Le ministre de la Défense nationale, Khaled Sehili, a présidé, lundi soir à l’École de l’Aviation de Borj El Amri, la cérémonie de clôture de l’année universitaire 2024-2025 et de remise des diplômes aux officiers de la promotion baptisée « Hammouda Pacha ».

Dans son allocution prononcée à cette occasion, le ministre a adressé ses félicitations à l’ensemble des officiers diplômés ainsi qu’à leurs familles, leur souhaitant plein succès et épanouissement dans leur parcours professionnel.

Il a exprimé sa satisfaction quant aux excellents résultats obtenus, fruit de l’implication de toutes les parties prenantes dans le processus éducatif, marqué par l’engagement, le sérieux et la rigueur, selon un communiqué publié mardi par le ministère de la Défense.

Le ministre a également remercié les responsables de l’institution pour les efforts fournis en matière de formation, de développement des compétences et de promotion des valeurs militaires nobles.

Il a souligné que l’École de l’Aviation de Borj El Amri atteint chaque année un haut niveau de professionnalisme et de qualité de formation, grâce à son ouverture sur son environnement et à ses efforts continus pour renforcer la coopération dans les domaines de la formation et de la recherche scientifique en aéronautique et en aérospatiale avec des institutions, écoles et centres de recherche de pays frères et amis.

À l’issue de la cérémonie, le ministre a remis des prix aux officiers et élèves-officiers les plus méritants. Il a également pris connaissance des projets de fin d’études des diplômés, les encourageant à poursuivre leurs efforts pour approfondir leurs compétences et élargir leurs connaissances dans les domaines militaires et techniques liés à leurs spécialités.

La cérémonie s’est déroulée en présence du ministre du Transport, du gouverneur de la Manouba, du chef d’état-major de l’armée de l’air, ainsi que de plusieurs hauts cadres du ministère. Elle a été marquée par des défilés militaires assurés par les élèves de l’école.

Le ministre de la Défense nationale, Khaled Sehili, a présidé, lundi soir à l’École de l’Aviation de Borj El Amri, la cérémonie de clôture de l’année universitaire 2024-2025 et de remise des diplômes aux officiers de la promotion baptisée « Hammouda Pacha ».
Dans son allocution prononcée à cette occasion, le ministre a adressé ses félicitations à l’ensemble des officiers diplômés ainsi qu’à leurs familles, leur souhaitant plein succès et épanouissement dans leur parcours professionnel.
Il a exprimé sa satisfaction quant aux excellents résultats obtenus, fruit de l’implication de toutes les parties prenantes dans le processus éducatif, marqué par l’engagement, le sérieux et la rigueur, selon un communiqué publié mardi par le ministère de la Défense.
Le ministre a également remercié les responsables de l’institution pour les efforts fournis en matière de formation, de développement des compétences et de promotion des valeurs militaires nobles.
Il a souligné que l’École de l’Aviation de Borj El Amri atteint chaque année un haut niveau de professionnalisme et de qualité de formation, grâce à son ouverture sur son environnement et à ses efforts continus pour renforcer la coopération dans les domaines de la formation et de la recherche scientifique en aéronautique et en aérospatiale avec des institutions, écoles et centres de recherche de pays frères et amis.
À l’issue de la cérémonie, le ministre a remis des prix aux officiers et élèves-officiers les plus méritants. Il a également pris connaissance des projets de fin d’études des diplômés, les encourageant à poursuivre leurs efforts pour approfondir leurs compétences et élargir leurs connaissances dans les domaines militaires et techniques liés à leurs spécialités.
La cérémonie s’est déroulée en présence du ministre du Transport, du gouverneur de la Manouba, du chef d’état-major de l’armée de l’air, ainsi que de plusieurs hauts cadres du ministère. Elle a été marquée par des défilés militaires assurés par les élèves de l’école.

