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Le Trésor américain annonce un excédent surprise

Les gains du Trésor américain sont en grande partie dus aux hausses de tarifs douaniers du président Donald Trump. Lesquels ont poussé les recettes douanières à des niveaux records.

Les Etats-Unis ont enregistré un excédent budgétaire surprise en juin, grâce à une forte augmentation des droits de douane dans le cadre des hausses de tarifs douaniers décidées par Donald Trump. C’est ce qu’a annoncé le Trésor dans un rapport mensuel publié samedi 12 juillet.

Le rapport fait état d’un excédent d’un peu plus de 27 milliards de dollars le mois dernier, après un déficit de plus de 300 milliards de dollars en mai. Cette hausse est en grande partie due aux droits de douane mis en place par Trump depuis avril.

En effet, depuis le début de l’exercice budgétaire en octobre 2024, le total des recettes douanières américaines a dépassé les 113 milliards de dollars. Soit près du double par rapport à 2024.

Commentant le rapport, le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, a déclaré que le pays « récoltait les fruits » de la campagne tarifaire de Trump.

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L’industrie allemande s’inquiète des tarifs douaniers de Trump

Outre le gouvernement, des représentants de l’économie et de l’industrie en Allemagne expriment leur inquiétude face à l’imposition de droits de douane supplémentaires par le gouvernement américain sur les produits européens. Ils évoquent un « risque existentiel » et appellent l’Union européenne à réduire sa dépendance vis-à-vis des États-Unis. Les économistes, quant à eux, espèrent que Washington fera marche arrière.

La Fédération des industries allemandes (BDI) a qualifié samedi 12 juillet cette mesure de « signal d’alarme » pour l’industrie des deux côtés de l’Atlantique. « Un conflit commercial entre deux espaces économiques aussi étroitement liés que l’UE et les États-Unis nuirait à la reprise économique, aux forces d’innovation et, à terme, à la confiance dans la coopération internationale ». Ainsi a averti Wolfgang Niedermark, membre du conseil d’administration de la BDI, dans un communiqué. Il a souligné que « les quelques semaines restantes avant l’entrée en vigueur des droits de douane le 1er août doivent être mises à profit pour des négociations d’égal à égal », les États-Unis étant le principal partenaire commercial de l’Allemagne.

L’annonce par Donald Trump de droits de douane de 30 % est « un élément bien préparé de la stratégie de négociation du président américain. L’Europe ne doit pas se laisser impressionner, mais plutôt rechercher une solution à la table des négociations sur un pied d’égalité ». C’est ce qu’a déclaré le président de l’association des exportateurs allemands, Dirk Jandura. L’Europe doit limiter sa dépendance au marché américain. « Une zone de libre-échange avec les États de l’ASEAN et la ratification rapide du Mercosur sont essentielles », a-t-il ajouté.

Dans le même esprit, la Chambre de commerce et d’industrie allemande (DIHK) a appelé à un accord global entre l’UE et les États-Unis couvrant tous les secteurs. « Nos entreprises ont besoin de perspectives claires et fiables pour leurs relations commerciales et d’investissement avec notre principal partenaire économique. Seul un accord solide peut restaurer la prévisibilité et la fiabilité. Cet accord doit ensuite s’appliquer à tous les secteurs et exclure toute action sectorielle », indique Reuters Volker Trier, directeur du commerce extérieur de la DIHK.

« Les droits de douane pourraient menacer l’existence de nombreuses entreprises », a déclaré Hildegard Müller, présidente de l’Association allemande de l’industrie automobile (VDA), à l’ARD. Elle a ajouté : « Il est regrettable qu’une nouvelle escalade du conflit commercial soit imminente. Les coûts pour nos entreprises se chiffrent déjà en milliards, et ce montant augmente chaque jour ». Parallèlement, les équipementiers automobiles sont déjà fortement touchés par les droits de douane sur les marchandises en provenance du Mexique.

L’Association allemande des ingénieurs mécaniciens (VDMA) estime que des droits de douane de 30 % sur les exportations vers les États-Unis mettraient en péril l’existence même de nombreuses entreprises. « Nombre d’entreprises pourraient survivre avec des droits de douane de 10 %. Mais la situation est très différente avec 30 % », pense Bertram Caulat, président de l’association, au magazine Politico. Tout en appelant à se concentrer davantage sur le marché européen.

