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Le timbre de voyage tunisien se numérise 

Indispensable pour toute sortie légale du territoire national, le timbre de voyage tunisien, d’une valeur de 60 dinars, entre désormais dans le numérique. Autrement dit, il n’est plus besoin d’aller faire la queue devant les recettes des finances ou des bureaux des tabacs à l’aéroport juste pour s’acheter un timbre. En lieux et places, vous pouvez l’obtenir un clic car disponible en format électronique via la plateforme officielle e-timbres.finances.gov.tn.

Le timbre électronique s’inscrit dans un cadre plus général de de la stratégie globale de dématérialisation des services publics afin de simplifier les démarches, réduire la bureaucratie et renforcer la transparence.

Mode de fonctionnement ?

Pour les voyageurs tunisiens et les résidents étrangers, qui doivent s’acquitter de la taxe de sortie de 60 dinars, peuvent désormais le faire en ligne, par carte bancaire ou postale. Dès que le paient est fait, le système génère un identifiant unique de 16 chiffres, envoyé par SMS ou e-mail, qui servira ainsi de « justificatif » aux services des frontaliers.

Le timbre électronique contient les informations suivantes :

  • Numéro et pays du passeport,

  • Date d’achat du timbre,

  • Montant payé,

  • Validité de six mois.

Grâce à une interconnexion entre les systèmes des ministères des Finances et de l’Intérieur, les services de la police des frontières peuvent immédiatement vérifier l’authenticité du code, rapporte un site de la place.

L’espoir est de voir ce genre de service au citoyen se généraliser à tous les niveaux.

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Tunisie – Education : les syndicats se préparent à perturber la rentrée scolaire 

La rentrée scolaire s’annonce déjà comme bousculée, si l’on en croit un communiqué commun, publié le 15 août 2025, par les Fédérations de l’enseignement de base et de l’enseignement secondaire, lesquelles appellent leurs troupes à se mobiliser, non pas pour une rencontrée paisible, mais pour «… prendre part massivement au rassemblement de protestation programmé jeudi 28 août 2025 à 9 heures devant le ministère de l’Éducation ».

Pourquoi ? Officiellement, les enseignants exigent l’ouverture de négociations sur les doléances des deux secteurs et l’application des accords signés auparavant.

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Sommet USA-Russie : la Chine, l’autre gagnante en coulisses

La Russie a entraîné, dans sa nouvelle “victoire“ face aux Etats-Unis, un autre allié, la Chine.

On vous explique comment. Poutine et Trump se rencontrés, vendredi 15 août en Alaska dont l’objectif était de trouver une issue à la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Sur ce point, c’est le fiasco total pour Trump qui, rappelons-le, avait clamé lors de la campagne des élections présidentielles américaines de novembre, s’il est élu, allait régler le conflit russo-ukrainien en 24 heures. Or plus de sept mois après son installation à la Maison Blanche, c’est l’impasse, pardon c’est pire pour les Ukrainiens, étant donné qu’entre temps, Trump a réduit l’aide militaire américaine, ce qui a permis aux Russes de renforcer leurs positions sur le terrain.

Revenons maintenant sur les résultats du sommet de l’Alaska du vendredi 15 août 2025. Pas de cessez-le-feu, pas d’accord sur la fin de la guerre, et par-dessus tout pas de sanctions américaines contre Poutine et son armée. Il s’y ajoute un autre cadeau qui risque de faire mal à l’Ukraine : Trump donne quitus à la Chine d’acheter à volonté le pétrole et l’énergie russes. Il est même possible que l’Inde – qui s’est vu imposée d’importantes taxes douanières (50 %) à cause de la Russie – en profite.

Selon plusieurs médias, Donald Trump dit avoir renoncé à surtaxer la Chine « en raison de ses achats de pétrole russe », et ce suite aux « progrès qu’il déclare avoir réalisés avec Vladimir Poutine afin de mettre fin à la guerre en Ukraine ».

Connu pour ses pirouettes, le président américain a pour le moment déclaré qu’il s’abstiendrait de faire de taxer la Chine comme il l’a fait avec l’Inde. « J’y réfléchirai peut-être dans deux ou trois semaines, mais nous n’avons pas à y penser maintenant ». Ajoutant que « la rencontre avec Poutine s’est bien passée ».

Rappelons également qu’au début du mois d’août, le président américain avait menacé de « droits de douane supplémentaires les pays qui achetaient du pétrole et du gaz russes ». On aura compris qu’il s’agissait d’un moyen de mettre la pression sur Poutine afin qu’il participe à des négociations sur l’Ukraine.

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Sommet Poutine-Trump : un vainqueur et deux vaincus !