Hassen Doss, Mostatha Fetiti, Lotfi Bouchnak, Mohamed Jebali, Zied Garsa sont à l’affiche du Festival international de Sousse 2025 avec une programmation de vingt-cinq spectacles- dont trois étrangers, dans divers genres artistiques, alliant musique, théâtre et cinéma.
Le Festival international de Sousse qu’abrite annuellement le théâtre de plein air de Sidi Thaher de Sousse sera organisé dans sa 66ème édition qui démarrera ce vendredi 18 juillet et se poursuivra jusqu’au vendredi 15 août 2025.
Dévoilé, ce lundi 14 juillet 2022 au cours d’un point de presse à Sousse, la programmation de cette nouvelle édition est majoritairement tunisienne avec trois spectacles étrangers représentant la Libye, la Syrie et l’Autriche.
Le comité directeur du festival a annoncé la participation d’une troupe de malouf venant de la ville de tripoli en Libye, les Qodoud alépins (Syrie) et une troupe autrichienne, « Haezz », qui se produira dans un spectacle soutenu par l’ambassade d’Autriche en Tunisie.

Place au théâtre (pièce et one-man-show) avec cinq soirées dont Big Bossa de Wajiha Jendoubi, « Tounsi w Noss » de Nabil Kleb, « Rakset Sama », une production du Théâtre national mise en scène par Taher Issa Belarbi, « El Maestro » de Bassem Hamraoui et « Shayen tounsi » de Jako.

Organisé par l’association du festival international de Sousse, ce festival est soutenu par le ministère des Affaires culturelles et la municipalité de Sousse.
Ci-près la liste complète des spectacles au programme du 66ème Festival international de Sousse :
Vendredi 18 Juillet : Spectacle musical « Maqam el ochak » de Khaled Slama & Mouldi Hassine
Samedi 19 Juillet : « La musique tunisienne authentique » d’Anis Ltaief
Dimanche 20 Juillet : Spectacle de chansons BD par « Ocelosia »
Lundi 21 Juillet : «Big Bossa” One-Woman-Show de Wajiha Jendoubi
Mardi 22 Juillet : Spectacle en duo « YUMA »
Jeudi 24 Juillet : Soirée musicale tunisienne en partenariat avec la Radio Jawhara FM (Sousse)
Lundi 28 Juillet : Le chanteur Mohamed Jebali
Mardi 29 Juillet : Troupe Maqam el Malouf de Tripoli (Libye)
Mercredi 30 Juillet : Film « Sahbek Rajel »
Jeudi 31 Juillet : Spectacle de musique soufie « Ettakhmira » de Mourad Bacha
Vendredi 1er Août : Pièce « Tounssi w noss « de Nabil Kleb
Samedi 02 Août : « Mahomcht ashabi » du trio Hamouda Fallah, Afef Salem & Aymen Ghezal
Dimanche 03 Août : Spectacle « Yalla Soussa Tghanni » sous la direction du maestro Qotaiba Rahali
Lundi 04 Août : Pièce « Rakset Sama » mise en scène par Taher Issa Belarbi (production du Théâtre national tunisien)
Mardi 05 Août : Soirée des Qodoud alépins (Syrie)
Mercredi 06 Août : « Ochak Ettarab » d’Abdelkrim Basti
Jeudi 07 Août : « El Maestro » de Bassem Hamraoui
Vendredi 08 Août : Troupe « Haezz » (Autriche)
Samedi 09 Août : L’artiste Zied Garsa
Dimanche 10 Août : L’artiste Hassan Doss
Lundi 11 Août : Le chanteur Lotfi Bouchnak
Mardi 12 Août : Pièce « Shayen Tounsi» de Jaco
Mercredi 13 Août : « Centifolia, Ghnaya Lik » avec la participation de Rafik Gharbi, Lilia Ben Chikha & Maysoun Fatnassi
Jeudi 14 Août : Le chanteur Mostatha Fetiti
Vendredi 15 Août : La Troupe de la Rachidia de Sousse avec la participation de Hamdi Chalghmi
La Presse avec Tap

Les unités de la protection civile de Ben Arous sont parvenues à maîtriser un incendie qui s’est déclaré, ce mardi après-midi, au niveau du carrefour de la Judéité, en direction de la zone Mornag 1, dans le gouvernorat de Ben Arous, selon les déclarations d’Amel Manaâ, secrétaire générale de la municipalité de Fouchana.
Dans une déclaration à l’agence TAP, Manaâ a précisé que l’incendie, survenu vers 14h, aurait été causé par l’explosion d’un transformateur électrique situé sur les lieux. Le sinistre a entraîné un important dégagement de fumée, sans provoquer, selon les premières constatations, de pertes humaines ou de dégâts matériels.
L’agence TAP n’a pas pu obtenir, dans l’immédiat, de précisions complémentaires de la part de la protection civile.

