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La dette publique franchit de nouveaux sommets… et l’étau se resserre!!!

La dette publique franchit de nouveaux sommets… et l’étau se resserre!!! | Univers News

  • Dette intérieure : un parapluie provisoire qui menace l’économie à moyen terme !!
  • La consolidation budgétaire, alliée à des réformes structurelles favorisant la croissance, reste indispensable pour alléger la charge de la dette
  • À fin mars 2025, l’encours de la dette publique dépassait 135 milliards de dinars, soit déjà plus de 80 % du PIB projeté d’ici la fin de l’année
  • En deux ans, la dette totale est passée de 121,2 milliards de dinars en 2023 à 135,1 milliards fin mars 2025, soit une hausse de plus de 11,5 %

Tunis, UNIVERSNEWS (SEF) – La dette gonfle à un rythme soutenu, engloutissant chaque année une part croissante du budget, tandis que le recours massif à l’endettement intérieur soulage à court terme mais mine la vitalité de l’économie.

À fin mars 2025, l’encours de la dette publique dépassait 135 milliards de dinars, soit déjà plus de 80 % du PIB projeté d’ici la fin de l’année, selon la Banque centrale de Tunisie et le ministère des Finances. Cette trajectoire n’est pas qu’une statistique : elle illustre un pays où l’État s’endette pour payer ses dettes, où les marges de manœuvre se rétrécissent, et où chaque dinar affecté au service de la dette est un dinar en moins pour l’investissement, les services publics ou le soutien à la croissance.

Dans ce paysage budgétaire contraint, la dette intérieure s’impose comme une bouée de sauvetage… mais une bouée lestée, dont le poids pourrait bien précipiter l’économie vers des eaux encore plus profondes.

Une dette qui dépasse les 135 milliards de dinars !!!

Selon les dernières données publiées par la Banque centrale de Tunisie (BCT) et le ministère des Finances, l’encours de la dette publique a atteint 135,1 milliards de dinars à fin mars 2025, soit une hausse de +7,2 % par rapport à la même période l’an dernier.

La répartition est la suivante :

  • Dette intérieure : 77 milliards de dinars (57 % du total)
  • Dette extérieure : 58,1 milliards de dinars (43 %)

L’évolution de la dette publique tunisienne entre 2023 et 2025 met en lumière une tendance préoccupante : une progression continue et soutenue, tant sur le plan de l’encours total que de la part de la dette intérieure. En deux ans, la dette totale est passée de 121,2 milliards de dinars en 2023 à 135,1 milliards fin mars 2025, soit une hausse de plus de 11,5 %. Cette croissance est principalement alimentée par la dette intérieure, qui a bondi de 65,2 à 77 milliards de dinars, portant sa part de 53,8 % à 57 % du total. En parallèle, la dette extérieure progresse à un rythme bien plus modéré, traduisant la stratégie de substitution par des financements domestiques.

Si cette orientation permet de réduire l’exposition aux chocs de change, elle exerce en revanche une pression accrue sur la liquidité nationale et renforce la compétition entre État et secteur privé pour l’accès au crédit.

Si la tendance actuelle se maintient, la Loi de finances 2025 prévoit un encours total atteignant 147,4 milliards de dinars d’ici décembre, soit 80,5 % du PIB.

Le service de la dette, un gouffre budgétaire !!!

À fin mars 2025, le service de la dette (remboursements et intérêts) a déjà englouti 9 milliards de dinars, en hausse de +26 % sur un an.

  • Principal remboursé : 7,4 milliards (+38,6 %)
  • Intérêts : 1,6 milliard (–10,4 %)

En 2024, ce fardeau avait déjà atteint 24,8 milliards de dinars, soit près de 20 % des dépenses publiques.

L’option « dette intérieure » : une solution à double tranchant

Face aux difficultés de mobilisation de financements extérieurs – souvent conditionnés à des réformes économiques impopulaires, la Tunisie a opté ces dernières années pour un recours massif à la dette intérieure. Sa part est ainsi passée de 39,6 % en 2021 à plus de 58 % en 2025, selon les projections de la Banque centrale.

Cette stratégie présente un avantage immédiat : elle réduit la dépendance vis-à-vis des bailleurs internationaux et limite l’exposition aux fluctuations des devises étrangères. Elle permet également à l’État de continuer à se financer même lorsque les négociations avec le FMI ou d’autres partenaires sont en suspens.

Mais cet apparent « confort » cache plusieurs effets pervers :

  • Assèchement des liquidités : l’État mobilise massivement l’épargne nationale via les banques et les investisseurs institutionnels, réduisant la capacité de financement des entreprises privées.
  • Hausse du coût de l’argent : la concurrence entre l’État et le secteur privé pour accéder aux ressources disponibles renchérit les taux d’intérêt.
  • Allongement des délais de paiement : faute de liquidités suffisantes, l’État retarde souvent le règlement de ses fournisseurs et prestataires, ce qui fragilise le tissu économique et provoque un effet domino sur les délais de paiement entre entreprises.
  • Risque de saturation du marché domestique : à force de solliciter les mêmes sources de financement, l’État s’expose à un tarissement progressif de l’épargne disponible.

