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Occupation de Gaza : l’agenda explosif de Netanyahou

Benjamin Netanyahu devrait donner le « feu vert » à l’occupation totale de Gaza lors d’une réunion cruciale du cabinet israélien ce jeudi 7 août, comme le rapporte le site thetoc cité par Capital.

En fait, le plan, qui devrait être soumis par Benjamin Netanyahu à l’approbation du cabinet, a déjà commencé à fuiter dans les médias israéliens. Il semble être un compromis avec les généraux des Forces de défense israéliennes (FDI), qui seraient en désaccord avec une occupation complète de l’enclave palestinienne.

Selon un reportage de la chaîne israélienne Channel 12, le plan se concentre sur l’occupation de la ville de Gaza. Plus précisément, dans un premier temps, Israël lancera un ordre d’évacuation à l’encontre des habitants de cette ville – estimés à environ un million de personnes, soit près de la moitié de la population de la bande de Gaza – afin de leur laisser le temps de créer des infrastructures pour les citoyens du centre de Gaza, notamment des hôpitaux et des camps pour les personnes déplacées. Cette phase devrait durer plusieurs semaines.

L’armée d’occupation lancera ensuite une offensive militaire dans une deuxième phase, au cours de laquelle le président américain Donald Trump devrait annoncer l’accélération de l’aide humanitaire en coordination avec l’entité sioniste.

Dans le cadre de cette coordination, le nombre de points de distribution alimentaire devrait passer de quatre à 16, bien que le réseau n’ait pas précisé si tous les points fonctionneront sous les auspices du Fonds humanitaire pour Gaza (GHF), qui est soutenu par Israël et les États-Unis.

Le rapport, cité par Channel 12, indique que cette expansion du système d’aide humanitaire sera financée à hauteur d’un milliard de dollars de dons des États-Unis et d’autres pays. L’objectif est de permettre aux Gazaouis d’accéder à une aide qui contourne le Hamas et la ville de Gaza sous contrôle israélien.

La crise humanitaire s’aggrave 

Dans la bande de Gaza, assiégée et bombardée incessamment, où des milliers de Palestiniens se rassemblent quotidiennement dans des points de distribution de nourriture, la défense civile a annoncé mercredi 6 août que 20 personnes ont perdu la vie lorsqu’un camion chargé de nourriture s’est renversé dans la foule.

La coordinatrice de l’organisation non gouvernementale Médecins sans frontières (MSF), Caroline Villemin, évoque une situation humanitaire « désespérée », « catastrophique » dans l’enclave, où « la crise de la faim » continue. « Nous continuons de voir des patients qui ont été blessés par balle ou écrasés dans des centres de distribution d’aide », a-t-elle expliqué.

Par ailleurs et selon le journal Maariv, le général de division Zamir a averti que la décision « dramatique » d’intensifier les opérations pourrait « conduire à la mort d’otages encore en vie » et a exprimé son « opposition à l’occupation complète de la bande de Gaza », une zone qui a été sous occupation israélienne de 1967 à 2005. Mais « une fois les décisions prises au niveau politique », l’armée « les exécutera avec détermination et professionnalisme (…) jusqu’à ce que les objectifs de guerre soient atteints ».

Le chef de l’opposition Yaïr Lapid indique avoir rencontré le Premier ministre Netanyahou et l’avoir averti que « l’occupation de Gaza est une très mauvaise idée » sur le « plan opérationnel, moral et économique ».

Il faut rappeler que le gouvernement israélien est confronté à une pression internationale croissante pour mettre fin à la guerre avec le Hamas, qui fait rage depuis le 7 octobre 2023.

Une grande partie de l’opinion publique israélienne s’inquiète de plus en plus du sort des 49 otages restants dans la bande de Gaza, dont 27 ont été déclarés morts par l’armée. Tandis qu’au niveau international, les voix se multiplient soulignant les souffrances des plus de deux millions de Palestiniens de l’enclave menacés de « famine généralisée », comme l’avertit l’ONU.

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OpenAI prépare une levée à 500 milliards

OpenAI est en pourparlers préliminaires sur une éventuelle vente secondaire de ses actions à des employés actuels et anciens, évaluée à environ 500 milliards de dollars. Ce qui représente un gain massif dans la valeur de la principale société d’intelligence artificielle. C’est ce que rapporte Bloomberg, mercredi 6 août 2025.

La société vise une vente d’actions de plusieurs milliards de dollars, selon les source. Lesquelles ajoutent que les investisseurs existants, dont Thrive Capital, ont contacté OpenAI pour acheter certaines actions des employés.

