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Activités municipales : Lorsqu’on veut, on peut

Deux informations ont été données presque au cours de la même semaine. La première nous est parvenue de Sfax, où on a inauguré une œuvre d’art, représentant les agents de nettoiement de la municipalité.

La Presse — Ces hommes qui, par tous les temps, qu’il vente où qu’il pleuve, qu’une brise fraîche permet de renouer avec la vie ou sous l’effet d’un sirocco qui assèche les gorges et excite à fond les glandes sudoripares, sous une chaleur caniculaire, viennent ramasser les déchets de leurs concitoyens. 

Un service public d’une importance incommensurable

Nous avons tous une idée de ce que représentent ces déchets et leurs dégâts, tant au point de vie hygiène que santé.

L’idée est géniale et cet acte de reconnaissance pour ces hommes qui le méritent est louable.

La seconde, concerne la désignation des  municipalités les plus propres du pays. C’est ainsi que les villes d’Aïn Jloula (gouvernorat de Kairouan), Ras Jebel (gouvernorat de Bizerte), Sned (gouvernorat de Gafsa), Bir Lahmar (gouvernorat de Tataouine) et Lamta (gouvernorat de Monastir) ont été désignées comme les villes les plus propres à l’échelle nationale pour l’année 2025.  

Les municipalités de ces villes  ont été reconnues désignées comme les plus actives au niveau de la préservation des conditions d’hygiène et de propreté au niveau national. Extraordinaire!

Bien sûr, ces bouts de territoire de notre pays, ce n’est pas la capitale, un chef-lieu de gouvernorat, mais ils représentent une image positive qui honore aussi bien les citoyens de ces villes, que les responsables qui veillent sur elles.

Ces responsables assurément ne se vautrent pas dans leurs bureaux, mais se sentent bien à la faveur des tournées d’inspection qu’ils effectuent, pour que propreté et hygiène se conjuguent au présent et jamais au passé.

C’est que cette citation a été prononcée après avoir tenu compte de deux critères importants.

On a estimé qu’elle le méritait au niveau régional c’est-à-dire en tant qu’entité faisant partie des gouvernorats respectifs  et au plan national à la suite des avis des autorités compétentes pour juger des résultats de cette gestion des affaires municipales. Une   évaluation rigoureuse,  menée par des équipes pluridisciplinaires relevant des ministères de l’Intérieur et de l’Équipement.

Les visites, il est inutile de le préciser, ont été effectuées de manière impromptue. Il n’y avait donc pas   possibilité de se préparer à l’avance et d’effectuer un toilettage de circonstance. Tel qu’on le fait lorsqu’on apprend qu’un ministre est de  passage. Une louche de goudron par-ci, des trottoirs repeints par-là et le tour est joué.

Cet aspect resplendissant ne pouvait, et en aucun cas être possible sans l’engagement ferme des agents municipaux, d’une part, et ne l’oublions pas, les efforts des citoyens de ces villes, d’autre part.

La collecte des ordures, le nettoyage des rues et des lieux publics, l’entretien des parcs et des espaces verts, la fourniture des conteneurs à déchets en nombre suffisant et leur placement en des endroits appropriés,  l’organisation des campagnes de sensibilisation des citoyens sont des tâches quotidiennes qui nécessitent une communication régulière, une complicité entre agents et citoyens.

Le rôle des citoyens est aussi primordial qu’essentiel et incontournable pour la réussite de ce genre d’action.

Ce sont eux qui ont commencé à balayer devant leurs portes. Aucun d’entre eux n’est allé jeter ses ordures ménagères devant la porte du voisin ni ne s’est débarrassé d’un objet inutile en le mettant sous un arbre à l’abri des regards.

Mais l’estimation qui a fait des   municipalités de ces villes  les plus propres du pays ne s’est pas limitée aux seules activités dépendant directement des services municipaux.