Les économistes, se basant sur l’expérience acquise jusqu’à présent, n’excluent toutefois pas un changement de position de la part des États-Unis. Jens Sudekum, conseiller du ministre des Finances Lars Klingbeil, a déclaré au Frankfurter Allgemeine Zeitung : « Trump est connu pour ses déclarations fermes répétées, puis pour ses reculs. Je n’ai aucune raison de croire que ce sera différent cette fois-ci ». Quant à Moritz Schulerik, président de l’Institut de Kiel pour l’économie mondiale, il considère la probabilité d’un recul de Donald Trump comme très élevée. Toutefois, si cela ne se produit pas, a-t-il averti, l’économie allemande sera gravement touchée.

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Droits de douane de Trump : les agriculteurs italiens en colère

Les droits de douane de 30 % annoncés par le président américain Donald Trump sur les produits importés de l’Union européenne pourraient coûter jusqu’à 2,3 milliards d’euros aux familles américaines et au secteur agroalimentaire italien, estime le principal syndicat du secteur agricole, Coldiretti.

Donald Trump a annoncé samedi que des droits de douane de 30 % seraient imposés sur les produits importés aux États-Unis en provenance du Mexique et de l’UE, malgré les négociations en cours…

Selon un communiqué du syndicat Coldiretti, « l’impact en termes de prix pour les consommateurs américains aura inévitablement des complications pour les entreprises italiennes » du secteur.

« La réduction de la consommation se traduit inévitablement par des produits invendus pour les entreprises italiennes, qui seront obligées de chercher de nouveaux marchés », a-t-il expliqué. Tout rn soulignant « le risque de contrefaçon » et le fait que les États-Unis « sont le plus grand producteur mondial de produits alimentaires portant une fausse étiquette « Made in Italy ».

Selon les prévisions de Coldiretti, avec les tarifs de 30 %, les prix de certains produits emblématiques fabriqués en Italie, tels que les fromages, les vins, les tomates transformées, les pâtes farcies, les sucreries comme les confitures en conserve et autres, augmenteront considérablement.

« L’imposition de droits de douane de 30 % sur les produits agroalimentaires européens, et donc aussi italiens, portera un coup dur à l’économie réelle, aux entreprises agricoles (…) mais aussi aux consommateurs américains, qui seront privés de produits authentiques ou contraints de les payer beaucoup plus cher », a commenté Ettore Prandini, le président de Coldiretti, selon un communiqué de l’organisme collectif.

La mise en place de ces tarifs marquerait « l’échec absolu de la politique de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen », a-t-il ajouté.

L’UE, chargée des négociations avec les Etats-Unis au nom de ses 27 Etats membres, a vivement critiqué l’annonce du président américain Trump. Tout en assurant qu’elle continuait de vouloir conclure un accord commercial avec Washington.

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Libye : forte augmentation de la la production pétrolière et gazière 

La National Oil Corporation (NOC) de Libye a annoncé, dimanche 13 juillet, avoir enregistré des taux de production records de pétrole brut, de condensats et de gaz naturel.

NOC a expliqué que la production de pétrole brut en Libye a atteint 1,376 million de barils; tandis que celle de condensat a atteint 52 350 barils. La production de gaz naturel quant à elle a atteint 2,599 milliards de pieds cubes, selon l’agence de presse libyenne.

La société a affirmé que ces chiffres reflètent la performance positive du secteur pétrolier et gazier et renforcent sa contribution au soutien de l’économie nationale.

Le ministre libyen du Pétrole et du Gaz, Khalifa Rajab Abdel Sadiq, a déclaré que pour la première fois en 17 ans, la Libye a annoncé des appels d’offres pour le développement de champs pétroliers, recevant plus de 400 candidatures d’entreprises étrangères pour participer à 22 secteurs pétroliers.

Il a également souligné que la National Oil Corporation libyenne a signé, il y a quelques jours, un accord avec Shell et BP pour opérer dans les champs pétroliers libyens.

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25 % de la population marocaine devrait accéder à la 5G d’ici 2026

L’Agence nationale de régulation des télécommunications (ANRT) a annoncé, vendredi 11 juillet, l’ouverture des appels d’offres pour les licences de lancement et d’exploitation des services de réseaux de cinquième génération (5G) dans le Royaume.

« Conformément aux lois en vigueur et dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie Maroc Digitale 2030 et des orientations générales du secteur, un appel d’offres a été lancé pour l’octroi de licences d’établissement et d’exploitation de réseaux de transport utilisant la technologie mobile de cinquième génération », lit-on dans un communiqué de l’agence.

Le gouvernement marocain vise à rendre la 5G accessible à 25 % de la population d’ici 2026, et à 70 % d’ici 2030, année où le Maroc co-organisera la Coupe du monde de football avec l’Espagne et le Portugal.

