Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Tunisie : l’intelligence artificielle révolutionne le secteur du tourisme, selon l’IACE

Le secteur touristique en Tunisie est à l’aube d’une transformation majeure, portée par les avancées de l’intelligence artificielle (IA), selon une note d’analyse publiée par l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE).

Intitulée « Comment l’IA redéfinit l’industrie touristique en Tunisie », cette note recommande notamment, de se concentrer sur la création d’un incubateur national spécialisé dans les technologies appliquées au tourisme, baptisé TourTech. D’après la note, le rôle de « TourTech » serait “de servir de cadre de développement pour les startups tunisiennes actives dans l’IA, la réalité augmentée, ou la gestion prédictive appliquées au tourisme.”

Il s’agit également “de devenir une plateforme de collaboration entre développeurs, institutions touristiques, chercheurs et acteurs publics, en plus d’un levier pour l’accès aux données ouvertes, à des financements ciblés et à un réseau international d’expertise”.

Le document se réfère au Forum économique mondiale et sa publication “Travel & Tourism Development Index 2024”, et revient sur les expériences de certains pays de la région tels que l’Espagne, la France et le Maroc, notant que les pays qui réussiront le mieux la transition IA “sont ceux qui sauront conjuguer efficience digitale et richesse humaine, notamment en formant les professionnels du secteur aux nouveaux outils tout en maintenant un haut niveau d’interaction personnalisée”.

L’article Tunisie : l’intelligence artificielle révolutionne le secteur du tourisme, selon l’IACE est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : le ministère du Tourisme interdit les restrictions vestimentaires dans les hôtels

Tunisie : le ministère du Tourisme interdit les restrictions vestimentaires dans les hôtels

Dans un communiqué publié récemment, le ministère tunisien du Tourisme a rappelé une série de mesures destinées à encadrer la saison estivale et à garantir le respect des droits des vacanciers tout en préservant les traditions du pays.   Il est ainsi strictement interdit aux responsables d’hôtels et aux agences de voyages d’imposer ou de […]

The post Tunisie : le ministère du Tourisme interdit les restrictions vestimentaires dans les hôtels first appeared on Directinfo.

Tunisie : Le ministère du Tourisme interdit les restrictions vestimentaires dans les hôtels et agences de voyage

Le ministère du Tourisme et de l’artisanat a annoncé, mercredi, qu’il est interdit aux responsables des hôtels et des agences de voyage d’utiliser des panneaux ou des images visant à restreindre la tenue vestimentaire des estivants, ou d’imposer toute autre forme de restriction ou d’abus.

Cette mesure vise notamment à consacrer le principe de liberté garanti par la Constitution, tout en préservant l’ordre public et les traditions du pays, a indiqué le ministère du Tourisme dans un communiqué.

Le ministère a appelé également à respecter les normes techniques en vigueur pour les maillots de bain afin de garantir la santé et la sécurité publiques.

Et d’ajouter que l’imposition de toute forme de vente conditionnée à savoir durée minimale de réservation et de séjour dans les unités hôtelières ou conditions abusives sur les plages aménagées et dans les restaurants touristiques est formellement interdite.

L’article Tunisie : Le ministère du Tourisme interdit les restrictions vestimentaires dans les hôtels et agences de voyage est apparu en premier sur WMC.

Maroc : destination privilégiée des millionnaires en 2025, la Tunisie cherche sa place

D’après le Henley Private Wealth Migration Report 2025, seuls trois pays africains devraient enregistrer un afflux net de personnes disposant d’un patrimoine supérieur à un million de dollars : le Maroc, l’île Maurice et les Seychelles. Au niveau mondial, ce type de mobilité reste dominé par des destinations comme l’Australie, les Émirats arabes unis ou encore Singapour — des pays qui offrent à la fois sécurité, fiscalité attractive et perspectives économiques.

En Afrique, le Maroc devance même l’Afrique du Sud, longtemps considérée comme la première destination continentale pour les hauts revenus.

Plusieurs facteurs expliquent cette montée en puissance marocaine : un climat d’affaires jugé de plus en plus stable, des réformes économiques mises en œuvre depuis plus d’une décennie, une infrastructure modernisée, notamment dans les grandes métropoles, ainsi qu’une politique fiscale compétitive. Des villes comme Casablanca, avec son statut de hub financier, et Marrakech, prisée pour sa qualité de vie, attirent aussi bien des fortunes locales que des investisseurs internationaux.

