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Vers un naming fort pour Carthage

L’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (AMVPPC) a annoncé sur sa page officielle le lancement d’un questionnaire destiné au grand public, dans le but de préparer l’expérience idéale du site de demain.

Intitulée “Vers un naming fort pour Carthage”, cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet de réhabilitation du Musée national de Carthage, implanté sur l’Acropole de Byrsa, l’un des douze sites ouverts à la visite de l’ensemble archéologique de Carthage, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.

L’objectif, est de créer une identité forte et immersive afin d’offrir une expérience unique autour de l’histoire, de l’héritage et de la renaissance continue de Carthage, et de trouver un nom porteur de sens, à la hauteur de ce site exceptionnel.

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FIC2025 : un voyage artistique à travers dix cultures du monde

L’amphithéâtre romain de Carthage a vibré dans la soirée du 11 août 2025 au rythme des cultures en provenance des quatre coins de la planète. Dans le cadre du spectacle “Ballets folkloriques du monde”, la 59ème édition du Festival international de Carthage (FIC2025) a livré la scène à des troupes issues de dix pays : Sénégal, Serbie, Inde, Irak, Libye, Burkina Faso, Tunisie, Egypte, Algérie et Palestine.

Chacune a offert un pan de son patrimoine, au fil de sa musique, de sa danse et de ses costumes traditionnels, dans un esprit de partage et de dialogue interculturel.

Réhaussée de la présence de plusieurs diplomates, la soirée a débuté le voyage artistique avec “Rythm Connection” du Sénégal. Portée par la voix puissante de son chanteur, la formation a mêlé tambour, batterie, guitare électrique et instruments traditionnels, oscillant entre rythmes modernes et sonorités ancestrales. Leur titre engagé “Pourquoi ça, qu’est-ce qui se passe” a été dédié au peuple palestinien.

Place ensuite à la troupe de l’Institut National de Danse de Belgrade (Serbie) et son fameux “kolo”, danse collective exécutée en cercles ou en lignes, symbole de joie partagée. Les quatorze danseurs en costumes traditionnels, accompagnés à l’accordéon, à la flûte et au tambour, ont offert un moment festif et fédérateur.

L’Inde a brillé avec le “Rahjanstani Folk Dance Group”, qui a présenté la danse Chari, où les danseuses, en tenues colorées, évoluent gracieusement avec des jarres sur la tête, dans une mise en scène évoquant les célébrations et rituels festifs.

Depuis Bagdad, la troupe “Dar Ellibes” -The Iraqi House of Fashion” a transporté le public dans l’univers des Mille et Une Nuits. Costumes somptueux, broderies raffinées et défilé chorégraphié sur fond de musique traditionnelle irakienne ont captivé le public.

La Troupe nationale des arts populaires de Libye a enchaîné avec un spectacle musical et chorégraphique où le bendir, le tbal et la cornemuse (zokra) rappelaient des sonorités tunisiennes.

Le Burkina Faso a enflammé la scène grâce à la troupe Nazounski, dont les percussions effrénées, les chants scandés et les pas puissants ont transmis une énergie à l’unisson.

L’entrée de la troupe des Twayef de Ghbonten de la Tunisie s’est faite sous les applaudissements et les youyous avec “Jinek ye Carthage”, le titre interprété par ce groupe de poètes chanteurs dont les arts du spectacle figurent depuis 2024 sur la liste représentative du patrimoine immatériel de l’Unesco.

L’Egypte, avec sa Troupe nationale des arts populaires, a offert un moment magique avec la danse soufie du derviche tourneur, illuminée de couleurs, avant d’enchainer avec un tableau énergique inspiré des danses de Haute-Egypte.

Depuis l’Algérie, la Troupe Théveste des arts populaires a fait résonner les échos du patrimoine partagé avec la Tunisie, entre chants, bendirs et danses, entraînant le public à se lever.

En clap de fin, la troupe palestinienne Koufiya a livré un bouquet final engagé et émouvant avec des chansons patriotiques et une chorégraphie de jeunes danseurs en tenues traditionnelles qui ont apporté une note d’espoir.

Pendant plus de deux heures et demie, richesse, diversité et authenticité ont été les maîtres-mots de ce spectacle. Toutes les troupes, réunies sur scène pour un salut collectif au son de la musique palestinienne, ont incarné l’esprit même du Festival international de Carthage : un pont entre les peuples et les civilisations.

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Vers un naming fort pour Carthage : imaginer l’expérience idéale

L’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (AMVPPC) a annoncé sur sa page officielle le lancement d’un questionnaire destiné au grand public, dans le but de préparer l’expérience idéale du site de demain.

