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FIH 2025 : Bassekou Kouyaté envoûte Hammamet avec la magie du ngoni

Avec une 59ème édition qui touche à sa fin, le Festival international de Hammamet (FIH) a consacré la soirée du lundi 11 août 2025 à une immersion au cœur des sonorités mandingues avec Bassekou Kouyaté et son groupe Ngoni Ba, venus directement du Mali, pour se produire devant un public parmi les plus avertis et curieux.

Maîtres dans l’art de jouer du luth traditionnel “n’goni”, répandu au Mali et dans toute l’Afrique de l’Ouest, ces musiciens ont offert aux amateurs de musiques du monde une expérience rare : mélodies traditionnelles africaines, costumes typiques, sonorités inédites et une prestation scénique à couper le souffle.

Star de la soirée, Bassekou Kouyaté a dirigé un spectacle de haute voltige, entouré de sa femme, de son fils et de proches. Ensemble, ils perpétuent la tradition musicale tout en innovant, propulsant à travers le monde un savoir-faire ancestral.

L’évasion sonore a débuté avec “Kanougnon”, avant de se poursuivre avec “Abe Soumaya”, “Ngoni Fola”, sans oublier “Djadje, Kanto Kelena” et, pour conclure en beauté, “Wela Cuba”, qui a conquis le public. Le joueur de calebasse et batterie, petit frère de Bassekou Kouyaté, a insufflé aux sonorités subsahariennes une puissance et une magie qui ont captivé l’auditoire.

Récompensé à plusieurs reprises par les “BBC Awards” pour son premier album “Segu Blue”, nominé aux “Grammy Awards” pour “I Speak Fula”, Bassekou Kouyaté a donné des centaines de concerts à travers le monde, partageant la scène avec des légendes telles que Paul McCartney, John Paul Jones ou encore Bono.

Après cette soirée rythmée par la magie du ngoni, le festival international de Hammamet propose propose dans la soirée du mardi 12 août 2023 l’avant-dernier concert de cette édition avec “OSOOL”  pour un voyage sonore entre influences tunisiennes et accents jazzy.

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FIC2025 : un voyage artistique à travers dix cultures du monde

L’amphithéâtre romain de Carthage a vibré dans la soirée du 11 août 2025 au rythme des cultures en provenance des quatre coins de la planète. Dans le cadre du spectacle “Ballets folkloriques du monde”, la 59ème édition du Festival international de Carthage (FIC2025) a livré la scène à des troupes issues de dix pays : Sénégal, Serbie, Inde, Irak, Libye, Burkina Faso, Tunisie, Egypte, Algérie et Palestine.

Chacune a offert un pan de son patrimoine, au fil de sa musique, de sa danse et de ses costumes traditionnels, dans un esprit de partage et de dialogue interculturel.

Réhaussée de la présence de plusieurs diplomates, la soirée a débuté le voyage artistique avec “Rythm Connection” du Sénégal. Portée par la voix puissante de son chanteur, la formation a mêlé tambour, batterie, guitare électrique et instruments traditionnels, oscillant entre rythmes modernes et sonorités ancestrales. Leur titre engagé “Pourquoi ça, qu’est-ce qui se passe” a été dédié au peuple palestinien.

Place ensuite à la troupe de l’Institut National de Danse de Belgrade (Serbie) et son fameux “kolo”, danse collective exécutée en cercles ou en lignes, symbole de joie partagée. Les quatorze danseurs en costumes traditionnels, accompagnés à l’accordéon, à la flûte et au tambour, ont offert un moment festif et fédérateur.

L’Inde a brillé avec le “Rahjanstani Folk Dance Group”, qui a présenté la danse Chari, où les danseuses, en tenues colorées, évoluent gracieusement avec des jarres sur la tête, dans une mise en scène évoquant les célébrations et rituels festifs.

Depuis Bagdad, la troupe “Dar Ellibes” -The Iraqi House of Fashion” a transporté le public dans l’univers des Mille et Une Nuits. Costumes somptueux, broderies raffinées et défilé chorégraphié sur fond de musique traditionnelle irakienne ont captivé le public.

La Troupe nationale des arts populaires de Libye a enchaîné avec un spectacle musical et chorégraphique où le bendir, le tbal et la cornemuse (zokra) rappelaient des sonorités tunisiennes.

Le Burkina Faso a enflammé la scène grâce à la troupe Nazounski, dont les percussions effrénées, les chants scandés et les pas puissants ont transmis une énergie à l’unisson.

L’entrée de la troupe des Twayef de Ghbonten de la Tunisie s’est faite sous les applaudissements et les youyous avec “Jinek ye Carthage”, le titre interprété par ce groupe de poètes chanteurs dont les arts du spectacle figurent depuis 2024 sur la liste représentative du patrimoine immatériel de l’Unesco.