Le Africa Wealth Report 2025 confirme cette dynamique, en plaçant le Maroc dans le top 5 des pays africains comptant le plus de millionnaires, avec environ 6 800 individus possédant un actif net supérieur à un million de dollars.

Et la Tunisie dans tout ça ?

C’est l’absence remarquée de la Tunisie dans ce classement qui suscite l’interrogation. Ni mentionnée comme pays de destination, ni dans les flux de départ, elle semble absente des radars internationaux sur la mobilité de la richesse.

En 2013, le pays comptait pourtant plus de 6 500 millionnaires selon certaines estimations aujourd’hui dépassées. Alors que le Maroc s’est imposé dans les classements de cabinets comme New World Wealth (partenaire de Henley & Partners), la Tunisie n’y figure plus, faute de données économiques fiables et accessibles.

Un déficit de transparence statistique et une communication institutionnelle peu offensive sur l’attractivité du pays pourraient expliquer cette mise à l’écart. Dans un contexte international de concurrence pour les talents et les capitaux, l’image compte autant que les indicateurs.

Pour se repositionner, le pays pourrait investir dans la modernisation de son appareil statistique, améliorer son climat des affaires, et renouer le dialogue avec les investisseurs internationaux.

Car au-delà de la simple présence dans un classement, ce sont les capacités d’attraction, de rétention et de projection économique qui détermineront le rôle que les pays joueront dans l’économie mondiale de demain.

Safaris, plages, culture : l’Afrique, nouvelle destination phare des touristes chinois

Avec l’arrivée des vacances d’été, synonymes de chaleur et de détente, de plus en plus d’internautes chinois partagent sur Rednote — une application chinoise populaire, mêlant les fonctionnalités d’Instagram et de Reddit — leurs projets de voyage ou leurs billets d’avion pour des destinations africaines.

Sur les quatre premiers mois de l’année 2025, la demande de voyages vers le continent africain a enregistré une hausse de 9,1 % par rapport à la même période en 2024, un taux supérieur à la moyenne mondiale (+6 %), selon l’Agence Ecofin, citant une conférence de presse de l’Association internationale du transport aérien (IATA).

Cette progression illustre non seulement un intérêt touristique en forte croissance, mais aussi l’attrait croissant de l’Afrique comme destination de choix, aussi bien pour les touristes chinois que pour ceux d’autres régions du monde.

Un continent en vogue auprès des touristes chinois

« Le safari me donne un sentiment de liberté : ce n’est pas comme ces sites touristiques où il faut suivre un programme précis ; ici, chaque rencontre est une surprise », écrit une touriste chinoise sur Rednote après une journée passée à observer la faune dans le parc du Masai Mara, au sud-ouest du Kenya.

De plus en plus de touristes chinois sont séduits par ce type d’expérience immersive. Lions, zèbres ou girafes apparaissent au détour des pistes, transformant chaque excursion en une aventure inédite.

Au-delà des safaris, c’est la richesse des paysages, la diversité de la faune et la profondeur culturelle du continent qui attirent. Pour répondre à cette demande plurielle, les agences de voyage chinoises diversifient leurs offres.

« L’intérêt pour les destinations d’Afrique du Nord, comme l’Égypte, la Tunisie ou le Maroc, est en nette progression ces deux dernières années », indique Li Jing, du département tourisme du Centre de communication pour l’Afrique au sein du Conseil de promotion économique et commerciale Chine-Afrique, lors de la 4 Exposition économique et commerciale Chine-Afrique à Changsha, dans la province du Hunan.

Selon elle, les préférences varient selon les profils : les passionnés de faune sauvage privilégient l’Afrique de l’Est, les amateurs de plages optent pour le nord du continent, et les voyageurs en mission ou expérimentés s’orientent vers des circuits combinant affaires et loisirs, comme le golf en Afrique du Sud.

Un marché en expansion soutenue

L’essor du tourisme chinois en Afrique s’accompagne d’un renforcement des liaisons aériennes. China Southern Airlines a annoncé que sa liaison entre Guangzhou et Nairobi passera à trois vols aller-retour par semaine à partir du 24 juillet, contre deux précédemment.