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L’Égypte et la Chine renforcent leur partenariat stratégique

Dans un nouvel élan donné au partenariat stratégique global entre l’Égypte et la Chine, cinq documents de coopération ont été signés vendredi 11 juillet dans la nouvelle capitale administrative égyptienne, à l’occasion de la visite du Premier ministre chinois Li Qiang. Ces accords traduisent une consolidation des relations bilatérales, amorcée depuis la signature en 2014 de l’accord de partenariat stratégique global entre les deux pays.

Les signatures ont été apposées par Dr Rania Al-Mashat, ministre égyptienne de la Planification, du Développement économique et de la Coopération internationale, et Chen Xiaodong, président de l’Agence chinoise de coopération internationale au développement (CIDCA).

Parmi les documents signés figure un protocole d’accord établissant la première stratégie de coopération au développement entre la Chine et l’Égypte pour la période 2025-2029, ainsi qu’un accord-cadre ouvrant la voie à un premier échange de dette contre projets de développement.

La stratégie de coopération au développement s’inscrit dans les objectifs de la Vision Égypte 2030 et de l’Initiative mondiale pour le développement lancée par la Chine. Elle couvre des domaines prioritaires comme la santé, la transition écologique, l’économie numérique, l’industrie spatiale, l’éducation ou encore la localisation industrielle. Elle vise à favoriser des projets conjoints et une intégration économique plus poussée à travers notamment l’initiative « La Ceinture et la Route ».

Première phase d’un accord d’échange de dette

Autre volet essentiel : l’accord-cadre pour la première phase d’un programme d’échange de dette contre développement. L’Égypte devient ainsi le premier pays au monde à signer ce type d’accord avec l’agence CIDCA. Ce mécanisme s’appuie sur l’expérience acquise par l’Égypte avec des pays comme l’Italie et l’Allemagne, ayant déjà abouti à plus de 900 millions de dollars de projets transformés. Il répond aux recommandations internationales prônant les conversions de dette comme outils innovants de financement du développement.

Coopération technique et sociale renforcée

En marge de ces accords principaux, plusieurs initiatives ont été actées :

  • Prothèses et inclusion : une subvention de 1,52 million de yuans financera une étude de faisabilité pour le développement d’un système national de prothèses, visant à faire de l’Égypte un pôle régional de production d’équipements destinés aux personnes handicapées.
  • Ressources humaines : un protocole d’accord prévoit la formation de 2 000 cadres égyptiens de 2025 à 2027 dans le cadre de programmes bilatéraux et multilatéraux.
  • Biosécurité : une subvention sera consacrée à la création d’un laboratoire de niveau 3, destiné à renforcer les capacités de recherche et de confinement face à des pathogènes à haut risque.

Dr Rania Al-Mashat a souligné que ces nouvelles avancées illustrent le rôle stratégique de la diplomatie économique égyptienne et la solidité du partenariat sino-égyptien, qui s’étend désormais bien au-delà du développement, incluant l’industrie, l’innovation technologique et les investissements conjoints. Elle a également salué le rôle catalyseur de l’initiative « la Ceinture et la Route » dans la promotion d’un développement économique intégré et équilibré.

Avec ces nouveaux jalons posés, l’Égypte et la Chine confirment leur volonté commune d’approfondir un partenariat multidimensionnel au service d’une prospérité partagée.

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Trump annonce des droits de douane de 30 % sur l’Union européenne

Des droits de douane de 30% seront imposés sur les produits importés aux États-Unis en provenance de l’Union européenne et du Mexique à partir du 1er août, vient de décider le président américain, Donald Trump, dans des lettres publiées samedi 12 juillet sur le réseau social « Truth Social ».

L’UE était en négociations avec les États-Unis et espérait parvenir à un accord commercial global pour le bloc des 27, et espérait y parvenir sans nouveaux droits de douane sur les produits industriels européens. Seulement voilà, après plusieurs mois de négociations difficiles, les responsables bruxellois ont commencé à comprendre qu’ils seraient contraints de se contenter d’un accord provisoire.

Le bloc des 27 pays était soumis à des pressions contradictoires: l’Allemagne cherchait un accord rapide visant à protéger son industrie automobile, la France et d’autres pays appelaient les négociateurs de l’UE à ne pas succomber à un accord unilatéral aux conditions américaines.

Lire aussi : La Tunisie et les droits de douane américains : étendue et impacts encore peu clairs

Bloomberg avait précédemment rapporté que l’UE est prête à accepter des droits de douane sur les exportations agricoles européennes allant jusqu’à 10 %. Un mécanisme de compensation proposé par certains constructeurs automobiles européens, qui réduirait les droits de douane sur les voitures européennes en échange d’investissements par les entreprises qui les fabriquent aux États-Unis, n’est pas envisagé pour le moment, par crainte d’encourager la délocalisation de la production outre-Atlantique.

