Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Nabeul | Campagnes contre les installations illégales sur les plages

Les campagnes de lutte contre les installations anarchiques sur le domaine public maritime se poursuivent sur l’ensemble des plages du gouvernorat de Nabeul.

C’est ce qu’annonce l’Agence de protection et d’aménagement du littoral (Apal) dans un communiqué ce mardi 29 juillet 2025, que ces opérations se poursuivront durant toute la saison estivale, et ce, en coordination avec la garde maritime et la municipalité de Nabeul.

L’opération a permis de constater et de lever plusieurs infractions sur les plages, indique l’Apal citant notamment l’occupation illégale de l’espace public par des installations de camping.

L’Agence de protection et d’aménagement du littoral, a par ailleurs, indiqué que les campagnes de nettoyage des plages se poursuivent également dans toutes les régions du pays.

Y. N.

L’article Nabeul | Campagnes contre les installations illégales sur les plages est apparu en premier sur Kapitalis.

Qualité des eaux de baignade en Tunisie : aucun souci dans les zones touristiques

Selon les données du ministère de la Santé et malgré 28 zones à risque clairement identifiées, les plages tunisiennes sont satisfaisantes.

Alors que l’été bat son plein en Tunisie, la qualité des eaux de baignade sur l’ensemble du littoral tunisien suscite à la fois satisfaction pour ce qui concerne les zones touristiques et vigilance sur certains points noirs.

Selon les derniers prélèvements réalisés par le ministère de la Santé sur 539 points de contrôle, 71 % des eaux de baignade sont jugées de bonne qualité, confirmant que la grande majorité des plages du pays sont sûres pour les baigneurs.

Les 3 régions pointées du doigt

Cependant, 28 points noirs ont été identifiés comme impropres à la baignade, représentant un risque sanitaire pour les estivants. Ces zones sont réparties principalement dans trois régions : Ben Arous concentre à elle seule 15 plages à éviter, notamment à Radès, à proximité de la centrale électrique, ainsi que dans certaines zones d’Ezzahra et d’Hammam Lif, touchées à plusieurs endroits.

Dans le gouvernorat de l’Ariana, la zone de Raoued est également concernée, avec 6 plages interdites à la baignade, dont celles proches de la décharge d’Essebkhah, d’Akrout, de la Cité des Juges et du canal du golfe.

Enfin, la région de Bizerte n’est pas épargnée : 6 plages ont été classées comme impropres, notamment à Jalta, Menzel Jemil, Menzel Abderrahmane, ainsi que dans certains canaux côtiers.

 La vigilance reste donc de mise dans ces 3 régions, même si la majorité du littoral tunisien et notamment la côte touristique reste accueillante pour les estivants.

D.T 

L’article Qualité des eaux de baignade en Tunisie : aucun souci dans les zones touristiques est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Vagues mortelles : Les noyades se multiplient sur les plages tunisiennes

Trois morts à Soliman, un drame familial à Mahdia, une fillette toujours portée disparue à Kélibia… L’été 2025 débute dans la douleur avec une série de noyades tragiques. Face à ce phénomène récurrent, les autorités appellent à la vigilance.

Alors que la saison estivale bat son plein, les plages tunisiennes sont endeuillées par une série de noyades tragiques, qui viennent rappeler, une fois de plus, les dangers de la baignade en mer, particulièrement dans des zones non surveillées ou soumises à des conditions météorologiques défavorables.

À Soliman, dans le gouvernorat de Nabeul, les unités de la protection civile ont repêché, dimanche 29 juin au matin, les corps de deux jeunes hommes, originaires de Grombalia, morts noyés la veille. Les recherches ont duré plusieurs heures, ralenties par une mer agitée et des vents violents. La veille, une adolescente de 17 ans avait également perdu la vie sur la même plage, emportée par les courants.