Intitulée « Vers un naming fort pour Carthage », cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet de réhabilitation du Musée national de Carthage, implanté sur l’Acropole de Byrsa, l’un des douze sites ouverts à la visite de l’ensemble archéologique de Carthage, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.

L’objectif, est de créer une identité forte et immersive afin d’offrir une expérience unique autour de l’histoire, de l’héritage et de la renaissance continue de Carthage, et de trouver un nom porteur de sens, à la hauteur de ce site exceptionnel

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Football | Moutaz Neffati choisit la Tunisie

Moutaz Neffati est désormais officiellement un Aigle de Carthage. Ce jeune joueur prometteur de 20 ans, qui évolue à l’IFK Norrköping, a décidé de tourner le dos à la Suède pour défendre les couleurs de son pays d’origine : la Tunisie.

Le joueur, qui possède la double nationalité suédoise et tunisienne, a choisi de représenter la Tunisie au niveau international. Cette annonce a été confirmée par la Fédération tunisienne de football, qui a accueilli chaleureusement ce nouveau talent en ses rangs.

Moutaz Neffati, qui avait déjà représenté la Suède en sélection de jeunes, s’engage désormais avec l’équipe nationale tunisienne, où il pourra jouer en sélection senior.

Cette décision marque une étape décisive dans la trajectoire prometteuse du milieu offensif, qui espère désormais briller sous ses nouvelles couleurs et contribuer à la gloire internationale de la Tunisie.

I. B.

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FIC2025 – “Ballets folkloriques du monde” : un voyage scénique au cœur des traditions musicales de dix pays

L’amphithéâtre romain de Carthage a vibré, le soir du 11 août 2025, au rythme des cultures venues des quatre coins du monde. Dans le cadre du spectacle « Ballets folkloriques du monde », la 59 édition du Festival international de Carthage (FIC2025) a ouvert sa scène à des troupes de dix pays : Sénégal, Serbie, Inde, Irak, Libye, Burkina Faso, Tunisie, Égypte, Algérie et Palestine.

Chacune de ces formations a offert un fragment de son patrimoine à travers musiques, danses et costumes traditionnels, dans un esprit de partage et de dialogue interculturel.

Rehaussée par la présence de nombreux diplomates, la soirée s’est ouverte avec « Rhythm Connection » du Sénégal. Portée par la voix puissante de son chanteur, la troupe a mêlé tambours, batterie, guitare électrique et instruments traditionnels, entre rythmes modernes et sonorités ancestrales. Leur titre engagé Pourquoi ça, qu’est-ce qui se passe ? a été dédié au peuple palestinien.

La troupe de l’Institut national de danse de Belgrade (Serbie) a pris le relais avec son célèbre « kolo », une danse collective en cercles ou en lignes, symbole de joie partagée. Les quatorze danseurs en costumes traditionnels, accompagnés à l’accordéon, à la flûte et au tambour, ont offert un moment festif et fédérateur.

L’Inde a ensuite brillé avec le Rahjanstani Folk Dance Group, qui a présenté la danse Chari. Les danseuses, en tenues éclatantes, ont évolué gracieusement avec des jarres sur la tête, évoquant rituels et célébrations traditionnels.

Depuis Bagdad, la troupe Dar Ellibes – The Iraqi House of Fashion a transporté le public dans l’univers enchanteur des Mille et Une Nuits. Costumes somptueux, broderies raffinées et chorégraphie élégante sur musique traditionnelle ont capté tous les regards.

La Troupe nationale des arts populaires de Libye a ensuite proposé un spectacle mêlant musique et danse, où les sonorités du bendir, du tbal et de la zokra (cornemuse) ont évoqué des airs familiers de Tunisie.

Le Burkina Faso a électrisé la scène grâce à la troupe Nazounski, dont les percussions effrénées, les chants scandés et les pas puissants ont dégagé une énergie contagieuse.

La troupe tunisienne Twayef de Ghbonten est entrée sous les applaudissements et les youyous avec « Jinek ye Carthage », un titre interprété par ce groupe de poètes-chanteurs dont l’art a été inscrit en 2024 au patrimoine immatériel de l’UNESCO.

L’Égypte, avec sa Troupe nationale des arts populaires, a offert un moment magique grâce à la danse soufie du derviche tourneur, baignée de lumière et de couleurs, avant d’enchaîner avec un tableau inspiré des danses de Haute-Égypte.

Venue d’Algérie, la Troupe Théveste des arts populaires a ravivé les liens patrimoniaux partagés avec la Tunisie à travers chants, bendirs et danses entraînantes, incitant le public à se lever.