La dernière valorisation d’OpenAI s’élève à environ 300 milliards de dollars, sur un tour de table de 40 milliards mené par SoftBank Group. Cette nouvelle décision fait suite à l’annonce, il y a quelques jours, selon laquelle la startup avait levé 8,3 milliards de dollars auprès d’un groupe d’investisseurs pour la deuxième tranche de son tour de table de 40 milliards de dollars, qui a été sursouscrite près de cinq fois.

La dernière évaluation fait d’OpenAI la startup non cotée la plus valorisée au monde.

A rappeler qu’OpenAI a supervisé une série de lancements de nouvelles technologies, notamment une nouvelle plateforme open source, et se prépare actuellement à lancer son dernier modèle, GPT-5.

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USA : entrée en vigueur des droits de douane de 50 % sur les produits brésiliens

Les droits de douane de 50 % imposés sur une grande partie des marchandises importées du Brésil sont entrés en vigueur, mercredi 6 août, sept jours après la signature du décret prévoyant cette mesure par le président américain Donald Trump.

Alors qu’initialement le Brésil n’allait pas devoir faire face à des droits de douane supplémentaires au-delà des 10 % appliqués actuellement à une grande partie des produits importés sur le marché américain, le président Trump les a augmentés à 50 %, un niveau plus élevé que tout autre pays.

Le républicain exprime sa colère face aux poursuites engagées contre l’ancien président d’extrême droite du Brésil, Jair Bolsonaro, par la justice brésilienne pour tentative de coup d’État après sa défaite à l’élection présidentielle de 2022. Ce dernier est désormais assigné à résidence surveillée.

Les poursuites, que Trump a qualifiées de « chasse aux sorcières », ont également conduit à l’imposition de sanctions américaines au juge de la Cour suprême fédérale brésilienne, Alessandro G. Morais…

Bien que les droits de douane aient provoqué une forte réaction à Brasilia, le président Lula da Silva dénonçant une attaque américaine contre la « souveraineté nationale » de son pays, son gouvernement semble minimiser l’impact qu’ils auront.

En partie parce que le décret de Donald Trump prévoit des exemptions pour certaines catégories de biens, du jus d’orange à l’énergie en passant par l’industrie aéronautique. En revanche, d’autres secteurs clés, comme celui du café, seront confrontés à des droits de douane de 50 %.

Cependant, selon le gouvernement brésilien, seulement 36 % des produits exportés par le pays vers le marché américain sont soumis aux nouveaux droits de douane.

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Turquie – Syrie : des zones industrielles pour booster les échanges

La Turquie prévoit d’établir des zones industrielles en Syrie pour développer l’économie du pays déchiré par la guerre et pour stimuler le commerce transfrontalier.

« Il est possible d’établir des zones industrielles avec des installations sûres et entièrement infrastructurelles en Syrie dans un certain laps de temps », a déclaré, mardi 5 août, Rifat Hisarcıklıoğlu, chef de l’Union des chambres et des Bourses de marchandises de Turquie, aux ministres syriens et turcs lors d’une réunion à Ankara.

L’influence de la Turquie auprès de son voisin du sud s’est considérablement accrue depuis la chute de Bachar el-Assad, et elle cherche désormais à tirer parti de ses liens plus étroits avec Damas pour relancer les échanges commerciaux bilatéraux. L’économie syrienne a été durement touchée par des années de guerre civile, laissant une grande partie de ses infrastructures en ruine.

Selon les plans soutenus par le gouvernement turc, comme le rapporte Bloomberg, la Chambre de commerce propose la création de zones industrielles, dans lesquelles seront concentrées les petites et moyennes entreprises, dans le but de soutenir l’économie syrienne.

« À ce stade, nous souhaitons démarrer ce projet avec les petites et moyennes entreprises. Nous passerons ensuite à des projets de plus grande envergure », a indiqué Nidal Al-Saar, ministre syrien de l’Économie et de l’Industrie. « Nous espérons que la Turquie implantera des usines en Syrie et distribuera ses produits industriels via notre pays ».

A noter que la Syrie dépend du financement des États arabes du Golfe pour financer la reconstruction de la Syrie. D’ailleurs, dernièrement, un projet financé par le Qatar a commencé à exporter du gaz naturel d’Azerbaïdjan vers la Syrie pour la production d’électricité.

Les entreprises turques et syriennes basées en Turquie sont enthousiasmées par les opportunités commerciales qu’elles voient de l’autre côté de la frontière, même si elles sont incertaines des conditions économiques après des années de guerre.