Le président russe, Vladimir Poutine, et son homologue américain, Donald Trump, se sont rencontrés vendredi 15 août 2025, à 20h15 (heure de Tunisie), sur un territoire américain mais qui appartenait autrefois à la Russie, Alaska. Pour discuter d’un accord sur la fin de la guerre russe contre l’Ukraine. Voilà les données du problème, dirait le chimiste.

Premier résultat, qui était pratiquement attendu de la part des spécialistes, ce sommet n’a même pas accouché d’une souris, c’est un échec non pas pour Poutine mais Trump.

Deuxième résultat – qui émane du premier -, le président russe sort largement vainqueur de cette rencontre. En effet, ce sommet constitue une sorte de réhabilitation du chef du Kremlin, isolé qu’il est dans le camp occidental. Ensuite, Poutine n’a pas cédé d’un iota de ses exigences sur l’Ukraine.

Troisième et dernier résultat : au bout de trois heures de réunion, Vladimir Poutine peut savourer grand vainqueur de ce tour, à savoir : vainqueur face à Trump, et vainqueur face à l’Ukraine et ses alliés. Autrement dit, aucune avancée sur un cessez-le-feu en Ukraine, pourtant priorité des priorités du président américain. D’où du reste l’inscription « Pursuing Peace » (Rechercher la Paix) inscrite sur une estrade. Et sur ce point, c’est échec et mat !

D’ailleurs, apparus ensemble devant les médias du monde entier à Anchorage (la capitale de l’Alaska), Donald Trump et Vladimir Poutine ont tout simplement fait état de « progrès importants sur plusieurs sujets mais sans préciser lesquels », comme le rapportent nos confrères de France 24. Et un signe qui ne trompe pas : ils n’ont répondu à aucune question. Et encore pire, habituellement loquace en pareille circonstance, le chef de la Maison Blanche a ignoré toutes les questions des journalistes présents dans la salle, selon les médias. Comprendre par-là que Trump a été très déçu par les résultats de cette réunion. Il a admis que « nous n’avons pas pu finaliser deux points importants, mais nous avons effectué des progrès. Donc pas d’accord, jusqu’à ce qu’il y ait un accord ».

Et plus grave dans tout ça, c’est que Poutine a affirmé que la paix est maintenant dans le camp de l’Ukraine. Mais que faut-il comprendre par cela ? Tout simplement que Zelensky accepte les conditions “de paix“ fixées par Moscou. Terrible !

Ce résultat, certes attendu, montre également que les Européens – alliés de Kiev – ont eu raison sur toute la ligne: ne pas accorder trop de crédit aux paroles de Poutine. Du reste, ils ont à plusieurs reprise averti Trump de ne pas se laisser berner par le chef du Kremlin.

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Sommet de l’Alaska: poignée de main chaleureuse Trump-Poutine

En plus de cette poignée de main entre les deux chefs d’Etat très détendus, l’histoire retiendra sans doute, en ce vendredi 15 août 2025 à 19h13 TU à Anchorage en Alaska, Donald Trump et Vladimir Poutine dans la même voiture du président américain.

Il souligner que l’objectif de ce sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine c’est la fin de la guerre en Ukraine. Mais qu’il y ait accord de paix ou nom, une chose est sûre, par cette rencontre sur un sol étranger, en l’occurrence américain, Poutine sort le grand gagnant de ce sommet. Car, rappelons-le, il est sous mandat de la Cour pénale internationale.

A noter que les deux présidents ne s’étaient plus serré la main depuis juin 2019, en marge d’un G20 organisé à Osaka au Japon.

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Amérique centrale : le digital au service du commerce

Cette plateforme contribuera à réduire les délais aux frontières, diminuer les coûts commerciaux, moderniser la gestion des frontières et promouvoir une croissance inclusive

Pour suivre les réformes à même de faciliter leurs échanges commerciaux et approfondir l’intégration économique, les 20 pays d’Amérique centrale* vont mettre en place une plateforme numérique régionale. Cette plateforme contribuera à réduire les délais aux frontières, diminuer les coûts commerciaux, moderniser la gestion des frontières et promouvoir une croissance inclusive. C’est ce qu’on lit sur le site de la CNUCED (Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement) qui soutient l’initiative, laquelle est menée par le Secrétariat pour l’intégration économique centraméricaine (SIECA) avec le financement de l’Union européenne.

Pour ce faire, « la CNUCED et le SIECA ont signé un accord de coopération pour lancer le suivi des réformes en matière de facilitation des échanges de la CNUCED. Cet outil soutient la Stratégie centraméricaine pour la facilitation des échanges et compétitivité, avec un accent particulier sur la gestion coordonnée des frontières 2023 ». La feuille de route commune vise à rendre les échanges plus rapides et plus prévisibles dans toute la région.