En bouquet final, la troupe palestinienne Koufiya a livré un moment poignant, entre chansons patriotiques et chorégraphie de jeunes danseurs en costumes traditionnels, offrant une note d’espoir vibrante d’émotion.

Pendant plus de deux heures et demie, richesse, diversité et authenticité ont été les maîtres-mots de cette soirée. Toutes les troupes se sont réunies sur scène pour un salut collectif au son d’une musique palestinienne, incarnant l’essence même du Festival international de Carthage : un pont entre les peuples et les civilisations.

FIC 2025 : Après neuf ans d’absence, Najwa Karam signe un retour à guichets fermés, au fil d’une soirée empreinte de retrouvailles et de nostalgie

Après neuf ans d’absence, la star libanaise Najwa Karam a signé, dans la soirée du 9 août 2025, un retour en grande pompe sur la scène mythique de l’amphithéâtre romain de Carthage. La chanteuse a retrouvé un public fidèle dont l’enthousiasme avait déjà scellé le succès de la soirée à guichets fermés, dans le cadre de la 59ème édition du Festival international de Carthage (FIC).

Pendant plus de deux heures, Najwa Karam a entraîné le public dans un voyage musical mêlant tubes intemporels et nouveautés. Retransmise en direct sur la chaîne nationale Watania, Rotana Music et LBC Liban, la soirée s’est ouverte dans la ferveur d’applaudissements et d’acclamations bien avant l’apparition de la chanteuse. Lorsqu’elle a foulé la scène sur les premières notes de “Ezzik deyem ye Carthage”, qu’elle avait interprétée pour la première fois en 1997 dans le même écrin, pour rendre un hommage vibrant à la cité antique et aux liens qui l’unissent à Sidon et Tyr, la foule s’est levée d’un seul élan, chantant et dansant à l’unisson jusqu’au dernier accord.

La voix puissante de Najwa Karam a aussitôt retrouvé toute son ampleur avec “bi gharamak masloube”, entamé par un mawel avant d’enchaîner, avec la complicité du public, par un cocktail de son répertoire, comme “hayda haki” à “achega”, “khalini choufak belayl” ou “tahamouni” et des medleys qui ont mêlé d’autres succès populaires comme “saharni”, “taa janbi”, “ana ma fii” et “khayarouni”.

La complicité entre Najwa Karam et son public s’est intensifiée au fil de cette soirée, empreinte de retrouvailles et de nostalgie, et portée par ce mélange habile de rythmes entraînants et de mélodies mémorables comme “w kberna ya bayi”, “damaa”, “tnoub”, “khalik al ardh” ou “ouyoun albi ».

Vêtue d’une élégante “abaya” tunisienne, Najwa Karam a confié, lors de la conférence de presse suivant le concert, l’attachement particulier qu’elle porte au Festival international de Carthage. Elle a souligné avec émotion que c’était là sa dixième prestation sur cette scène qu’elle décrit comme inoubliable. La star de la soirée a réaffirmé sa fierté de défendre son style musical et son dialecte libanais, se réjouissant que chaque passage à Carthage soit une nouvelle occasion de graver des souvenirs mémorables.

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Une robe de 25 000 dinars pour Najwa Karam au Festival international de Carthage

Une robe de 25 000 dinars pour Najwa Karam au Festival international de Carthage

Lors de son passage sur la scène du Festival international de Carthage, la chanteuse Najwa Karam a ébloui le public vêtue d’une somptueuse robe dorée signée par le célèbre créateur libanais Georges Chakra. Selon la journaliste Chaima Kaouane Bahhar, cette tenue, inspirée du costume carthaginois, est estimée à 25 000 dinars tunisiens. Issue de la […]

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ECLAIRAGE – Néomercantilisme – Quand les blocs mercantilistes annoncent les guerres mondiales (3/3)

À chaque époque de l’Histoire, lorsque le monde se fracture en blocs économiques concurrents, le mercantilisme s’institutionnalise, la rivalité s’intensifie et la guerre devient inévitable. De l’Antiquité à nos jours, la montée des logiques protectionnistes et de l’affrontement géoéconomique débouche sur des conflits planétaires. Sommes-nous aujourd’hui à l’orée d’un nouveau cycle ?

Carthage contre Rome : la matrice antique du conflit géoéconomique

Loin d’être une simple rivalité militaire, la lutte entre Carthage et Rome trouve ses racines dans une confrontation économique systémique. Carthage, puissance maritime commerçante, bâtit sa prospérité sur le contrôle des échanges méditerranéens. Rome, au contraire, développe une logique d’expansion territoriale, agricole et militaire. À mesure que leurs sphères d’influence s’entrechoquent, les tensions deviennent irréversibles. Les Guerres Puniques ne furent pas seulement des affrontements d’empires, mais la première grande guerre mondiale autour du commerce et de la domination économique régionale.