« Il existe de nombreux projets, comme la construction d’hôpitaux, d’aéroports et de bâtiments gouvernementaux », a assuré Abdallah Alkhaledi, responsable syrien chez Untes Air Conditioning Systems basé à Ankara. « Nous ne voulons pas manquer cette opportunité commerciale, malgré les graves problèmes bancaires et l’inflation en Syrie ».

Les échanges commerciaux entre la Turquie et la Syrie ont atteint 1,9 milliard de dollars au cours des sept premiers mois de 2025, calcule le ministre turc du Commerce, Omer Bolat, ce qui les met en bonne voie pour dépasser les 2,6 milliards de dollars de l’année dernière.

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La Reserve Bank of India maintient inchangés ses taux d’intérêt

La Reserve Bank of India maintient son taux d’intérêt directeur stable alors que les décideurs politiques évaluent l’impact des tarifs douaniers de Donald Trump.

Le Comité de politique monétaire composé de six membres de la Reserve Bank of India (RBI) a voté à l’unanimité pour maintenir le taux inchangé à 5,50 %. Alors que l’incertitude liée aux tarifs douaniers persiste et que les effets des précédentes baisses de taux d’intérêt continuent de se faire sentir, il y a lieu de « poursuivre » la politique monétaire actuelle, a déclaré le gouverneur de la Banque centrale indienne.

La décision de suspendre ses activités suggère que la banque attend d’évaluer l’impact total des tarifs douaniers américains sur l’économie indienne, déjà en ralentissement, malgré la chute de l’inflation à son plus bas niveau en six ans en juin.

Les obligations d’État indiennes ont chuté, le rendement des obligations d’État à 10 ans augmentant de 4 points de base à 6,37 %. La roupie s’est renforcée.

Cette pause intervient après une forte baisse surprise en juin, mais aussi dans un contexte d’incertitude accrue après que Trump a frappé le pays avec un taux de droits de douane de 25 % – plus élevé que celui des autres pays asiatiques, du Vietnam et de l’Indonésie – et a menacé de sanctions supplémentaires.

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Le pétrole rebondit après son plus bas niveau en 5 semaines

Les prix du pétrole rebondissent après un plus bas de cinq semaines, en raison des inquiétudes concernant les perturbations de l’approvisionnement suite aux menaces du président américain Donald Trump d’imposer des tarifs douaniers à l’Inde pour ses achats de brut russe. 

Les contrats à terme sur le brut Brent ont augmenté de 29 cents, soit 0,4 %, à 67,93 dollars le baril, tandis que le brut américain West Texas Intermediate a augmenté de 28 cents, soit 0,4 %, à 65,44 dollars le baril.

Les deux contrats à terme sur le pétrole brut ont chuté de plus de 1 dollar mardi 5 août, atteignant un plus bas de cinq semaines et subissant des pertes pour une quatrième séance, en raison des inquiétudes concernant une surabondance de l’offre causée par une augmentation de la production de l’OPEP+ prévue pour septembre.

« Les investisseurs évaluent si l’Inde réduira ses achats de brut russe en réponse aux menaces de Trump, ce qui pourrait conduire à une réduction de l’offre, mais il reste à voir si cela se produira réellement », a déclaré Yuki Takashima, économiste chez Nomura Securities. « Si les importations de l’Inde restent stables, le WTI devrait probablement rester dans la fourchette de 60 à 70 dollars pour le reste du mois », a ajouté Takashima.

L’alliance OPEP+, qui comprend l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ses alliés, a convenu dimanche 3 août d’augmenter la production de pétrole de 548 000 barils par jour en septembre, une décision qui mettra fin à la dernière réduction de production plus tôt que prévu.

L’OPEP+ pompe environ la moitié du pétrole mondial et réduit sa production depuis plusieurs années pour soutenir le marché, mais a entrepris une série d’augmentations rapides de sa production cette année pour regagner des parts de marché.

Les flux d’approvisionnement pourraient être perturbés par les exigences américaines visant à ce que l’Inde cesse d’acheter du pétrole russe, alors que Washington tente de pousser Moscou à conclure un accord de paix avec l’Ukraine. Ces exigences pourraient inciter les raffineurs indiens à rechercher des alternatives et à réorienter le brut russe vers d’autres acheteurs.

A noter que Trump a de nouveau menacé,le 5 courant, d’imposer des droits de douane plus élevés sur les produits indiens dans les prochaines 24 heures en raison des achats de pétrole russe par le pays. Il a également déclaré que la baisse des prix de l’énergie pourrait inciter le président russe Vladimir Poutine à mettre fin à la guerre en Ukraine.