L’Egypte, avec sa Troupe nationale des arts populaires, a offert un moment magique avec la danse soufie du derviche tourneur, illuminée de couleurs, avant d’enchainer avec un tableau énergique inspiré des danses de Haute-Egypte.

Depuis l’Algérie, la Troupe Théveste des arts populaires a fait résonner les échos du patrimoine partagé avec la Tunisie, entre chants, bendirs et danses, entraînant le public à se lever.

En clap de fin, la troupe palestinienne Koufiya a livré un bouquet final engagé et émouvant avec des chansons patriotiques et une chorégraphie de jeunes danseurs en tenues traditionnelles qui ont apporté une note d’espoir.

Pendant plus de deux heures et demie, richesse, diversité et authenticité ont été les maîtres-mots de ce spectacle. Toutes les troupes, réunies sur scène pour un salut collectif au son de la musique palestinienne, ont incarné l’esprit même du Festival international de Carthage : un pont entre les peuples et les civilisations.

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Expo Osaka 2025 : la culture tunisienne mise à l’honneur avec le spectacle « Asayel »

La culture tunisienne sera à l’honneur dans le cadre de l’exposition universelle Expo Osaka 2025 (à Osaka, dans la région du Kansai au Japon) à travers un voyage immersif au cœur de son patrimoine et de ses traditions.

Le 13 août 2025 sera présenté “Asayel”, un spectacle produit par le Théâtre de l’Opéra de Tunis et interprété par la Troupe nationale tunisienne des arts populaires.

Cette fresque scénique, conçue comme une narration visuelle et musicale, évoque les légendes des cavaliers et des guerriers d’antan, les chants du désert, la poésie des tribus,… avec des tableaux de chants et de danses qui rendent hommage à la femme tunisienne, en ce jour qui lui est consacré, la Journée nationale de la femme (13 août), mettant en lumière son rôle dans tous les domaines et son rayonnement artistique, à travers un répertoire spécialement choisi pour l’occasion.

Après avoir inauguré la première édition du Festival international des arts populaires, organisé pour la première fois en Tunisie (26 juillet-5 août 2025) à l’initiative du ministère des affaires culturelles, sur le site archéologique d’Oudhna (gouvernorat de Ben Arous), “Asayel”  franchit les frontières pour offrir au public japonais l’occasion de découvrir un univers où se mêlent costumes traditionnels authentiques, chorégraphies populaires harmonieuses et tableaux inspirés du répertoire musical des médinas reflétant toute la diversité et la profondeur du patrimoine artistique tunisien.

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FIH2025: “Sinfonica”, un concert-hommage aux légendes de la chanson française

Deux voix venant de deux pays, la Tunisie et la France, se sont réunies, dans la soirée du 9 août 2025, dans le cadre de la 59ème édition du Festival international de Hammamet (FIH), autour d’un public cosmopolite pour une odyssée musicale autour des grandes icônes de la chanson française. Intitulé “Sinfonica-Spécial tubes français”, le spectacle musical a été animé par l’artiste interprète tunisienne Zeineb Oueslati et le Français Philippe Cavaillès, un duo accompagné par un orchestre sous la baguette du maestro Jihed Jbara, dans un hommage à Edith Piaf, Dalida, Charles Aznavour et Jacques Brel.

La soirée s’est ouverte avec la voix de Zeineb Oueslati qui a interprété un florilège des oeuvres les plus célèbres d’Edith Piaf, dont “Hymne à l’amour”, “La vie en rose”, “La foule” et “Padam padam”, livrant une interprétation fidèle à la sensibilité et à l’intensité des morceaux.

Dans la partie consacrée à Dalida, Zeineb Oueslati a adopté un style plus dynamique notamment sur des titres tels que “Paroles, paroles” et “Gigi l’amoroso”, avant de conclure avec la célèbre chanson “salma ya salama”.

L’entrée sur scène de Philippe Cavaillès, dont la ressemblance vocale avec Charles Aznavour lui a valu la reconnaissance comme principal interprète officiel de ses chansons en France, a été remarquablement visible dans “Il faut savoir”, enchaînant avec “Hier encore”, “For me formidable”, “Comme ils disent”, jusqu’à “Emmenez-moi”, emportant le public dans un voyage à travers le temps et l’espace.

Par ailleurs, Philippe Cavaillès, qui a prêté sa voix à la bande originale du film à succès” Monsieur Aznavour”, réalisé par Grand Corps Malade et Mehdi Idir, a clôturé la partie dédiée à Aznavour avec une interprétation de “La bohème”, avant d’interpréter plusieurs chefs d’oeuvre de Jacques Brel dont “Quand on n’a que l’amour” et “Ne me quitte pas”.

Pour conclure la soirée, les deux artistes ont repris en duo “La bohème”, répondant à la forte demande d’un public de plus en plus avide de revivre les éternelles d’Aznavour.