Ce modèle se répète dans l’Histoire, chaque fois que deux systèmes économiques structurés autour de réseaux fermés et d’intérêts exclusifs se heurtent.

L’Europe moderne et les empires : le mercantilisme comme ferment de la guerre

Du XVIe au XIXe siècle, les puissances européennes s’engagent dans une course effrénée aux colonies, aux routes maritimes et aux métaux précieux. L’Espagne, le Portugal, la France colbertiste et l’Angleterre impériale adoptent des politiques mercantilistes assumées : enrichissement par l’excédent commercial; monopole sur les matières premières; subordination des périphéries coloniales.

Chaque expansion commerciale entraîne son lot de confrontations. La Guerre de Sept Ans (1756-1763) , les conflits napoléoniens, ou encore la guerre d’indépendance américaine sont autant de symptômes d’un monde compartimenté par des logiques de domination économique. La fermeture des blocs, l’érection de barrières tarifaires et la militarisation du commerce transforment la concurrence en affrontement militaire.

 

Du XVIe au XIXe siècle, les puissances européennes s’engagent dans une course effrénée aux colonies, aux routes maritimes et aux métaux précieux. L’Espagne, le Portugal, la France colbertiste et l’Angleterre impériale adoptent des politiques mercantilistes assumées : enrichissement par l’excédent commercial, monopole sur les matières premières, subordination des périphéries coloniales.

 

Les deux guerres mondiales : l’apogée des blocs géoéconomiques rivaux

Le XXe siècle illustre, dans sa brutalité, les conséquences extrêmes du cloisonnement économique mondial. À la veille de la Première Guerre mondiale, le monde est structuré en empires impérialistes, chacun tentant de maximiser ses intérêts commerciaux au détriment des autres. L’absence de régulation multilatérale et la montée des nationalismes économiques accélèrent l’engrenage vers la guerre.

Le schéma est encore plus explicite dans les années 1930. Face à la crise de 1929, les puissances ferment leurs économies, instaurent des zones d’influence fermées, mettent en place des politiques autarciques. L’Axe Rome-Berlin-Tokyo défie ouvertement l’ordre libéral anglo-saxon. La logique des blocs se durcit, les rivalités s’exacerbent, et l’économie mondiale s’effondre sous le poids des tensions. La Seconde Guerre mondiale n’est pas née du hasard, mais bien d’un déséquilibre systémique provoqué par un mercantilisme nationaliste et prédateur.

Lire aussi : Néoprotectionnisme ou néomercantilisme : où en sommes-nous exactement ?

Le monde contemporain : un nouveau cycle de fragmentation

Depuis deux décennies, les signes avant-coureurs d’une nouvelle structuration en blocs sont de plus en plus visibles. Le retrait des États-Unis de plusieurs accords multilatéraux, la guerre commerciale sino-américaine, la militarisation du commerce technologique et la multiplication des sanctions ont ouvert une ère de découplage. Les BRICS s’élargissent et proposent une alternative à l’ordre occidental en s’appuyant sur la souveraineté monétaire, la dédollarisation et les alliances régionales. En face, l’Occident resserre ses rangs autour de l’OTAN, du G7 et de l’Union européenne, dans une logique de sécurisation des intérêts énergétiques, industriels et géopolitiques.

Lire également : « Les BRICS sont morts » s’ils s’attaquent au dollar, selon Trump

Le commerce n’est plus un vecteur de paix mais un instrument de pression. L’Organisation mondiale du commerce (OMC) est marginalisée, les chaînes de valeur se régionalisent et la coopération internationale se délite. Chaque bloc cherche à imposer son modèle, à verrouiller ses marchés, à exclure ses rivaux. Le piège de Thucydide devient économique : la montée en puissance de nouvelles économies crée une tension insoutenable avec les hégémonies en place.

Et la Tunisie dans tout cela ? Entre vulnérabilité et opportunité

Dans ce contexte de recomposition globale, la Tunisie se retrouve dans une position d’équilibriste. Trop dépendante de ses partenaires traditionnels pour rompre brutalement avec l’ordre établi; mais suffisamment exposée aux nouvelles routes économiques pour espérer en tirer profit, elle doit impérativement repenser sa stratégie.