La municipalité de Monastir a conclu, mardi, un contrat avec le bureau d’études retenu dans le cadre du second appel d’offres relatif au projet de réhabilitation de la médina, a indiqué Wafa Kandouz, directrice du service technique municipal.

Le coût global des études s’élève à 381 mille dinars. Celles-ci porteront, dans un premier temps, sur deux volets du projet : les réseaux des intervenants publics, ainsi que l’aménagement des espaces publics, des ruelles et des places. Les travaux d’étude débuteront dès la signature du contrat et devront être achevés dans un délai de 150 jours, hors période de validation administrative.

Le projet de réhabilitation de la médina de Monastir comprend cinq composantes principales. Outre les deux premières, il vise à valoriser les biens fonciers municipaux en y implantant des projets culturels, à renforcer la dynamique culturelle et économique locale, et à améliorer l’habitat dans une vision globale de préservation et de revitalisation du tissu urbain ancien. L’achèvement total du projet est prévu pour mai 2027.

Dans le cadre de cette initiative, la municipalité mettra à disposition de la délégation régionale de l’artisanat un local destiné à abriter la « Maison de l’Artisan Créatif », dont le financement a été partiellement assuré par ladite délégation. D’autres biens communaux seront consacrés à des projets culturels, à l’instar du futur centre municipal de musique méditerranéenne et d’un espace dédié à la musique traditionnelle “Rachidia”.

« Il s’agit d’un projet ambitieux, qui intègre une approche durable, notamment en matière d’économie d’énergie, de collecte des eaux pluviales, de végétalisation des espaces, ainsi que d’embellissement des façades dans une logique de piétonnisation respectueuse du caractère patrimonial de la médina », a précisé Kandouz.

Le premier appel d’offres lancé en décembre 2024 n’avait pas abouti. Le dossier a été soumis à la Commission supérieure des marchés relevant de la présidence du gouvernement, qui a validé l’attribution fin avril 2025, permettant ainsi d’engager les procédures administratives de contractualisation.

La municipalité de Monastir fait partie des dix communes tunisiennes lauréates du concours de réhabilitation des centres urbains anciens, organisé par le ministère de l’Équipement et de l’Habitat. Elle a bénéficié à ce titre d’une subvention de 4,892 millions de dinars pour la mise en œuvre de son projet.

Le processus avait été amorcé dès 2020 avec une première phase de diagnostic et de définition de la vision stratégique. En 2021, un dossier détaillé portant sur la durabilité du projet a été élaboré en collaboration avec les parties prenantes, dont la délégation régionale de l’Office national de l’artisanat et plusieurs associations locales. Les premières conventions ont été signées en 2022.

En 2023, les bailleurs de fonds – l’État tunisien, la Banque européenne d’investissement (BEI) et l’Agence française de développement (AFD) – ont organisé des sessions de formation sur la préparation des nouveaux cahiers des charges. Le premier appel d’offres lancé cette même année s’étant révélé infructueux pour Monastir et les autres communes concernées, les cahiers ont été révisés, aboutissant à un second appel d’offres fructueux.

Une convention de coopération a été conclue, le 14 juillet 2025, entre le Conseil du Marché Financier (CMF) et le Centre National du Registre des Entreprises (CNRE), selon un communiqué conjoint publié par les deux institutions.
Cet accord vise à établir un cadre opérationnel pour l’échange d’informations et de données, afin de renforcer les exigences de diligence et les mécanismes de contrôle, notamment en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Il permettra également de garantir la conformité des entités soumises au contrôle du CMF aux dispositions de la loi relative au Registre national des entreprises, notamment en ce qui concerne l’immatriculation et la mise à jour des données.
La convention prévoit également l’organisation de sessions de formation au profit des cadres des deux institutions, dans le but de renforcer leurs compétences respectives.
Cette initiative s’inscrit dans une approche collaborative visant à promouvoir la transparence financière et à garantir l’intégrité des opérations, tout en consolidant la confiance du public dans les fondamentaux du marché financier tunisien. Elle affirme, par ailleurs, le rôle du Registre national des entreprises en tant que source fiable et incontournable de données économiques et juridiques.
La convention a été signée au siège du CMF par Hatem Smiri, président délégué du Collège du Conseil du Marché Financier, et Mohamed Adel Chouari, directeur général du Centre national du registre des entreprises, en présence de plusieurs cadres des deux institutions. Elle s’inscrit dans le cadre du renforcement du partenariat entre les institutions nationales et de la consécration des principes de transparence et d’efficacité dans la régulation du marché financier.