Au large de Kélibia, les opérations se poursuivent pour retrouver une fillette de moins de cinq ans, disparue samedi alors qu’elle jouait sur une bouée gonflable. Selon les premières informations, elle aurait été emportée au large par les courants. Les recherches sont menées par des équipes de la marine nationale, de la garde maritime et de la protection civile.

Toujours dimanche, à Mahdia, une jeune femme de 19 ans a été retrouvée morte noyée dans une zone rocheuse non surveillée de la corniche. Cette même zone avait été le théâtre d’un autre drame familial, qui a coûté la vie à trois membres d’une même famille originaire de Moknine, la semaine dernière.

Ces tragédies à répétition ne sont malheureusement pas nouvelles. Chaque été, les cas de noyades se multiplient, en particulier dans des plages non sécurisées, où les secours sont souvent alertés trop tard. La mer Méditerranée, en apparence calme, peut devenir redoutable sous l’effet des vents et des courants.

Face à cette recrudescence, le ministère de la Santé a lancé un appel à la vigilance, en particulier à destination des familles. Dans un communiqué publié dimanche, il insiste sur le rôle crucial des parents dans la protection de leurs enfants. Parmi les recommandations :

  • Ne jamais laisser un enfant se baigner seul, que ce soit en mer ou en piscine ;
  • Surveiller en permanence les enfants, sans se laisser distraire par un téléphone ou des discussions ;
  • Privilégier les plages surveillées et respecter les drapeaux de signalisation ;
  • Apprendre à nager aux enfants dès le plus jeune âge ;
  • Sécuriser les piscines privées à l’aide de barrières et de fermetures adaptées.

Si l’été est synonyme de détente pour beaucoup, il reste une période à haut risque sur les littoraux tunisiens. La répétition de ces drames souligne l’urgence d’une véritable culture de la prévention, à l’échelle individuelle comme collective. Sans quoi, la mer continuera d’engloutir, chaque année, des vies trop jeunes pour disparaître.

L’article Vagues mortelles : Les noyades se multiplient sur les plages tunisiennes est apparu en premier sur webdo.

Invasion précoce de méduses en Tunisie : Un signal d’alerte pour l’été 2025

Depuis début juin, plusieurs plages tunisiennes sont envahies par les méduses. Un phénomène précoce, dû au réchauffement de la Méditerranée et à la dégradation de l’écosystème marin.

La scène se répète sur de nombreuses plages tunisiennes : des vacanciers surpris par des bancs de méduses dérivant près du rivage. Phénomène inhabituel à cette période de l’année, cette prolifération précoce touche notamment les côtes du Sahel, de la banlieue sud de Tunis et du Cap Bon.

Selon les observations des spécialistes, ces méduses – notamment l’espèce bleue, impressionnante mais inoffensive, et une autre, plus petite, à la piqûre douloureuse – ont fait leur apparition dès les premiers jours de juin. Or, elles n’apparaissent habituellement qu’à la fin août ou début septembre.

La Méditerranée se réchauffe plus vite que prévu

Ce changement de rythme est un indicateur alarmant des bouleversements que connaît la Méditerranée. « Nos eaux sont aujourd’hui parmi les plus chaudes du globe », explique Yassine Ramzi Sghaier, expert en biologie marine. Invité ce vendredi 27 juin dans l’émission Ahla Sbeh, il alerte : « La hausse de la température accélère le développement des méduses. »

Outre le réchauffement climatique, la pollution marine joue également un rôle crucial. Certaines plages tunisiennes, touchées par des rejets organiques ou chimiques, offrent aux méduses un milieu particulièrement riche en nutriments. Résultat : leur prolifération s’accélère.

Surpêche et déséquilibre de l’écosystème

Autre cause aggravante : la surpêche. En exploitant certaines espèces de poissons qui se nourrissent naturellement de méduses, comme les tortues ou certains thons, l’équilibre écologique est rompu.