Les négociateurs européens ont averti que tout progrès dans les négociations, ainsi que tout accord potentiel entre les États-Unis et l’UE, pourraient être annulés par le président Trump, qui n’a pas encore commenté publiquement les arrangements en discussion.

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Tarifs douaniers USA-Canada: Ottawa joue l’apaisement

Le Canada suspend l’escalade prévue de ses tarifs de représailles sur l’acier et l’aluminium américains, rapporte samedi 12 juillet Politico. Cela intervient après que Donald Trump a prolongé jusqu’au 1er août le délai des négociations commerciales bilatérales, tout en menaçant d’imposer de nouveaux tarifs. Ce changement offre aux deux nations une fenêtre étroite pour éviter une rupture commerciale plus large…

Selon deux responsables gouvernementaux canadiens cités par Politico, Ottawa ne procédera pas à son plan de doubler ses tarifs sur les métaux américains de 25 % à 50 % le 21 juillet. Autrement dit, les contre-mesures actuelles du Canada de 25 % resteront en place pendant les négociations qui ont été prolongées pour un nouvel accord économique et de sécurité.

La lettre de Trump au Premier ministre canadien, Mark Carney, a décrit un nouveau tarif de 35 % qui devrait entrer en vigueur le 1er août, distinct des droits sectoriels existants sur les véhicules et les produits de base. Dans cette lettre, Trump a évoqué des préoccupations concernant le prétendu flux de fentanyl en provenance du Canada et ce qu’il a décrit comme des « pratiques commerciales déloyales », notamment des tarifs allant jusqu’à 400 % sur les exportations laitières américaines.

« Il n’y aura pas de tarif si le Canada, ou des entreprises de votre pays, décident de construire ou de fabriquer leur production aux États-Unis », a écrit Trump. Il a ajouté qu’il « envisagerait un ajustement » des tarifs prévus si la coopération canadienne sur la politique des drogues s’améliore.

A noter que la directive tarifaire plus large de la Maison Blanche cette semaine applique de nouveaux prélèvements sur plusieurs économies, y compris un droit de 25 % sur la Corée du Sud et le Japon. Ces mesures suivent largement les grandes lignes de l’annonce d’avril de Trump, surnommée « jour de libération », bien que la mise en œuvre ait été retardée du 9 juillet au 1er août.

Bien que la prolongation du délai ait allégé la pression à court terme, les responsables des deux côtés n’ont pas exclu une escalade si un accord ne se concrétise pas. Washington et Ottawa ont tous deux menacé d’étendre les droits à une plus large gamme de produits si les progrès stagnent.

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Crash d’Air India : première révélation de l’enquête préliminaire

Le Bureau d’enquête sur les accidents d’aéronefs de l’Inde a publié, vendredi 11 juillet, un rapport préliminaire sur le crash du vol Air India 171 survenu à Ahmedabad le 12 juin (qui a fait 260 morts), révélant que l’un des pilotes a placé les interrupteurs de carburant en position CUTOFF (Couper) peu après le décollage.

Selon l’enregistrement des conversations du cockpit cité dans le rapport, un pilote a été entendu demandant à l’autre « pourquoi tu as fait », ce à quoi le second pilote a répondu « je n’ai rien fait ».

L’enquête a révélé que l’avion Boeing 787-8 a atteint une vitesse maximale de 180 nœuds à 08:08:42 UTC, immédiatement après quoi les interrupteurs de coupure de carburant des moteurs 1 et 2 sont passés de la position RUN (En marche) à CUTOFF.

Les données montrent que les valeurs N2 des deux moteurs sont tombées en dessous de la vitesse minimale de ralenti. Alors que la décélération du cœur du moteur 1 a finalement cessé et a commencé à se rétablir, le moteur 2 a pu se rallumer mais « n’a pas pu arrêter la décélération de la vitesse du cœur » malgré la réintroduction répétée de carburant…

Le bureau a déclaré que « des composants d’intérêt pour des examens supplémentaires ont été identifiés et mis en quarantaine », assurant qu’une analyse complète des rapports post-mortem de l’équipage et des passagers est en cours.

Des échantillons de carburant provenant des camion-citerne et des réservoirs utilisés pour ravitailler l’avion ont été testés au laboratoire de la DGCA et jugés satisfaisants, écartant la qualité du carburant comme facteur dans l’accident.

À ce stade de l’enquête, aucune action recommandée n’a été émise pour les opérateurs et fabricants du Boeing 787-8 et/ou du moteur GE GEnx-1B. L’enquête se poursuit.

