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Baignade possible dès mardi matin : prudence recommandée sur les plages tunisiennes

Baignade possible dès mardi matin : prudence recommandée sur les plages tunisiennes

Selon Monder Mrabet, ingénieur à l’Institut national de la météorologie, la prudence reste de mise concernant les activités en mer, malgré une amélioration progressive attendue à partir de mardi matin. Dans une intervention radiophonique ce lundi 4 août 2025, il a précisé que l’alerte liée aux vents forts, en vigueur depuis dimanche soir, devrait commencer […]

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Tunisie: La Protection civile appelle à la vigilance sur les plages

Tunisie: La Protection civile appelle à la vigilance sur les plages

La mer sera très agitée ce lundi 4 août 2025 en raison de vents forts, selon l’Institut National de la Météorologie, rendant la baignade impossible, d’après un communiqué du porte-parole de la Protection civile. Selon le même communiqué, une dépression atmosphérique survenue depuis dimanche a généré de forts courants marins, provoquant des vagues croisées persistantes. […]

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Fausse alerte : les plages tunisiennes au cœur d’une vague de rumeurs

Depuis quelques jours, un climat de peur gagne les estivants sur les plages tunisiennes. Vidéos alarmistes, messages vocaux non vérifiés et publications virales sur les réseaux sociaux évoquant des courants marins dangereux, des risques de tsunami ou encore un séisme sous-marin ont provoqué une véritable psychose collective, notamment après le décès tragique de la petite Mariem, récemment emportée par la mer.


Tout est parti de la diffusion de fausses alertes circulant sur Facebook, TikTok , relayées à grande vitesse. Certains messages font état de « mouvements inhabituels de la mer », d’autres parlent d’une « alerte tsunami » imminente ou d’un séisme marin ressenti dans certaines zones du littoral, sans aucune confirmation des autorités. L’origine de ces rumeurs reste floue, mais leur impact est réel : baignades annulées, et un climat d’angoisse palpable, en particulier dans les zones côtières très fréquentées comme Hammamet, Kélibia ou Sousse.

Le drame de Mariem, déclencheur émotionnel

La mort de Mariem, une fillette emportée par les vagues alors qu’elle se baignait avec sa famille, a profondément bouleversé l’opinion publique. Ce drame a sans doute été le point de bascule émotionnel qui a intensifié les inquiétudes. Bien que de telles noyades surviennent chaque été, l’émotion suscitée par cette affaire a favorisé l’émergence d’un discours alarmiste et parfois irrationnel, nourri par les réseaux sociaux.


Face à cette montée de panique, les services de la protection civile, les garde-côtes et l’Institut national de météorologie ont formellement démenti toute alerte sismique ou tsunami en cours. Ils rappellent qu’aucun changement anormal n’a été enregistré dans les mouvements marins et que la mer Méditerranée reste, à ce jour, une zone à faible risque tsunami. La protection civile insiste toutefois sur l’importance de la vigilance, particulièrement lors des baignades en zones non surveillées, et appelle à ne pas relayer d’informations non vérifiées.


Il est essentiel de rappeler que la mer comporte des dangers réels, notamment en cas de forts courants, de changements météorologiques brusques ou de baignade hors zones autorisées. Mais ces dangers doivent être traités par la prévention, l’éducation et les secours, non par la peur et la rumeur. La multiplication des fausses informations n’aide ni à sauver des vies ni à sécuriser les estivants ; elle ne fait que nourrir l’anxiété collective et détourner l’attention des véritables enjeux.

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Transtu : 10 lignes estivales vers les plages à tarif unique

Dans le cadre de sa programmation estivale, la société Transport de Tunis annonce, dans un communiqué publié ce jeudi 3 juillet 2025, l’exploitation de dix lignes de bus spéciales vers les plages à partir du dimanche 6 juillet 2025.

Voici le détail des itinéraires selon les destinations :

Vers la plage de La Goulette

  • Une ligne au départ de Borj Chakir, passant par Jayara, l’avenue du 13-Août, l’avenue Taha Hussein, Moncef Bey et Tunis Marine, jusqu’à la plage de La Goulette.
    Tarif unique : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés, avec deux trajets : un départ à 8h00 et un retour à 18h00.
  • Une ligne au départ de Borj Ennour et Borj El Amri, via Mornaguia et Djéyara, jusqu’à la plage de La Goulette.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Service les dimanches et jours fériés : départ à 7h00, retour à 18h00.
  • Une ligne au départ de Mohamedia vers La Goulette.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés avec deux départs, à 7h00 et 9h00, et deux retours à 18h00.
  • Une ligne reliant Nfaydh Drajat à La Goulette via Mornaguia et Djéyara.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés avec deux trajets : départ à 7h00 et retour à 18h00.