New Delhi a qualifié la menace de Trump d’« injustifiée » et s’est engagé à protéger ses intérêts économiques…

Par ailleurs, des sources, citant des chiffres de l’American Petroleum Institute, indiquent que les stocks de brut américains avaient diminué de 4,2 millions de barils la semaine dernière…

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La rupture avec la Russie coûte plus de 1 000 milliards d’euros à l’UE

Les « pertes » de l’UE dues à la fin de la coopération et du commerce énergétique avec la Russie dépassent 1 000 milliards d’euros, selon le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Alexandre Grouchko.

« Les estimations divergent. Si l’on se base sur la majorité des experts, le total s’élève à plus de mille milliards d’euros, en tenant compte des pertes liées à la fin de la coopération énergétique avec la Russie et aux restrictions commerciales. En 2013, nos échanges commerciaux s’élevaient à 417 milliards d’euros; l’année dernière, ils équivalaient à 60 milliards d’euros, et aujourd’hui, ils sont pratiquement nuls. C’est un manque à gagner », a-t-il déclaré.

Selon l’agence russe TASS, M. Grouchko a souligné également que le coût du gaz naturel en Europe est quatre à cinq fois plus élevé qu’aux États-Unis. Tandis que l’électricité est deux à trois fois plus chère. « C’est le prix que l’Europe doit payer pour limiter tout contact économique avec la Russie », a-t-il indiqué.

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L’UE suspend ses contre-mesures douanières contre les États-Unis

L’Union européenne (UE) va suspendre pendant six mois ses deux paquets de contre-mesures contre les tarifs douaniers américains; et ce, suite à un accord trouvé avec Donald Trump. C’est ce qu’a révélé, lundi 4 août, un porte-parole de la Commission européenne.

L’accord UE/États-Unis laisse de nombreuses questions ouvertes, notamment les tarifs douaniers sur les boissons alcoolisées. Tandis que le décret de Trump de la semaine dernière, qui a imposé des tarifs douaniers de 15 % sur la plupart des produits de l’Union européenne, n’incluait pas d’exemptions.

Les responsables de l’UE ont déclaré qu’ils s’attendaient à ce que d’autres décrets exécutifs suivent bientôt. « L’UE continue de travailler avec les États-Unis pour finaliser une déclaration commune, comme convenu le 27 juillet ». C’est ce qu’a déclaré pour sa part le porte-parole dans un communiqué, rapporté par Reuters.

« Avec ces objectifs en tête, la Commission prendra les mesures nécessaires pour suspendre pendant 6 mois les contre-mesures de l’UE contre les États-Unis, qui devaient entrer en vigueur le 7 août », note-t-il.

Les tarifs de rétorsion sont divisés en deux parties : l’une en réponse aux tarifs américains sur l’acier et l’aluminium, et l’autre en réponse aux tarifs de base et aux tarifs automobiles de Trump.

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Allemagne : « Feu vert » de l’UE pour l’extension des centrales à gaz naturel

L’Union européenne a donné le feu vert à l’Allemagne pour plus de la moitié de son projet d’expansion des installations de gaz naturel. En outre, la ministre de l’Economie, Katherina Reiche, a déclaré que le pays était toujours en « négociations avancées » concernant le solde, selon Bloomberg

Berlin a réussi à négocier une aide d’État pour « bien plus » que la moitié des 20 gigawatts prévus, a déclaré Katherina Reiche, ministre de l’Economie, lors d’une visite à Spremberg, dans l’est du pays, lundi 4 août. Elle a ajouté que le premier appel d’offres devrait être lancé d’ici la fin de l’année.

En juin, l’Union européenne a assoupli les règles en matière d’aides d’État afin de faciliter l’investissement des États membres dans les technologies vertes. L’Allemagne affirme que le développement des centrales à gaz est nécessaire pour remplacer la production d’électricité au charbon, plus polluante. Alors que le pays a déjà abandonné le nucléaire.

« Nous avons fait beaucoup plus de progrès avec la Commission que nous n’osions l’espérer il y a trois ou quatre mois », a encore souligné Mme Reiche.

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Les jours de Powell à la tête de la Fed sont-ils comptés?

Donald Trump nommerait, dans les prochains jours, un nouveau gouverneur de la Réserve fédérale (Fed) à la place de Jerome Powell et un nouveau statisticien de l’emploi. Deux nominations qui pourraient façonner son programme économique dans un contexte d’inquiétudes quant à la trajectoire de la croissance mondiale.