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Finalement, l’UE ne taxera pas les géants de la technologie

La Commission européenne renonce à son projet d’imposer une taxe sur les entreprises technologiques, une décision qui constitue une victoire pour Donald Trump et les géants américains tels qu’Apple et Meta.

L’UE et les États-Unis sont dans la dernière ligne droite des négociations pour un accord commercial. C’est dans ce cadre que Bruxelles a retiré l’option de taxe numérique de la liste des taxes proposées pour le prochain plan de dépenses de sept ans, selon un document interne de la Commission cité par les médias.

A quelques jours de la présentation du projet de budget, les hauts responsables de l’UE sont en pourparlers pour décider quelles contributions seront incluses dans la proposition de la Commission, qui sera publiée mercredi 16 juillet.

La décision contre la taxe sur les entreprises technologiques constituerait un changement important pour l’UE, qui, en mai dernier, avait proposé de taxer les géants de la technologie comme moyen de rembourser la dette du bloc.

Ce changement pourrait également être une décision stratégique de l’UE, qui cherche désespérément des conditions favorables dans ses relations commerciales avec les États-Unis, alors que le président américain menace le Canada de droits de douane en représailles pour avoir taxé les entreprises technologiques.

Taxes sur les grandes entreprises, les cigarettes et les déchets électroniques

La question de l’augmentation des impôts dans l’UE a toujours été sensible, les gouvernements étant méfiants quant aux pouvoirs de l’Union sur les impôts payés par les citoyens. La grande majorité des fonds de l’UE provient de contributions gouvernementales.

Ainsi et selon le document, au lieu d’une taxe sur les technologies, elle souhaite proposer trois nouvelles taxes ciblant les déchets électroniques, les produits du tabac et les grandes entreprises de l’UE dont le chiffre d’affaires est supérieur à 50 millions d’euros.

L’objectif est de générer 25 à 30 milliards d’euros par an, qui serviront à rembourser la dette commune de l’UE utilisée pour financer la reprise après la pandémie de Covid-19.

Dans cette optique, la Commission proposera une taxe européenne sur les produits du tabac tels que les cigarettes et les cigares. Ces produits sont actuellement taxés par les pays, qui conservent les recettes.

Bien que n’étant pas opposée aux nouvelles taxes proposées, la Suède a déclaré que le transfert d’une partie de ses recettes nationales à l’UE était « totalement inacceptable ».

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Le rouble russe se porte bien face au dollar et à l’euro

Le rouble russe a atteint jeudi 10 juillet son plus haut niveau en deux ans face au dollar américain, grâce aux forts flux commerciaux et aux politiques gouvernementales de soutien, estiment les analystes. La monnaie russe a également progressé face à l’euro.

Le rouble s’échangeait en dessous de 75 pour un dollar, marquant son niveau le plus élevé depuis 2023. La monnaie russe s’est également renforcée à 86,5 contre l’euro, gagnant plus de 5 %.

Ce rebond couronne deux mois de hausse du rouble, en partie alimentée par l’optimisme suscité par les négociations de paix en Ukraine. En effet, deux cycles de négociations directes entre Moscou et Kiev ont eu lieu à Istanbul mi-mai et début juin, mais un troisième n’a pas encore été programmé.

« La vigueur du rouble est soutenue par des exportations élevées et une offre abondante de devises, ainsi que par de faibles importations et une demande atone ». C’est ce que déclare pour sa part, à RBK, Mikhail Zeltser de BCS World of Investments. « Les taux de financement pour le refinancement de la dette et les opérations de commerce extérieur sont également importants », a-t-il ajouté.

Selon les experts, la politique gouvernementale joue également un rôle essentiel. Les exportateurs sont désormais tenus de rapatrier leurs bénéfices pour une année supplémentaire. Et la Banque centrale a relevé les plafonds estivaux des ventes de devises fortes dans le cadre de la règle budgétaire.

De son côté, Denis Popov, du PSB, indique que le rouble a continué de grimper malgré la montée des risques géopolitiques. Il pointe du doigt l’évolution du discours de politique étrangère des États-Unis sous la présidence de Donald Trump comme un facteur contributif. Mais il note que les investisseurs semblaient ignorer ces inquiétudes.

Les analystes citent également l’augmentation des ventes de devises étrangères par les principaux exportateurs ces derniers jours, probablement liée au fait que les entreprises choisissent de ne pas utiliser les roubles pour les versements de dividendes.

Enfin, certains experts estiment que de nouvelles hausses pourraient être possibles.