Lors de la conférence de presse après le spectacle, le chef d’orchestre Jihed Jbara a expliqué que la réorchestration de ces œuvres classiques a nécessité un travail minutieux pour préserver leur authenticité tout en les présentant sous une forme nouvelle.

De son côté, Zeineb Oueslati a exprimé sa joie d’avoir été associée à cette expérience unique en interprétant des chansons de figures emblématiques telles qu’Edith Piaf et Dalida.

Quant à Philippe Cavaillès, il s’est montré séduit par le charme singulier de la scène du Théâtre de plein air de Hammamet, qu’il a qualifié d’un “lieu de rêve”. Il a par ailleurs, souligné en tant qu’interprète, l’importance qu’il accorde à chaque souffle pour transmettre avec sincérité l’esprit et l’émotion des chansons, en particulier celles d’Aznavour.

Il a, dans ce sens, précisé avoir déjà interprété ces œuvres en France, accompagné de quatre à cinq musiciens ayant collaboré avec Aznavour, mais “l’expérience “à Hammamet, avec un orchestre complet, était différente” a-t-il confié.

Partageant quelques étapes clés de son parcours, il a indiqué que son spectacle hommage à Aznavour en France, réalisé en collaboration avec le dernier chef d’orchestre du chanteur disparu et plusieurs de ses musiciens, est un projet qu’il a financé lui-même malgré son coût élevé. “J’aime tellement les chansons d’Aznavour que je pourrais les chanter cinq heures d’affilée si c’était possible” a-t-il conclu.

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FIC 2025 : Après neuf ans d’absence, Najwa Karam signe un retour à guichets fermés, au fil d’une soirée empreinte de retrouvailles et de nostalgie

Après neuf ans d’absence, la star libanaise Najwa Karam a signé, dans la soirée du 9 août 2025, un retour en grande pompe sur la scène mythique de l’amphithéâtre romain de Carthage. La chanteuse a retrouvé un public fidèle dont l’enthousiasme avait déjà scellé le succès de la soirée à guichets fermés, dans le cadre de la 59ème édition du Festival international de Carthage (FIC).

Pendant plus de deux heures, Najwa Karam a entraîné le public dans un voyage musical mêlant tubes intemporels et nouveautés. Retransmise en direct sur la chaîne nationale Watania, Rotana Music et LBC Liban, la soirée s’est ouverte dans la ferveur d’applaudissements et d’acclamations bien avant l’apparition de la chanteuse. Lorsqu’elle a foulé la scène sur les premières notes de “Ezzik deyem ye Carthage”, qu’elle avait interprétée pour la première fois en 1997 dans le même écrin, pour rendre un hommage vibrant à la cité antique et aux liens qui l’unissent à Sidon et Tyr, la foule s’est levée d’un seul élan, chantant et dansant à l’unisson jusqu’au dernier accord.

La voix puissante de Najwa Karam a aussitôt retrouvé toute son ampleur avec “bi gharamak masloube”, entamé par un mawel avant d’enchaîner, avec la complicité du public, par un cocktail de son répertoire, comme “hayda haki” à “achega”, “khalini choufak belayl” ou “tahamouni” et des medleys qui ont mêlé d’autres succès populaires comme “saharni”, “taa janbi”, “ana ma fii” et “khayarouni”.

La complicité entre Najwa Karam et son public s’est intensifiée au fil de cette soirée, empreinte de retrouvailles et de nostalgie, et portée par ce mélange habile de rythmes entraînants et de mélodies mémorables comme “w kberna ya bayi”, “damaa”, “tnoub”, “khalik al ardh” ou “ouyoun albi ».

Vêtue d’une élégante “abaya” tunisienne, Najwa Karam a confié, lors de la conférence de presse suivant le concert, l’attachement particulier qu’elle porte au Festival international de Carthage. Elle a souligné avec émotion que c’était là sa dixième prestation sur cette scène qu’elle décrit comme inoubliable. La star de la soirée a réaffirmé sa fierté de défendre son style musical et son dialecte libanais, se réjouissant que chaque passage à Carthage soit une nouvelle occasion de graver des souvenirs mémorables.

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FIH 2025 : le Prince du Raï, Cheb Mami, signe un retour historique sur scène

La soirée attendue du 8 août 2025 a eu lieu au Festival International de Hammamet (FIH) dans une ambiance particulière avec le retour sur scène du Prince du Raï, l’indétrônable Cheb Mami qui retrouve son public après plus de 10 ans d’absence.

A guichets fermés depuis plus d’un mois et d’un public qui attendait sa star 4 h avant l’ouverture des portes, l’amphithéâtre de Hammamet a connu son spectacle plus rempli de la 59ème édition.