Trump a fait ces déclarations aux journalistes lundi 4 août. Il a été critiqué pour ses attaques incessantes contre la Réserve fédérale et son directeur Powell pour avoir limogé Erica McEntire, directrice du Bureau of Labor Statistics (BLS), suite à la publication de données sur l’emploi décevantes – des mesures perçues comme une atteinte à des institutions habituellement considérées comme libres de toute influence politique.

Quant à la Fed, Trump a indiqué avoir « quelques candidats en tête » pour le poste vacant après l’annonce vendredi par Adriana Kugler de sa démission de son poste au conseil d’administration, dont le mandat n’expire qu’en janvier prochain. Son départ a donné à Trump l’occasion, plus rapidement que prévu, de nommer un gouverneur plus en phase avec sa préférence pour des taux d’intérêt plus bas.

Le directeur du Conseil économique national, Kevin Hassett, l’ancien gouverneur de la Fed, Kevin Warsh, l’actuel gouverneur de la Fed, Christopher Waller, et le secrétaire au Trésor, Scott Besant, ont tous été pressentis comme candidats à la tête de la Fed. Le candidat de Trump au poste de gouverneur pourrait prendre la relève à la fin du mandat de Jerome Powell en mai prochain, selon Bloomberg.

Trump a qualifié le président de la Fed de « TRÈS EN COLÈRE, TRÈS STUPIDE ET TRÈS POLITIQUE » pour son refus persistant de voter une baisse des taux d’intérêt et l’a appelé à démissionner…

« Ces ajustements majeurs ont été apportés pour dissimuler et contrebalancer les faux éléments politiques conçus pour rendre une grande victoire républicaine moins impressionnante ! », selon Trump, dans un message publié lundi sur les réseaux sociaux.

Le limogeage de McEnderfer a été critiqué par son prédécesseur, qui l’a qualifié de décision infondée. « C’est préjudiciable », a déclaré dimanche William Beach, choisi par Trump pour diriger le cabinet lors de son premier mandat.

Kevin Hassett, s’exprimant sur Fox News Sunday et « Meet the Press » sur NBC, a affirmé que les importantes révisions des données sur l’emploi n’étaient pas expliquées de manière adéquate et constituaient une preuve suffisante pour un « nouveau regard » sur le BLS.

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Netanyahou décide d’occuper totalement Gaza

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, aurait déclaré à son cabinet vouloir  occuper entièrement l’enclave de Gaza, malgré les craintes que cela puisse mettre en danger les otages détenus par le Hamas.

Netanyahu a déclaré à ses ministres qu’il cherche le soutien du cabinet pour un plan visant à occuper complètement Gaza, malgré les objections des Forces de défense israéliennes (FDI), a rapporté dans la soirée du 4 août le Times of Israël, ainsi que d’autres médias israéliens.

Cela marque un changement de ton significatif alors que le gouvernement s’apprête à discuter de l’avenir de la campagne.

« Les dés sont jetés : nous allons occuper entièrement la bande de Gaza… Des opérations auront lieu même dans les zones où sont détenus des otages. Si le chef d’état-major de Tsahal n’est pas d’accord, il devra démissionner », a déclaré un haut responsable proche de Netanyahou, cité par Ynet.

L’armée israélienne revendique actuellement environ 75 % du territoire. Selon le nouveau plan, l’armée devrait également occuper le reste du territoire, plaçant ainsi l’ensemble de l’enclave sous contrôle israélien.

Le Times of Israël a affirmé que Tsahal est opposé à l’idée de prendre le contrôle de l’ensemble de Gaza. L’armée estime que le démantèlement de toutes les infrastructures du Hamas pourrait prendre des années…

Depuis le conflit entre le Hamas et Israël, une cinquantaine d’otages n’ont pas encore été rendus, et moins de la moitié seraient encore en vie. La contre-attaque israélienne a provoqué des destructions massives à Gaza, les autorités sanitaires de l’enclave estimant le nombre de morts à au moins 60 000.

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Chine : les seniors dictent la consommation

Fin 2024, la Chine comptait plus de 310 millions de citoyens âgés de plus de 60 ans, soit 22 % de sa population, selon l’Agence APE.

Le caractère massif de ce qu’on appelle « l’économie des seniors » remodèle le marché de la consommation, car le concept traditionnel d’épargne cède la place à une nouvelle approche davantage axée sur les dépenses de consommation, mettant l’accent sur la santé, mais aussi sur la qualité des expériences.