Mais cet engouement ne se limite pas à la Chine. Au niveau mondial, l’Afrique affiche la plus forte croissance en matière d’arrivées internationales au premier trimestre 2025 (+9 % par rapport à la même période en 2024), selon un rapport de l’ONU Tourisme sur l’état du tourisme africain.

Parmi les destinations les plus dynamiques : la Gambie, le Maroc, l’Éthiopie et l’Afrique du Sud.

D’après le rapport Tendances de voyages 2025 publié par Mastercard Economics Institute, les voyages axés sur la nature, le bien-être et la gastronomie figurent parmi les principaux moteurs de l’attractivité touristique du continent.

Des pays comme la Namibie ou l’Afrique du Sud proposent aux visiteurs de se reconnecter à la nature dans des hébergements écoresponsables ou de se ressourcer dans des retraites de méditation.

« L’Afrique émerge comme un leader mondial des voyages à but spécifique, où la nature, le bien-être et l’authenticité redéfinissent l’expérience touristique », affirme Mark Elliot, président de la division Afrique de Mastercard.

Des initiatives africaines pour capter le marché chinois

Conscients du potentiel du tourisme dans le développement du continent, de nombreux pays africains multiplient les initiatives. L’Africa’s Travel Indaba, l’un des plus grands rendez-vous touristiques africains, illustre cette dynamique.

Lors de la cérémonie d’ouverture, le vice-président sud-africain Paul Mashatile a affirmé que le secteur devrait représenter 10,4 % du PIB du continent d’ici 2030, contre 6,8 % actuellement. En Afrique du Sud, il pèse déjà 8,9 % du PIB et soutient 1,68 million d’emplois — avec pour objectif d’atteindre les 2 millions d’ici 2030.

De son côté, le Zimbabwe capitalise sur ses relations historiques avec la Chine pour attirer davantage de touristes chinois. « Le marché chinois est en croissance. Avec plus d’un milliard d’habitants, c’est une cible stratégique », a déclaré Tongai Mnangagwa, vice-ministre du Tourisme.

Plus de 4,3 millions visiteurs au cours du premier semestre 2025

Le directeur général de l’Office national du tourisme tunisien (ONTT), Mohamed Mehdi Haloui, a indiqué ce mardi 8 juillet, sur les ondes de Mosaïque FM, que les résultats de la saison touristique 2025 sont positifs à fin juin.

Le pays a enregistré l’arrivée de plus de 4,3 millions de touristes, ce qui constitue une progression remarquable de 11 % par rapport à la même période en 2024.

Quant aux dépenses des touristes, elles se sont élevées à plus de 3 milliards de dinars, en hausse de plus de 8 %.

Selon Haloui, le tourisme reste le principal pourvoyeur de devises étrangères pour l’économie tunisienne. Il a toutefois insisté sur le fait que la priorité ne repose pas uniquement sur le volume des visiteurs, mais aussi sur la qualité des services et la satisfaction des clients.

Dans ce cadre, des équipes de contrôle et de suivi sont ainsi déployées pour accompagner les établissements touristiques et garantir des standards élevés d’accueil et de prestation.

L’article Plus de 4,3 millions visiteurs au cours du premier semestre 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tozeur : 120 nouvelles places à l’École de formation touristique pour la rentrée 2025-2026

Quelque 120 places seront disponibles à l’Ecole de Formation dans les Métiers du Tourisme (EFMT) à Tozeur pour la nouvelle rentrée 2025-2026, a indiqué à l’Agence TAP, le directeur de l’établissement, Bassem Amara.

De nouvelles formations en cuisine, pâtisserie et maintenance (1 an) ainsi que de techniciens professionnels (2 ans) seront proposées en alternance, a-t-il indiqué.

Un programme de formation en tourisme et des cours de langues seront également offerts aux inscrits, a ajouté la même source.

L’inscription en ligne pour la nouvelle rentrée 2025-2026 a été ouverte, le 15 juin, pour rejoindre l’Ecole de Formation dans les Métiers du Tourisme (EFMT) de Tozeur.