On a effectué des visites de contrôle et d’inspection aux marchés municipaux, sans oublier les abattoirs, les espaces verts publics de plein  air, vérifié l’état du matériel d’intervention des agents, inspecté les dépôts  municipaux, les ateliers de formation, les services de réparation mécanique et autres, les lieux consacrés  au lavage et à la remise en état des véhicules utilitaires municipaux et….  les cimetières.

Eh oui, les morts, nos aïeuls décédés, n’ont pas été oubliés. Allez voir dans quel état se trouvent bien des cimetières, où le désordre règne et où l’on se croirait en pleine savane.

Sans oublier les projets en cours d’exécution, tels que le bitumage des rues, la mise en place et en état des trottoirs, l’éclairage public, l’adduction de l’eau potable, etc.

Ont participé à cette élection de la municipalité les plus propres du pays, des organismes nationaux et internationaux.

Cela donne une idée du sérieux de cette initiative, qui honore et devrait donner  plein d’idées à ceux qui hésitent à faire le minimum.

Ces villes lauréates de cette année,  l’ont fait. C’est donc possible.  À la condition que toutes les parties prenantes s’y mettent.

Où se trouve le maillon faible qui freine, bloque et dénature la mission des services publics?

Athlétisme – 3e  Championnats d’Afrique U18 et U20 : Abeokuta, hôte de l’Afrique

La Presse — Après Abidjan (Côte d’Ivoire) en 2019 et Ndola (Zambie) en 2023, c’est au tour d’Abeokuta (Nigeria) d’organiser la troisième édition des championnats combinés U18/U20 de la Confédération africaine d’athlétisme.

La capitale de l’Etat d’Ogun, dans le sud-ouest du Nigeria, accueillera les étoiles montantes de l’athlétisme continental pour cinq jours de compétitions intenses du 16 au 20 juillet 2025.

La sélection tunisienne d’athlétisme des moins de 18 et 20 ans a rejoint depuis dimanche le Nigeria, afin de participer à ce championnat d’Afrique. La délégation tunisienne est composée de 33 athlètes, hommes et femmes, engagés dans plusieurs spécialités.

Les compétitions débuteront demain après-midi avec les séries du 100 m U18, les finales du 1.500 m, du saut en hauteur et du triple saut, le 400 m, le 3.000 m et le 10.000 m.

En marge du rendez-vous sur la piste, la Confédération africaine a tenu son Conseil et son congrès qui s’achève aujourd’hui.

Le carnaval d’Aoussou : Légende, histoire et traditions

Le carnaval d’Aoussou, rendez-vous festif, culturel et populaire, est prévu cette année du 14 au 27 juillet, avec un programme riche en animations et spectacles.

La Presse — Ce carnaval qui est considéré, à juste titre d’ailleurs, comme le premier en Afrique et au monde arabe, est un événement que ceux  qui y ont assisté recommandent à ceux  qui se proposent de visiter la Tunisie.

A sa création, il s’est fixé des  objectifs  aussi larges qu’ambitieux. C’est ainsi qu’il «contribue au soutien et au développement du tourisme culturel et des jeunes, revitalise la vie culturelle dans la ville, préserve le patrimoine culturel populaire ainsi que les us et coutumes issus de ce patrimoine. Il met en valeur les acquis régionaux et nationaux dans les domaines de la jeunesse, de la culture et du tourisme».

Aoussou est un terme qui définit la forte chaleur qui pèse lourd, liquéfie les corps et plonge les esprits dans une béatitude étrange, cette canicule du mois d’août selon le calendrier berbère.

A l’origine, c’est un ancien carnaval célébrant le dieu de la mer, Neptune, au temps des Romains, qui remonte à l’époque phénicienne. Cette coutume qui a évolué avec le temps est devenue, de nos jours, liée à une fête nationale, la proclamation de la République tunisienne le 25 juillet 1957.

C’est la perle du  Sahel, Sousse, qui l’accueille. Il en est cette année à sa 62e édition. Et pas une ride. Le spectacle se déroule principalement sur l’avenue Habib-Bourguiba et la corniche Bou Jaâfar.