Refuser de choisir un camp ne signifie pas rester passif. Il s’agit plutôt de construire une posture active de non-alignement stratégique, fondée sur la diversification des partenariats, le renforcement de la coopération régionale et la montée en gamme de son économie. L’Afrique, les BRICS, la Méditerranée du Sud offrent des relais de croissance que la Tunisie doit saisir sans renier ses ancrages euro-méditerranéens. Mais pour cela, encore faut-il retrouver une cohérence de politique économique, une stabilité institutionnelle et une vision stratégique.

 

Dans ce contexte de recomposition globale, la Tunisie se retrouve dans une position d’équilibriste. Trop dépendante de ses partenaires traditionnels pour rompre brutalement avec l’ordre établi, mais suffisamment exposée aux nouvelles routes économiques pour espérer en tirer profit, elle doit impérativement repenser sa stratégie.

 

L’Histoire bégaie, mais l’intelligence peut rompre le cycle

Si l’Histoire nous enseigne que les blocs mercantilistes conduisent inévitablement à la guerre, elle nous rappelle aussi que l’intelligence politique et la coopération peuvent en atténuer les effets. L’après-1945 avait vu naître un ordre multilatéral fondé sur des règles, des institutions et une certaine idée de l’interdépendance pacifique. Ce cadre est aujourd’hui affaibli, mais il peut être réinventé.

L’enjeu pour les puissances émergentes et les pays vulnérables comme la Tunisie n’est pas seulement de survivre à cette polarisation; mais de contribuer à la reconstruction d’un ordre plus équitable, ouvert et résilient. Faute de quoi, la logique des blocs, une fois encore, finira par embraser le monde.

 

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ECLAIRAGE – Néomercantilisme et géopolitique – Un retour stratégique ou un repli systémique ? (1/3)

ECLAIRAGE – Géopolitique – La Tunisie à l’épreuve du néomercantilisme mondial (2/3)

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Lotfi Abdelli annonce son retour au Festival international de Carthage 2026

Lotfi Abdelli annonce son retour au Festival international de Carthage 2026

L’humoriste tunisien Lotfi Abdelli fera son grand retour au Festival international de Carthage à l’été 2026, comme il l’a annoncé sur sa page personnelle ce dimanche 10 août 2025. Après s’être installé en France en 2022 suite à des tensions avec certains représentants du syndicat des forces de l’ordre en Tunisie, qui l’avaient accusé d’avoir […]

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Les dilemmes du concert de Saint Levant : respect des goûts ou quête d’excellence?

Le concert de Saint Levant à Carthage a suscité de vives réactions et divise profondément l’opinion publique. D’un côté, certains défendent son plein droit à se produire sur cette scène mythique, insistant sur la liberté artistique. De l’autre, certains estiment qu’il ne correspond pas à l’envergure des grands noms qui ont marqué cet endroit, tels que Feyrouz, Marcel Khalifa, Eros Ramazzotti, James Brown, les Jackson Five ou encore Rag’n’Bone Man, la liste est bien longue… 

Face à ces critiques, de nombreux internautes ont pris la défense de Saint Levant en appelant à plus de tolérance et à la fin des jugements hâtifs. Selon eux, chacun est libre de ses goûts : si un artiste ou un spectacle ne plaît pas, il suffit de ne pas y prêter attention ou de ne pas y assister. Ils rappellent aussi que le fait de ne plus être jeune n’est pas la faute de la nouvelle génération, et dénoncent fermement l’attitude fermée, voire toxique, qui voudrait imposer ses préférences à tous et priver les festivals de leur diversité.

Cependant, sur un autre plan, Mourad Mathari, fondateur et Promoteur de Jazz à Carthage Fondateur et Gérant de Scoop Organisation, Co Fondateur de Mûsîqât, Producteur exécutif des plus belles éditions du Tabarka Jazz Festival(1997/2004), Fondateur de la start up culturelle Evolutik et de sa plateforme de vente en ligne EazyTick.com et expert du milieu artistique, reste sceptique. Il souligne une problématique importante, souvent ignorée par le public : « Beaucoup d’artistes, bien que largement rémunérés par l’État pour leurs prestations en Tunisie, ont recours au playback ou à des séquences préenregistrées. Le public n’y voit souvent que du feu, mais la question de l’exigence artistique et de la bonne utilisation des fonds publics mérite d’être sérieusement posée. « 

Ainsi, si la liberté et le respect des goûts doivent prévaloir dans le débat, il est essentiel de ne pas perdre de vue la qualité artistique et la transparence dans la gestion des ressources publiques. Le défi reste de trouver un juste équilibre entre ouverture d’esprit et exigence, pour que la scène culturelle tunisienne continue à briller avec intégrité.