Parallèlement, les personnes âgées en Chine délaissent progressivement les soins médicaux pour privilégier la gestion préventive de leur bien-être au quotidien. Des centres de soins spécialisés pour personnes âgées utilisent quasi quotidiennement des robots médicaux intelligents et des thérapies ciblées.

La demande pour ces services croît, comme le montrent les données de l’Administration nationale des impôts de Chine. En effet, les revenus des ventes connexes dans les communautés de personnes âgées ont enregistré une augmentation annuelle de 30,4 % au premier semestre 2025, tandis que les ventes de produits alimentaires de santé pour cette catégorie de personnes mais aussi d’appareils d’enregistrement de données médicales personnelles ont augmenté respectivement de 30,1 % et 7,5 %.

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La Banque d’Angleterre s’apprête à réduire ses taux d’intérêt

La Banque d’Angleterre devrait à nouveau baisser ses taux d’intérêt jeudi 7 août, car les hausses d’impôts et la prudence des consommateurs pèsent sur l’économie britannique et poussent les entreprises à ralentir les embauches, rapporte Bloomberg.

Le Comité de politique monétaire devrait abaisser son taux directeur de 25 points de base, à 4 %. Ce qui constituerait la cinquième baisse depuis août 2024, ramenant les taux à leur niveau de mars 2023.

Contrairement à la position prudente de la Réserve fédérale américaine, qui a de nouveau maintenu les coûts d’emprunt inchangés, la Banque d’Angleterre, bien que confrontée à l’inflation la plus rapide en 17 mois à 3,6 % en juin, se concentre sur les inquiétudes concernant la croissance économique après les contractions successives du PIB britannique et l’augmentation des pertes d’emplois au printemps.

En effet, les employeurs ont réduit leur demande de travailleurs après avoir été touchés par les mesures du premier budget du gouvernement travailliste, qui comprenaient une augmentation de 26 milliards de livres (34,5 milliards de dollars) des charges sociales et une forte augmentation du salaire minimum, relève encore Bloomberg.

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BMW annonce une baisse de 29 % de ses bénéfices

Le secteur automobile allemand est confronté à la flambée des coûts de l’énergie, aux tarifs douaniers américains et à une concurrence croissante.

Le géant automobile allemand BMW a annoncé une forte baisse de ses bénéfices au premier semestre, les tarifs douaniers américains, la faible demande et la concurrence croissante de la Chine ayant pesé sur ses bénéfices.

Selon un rapport d’activité publié samedi 2 août 2025, le groupe a enregistré un bénéfice après impôts de 4 milliards d’euros (4,6 milliards de dollars), soit en baisse de 29 % par rapport à la même période de l’année précédente. Il s’agit de la troisième baisse consécutive du constructeur automobile au premier semestre.

BMW a déclaré que les droits d’importation américains sur les voitures et les pièces détachées automobiles, imposés par le président Donald Trump en avril, pesaient lourdement sur ses bénéfices.

Les constructeurs automobiles européens digèrent encore le nouveau tarif douanier de 15 % convenu entre Washington et Bruxelles, qui doit entrer en vigueur le 7 courant. Cet accord commercial a suscité de vives réactions dans l’ensemble du bloc, certains responsables européens le qualifiant de « scandaleux » et de « désastre », en ce sens que le bloc n’a obtenu aucune concession de la part de Washington.

Le constructeur allemand n’a pas révélé combien les tarifs douaniers américains lui ont coûté au premier semestre, mais a averti que les frais liés au commerce pourraient réduire de 1,25 point de pourcentage sa marge automobile cette année. Ce qui pourrait coûter des milliards d’euros.

Le PDG de la marque, Oliver Zipse, tout en saluant l’accord tarifaire, a toutefois averti que les droits de douane pèsent toujours sur les exportations et nuisent aux consommateurs.

BMW a également signalé une « pression concurrentielle » intense, notamment de la part de la Chine.

D’autres géants automobiles allemands ont enregistré des baisses encore plus marquées. Volkswagen et Audi ont vu leurs bénéfices chuter de plus d’un tiers, tandis que les bénéfices de Mercedes ont chuté de plus de 50 %.

Le ralentissement du secteur a alimenté les craintes quant à la santé de la puissance économique de l’UE. L’Allemagne a traversé une récession l’année dernière et le FMI prévoit désormais une croissance nulle en 2025. Soit les prévisions les plus faibles parmi les pays du G7.

