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Températures entre 31 °C et 39 °C

Le temps sera globalement peu nuageux sur l’ensemble du pays, avant que les nuages ne deviennent plus denses dans l’après-midi sur les hauteurs de l’Ouest Nord, où des cellules orageuses locales, accompagnées de pluies éparses, pourraient se développer.

Le vent, de secteur Est, sera faible à modéré, puis se renforcera en fin de journée à l’extrême Sud, avec des rafales pouvant temporairement dépasser 60 km/h lors du passage des cellules orageuses, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM).

La mer sera peu agitée. Les températures maximales varieront entre 31 °C et 35 °C sur les régions côtières et les hauteurs, et entre 36 °C et 39 °C ailleurs.

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Bizerte : Une 8e édition du Forum mondial de la mer aux enjeux maritimes globaux

La 8 édition du Forum mondial de la mer se tiendra à Bizerte les 12 et 13 septembre prochain, sur le thème : « De Nice à Bizerte : comment va la mer Méditerranée ? ».

L’événement mettra en lumière les engagements internationaux en faveur de la préservation des écosystèmes marins, notamment ceux pris lors de la conférence de Nice sur la protection des océans, ainsi que les négociations à venir du Traité mondial sur la pollution plastique prévues en août à Genève.

Il sera également question de gouvernance océanique, de financement durable, de coopération scientifique, de lutte contre la pêche illégale, et des effets conjugués du changement climatique et de la pollution plastique, a indiqué Rim Ben Zina, présidente de l’association «La Saison Bleue».

Lors d’une réunion de travail tenue, mercredi, au siège du gouvernorat, Ben Zina a précisé que cette édition réunira de nombreux chercheurs, professionnels, représentants de la société civile, représentants des États membres de l’ONU, ainsi que des organisations internationales et autorités locales. Ce large éventail de participants permettra de définir les priorités, d’établir une méthodologie d’intervention, et de proposer des actions concrètes pour valoriser l’environnement marin de la Méditerranée.

De son côté, le gouverneur de Bizerte, Salem Ben Yacoub, a affirmé l’engagement de la région et des différentes structures de l’État à soutenir les événements à portée de développement, sociale et environnementale, et à mobiliser les efforts nécessaires pour garantir leur succès et contribuer à l’atteinte de leurs objectifs, au niveau local, national et international.

Il a également souligné l’importance d’une approche participative dans la préparation et l’organisation de cette

édition, en associant l’ensemble des structures officielles de la région.

Le Forum est organisé en partenariat entre l’association «La Saison Bleue» et l’initiative européenne «Blue Mission Med», dans le cadre de la mission de l’UE « Régénérer notre océan et nos eaux ».

Il vise à renforcer la coopération régionale entre les bassins marins et les fleuves, tout en inscrivant les priorités régionales à l’agenda de la 3e Conférence des Nations unies sur les océans (Nice, juin 2025), a précisé le secrétaire général de l’association.

Tunisie : la 8e édition du Forum de la Mer à Bizerte pour une Méditerranée durable

La 8ème édition du Forum Mondial de la Mer se tiendra à Bizerte les 12 et 13 septembre prochain, sous le thème : « De Nice à Bizerte : comment va la mer Méditerranée ? ».

L’événement mettra en lumière les engagements internationaux en faveur de la préservation des écosystèmes marins, notamment ceux pris lors de la conférence de Nice sur la protection des océans, ainsi que les négociations à venir du Traité mondial sur la pollution plastique prévues en août à Genève.

Il sera également question de gouvernance océanique, de financement durable, de coopération scientifique, de lutte contre la pêche illicite, et des effets conjugués du changement climatique et de la pollution plastique, a indiqué Rim Ben Zina, présidente de l’association “La Saison Bleue”.

Lors d’une réunion de travail tenue, hier mercredi au siège du gouvernorat, Ben Zina a précisé que cette édition réunira de nombreux chercheurs, professionnels, représentants de la société civile, représentants des États membres de l’ONU, ainsi que des organisations internationales et autorités locales.