L’article Tozeur : 120 nouvelles places à l’École de formation touristique pour la rentrée 2025-2026 est apparu en premier sur WMC.

Tunisie – Tourisme : plus de 95 000 Algériens ont visité Jendouba en juin 2025, en hausse de 17 %

Plus de 95 mille Algériens sont entrés, en juin dernier, en Tunisie, via les trois postes frontaliers de Jendouba à savoir Melloula (Tabarka), Babouche (Ain Draham) et Jlaiel dans la délégation de Ghardimaou, enregistrant une augmentation de 17 pc par rapport à la même période de 2024, selon le Délégué régional au tourisme Issa Marouani.

Le poste de Melloula arrive en tête en accueillant cette année 64 mille touristes algériens, soit quatre mille touriste de plus par rapport à 2024.

Le poste de Babouche a accueilli 22 mille 700 Algériens, contre 15 mille 700 par rapport à juin 2024, soit une hausse de plus de 44 pc.

La situation n’a pas été différente au poste-frontière de Jlaiel dans la délégation de Ghardimaou quant à l’évolution du nombre de visiteurs durant le mois de juin écoulé, comparé au même mois de l’année précédente.

En effet, le poste a enregistré l’arrivée de 8 944 personnes contre 5 232 durant la même période de l’année passée, soit une augmentation de plus de 70 %, représentant le taux le plus élevé enregistré par ce poste-frontière au cours des cinq dernières années.

Au cours du premier semestre de l’année en cours (du 1er janvier au 30 juin), le nombre de visiteurs algériens ayant franchi les trois postes-frontières du gouvernorat de Jendouba a connu une hausse de 7,64 %, avec environ 461 000 touristes contre 428 000 durant la même période de l’année précédente.

Selon la même source, la région devrait continuer à accueillir un nombre important de touristes algériens avec le début de la haute saison touristique durant les mois de juillet et août. Cette affluence devrait contribuer à une relance du secteur touristique, à dynamiser l’activité économique, l’artisanat et le transport touristique, notamment après l’ajout de deux vols à l’aéroport international de Tabarka- Aïn Draham en provenance de Pologne.

L’article Tunisie – Tourisme : plus de 95 000 Algériens ont visité Jendouba en juin 2025, en hausse de 17 % est apparu en premier sur WMC.

Gabès : Un colloque pour promouvoir l’investissement touristique lors de la Fête de la mer 2025

Un colloque sur les opportunités d’investissement dans le secteur du tourisme à Gabès sera organisé, dans le cadre du festival «Fête de la mer » prévu du 24 au 26 juillet courant.

Le directeur régional au tourisme, Béchir Gdiri, a indiqué, samedi, à l’Agence TAP que cet évènement vise à faire connaitre les perspectives d’investissement offertes par le marché du tourisme à Gabès, ainsi que les incitations accordées en la matière.

Il a ajouté qu’un exposé des mégaprojets programmés dans la région sera présenté dont la cité thermale d’El Khbayet à El Hamma-ouest et la zone d’écotourisme intégrée à Gabès-sud.

Quelque 60 entrepreneurs originaires de Gabès ont obtenu un accord de principe pour la réalisation de projets dans le tourisme alternatif, d’après la même source.

L’article Gabès : Un colloque pour promouvoir l’investissement touristique lors de la Fête de la mer 2025 est apparu en premier sur WMC.

Djerba Music Land : l’événement annuel qui fait vibrer le tourisme sur l’île

Du 31 juillet au 3 août, Djerba va de nouveau vivre au rythme du Djerba Music Land, le festival de musique électronique qui s’impose comme le rendez-vous estival par excellence. Installé en plein air, sur l’emblématique terrasse du Grand Casino, cet événement musical revient pour sa 10ème édition.

Djerba Music Land 2025 : le festival musical sera cette année encore un savant mélange de têtes d’affiche internationales et de valeurs sûres de la scène nationale, plus de 20 DJs réunis autour d’un même objectif : faire danser le public de Djerba sous les étoiles avec pas moins de 5 DJs tous les soirs qui se relaieront sur scène pour offrir le meilleur de leur univers sonore.

logo-djerba-music-landPlusieurs sommités viendront spécialement en Tunisie pour l’occasion, notamment la légende allemande Sven Vath qui sera derrière ses platines pour un set qui s’annonce mémorable, en plus de la participation de Stephan Bodzin (en ouverture le 31 juillet), Alex Wann (2 août)… Le tout, clôturé par l’habituel show à succès Al Disco Al Arabi (3 août). Côté tunisien, les DJ Mehdi Maghraoui, Rayhane, Wail Bouri… captiveront le public avec leur style et leur énergie.