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Canada – USA : Carney et Trump vont se parler dans les prochains jours

Le président américain Donald Trump et le Premier ministre canadien Mark Carney vont probablement s’entretenir « dans les prochains jours » après que les États-Unis ont imposé des droits de douane de 35 % sur les biens non couverts par l’accord commercial États-Unis-Mexique-Canada (ACEUM). C’est ce qu’a déclaré, dimanche 3 août, Dominic LeBlanc, le ministre fédéral en charge du Commerce entre les États-Unis et le Canada.

Il a également indiqué à « Face the Nation » de CBS News que les récentes discussions (entre les deux pays) étaient « encourageantes ». « Nous sommes plus optimistes suite aux discussions avec le secrétaire Lutnick et l’ambassadeur Greer, mais nous n’en sommes pas encore au point où nous devons parvenir à un accord qui soit dans l’intérêt des deux économies », a ajouté M.LeBlanc, faisant référence au secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick, et au représentant américain au Commerce, Jamieson Greer.

« Nous pensons qu’il existe un potentiel pour un accord qui réduira certains de ces tarifs et offrira une plus grande certitude en matière d’investissement », souligne-t-il.

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L’OPEP+ va augmenter sa production quotidienne de pétrole

L’OPEP+ a accepté le principe d’augmenter sa production quotidienne de pétrole de 548 000 barils en septembre, selon deux sources de l’organisation. Et ce, alors qu’elle achève l’assouplissement de son plus important programme de réduction de la production de pétrole, suite aux craintes de nouveaux problèmes d’approvisionnement en pétrole de la part de la Russie.

Une décision pertinente devrait être prise lors d’une réunion prévue dans l’après-midi du lundi 4 août.

Cette évolution intervient après que les États-Unis ont demandé à l’Inde de mettre fin à ses achats de pétrole russe, en vue de faire pression sur Moscou pour parvenir à un accord de paix en Ukraine.

A rappeler que l’imposition de nouvelles sanctions par l’Union européenne a poussé certains raffineurs publics indiens à suspendre leurs achats de pétrole russe.

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Tarifs douanier de Trump : l’Afrique du Sud soutient ses exportateurs

L’Afrique du Sud annonce qu’elle va élaborer des mesures pour soutenir les exportateurs touchés par le nouveau tarif douanier de 30 % imposé par le président américain Donald Trump, qui devrait entraîner des pertes d’emplois massives notamment dans les secteurs automobile et agricole du pays.

Le ministère du Commerce sud-africain, Parks Tau, a ainsi lancé un « Bureau d’assistance à l’exportation » pour aider les entreprises concernées et les conseiller sur des marchés alternatifs pendant une période qu’il a décrite comme « un moment difficile pour l’Afrique du Sud ».

A souligner que Trump a publié, jeudi 31 juillet, un décret imposant des droits d’importation plus élevés à des dizaines de pays, qui devraient entrer en vigueur dans sept jours (7 août), dans le cadre de ses efforts pour remodeler le commerce mondial en faveur des États-Unis.

« Tous les canaux de communication restent ouverts pour dialoguer avec les États-Unis, et nos négociateurs attendent l’invitation des États-Unis », a déclaré le président Cyril Ramaphosa dans un communiqué publié vendredi 1er août.

Il a ajouté que le gouvernement était en train de finaliser un plan de soutien pour les exportateurs vulnérables, dont les détails seront annoncés prochainement…

Les États-Unis sont le deuxième partenaire commercial bilatéral de l’Afrique du Sud après la Chine, important des biens tels que des voitures, des produits sidérurgiques, du vin et des agrumes. Mercedes-Benz Afrique du Sud est d’ailleurs l’un des principaux exportateurs automobiles du pays vers les États-Unis.

Exportations en danger

Les tarifs douaniers de Trump ont déjà perturbé les exportations de voitures sud-africaines vers les États-Unis, un organisme industriel qualifiant cela de « crise socio-économique en devenir ».

La Banque centrale a estimé que le dernier tarif de Trump pourrait entraîner la perte de 100 000 emplois, principalement dans les secteurs de l’agriculture et de l’automobile.

Les producteurs d’agrumes, fortement dépendants du marché américain, ont déclaré que le passage à des marchés alternatifs tels que l’Asie serait difficile en raison des différences de préférences en matière de fruits.

La Fédération des industries de l’acier et de l’ingénierie d’Afrique australe (SEIFSA) a déclaré que les droits de douane mettaient en danger les exportations d’acier et de produits connexes du pays, qui s’élevaient à 1,8 milliard de dollars l’année dernière.