Vers la plage de Sidi Bou Saïd

  • Une ligne entre Zayatine et la plage de Sidi Bou Saïd, via Tunis Marine.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés avec un départ à 8h00 et un retour à 18h00.
  • Une ligne entre Bardo et la plage de Sidi Bou Saïd, via Tunis Marine.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Service les dimanches et jours fériés : départ à 8h00, retour à 18h00.
  • Une ligne entre Manouba et la plage de Sidi Bou Saïd, via Tunis Marine.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Service les dimanches et jours fériés : départ à 8h00, retour à 18h00.
  • Une ligne entre le quartier Hay Ettahrir et la plage de Sidi Bou Saïd, via Tunis Marine.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés avec deux trajets : départ à 8h00, retour à 18h00.
  • Une ligne entre El Omrane El Ala (Omran supérieur) et Sidi Bou Saïd, via Tunis Marine.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Service les dimanches et jours fériés : départ à 8h00, retour à 18h00.

Vers la plage de Kalaat El Andalous

  • Une ligne locale entre la ville de Kalaat El Andalous et la plage locale.
    Tarif : 500 millimes.
    Elle fonctionne tous les jours avec un départ toutes les 90 minutes dans les deux sens, de 7h00 à 18h00.
  • Une ligne entre Oued Ellil (Cité El Ward) et la plage de Kalaat El Andalous, via Snahja, Oued Ellil, Sidi Thabet et Kalaat El Andalous.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Service les dimanches et jours fériés : départ à 8h00, retour à 17h00.
  • Une ligne entre Bsatine et la plage de Kalaat El Andalous, via Sbala Ben Ammar.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés avec un départ à 8h00 et un retour à 17h00.

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Plage interdite à la baignade en Tunisie : Qu’est-ce que cela signifie vraiment ?

Chaque été, à l’approche de la saison balnéaire, les autorités tunisiennes publient une liste des plages interdites à la baignade. Si le terme peut inquiéter les vacanciers, il soulève surtout une question légitime : pourquoi certaines plages deviennent-elles non-conformes à la baignade ? Et que signifie concrètement cette interdiction ?

En Tunisie, c’est le Ministère de la Santé, à travers l’Observatoire National de la Santé Publique et ses laboratoires régionaux, qui est chargé d’évaluer la qualité des eaux de mer destinées à la baignade. Chaque année, entre mai et septembre, des prélèvements sont effectués régulièrement sur plus de 500 points de surveillance répartis sur tout le littoral tunisien.

Ces prélèvements permettent de mesurer le niveau de pollution microbiologique, notamment la concentration de colibacilles fécaux et d’entérocoques intestinaux, deux indicateurs de la présence de matières fécales dans l’eau. Lorsque les résultats dépassent les seuils tolérés définis par les normes internationales de l’OMS, la plage concernée est classée comme non conforme.

Pourquoi certaines plages deviennent-elles interdites ?

Les plages interdites à la baignade ne le sont pas par hasard. En général, plusieurs facteurs expliquent ce classement :

  • Rejets d’eaux usées non traitées ou partiellement traitées, souvent en raison de stations d’épuration défectueuses ou surchargées ;
  • Pollution urbaine due à des déchets ménagers, plastiques ou résidus industriels qui se déversent dans la mer via les oueds ou les canaux d’évacuation ;
  • Absence de surveillance ou de mesures correctives dans des zones sensibles proches de quartiers densément peuplés.
  • Certaines plages se trouvent aussi à proximité immédiate de ports, de zones industrielles ou de dépotoirs, ce qui augmente les risques de contamination.

Un classement préventif pour protéger la santé publique

L’interdiction de baignade n’a pas pour but de pénaliser les baigneurs, mais de les protéger contre les risques sanitaires. Nager dans une eau polluée peut entraîner des infections cutanées, gastro-intestinales, voire des pathologies plus graves, notamment pour les enfants, les personnes âgées ou les individus immunodéprimés.

Ainsi, le classement des plages interdites est un outil de prévention, et non une simple mesure administrative. Il est mis à jour chaque année à l’issue des campagnes de surveillance menées au printemps et au début de l’été.

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À Bizerte, la guerre contre l’occupation illégale des plages continue

Une vaste opération de contrôle menée mardi par les services de contrôle conjoints sur la plage de Ras Angela, dans la délégation de Bizerte Sud, a abouti à la rédaction de plus de 12 procès-verbaux, selon Maher Kcharem, chef du bureau régional de l’Agence de Protection et d’Aménagement du Littoral (APAL) à Bizerte.

Interrogé par le correspondant de la Radio tunisienne dans la région, Tarek Jebbar, le responsable a précisé que cette campagne s’inscrivait dans le cadre des activités de la commission régionale de surveillance des plages.

Lors de cette opération, plus de 30 chaises, 5 tables, 32 parasols et 40 cabanes en roseau ont été saisis. Plusieurs avertissements ont également été émis contre des contrevenants, les mettant en garde contre toute récidive.

Maher Kcharem a souligné que ces campagnes se poursuivent dans l’ensemble des zones côtières du gouvernorat de Bizerte et qu’elles viseront tant les détenteurs de licences que ceux qui occupent illégalement le domaine public maritime en violation des textes en vigueur.

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