Ce large éventail de participants permettra de définir les priorités, d’établir une méthodologie d’intervention, et de proposer des actions concrètes pour valoriser l’environnement marin de la Méditerranée.

De son côté, le gouverneur de Bizerte, Salem Ben Yacoub, a affirmé l’engagement de la région et des différentes structures de l’État à soutenir les événements à portée de développement, sociale et environnementale, et à mobiliser les efforts nécessaires pour garantir leur succès et contribuer à l’atteinte de leurs objectifs, aux niveaux local, national et international.

Il a également souligné l’importance d’une approche participative dans la préparation et l’organisation de cette édition, en associant l’ensemble des structures officielles de la région.

Le Forum est organisé en partenariat entre l’association “La Saison Bleue” et l’initiative européenne “Blue Mission Med”, dans le cadre de la mission de l’UE « Régénérer notre océan et nos eaux ».

Il vise à renforcer la coopération régionale entre les bassins marins et les fleuves, tout en inscrivant les priorités régionales à l’agenda de la 3ème Conférence des Nations Unies sur les océans (Nice, juin 2025), a précisé le secrétaire général de l’association.

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Bizerte accueille la 8ᵉ édition du Forum Mondial de la Mer les 12 et 13 septembre

Les 12 et 13 septembre 2025, Bizerte sera l’épicentre des enjeux maritimes internationaux en accueillant la 8ᵉ édition du Forum Mondial de la Mer. Elle est placée sur le thème : « De Nice à Bizerte : comment va la mer Méditerranée ? ».

Ce rendez-vous, le Forum Mondial de la Mer, rassemblera chercheurs, experts, acteurs de la société civile. Mais il fera aussi la part belle aux représentants d’organisations internationales et autorités locales. Objectif : débattre des défis environnementaux liés à la Méditerranée.

Seront abordés les thèmes suivants :

  • la gouvernance océanique;

  • le financement durable;

  • la coopération scientifique;

  • la lutte contre la pêche illégale;

  • et les effets croisés du changement climatique et de la pollution plastique.

Le Forum Mondial de la Mer fera également le lien avec les engagements internationaux récents. Et notamment ceux issus de la conférence de Nice sur la protection des océans; ainsi que les prochaines négociations du Traité mondial contre la pollution plastique attendues en août à Genève.

Rim Ben Zina, présidente de l’association organisatrice La Saison Bleue, souligne que ce forum vise à définir des priorités concrètes pour la sauvegarde des écosystèmes marins méditerranéens.

Pour sa part, le gouverneur de Bizerte, Salem Ben Yacoub, réaffirme l’engagement des autorités locales à soutenir cette initiative à portée environnementale, sociale et de développement. Et ce, en misant sur une approche participative incluant toutes les structures régionales.

Organisé en partenariat avec l’initiative européenne Blue Mission Med, le Forum Mondial de la Mer s’inscrit dans le cadre de la mission de l’UE « Régénérer notre océan et nos eaux ». Il ambitionne de faire entendre la voix de la Méditerranée lors de la 3ᵉ Conférence des Nations Unies sur les océans, prévue à Nice en juin 2025.

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L’Italie premier importateur de produits de la mer de Tunisie

L’Italie est le premier importateur de produits de la mer de Tunisie, absorbant 31% des exportations totales de notre pays, suivie par l’Espagne (14 %) et la Libye (12 %), indique le dernier bulletin de l’Observatoire national de l’agriculture (Onagri), ajoutant que la balance commerciale tunisienne des produits de la pêche a enregistré une baisse de 67,5 % de son excédent à fin mai 2025 (en glissement annuel). (Ph. Pêcheurs à Kerkennah).

Le solde positif s’est établi à 59,9 millions de dinars (environ 17,8 millions d’euros), en baisse par rapport aux 184,4 millions de dinars (environ 54,3 millions d’euros) enregistrés à la même période en 2024.