Dénommée “Le Reform Tracker“, « l’outil se concentre sur la coordination et le suivi en temps réel des principales réformes en matière de facilitation des échanges », a déclaré Rebeca Grynspan, secrétaire générale de la CNUCED. « Cette alliance témoigne de l’engagement de la région en faveur de l’utilisation des outils numériques pour améliorer l’efficacité commerciale, la transparence et l’inclusion. Nous sommes très heureux de soutenir le SIECA et ses États membres sur la voie de l’intégration régionale en renforçant une gestion coordonnée ».

Ainsi, le Reform Tracker deviendra le pilier opérationnel de la stratégie 2023. « Adapté aux priorités de la SIECA, il permet le suivi en temps réel des mesures, la gestion des tâches, la coordination interinstitutionnelle et la production automatisée de rapports. Il contribue à passer de l’élaboration à la mise en œuvre des politiques avec plus de précision, d’efficacité et de transparence.

De son côté, Francisco A. Lima Mena, secrétaire général du SIECA, a souligné « la mise en œuvre de la Stratégie de facilitation des échanges et de compétitivité axée sur la gestion coordonnée des frontières 2023 nécessite un outil fiable d’évaluation et de suivi. Ce projet est conçu à cet effet. En collaboration avec ONU commerce et développement et avec le soutien financier de l’Union européenne, cet outil sera essentiel pour le plan de mise en œuvre régional et pour le suivi de l’impact ».

Dans le cadre de ce projet, ONU commerce et développement :

  • adaptera et mettra en œuvre le Reform Tracker pour le SIECA
  • formera les fonctionnaires au moyen de webinaires et d’un cours en ligne
  • fournira des services consultatifs, un appui technique et un accès mondial au Reform Tracker.

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* Belize, Costa Rica, El Salvador, Guatemala, Honduras, Nicaragua, Panama; Caraïbes et Bahamas: Antigua-et-Barbuda, Bahamas, Barbade, Cuba, Dominique, Grenade, Haïti, Jamaïque, République dominicaine, Saint-Kitts-et-Nevis, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les Grenadines, Trinité-et-Tobago.

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Business du foot : l’EST dans le top 10 des clubs les plus riches d’Afrique

L’Afrique du Sud, l’Égypte et le Maroc comptent le plus grand nombre d’équipes de football parmi les plus valorisées sur le continent africain.  

Pour expliquer cette domination, les journalistes Ablam Gnamesso et Hanif Ben Berkane ont expliqué à TV5Monde qu’il s’agit «… des visions et des infrastructures différentes entre les pays mais également de la présence de riches mécènes dans certains d’entre eux ».

Tout d’abord, le site rappelle que les médias adorent « dresser, à chaque inter-saison, le classement des clubs les plus riches du football africain. Et rares sont les surprises depuis un peu plus de dix ans ». Ils en ont conclu que ledit classement est dominé par trois championnats, en l’occurrence ceux de l’Afrique du Sud, de l’Égypte et du Maroc.

Cette hiérarchie des clubs fortunés n’a pas été bousculée pour la saison 2025, avec les Mamelodi Sundowns, club sud-africain de Pretoria, qui demeurent en tête de ce classement, selon SportBlot (média sud-africain en ligne) et Pulse (média anglophone panafricain, décliné dans de nombreux pays).

Ainsi, Mamelodi Sundowns, club de l’actuel président-milliardaire de la CAF (Confédération africaine de football), Patrice Motsepe, est valorisé à plus de 39 millions de dollars. Il est suivi en deuxième position d’Al Ahly du Caire qui pèse 37,21 millions de dollars.

Les Orlando Pirates, le club de Johannesburg, d’une valeur de 25 millions de dollars, complètent le trio de tête de ce classement.

L’Égypte compte également, dans le top dix des clubs les plus riches du continent, les Pyramides FC, d’une création récente, valorisé 23 millions de dollars, et le Zamalek SC (un peu plus de 20 millions de dollars). 

Mais le club tunisien de l’Espérance sportive de Tunis parvient à se faufiler entre les deux clubs égyptiens, à la cinquième position, avec une valorisation de 22,3 millions de dollars.

Quant au championnat marocain, il parvient à placer trois clubs dans le top 10 des clubs les plus riches du continent, en l’occurrence le Wydad Casablanca, le Raja Casablanca et le FAR de Rabat. « La valeur de chacun de ces trois clubs oscille entre 21 et 15 millions de dollars », selon notre source.

Le MC Alger ferme la marche avec une valorisation des 14,5 millions de dollars.

Mais pour Hanif Ben Berkane, journaliste marocain, spécialiste du football africain, « cette concentration des clubs les plus riches du continent sur ces trois championnats » (Afrique du Sud, Égypte et Maroc, ndlr) n’a rien d’étonnant. Il explique à TV5Monde pourquoi : « L’Égypte, le Maroc et l’Afrique du Sud ont des championnats très structurés, solides avec de réelles infrastructures. Ce sont des pays qui exportent peu de joueurs en Europe ».  