La star des années 80-90, qui a marqué les générations avec ses tubes immortels, en fait danser et chanter plus d’un. D’’Au Pays des merveilles (Azwaw)” en passant par “Cheikh” ou “Rani maàk El Youm”, ses chansons sont indéniablement éternelles et traversent avec le même engouement les générations. Cheb Mami continue d’occuper la scène du FIH avec autant d’enthousiasme, d’énergie et d’amour pour son public et vice-versa. La légende a bel et bien occupé les rênes d’un concert exceptionnel et répondu aux attentes des amoureux du Raï.

C’est avec les mots de bienvenue “1, 2, 3, Viva l’algérie” et “Wesh” que Cheb Mami démarre son show en envoutant le public de sa voix suave et rayonnante tout de noir vêtu, en séduisant son auditoire par sa présence scénique sereine, douce, assurée et rythmée. La star est bienveillante et à l’écoute de son public, qui chante en chœur du début jusqu’à la fin. Après plus de 4 titres phares en arabe algérien, sa langue natale, l’artiste offre à ses admirateurs une reprise tunisienne de “Jari Ya Hamouda”, qui a fait danser la foule. Puis il interrompt spontanément sa chanson et explique “C’était un intermède, un extrait pour vous faire plaisir, c’est tout” avant de reprendre concert.

Cette légende de la musique maghrébine a innové avec d’autres stars de Raï, ce genre musical en intégrant notamment la pop et le rock.

Cheb Mami chante notamment la tolérance et l’amour sous toutes ses palettes face à un public totalement sous le charme.

L’icône répond avec bonheur à la demande de ses fans, enchainant à tour à tour ses plus grands succès, avant de quitter la scène avec un “Au revoir” furtif et discret. Ce concert fait l’effet d’une rétrospective, d’une compilation des succès musicaux qui ont fait sa carrière jalonnée de succès mérités suite, notamment, à son duo avec Sting ” Desert Rose” qui lance véritablement sa carrière à l’international.

Le Raï original a évolué depuis sa genèse vers un Raï modernisé, revisité, riche en textes qui chantent l’amour, les racines, l’appartenance, l’union en mix avec de la pop, du rock, du blues et du reggae, et fini par devenir un courant musical reconnu sortant des frontières l’Afrique du Nord pour imprégner de ses sonorités uniques le monde entier.

Le 9 aout laisse place à “Sinfonica”, une soirée festive qui hommage à la chanson française et à ses grands classiques sera assurée par Philippe Cavaillé, valeur sûre de la variété française, interprète principal de Charles Aznavour et la tunisienne Zeineb Oueslati. Le duo sera dirigé par le maestro Jihed Jbara. Ce soir, ils s’empareront de la scène du FIH, prêts à conquérir un public éclectique, fidèle de cette 59ème édition, pour un intermède musical éphémère qui ne marquera pas de marquer les mémoires.

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La Tunisie reconnue parmi les leaders du tourisme au Moyen-Orient, selon Forbes 2025

Le classement Forbes Middle East 2025 dévoile les 101 personnalités les plus influentes qui façonnent l’industrie du voyage et du tourisme, en valorisant leur impact dans les secteurs public et privé.

Si les Émirats arabes unis dominent la liste avec 49 leaders, suivis par l’Arabie saoudite (24) et l’Égypte (7), la Tunisie s’affirme avec la présence notable de Mohamed Mehdi Haloui, directeur général de l’Office national du tourisme tunisien (ONTT) depuis avril 2025. L’ONTT est l’organisme à travers lequel le gouvernement tunisien met en œuvre ses stratégies de développement touristique et promeut la Tunisie comme destination nationale et internationale.

La Tunisie affiche des chiffres prometteurs: en 2023, 118 accords préliminaires ont été accordés aux développeurs pour de nouveaux projets touristiques, d’une valeur totale de 134 millions de dollars. En décembre 2024, le pays a également annoncé que les investissements du secteur privé dans le tourisme à Jendouba dépasseront 133,7 millions de dollars d’ici à 2027. Avant sa nomination à la tête de l’ONTT, Haloui occupait depuis mai 2023 le poste de directeur des investissements et du soutien aux développeurs au sein de la même institution.

Le classement met en lumière des projets phares et innovants, comme le développement du premier parc Disney du Moyen-Orient à Yas Island (Abu Dhabi) — septième au niveau mondial — mais aussi des initiatives dédiées à la préservation du patrimoine culturel et à l’écotourisme. Parmi ces acteurs engagés figurent la Diriyah Company, la Royal Commission for AlUla, ou encore le groupe ENVI Lodges, symboles d’un tourisme durable et responsable.