Du 1er janvier à fin mai 2025, les exportations tunisiennes de produits de la pêche (maritime et aquaculture) ont atteint environ 11 400 tonnes, pour une valeur de 267,3 millions de dinars (78,61 millions d’euros). Ce chiffre met en évidence une baisse, tant en quantité (-19,7 %) qu’en valeur (-21,2 %), par rapport à la même période en 2024, où les exportations s’étaient élevées à 14 200 tonnes, pour une valeur de 339,3 millions de dinars (environ 100 millions d’euros).

Les prix moyens à l’exportation ont également baissé d’environ deux pour cent, s’établissant à 23,4 dinars (6,88 euros) le kilogramme, contre 23,9 dinars (7,03 euros) le kilogramme en mai 2024.

Selon l’agence italienne Ansa, le marché italien s’ouvre de plus en plus aux produits de la mer tunisiens, qui offrent une variété d’espèces très prisées sur les tables italiennes à des prix compétitifs.

Les principaux produits importés par l’Italie comprennent des poissons frais et réfrigérés tels que la morue, la dorade, le bar et d’autres espèces méditerranéennes typiques, ainsi que des crustacés, notamment les crevettes roses et rouges, les mollusques, le poulpe, le calmar et la seiche, très prisés.

L’Italie importe également des produits transformés ou semi-transformés tels que des filets et des produits préparés, ce qui facilite leur distribution et leur utilisation dans la restauration.

I. B.

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Fausse alerte : les plages tunisiennes au cœur d’une vague de rumeurs

Depuis quelques jours, un climat de peur gagne les estivants sur les plages tunisiennes. Vidéos alarmistes, messages vocaux non vérifiés et publications virales sur les réseaux sociaux évoquant des courants marins dangereux, des risques de tsunami ou encore un séisme sous-marin ont provoqué une véritable psychose collective, notamment après le décès tragique de la petite Mariem, récemment emportée par la mer.


Tout est parti de la diffusion de fausses alertes circulant sur Facebook, TikTok , relayées à grande vitesse. Certains messages font état de « mouvements inhabituels de la mer », d’autres parlent d’une « alerte tsunami » imminente ou d’un séisme marin ressenti dans certaines zones du littoral, sans aucune confirmation des autorités. L’origine de ces rumeurs reste floue, mais leur impact est réel : baignades annulées, et un climat d’angoisse palpable, en particulier dans les zones côtières très fréquentées comme Hammamet, Kélibia ou Sousse.

Le drame de Mariem, déclencheur émotionnel

La mort de Mariem, une fillette emportée par les vagues alors qu’elle se baignait avec sa famille, a profondément bouleversé l’opinion publique. Ce drame a sans doute été le point de bascule émotionnel qui a intensifié les inquiétudes. Bien que de telles noyades surviennent chaque été, l’émotion suscitée par cette affaire a favorisé l’émergence d’un discours alarmiste et parfois irrationnel, nourri par les réseaux sociaux.


Face à cette montée de panique, les services de la protection civile, les garde-côtes et l’Institut national de météorologie ont formellement démenti toute alerte sismique ou tsunami en cours. Ils rappellent qu’aucun changement anormal n’a été enregistré dans les mouvements marins et que la mer Méditerranée reste, à ce jour, une zone à faible risque tsunami. La protection civile insiste toutefois sur l’importance de la vigilance, particulièrement lors des baignades en zones non surveillées, et appelle à ne pas relayer d’informations non vérifiées.


Il est essentiel de rappeler que la mer comporte des dangers réels, notamment en cas de forts courants, de changements météorologiques brusques ou de baignade hors zones autorisées. Mais ces dangers doivent être traités par la prévention, l’éducation et les secours, non par la peur et la rumeur. La multiplication des fausses informations n’aide ni à sauver des vies ni à sécuriser les estivants ; elle ne fait que nourrir l’anxiété collective et détourner l’attention des véritables enjeux.

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Tunisie : Le corps sans vie de la petite Mariem retrouvé en mer

Un responsable de la Garde maritime de Nabeul a indiqué que les équipes de recherche relevant de la zone de la Garde maritime de Kélibia ont retrouvé, vers 19h ce soir, le corps de la petite Mariem, dérivant au large de la mer au niveau de Beni Khiar, rapporte Mosaïque FM.