Un moment fort pour le tourisme

Les organisateurs de Djerba Music Land expliquent qu’il s’agit d’une expérience pour vivre Djerba la nuit dans la continuité du séjour balnéaire et culturel diurne. Un moment fort du tourisme sur l’île où se retrouvent chaque année des milliers de festivaliers venus des 4 coins de la Tunisie mais aussi de l’étranger, aux côtés des touristes dans les hôtels et des habitants pour partager un même tempo, entre amis ou en famille.

« Chaque année, nous constatons que l’événement gagne en attractivité et crée une émulation exceptionnelle sur toute l’île de Djerba », explique à ce propos Mohamed Jerad, fondateur et organisateur de cet événement.

« Cet été, nous renouvelons l’expérience du site du Grand Casino qui a permis d’élargir l’espace disponible pour les festivaliers et créer des pôles d’intérêts supplémentaires portant sur l’artisanat par exemple », a-t-il ajouté.

djerba-music-land-2025-afficheCar ce festival participe activement à la dynamique estivale de Djerba, en attirant un public venu de toute la région – voire de plus loin – avec des retombées notables sur la vie locale.

Hôtels, commerces, restauration : la zone tout entière vibre à l’unisson du Djerba Music Land.

Tunisia Music Land, société organisatrice de l’événement, mettra en place les moyens techniques à la hauteur de cet événement avec une scène impressionnante de beauté, une scénographie lumière à couper le souffle, une qualité sonore irréprochable et des soirées inoubliables, en toute sécurité.

Artisanat et musique feront bon ménage

Et la grande nouveauté de l’année portera sur la mise en place d’une forme de marché, le Djerba Music Land Market, lieu d’exposition-vente de produits de l’artisanat notamment avec une sélection d’artisans et de créateurs proposant vêtements originaux, sacs, bijoux, accessoires, goodies uniques et objets d’art à découvrir et à emporter.

Une manière pour les organisateurs d’élargir le cercle des bénéficiaires des retombées du festival à d’autres corps de métiers pour intensifier l’expérience du séjour djerbien.

Qui est Tunisia Music Land, organisatrice du Djerba Music Land : 

Tunisia Music Land est une société spécialisée dans l’organisation d’événements artistiques et musicaux d’envergure. Elle est dirigée par des professionnels chevronnés ayant une longue expérience à la fois dans le Djing, la communication et l’événementiel. Elle se dit avoir pour ambition de soutenir l’image de la Tunisie en tant que Destination Clubbing afin de promouvoir cette offre touristique à l’échelle internationale.

Tunisia Music Land annonce vouloir étendre le concept à d’autres régions de la Tunisie. Dans son Business Plan, l’entreprise déclare envisager de développer des événements de ce type dans plusieurs gouvernorats, et ce dans le but d’y soutenir le développement touristique en générant une dynamique économique profitant à tout l’écosystème local.

Le Djerba Music Land dans nos archives:

2024: Djerba Music Land réussit à préserver son ADN malgré le changement de site

2022: Comment le Djerba Music Land fait battre le tempo touristique de l’île

2019: A Djerba, ça commence par une Beach Party et ça débouche en événement touristique de dimension internationale

L’article Djerba Music Land : l’événement annuel qui fait vibrer le tourisme sur l’île est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Tourisme : Un numéro vert pour les réclamations des citoyens et des touristes

Tourisme : Un numéro vert pour les réclamations des citoyens et des touristes

Un numéro vert (80 100 333) est mis à la disposition des citoyens et des touristes, pour recevoir les réclamations et les plaintes, rappelle le ministère du Tourisme. Le département affirme, à cet effet, “son engagement à garantir la qualité des services des établissements d’hébergement touristique et des agences de voyages”. « PrécédentRetour À La […]

The post Tourisme : Un numéro vert pour les réclamations des citoyens et des touristes first appeared on Directinfo.