 

Ablam Gnamesso, journaliste sportif basé au Bénin, va dans le même sens: « Cette domination des clubs égyptiens, sud-africains et marocains est logique. Ces pays ont investi dans des infrastructures modernes. Leur championnat est devenu professionnel avec des droits télé, des sponsorings et surtout de riches mécènes. Ces pays, l’Égypte, le Maroc ou l’Afrique du Sud, connaissent une véritable stabilité économique qui favorise ces clubs », avance-t-il.  

Hanif Ben Berkane ajoutera que ce classement montre bien que le modèle économique des clubs d’Afrique de l’Ouest et centrale et celui des clubs du Maroc, de l’Égypte ou de l’Afrique du Sud ne sont pas les mêmes. « C’est même une vision différente du football de clubs », estime le journaliste. « Les clubs des pays d’Afrique subsaharienne sont des clubs formateurs. Ces clubs n’ont pas vocation à être des géants du continent. Ils ont vocation à devenir des pourvoyeurs de talents et ils vivent de cela. En Côte d’Ivoire, l’Assec Mimosa vit grâce au fait qu’il envoie des talents en Europe. Génération Foot au Sénégal a noué des partenariats et envoie également des talents en Europe », décrit le journaliste.

La Tunisie aurait pu emprunter le même modèle économique que ceux marocain, sud-africain et égyptien pour son football, mais le processus n’a pas donné de bons résultats. Peut-être que cela viendra un jour, mais il faut de l’argent et de la passion pour ce sport.

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Allemagne : le PDG de la Deutsche Bahn démis de ses fonctions pour non-ponctualité des trains

Malgré la crise économique que traverse le pays, en Allemagne on ne badine avec les retards, même dans les services publics. Le patron de la puissante Deutsche Bahn (BD), la compagnie ferroviaire, Richard Lutz, fait les frais de quelques retards de trains.

Mais seulement, tenez-vous bien, les retards dont il s’agit seraient insignifiants outre cieux. En effet, comme l’écrit Le Figaro, « en Allemagne, moins de deux tiers des trains longue distance avaient moins de 15 minutes de retard début 2025. Une crise profonde dont la compagnie publique peine à sortir ». Oui, vous avez bien noté : “moins de 15 minutes de retard“.

Et au pays d’Adenauer, c’est une raison suffisante pour perdre son poste. Ainsi, le gouvernement du chancelier Merz a annoncé, jeudi 14 août, le limogeage de Richard Lutz, lequel était «… sous des critiques notamment en raison du manque de ponctualité des trains outre-Rhin », selon des sources proches de l’entreprise citées par le journal français.

« Nous sommes convenus de mettre fin prématurément au contrat du patron des chemins de fer », a annoncé le ministre allemand des Transports, Patrick Schnieder, lors d’une conférence de presse à Berlin. Il a qualifié la situation de la BD de “dramatique“, compte tenu du “manque de satisfaction des usagers en termes de ponctualité et de rentabilité“. Ponctualité, le mot est prononcé.

À la tête des chemins de fer allemands depuis 2017, le contrat de Richard Lutz, 61 ans, courait jusqu’en 2027.

À noter que la Deutsche Bahn est détenue à 100% par l’État fédéral, mais elle subit « la vétusté de ses infrastructures, et une dette qu’elle a réduite cet été grâce à la vente de sa filiale logistique rentable Schenker », rappelle le quotidien français. « Trains bondés, en retard ou supprimés et tronçons en maintenance sont devenus la norme pour les voyageurs. Au premier semestre 2025, seuls 63,4% des trains longue distance ont eu moins de 15 minutes de retard, légèrement mieux qu’il y a un an mais pas encore au seuil espéré de 65%. Ce taux était à 79% en 2016, avant l’arrivée de Richard Lutz ».

Justement, pour résoudre une partie de ses problèmes, l’entreprise vient de bénéficier de près de 107 milliards d’euros d’aides publiques (votées jusqu’en 2029), dont plus de 20 milliards cette année.

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Tunisie – Danemark : Fenja Yamaguchi-Fasting prend ses fonctions à Tunis

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu, jeudi 14 août 2025, Fenja Yamaguchi-Fasting, qui lui a remis une copie de ses lettres de créance en tant que première ambassadrice extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume du Danemark résidente en Tunisie, lit-on sur le site du département des Affaires étrangères.

À cette occasion, souligne le texte, le ministre a salué l’ouverture de cette mission diplomatique danoise à Tunis, qu’il a qualifiée de « marque forte des relations historiques et privilégiées entre les deux pays ». Il a réaffirmé l’engagement de son département à accompagner l’ambassade dans l’accomplissement de ses missions et à renforcer la coopération institutionnelle.

