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Festivals et diffusion de photos d’enfants | Le ministère réagit

Le ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des personnes âgées a pris des mesures fermes suite à la diffusion illégales sur les réseaux sociaux de photos et vidéos d’enfants, capturées lors de différents festivals.

Relayées sans autorisation, les images et vidéos étaient accompagnées de nombreux commentaires dénigrants et dégradants, ce qui fait l’objet de signalement ayant retenu l’attention du ministre qui a demandé au délégué général de la protection de l’enfance de saisir le ministère public pour l’ouverture d’une enquête.

Dans son communiqué, le ministère a souligné que la protection de l’enfant est une responsabilité collective, rappelant que la Constitution tunisienne garantit les droits de l’enfant, tout en mettant en garde contre la diffusion d’images de mineurs sans autorisation, une pratique illégale et contraire au Code de la protection de l’enfant.

Le département de la famille et de l’enfance a par ailleurs lancé un appel aux familles, les encourageant à une utilisation responsable des réseaux sociaux pour assurer une éducation équilibrée à leurs enfants. Enfin, les médias ont aussi été appelés à s’engager activement dans la prévention des comportements qui portent atteinte aux droits et au bien-être des enfants.

Y. N.

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In memoriam | Il y a un an nous quittait Abdelaziz Barrouhi

Il y a un an, le 21 juillet 2024, mourait le journaliste Abdelaziz Barrouhi, ancien rédacteur à la la Tap, Reuters et Jeune Afrique. Ses neveux nous ont fait parvenir ce texte où ils rendent un vibrant hommage à cet homme qui «défendait le droit de dire, d’écrire, de résister — même dans le silence imposé.»

Il y a un an, Abdelaziz s’éclipsait en silence, laissant derrière lui une aura de sagesse et d’engagement. Et parce qu’il ne brillait jamais seul, son souvenir s’accompagne naturellement de celui de quatre autres étoiles : Hamda, qu’il appelait avec respect Sidi, Hamida, mère aimante, Ali, père vaillant appelé Essayid, et Halima, tante vive et lumineuse.

Ils étaient les piliers invisibles d’une vérité vécue. Chacun portait une part de ce que nous sommes devenus.

Hamda, l’oncle aîné noble, portait l’histoire avec calme. Sa parole était pleine de racines et ses silences habités de profondeur. On l’écoutait comme on lit un poème ancien.

Hamida, notre maman douce et forte, semait en nous des graines de bienveillance et de constance. Elle nous a appris que l’amour est la force la plus subtile et la plus puissante qui soit. Elle nous a aussi transmis la fierté de compter sur soi, avec foi et dignité, même dans l’adversité.

Ali, notre père généreux, marchait humblement, mais éclairait largement. Défenseur des cœurs fragiles et des vies discrètes, il nous a légué le courage de ceux qui refusent l’indifférence.

Halima, notre tante au rire franc et au regard vif, incarnait la joie simple et la profondeur cachée. Bonne vivante au cœur tendre, elle alliait humour spontané et sensibilité sincère. Dans ses éclats de rire résonnait une tendresse immense pour les autres — et dans ses gestes, un amour discret mais constant.

Abdelaziz, enfin, l’oncle benjamin, transforma tout cela en récits. Son journalisme était un acte de vérité, un cri doux pour les voix étouffées. Il croyait profondément en une presse libre, indépendante, et en la démocratie comme socle de toute dignité humaine. Il défendait le droit de dire, d’écrire, de résister — même dans le silence imposé.

Parti en silence… il faisait du bannissement et de l’exil des récits journalistiques plus pénétrants que la couverture des événements.

Tous les cinq nous ont quittés entre l’été et l’automne, ces saisons de bascule et de lumière particulière.

L’été, avec sa chaleur persistante, porte les départs comme une braise vive, pleine d’éclat. L’automne, lui, accompagne les absences dans une lente métamorphose, où les feuilles tombent comme des souvenirs, et où la lumière, plus douce, devient mémoire.

À travers lui, leur lumière s’est intensifiée. À travers eux, son combat prenait racine. Et à travers nous, leur héritage continue de vibrer.

Ce texte n’est pas un adieu. C’est une étoffe de mémoire.

C’est le reflet d’un ciel intérieur que nous portons  où cinq étoiles brillent sans faiblir, où le passé devient repère, où l’amour devient direction.

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TikTok, bête noire d’Israël et de ses alliés occidentaux

Des responsables sionistes américains et européens craignent l’émergence d’une génération TikTok **, le célèbre réseau social chinois, qui sera moins réceptive à la propagande sioniste et moins malléable à toute manœuvre de légitimation des crimes et exactions israéliens contre les Palestiniens et à la propagande occidentale en général. (Ph. TikTok diffuse les vidéos et les images de Gaza qui sont censurées par les réseaux sociaux américains comme Facebook et X).

Elyes Kasri *

Les événements de Gaza depuis le fatidique 7 octobre 2023 ont ébranlé la mainmise d’Israël et des milieux sionistes internationaux sur le narratif et le contrôle de l’information notamment grâce à la plateforme TikTok qui a résisté aux assauts des pouvoirs politiques et financiers prosionistes pour présenter une vue alternative et plus équilibrée des événements à Gaza et en l’occurrence ce que la Cour Internationale de Justice a qualifié de génocide et la Cour Pénale Internationale de crimes de guerre et contre l’humanité à l’encontre des Palestiniens de Gaza.

