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Fatma Thabet Chiboub appelle à moderniser le réseau électrique et investir dans les énergies alternatives

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a effectué, vendredi, une visite de travail au Centre national de pilotage du système électrique, relevant de la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG), où elle s’est enquise sur les moyens employés pour maitriser la production et le transport d’électricité, ainsi que les systèmes de surveillance avancés permettant d’assurer l’équilibre entre l’offre et la demande d’électricité, outre les mécanismes mobilisés pour assurer une analyse instantanée des données, à même de prévoir des pannes potentiels sur le réseau électrique.

D’après un communiqué, publié par le département de l’Industrie, Chiboub a visité, également, le Centre de Surveillance et de Diagnostic de la Performance des Stations de Production d’électricité (relevant de la Direction centrale de production de l’électricité). Elle a pris connaissance, ainsi, du rôle de ce centre relatif au suivi des unités de production, ce qui permet de prévoir les pannes et d’éviter les coupures imprévues.

Par ailleurs, la ministre a présidé une réunion avec des responsables de la STEG, durant laquelle elle a évoqué plusieurs problématiques, portant, notamment, à la satisfaction de la demande énergétique, surtout pendant la saison estivale, les défis relatifs au bilan énergétique, et les répercussions des changements climatiques.

La réunion a constitué, aussi, une occasion pour passer en revue les solutions pratiques permettant de garantir l’approvisionnement continu en électricité, d’améliorer la qualité du service, et de développer le système électrique, ainsi que de renforcer la production de l’électricité.

Chiboub a souligné, dans ce cadre, l’impératif d’accroître les investissements dans le domaine des énergies alternatives et de moderniser le réseau électrique, tout en développant les infrastructures et en adoptant des technologies modernes pour répondre à la demande accrue d’énergie.

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Fatma Thabet Chiboub au Centre de pilotage électrique de la STEG

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a effectué, vendredi 8 aout, une visite de travail au Centre national de pilotage du système électrique, relevant de la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG). Elle s’est enquise des moyens mis en œuvre pour maîtriser la production et le transport d’électricité, ainsi que des systèmes de surveillance avancés assurant l’équilibre entre l’offre et la demande. Elle a également pris connaissance des mécanismes permettant une analyse instantanée des données afin de prévoir d’éventuelles pannes sur le réseau électrique.

Selon un communiqué publié par le département de l’Industrie, Chiboub a aussi visité le Centre de surveillance et de diagnostic de la performance des stations de production d’électricité, relevant de la Direction centrale de production. Elle y a été informée du rôle de ce centre dans le suivi des unités de production, permettant d’anticiper les pannes et d’éviter les coupures imprévues.

Par ailleurs, la ministre a présidé une réunion avec des responsables de la STEG. Les échanges ont porté sur plusieurs problématiques, notamment la satisfaction de la demande énergétique, en particulier durant la saison estivale, les défis liés au bilan énergétique et les répercussions des changements climatiques.

Cette réunion a également permis de passer en revue des solutions pratiques pour garantir un approvisionnement continu en électricité, améliorer la qualité du service, développer le système électrique et renforcer la production.

Chiboub a souligné, à cette occasion, la nécessité d’accroître les investissements dans les énergies alternatives, de moderniser le réseau électrique, de développer les infrastructures et d’adopter des technologies innovantes afin de répondre à la demande croissante d’énergie.

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Tunisie : Un maillon stratégique dans l’exportation d’électricité vers l’Europe

Le projet Elmed, reliant la Tunisie au sud de l’Italie, positionne la Tunisie comme un acteur clé de l’intégration énergétique euro-africaine. Ce câble sous-marin ouvre la voie à une coopération énergétique renforcée entre l’Algérie, la Tunisie et l’Europe.