Évoquant sa visite à Copenhague en juin dernier, le chef de la diplomatie tunisienne s’est félicité de la dynamique bilatérale croissante, notamment dans les domaines des technologies innovantes, de la transition énergétique, de l’agriculture durable et de l’autonomisation des femmes. Il a appelé à une préparation rigoureuse des prochaines échéances, dont la 2e édition du Forum économique Tunisie – Pays nordiques, prévue en octobre prochain, ajoute le texte.

Yamaguchi-Fasting a, pour sa part, exprimé la volonté du Danemark de renforcer davantage les relations tuniso-danoises et d’élargir les perspectives de coopération au service des intérêts communs. Elle a souligné l’engagement de son gouvernement à donner suite aux priorités identifiées lors de la récente visite du ministre à Copenhague.

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Les Gipsy Kings de Pablo Reyes à El Jem

Le mythique amphithéâtre d’El Jem accueillera, le 30 août 2025, l’un des temps forts de la 7ᵉ édition du Festival El Jem World Music : le concert exceptionnel du groupe de Pablo Reyes, ancien membre des Gipsy Kings.

Dans ce décor millénaire classé au patrimoine mondial de l’Unesco, les rois de la rumba flamenca feront vibrer les pierres antiques avec un savant mélange de flamenco, pop, salsa et rythmes latins. Le public, attendu en grand nombre, vivra une soirée hors du temps, entre énergie gitane et ambiance envoûtante.

Le passage tant attendu des Gipsy Kings de Pablo Reyes en Tunisie aura aussi un impact touristique notable : il attirera un public local venu des quatre coins du pays, ainsi que de nombreux visiteurs étrangers, contribuant à la mise en lumière de la richesse patrimoniale et culturelle tunisienne.

Au-delà donc d’un simple concert, l’événement promet une rencontre entre cultures, un hommage vivant au patrimoine et un rayonnement touristique qui souligne l’importance d’El Jem comme scène culturelle incontournable en Tunisie.

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Le Burkina interdit le plastique dans les institutions publiques

Fin décembre 2024, le gouvernement du Burkina Faso adoptait une loi portant sur « les emballages sachets en plastique »; une loi qui s’inscrit dans le cadre de la « lutte contre la pollution plastique », et qui est entrée en vigueur depuis le 9 juillet 2025, selon le site Lefaso.net.

Pour une application effective de cette norme, le ministère de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement informe tous les ministères et institutions de l’Etat qu’« il y est désormais interdit d’utiliser des emballages et sachets en plastique » quelle qu’en soit la forme.

De ce fait, ils sont invités à « privilégier des alternatives locales, écologiques et durables pour tous les besoins liés à l’emballage, en cohérence avec les efforts nationaux de préservation de l’environnement », rapporte Lefaso.net.

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SFBT : les revenus en baisse, mais le bénéfice en hausse à 170 MDT 

terme du premier semestre 2025, la Société de Fabrication des Boissons de Tunisie (SFBT) a affiché un bénéfice net de 169,6 millions de dinars (MDT), en hausse de 9,7 % par rapport aux 154,6 millions enregistrés à la même période en 2024.

Cette progression s’est opérée en dépit d’un recul du chiffre d’affaires, qui s’établit à 357,8 millions de dinars, en baisse de 2,5 % sur un an.

Quant au résultat d’exploitation, il s’est légèrement amélioré, progressant de 1,22 % pour atteindre 80,3 MDT.

Ce sont surtout les produits financiers et de placement qui ont soutenu la performance semestrielle, explique-t-on. La SFBT a en effet enregistré 5,1 millions de dinars de produits financiers nets, principalement tirés des intérêts sur comptes courants, contre seulement 0,9 million à fin juin 2024.

Par ailleurs, les produits issus des placements ont connu une hausse de 12,7 millions, portée essentiellement par les dividendes perçus.

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La France promet la poursuite de ses opérations de largage de vivres à Gaza