Les voix propalestiniennes contournent la censure

Les assauts contre TikTok sous de nombreux prétextes fallacieux de propagande chinoise et de préservation de la moralité de la jeunesse se poursuivent aux Etats Unis d’Amérique et en Europe sous l’incitation insidieuse et acharnée des organisations juives et sionistes pour bannir la plateforme TikTok ou la faire acheter par des institutions financières prosionistes et neutraliser ainsi les voix indépendantes propalestiniennes.

Considérée comme la plus grande menace à la mainmise sioniste sur l’information et l’opinion publique mondiale, TikTok a fait que d’importants responsables sionistes américains et européens ont déclaré craindre l’émergence d’une génération TikTok qui sera moins réceptive à la propagande sioniste et moins malléable à toute manœuvre de légitimation des crimes et exactions israéliens contre les Palestiniens et autres peuples arabes de la région qui subissent la folie guerrière et génocidaire de l’entité sioniste et de ses alliés occidentaux ainsi que ses comparses arabes du Golfe et d’ailleurs.

Les lobbies sionistes sur le pied de guerre

Les motifs hypocrites invoqués par les membres du congrès américain financés par la pieuvre sioniste notamment l’Aipac et l’assaut continu du Crif français et autres organisations sionistes européennes sous prétexte de préservation de la moralité et de protection de la jeunesse ne sont en fait que des tentatives cyniques de faire disparaitre une plateforme qui a échappé à la censure et au contrôle sionistes sur l’opinion publique mondiale avec pour objectif de maintenir la désinformation qui déguise l’entité sioniste en agneau au milieu d’une meute de loups arabes et palestiniens sauvages et sanguinaires, assoiffés de sang juif.

*Ancien ambassadeur.

**TikTok est une application mobile de partage de courtes vidéos créatives (verticales et de quelques secondes à quelques minutes) et d’images, ainsi qu’un réseau social basé sur un algorithme de recommandation favorisant la viralité. Développée par l’entreprise chinoise ByteDance  et lancée en 2016 pour le marché non chinois, elle est devenue en peu de temps un redoutable concurrents pour les réseaux sociaux américains Facebook et X. 

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Un journaliste sportif français accusé de terrorisme en Algérie

De l’actrice Catherine Deneuve à l’ancien sélectionneur des Bleus Hervé Renard, une centaine de personnalités réclament la libération de Christophe Gleizes, journaliste sportif spécialisé dans le football, condamné à sept ans de prison en Algérie pour «apologie du terrorisme».

Parmi les soutiens à cette initiative, organisée par un comité de soutien lancé par Reporters sans frontières (RSF), figurent l’ancien sélectionneur de l’équipe algérienne de football Vahid Halilhodzic, le journaliste sportif Hervé Mathoux, l’acteur Gilles Lellouche, le romancier Nicolas Mathieu et la journaliste Anne-Sophie Lapix.

Leurs noms figurent également parmi les plus de 17 100 signatures recueillies sur une pétition de RSF demandant la «libération immédiate» du journaliste.

Collaborateur des magazines français So Foot et Society, Christophe Gleizes, 36 ans, a été condamné fin juin à sept ans de prison ferme pour «apologie du terrorisme» et «publications visant à la propagande contre l’intérêt national».

Alger l’accuse d’avoir été en contact avec un dirigeant du club de football de la Jeunesse sportive de Kabylie (JSK), qui est également le chef du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK), classé organisation terroriste par les autorités algériennes depuis 2021.

I. B.

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Tunisie | Décès du journaliste Youssef Oueslati

Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a annoncé le décès, ce vendredi 18 juillet 2025, à l’aube, du journaliste Youssef Oueslati, à l’âge de 60 ans. Il fut l’un de ses membres dirigeants et mena plusieurs combats pour la défense de la liberté de la presse et des droits sociaux des journalistes.   

Le défunt a travaillé pour plusieurs journaux électroniques en Tunisie et à l’étranger. Il a été rédacteur en chef du journal ‘‘Echaâb’’, organe de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) et du magazine électronique ‘‘Akher Khabar’’. Il s’était distingué par sa ligne objective et critique envers certaines parties politiques hostiles à la liberté de la presse. Il était aussi un fervent défenseur de l’indépendance des journalistes et de leurs droits légaux et sociaux.      

I. B.

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Affaire Ghassen Ben Khelifa | La peine de 6 mois confirmée par la Cour d’appel

La Cour d’appel de Tunis a confirmé le jugement rendu en première instance condamnant le journaliste et rédacteur en chef du site Inhiyez, Ghassen Ben Khelifa à une peine de six mois de prison.

C’est le concerné lui même qui a annoncé la nouvelle, en précisant avoir été condamné pour la gestion présumée d’une page Facebook (« El Bourkan Ettounsi » ) au contenu « salafiste djihadiste », avec laquelle le journaliste et militant de gauche rappelle n’avoir aucun lien.

« Alors que mes avocats et moi-même nous attendions à ce que la Cour d’appel prononce un non-lieu, ou du moins allège la peine à une sanction non privative de liberté nous avons été surpris par la confirmation du jugement injuste prononcé en première instance », a-t-il commenté.

Le journaliste qui nie totalement les accusations de terrorisme le visant, affirme par ailleurs que l’Unité nationale de recherche sur les crimes terroristes n’avait trouvé aucune preuve incriminante après avoir fouillé son ordinateur et son téléphone.

Y. N.

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