C’est toujours le même engouement, le même enthousiasme, le même  volontarisme.

Que ce soit au niveau de ceux qui veillent à sa réalisation, qu’à ceux qui, filles et garçons l’animent,   en tant qu’acteurs, musiciens, danseurs conducteurs de chars ou autres rôles et charges, l’élan est  égal à l’imagination déployée, pour créer le spectacle et en faire un événement exceptionnel dont on se souviendra.

Et effectivement, lorsque le dernier char passera, que ce monde fou qui a affronté la chaleur du mois  d’août, réputé pour sa chaleur caniculaire, on ira chercher un endroit, de préférence frais, pour s’étendre, fermer les yeux, revivre ces moments d’exaltation intense,  de pur bonheur, au milieu de tout ce monde, où l’homme se retrouve dans sa véritable dimension. La magnifique plage de Boujaâfar est là pour ouvrir ses bras et honorer ses hôtes  tunisiens ou étrangers, qui s’y pressent.

«Incroyable, avoue un hôtelier qui a assisté à presque toutes les éditions, les étrangers, souvent réservés, se laissent entraîner par l’ambiance et se mêlent à la population. Spontanément et sans aucune arrière-pensée. Ils reviennent heureux. Certains n’arrivent pas à dormir dans leurs chambres et veillent jusqu’au matin, prennent leur petit déjeuner et harassés de fatigue, iront dormir toute la matinée. Aoussou, c’est magique»

Le festival d’Aoussou, que l’on amorce généralement à la fin du mois de juillet, est attendu aussi bien par les Tunisiens que par les  étrangers qui le programment dans leur visite. Plusieurs pays y  participent. Cette participation contribue à sa richesse et resserre  les liens culturels entre les peuples, confrontent les traditions, enrichissent les échanges et les expériences.

Il est réputé pour la qualité des spectacles offerts  et surtout  pour son carnaval. Des chars, des fanfares et des troupes folkloriques, de la couleur, des sons, du rythme, de la frénésie, de la transe, des dépassements, des excuses, des émotions, des remontrances, des regrets, mais surtout de la tolérance.

Des familles entières sont présentes, des milliers de touristes qui se laissent engloutir par le flot de ceux qui se pressent, se hissent sur la pointe des pieds, grimpent là où ils ont la possibilité de s’accrocher, sur les épaules, au haut d’un arbre, au sommet d’un pylone, pour mieux voir,  découvrir, vivre plus intensément ces moments de joie collective.

Jeux de plage, concerts, spectacles de feux d’artifice, soirées artistiques et le défilé du carnaval figurent au programme. C’est la raison pour laquelle il contribue à la relance de l’activité économique de la région.

Le festival d’Aoussou est ce fait une date qu’on retient et que les férus de culture, de musique et de festivités populaires en Tunisie tiennent à ne jamais rater.

Mercato – les arguments pour changer de club : L’attrait de l’argent !

Changer vers un autre club, même rival, n’est plus un événement extraordinaire. Tout est dicté par l’intérêt financier.

La Presse — Au tout début de l’instauration du professionnalisme, on avait présumé que ce sera difficile.  Au niveau des clubs, il n’ a y a pas une réglementation, des lois qui régissaient le tout. Il n’y avait donc pas de problèmes majeurs. Mais c’est au niveau du public que les difficultés ont mis du temps pour s’éclipser. Et encore, il y a des joueurs étiquetés comme d’obédience reconnue, qui hésitaient

à rentrer dans leurs villes d’origine pour voir leurs familles, par crainte des provocations ou des agressions verbales ou même physiques des supporters locaux.

Et petit à petit, on a commencé à tolérer, à comprendre  ces «trahisons». Souayeh qui du CSS est venu à l’Espérance, Maâloul qui a quitté l’Espérance pour endosser  la casquette de l’ennemi héréditaire, le Club Africain,  imité d’ailleurs par Darragi, Mouelhi qui opta  pour les « Sang et Or», etc.