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a présidé, mardi, une réunion de travail au siège du ministère consacrée à l’examen du programme de restructuration de la Société Tunisienne de Transport des Produits Miniers (STTPM).
La réunion s’est tenue en présence du directeur général de la STTPM, Makram Saïdia, du président-directeur général de la Compagnie des Phosphates de Gafsa (CPG), Abdelkader Amaydi, ainsi que de plusieurs hauts cadres du ministère.
Les participants ont passé en revue la situation actuelle de la STTPM, soulignant les principaux défis auxquels fait face l’entreprise, en particulier la faiblesse des capacités logistiques et la vétusté du parc roulant. La nécessité de moderniser les équipements de transport a été soulignée comme un préalable essentiel pour accompagner l’évolution attendue du rythme de production du phosphate au cours des prochaines années.
Différents scénarios de restructuration ont été évoqués dans l’objectif d’améliorer la performance globale de l’entreprise, de renforcer la qualité de ses prestations et d’assurer sa pérennité à moyen et long terme.
La ministre a insisté sur l’importance de cette restructuration en tant qu’étape stratégique pour aligner les capacités logistiques sur les exigences du marché. Elle a appelé à l’accélération de la mise en œuvre du programme de réforme et à la mobilisation des investissements nécessaires pour développer le système de transport, de manière à soutenir le rythme de production et les objectifs d’exportation de la CPG.
Fatma Thabet Chiboub a également souligné la nécessité de lever les obstacles opérationnels et organisationnels, tout en veillant à préserver l’équilibre social à travers la valorisation des compétences, le renforcement de la formation et l’accompagnement des agents.
Créée le 21 juillet 2011, la Société Tunisienne de Transport des Produits Miniers (STTPM) emploie actuellement 1 143 agents.

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu, mardi, le représentant régional de la Banque européenne d’investissement (BEI) pour la Tunisie, Jean-Luc Réverault, à l’occasion de la fin de sa mission dans le pays.
À cette occasion, le ministre a salué la contribution de la BEI au développement économique de la Tunisie, notamment à travers le financement de projets dans des secteurs stratégiques tels que les transports, l’énergie, l’éducation, les infrastructures et les petites et moyennes entreprises (PME). Il a également exprimé sa reconnaissance pour le soutien apporté aux structures et entreprises nationales.
De son côté, Jean-Luc Réverault a réaffirmé l’engagement de la BEI à accompagner la Tunisie, dans le respect de ses choix socio-économiques et de ses priorités nationales.
En 2024, la BEI a alloué 415 millions d’euros à la Tunisie pour le financement de projets stratégiques.
Dans une récente interview accordée à l’agence TAP, Réverault a indiqué que la future politique de coopération entre la BEI et la Tunisie sera étroitement alignée sur les priorités définies dans le cadre du plan de développement quinquennal 2026-2030.

L’accélération de la réalisation des mégaprojets et des projets stratégiques prioritaires dans les secteurs de la santé, du transport, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a été au centre de la 5ᵉ réunion périodique de la Commission des mégaprojets, présidée mardi au Palais de la Kasbah par la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri.
Selon un communiqué de la présidence du gouvernement, la réunion a permis de faire le point sur l’état d’avancement de ces projets et d’examiner les solutions proposées pour surmonter les difficultés rencontrées.
À cette occasion, la commission a recommandé la relance immédiate des travaux de l’hôpital régional de catégorie « B » de Sbeïtla (gouvernorat de Kasserine), suite à la sélection de l’entrepreneur chargé de finaliser le chantier d’ici la fin de l’année. Elle a également validé la relance des travaux du projet de l’École nationale d’ingénieurs de Bizerte, en désignant l’entreprise de travaux publics qui devra achever le projet au cours du premier trimestre 2026.
Par ailleurs, la commission a appelé au lancement des procédures de l’appel d’offres relatif à la réalisation du port en eau profonde et de la zone logistique d’Enfidha, en veillant au respect des standards internationaux.
La cheffe du gouvernement a, de son côté, insisté sur la nécessité d’achever tous les projets publics programmés dans les délais impartis, en vue de favoriser le développement régional, stimuler la croissance économique et assurer la justice sociale. Elle a également souligné l’importance de ces projets pour dynamiser l’investissement et créer des opportunités d’emploi.
Sarra Zaafrani Zenzri a rappelé que l’ensemble des structures publiques – qu’elles soient centrales, régionales ou locales – doivent être au service du citoyen et s’engager à résoudre toutes les problématiques rencontrées par les citoyens et les investisseurs.
La présidence du gouvernement a, par ailleurs, mis en avant l’opérationnalisation du portail national « e-people » (https://www.e-people.gov.tn), qui permet aux citoyens de signaler les difficultés de communication avec l’administration. D’autres canaux sont également disponibles : la ligne téléphonique simplifiée 1860 et les adresses électroniques boc@pm.gov.tn et bcrc@pm.gov.tn.