Edito – Humilité

Les statistiques sont souvent trompeuses. Elles cachent l’essentiel. Les chiffres sont certes justes, irréprochables, utiles et nécessaires bien que partiels, et donc forcément partiaux pour couvrir l’étendue de la réalité. C’est pourquoi une analyse des données plus fine et plus approfondie s’impose. Sans quoi, il serait illusoire de construire des politiques publiques et sectorielles propices à l’action. Les recettes touristiques, tout autant que les transferts de revenus des TRE qui viennent d’être annoncés en sont une parfaite illustration. Les premières ont progressé de 8,5 % pour atteindre 3 milliards de dinars le 20 juin 2025. Les seconds ont connu la même trajectoire pour s’élever à 3,7 milliards de dinars, soit une hausse de 8,4 % par rapport à la même période de l’année dernière.

Que dire, sinon que l’éclaircie touristique est bien réelle. A mi-chemin de l’année, le pays a engrangé 3 milliards de dinars de recettes, dépassant son propre record de 2019 d’avant Covid, une année de référence par excellence. Les revenus des TRE ne sont pas en reste et apportent du baume au cœur : 3,7 milliards de dinars, avec l’espoir de voir doubler cette manne en devises en ces temps de disette. C’est plus qu’inespéré. Comment ne pas s’en réjouir d’autant qu’au total, ils arrivent à couvrir jusqu’à 89,5 % du service de la dette. Ils nous enlèvent une épine du pied et nous libèrent de la dictature des marchés financiers qui nous boudent et des bailleurs de fonds qui font la sourde oreille et nous tournent le dos.

 

Les recettes touristiques sont très en deçà de ce qu’elles devraient être. On est bien loin des normes mondiales, alors même qu’on a beaucoup investi en unités et en infrastructures hôtelières à la charge de l’Etat. On pouvait espérer un meilleur retour sur investissement. Certes, le secteur retrouve aujourd’hui quelques couleurs et c’est tout à l’avantage d’une économie placée sous perfusion, en mal de liquidité. Mais, c’est loin d’être la marque d’un véritable exploit.

 

Le tourisme de retour ? Il revient en tout cas de loin, même s’il lui reste d’immenses espaces à reconquérir. Victime expiatoire de la décennie 2010, il a été la cible d’attaques terroristes des industriels de la mort. Pour les tenants de l’islam politique, il ne pouvait être que l’incarnation du mal, le symbole d’une idéologie et d’un projet de société qu’ils abhorrent et vouent aux gémonies. Le tourisme tunisien y avait vécu sa période la plus ténébreuse après avoir connu son âge d’or trente ans auparavant. Les chocs récurrents, internes et externes (la pandémie de Covid notamment), l’ont fortement abîmé en l’absence d’aide et de soutien, sans entamer la détermination et la conviction des professionnels en capacité d’agir. Certains et non des moindres ont mis à contribution cette tornade idéologique et sanitaire pour se réinventer, repenser leur offre et se mettre au standard des attentes d’une clientèle désormais à la fibre écologique et environnementale, sans rien concéder à leur exigence d’exotisme tout confort. Le secteur a retrouvé sa vitesse de croisière d’avant-crise, au prix d’une saignée dont on n’a pas fini de mesurer les séquelles. Qu’adviendra-t-il des unités hôtelières déjà asphyxiées par la dette au point de fermer boutique ? Doit-on laisser dépérir un capital touristique accumulé au prix d’un énorme sacrifice national ?

La question hante tous les esprits sans jamais trouver de véritables solutions. Et c’est précisément ce côté trouble et obscur du tourisme tunisien qui fait problème, même si on continue de construire, malgré les réticences des banques, des palaces pour une clientèle haut de gamme. C’est d’ailleurs le meilleur message qu’on puisse envoyer aux professionnels du tourisme qui dominent la planète. C’est ainsi qu’on redore le blason de notre tourisme national qui vit de son éclat dans la galaxie touristique mondiale. Seul bémol : dans la course-poursuite à l’échelle mondiale, on ne fait pas assez d’efforts. Il en faut davantage pour se faire une place au soleil, peser et compter.