Le top 3 est occupé par des poids lourds du tourisme régional: H.H. Sheikh Ahmed bin Saeed Al Maktoum (Emirates Airline & Group), Fahd Hamidaddin (Saudi Tourism Authority) et Badr Mohammed Al-Meer (Qatar Airways). À côté de ces géants, la présence tunisienne constitue un point d’appui essentiel pour une Afrique du Nord souvent sous-représentée dans les classements internationaux.

Ce palmarès évalue les leaders selon plusieurs critères: la taille et la portée de leurs entreprises (nombre d’hôtels, passagers, revenus), leur impact économique et leur influence dans la transformation digitale du secteur, ainsi que leurs réalisations majeures entre 2024 et 2025. L’intégration de Mohamed Mehdi Haloui dans ce classement traduit la montée en puissance de la Tunisie dans le paysage touristique régional et mondial.

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WMC LEMAG 240 : L’économie tunisienne sous pression… mais pas sans espoir !

WMC LEMAG 240
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L’édition n°240 de WMC LeMag plonge au cœur des défis et opportunités de l’économie tunisienne en 2025. Entre un modèle économique en bout de souffle, une dette extérieure lourde et des déficits persistants, le pays reste sous forte pression.

Pourtant, des signaux encourageants émergent : reprise des investissements directs étrangers, regain du tourisme, contribution record de la diaspora et performances de l’huile d’olive à l’export.

Dans ce numéro : un dossier complet sur les fractures et les ressorts de l’économie, l’affaire TSI comme révélateur des failles éthiques, l’acquisition stratégique de SAH Lilas par PGH, ainsi que des success stories et des reportages culturels.

Un contenu riche pour comprendre les choix décisifs qui s’imposent.

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Santé : Mustapha Ferjani préside l’évaluation de la mission Hajj 2025

Le ministre de la Santé, Moustapha Ferjani, a présidé, vendredi après-midi 8 août, à l’amphithéâtre Slim Ammar de l’hôpital Razi (La Manouba), une réunion d’évaluation et d’hommage aux membres de la mission sanitaire accompagnant les pèlerins tunisiens pour la saison du Hajj 2025.

Dans une déclaration à l’agence TAP, Ferjani a indiqué que « le plan de prise en charge des pèlerins a été un succès, avec 28 équipes médicales mobiles composées de personnel paramédical, 19 médecins généralistes et urgentistes, ainsi que 9 spécialistes. Malgré un effectif réduit par rapport à la saison 2024, ces équipes ont obtenu d’excellents résultats et accompli un travail humanitaire remarquable dans le cadre de leur mission nationale ».

Il a souligné que cette rencontre organisée par le ministère rendait hommage aux efforts déployés par les membres de la mission pour assurer les meilleures conditions sanitaires aux pèlerins, en leur offrant des soins préventifs, proactifs et curatifs dès leur arrivée en Arabie saoudite et jusqu’à la fin des rites.

Par ailleurs, une analyse approfondie des points forts et des axes d’amélioration a été menée, afin de corriger les faiblesses pour la prochaine saison.

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BIGTECH AFRICA 2025 : renforcer la coopération tuniso-coréenne autour de l’innovation

Dans le cadre du renforcement de la coopération économique et technologique entre la Tunisie et la Corée du Sud, la Chambre de Commerce Tuniso-Coréenne (TKCC) organise une session spéciale lors de BIGTECH AFRICA 2025. Cet événement met en lumière le partenariat stratégique entre les deux régions, favorisant l’innovation, l’investissement et l’ouverture vers de nouveaux marchés en Afrique, en Europe et en Asie.

La Chambre de Commerce Tuniso-Coréenne (TKCC) tiendra une session spéciale le 10 septembre 2025, de 11h à 12h (CET), au Parc des Expositions du Kram à Tunis, dans le cadre du salon BIGTECH AFRICA 2025.

Cette rencontre de haut niveau vise à créer un espace d’échange entre l’Afrique du Nord et l’Asie de l’Est autour des thèmes de l’innovation, de l’investissement et des nouvelles dynamiques de croissance.

L’événement explorera notamment comment Tunis peut devenir une plateforme stratégique pour diffuser l’innovation coréenne vers les marchés africains et européens, tandis que Séoul s’affirme comme une porte d’entrée privilégiée pour les startups africaines souhaitant s’étendre en Asie du Sud-Est.

Ce dialogue s’inscrit dans un contexte de coopération bilatérale dynamique, riche en échanges technologiques et opportunités mutuelles.

Les participants peuvent s’inscrire pour assister en présentiel ou suivre la diffusion en ligne.