Après avoir opéré les largages aériens de 47 tonnes d’aide alimentaire au-dessus de Gaza, la France annonce qu’elle poursuivra sa contribution avec l’envoi de 36 tonnes supplémentaires par voies aériennes d’ici au 20 août, rapportent des sources diplomatiques citées par nos confrères de l’AFP.
Et les mêmes sources de préciser : « Ces opérations ont été organisées par la Jordanie avec plusieurs partenaires (Emirats Arabes Unis, Allemagne, Canada, Italie, Pays-Bas, Espagne, Belgique) qui ont permis, en tout, de larguer près de 1 000 tonnes d’aide, soit l’équivalent d’une soixantaine de camions ».
Au total, le gouvernement français a déjà acheminé quelque 1 200 tonnes de matériel humanitaire à Gaza, depuis octobre 2023, « comprenant des médicaments, du matériel médical et des produits de première nécessité », ajoutent l’AFP citant les mêmes sources diplomatiques. Toutefois, tient-on à le souligner, une bonne partie de ce fret humanitaire serait encore « bloquée en Egypte et en Jordanie en raison du blocus israélien dont 52 tonnes envoyées en février 2025 avec le Qatar et l’Union européenne ».
Mais ce n’est pas tout, car, depuis le début de la guerre d’Israël contre le Hamas, la France a également mobilisé plus de 250 millions d’euros d’aide pour la population civile palestinienne, à savoir 100 millions en 2023, 100 millions en 2024 et 50 millions prévus cette année, « à travers les ONG et les organisations internationales ».
A noter que « les financements français couvrent prioritairement les secteurs de la santé, de la nutrition, et de l’eau/hygiène/assainissement ». Sachant qu' »un soutien spécifique de 450 000 euros a également été accordé pour un projet d’une ONG internationale en Égypte en faveur des enfants palestiniens évacués de Gaza », font état ces sources diplomatiques citées par l’AFP.
Par ailleurs, l’ONU rappelle qu’une « famine généralisée » menace la bande de Gaza.

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Supercoupe d’Europe : où regarder Paris SG – Tottenham ?

La Supercoupe de l’UEFA 2025 oppose cette année le PSG et les joueurs Tottenham. La rencontre sera retransmise sur les antennes de Canal+, mercredi 13 août 2025. Mais on peut également le visionner sur le lien streaming livekoora.info.

Pour le choc PSG – Tottenham Hotspur, c’est le Stadio Friuli (Udinese, en Italie), avec 25 000 places, qui a été choisi pour abriter la rencontre.

C’est quoi la Supercoupe d’Europe ?

Il s’agit d’une compétition lancée par l’UEFA en 1973. « Pensé comme une finale des finales, écrit le site calanlplus.com, ce trophée oppose le vainqueur de la Coupe des clubs champions (C1 – qui deviendra la Ligue des champions à celui de sa petite sœur, la Coupe des vainqueurs de coupe (C2) ».

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Le PLF 2026 sur la table d’un conseil des ministres

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a présidé un conseil ministériel, mardi 12 août au palais du gouvernement à La Kasbah, afin d’examiner les équilibres financiers du projet de loi des finances de l’année 2026.

Lors de cette réunion, la cheffe du gouvernement a souligné que le projet de loi des finances de 2026 est un « instrument souverain » qui incarne la volonté populaire et constitue une concrétisation financière des priorités sociales et économiques de l’État ainsi que des objectifs du plan de développement pour la période 2026-2030, indique un communiqué de la présidence du gouvernement.

Ce plan, a-t-elle expliqué, repose sur une approche ascendante qui part du niveau local puis régional avant de franchir le niveau national conformément à la vision du président de la République, Kais Saïed.

La cheffe du gouvernement a, par ailleurs, indiqué que ce projet de loi constitue une concrétisation de la politique de l’État et de ses grands choix et orientations. Une politique qui s’articule essentiellement sur la conciliation entre la justice sociale et la croissance économique.

Toujours dans le cadre de cette réunion, le conseil ministériel a passé en revue les principaux axes des équilibres financiers du projet de loi de finances pour l’année 2026, dont au premier rang, figurent le renforcement des fondements de l’État social, notamment l’emploi et la réduction du chômage, grâce à la mise en place d’un programme de nouveaux recrutements dans la fonction publique au cours de l’année 2026, la poursuite de la mise en œuvre du programme de régularisation de la situation des ouvriers de chantiers, la lutte contre l’emploi précaire et l’interdiction de la sous-traitance.

Parmi ces axes prioritaires figurent également la mise en œuvre de réformes législatives permettant de favoriser le travail décent, de garantir la protection sociale et de soutenir les groupes vulnérables et les familles à faible revenu tout en veillant à leur intégration économique et à l’amélioration de leurs conditions de vie.

Il s’agit également de promouvoir la qualité des services et de les rapprocher des citoyens, notamment en matière de santé, d’éducation et de transport.

Aussi, parmi ces axes, figurent la promotion de l’investissement public, la garantie d’un développement équitable en harmonie avec le plan de développement pour la période 2026 – 2030, la diversification des sources de financement des investissements ainsi que l’incitation aux investissements dans le domaine des énergies renouvelables en plus de l’intégration de l’économie parallèle.

Il est également question de l’investissement dans le développement équitable en s’appuyant sur les résultats des travaux des conseils locaux, régionaux et des districts dans l’élaboration du plan de développement 2026-2030.

