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QNB – Revue Economique : What to expect from the Chinese consumer?

Chinese consumer spending slowed significantly in Q2 this year, after a strong start in early 2025. In recent months, growth in real terms dropped to the lowest rate since the start of the year. Importantly, despite new incentive measures to stimulate consumption, household savings rate has been stable, pointing to the difficulty of changing entrenched household habits.

In fact, Chinese households have long been viewed as the missing piece in the country’s economic puzzle and something that goes beyond cyclical patterns. Despite government stated efforts to enact a transition from investment-led growth into services and consumption, analysts and policymakers have pointed to persistently low consumption as a drag on growth – especially in a country of 1.4 billion people with rising income levels.

This perceived underperformance is not fully without cause, as Chinese consumers have remained cautious amid waves of economic disruption: the pandemic, a prolonged property market correction, and increased policy unpredictability.

However, despite those facts, we do believe there is a general misunderstanding about the overall magnitude and importance of Chinese private consumption.

 

While the ratio of Chinese consumption over headline GDP cannot be compared to those found in affluent, highly consumerist, private sector driven economies, such as the US, it does not deviate significantly from the ratio from other advanced economies. This is particularly the case for advanced manufacturing, export-oriented economies from Asia, such as Japan, South Korea, Taiwan, and Singapore – countries that adopt an economic model that China emulates.

Moreover, in terms of growth dynamics, Chinese consumers have comfortably outperformed their peers even in the most growth-prone large emerging economies of the BRICS (Brazil, Russia, India, China, and South Africa) and MIST (Mexico, Indonesia, South Korea, and Türkiye) over the last decade.

 

In addition to those more constructive facts on Chinese household consumption, we believe that the next phase of the country’s growth story could see consumers playing a much more central role. Not only are there strong structural reasons for this shift, but recent policy direction and macro data also support an even more positive outlook. In particular, we highlight three main arguments.

First, according to the People’s Bank of China (PBoC), the local central bank, personal deposits in the Chinese banking system increased from USD 11.8 trillion pre-pandemic to USD 22.3 trillion in May 2025. This impressive build-up of private savings can be quickly mobilized for more consumption or investments over the medium-term, if confidence in the future is further restored. This would contribute for continued consumer growth and an increase in the overall share of private consumption on GDP. However, the bar is high for a significant increase of consumer spending in China. Households in China tend to be conservative with their finances and prefer to save more on the back of limited social support system from the government. Despite this, only a small change in the savings rate would be enough to create a significant impact on consumption and investment. This is expected to take place as plans to broaden the incipient welfare system are gradually executed.

Second, China is actively aiming to further rebalance its growth model away from the need for large infrastructure investments. While much of the recent focus has been on accelerating advanced manufacturing – particularly in sectors such as electric vehicles, batteries, and semiconductors –, policymakers are equally explicit about the need to boost household demand. Beijing has outlined plans to raise the share of consumption in GDP from the current 40% to 50% by 2035. This ambition is being supported by social policy reforms, housing support programmes, lower-tier city revitalization, and support for household credit, particularly in consumer finance. Rather than temporary stimulus, savings can be quickly mobilized for more consumption or investments over the medium-term, if confidence in the future is further restored. This would contribute for continued consumer growth and an increase in the overall share of private consumption on GDP. However, the bar is high for a significant increase of consumer spending in China. Households in China tend to be conservative with their finances and prefer to save more on the back of limited social support system from the government. Despite this, only a small change in the savings rate would be enough to create a significant impact on consumption and investment. This is expected to take place as plans to broaden the incipient welfare system are gradually executed.

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Tunisie-Afrique : la ZLECAf et le COMESA au cœur de la stratégie économique tunisienne

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a réaffirmé l’engagement de la Tunisie à soutenir les opportunités économiques à l’étranger et à accompagner les hommes et femmes d’affaires tunisiens, lors d’une réception organisée par le Tunisia-Africa Business Council (TABC) en l’honneur des chefs des missions diplomatiques tunisiennes à l’étranger.

Dans son allocution, Nafti a insisté sur la nécessité d’une approche innovante pour renforcer la coopération économique africaine, en s’appuyant sur la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et le Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA). Il a souligné l’importance de promouvoir les investissements, le tourisme et les exportations tunisiennes, affirmant que cette démarche requiert des outils performants pour soutenir l’économie nationale et ouvrir de nouveaux marchés.

Le président du TABC, Anis Jaziri, a salué le soutien continu du ministère des Affaires étrangères et des missions diplomatiques tunisiennes, notamment leur contribution à l’organisation du forum annuel « Financing Investment & Trade in Africa » (FITA).