L’Institut national de la météorologie (INM) a annoncé, mardi, l’apparition de cellules orageuses localisées, accompagnées de pluies, sur les régions de l’ouest du centre et du sud du pays, au cours de l’après-midi et en début de soirée.

Dans le reste du pays, le ciel restera généralement dégagé à peu nuageux. Les températures varieront entre 24 et 29 degrés dans les régions du nord, du centre et du sud-est, et entre 30 et 34 degrés ailleurs, atteignant localement 36 degrés dans le sud-ouest.

Les avions, les voitures et le vin sont au cœur de la liste dressée par la Commission européenne en réponse aux droits de douane que le président américain Donald Trump a menacé d’imposer, a rapporté l’Agence France-Presse ce mardi.

Le Wall Street Journal a révélé que l’Union européenne préparait une nouvelle liste de produits américains, allant des avions aux boissons alcoolisées, en passant par le café et les dispositifs médicaux, pour leur imposer des droits de douane « de rétorsion » si aucun accord commercial n’était trouvé d’ici la date limite fixée par le président américain Donald Trump au 1er août prochain.

Selon le journal, les responsables de l’Union européenne ont dévoilé cette liste après que la dernière menace de Trump d’imposer des droits de douane durant le week-end ait suscité une large controverse.

La liste comprend des importations industrielles d’une valeur d’environ 77 milliards de dollars, notamment des avions, des machines, des produits automobiles, des produits chimiques et plastiques, ainsi que des dispositifs médicaux. Elle inclut également des produits agricoles et alimentaires d’une valeur d’environ 7 milliards de dollars, tels que les fruits, les légumes, le vin et les « spiritueux ».

Les responsables européens discutent de l’opportunité de prendre des mesures supplémentaires qui pourraient imposer des droits ou d’autres restrictions sur les services américains, et pas seulement sur les biens physiques, selon le journal.

Il est rappelé que Trump avait adressé un message à l’Union, menaçant d’imposer des droits de douane généralisés de 30 % sur les importations européennes à partir du 1er août.

Le Groupe Chimique Tunisien (GCT) est devenu la première entreprise publique tunisienne à procéder à la titularisation de ses employés sous-traités, marquant ainsi une avancée majeure dans la mise en œuvre de la loi n°09-2025 du 21 mai 2025, qui interdit le recours à la sous-traitance de main-d’œuvre dans le secteur public.
Dans un communiqué publié le 12 juillet, le GCT a annoncé l’intégration officielle de 47 ouvriers de son site de Mdhilla 1, aux côtés des 316 salariés déjà en poste. Ces travailleurs deviennent ainsi les premiers à bénéficier d’un statut permanent dans une entreprise publique, en vertu de la nouvelle législation sur le travail.
Cette démarche pionnière s’inscrit dans une dynamique de responsabilité sociale, portée par la volonté du groupe de moderniser sa gestion des ressources humaines et de renforcer les droits des travailleurs. Le GCT a précisé que d’autres dossiers sont actuellement à l’étude, au cas par cas, en fonction des critères établis, et d’éventuelles nouvelles titularisations ne sont pas à exclure.
Ce mouvement intervient alors que d’autres entreprises publiques, à l’instar de Tunisie Telecom, annoncent également la régularisation progressive de leurs agents sous-traités. Le secteur privé, de son côté, commence à s’aligner sur le nouveau cadre légal, certaines entreprises ayant amorcé l’intégration de leurs contractuels dès juillet 2025.
Par cette initiative, le GCT renforce son image d’entreprise publique engagée et responsable, en phase avec les nouvelles orientations sociales et législatives du pays.

