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Tunisie | Ghazi Chaouachi opéré, les conditions dénoncées

Ghazi Chaouachi détenu dans l’affaire du complot contre la sûreté de l’État a été opéré, annonce son fils Elyes Chaouachi ce mardi 15 juillet 2025, en dénonçant des conditions inhumaines.

Elyes Chaouachi précise que son père a subi une intervention chirurgicale au niveau de l’estomac et qu’il a passé la nuit à l’hôpital menottée et sous surveillance sécuritaire.

La même source a ajouté que ni les avocats ni famille n’ont été informés… « humanité 0 », a encore commenté Elyes Chaouachi.

Y. N.

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Tunisie–Sénégal : vers un renforcement de la coopération militaire bilatérale

Le ministre de la Défense, Khaled Shili a reçu, vendredi, son homologue sénégalais Birame Diop, en marge de la conférence internationale sur le rôle des forces armées dans les protection des civils lors des opérations de maintien de la paix, organisée les 10 et 11 juillet en cours.

L’entretien a porté sur les relations historiques liant les deux pays dans divers domaines, la coopération militaire en particulier.

Le ministre de la Défense a, dans ce contexte, salué le souci de la partie sénégalaise d’être présente à toutes les rencontres militaires et de participer aux exercices conjoints organisés par la Tunisie, lit-on dans un communiqué publié vendredi par le ministère de la Défense.

Il a ensuite souligné le besoin de renforcer la coopération bilatérale, notamment, en matière de formation, d’entrainement et l’échange d’expertises et de visites, recommandant de mettre en place un cadre juridique pour organiser ces activités entre les deux pays.

Le ministre sénégalais de la Défense a, de son côté, exprimé la volonté de promouvoir la coopération bilatérale et d’en diversifier les domaines.

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L’Algérie rejoint le Traité d’Amitié de l’ASEAN

Depuis le 9 juillet 2025, l’Algérie est officiellement membre du Traité d’Amitié et de Coopération (TAC) de l’Association des Nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN). La signature de l’accord s’est déroulée en Malaisie, en marge de la 58e réunion des chefs de la diplomatie de cette organisation régionale.

Lors de la cérémonie, le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a salué une étape historique en ces termes : « C’est une immense fierté pour moi de finaliser l’adhésion de l’Algérie à ce traité. Nous remercions le gouvernement malaisien pour son accueil et les États membres de l’ASEAN pour leur soutien », rapporte algerie360.com.

Au passage notons que l’ASEAN compte dix pays membres, en l’occurrence : l’Indonésie, la Malaisie, les Philippines, Singapour, la Thaïlande, Brunei, le Vietnam, le Laos, le Myanmar (Birmanie) et le Cambodge. Quant au TAC, il recèle près d’une quarantaine de pays membres (sachant qu’avant l’Algérie, l’Egypte et le Maroc avaient déjà été admis) 

Une adhésion hautement symbolique

Pour la diplomatie algérienne, cette adhésion marque un tournant dans les relations avec l’Asie du Sud-Est. D’ailleurs, M. Attaf n’a pas manqué de rappeler que l’ASEAN représente un modèle de coopération régionale réussi, capable d’inspirer d’autres régions du monde, notamment en Afrique.

« L’ASEAN a su démontrer comment l’intégration régionale peut renforcer la stabilité, accélérer la transformation économique et favoriser la prospérité partagée », ajoute la même source.

Quid des motivations de cette adhésion algérienne ?

Le chef de la diplomatie algérienne a identifié trois raisons majeures derrière cette démarche stratégique. Il s’agit de ladmiration pour le modèle ASEAN, perçu comme une référence en matière de développement régional et de diplomatie multilatérale; le renforcement des relations bilatérales entre l’Algérie et chacun des États membres, que l’adhésion permet désormais de consolider dans un cadre multilatéral; et enfin, de lambition de dialogue structuré avec le bloc, à travers un partenariat sectoriel que l’Algérie souhaite formaliser prochainement.

Le chef de la diplomatie algérienne, Ahmed Attaf, a insisté sur le fait que l’Algérie voit en l’ASEAN un acteur international influent, avec lequel elle souhaite construire un partenariat durable et équilibré.

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Damien Cazé, Directeur général de l’Aviation civile (DGAC) française : « nous entendons signer un accord de coopération avec la Tunisie qui va permettre d’ouvrir de nouvelles perspectives ».