L’événement a été ponctué par la présentation du « Consortium Tunisien pour le Développement Africain » (TUCAD), une initiative regroupant plusieurs institutions tunisiennes spécialisées dans les infrastructures, l’énergie et les transports. Ce consortium vise à accéder aux marchés africains grâce à un programme d’actions, en coordination avec les services du ministère des Affaires étrangères et ses missions diplomatiques.

Cette réception a été marquée par la présence d’ambassadeurs africains accrédités en Tunisie ainsi que de plusieurs hommes d’affaires tunisiens opérant en Afrique.

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Tunisie–Inde : 214 millions de dollars d’opportunités d’exportation inexploitées selon le CEPEX

Le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX) a révélé que les opportunités d’exportation inexploitées vers le marché indien s’élèvent à environ 214 millions de dollars malgré  que les échanges commerciaux entre la Tunisie et l’Inde  atteignant environ 800 millions de dollars, soit environ 2,4 milliards de dinars l’année dernière.

Ces opportunités, selon une rencontre tenue récemment entre le PDG du CEPEX, Mourad Ben Hassine et l’Ambassadrice de l’Inde en Tunisie,Shri Ngulkham Jathom, nécessitent un renforcement  du partenariat dans les secteurs à forte valeur ajoutée.

Les domaines de coopération entre les deux pays concernent les industries chimiques et des engrais compte tenu de la présence d’acide phosphorique  à Skhira, ainsi,  que les industries pharmaceutiques, les énergies renouvelables, les industries électriques et électroniques et les produits agricoles.

Les exportations de la Tunisie vers l’Inde se sont considérablement améliorées, avec une croissance des exportations d’huile d’olive de 250 % et de dattes de 56 %, ce qui reflète une dynamique croissante des produits tunisiens sur le marché indien, selon le CEPEX.

Pour les importations de la Tunisie en provenance de l’Inde, elles  comprennent plusieurs matières, dont  des voitures et des pièces détachées, avec une valeur de 356 millions de dinars (soit 18 % du total des importations ).

Les importations pharmaceutiques ont augmenté de manière significative, avec une hausse de 637% , en plus des importations de thé, de poisson congelé, de tracteurs agricoles, de textiles et de produits pétrochimiques, reflétant la diversité et l’ouverture croissante du marché tunisien à l’offre indien.

En 2024, l’Inde est le neuvième partenaire commercial de la Tunisie en termes de volume d’importation et le 16ème en termes d’exportations. Il existe, selon le CEPEX,  des perspectives prometteuses pour développer davantage les échanges et élargir les domaines de partenariat dans un certain nombre de secteurs vitaux et stratégiques.
L’Ambassadrice de l’Inde en Tunisie a réaffirmé l’engagement de son pays à poursuivre le renforcement de la coopération économique avec la Tunisie.

Elle a souligné l’importance d’activer la coopération entre le CEPEX et son homologue indien, en intensifiant l’échange de visites et de missions économiques, et l’organisation de forums d’affaires bilatéraux pour renforcer les partenariats sectoriels.

Lors de la réunion tenue à la Maison de l’Exportateur, les deux parties ont discuté de l’importance d’activer les accords précédents, en particulier le mémorandum d’entente  signé entre le CEPEX et son homologue indien en 2017, qui constitue un cadre juridique pour la coopération institutionnelle.

Les deux parties ont examiné une proposition visant à organiser un forum à distance en présence des structures concernées afin de discuter davantage des moyens de renforcer la coopération économique dans les secteurs prometteurs, et ce, dans le cadre des préparatifs actuels pour tenir des réunions de la commission  mixte dans le but de surmonter les obstacles douaniers et fiscaux.

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Tunisie : Déficit commercial, une spirale dangereuse

BateauLa Tunisie risque une dérive économique si les signaux d’alerte ne sont pas pris au sérieux. Le déficit commercial dépasse déjà les 9,9 milliards de dinars au cours de la première moitié de l’année, un niveau jamais atteint hors période de crise. Derrière cette dégradation se cache une dynamique inquiétante : recul des exportations, explosion des importations, perte de compétitivité, et dépendance  au financement extérieur.

Le scénario d’un déficit record de 20 milliards à la fin de 2025 semble de plus en plus probable. Le dernier rapport de l’INS (Institut National de la Statistique) sur les échanges commerciaux extérieurs est sans équivoque : au premier semestre 2025, les exportations tunisiennes ont reculé de 0,6 %, atteignant 31,77 milliards de dinars contre 31,95 milliards un an plus tôt. Une réponse inattendue dans un contexte censé marquer la relance post-Covid.