En clair, la dette intérieure agit comme un parapluie à court terme qui protège temporairement, mais dont le poids risque à moyen terme de freiner l’investissement productif, d’accentuer les tensions sur la trésorerie des entreprises et de ralentir encore la croissance.

Un risque macroéconomique bien réel

Une dette publique équivalente à plus de 80 % du PIB place la Tunisie dans une zone de risque, surtout dans un contexte de croissance faible, de déficit budgétaire persistant et de réserves de change fragiles.

Si rien n’est fait pour stimuler la croissance et maîtriser les dépenses, la spirale de l’endettement pourrait devenir incontrôlable.

L’évolution de la dette publique tunisienne entre 2023 et 2025 reflète à la fois les contraintes financières auxquelles le pays est confronté et les choix stratégiques opérés pour y faire face.

Le recours accru à la dette intérieure a permis de maintenir un accès au financement dans un contexte international incertain, tout en réduisant l’exposition aux risques de change. Toutefois, cette orientation exige une gestion prudente afin d’éviter un effet d’éviction sur l’investissement privé et de préserver la stabilité macroéconomique.

La consolidation budgétaire, alliée à des réformes structurelles favorisant la croissance, reste indispensable pour alléger la charge de la dette et renforcer la résilience de l’économie nationale.

En résumé : la Tunisie navigue en eaux financières troubles. La dette publique est devenue l’ombre qui plane sur toutes les politiques économiques, limitant les marges de manœuvre et pesant sur l’avenir. Le pays doit rapidement engager une stratégie de désendettement couplée à des réformes structurelles, sous peine de voir l’étau budgétaire se transformer en nœud coulant.

Monétique sous influence: Pourquoi Visa et Mastercard dominent toujours le paiement en Tunisie??!!!

Monétique sous influence: Pourquoi Visa et Mastercard dominent toujours le paiement en Tunisie??!!! | Univers News

  • Quand la souveraineté monétaire passe par la maîtrise des paiements électroniques
  • La Tunisie : un choix de dépendance assumée alors que Des solutions sont à portée de main pour une Tunisie souveraine ??!!!
  • Dans un monde où la monnaie devient numérique, perdre le contrôle de ses paiements, c’est perdre le contrôle de son avenir.
  • Il ne s’agit pas de tourner le dos aux standards internationaux, mais de créer nos propres références !!!

Tunis, UNIVERSNEWS (SEF) – Malgré des années de digitalisation bancaire et une modernisation progressive du secteur financier, la Tunisie reste dépendante de deux géants américains des paiements électroniques : Visa et Mastercard. Une emprise discrète mais totale, qui dépasse la simple technologie pour s’enraciner dans nos habitudes, nos institutions… et notre inconscient collectif.

Glisser une carte, composer un code, valider. Ce geste anodin du quotidien cache une réalité bien plus lourde : derrière chaque transaction par carte Visa ou Mastercard, même en dinars et sur le sol tunisien, s’opère un transfert de valeur, de contrôle et, trop souvent, de devises.

Dans un contexte économique sous tension, où la moindre sortie de devises inquiète, la question devient centrale : pourquoi, en 2025, la Tunisie n’a-t-elle toujours pas de carte bancaire nationale ? Pourquoi les autorités financières, les banques et les décideurs ne semblent-ils pas remettre en cause ce modèle imposé ? Et surtout, quel est le vrai coût de cette dépendance – aujourd’hui et pour les générations à venir ?

Cet article propose une enquête critique et documentée sur une domination acceptée, parfois même facilitée, dans un domaine pourtant hautement stratégique : les paiements numériques, c’est-à-dire le nerf du commerce moderne, et demain, de la souveraineté économique.

  • Visa et Mastercard : des réseaux mondiaux incontournables

Visa et Mastercard sont des acteurs mondiaux des paiements électroniques, connectant des millions de banques, commerçants et consommateurs. Ils fournissent une infrastructure sécurisée et reconnue pour l’émission et l’acceptation des cartes bancaires, qu’elles soient utilisées localement ou à l’étranger.

Ces réseaux fonctionnent comme des intermédiaires globaux : chaque transaction passe par leurs plateformes, ce qui génère des commissions qui, pour les opérations tunisiennes, se traduisent par un transfert régulier de devises hors du pays.

Le système national : une alternative gagnante, déjà éprouvée dans la région

À l’inverse, plusieurs pays de la région ont choisi de développer des systèmes nationaux de paiement, qui permettent aux banques locales de gérer en interne la majorité des opérations domestiques.