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JCC | Ouverture des inscriptions pour la compétition officielle des CM

Le comité général des Journées Cinématographiques de Carthage vous annonce l’ouverture des inscriptions de la compétition officielle des courts Métrages jusqu’au 30 Septembre 2025

Les films doivent être inscrits obligatoirement sur le lien dédié, rappellent les organisateurs

Cette année, les JCC auront lieu du 13 au 20 décembre 2025 et cette 36ème édition rendra hommage au musicien, dramaturge, acteur et journaliste libanais Ziad Rahbani disparu le 26 juillet dernier à Beyrouth.

Y. N.

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FIC 2025: Saint Levant mêle rap, oud et dabka dans un show inoubliable

La soirée du 5 août 2025 était parmi les plus attendues de la 59ème édition du Festival international de Carthage (FIC). Annoncé sold out depuis plusieurs semaines, le concert de Saint Levant confirmait l’immense attente autour de la venue de ce phénomène palestino-algérien.

De son vrai nom Marwan Abdelhamid, Saint Levant est l’étoile montante d’une musique polyglotte et engagée qui fait vibrer la jeunesse du monde arabe, et bien au-delà, avec des chansons en arabe, français et anglais, mêlant amour, exil, identité et messages forts en faveur de la Palestine.

Sur la scène de l’amphithéâtre romain de Carthage, le jeune artiste a livré une performance où il a, en parfaite complicité avec un public portant, corps et âme, la cause palestinienne, enchaîné ses titres les plus emblématiques comme “On This Land”, “Daloona”, “Forgive Me”, “Galbi”, “Exile”, “Deira”, “Kalamantina”…

Dans une mise en scène symbolique, où flottaient côte à côte les drapeaux de la Tunisie, de la Palestine et de l’Algérie, la voix de Saint Levant s’est posée comme un souffle vibrant sur les pierres millénaires du théâtre antique. Dès les premières notes de “From Gaza With Love”, la foule a chanté à l’unisson dans une ferveur exceptionnelle.

Entre confidences intimes, paroles de résistance et moments d’exaltation, Saint Levant a tissé près de deux heures de communion avec un public majoritairement jeune, mais aussi composé de familles et de fans de tous horizons, présents depuis des heures avant le spectacle pour vivre cet instant tant attendu.

Acclamé par ses fans, l’artiste a également offert deux morceaux inédits, deux nouveautés : “ya samra” et “ya sabah el fol wel yasmin”.

Malgré quelques soucis techniques au niveau du son, et un répertoire encore modeste, Marwan Abdelhamid a confié avoir donné à Carthage le concert le plus long de sa carrière. Là où ses spectacles ne dépassent généralement pas une heure, il est resté deux heures sur scène, chantant, jouant du saxophone et du oud, dansant sur des airs arabes et tunisiens, notamment sur l’incontournable “Sidi Mansour”, dans une ambiance rythmée par la “dabka” palestinienne, des danses algériennes et tunisiennes.

Le jeune artiste a profité de cette soirée pour rendre hommage à plusieurs figures clés de son parcours, comme Souhayl Guesmi (alias Ratchopper), producteur bien connu sur la scène rap tunisienne, ou encore Mabrouka, sa nourrice tunisienne, dont il a déjà partagé l’histoire sur les réseaux sociaux.

A seulement 25 ans, avec quatre albums à son actif, Saint Levant -auteur-compositeur-interprète et rappeur- a signé à Carthage son tout premier concert en Tunisie à guichets fermés, dans la liesse et la ferveur, où la Palestine chantée et scandée a résonné dans les voix d’un public debout, les poings levés…et lumière dans les yeux.

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JCC 2025 : un hommage vibrant à Ziad Rahbani, icône du cinéma et de la musique arabes

La 36ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC), qui se tiendra du 13 au 20 décembre 2025, rendra hommage à la mémoire du musicien, dramaturge, acteur et journaliste libanais Ziad Rahbani, disparu le 26 juillet 2025 à Beyrouth.

Le nom de Ziad Rahbani, mentionne un communiqué du comité directeur du festival, est associé aux grandes figures du nouveau cinéma arabe, que ce soit en tant qu’acteur ou compositeur, parmi lesquels Farouk Beloufa, Randa Chahhal, Kassem Hawal et Maroun Bagdadi.

Dans ce contexte, la programmation comprendra une sélection de films auxquels il a participé, ainsi que des activités spéciales mettant en lumière son parcours, son esthétique singulière et son génie musical.

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FIC2025: Retour triomphal de Nancy Ajram à Carthage huit ans après sa dernière apparition

Huit ans après son dernier passage au Festival international de Carthage, lors de la 53ème édition en 2017, la star libanaise Nancy Ajram a signé dans la soirée du 2 août 2025, un retour triomphal dans le cadre de la 59ème édition du festival.