À l’opposé, les importations ont bondi de +4,3 %, totalisant 41,67 milliards de dinars contre 39,97 milliards au premier semestre 2024. Résultat : un déficit commercial aggravé de près de 2 milliards de dinars, culminant à -9,9 milliards de dinars. Le taux de couverture – indicateur clé de la capacité du pays à financer ses importations par ses exportations – a chuté de 79,9 % à 76,2 %. Un décrochage significatif, révélateur d’une perte d’équilibre dans les flux de dispositifs.

« La dérive du déficit commercial n’est pas une donnée technique, c’est un symptôme de perte de souveraineté. »

Un déficit structurel, pas seulement conjoncturel

Ce déséquilibre ne peut plus être attribué à des circonstances passagères. Il révèle une fragilité de fond. La Tunisie peine à tirer partie de ses atouts structurels – géographiques, humains, agricoles, industriels – pour dynamiser ses exportations. Et lorsque celles-ci reculent, alors que les importations augmentent, la pression sur les fondamentaux macroéconomiques deviennent insoutenable.  Ce déficit extérieur n’est pas neutre : il affaiblit la valeur du dinar, accroît la dette extérieure, alimente les pressions inflationnistes sur les produits importés et creuse les inégalités, car il touche directement le pouvoir d’achat des ménages.

 Tourisme : l’espoir d’une saison exceptionnelle… sous condition

Dans ce contexte, le tourisme est attendu comme un moteur vital. Les prévisions officielles tablaient sur une année 2025 « exceptionnelle ». Mais la réalité du terrain est plus nuancée. La Tunisie subit une concurrence régionale féroce de la Turquie et de l’Égypte, qui ont adapté leur politique tarifaire au contexte géopolitique, guerre entre l’Iran et l’entité sioniste oblige, en attirant massivement les marchés de l’Est, y compris les touristes polonais traditionnellement acquis à la Tunisie.

« Exporter moins, importer plus : la Tunisie finance sa dépendance au prix de son avenir. »

 

Sur le plan domestique, la réforme sur les chèques a eu un effet pervers : de nombreux ménages tunisiens qui finançaient leurs courts séjours avec des chèques postdatés ont tout simplement annulé leurs vacances. Résultat : une demande intérieure en berne et une consommation touristique comprimée.

Attendons-nous trop de la récolte céréalière ?

Autre sujet sensible : les importations de céréales, théoriquement en baisse en quantité dans l’espoir qu’une bonne campagne de récolte compense. Le fait est qu’au 5 juillet, la récolte nationale s’établissait à 10 millions de quintaux, soit à peine 1 million de plus que l’an dernier, et bien en deçà de l’objectif des 15 millions prévus par le budget. La saison étant quasiment terminée, l’argument d’une récolte excédentaire ne tient plus.

La baisse des importations serait donc davantage le fruit de restrictions budgétaires, imposées par le manque de devises, que d’une autosuffisance céréalière réelle.  Et ce, alors même que les besoins alimentaires devraient être en augmentation du fait de la saison touristique.

« La lucidité n’est plus une option, c’est une nécessité. »

Exportations industrielles : résultats mitigés

Les exportations ont enregistré une baisse dans le secteur de l’énergie de 36,3% sous l’effet de la diminution de nos ventes des produits raffinés soit 245,6MD contre 950,4 MD, ainsi que le secteur des industries agro-alimentaires de -19,1% à la suite de la baisse de la valeur de nos ventes en huiles d’olives 2346,6 MD contre 3406 MD.

Dans un pays où l’exportation est censée être un levier de croissance, la baisse des exportations des produits en question est d’autant plus préoccupante. L’huile d’olive – secteur historiquement performant – a vu ses flux perturbés à cause d’affaires liées à plusieurs grands opérateurs du secteur. Les quantités exportées plus importantes cette année n’ont pas apporté les recettes escomptées, les cours mondiaux de l’huile d’olive ayant baissé. Les exportations du secteur mines, phosphates et dérivés ont enregistré une hausse de +11,2% celui des industries mécaniques et électriques de +6,2% et textile, habillement et cuirs de +0,4% progressent encore plus sur le deuxième semestre pour, relativement, pallier le recul des autres produits en quantité et en valeur.

« L’espoir d’une relance repose sur une stratégie industrielle claire et partagée. »

Jusqu’où ira le déficit ?

La crainte d’un déficit de 20 milliards de dinars à fin 2025 est désormais évoquée ouvertement par plusieurs économistes. Ce seuil critique, franchi uniquement en période de pandémie, symboliserait une rupture durable des équilibres extérieurs. Une telle situation contraindrait l’État à intensifier le recours à la dette extérieure, ou à mobiliser l’épargne intérieure, au risque d’asphyxier les banques et de détourner les financements du secteur productif. Et dans un pays où la culture entrepreneuriale peine à se maintenir, cette perspective alimente la défiance des investisseurs et accentue la stagnation.

Des solutions à portée de main ?