Plusieurs habitants de la région de Saheb Djebel, relevant de la délégation d’El Haouaria (gouvernorat de Nabeul), ont organisé, ce mardi, un rassemblement de protestation devant une usine de transformation de tomates, pour dénoncer la détérioration croissante de l’environnement dans leur localité.
Les manifestants ont exprimé leur ras-le-bol face aux décharges sauvages, à l’accumulation de déchets, ainsi qu’aux émissions industrielles polluantes, qu’ils jugent responsables de nuisances sanitaires et écologiques graves. Des slogans tels que “Saheb Djebel appelle à l’aide : sauvez-nous, la pollution nous tue” ont été scandés au cours de la mobilisation.
Les habitants réclament des solutions durables pour la gestion des eaux industrielles usées, actuellement déversées dans l’oued Sayyadi, en direction de Tannara Sidi Daoud et de la mer. Ils appellent le ministère de l’Agriculture à répondre à une demande antérieure de l’exploitant de l’usine, visant à traiter ces eaux polluées afin de les réutiliser pour irriguer des cultures fourragères dans la région d’Arouret, selon les déclarations du militant associatif Ezzedine Ben Faraj à Diwan FM.
Face à l’urgence environnementale, le Conseil local de développement d’El Haouaria a lancé un appel à la gouverneure de Nabeul pour une intervention rapide et une écoute des revendications citoyennes.

Un homme d’une soixantaine d’années est décédé ce mardi après avoir chuté du premier étage d’un immeuble situé en plein centre-ville de Sfax, a indiqué une source de la Protection civile.
La victime a été grièvement blessée à la tête lors de la chute. Elle a été transportée d’urgence à l’hôpital Habib Bourguiba de Sfax, où elle est décédée peu après son arrivée, selon la même source.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes du drame.

Un séisme de magnitude 4,7 sur l’échelle de Richter a frappé, ce mardi, le village d’Amiriyeh, situé dans la ville de Shahrud, dans la province de Semnan, à l’est de Téhéran, dans le nord de l’Iran.
Selon le Centre de sismologie de l’Université de Téhéran, la secousse s’est produite à 10 kilomètres de profondeur, à la latitude 35,56° et longitude 54,80°. Aucun dégât matériel ni victime n’a été signalé à ce stade.
L’Iran, traversé par plusieurs failles sismiques majeures, est régulièrement exposé à des tremblements de terre. Le plus meurtrier de son histoire récente remonte à 1990, lorsqu’un séisme de magnitude 7,7 avait frappé le nord-ouest du pays, causant 37 000 morts et 100 000 blessés.
Les autorités restent en alerte, même si aucune réplique significative n’a été enregistrée.

Les exportations tunisiennes d’huile d’olive ont enregistré une hausse notable de 35,9 % en volume entre novembre 2024 et fin juin 2025, atteignant 224 600 tonnes, contre 165 200 tonnes durant la même période de la campagne précédente (2023/2024), selon les données publiées ce mardi par l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI).
Malgré cette performance en volume, la valeur des exportations a reculé de 31 %, s’établissant à 3,030 milliards de dinars à fin juin 2025, contre 4,391 milliards un an plus tôt. Ce repli s’explique par la chute significative du prix moyen à l’export, qui a baissé de 49,1 % en juin, variant entre 6,8 et 17,8 dinars le kilogramme.
L’huile d’olive conditionnée ne représente encore que 13,6 % des volumes exportés, malgré une légère progression de 12,3 % par rapport à la saison précédente. L’essentiel des exportations (soit 86,4 %) a été effectué en vrac. Par ailleurs, 80,8 % des huiles exportées étaient classées comme vierges extra.
Concernant les recettes, 80,3 % proviennent des exportations d’huile en vrac, contre 19,7 % pour l’huile conditionnée.
Le marché européen reste le principal débouché pour l’huile tunisienne, absorbant 57,1 % des ventes, devant l’Amérique du Nord (27,9 %) et l’Afrique (9,6 %). L’Italie se positionne comme premier client avec une part de 27,4 % des exportations totales.
S’agissant de l’huile d’olive biologique, les exportations ont atteint 45 000 tonnes, générant des recettes de 610,8 millions de dinars. Toutefois, l’huile biologique conditionnée ne représente que 6 % de ce volume.