« C’est une chaîne : moins de prédateurs, plus de méduses », résume le biologiste. Et le phénomène n’est pas près de s’arrêter. Selon plusieurs projections scientifiques, la Méditerranée pourrait connaître des proliférations de plus en plus longues et intenses dans les années à venir.

Yassine Ramzi a précisé qu’il existe plusieurs types de méduses. Celles actuellement présentes sur les plages tunisiennes se déclinent en deux espèces principales : une grande méduse de couleur bleue, impressionnante mais inoffensive, et une autre, plus petite, dont la piqûre provoque une sensation de brûlure intense sur la peau.

Un phénomène qui pourrait devenir la norme

L’apparition précoce des méduses sur les côtes tunisiennes ne semble plus être une exception. En l’absence de mesures fortes pour limiter le réchauffement climatique et restaurer les écosystèmes marins, ces épisodes pourraient se répéter et s’aggraver.

Face à cette réalité, scientifiques et écologistes appellent à une meilleure surveillance des eaux, à la réduction de la pollution côtière et à une gestion raisonnée de la pêche.

Comment se protéger des piqûres de méduses ?

En cas de piqûre, il est recommandé d’éviter de frotter la zone touchée avec du sable. Il faut rincer la plaie à l’eau de mer, puis retirer les filaments collés à la peau. Si la piqûre provoque une réaction toxique ou allergique, il est impératif de se rendre immédiatement dans une pharmacie ou un centre de santé.

L’article Invasion précoce de méduses en Tunisie : Un signal d’alerte pour l’été 2025 est apparu en premier sur webdo.

Tunisie : Mise en garde contre la baignade dans 28 plages polluées

Le ministère de la Santé a appelé, ce mercredi, les citoyens à éviter la baignade dans 28 zones du littoral, jugées impropres en raison de la pollution de l’eau, et ce, dans un souci de préservation de la santé publique. Il a également assuré que le suivi des zones côtières se poursuit et que le public sera tenu informé de tout développement.

Dans le cadre de son programme de surveillance de la qualité des eaux de baignade, 539 points ont été contrôlés le long du littoral tunisien. Les analyses du mois de juin 2025 indiquent que 71% des plages présentent une qualité d’eau satisfaisante, mais 28 points sont classés non conformes à la baignade, répartis comme suit :

Gouvernorat de Tunis (1 plage)

  • Rue Bach Hamba (La Goulette)

Gouvernorat de Ben Arous (15 plages)

  • Rades : 100 m au sud de la plage Marouane / en face de la centrale thermique / en face du bâtiment de la protection civile / 100 m au nord de l’embouchure de l’oued Meliane
  • Ezzahra : 100 m au sud de l’embouchure de l’oued Meliane / en face de l’embouchure de l’oued Maaïzette / embouchure de l’oued Bouhassa
  • Hammam Lif : en face de la rue Major / en face de la rue de la Méditerranée / en face de la rue Salah Major / en face de l’avenue Samou / en face de la rue Habib Thamer / en face de la rue Aziza Othmana / ancien déversoir de Chouaïba / embouchure de l’oued El Ayaïcha

Gouvernorat de l’Ariana (6 plages) – Raoued

  • Embouchure de Sebkha / en face du centre équestre Akrout / lotissements résidentiels de Raoued plage / quartier El Qadha / canal El Khalij / 50 m au nord du canal El Khalij

Gouvernorat de Bizerte (6 plages)

  • Plage de Jalta (Bizerte) / Al Alia (Menzel Jemil) / Sayefra, zone des pêcheurs et Sidi El Hachachi (Menzel Abderrahmane) / Canal 1 et Canal 2 (Zarzouna)

Le ministère rappelle que ces interdictions sont prises à titre préventif, en attendant l’amélioration de la qualité des eaux dans ces zones.

L’article Tunisie : Mise en garde contre la baignade dans 28 plages polluées est apparu en premier sur webdo.