La même source a confirmé que les procédures de remise du corps à son père ont été entamées.

Il est à rappeler que l’ensemble des agents de la Garde maritime de Kélibia s’étaient mobilisés, avec toutes leurs unités, pour rechercher la fillette portée disparue depuis dimanche soir.

L’opération de recherche a été renforcée par la participation d’agents de la protection civile, de la marine nationale, ainsi que par l’appui d’un hélicoptère, sans oublier les efforts de plongeurs et de pêcheurs bénévoles.

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Tunisie : Course contre la montre à Kélibia pour retrouver une fillette disparue en mer

Les recherches se poursuivent ce lundi au large de Kélibia (gouvernorat de Nabeul) pour retrouver une fillette de trois ans portée disparue depuis samedi, alors qu’elle jouait sur une bouée gonflable emportée par les courants.

Une vaste opération de ratissage mobilise les unités de la Protection civile, de la Garde maritime et de la Marine nationale. Selon le porte-parole de la Protection civile, Moez Triaa, « tous les moyens nécessaires » ont été déployés pour localiser l’enfant. Des vedettes de secours, des plongeurs spécialisés, une unité d’appui tactique équipée d’un drone de reconnaissance, ainsi qu’un patrouilleur maritime participent aux recherches.

Les opérations s’étendent à l’ensemble du secteur côtier, appuyées par des équipes au sol et en mer, dans l’espoir de retrouver la fillette au plus vite.

La disparition de l’enfant, survenue samedi, avait été largement relayée sur les réseaux sociaux et par plusieurs médias. Selon les premiers témoignages, la fillette aurait été emportée au large alors qu’elle se trouvait sur une bouée gonflable.

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Plage interdite à la baignade en Tunisie : Qu’est-ce que cela signifie vraiment ?

Chaque été, à l’approche de la saison balnéaire, les autorités tunisiennes publient une liste des plages interdites à la baignade. Si le terme peut inquiéter les vacanciers, il soulève surtout une question légitime : pourquoi certaines plages deviennent-elles non-conformes à la baignade ? Et que signifie concrètement cette interdiction ?

En Tunisie, c’est le Ministère de la Santé, à travers l’Observatoire National de la Santé Publique et ses laboratoires régionaux, qui est chargé d’évaluer la qualité des eaux de mer destinées à la baignade. Chaque année, entre mai et septembre, des prélèvements sont effectués régulièrement sur plus de 500 points de surveillance répartis sur tout le littoral tunisien.

Ces prélèvements permettent de mesurer le niveau de pollution microbiologique, notamment la concentration de colibacilles fécaux et d’entérocoques intestinaux, deux indicateurs de la présence de matières fécales dans l’eau. Lorsque les résultats dépassent les seuils tolérés définis par les normes internationales de l’OMS, la plage concernée est classée comme non conforme.

Pourquoi certaines plages deviennent-elles interdites ?

Les plages interdites à la baignade ne le sont pas par hasard. En général, plusieurs facteurs expliquent ce classement :

  • Rejets d’eaux usées non traitées ou partiellement traitées, souvent en raison de stations d’épuration défectueuses ou surchargées ;
  • Pollution urbaine due à des déchets ménagers, plastiques ou résidus industriels qui se déversent dans la mer via les oueds ou les canaux d’évacuation ;
  • Absence de surveillance ou de mesures correctives dans des zones sensibles proches de quartiers densément peuplés.
  • Certaines plages se trouvent aussi à proximité immédiate de ports, de zones industrielles ou de dépotoirs, ce qui augmente les risques de contamination.

Un classement préventif pour protéger la santé publique

L’interdiction de baignade n’a pas pour but de pénaliser les baigneurs, mais de les protéger contre les risques sanitaires. Nager dans une eau polluée peut entraîner des infections cutanées, gastro-intestinales, voire des pathologies plus graves, notamment pour les enfants, les personnes âgées ou les individus immunodéprimés.

Ainsi, le classement des plages interdites est un outil de prévention, et non une simple mesure administrative. Il est mis à jour chaque année à l’issue des campagnes de surveillance menées au printemps et au début de l’été.

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