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Climat : juillet parmi les mois les plus chauds de l’histoire selon les scientifiques

Climat : juillet parmi les mois les plus chauds de l’histoire selon les scientifiques

Des scientifiques ont annoncé ce jeudi que le mois de juillet dernier a été le troisième mois de juillet le plus chaud jamais enregistré à l’échelle mondiale depuis le début des relevés climatiques. Ce mois a été marqué par des vagues de chaleur intenses dans plusieurs régions du globe, notamment en Turquie, où un record […]

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FIH 2025 : “Arboune”, une danse-théâtre poignante signée Imed Jemaa

Présenté dans la soirée du mercredi 6 août dans le cadre de la 59ème édition du Festival international de Hammamet (FIH2025), le spectacle chorégraphique de danse-théâtre “Acompte” (titre arabe Arboune), unique création chorégraphique de cette édition, s’est imposé comme une expérience artistique dépassant le simple cadre esthétique pour sonder les douleurs enfouies d’un artiste tunisien, à l’image de toute une société. Une oeuvre prenant la forme d’un cri silencieux, dont le poids est porté par le langage corporel.

Le titre, emprunté au lexique populaire tunisien, désigne une avance financière versée en gage d’un engagement. Mais dans cette création, “Arboune” devient une métaphore poignante : le tribut que paie l’artiste, et au-delà toute une société, pour continuer de survivre et de tenir debout dans un environnement instable où les repères se brouillent, voire se perdent.

Durant près d’une heure, la pièce se déploie dans l’espace d’une chambre modeste aux meubles usés, évoquant une société épuisée. A travers cette scénographie, Imed Jemaa interroge la condition de l’artiste tunisien, dépossédé de ses droits fondamentaux, en proie au doute, contraint de défendre coûte que coûte un rôle social devenu presque illusoire, dans une création où le langage du corps, minutieusement travaillé, révèle une gestuelle resserrée, souvent repliée, traduisant enfermement, impuissance et épuisement.

Mais “Arboune” est aussi une reconnaissance de fidélité à la mémoire d’un art marginalisé, et à toute une génération d’artistes qui croient encore à la portée du geste, à la noblesse d’un art résistant, un clin d’œil de protestation contre une réalité qui broie les vocations et étouffe les espérances.

Sur un plan plus personnel, ce spectacle constitue également un hommage symbolique au père d’Imed Jemaa qui était musicien tout en évoquant l’atmosphère de la pandémie de Covid-19, une étape charnière qui a profondément remodelé la conscience de l’artiste, sa mémoire et ses liens avec son environnement créatif et social.

Entouré de huit danseurs et danseuses -Rania Jdidi, Ameni Chatti, Chokri Jemaa, Ahmed Grindi, Abdelkader Drihli, Omar Abbes, Kais Boulares, Souhaiel Ben Saad et Imed Jemaa-, fort de plus de quarante ans d’expérience, signe une œuvre intense et profondément humaine, malgré les contraintes matérielles, portée par un groupe à l’énergie partagée et renforcée par la présence scénique du chorégraphe lui-même, dont l’engagement physique et émotionnel confère à l’ensemble une densité singulière.

Après la représentation, l’artiste s’est livré à cœur ouvert lors de la conférence de presse, évoquant les difficultés rencontrées pour mener à bien ce projet, fruit d’un travail de plus d’un an et demi. Il a souligné que ce spectacle est né dans un contexte personnel et professionnel difficile, exprimant sa déception face à la réalité artistique en Tunisie, notant que la danse professionnelle est quasiment inexistante et que le nombre de danseurs professionnels diminue jour après jour. Il a également critiqué l’absence de formation sérieuse et la dévalorisation du travail chorégraphique au profit de shows de divertissement.

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Bigtech Africa Expo 2025 | Tunis, plateforme pour le networking high-tech

Tunis deviendra l’épicentre de la technologie africaine en accueillant, du 9 au 11 septembre 2025, au Palais des Expositions du Kram, la deuxième édition de Bigtech Africa Expo 2025, le plus grand salon du continent dédié à l’innovation, à l’intelligence artificielle et aux startups.

Les organisateurs tablent sur plus de 12 000 participants venus de 12 pays.

Sur 10 000 mètres carrés, le salon réunira près de 200 startups et exposants, 50 investisseurs africains et internationaux et une centaine d’experts.

Les secteurs couverts incluent la santé, l’agriculture, la finance numérique, l’intelligence artificielle, l’éducation, l’énergie et la cybersécurité.

Fort du succès de sa première édition, BigTech 2025 vise à renforcer le rôle de l’Afrique en tant que pôle technologique mondial, en favorisant les échanges entre entrepreneurs, investisseurs et décideurs politiques.

Le salon se veut une plateforme incontournable de réseautage, de partage des connaissances et d’accélération de la transformation numérique sur le continent. C’est l’occasion de favoriser la collaboration et d’ouvrir de nouvelles opportunités commerciales aux startups africaines à l’international.

En accueillant cet événement, la Tunisie consolide son statut de pôle de talents et d’innovation, attirant des acteurs clés de l’écosystème technologique.