Mais ce n’était pas seulement des «Professionnels» qui changeaient d’employeurs.  Chacun avait ses raisons. Elles importaient peu ces raisons, mais l’opinion publique commençait à comprendre les raisons de ces mouvements. Au point d’en faire des périodes attendues, largement commentées et  surtout pleines de bouleversements. Les grosses sommes engagées  nourrissent ces échos, rumeurs et confirmations dont les répercussions étaient palpables.

Une carrière, ça passe vite

Les réseaux sociaux sont, en cette période de « mercato », envahis par les réactions de ceux qui traitent de tous les noms d’oiseaux ceux qui ont décidé de changer de camp. Normal, pour qui le football est un gagne-pain, où le temps compte. Une carrière ça passe vite. On est à la merci d’une vilaine blessure qui pourrait tout fausser.

On privilégiait, il est vrai, le cheminement d’une carrière au sein de son club, mais l’attrait de l’argent a fini par prendre le dessus. Il y a ceux qui ont sacrifié une belle carrière pour justement assurer leur avenir. Les dernières hésitations s’écroulaient face aux propositions de plus en plus empressées, de plus en plus convaincantes.

Il faudrait, de toutes les manières, faire la part des choses et comprendre que ce milieu infernal, qui prédomine à l’occasion de ces périodes… infernales, fait partie de ce sport professionnel où les puristes n’ont plus droit de cité.

L’occupation des trottoirs : Conséquence de l’indiscipline et de l’impunité

La démolition ou le démantèlement d’installations non conformes et l’interdiction de l’occupation illégale des trottoirs sont des sujets d’actualité. Cette campagne «vise à lutter contre l’occupation excessive des trottoirs et à réduire les infractions diverses constatées dans la région», a déclaré une source officielle à la Radio nationale.

La Presse — Le ministère appelle par ailleurs la société civile à soutenir les efforts officiels en matière de sensibilisation et de respect des règles, en collaborant avec les organismes de contrôle régionaux et locaux.

L’opération de reprise en main, il est vrai,  a commencé il y a assez longtemps. On avait énergiquement décidé de débarrasser la capitale de ces invraisemblables installations à base de carton, de tonneaux, d’étals amovibles qui se multipliaient et s’étendaient dangereusement autour des marchés municipaux ou hypermarchés.

Les municipalités avaient fort à faire pour lutter contre cette occupation anarchique de l’espace public. Il n’y avait pas que les vendeurs à la sauvette à réprimer. Ces actions visaient aussi à libérer les trottoirs, à faire respecter la réglementation en vigueur, à garantir la sécurité des piétons et bien entendu favoriser le côté esthétique des villes et cités. 

La campagne a permis la saisie d’équipements exploités de manière illicite, ainsi que le démantèlement de plusieurs enseignes publicitaires non conformes.

L’aspect social

Il faudrait reconnaître que dans toute cette reprise en main de la situation, personne n’ignore qu’il y a un aspect social à ne jamais perdre de vue. Même ceux qui ont été délestés de leur portefeuille ou soulagé de leur téléphone portable, à la faveur de cette promiscuité malsaine, de ces attroupements, reconnaissent qu’il faudrait trouver des solutions pour ceux qui essaient de gagner leur vie, en offrant des bottes de persil, des légumes et des fruits, des fanfreluches ou autres choses aussi invraisemblables qu’étranges. On trouve de tout… à meilleur marché.

La solution ? On l’a trouvée et on a agi pour éviter d’enfoncer ceux qui sont en pleine détresse. Des espaces protégés et des lieux où ces vendeurs ambulants sont en mesure de travailler et non gêner. Les trottoirs c’est pour circuler, se mettre en sécurité face au flot des voitures, des motards ou des cyclistes.

Et voila qu’en dépit de cette tentative d’organiser, on se retrouve face à des réactions d’incivilité manifeste et d’indiscipline  prouvée. Les cafés débordent, les vendeurs ambulants se font de plus en plus pressants, les commerces ne se gênent plus pour transformer les trottoirs, que l’on doit remettre en état d’ailleurs, en zones de stockage.