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L’UE va proposer un plafonnement flottant des prix du pétrole russe

Une proposition de plafonnement flottant des prix du pétrole russe devrait être présentée par la Commission européenne cette semaine. Et ce, dans le cadre d’un nouveau projet de paquet de sanctions visant à surmonter l’opposition de certains États membres, affirment quatre diplomates de l’UE, cités par Reuters, jeudi 10 juillet.

En juin, la Commission a proposé de réduire le plafond des prix du pétrole du G7 de 60 à 45 dollars le baril, dans le cadre du 18ème train de sanctions contre la Russie pour son invasion de l’Ukraine. Ce plafond, qui vise à limiter la capacité de la Russie à financer la guerre en Ukraine, avait été initialement convenu en décembre 2022.

Le projet de réduction du plafond des prix a été motivé par la chute des prix mondiaux du pétrole, qui a rendu le plafond actuel largement inutile.

La Grande-Bretagne et l’UE n’ont pas réussi à rallier le soutien de Donald Trump à un plafond plus bas lors du sommet du G7 au Canada en juin.

Sachant que les prix du pétrole ont brièvement atteint près de 80 dollars le baril pendant la guerre de 12 jours entre Israël et l’Iran en juin, avant de retomber à 60 dollars.

Selon les quatre diplomates de l’UE, la Commission travaillait sur un mécanisme qui permettrait d’ajuster le plafond du pétrole russe en fonction des variations du prix mondial du pétrole.

Processus de révision du plafond des prix plus automatisé

Le plan est toujours en cours d’examen et prévoit un processus plus automatisé de révision du plafond des prix pour l’ajuster aux prix mondiaux du pétrole brut. La limite supérieure n’était pas claire, mais le point de départ serait juste au-dessus de 45 $.

Les pays maritimes comme la Grèce, Chypre et Malte s’inquiètent depuis longtemps du plafonnement des prix. Et ce, compte tenu de la perte potentielle d’activité dans leurs secteurs maritimes et des craintes que les armateurs puissent déplacer leurs opérations en dehors de l’UE.

Le plafond interdit le commerce du pétrole brut russe transporté par pétrolier si le prix payé est supérieur à 60 dollars le baril et interdit aux compagnies de transport maritime, d’assurance et de réassurance de déplacer des cargaisons de pétrole brut russe dans le monde entier, à moins qu’il ne soit vendu à un prix inférieur au plafond.

Lors de la réunion des ministres des Finances du G7 dans les Rocheuses canadiennes en mai, le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent, n’était toujours pas convaincu de la nécessité d’abaisser le plafond, avaient indiqué des sources à l’époque.

Mais Trump a durci sa rhétorique contre le président russe, Vladimir Poutine, et a laissé entendre qu’il pourrait faire pression pour de nouvelles sanctions américaines.

Ainsi, l’option du plafonnement des prix pourrait gagner en popularité à Washington, car certains sénateurs américains pourraient soutenir l’idée, notamment Lindsey Graham, qui se dit favorable à une baisse du plafond.

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Allemagne : hausse de 2,4 % des faillites d’entreprises en juin

Le nombre de faillites d’entreprises allemandes enregistrées en juin a augmenté de 2,4 % par rapport à la même période de 2024. C’est ce que révèlent les chiffres préliminaires publiés vendredi 11 juillet par l’Office fédéral de la statistique (Destatis).

Parallèlement, les chiffres définitifs d’avril ont montré que le nombre de faillites enregistrées ce mois-là a augmenté de 11,5 % par rapport à avril 2023.

Malgré cette augmentation du nombre de cas, l’impact financier a été moins sévère que lors des mois précédents.

Cette tendance à la hausse des insolvabilités accentue la pression sur le gouvernement nouvellement formé en Allemagne pour qu’il mette en œuvre des mesures visant à revitaliser la croissance économique dans la plus grande économie d’Europe.

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L’économie britannique en contraction en mai 

L’économie britannique s’est contractée en mai pour le deuxième mois consécutif. Les entreprises et les consommateurs étant confrontés au choc des tarifs douaniers américains et à une série d’augmentations d’impôts. 

Plus précisément, le PIB de l’économie britannique a reculé de 0,1 % en mai, après une contraction de 0,3 % au mois avril. C’est ce que révèlent les données publiées par l’Office for National Statistics (ONS).

Ces données alourdissent encore davantage la position du Premier ministre britannique Keir Starmer et de sa ministre des Finances, Rachel Reeves.

Dans ce contexte, notons que l’industrie manufacturière et la construction se sont contractées en mai. Tandis que les services n’ont progressé que de 0,1 %. Les ventes au détail ont chuté. Le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Andrew Bailey, avertissant que l’incertitude poussait les entreprises à retarder leurs investissements.