Par ailleurs, la cheffe du gouvernement a mis l’accent sur la nécessité d’œuvrer à garantir la durabilité des équilibres financiers dans la perspective de répondre au mieux aux attentes des différentes catégories sociales et de concilier entre le rôle social de l’État et le soutien à la croissance économique dans le cadre d’une vision globale permettant d’instaurer un développement équitable et de réaliser la justice sociale.

Avec TAP

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Israël – Palestine: La solution à deux États demeure la seule issue viable au conflit

Dans le cadre des efforts visant à reconnaissance de l’Etat de Palestine – en bonne et due forme -, prévue lors de l’Assemblée générale des Nations unies à New York en septembre prochain, efforts initiés particulièrement par la France et l’Arabie saoudite, les services de la l’ambassade de France en Tunisie ont organisé, mardi 12 août, un point de presse pour débattre des tenants et des aboutissants de cette question. Bien entendu à bâton rompu.   

A l’occasion de cette rencontre, le chargé d’affaires de l’ambassade – l’ambassadrice étant en congé -, a tenu à expliquer les enjeux du processus de reconnaissance de l’Etat de Palestine, et qui s’inscrit dans le cadre de l’« Appel de New York pour la mise en œuvre de la solution à deux Etats ». Il rappellera que cette initiative est portée par la France et l’Arabie saoudite.

Dans cette optique, nous a-t-on expliqué, il s’agit de créer les conditions de mise en œuvre d’une « une mission internationale de stabilisation à Gaza » sous l’égide des Nations unies.

Le diplomate français estime urgente la mise en place de cette mission onusienne, suite notamment aux récents développements sur le terrain, avec l’annonce par le cabinet du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de l’occupation militaire de Gaza City. Il va jusqu’à qualifier cette perspective de « désastre ». « Cette initiative ne ferait qu’aggraver le conflit, les otages israéliens et les civils palestiniens en seraient les premières victimes », a-t-il averti.

Justement, face à cette escalade, la France soutient et milite pour la création de cette mission internationale temporaire de stabilisation, proposée lors de la conférence des Nations unies à New York fin juillet. Cette initiative, portée par le président de la République française, aurait pour but d’assurer la sécurité de tous les civils, Israéliens comme Palestiniens, et de contribuer à la mise en œuvre de la solution à deux États, Palestine et Israël.

Pour ce faire, la France propose donc que cette mission prenne la forme d’une coalition internationale, mandatée par le Conseil de sécurité de l’ONU, et conduite par des partenaires régionaux. Ce dispositif représenterait une voie crédible pour mettre fin au cycle de violence permanent et amorcer la construction d’une paix durable.

Reconnaissance d’un État palestinien

En outre, la France réaffirme sa vision et sa position – qui ont toujours été les lignes directrices de la politique étrangère de la France –  pour l’avenir de la bande de Gaza : celle-ci doit s’inscrire dans le cadre d’un futur État palestinien dirigé par l’Autorité palestinienne. « La solution à deux États demeure la seule issue viable au conflit, pour garantir la paix et la sécurité à long terme », a affirmé le chargé d’affaires, reprenant les termes du chef de l’Etat français.

Quand on lui a posé la question de savoir si les Etats-Unis appuyaient ce processus, sa réponse laisse penser que ce n’est pas encore le cas, mais que l’espoir est permis.

 

Nécessité de protéger les journalistes à Gaza

Par ailleurs, l’actualité oblige, le meurtre délibéré des six journalistes de la chaîne de télévision Al Jazeera s’est invité dans la discussion.

Ainsi,  chargé d’affaires de l’ambassade a rappelé la « vive préoccupation » de la France quant au nombre croissant de journalistes tués dans la bande de Gaza depuis le début du conflit (plus de 200). « Les journalistes ne doivent jamais être pris pour cibles. Ils sont protégés par le droit international humanitaire, au même titre que tous les civils », a-t-il rappelé.

Dans ce cadre, la France réaffirme son engagement en faveur de la liberté de la presse, de la liberté d’expression, et de la protection des professionnels des médias. Et de ce fait, elle appelle les autorités israéliennes à garantir un accès sûr et sans entrave à Gaza pour les journalistes internationaux, afin qu’ils puissent exercer leur travail librement et en toute indépendance.

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Tunisie – Près de 240 MDT alloués à la rénovation des écoles

En prévision de la rentrée scolaire 2025-2026, une enveloppe de 239 millions de dinars (MDT) sera affectée à la rénovation, la création et la maintenance des établissements scolaires publics. C’est ce qu’a annoncé le ministère de l’Education, lundi 11 août.

Ce montant s’inscrit dans le cadre du plan stratégique du ministère, placé sous le thème « Une école publique attractive ». Pour ce faire, un système numérique a été créé pour recenser et hiérarchiser les travaux à réaliser, dont la majorité est programmée pour être finalisée durant les vacances d’été.