Rencontre avec Damien Cazé, DGAC française, en marge de la visite de travail qu’il a effectuée en Tunisie le 8 juillet 2025.

Vous avez rencontré le ministre du Transport et le directeur général de l’aviation civile tunisienne. A la lumière de cette dernière rencontre, comment se porte aujourd’hui la coopération entre la Tunisie et la France en matière d’aviation civile ?

La relation entre la France et la Tunisie est à l’image de la coopération bilatérale entre les deux pays. Elle est à la fois historiquement riche, très fournie, très cordiale, empreinte de confiance et surtout avec de beaux projets pour l’avenir. Nous avons effectivement des relations très denses, assez saisonnières pendant la période estivale mais également très régulières pendant la période hivernale.

Cela montre la densité et l’intensité des relations qui existent entre les deux pays sachant qu’il y a, à la fois, un flux de Français qui vont en Tunisie comme un flux de Tunisiens qui se rendent en France.

A mon avis, notre relation est très équilibrée. Il y a de même un équilibre en termes de relations au niveau des compagnies aériennes parce que nous avons, d’une part, les compagnies tunisiennes qui sont performantes et de l’autre côté les compagnies françaises qui sont présentes sur un créneau de la relation franco-tunisienne et elles sont autant développées en matière de flux aérien.

Quant aux deux administrations, elles ont beaucoup en commun historiquement et partagent une même vision de l’aviation dans un monde décarboné et fait de relations économiques sur un plan d’équilibre.

Les deux administrations veulent aussi renforcer leurs relations en matière de sécurité, de sûreté, de formation des pilotes et de management. Nous avons donc plein de projets en commun. C’est pour cela que nous entendons signer dans les mois qui viennent un accord de coopération entre les deux pays qui va permettre, de front, d’ancrer davantage ces avancées et d’ouvrir de nouvelles perspectives.

La Tunisie ambitionne d’atteindre la barre des 2 millions de touristes français à l’horizon 2030, ce qui augmentera les besoins en capacités aériennes, en slots au départ notamment des deux principaux aéroports parisiens et probablement aussi à une révision des accords aériens actuels. Quel est votre point de vue sur le sujet ?

Nous sommes tout à fait d’accord pour développer le tourisme et le flux aérien avec la Tunisie. Nous ferons tout pour accompagner ce projet des Tunisiens avec une relation équilibrée dans notre accord aérien.

Nous sommes évidemment à la disposition de la partie tunisienne pour permettre cette évolution équilibrée. Après, il y a des règles qui sont propres à la répartition des créneaux et aux aéroports de Charles de Gaulle et d’Orly.

Il faudrait donc que ce développement s’inscrive dans ces règles de droit qui ne peuvent pas aller à l’encontre des droits historiques des autres compagnies. Nous espérons également que les compagnies tunisiennes reprennent une part importante de ce marché mais aussi que les compagnies françaises puissent avoir un accroissement de ce flux entre les deux pays.

C’est non seulement une possibilité mais un vrai enthousiasme pour la partie française.

On évoque souvent la saturation du ciel qui provoque des perturbations dans la gestion du trafic aérien. En tant que régulateur, qu’est-ce qui est entrepris notamment par la DGAC française pour atténuer les conséquences de cette situation, je pense notamment à l’impact sur les vols entre la France et la Tunisie ?

L’encombrement du ciel est mécanique et il est dû au développement du trafic, surtout aux moments de pointe. Ce qui fait que nous avons un encombrement des avions étant donné que nous ne pouvons pas avoir un nombre infini d’avions dans l’espace ; et en même temps, nous devons avoir les moyens au sol permettant de gérer ce trafic.

C’est vrai que nous avons un encombrement notamment dans le ciel européen que l’on peut constater aux moments de pointe, notamment le vendredi soir, les dimanches tard et pendant les jours de grands départs, auxquels on ajoute des conditions météorologiques dégradées que nous voyons de plus en plus souvent en Europe.

Cette situation crée, certes, des difficultés. En outre, il y a d’autres aléas comme les pannes techniques et les conflits sociaux, ce qui rend la vie de plus en plus difficile pour les compagnies aériennes et les passagers.

Pour cette raison, nous devons nous moderniser, renforcer nos effectifs et imaginer des voies nouvelles pour faire passer ce trafic. C’est ce que nous faisons d’ailleurs en Europe avec Eurocontrol et c’est ce que nous voulons faire également avec les DGAC française et tunisienne.