Le projet Elmed, en phase de finalisation, pourrait bien faire de la Tunisie un acteur central de la nouvelle carte énergétique du bassin méditerranéen. Ce câble électrique sous-marin, qui reliera le réseau tunisien au sud de l’Italie, permettra non seulement de renforcer l’interconnexion entre l’Afrique du Nord et l’Europe, mais aussi de positionner la Tunisie comme hub régional de transit énergétique.

Selon les déclarations de Fayçal Trifa, directeur général de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG), reprises par l’agence italienne Nova, Elmed vise à intégrer les réseaux algérien et tunisien pour faciliter l’exportation de l’électricité vers l’Europe et appuyer la création d’un futur marché énergétique euro-africain.

Ce projet d’envergure, d’une capacité de 600 MW et d’un coût total de 850 millions d’euros, bénéficie d’un financement conséquent : 300 millions d’euros de la Commission européenne et 260 millions de dollars de la Banque mondiale, avec l’implication de la Banque européenne d’investissement (BEI), la KfW allemande et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

Pour la Tunisie, les retombées sont multiples. D’un point de vue stratégique, ce projet permettrait de renforcer la sécurité énergétique du pays, tout en l’intégrant pleinement dans les grandes dynamiques de transition énergétique en Méditerranée. Il ouvre également des perspectives commerciales, puisque la Tunisie pourrait bénéficier de droits de transit ou, à terme, exporter elle-même de l’électricité, notamment issue des énergies renouvelables.

En parallèle, l’Algérie mise sur ce couloir tuniso-italien pour renforcer ses exportations électriques, notamment après l’abandon du projet d’interconnexion directe avec la Libye jugé techniquement infaisable. Elle modernise à cet effet ses lignes haute tension vers la Tunisie, tout en développant un ambitieux programme de production électrique, avec des objectifs dépassant les 50.000 MW d’ici dix ans, en partie grâce aux énergies solaire et éolienne.

La Tunisie, en se positionnant comme trait d’union énergétique entre l’Afrique et l’Europe, voit ainsi s’ouvrir de nouvelles perspectives en matière de diplomatie énergétique, d’investissement et d’intégration régionale.

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Électricité en Tunisie : Un tarif moyen de 472 millimes/kWh, fortement dépendant du gaz naturel

Lors d’une audition parlementaire, des responsables du ministère de l’Industrie ont précisé que le prix moyen de l’électricité en Tunisie est actuellement de 472 millimes par kilowattheure, dont 70% lié au coût du gaz naturel. Un équilibre fragile, maintenu grâce aux subventions et au recours à des financements islamiques.

Le tarif de l’électricité en Tunisie s’élève en moyenne à 472 millimes par kilowattheure, ont indiqué lundi des responsables du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, lors d’une séance d’audition tenue par la commission parlementaire des Finances et du Budget. Une grande partie de ce coût – 70% exactement – est liée au prix du gaz naturel, principale source d’approvisionnement énergétique du pays.

Des subventions lourdes

Cette audition a été consacrée à l’examen de l’accord de financement dit « Mourabaha », conclu entre la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG) et la Société internationale islamique de financement du commerce (ITFC), pour assurer l’importation de gaz naturel. Il s’agit d’un mécanisme de financement conforme aux principes de la finance islamique, destiné à renforcer la trésorerie de la STEG.

Les représentants du ministère ont précisé que 85% des abonnés de la STEG consomment moins de 200 kWh par mois, un chiffre qui témoigne d’une consommation modérée mais aussi d’un poids élevé des subventions. En effet, près de 40% du tarif de l’électricité serait actuellement couvert par l’État, un effort budgétaire considérable.

Vers une réforme tarifaire conditionnée

Les responsables gouvernementaux ont souligné qu’aucune hausse des tarifs de l’électricité ou du gaz ne sera envisagée sans la réalisation préalable d’une étude approfondie, insistant sur la nécessité pour la STEG de réduire ses coûts de production. L’objectif à moyen terme est de garantir une vision claire de la tarification pour les années à venir, en intégrant davantage d’énergies renouvelables afin de renforcer l’indépendance énergétique du pays.

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