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FIH 2025 : Koum Tara envoûte Hammamet avec un chaâbi métissé et hypnotique

Des vibrations musicales inédites et métissées ont résonné aux quatre coins du théâtre de plein air du centre culturel international de Hammamet (CCIH), dans la soirée du 5 août 2025. “Koum Tara”, un groupe de virtuoses franco-algériens, a conquis le public par sa présence  sur scène en transformant chaque instant musical en une véritable parenthèse hypnotique.

Dans ce concert, les instruments dans leur diversité ont livré des sonorités imprégnées de poésie algérienne : la violoncelliste, entourée de violonistes, d’un batteur et d’un pianiste, a façonné une matière sonore nouvelle, enrichie par des instruments comme le oud, la contrebasse ou encore la traditionnelle darbouka (percussion). Une douceur auditive rare s’est imposée pendant plus d’une heure et demie de concert envoûtant, où chaque morceau en live s’élançait comme une invitation à l’évasion.

Le projet “Koum Tara”, imaginé par le compositeur Karim Maurice, repose sur quatre répertoires distincts : musiques du monde, sonorités traditionnelles chaâbi, jazz et et musique classique, pensée pour un quatuor donnant à découvrir un mélange réussi. A cette alchimie se joint le chanteur et musicien Hamidou, dont la voix et le charisme ajoutent une dimension vibrante aux compositions et textes de Karim Maurice.

Le bal s’est ouvert avec le morceau “Zidane”, joué en live pendant plus de cinq minutes, avant d’enchainer avec “Ya Taleb”, “Ana Andi”, ou encore leur emblématique “Koum Tara”. Majoritairement instrumentales, leurs chansons captent l’humain, et transmettent la diversité et l’amour universel dans une poétique qui célèbre la vie.

“Koum Tara”, c’est l’ouverture du chaâbi algérien à la musique du monde. Un dialogue riche, inattendu, mais profondément harmonieux où chaque musicien a apporté sa culture et sa musicalité.

Lancé en 2018, le projet puise son inspiration dans l’héritage des grands noms du chaâbi algérien : Mahboub Bati, Mohamed El Badji, Dahmane El Harrachi. Entre sonorités modernes, accents psychédéliques et touches électro, le groupe trace son chemin depuis sept ans en France et ailleurs.

Après “Koum Tara”, la scène s’apprête d’ores et déjà à accueillir “Arboune”, le seul spectacle cent pour cent chorégraphique de cette édition, signé Imed Jemaa, réunissant un florilège de jeunes danseurs contemporains tunisiens.

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FIC 2025: Saint Levant mêle rap, oud et dabka dans un show inoubliable

La soirée du 5 août 2025 était parmi les plus attendues de la 59ème édition du Festival international de Carthage (FIC). Annoncé sold out depuis plusieurs semaines, le concert de Saint Levant confirmait l’immense attente autour de la venue de ce phénomène palestino-algérien.

De son vrai nom Marwan Abdelhamid, Saint Levant est l’étoile montante d’une musique polyglotte et engagée qui fait vibrer la jeunesse du monde arabe, et bien au-delà, avec des chansons en arabe, français et anglais, mêlant amour, exil, identité et messages forts en faveur de la Palestine.

Sur la scène de l’amphithéâtre romain de Carthage, le jeune artiste a livré une performance où il a, en parfaite complicité avec un public portant, corps et âme, la cause palestinienne, enchaîné ses titres les plus emblématiques comme “On This Land”, “Daloona”, “Forgive Me”, “Galbi”, “Exile”, “Deira”, “Kalamantina”…

Dans une mise en scène symbolique, où flottaient côte à côte les drapeaux de la Tunisie, de la Palestine et de l’Algérie, la voix de Saint Levant s’est posée comme un souffle vibrant sur les pierres millénaires du théâtre antique. Dès les premières notes de “From Gaza With Love”, la foule a chanté à l’unisson dans une ferveur exceptionnelle.

Entre confidences intimes, paroles de résistance et moments d’exaltation, Saint Levant a tissé près de deux heures de communion avec un public majoritairement jeune, mais aussi composé de familles et de fans de tous horizons, présents depuis des heures avant le spectacle pour vivre cet instant tant attendu.

Acclamé par ses fans, l’artiste a également offert deux morceaux inédits, deux nouveautés : “ya samra” et “ya sabah el fol wel yasmin”.

Malgré quelques soucis techniques au niveau du son, et un répertoire encore modeste, Marwan Abdelhamid a confié avoir donné à Carthage le concert le plus long de sa carrière. Là où ses spectacles ne dépassent généralement pas une heure, il est resté deux heures sur scène, chantant, jouant du saxophone et du oud, dansant sur des airs arabes et tunisiens, notamment sur l’incontournable “Sidi Mansour”, dans une ambiance rythmée par la “dabka” palestinienne, des danses algériennes et tunisiennes.