Tunisie – Tourisme : 5,6 MD pour des plages plus propres et mieux équipées

À l’approche de la haute saison estivale, le ministère du Tourisme met les bouchées doubles pour améliorer l’accueil sur les plages tunisiennes. Le ministre Sofiene Tekaya a annoncé, mercredi 25 juin, un programme d’envergure doté d’une enveloppe globale de 5,6 millions de dinars destiné à renforcer la propreté et les équipements dans 62 municipalités touristiques à travers le pays.

Ce plan, élaboré en coordination avec les ministères de l’Environnement, de l’Intérieur et l’Agence de protection et d’aménagement du littoral, concerne 133 plages publiques réparties sur 170 kilomètres de côtes. Il vise à offrir un environnement balnéaire plus attractif, en misant notamment sur la qualité des services et l’hygiène, éléments jugés essentiels pour l’image touristique du pays.

Soutien renforcé aux municipalités touristiques

Actuellement, 57 municipalités sont intégrées dans ce programme, et 5 nouvelles devraient les rejoindre cette année. L’État prévoit un appui logistique et financier à travers le Fonds de protection des zones touristiques, qui alloue 1,5 million de dinars à l’Agence du littoral pour organiser des campagnes de nettoyage mécanisé dans ces communes.

Parallèlement, une enveloppe de 2,4 millions de dinars a été réservée au renforcement des programmes d’hygiène locaux, tandis que 1,7 million de dinars supplémentaires permettront l’acquisition de matériels et d’équipements de propreté adaptés.

Priorité au tourisme local

« Il s’agit de garantir les meilleures conditions d’accueil, notamment pour les familles tunisiennes, qui constituent une composante essentielle du tourisme intérieur », a souligné le ministre lors d’une journée d’information consacrée à la promotion du tourisme local.

Sofiene Tekaya a également insisté sur la nécessité de conjuguer les efforts des différents acteurs, en misant sur l’innovation et la créativité, afin de faire du tourisme intérieur un levier durable de développement régional et de dynamisation économique.

Avec ce plan, les autorités espèrent répondre aux attentes croissantes des estivants tout en rehaussant les standards d’accueil sur le littoral tunisien, pierre angulaire de l’attractivité touristique nationale.

L’article Tunisie – Tourisme : 5,6 MD pour des plages plus propres et mieux équipées est apparu en premier sur webdo.

Vacances à prix fort : Une journée à la plage coûte jusqu’à 150 dinars pour une famille tunisienne

Alors que de nombreux Tunisiens choisissent de passer leurs vacances d’été sur les plages publiques, espérant ainsi échapper à la chaleur sans trop grever leur budget, les coûts réels d’une simple journée à la mer deviennent de plus en plus lourds pour les familles.

L’Organisation tunisienne pour l’orientation du consommateur a récemment tiré la sonnette d’alarme : pour une famille composée de quatre membres, une journée de détente sur les plages des environs de la capitale peut coûter entre 120 et 150 dinars.

Un montant qui inclut les frais de transport, de restauration, les boissons, les locations de parasols ou de chaises longues, et parfois même des frais d’accès non officiels imposés par certains exploitants.

Cette estimation soulève des interrogations quant à l’accès équitable aux loisirs en période estivale, surtout dans un contexte de baisse du pouvoir d’achat. « Ce qui était autrefois une activité gratuite ou peu coûteuse devient aujourd’hui un luxe pour de nombreux citoyens », souligne un représentant de l’organisation.

Les plages de la Goulette, La Marsa, Raoued, Gammarth ou encore Ezzahra, bien qu’elles restent très fréquentées, témoignent de cette évolution du tourisme de proximité, désormais marqué par une marchandisation croissante de l’espace public.

Face à cette situation, l’organisation appelle les autorités à encadrer davantage l’exploitation des plages et à veiller au respect du droit des citoyens à profiter librement du littoral, sans surcharge financière abusive.

L’article Vacances à prix fort : Une journée à la plage coûte jusqu’à 150 dinars pour une famille tunisienne est apparu en premier sur webdo.

❌