Devant un amphithéâtre archicomble et face à un public qui a débarqué près de cinq heures avant le début du spectacle, patientant avec ferveur pour assister à la soirée, elle a offert deux heures de prestation vibrante et de musique envoutante lors d’un concert à guichets fermés.

Depuis la sortie de son album “Ya Salam” en 2003, Nancy Ajram s’est imposée comme une figure incontournable de la scène musicale arabe, séduisant des générations différentes par un style mêlant fraîcheur, spontanéité et charisme. Deux décennies plus tard, elle continue de captiver les fans grâce à une présence scénique affirmée et un répertoire aussi vaste que varié.

Accueillie par un torrent d’applaudissements, elle a commencé le spectacle avec son tube “badna nwallee el jaw”, donnant d’emblée le ton d’une soirée rythmée et festive. Dans une ambiance de parfaite complicité entre l’artiste et ses fans, le concert a alterné entre titres anciens et morceaux plus récents, offrant un véritable voyage musical à travers ses plus grands succès. Des tubes énergiques comme “ye tabtab”, “hobbak saffah”, “eddonia helwa”, “tigui nenbesset” ou “ah w noss” ont fait danser un public euphorique, debout dès les premières notes.

Les ballades romantiques, parmi lesquelles “fi hagat”, “albi ya albi” ou encore “enta eeh”, ont enveloppé l’amphithéâtre romain de Carthage d’une émotion palpable. A la demande du public, elle a également interprété “ommi”, un moment fort qui a renforcé le lien authentique et profond entre l’artiste et ses fans.

Derrière la simplicité apparente de son style, les chansons de Nancy Ajram touchent par leur sincérité, oscillant entre légèreté et profondeur. Sa manière spontanée de parler à son public, son sourire naturel et sa présence scénique ont largement contribué à créer une ambiance chaleureuse et inoubliable.

En marge du concert, et lors d’une conférence de presse, l’artiste n’a pas caché son émotion de retrouver le public tunisien, qu’elle a qualifié de “fidèle et chaleureux”. Elle a affirmé avoir donné le meilleur d’elle-même pour répondre aux attentes de cette soirée tant attendue. Interrogée sur d’éventuelles collaborations, elle s’est dite enthousiaste à l’idée de travailler avec des artistes tunisiens, notamment des paroliers, espérant nourrir son univers musical de nouvelles couleurs créatives.

Dans un paysage musical souvent dominé par les tendances électroniques, Nancy Ajram qui a offert une parenthèse délicate, rappelant que certaines mélodies traversent le temps sans jamais perdre leur éclat, vient de signer ainsi un retour qui résonne comme une célébration du talent et d’un succès incontesté.

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Carthage | Nouvelles découvertes au temple de Tanit et Baal Hammon à Carthage

Dans le cadre du projet d’aménagement et de valorisation du Tophet de Carthage, des fouilles archéologiques au temple de Tanit et Baal Hammon ont permis la découverte d’un nombre important de jarres votives et d’offrandes.

Selon l’Institut national du patrimoine (INP), certaines de ces jarres datent du Ve siècle av. J.-C., voire de la fin du VIe siècle av. J.-C., tandis que d’autres datent du IIIe siècle av. J.-C.

Selon la même source, ces jarres contiendraient des restes calcinés d’enfants prématurés, de nouveau-nés et de divers animaux, qui auraient été enterrés selon les rites religieux pratiqués à Carthage à l’époque.

Les fouilles, poursuit l’INP, ont également permis de mettre en lumière les transformations subies par le site sacré à l’époque romaine.

L’équipe a mis au jour des murs datant des IIe et IIIe siècles après J.-C., ainsi que d’autres datant de la fin de l’époque romaine. L’INP a souligné que les travaux scientifiques de terrain se poursuivent, menés par l’équipe de recherche impliquée dans le projet de mise en valeur du Tophet.

Selon l’institut, le projet vise à approfondir l’étude des composantes du temple carthaginois et de ses modifications au cours des périodes historiques ultérieures, afin de présenter et d’interpréter le site de manière moderne et scientifiquement précise, tant pour les spécialistes que pour le grand public.

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Les JCC rendront hommage à Ziad Rahbani

Les Journées cinématographiques de Carthage (JCC) dans leur 36e édition, du 13 au 20 décembre 2025, rendront hommage au musicien, dramaturge, acteur et journaliste libanais Ziad Rahbani.

Le nom de Ziad Rahbani est associé aux grandes figures du nouveau cinéma arabe, que ce soit en tant qu’acteur ou compositeur, parmi lesquels : Farouk Beloufa, Randa Chahhal, Kassem Hawal et Maroun Bagdadi.