En outre, soulignons que le premier trimestre a été stimulé par une augmentation de la production des exportateurs face aux tarifs douaniers américains. Mais le deuxième trimestre a vu l’économie britannique confrontée à des vents contraires dus aux perturbations commerciales, ainsi qu’aux augmentations d’impôts.

Bien que le gouvernement Starmer ait conclu un accord avec les États-Unis pour réduire les tarifs douaniers début mai, l’économie britannique devrait rester sous pression cette année.

Dans le même temps, alors que les pressions inflationnistes s’atténuent, les marchés parient que la Banque d’Angleterre réduira ses taux d’intérêt en août. Mais aussi qu’elle fera un autre geste d’ici la fin de l’année, avec de nouvelles baisses en 2026.

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Trump impose au Canada 35 % de droits de douane supplémentaires

Donald Trump a annoncé, jeudi 10 juillet, une imposition 35 % de droits de douane supplémentaires sur les produits canadiens importés dans son pays; et ce, à compter du 1er août. 

« Au lieu de coopérer avec les États-Unis, le Canada a riposté en imposant ses propres tarifs douaniers. À compter du 1er août 2025, nous imposerons au Canada un tarif de 35 % sur les marchandises canadiennes exportées aux États-Unis, en plus de tous les tarifs sectoriels ». C’est ce qu’a déclaré Trump dans une lettre adressée au Premier ministre canadien, Mark Carney, publiée sur Truth Social.

« Ces tarifs peuvent être modifiés, à la hausse ou à la baisse, en fonction de notre relation avec votre pays », a ajouté Donald Trump. Autrement dit, s’il y a des représailles, les tarifs augmenteront encore de 35 %, a averti le président américain.

Comme dans toutes les autres lettres qu’il a envoyées depuis lundi, le président américain a clairement indiqué que ces tarifs s’ajouteront à ceux appliqués par secteur, notamment sur l’acier, l’aluminium et les véhicules (25 %). Ces articles comptent parmi les principales exportations du Canada vers les États-Unis, principal partenaire commercial de l’économie canadienne.

D’autres pays visés

Une vingtaine de pays ont reçu des lettres de cette nature depuis le début de la semaine, notamment en Asie. Elles annoncent l’imposition de droits de douane de 25 % sur les produits des alliés de Washington, comme le Japon et la Corée du Sud, et jusqu’à 40 % sur certains pays d’Asie du Sud-Est.

Mais c’est le Brésil, jusqu’alors soumis à un tarif de base de 10 %, qui a été informé de la plus forte augmentation des droits de douane sur ses produits. En effet, le président américain a annoncé qu’ils seraient de 50 %, liant cette mesure aux poursuites pénales engagées contre Jair Bolsonaro, accusé d’avoir tenté un coup d’État pour renverser son successeur, après sa défaite.

A cet égard, notons qu’initialement, les droits de douane supplémentaires spécifiques à chaque pays devaient entrer en vigueur le 9 juillet. Mais Trump a signé un décret reportant leur mise en œuvre au 1er août.

Dans ses lettres, Trump affirme invariablement que si des mesures de rétorsion sont prises, les tarifs douaniers seront doublés.

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Le Bitcoin atteint 112 000 dollars pour la première fois

Le prix du Bitcoin a augmenté de plus de 3 % mercredi 9 juillet, atteignant 112 000 $ pour la première fois, portant ses gains depuis le début de l’année à 20 %.

La hausse de la monnaie a été soutenue par l’investissement institutionnel continu dans les fonds négociés en Bourse Bitcoin et par une hausse des actions technologiques américaines.

Les cryptomonnaies alternatives ont également enregistré des gains, menées par Ether, Solana et XRP, qui ont ajouté plus de 100 milliards de dollars à la capitalisation boursière des crypto-monnaies en 24 heures.

Selon Rashed Al-Khazai, expert en cryptomonnaies et actifs numériques, cité par Al Business, les cryptomonnaies ont connu un fort retour à la liquidité grâce au sentiment général d’investissement largement positif. Ce qui est suffisant pour soutenir la hausse des prix; à moins que quelque chose de nouveau n’émerge sur la scène géopolitique.

Il a ajouté que la correction rapide observée sur le marché des cryptomonnaies reflète le véritable sentiment envers le Bitcoin parmi les investisseurs individuels et institutionnels.