Le jeune artiste a profité de cette soirée pour rendre hommage à plusieurs figures clés de son parcours, comme Souhayl Guesmi (alias Ratchopper), producteur bien connu sur la scène rap tunisienne, ou encore Mabrouka, sa nourrice tunisienne, dont il a déjà partagé l’histoire sur les réseaux sociaux.

A seulement 25 ans, avec quatre albums à son actif, Saint Levant -auteur-compositeur-interprète et rappeur- a signé à Carthage son tout premier concert en Tunisie à guichets fermés, dans la liesse et la ferveur, où la Palestine chantée et scandée a résonné dans les voix d’un public debout, les poings levés…et lumière dans les yeux.

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FIH 2025 : Balti, figure du rap arabe, fait vibrer la scène

La soirée musicale du 4 août 2025 au théâtre de plein air au Centre culturel international de Hammamet, avec le rappeur tunisien Balti, figure emblématique de la scène musicale maghrébine et arabe, a été incontestablement l’un des temps forts de la 59ème édition du Festival international de Hammamet (FIH).

Réputé pour son tube à succès “ya lili”, qui cumule à ce jour plus de 785 millions de vues depuis sa sortie en octobre 2017, Balti a offert un spectacle complet, alliant performance artistique et complicité exceptionnelle avec un public venu en masse, notamment de jeunes attirés par un genre musical qui reflète à travers des paroles sur le monde ou sur soi, leur quotidien et leur vécu dans un langage qui leur est proche voire familier.

Ce concert a marqué la première soirée consacrée au rap dans cette édition du FIH, traduisant une volonté d’ouverture vers les expressions artistiques contemporaines. La soirée s’est révélée être un véritable espace de dialogue entre l’artiste et ses fans, à travers des morceaux ancrés dans la réalité, abordant sans détour ni artifice des thématiques qui les touchent de plus près.

Balti a ouvert le bal avec “helma”, un morceau porteur d’espoir et de résilience, avant d’enchaîner avec “walla Lala”, “douza douza”, “ana”, “clandestino”, puis “dima méchi”, avant que l’émotion atteint son apogée au rythme avec “ya lili”.

La seconde partie du concert a offert un éventail plus large de titres comme “ya hasra”, empreint de nostalgie, suivi de “ghriba alaya” et “allo allo”. Balti a également interprété certaines de ses productions les plus récentes, notamment “sahbek rajel”, abordant la confiance, l’amitié et la trahison, ainsi que “mama”, hommage vibrant à la mère, avant de clôturer la soirée avec “jey merrif”.

Lors d’une conférence de presse tenue après le concert, Balti a exprimé sa joie de retrouver la scène du prestigieux Festival international de Hammamet. Il a mentionné que la sélection des titres avait été motivée par le désir de transmettre des messages en résonance avec les tourments et les rêves de la nouvelle génération.

Aujourd’hui, Balti s’impose comme l’un des artistes rap les plus influents du monde arabe et du continent africain. Le succès phénoménal de “ya lili” -devenue la vidéo musicale la plus vue en Afrique et l’un des plus grands succès de l’histoire du rap maghrébin- a propulsé sa carrière au-delà des frontières. Un parcours porté par un répertoire singulier, sensible et percutant : un rap à fleur de peau, à fleur de mots.

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BIGTECH 2025 en Tunisie : 12 000 participants attendus pour l’événement tech de référence en Afrique

La Tunisie s’apprête à devenir l’épicentre de la technologie africaine en accueillant la deuxième édition du BIGTECH Africa Expo 2025, le plus grand salon dédié à l’innovation, à l’intelligence artificielle et aux start-ups du continent.

L’événement se tiendra du 9 au 11 septembre 2025 au Palais des Expositions du Kram, avec plus de 12 mille participants attendus, venant de 12 pays. Organisé sur une superficie de dix mille mètres carrés, le salon réunira près de 200 start-ups et exposants, 50 investisseurs africains et internationaux, ainsi qu’une centaine d’experts de renom. Les secteurs clés mis en avant incluront la santé, l’agriculture, la finance numérique, l’IA, l’éducation, l’énergie et la cybersécurité.

Fort du succès de sa première édition, BIGTECH 2025 ambitionne de renforcer la position de l’Afrique comme hub technologique mondial, en facilitant les échanges entre entrepreneurs, investisseurs et décideurs publics.

Le salon se présente comme une plateforme incontournable pour le networking, le partage de connaissances et l’accélération de la transformation numérique sur le continent. En abritant ce salon, la Tunisie consolide son statut de carrefour des talents et des innovations, attirant les acteurs majeurs de l’écosystème tech.

Selon les organisateurs, BIGTECH 2025 vise à stimuler les collaborations et à ouvrir de nouvelles perspectives économiques pour les start-ups africaines à l’échelle internationale.

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