non conforme à la réglementation, constitue une grave entorse aux normes sanitaires et menace directement la qualité des produits finis (les cas ne sont pas si rares que ça).

Rapporté au kg de tomates et sur la période, l’industriel consomme autant sinon plus d’eau que l’agriculteur.

Le volume d’eau puisé dans la nappe pour le seul lavage de la tomate chaque année peut s’estimer à >5 – >7 millions de m3 dont 50 à 60% peuvent être économisés..

Eau recyclée de premier lavage de la tomate.

Des rejets toxiques qui empoisonnent l’environnement

Les eaux usées de lavage de la tomate, chargées de terre argileuse, résidus chimiques et matières organiques, sont problématiques à traiter et déversées sans traitement suffisant dans les oueds, les zones côtières et sur les sols cultivables.

Pourtant, la réglementation impose un traitement avant rejet selon une norme précise. Dans les faits, aucun industriel ne respecte les normes. Même les unités équipées de procédés de traitement avancés rejettent des eaux dangereusement polluées, détruisant les écosystèmes fragiles comme la lagune de Korba, déjà gravement affectée.

Les raisons sont multiples : déclarations inexactes sur la consommation d’eau, diagnostic incorrect conduisant à des moyens de traitement sous dimensionnés et non adaptés aux types d’eau usée.

L’ensemble des industriels sont contrevenant, chaque année, aux infractions suivantes :

  • Puits non autorisés ;
  • Eaux recyclées non conforme (risque sanitaire sur le produit fini) ;
  • Rejets dans le milieu naturel non conforme.
Rejets industriels dans un cours d’eau.

D’autres infractions peuvent être occasionnelles comme travaux en dehors de toutes autorisations.

Les contrevenants se voient verbalisé d’une pénalité, généralement de 10 000 dinars pour le rejet non conforme. Les autres infractions sont laissées pour compte, La pénalité est dérisoire et non contraignante. Ainsi, cette charge pour un industriel important, elle représentera moins de 1 mm du coût de production par kg de concentré. A son opposé, pour un industriel bien moins important la charge sera de 4 mm.

La pénalité est systémique s’appliquant chaque année sans que les industriels ne la payent attendant la convocation par les tribunaux, fréquemment au terme de 10 années. A ce moment ils demandent une transaction à l’Agence nationale de protection de l’environnement (ANPE), une entente est conclue avec l’abandon d’une partie des pénalités et des poursuites judiciaires. Le compteur est remis à zéro et un nouveau cycle identique recommence.

Des responsabilités clairement identifiées… mais ignorées

Les industriels :

  • Fraude organisée (puits illégaux, sous-déclaration des volumes).
  • Infractions répétées (rejets non conformes, qualité d’eau de recyclage non conforme présentant des risques graves).
  • Stratégie judiciaire (transaction avec l’ANPE, fin des poursuites, pénalités réduites).

Les autorités :

  • L’ANPE se contente de contrôles superficiels, peu fréquents (1 par saison), parfois ne conduisant à aucune verbalisation malgré que les constats identiques récurrents (des questions se posent).
  • Le ministère de l’Industrie bloque toute action coercitive, plaçant l’économie en unique politique.
  • Les autres ministères (Environnement, Agriculture) sont réduits au silence, malgré leurs prérogatives légales.

Des questionnements sont légitimes.

Evolution du cours d’eau après le rejet (fin de campagne).

La Steg, victime collatérale d’un gaspillage généralisé

La surconsommation d’eau entraîne une demande électrique anormalement élevée pour les pompages et le fonctionnement des unités de traitement. Selon des estimations primaires, 2 à 4% de la consommation nationale d’électricité seraient ainsi gaspillés chaque été, une pression insoutenable pour un réseau de la Société tunisienne d’électricité et de gaz (Steg) déjà fragilisé.

Un scandale qui dépasse l’écologie

Cette situation n’est pas seulement une catastrophe environnementale : c’est le symptôme d’un système corrompu, où quelques industriels influents bénéficient d’une impunité organisée. Les autorités, au lieu d’agir, préfèrent détourner le regard ou rejeter la faute sur le changement climatique.

D’autres industriels des secteurs de production de fruits en conserve et de la pomme de terre (frites surgelées, chips) transformés bénéficient de la même impunité.

Une infraction commune à tous ces industriels, le non classement pourtant obligatoire.

Les actions coercitives existent selon la loi :

  • Fermeture immédiate des puits illégaux et compteurs obligatoires.
  • Sanctions proportionnelles aux dégradations et destructions du milieu naturel, également atteinte au cadre de vie, aux activités touristiques.
  • Contrôles inopinés plus fréquents avec suspension d’activité en cas d’infraction répétés ou graves (l’inactivé d’une usine sera comblée par les autres, aucune baisse de production nationale).

Sans une volonté politique réelle, cette industrie continuera à piller les ressources et empoisonner le milieu naturel, avec la bénédiction de l’État.

* Expert international en traitement des effluents industriels, spécialisé dans la filière de transformation de la tomate, auteurs d’études sur les impacts environnementaux de cette activité. 

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Marokko – Erneuerbare Energien als Schlüssel zur industriellen Transformation

MinisterIndustrielle Entwicklung mit grünem Rückenwind – Neue Strategien, technologische Trends und Bildungspartnerschaften: Wie Marokko seine industrielle Zukunft mit Ökoenergie und Humankapital gestalten will Casablanca – Marokko setzt in seiner industriellen Entwicklungsstrategie verstärkt auf den Ausbau erneuerbarer Energien. Der Zugang zu reichlich vorhandener, kostengünstiger Ökoenergie stellt laut Herrn Ryad Mezzour, Minister für Industrie und Handel, einen […]

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Erhöhung der Wasserpreise eine dringende Notwendigkeit zur Bewältigung der Wasserkrise

Angesichts der zunehmend besorgniserregenden Situation im Bereich der Wasserwirtschaft sieht sich Tunesien gezwungen, seine Wassertarife zu überarbeiten, um den Herausforderungen der Wasserkrise im Land gerecht Mehr

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