La présence de Ziad Rahbani à cette édition ne sera pas marquée par son “ Long métrage américain”, mais bien par son sens artistique unique et son intelligence musicale.

La programmation du festival inclura une sélection de films auxquels il a participé, ainsi que des activités spéciales mettant en lumière son parcours créatif.

Notons que Ziad Rahbani, fils de la diva Fairouz et du compositeur Assy Rahbani, est considéré comme l’une des figures les plus marquantes de la musique et du théâtre dans le monde arabe. Il est décédé à l’âge de 69 ans samedi 26 juillet 2025 à Beyrouth.

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À Carthage, l’Histoire s’invite au café

Sous l’ombre bienveillante des ruines antiques, la mémoire carthaginoise s’apprête à vibrer de nouveau. Ce samedi 2 août 2025 à 17h30, le café culturel Scipion, situé au cœur de Carthage, accueillera une rencontre exceptionnelle organisée par l’Association du Récif Culturel, sous la présidence de Néjib Gaça.

L’événement, à la fois historique et symbolique, portera sur un moment clé de l’histoire antique : la bataille de Cannes, opposant les forces de Carthage à celles de Rome. Intitulée «La bataille de Cannes : génie tactique et création stratégique», la conférence sera assurée par Mourad Jebali, historien reconnu pour ses travaux sur l’armée d’Hannibal et les guerres puniques.

Deux invités de marque prendront part au débat : l’écrivain auteur d’ouvrage sur l’histoire carthaginoise historien tous deux figures incontournables des études carthaginoises.

Mais au-delà du contenu érudit, c’est le choix du lieu qui interpelle : le café Scipion, nommé d’après le général romain vainqueur d’Hannibal à Zama. Une provocation ? Plutôt un pied de nez à l’histoire dominante. Pour Néjib Gaça, président de l’association organisatrice, «il s’agit de retourner les symboles, d’investir les lieux de mémoire pour y faire résonner notre propre récit, celui de la grandeur carthaginoise.»

Un geste politique et culturel assumé, dans une Tunisie en quête de repères. «En choisissant Scipion pour honorer Hannibal, nous célébrons le génie de notre peuple, la fierté d’un héritage, et la capacité à transformer les cafés en espaces de pensée et de transmission», ajoute un membre de l’association.

La rencontre est également née d’une dynamique locale, impulsée par les habitants de la banlieue nord de la capitale et les habitués du café, désireux de faire des lieux de sociabilité ordinaire des poumons culturels vivants.

Dans un contexte méditerranéen traversé par les tensions identitaires et les relectures du passé, cette initiative locale réaffirme une vérité simple : l’Histoire ne se résume pas aux musées. Elle se raconte, se discute, et s’habite – parfois autour d’un café.

Djamal Guettala 

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La Nuit des Chefs le 1er août 2025 au Festival de Carthage

En marge du spectacle intitulé La Nuit des Chefs, l’Orchestre Symphonique Tunisien accueille un groupe de chefs d’orchestre venus de différents pays, conviés à enrichir cet événement par des performances singulières, reflet de la vision artistique propre à chacun.

Chaque chef apporte sa signature musicale, confirmant ainsi la portée de cette expérience unique.

L’empreinte de chaque maestro incarne une générosité rare et un talent remarquable, témoignant d’un véritable esprit de partage autour de la passion culturelle et artistique qui anime tous les participants.

Chefs d’orchestre invités :

  • Shady Garfi (Tunisie)
  • Ahmet Bran (Turquie)
  • Andrea Tarantino (Italie)
  • Lotfi Saïdi (Algérie)
  • Lamar Elyes (Palestine)

Avec la participation des chanteuses :

  • Goar Faradzhian (Italie)
  • Mine Bitmez (Turquie)

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JCC 2025 | Ouverture des inscriptions pour la compétition officielle des longs métrages

Le Comité génétal des Journées cinématographiques de Carthage (JCC) attendus du 13 au 20 décembre 2025 annonce l’ouverture officielle des inscriptions pour la compétition des longs métrages

Les réalisateurs et producteurs intéressés et souhaitant concourir à ce rendez-vous incontournable du cinéma africain, arabe et international, ont jusqu’au 15 septembre 2025 pour soumettre leurs films via la plateforme dédiée : https://inscription.jcctunisie.org.

Depuis leur création en 1966, les JCC mettent en valeur le cinéma engagé et la diversité culturelle et réunit chaque année, à Tunis, amateurs, cinéphiles et cinéastes venus de différents pays et d’horizons variés.

Y. N.

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