La première session du programme de coopération tripartite intitulé “Cardiologie pour l’Afrique” s’est achevée à l’hôpital La Rabta, à Tunis, après quatre journées intenses de formation médicale avancée. Ce programme est mis en œuvre par le ministère tunisien de la Santé, en partenariat avec l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA).

Treize cardiologues originaires de sept pays africains francophones ont participé à cette formation spécialisée, encadrée par des experts tunisiens et japonais. La direction scientifique a été assurée par le Dr Mohamed Sami Mourali, chef du service de cardiologie à l’hôpital La Rabta, et le Dr Shigeru Saito, directeur des laboratoires de cardiologie interventionnelle de l’hôpital général de Shonan Kamakura, au Japon.

Les participants ont été initiés à des techniques de pointe, dont la valvuloplastie mitrale percutanée par ballon, une procédure japonaise innovante. Des interventions en direct ont permis aux médecins d’observer et d’appliquer concrètement les connaissances acquises, renforçant ainsi leurs compétences cliniques dans le traitement des pathologies cardiaques.

Ce programme, soutenu par la Tunisie et le Japon, vise à renforcer les capacités des cardiologues africains tout en valorisant l’expertise médicale tunisienne dans le domaine cardiovasculaire. Deux sessions supplémentaires sont d’ores et déjà prévues pour 2026 et 2027, marquant ainsi une étape clé dans le développement des compétences médicales en Afrique.

Selon les organisateurs, cette initiative illustre parfaitement les bénéfices de la coopération Sud-Sud-Nord, au service d’une meilleure prise en charge des maladies cardiovasculaires sur le continent.

La municipalité de Gabès poursuit, avec le soutien des autorités régionales, un vaste programme de propreté et de réaménagement urbain visant à améliorer le cadre de vie des citoyens. Cette initiative est appuyée par la direction régionale de l’équipement et de l’habitat, la délégation régionale de l’agriculture, la Société de l’Environnement, de Plantation et de Jardinage, ainsi que plusieurs municipalités voisines.
Les campagnes de nettoyage menées ces dernières semaines ont permis d’éliminer de nombreux points noirs dans différents quartiers de la ville, selon Mohamed Cherif Taher, secrétaire général chargé de la gestion des affaires municipales, interrogé par l’agence TAP.
Parmi les projets réalisés, figure l’entretien de la corniche de Gabès. Les travaux ont porté sur la réhabilitation du mur séparant la corniche de la plage, l’installation de barrières en béton pour interdire l’accès aux véhicules motorisés, ainsi que l’aménagement du site avec des bancs publics et des poubelles de petite taille.
La municipalité a également entrepris le réaménagement du carrefour de Sidi Boulbaba et de la place du quartier administratif voisin. Des bancs et des corbeilles en bois y ont été installés pour renforcer l’aspect esthétique et fonctionnel des lieux. Des interventions similaires ont eu lieu à la place Zrig, dans le sud de Gabès, et aux abords du mausolée de Sidi Abou Loubaba Al-Ansari.
Dans le cadre de ses efforts en faveur des espaces verts, la municipalité prévoit prochainement le lancement des travaux de réhabilitation du jardin de Sidi Boulbaba, situé sur la route de Matmata. L’objectif est de transformer cet espace en un lieu de détente agréable et accessible à tous.

Le Stade Tunisien a annoncé ce mardi la signature de l’attaquant Amine Khemissi pour une durée de cinq saisons.
Âgé de 24 ans, Amine Khemissi évolue au poste d’avant-centre et a précédemment porté les couleurs de la Jeunesse de Manouba.
Lors de ce mercato estival, le Stade Tunisien a déjà renforcé son effectif avec plusieurs recrues, notamment Abderrahmane Hanchi, Firas Aïfia, Hosni Kazmir, Nourddine Farhati et Elyes Jelassi. Le club a également renouvelé et prolongé les contrats de Marouane Sahraoui et Wael Ourghemi.