La Tunisie ne manque pourtant pas de leviers, encore faut-il en prendre compte pour des mesures constructive loin d’un populisme devenu destructeur pour le pays.

Il suffit de réactiver le tissu industriel, de doter des moyens pour renforcer ses capacités à l’export et d’améliorer l’attractivité logistique et la valorisation des produits à haute valeur ajoutée pour inverser la tendance. Mais cela exige : une stratégie claire de soutien aux exportateurs, un climat d’affaires apaisé et transparent, des incitations fiscales stables et surtout, une vision à long terme portée par l’État et partagée avec le secteur privé ce qui ne semble pas être le cas aujourd’hui.

« Le déficit commercial est en passe de franchir un seuil critique inédit hors période de crise. »

 

La dérive du déficit commercial n’est pas seulement une donnée technique. C’est le symptôme d’un pays qui importe ce qu’il pourrait produire et qui n’exporte pas assez ce qu’il pourrait vendre. Si rien n’est fait pour redresser la barre, le pays risque de se retrouver en situation de dépendance chronique, étranglé entre le service de la dette, l’inflation importée et la rareté des devises.

C’est le socle même de la souveraineté économique qui est en jeu.  Face à cette urgence, la Tunisie doit choisir : continuer à nier l’ampleur du problème, ou mettre en œuvre une politique économique réaliste, volontariste et cohérente. La lucidité n’est plus une option, c’est une nécessité.

Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • Le déficit commercial tunisien atteint un niveau critique : -9,9 milliards TND au premier semestre.
  • Les exportations reculent, les importations explosent, aggravant la dépendance extérieure.
  • Les espoirs d’une relance par le tourisme ou la récolte céréalière s’amenuisent.
  • Des secteurs clés comme l’énergie ou l’agroalimentaire plongent, malgré quelques hausses industrielles.
  • Sans stratégie industrielle claire, la Tunisie s’expose à une spirale d’endettement et d’appauvrissement.

 

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Comment la Chine redessine-t-elle ses échanges avec la Tunisie ?

Huile DattesLes investisseurs publics chinois sont en train de mener une percée multiforme en Tunisie. Après des investissements lourds (pont fixe de Bizerte, rachat de cimenterie, réhabilitation du stade d’El Menzah…), les Chinois commencent à manifester de l’intérêt pour l’importation de produits du terroir du pays.

Une délégation de haut niveau à Tunis

Une délégation chinoise de haut niveau représentant le groupe Yuhan Yingluo Services, l’une des principales institutions chinoises spécialisées dans le commerce international, conduite par le PDG du groupe, Axi Bayawei, vient d’explorer (fin juillet 2025), lors d’une rencontre avec les premiers responsables des structures d’appui à l’exportation et à l’investissement extérieur, les opportunités d’investissement et d’échanges commerciaux (importation de produits tunisiens).

Un conglomérat à l’envergure internationale

Le groupe chinois, rattaché à l’un des plus grands conglomérats publics de Chine, est spécialisé dans le commerce international, les opérations logistiques aériennes et maritimes, ainsi que divers services économiques, dont des pavillons commerciaux internationaux regroupant des produits de plus de 50 pays, dont la Tunisie.

Un potentiel d’exportation sous-exploité

Les estimations font état de l’existence de plus de 214 millions de dollars d’opportunités d’exportation inexploitées vers la Chine, dont 20 millions pour l’huile d’olive, 15 millions pour les produits de la mer, et 2,5 millions pour les dattes, confirmant les perspectives significatives de réduction du déficit commercial et de renforcement des échanges entre les deux pays.

Le marché asiatique en alternative au marché américain

Avec la décision du 3ᵉ importateur de l’huile d’olive tunisienne, les États-Unis, d’augmenter les droits de douane perçus sur les produits tunisiens, le marché chinois, et plus généralement, le marché asiatique (japonais, sud-coréen, indonésien…), se positionne comme une alternative sérieuse pour remplacer le marché américain mais également pour réduire la forte dépendance au marché européen.

Une dynamique commerciale croissante

À noter que les échanges commerciaux entre la Tunisie et la Chine ont atteint 9,2 milliards de dinars tunisiens en 2024, soit une croissance de 8 % par rapport à 2023.

ABS

Indicateurs clés

  • 9,2 milliards TND — Montant des échanges commerciaux entre la Tunisie et la Chine en 2024
  • +8 % — Croissance des échanges bilatéraux en un an
  • 214 M USD — Potentiel inexploité d’exportation vers la Chine
  • 20 M USD — Opportunité d’exportation pour l’huile d’olive tunisienne
  • 3ᵉ importateur — Rang des États-Unis pour l’huile d’olive tunisienne, avant leur hausse des droits de douane.

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