Les projets concernent toutes les délégations régionales et incluent la construction de nouvelles écoles, l’ajout de salles de classe, la modernisation des espaces administratifs ainsi que l’amélioration des environnements pédagogiques.

En outre, le ministère prévoit la généralisation des laboratoires mobiles dans les collèges et lycées, afin d’améliorer les conditions d’apprentissage des élèves et de travail pour les enseignants.

À travers cet investissement, le département réaffirme sa volonté de consolider l’égalité des chances entre tous les élèves, quel que soit leur lieu de scolarisation.

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Quand la Méditerranée sera-t-elle touchée par un tsunami ?

Posée ainsi, cette question est qualifiée en grammaire d' »interrogation totale ». Comprendre par-là qu’il est certain qu’un tsunami aura bien lieu en Méditerranée. Par contre, on ne sait pas quand.

Le site Santé Journal des Femmes explique : « La Méditerranée est une mer fermée où l’activité tectonique est bien réelle. Le contact entre la plaque africaine et la plaque eurasienne, notamment dans sa partie orientale, peut entraîner des mouvements sismiques sous-marins susceptibles de provoquer des vagues inhabituelles. Ces événements géologiques restent très rares, mais bien documentés, comme ceux enregistrés en 1887 ou plus récemment en 2003 ». Dans le cadre d’un programme coordonné par l’UNESCO, des chercheurs ont récemment analysé le risque de tsunami dans cette région à partir d’un catalogue historique d’événements marins, rapporte la même source. « Ils se sont appuyés sur une échelle d’intensité en 12 niveaux et sur des modèles mathématiques comparables à ceux utilisés pour les séismes. L’objectif : évaluer la probabilité de survenue d’un événement de ce type à l’échelle régionale, indépendamment de la hauteur des vagues ».

Leurs travaux ont été publiés dans la revue Pure and Applied Geophysics. Ils estiment une probabilité qu’une vague de plus d’un mètre déferle sur les côtes de la Méditerranée dans les trente prochaines années « proche de 100 % ».

La partie de la  Méditerranée la plus exposée serait son bassin oriental, notamment la Grèce, la Turquie, Chypre, ou encore le Liban. « Une période de survenue estimée entre 2045 et 2054 est évoquée dans le cadre de simulations probabilistes; sans qu’il s’agisse d’une prédiction géologique formelle ».

A rappeler que Centre d’alerte aux tsunamis (CENALT) en France, rattaché au CEA, est chargé de la surveillance sismique et marine. « Des outils technologiques comme les marégraphes ou les balises GNSS sont utilisés pour observer d’éventuelles anomalies ». Mais d’autres systèmes d’alerte, notamment pour transmettre rapidement des informations aux autorités locales en cas d’activité inhabituelle, sont également testés par d’autres pays.

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Microsoft complice à son insu du génocide à Gaza ?

200 millions. C’est notre chiffre du jour et il fait froid dans le dos. Et c’est le nombre « d’heures d’appels interceptés à Gaza et en Cisjordanie » qui auraient été stockées sur des serveurs Microsoft avant d’être utilisées par l’armée israélienne.

C’est en tout cas ce qui ressort d’une enquête menée conjointement par The Guardian et le média israélien Local Call et publiée le 6 août 2025, rapporte Midi Libre.

De son côté, reprenant l’enquête, 20 Minutes écrit : « En tout, ce sont 11 500 téraoctets de données militaires israéliennes, soit environ 200 millions d’heures d’audio qui ont été collectées ».

Alors, qu’est-ce qui incrimine Microsoft dans cette affaire ? L’enquête souligne que cela fait quelques années déjà que l’État hébreu contrôle les infrastructures de télécommunications lui permettant d’intercepter les appels palestiniens. Ainsi, ajoute l’investigation, « l’opération entre le PDG de Microsoft et l’agence de surveillance militaire aurait été actée en 2021 ».

L’enquête révèle que « les données amassées auraient servi à planifier des bombardements sur Gaza et servir de base à des arrestations et autres opérations militaires en CisjordanieCe stockage représenterait l’une des plus vastes et des plus intrusives collections de données de surveillance d’un même groupe de population au monde ».

Comme souvent dans pareil cas, la firme fondée par Bill Gates affirme ne pas avoir eu connaissance de la nature des fichiers détenus dans cet espace de stockage, assurant toutefois « faire un effort en interne pour réexaminer la manière dont ils sont utilisés par l’armée israélienne dans le cadre géopolitique actuel ».

Pour rappel, la multinationale a bloqué les e-mails contenant les mots « Gaza » et « Génocide ».

Mais contrairement à McDonald’s ou d’autres produits américains liés à Israël, là il est difficile, voire carrément impossible de boycotter Microsoft. Sinon, pour le remplacer par quoi ?

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