C’est le cas du Maroc, avec son Centre Monétique Interbancaire (CMI), qui offre une carte locale largement utilisée pour les paiements internes sans passer par Visa ou Mastercard. L’Algérie a quant à elle lancé la carte Edahabia, distribuée par la poste, qui fonctionne sur le territoire national. Ces systèmes locaux permettent de limiter les coûts liés aux commissions internationales, de renforcer la souveraineté numérique et d’encourager l’innovation locale.

La Tunisie : un choix de dépendance assumée ?

Alors pourquoi la Tunisie, malgré ses compétences technologiques et une demande croissante, n’a-t-elle pas encore franchi ce cap ? La réponse est complexe et se trouve au croisement des enjeux économiques, politiques et financiers.

Les banques tunisiennes privilégient aujourd’hui le recours aux solutions Visa/Mastercard, qui offrent un service clé en main, reconnu mondialement, avec une gestion simplifiée des risques et une publicité déjà intégrée.

Créer un système national serait un projet coûteux, long et risqué. Avec Visa, tout est prêt, fonctionnel et accepté par nos clients.

Mais ce confort apparent a un coût : chaque transaction locale génère des commissions internationales estimées à plusieurs dizaines de millions de dinars par an, une fuite de devises que le pays pourrait limiter.

Les conséquences économiques et technologiques du statu quo

La dépendance aux réseaux étrangers pose plusieurs risques majeurs :

  • Sortie de devises : À chaque paiement par carte Visa ou Mastercard, une commission quitte le pays, impactant la balance des paiements.
  • Coûts plus élevés pour les consommateurs : Les frais liés aux transactions, notamment les retraits, sont souvent plus élevés qu’ils ne le seraient avec un système domestique.
  • Fragilité du système : En cas de suspension ou de problème technique chez Visa/Mastercard, le système de paiement tunisien se retrouve vulnérable.
  • Frein à l’innovation locale : Les startups fintech tunisiennes rencontrent des difficultés à s’intégrer dans ces réseaux fermés, limitant le développement de solutions adaptées au marché tunisien.
  • Perte de souveraineté numérique : La Tunisie ne maîtrise pas les règles, normes et évolutions de ses propres systèmes de paiement.

Quelle responsabilité pour les autorités et les banques ?

La Banque Centrale de Tunisie, en tant que régulateur du système de paiement, joue un rôle clé. Pourtant, aucune stratégie claire ne semble émerger à ce jour pour encourager la création d’un système national.

Du côté des banques, la recherche de rentabilité et la volonté de minimiser les risques freinent toute initiative. Elles continuent majoritairement de signer des partenariats avec Visa et Mastercard, préférant la sécurité d’une solution externalisée.

Enfin, le ministère des Finances reste discret sur le sujet, sans mesures d’incitation fiscale ou réglementaire visant à soutenir un projet souverain.

Des solutions à portée de main pour une Tunisie souveraine

L’heure est à l’action. Plusieurs pistes concrètes pourraient être mises en œuvre rapidement :

  • Lancer « TNPay », une carte nationale, sécurisée, conçue pour les opérations domestiques, compatible avec les standards internationaux pour garantir l’interopérabilité.
  • Créer un réseau domestique de compensation, permettant aux banques tunisiennes d’échanger directement les paiements sans passer par les circuits internationaux.
  • Mettre en place un incubateur public-privé fintech, dédié au développement de solutions de paiement innovantes adaptées au contexte tunisien.
  • Réviser les règles monétiques de la BCT, notamment en fixant des plafonds de commissions et en favorisant les alternatives locales.

Maghreb: Les développements s’accélèrent… mais qui en paiera les pots cassés??!!!

Maghreb: Les développements s’accélèrent… mais qui en paiera les pots cassés??!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Politique) – La politique, à certains égards, ressemble aux mathématiques, car certaines de ses transformations majeures imposent des axiomes qu’il faut appréhender sans nécessairement les accepter psychologiquement. Les relations internationales sont actuellement marquées par l’unilatéralisme américain, illustré par la guerre douanière menée par Trump contre tous, ainsi que par son approche unilatérale face aux dilemmes politiques internationaux et à la proposition de solutions.

Dans cette nouvelle physionomie de l’ordre mondial, il est possible de considérer le comportement de Donald Trump comme moralement répréhensible, mais il est « productif » dans le cadre de la « realpolitik », car il perpétue l’unipolarité et réduit la marge de manœuvre des « puissances émergentes ». Il semble clair que la région nord-africaine connaît des transformations imposées par la nouvelle vision américaine, comme en témoignent les indicateurs qui se sont dégagés, notamment la brève et surprenante visite que la Première ministre italienne Giorgia Meloni effectue aujourd’hui en Tunisie.

Boulos, Meloni, Tebboune et… des interrogations !!!