En matière d’aviation civile de manière générale, quels sont selon vous les nouveaux enjeux prioritaires pour les Etats mais aussi pour les compagnies aériennes : la décarbonation ? La sûreté et la sécurité ?

La sécurité est un impératif absolu. Dernièrement, nous avons eu encore cet événement très triste d’Air India qui impose de se poser toujours des questions et de se remettre constamment en cause.

Toutefois, je sais que les avionneurs, les administrations et les compagnies sont très mobilisés car c’est un vrai défi qu’il ne faut jamais oublier.

Le deuxième défi est la décarbonation. On ne doit pas se payer des maux et attendre 2050 pour voir une aviation totalement décarbonée. Il faut déjà montrer des progrès.

Nous le constatons avec les nouveaux avions, les carburants d’aviation durables et les nouvelles façons plus économes de piloter les avions.

Il y a, par ailleurs, d’autres défis, notamment en matière de sûreté. La menace croît et il faut toujours se mobiliser pour ne pas se laisser distancer par cette menace. Il y a de nouvelles technologies qui vont sortir. Nous devons se les approprier et les développer davantage.

Il y a, enfin, la connectivité où il y a de plus en plus de la concurrence qui est plutôt bonne dans un monde libéral auquel nous croyons. La concurrence est toujours un défi et une opportunité pour se remettre en question et pour aller conquérir de nouveaux marchés.

En fait, des concurrents vont venir et d’autres qui sont déjà là. Nous tenons, en revanche, à ce qu’ils respectent un niveau d’égalité de traitement entre les compagnies aériennes européennes et d’autres parties du monde.

Je crois que nous sommes prêts à relever ce défi et que nous sommes assez alignés avec la partie tunisienne là-dessus et notamment avec l’OACI (Organisation de l’aviation civile internationale) pour faire en sorte que cette concurrence soit loyale.

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Tunisie–Égypte : vers des actions concrètes dans le domaine de la santé

Un entretien a eu lieu lundi 23 juin 2025 entre le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, et son homologue égyptien, Khaled Abdel Ghaffar, également vice-président du Conseil des ministres. La rencontre s’est tenue dans le cadre du renforcement des relations entre la Tunisie et l’Égypte.

Cette rencontre s’inscrit dans la continuité des orientations des présidents Kaïs Saïed et Abdel Fattah al-Sissi. L’objectif était de développer la coopération dans plusieurs domaines prioritaires liés à la santé.

Les discussions ont porté sur l’industrie pharmaceutique, le tourisme médical et les soins de rééducation. Les deux parties ont également évoqué le partage d’expériences et la collaboration technique et scientifique.

Les ministres ont exprimé leur volonté de traduire les relations solides entre leurs pays en actions concrètes. Ils ont souligné l’importance d’améliorer les services de santé et de garantir un meilleur accès aux soins.

Cette rencontre marque une étape vers un partenariat plus structuré. Elle reflète un engagement commun en faveur du développement des systèmes de santé en Tunisie et en Égypte.

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Tunisie : Opérations gratuites de la cataracte pour les catégories vulnérables

Le ministère de la Santé a annoncé qu’il organisera, le samedi 21 juin 2025, des interventions chirurgicales gratuites de la cataracte au profit des populations vulnérables, et ce dans les établissements hospitaliers répartis sur l’ensemble des gouvernorats du pays.

Dans un communiqué publié à cette occasion, le ministère précise que cette initiative s’inscrit dans le cadre de la première Journée nationale de la santé oculaire. Elle est organisée en partenariat avec l’association « One Day One Dream », en collaboration avec les établissements de santé publics et privés à travers tout le territoire national.

La cataracte est une pathologie oculaire fréquente, en particulier chez les personnes âgées. Elle se caractérise par l’opacification progressive du cristallin, la lentille naturelle de l’œil, ce qui entraîne une baisse de la vision. Les personnes atteintes de cataracte peuvent ressentir une vision floue, une sensibilité accrue à la lumière ou encore une altération des couleurs.

Si elle n’est pas traitée, la cataracte peut entraîner une perte sévère de la vision, voire la cécité. Heureusement, une intervention chirurgicale simple et rapide permet de remplacer le cristallin opacifié par une lentille artificielle, rétablissant ainsi la vision de manière significative. C’est l’une des opérations les plus pratiquées dans le monde, avec un taux de réussite très élevé.

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