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Retour sur la prétendue «agression sexuelle» d’une touriste britannique à Sousse

On en sait un peu plus sur l’affaire de la touriste britannique qui affirme avoir été agressée sexuellement par un jeune opérateur de 20 ans, en pleine séance de parachute ascensionnel, alors qu’ils étaient en plein vol au-dessus d’une plage de Sousse, en Tunisie. Ce que les médias britanniques ont écrit mérite d’être corrigé, car les faits ne plaident pas en faveur de la version présentée par Michelle Wilson, 52 ans.

En fait, la dame ne s’est pas plainte de l’agression sexuelle dont elle aurait été victime aussitôt descendue sur la terre ferme. Elle était même rayonnante et a suivi l’ascension de son amie avec le même parachute et, surtout, le même agent, et n’a même pas tenté de l’en dissuader.

Ce n’est donc que plusieurs heures après les faits allégués qu’elle s’est plainte auprès de la guide représentant l’agence de voyage, en exigeant d’être remboursée des 600 livres sterling qu’elle a déboursés. La guide lui a expliqué que les choses ne se passe pas ainsi et qu’elle doit porter plainte contre son supposé agresseur, qu’une enquête (policière et judiciaire) soit diligentée et qu’un jugement soit prononcé pour que les procédures de remboursement soient engagées par l’agence de voyage en question. Elle l’a d’ailleurs amenée au poste de police où elle a déposé plainte. Le prétendu agresseur sexuel a été convoqué pour être auditionné le lendemain, et il est venu, a été entendu et a tout nié en bloc. Les enquêteurs ont alors convoqué Mme Wilson pour une confrontation avec le jeune homme qu’elle accuse, mais elle a rejeté la convocation en s’en tenant à sa demande de remboursement.

En l’absence de preuves prouvant les accusations de Mme Wilson, les enquêteurs ont relâché le jeune homme et renvoyé le dossier devant la justice qui devra examiner l’affaire fin septembre prochain.

Tout ce remue-ménage n’a pas empêché Mme Wilson de rester encore quatre jours après les faits et de terminer son séjour à l’hôtel avec son fils et son amie. Et elle a attendu le retour en Grande-Bretagne pour ameuter les médias de son pays. Sauf que sa demande de remboursement ne sera satisfaite qu’après les procédures d’usage et notamment les résultats des enquêtes lancées par l’agence de voyage et la compagnie d’assurance. Et dans l’état actuel de l’enquête et au vu des données recueillies sur place, rien n’indique qu’elle aura finalement gain de cause, car beaucoup de spécialistes du parachute ascensionnel sont unanimes : dans les conditions où l’ascension a eu lieu, avec des vents très forts, et la durée de celle-ci, 3 à 4 quatre minutes, l’agression sexuelle telle que décrite par la concernée ne pouvait avoir lieu, «techniquement» parlant, les deux mains de l’opérateur étant nécessairement occupées à manœuvrer l’engin volant.

De toute façon, attendons le résultat des enquêtes et le verdict de la justice avant de donner raison à la plaignante.

I. B.

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Une touriste britannique affirme avoir été violée en Tunisie

L’histoire de la mère britannique de trois enfants qui affirme avoir été agressée sexuellement par un opérateur en pleine séance de parachute ascensionnel alors qu’elle était en plein vol en Tunisie a été reprise hier, lundi 4 juillet 2025, par les médias du monde. Cette histoire scabreuse intervient en pleine haute saison touristique et ne redore pas l’image de pays.

Michelle Wilson, 52 ans, a déclaré qu’elle était attachée à un harnais par un parachutiste lorsqu’il s’est collé à elle et l’a pelotée pendant qu’ils s’élevaient dans le ciel au large de la plage de Sousse, en Tunisie.

«Je sentais qu’on tirait sur l’arrière de mon bas de bikini, et il tirait sur la sangle. Il a dû resserrer le harnais pour mieux me coller», a-t-elle déclaré au Sun, l’un des journaux les plus populaires en Grande-Bretagne.

On épargne au lecteur le reste de son récit détaillé sur la manière dont elle aurait été violée en plein vol.

«Je me sentais violée, sale et j’avais peur. Ce n’était qu’un jeune garçon, peut-être une vingtaine d’années», a-t-elle ajouté, en précisant avoir initialement prévu de faire le tour avec une amie, mais on lui a dit qu’il y avait trop de vent et qu’elle et son amie devraient y aller séparément, accompagnées par un opérateur.

Wilson a raconté que dès son retour au sol, elle a fondu en larmes, avant de dénoncer l’opérateur et de signaler l’incident à la police locale, ajoutant que cet incident avait gâché ses vacances.

«En tant que femmes, on s’attend à un peu de plaisanterie de la part des hommes dans ces pays, mais ce n’était pas du badinage, c’était une agression sexuelle», a-t-elle conclu.

En attendant que la police fasse la lumière sur cette affaire, puisque l’opérateur en question a été arrêté, selon sa victime, il est recommandé aux opérateurs du tourisme de bien choisir les personnes qu’ils emploient dans leurs établissements et qu’ils leur inculquent, surtout, les règles strictes du service à la clientèle.

I. B.      

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