De nombreuses municipalités, notamment à Tunis et à Sousse, ont lancé des campagnes pour lutter contre l’occupation illégale des trottoirs, pour  garantir la libre circulation des piétons et lutter contre l’anarchie qui s’est emparée des centres urbains tout en réaffirmant l’autorité municipale.

· À Tunis, la municipalité a mené une campagne pour libérer les trottoirs dans les arrondissements de Bab Bhar et de la Médina. 

· À Sousse, une opération de grande envergure a été menée à Kalaâ Kebira pour lutter contre l’occupation anarchique des trottoirs. 

· À Bizerte, la police municipale a frappé fort en procédant à des saisies et à la rédaction de procès-verbaux pour occupation illégale. 

· À Tabarka, la municipalité a fixé un délai pour le renouvellement des autorisations d’occupation du trottoir. 

Cette initiative ne concerne pas seulement les villes sus-citées. Elle est d’actualité sur tout le territoire de la république. Elle fait partie d’une démarche globale de réorganisation urbaine.

Gêne et plaintes

Il faudrait reconnaître que les riverains de ces lieux, les établissements recevant du public, administrations, banques,  assurances, etc., n’ont pas manqué de se plaindre des conditions d’insécurité et surtout l’impossibilité dans laquelle ils se trouvent pour communiquer avec ces envahisseurs.

Mais on pourrait se demander pourquoi il y a des terrasses de café extérieures, des espaces où on sert de la nourriture, des kiosques où glaces et autres services sont tolérés ?

Autorisation préalables

Effectivement, cela fait partie de l’animation des centres urbains, loin de toute indiscipline et d’une insoutenable anarchie. Cette occupation des trottoirs est permise par les autorités locales qui étudient cette possibilité, en tenant compte d’un certain nombre de critères. En premier lieu, la sécurité des piétons. Il n’est pas question d’obliger ces piétons à marcher sur la chaussée, avec tous les dangers que cela représente, pour favoriser la mise en place de tables et de chaises ou tolérer l’édification d’un kiosque par exemple.

Les commerçants doivent de ce fait obtenir des autorisations d’occupation temporaire du domaine public, pour utiliser les trottoirs. Les surfaces pour l’exploitation commerciale et l’installation de terrasses sont ainsi autorisées et tracées de manière visible. Elles répondent à des obligations d’esthétique.

En contrepartie de cette occupation organisée, les commerçants s’acquittent de taxes fixées en fonction des surfaces concédées, en s’engageant à respecter les règles d’hygiène et de sécurité. 

C’est un retour à l’ordre et à la discipline que toutes les parties prenantes devraient accepter, faciliter et  organiser. Les millions de visiteurs que nous recevons chaque année devraient garder une image reluisante du pays qu’ils ont choisi pour passer leurs vacances.

Mais pas que cela

C’est la raison pour laquelle trottoirs et chaussées, mobilier urbain et éclairage, propreté et salubrité, stationnements en deuxième et même troisième position ou en plein rond, point doivent suivre. Ces trottoirs défoncés ou envahis par les herbes folles, ces chaussées pleines de crevasses  et de tranchées, par la faute de ceux qui ont posé une canalisation ou un câble, doivent être réparés et les fautifs sanctionnés.

Les municipalités devraient mettre en place des rondes mobiles qui voient, constatent ce qui se passe dans ces villes et cités et sanctionnent sur-le-champ les contrevenants. Elles doivent procéder d’autorité à la réparation d’une chaussée abandonnée par ces interventions qui n’en finissent jamais et se faire rembourser par les contrevenants. Faire la chasse aux chauffards et à ceux qui confondent une rue, une avenue, un rond-point névralgique, à leur salon privé, etc.

C’est l’impunité qui a précipité cette dégradation urbaine et de nos… mœurs.

La mise à niveau et la reprise en main ne sont jamais sélectives dans ces cas où la contribution de tous serait nécessaire.

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