Et de poursuivre : « Nous avons assisté à une injection massive de liquidités sur les marchés des cryptomonnaies, en particulier Bitcoin, Ethereum et Solana, dans les premières heures qui ont suivi l’annonce du cessez-le-feu dans le récent conflit entre l’Iran et Israël. Le mouvement a été si rapide que le Bitcoin a été l’un des premiers actifs à connaître un fort retour de liquidités, comparé à tous les autres actifs traditionnels tels que l’or, les actions et les indices ».

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L’UE est proche d’un accord commercial avec les États-Unis

La Commission européenne a accepté la nouvelle date limite du 1er août, même si ses représentants ont déclaré plus tôt cette semaine que cette date ne changerait pas et serait fixée au 9 juillet.

Comme l’a indiqué Olaf Gill, porte-parole de la Commission pour le commerce, « nous travaillons à la conclusion d’un accord avec les États-Unis, qui ont décalé la date limite. Nous cherchons à parvenir à un accord avant le 1er août et nous pensons en être proches. Nous continuons à œuvrer pour un accord acceptable par les deux parties ».

Et d’ajouter : « Notre objectif est de parvenir à un accord, peut-être même dans les prochains jours. Nous avons montré notre volonté de parvenir à un accord de principe et la Commission a étroitement consulté nos États membres et l’industrie afin de garantir une grande cohérence dans l’approche globale de l’UE ».

Selon lui, « parvenir à un accord dépend désormais de la volonté de trouver une solution acceptable pour les deux parties. Nous défendons nos principes. Nous poursuivons nos travaux de bonne foi et nous nous préparons à tous les scénarios ».

Les négociations arrivent leur apogée. A noter que le commissaire européen au Commerce, Maros Šefković, a eu lundi 7 courant une conversation téléphonique avec le secrétaire d’Etat américain au Commerce, Howard Lutnick, et un autre avec le représentant américain au Commerce, Jamieson Greer.

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Chine : les tarifs douaniers arbitraires ne servent personne

La Chine estime que les tarifs « arbitraires », tels que la taxe de 50 % sur le cuivre annoncée par le président américain Donald Trump, invoquant la sécurité nationale, « ne servent les intérêts de personne ».

« Nous nous sommes toujours opposés à l’expansion excessive du concept de sécurité nationale. Nous avons également toujours pensé qu’imposer arbitrairement des droits de douane ne servait les intérêts de personne », a souligné Mao Ning, porte-parole du ministère des Affaires étrangères cité par l’Agence France-Presse (AFP), jeudi 10 juillet.

Le président américain Donald Trump a annoncé mardi une taxe de 50 % sur le cuivre. Il a indiqué sur les réseaux sociaux que les tarifs entreraient en vigueur le 1er août, affirmant que la décision avait été prise après une évaluation de la sécurité nationale.

Le président américain a également assuré que les négociations commerciales avec la Chine et l’Union européenne se déroulaient bien.

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Etats-Unis : les taux d’intérêt divisent les responsables de la Fed

La plupart des responsables de la Réserve fédérale (Fed) sont favorables à une baisse des taux, mais les avis divergent quant à l’ampleur des mesures que la Banque centrale devrait prendre, comme le montre le compte rendu de sa réunion de juin. Il est à noter que seuls « certains » responsables présents à la réunion des 17 et 18 juin ont déclaré envisager une baisse des taux dès ce mois-ci.

« Alors que certains participants ont noté que les tarifs douaniers entraîneraient une augmentation ponctuelle des prix et n’affecteraient pas les attentes d’inflation à long terme, d’autres ont noté le risque que les tarifs douaniers puissent avoir des effets plus persistants sur l’inflation », indique le compte rendu publié mercredi 9 juillet.

Dix des 19 responsables s’attendent à au moins deux baisses de taux d’ici la fin de l’année. Sept en revanche n’en prévoyaient aucune en 2025, tandis que deux en prévoyaient une seule.

En particulier, ledit compte rendu montre que les décideurs politiques ont largement adopté une attitude attentiste quant à l’évolution future des taux d’intérêt. Les membres du Comité fédéral de l’open market (Federal Open Market CommitteeFOMC), ont voté à l’unanimité pour maintenir le taux directeur de la Fed dans une fourchette de 4,25 % à 4,5 %, où il se situe depuis décembre 2024.

Certains responsables ont déclaré que la prochaine baisse des taux pourrait intervenir dès ce mois-ci, tandis que d’autres pensaient qu’il ne serait pas approprié de ne pas procéder à des baisses cette année…

Cela survient alors que le président Trump accroît la pression sur le président de la Fed, Jerome Powell, pour qu’il réduise les taux d’intérêt. Ce dernier a déclaré à plusieurs reprises qu’il ne céderait pas à la pression lorsqu’il s’agit de définir la politique monétaire.

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