Cette visite intervient juste après l’important sommet italo-algérien de la semaine dernière, ainsi que la récente visite de Massoud Boulos, conseiller principal de Donald Trump pour les affaires du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. L’envoyé de Trump est une figure centrale du système de Donald Trump, tant par les missions qu’il entreprend que par les liens conjugaux qui le lient à l’occupant de la Maison-Blanche, qui ne croit qu’en son ego surdimensionné et en sa famille. Par ailleurs, la tournée de Massad Boulos a été précédée de consultations intensives avec les ministres des Affaires étrangères du Qatar, de l’Arabie saoudite et des Émirats arabes unis, et a concerné tous les pays de la région. Ce qui attire l’attention et suscite des interrogations, c’est que l’envoyé américain a interrompu sa tournée par une brève visite à Paris, qui s’oppose publiquement à de nombreux aspects de la politique américaine, mais elle ne peut rompre le lien de l’appartenance à l’OTAN, ni « préserver » ses « intérêts » en Afrique du Nord sans coordination avec Washington. Toutes ces considérations sont importantes à garder à l’esprit pour comprendre les « arrangements » qui suivront ce tournant.

La Tunisie se démarque ??!!!

L’envoyé de Trump était porteur de deux messages publics : le « butin » commercial et économique qu’il rapporterait de chaque pays, et la promotion d’un partenariat américain avec les pays de la région, qui remplacerait les subventions et l’aide par des projets bénéfiques aux deux parties. Le résultat a été presque à la hauteur de ses attentes, et peut-être même plus, sauf en Tunisie, où il est reparti les mains vides.

En effet, le président Kaïs Saïed a choisi un style d’accueil de l’« invité américain » qui a failli dépasser l’embarras pour atteindre les limites de l’insulte diplomatique. Sa réponse a été claire : la Tunisie a choisi sa voie et ses partenaires, ce qui signifie clairement fermer la porte au « partenariat américain » et à la réduction de la coopération qui en résulte avec les concurrents des États-Unis pour l’influence en Afrique, à savoir l’Iran, la Chine et la Russie.

Divergences d’appréciation ???

La position tunisienne aurait pu être productive si elle avait été relayée par une position similaire de son voisin/allié, l’Algérie, d’autant plus que le régime algérien « vit » de sa popularité et de sa légitimité grâce à un discours anticolonial et anti-impérialiste. Cependant, il semble que le « voisin/allié » ait choisi de laisser son allié tunisien en position de « hors-jeu » en raison du désaccord manifeste entre les deux voisins suite à la visite de Massad Boulos.

L’Algérie, représentée par son président Abdelmadjid Tebboune, a anticipé la visite par des déclarations critiquant la politique russe en Afrique, notamment à ses frontières sud, évitant la moindre critique de la guerre tarifaire de Trump et laissant entrevoir des perspectives de coopération entre l’Algérie et Washington dans tous les domaines. Il s’agissait d’une réponse complète aux souhaits de Donald Trump, ce qui a suscité un large écho chez son envoyé, Massad Boulos, qui a salué l’Algérie et son rôle.

Des relations qui battent de l’aile ??!!!

Il ne fait aucun doute que la volonté du régime algérien de briser le siège imposé par certains pays était à l’origine de ces « concessions », qui constituent un engagement envers les « arrangements américains » pour l’après-Gaza. Certes, l’évaluation de ces « concessions » est une affaire purement algérienne, mais n’est-il pas de notre devoir de souligner que leurs répercussions pour la Tunisie sont certaines, puisqu’elles ont mis en évidence une rupture dans la cohésion apparente de l’axe tuniso-algérien… Une rupture qui pourrait conduire à plusieurs transformations et fluctuations, d’autant plus qu’elle affecte les relations de la Tunisie avec les pays voisins et les pays influents, et qu’elle a révélé une partie de la froideur dans les relations entre les régimes tunisien et algérien, ce qui s’est manifesté par l’absence de Kais Saïed à féliciter le président algérien Abdelmadjid Tebboune à l’occasion de la fête de l’indépendance le 5 juillet, et, en réponse avec Abdelmadjid Tebboune qui a ignoré la fête de la République tunisienne le 25 juillet.

Certes, la position de la Tunisie n’est pas de tout repos, surtout qu’elle paie les frais de la division entre les pays frères, notamment la Libye toujours fragilisée par sa situation précaire, avec deux gouvernements au moins, l’un à l’Est et l’autre à l’Ouest.

Il y a, aussi, le Maroc qui se délecte de cette situation et qui regarde d’un œil goguenard, allant même jusqu’à l’intox de ses organes de presse, pour empoisonner davantage le climat entre la Tunisie et l’Algérie, alors qu’il profite d’une manière éhontée de la bienveillance des USA et de l’entité sioniste, depuis son adhésion aux accords d’Abraham.

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