« Si l’on considère que l’accès aux États-Unis s’est fait par le biais de l’AGOA (African Growth and Opportunity Act), qui était exempt de droits de douane, l’augmentation des droits de douane à 30 % annule effectivement ce marché », a déclaré le directeur général de la SEIFSA, Tafadzwa Chibanguza, en référence à la loi américaine sur la croissance et les opportunités en Afrique.

Chibanguza se dit inquiet quant à la perte de parts de marché au profit de pays comme l’Indonésie, qui ont négocié des tarifs douaniers américains plus bas.

« Une fois que ces tendances d’exportation et ces relations se consolident, même si vous réparez les choses en Afrique du Sud, il est peu probable que vous gagniez des parts de marché à ces pays », a-t-il déclaré à Reuters.

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 Trump inflige 39 % de droits de douane à la Suisse: étonnement!

La Suisse a eu une mauvaise surprise, vendredi 1er août – jour férié national : le président américain Donald Trump a décidé d’imposer des droits de douane de 39 % sur les produits suisses, un taux bien plus élevé que ce que le pays avait prévu. 

Il s’agit de l’un des droits de douane les plus élevés au monde, menaçant les exportations du pays. Il convient de noter que les États-Unis représentent environ un sixième des exportations totales de la Suisse.

Les principales exportations suisses comprennent les produits chimiques et pharmaceutiques, les montres et les bijoux, les chocolats, les pierres précieuses et l’électronique.

Le gouvernement suisse a exprimé son « grand regret », soulignant que le nouveau taux tarifaire diffère « significativement » d’un projet de cadre que les deux pays étaient en train de négocier.

La Suisse a été surprise par cette annonce, car elle avait reçu des messages encourageants de plusieurs hauts responsables américains, selon une source citée par Bloomberg. Toutefois, le pays prévoit de poursuivre les négociations avec les États-Unis et garde espoir d’un accord sur une baisse de ces droits de douane.

L’association des fabricants Swissmem a souligné que le taux de 39 % frapperait « extrêmement durement » l’industrie technologique, les exportations, et donc l’ensemble du pays, notant qu’un franc sur deux importé dans l’économie provient du commerce extérieur.

« Je suis surpris. Ces droits de douane ne reposent sur aucune base rationnelle et sont arbitraires. Cette décision met en péril des dizaines de milliers d’emplois dans le secteur », a déclaré Stefan Brupbacher, directeur de l’Association Swissmem.

Beat Wittmann, président de Porta Advisors, a souligné pour sa part que la nouvelle constitue un coup « catastrophique » pour l’économie et les entreprises suisses. « Cela entraînera un affaiblissement de l’économie suisse, du franc suisse et de la Bourse suisse, en particulier du secteur d’exportation très important », a-t-il souligné sur CNBC.

Adrian Prettejohn, économiste européen chez « Capital », a averti, quant à lui, qu’un taux de droits de douane de 39 % réduirait le PIB de la Suisse d’environ 0,6 % ou plus.

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Finlande : Alexander Stubb prêt à reconnaître l’État palestinien

Le président de la Finlande, Alexander Stubb, a annoncé, vendredi 1er août, qu’il était prêt à reconnaître l’État de Palestine si le gouvernement de son pays soumettait la proposition correspondante. 

« Les Israéliens et les Palestiniens ont trop souffert pendant trop longtemps », a commenté Stubb dans un message sur X. Il a ajouté cependant que « la situation dans la bande de Gaza est inhumaine. Des enfants meurent de faim parce qu’aucune aide alimentaire n’arrive. Des citoyens en quête de nourriture ont été la cible de tirs ». Par conséquent, Stubb a estimé qu’une « solution à long terme, une paix basée sur le modèle des deux États » est nécessaire.

« Les décisions de la France, de la Grande-Bretagne et du Canada renforcent la dynamique en faveur de la reconnaissance de la Palestine dans le cadre des efforts visant à donner un nouvel élan au processus de paix », a-t-il noté.

Disposant de pouvoirs limités par rapport au Premier ministre, le président de la Finlande, élu pour un mandat de six ans, dirige la politique étrangère du pays en collaboration avec le gouvernement.

« Si je reçois une proposition allant dans ce sens concernant la reconnaissance de l’État palestinien, je suis prêt à l’approuver. Il appartient au gouvernement de décider s’il soumet une telle proposition », a expliqué Stubb…

A noter que le parti d’extrême droite finlandais ainsi que les chrétiens-démocrates sont contre la reconnaissance de l’État palestinien. « Je souhaite encourager une discussion ouverte, honnête et fondée sur des preuves sur la politique étrangère, y compris la question palestinienne », a conclu Alexander Stubb.

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