S’il faut se réjouir des résultats du tourisme au même titre que du niveau des transferts des TRE, véritables épines dorsales et acteurs clés de notre souveraineté nationale, on ne doit pas non plus manquer d’humilité. Aurions-nous pu mieux faire ? La question mérite d’être posée. On est loin de l’exploit et plus loin encore d’une victoire qui scellerait l’avenir du tourisme tunisien. Ce serait oublier et passer sous silence les failles, les insuffisances, les fragilités accumulées au fil du temps. Pour un pays qui s’est illustré par le passé comme l’une des meilleures destinations touristiques du bassin méditerranéen, les résultats sont moins éloquents qu’ils n’y paraissent. Moins de 7 % du PIB qui n’a pas évolué – ou très peu – ces 15 dernières années, sans que cela déclenche controverse et polémique.

Les recettes touristiques sont très en deçà de ce qu’elles devraient être. On est bien loin des normes mondiales, alors même qu’on a beaucoup investi en unités et en infrastructures hôtelières à la charge de l’Etat. On pouvait espérer un meilleur retour sur investissement. Certes, le secteur retrouve aujourd’hui quelques couleurs et c’est tout à l’avantage d’une économie placée sous perfusion, en mal de liquidité. Mais, c’est loin d’être la marque d’un véritable exploit.

La Tunisie est, de ce point de vue, le pays de tous les paradoxes : le coût du lit est l’un des plus élevés dans la région – allez savoir pourquoi – et les recettes par touriste sont parmi les plus faibles, malgré la prolifération des étoiles. Pourtant, le tourisme tunisien a tout pour séduire, asseoir sa notoriété et attirer une clientèle en quête de loisir, de découverte, d’aventure et de sens tout au long de l’année. A moins d’une heure de vol de l’Europe, il offre une biodiversité, une chorégraphie géographique et une richesse des territoires comme nulle part ailleurs. Montagnes, plages à n’en pas finir, désert, vestiges anciens, tourisme médical, thermal, golfique, culturel, une histoire et une culture plus d’une fois millénaires, et par-dessus tout, des lieux mythiques. Tout ce qu’il faut pour se déconnecter tout en étant pleinement connecté. Un énorme potentiel pour si peu de revenus : 3 milliards de dinars pour les six premiers mois de l’année et au mieux un peu plus que le double pour clôturer l’exercice. Moins de 2 milliards d’euros. Autant dire que le verre est à moitié vide…

 

Les Tunisiens, où qu’ils se trouvent, de concert ou sous l’impulsion des autorités – qui ne font pas assez -, doivent s’engager dans une vaste et incessante opération de protection de l’environnement et de nettoyage de nos côtes, de nos plages, de nos villes et de nos campagnes.

 

Quand on veut on peut, et quand on peut on doit. Le tourisme tunisien doit se donner davantage d’ambition et sans doute aussi les moyens pour reconquérir les marchés perdus au profit d’autres destinations moins bien loties. Les professionnels du tourisme ne sont pas seuls en cause. C’est tout le pays qui doit se mobiliser pour contribuer au succès et à la prospérité d’un secteur par lequel les emplois, les devises et la promesse d’un lendemain meilleur arrivent.

Les Tunisiens, où qu’ils se trouvent, de concert ou sous l’impulsion des autorités – qui ne font pas assez -, doivent s’engager dans une vaste et incessante opération de protection de l’environnement et de nettoyage de nos côtes, de nos plages, de nos villes et de nos campagnes. L’exigence écologique et la propreté sinon rien ! Les entreprises qui se parent des vertus de la RSE sont en première ligne. La qualité des services ne se décline pas qu’à l’intérieur des palaces, des hôtels, des restaurants et chez les commerçants; elle s’exprime aussi dans les services publics, les moyens de transport, les rues, dont les trottoirs sont jonchés de détritus aux odeurs nauséabondes et livrés aux meutes des chiens errants.

La propreté n’est pas que d’ordre moral, elle a un effet miroir qui ne trompe pas. Tout le pays est concerné. Les retombées du tourisme impactent tous les secteurs et l’ensemble des professions. Si, aujourd’hui, son apport est faible au regard du potentiel de développement du secteur, c’est peut-être aussi par absence ou par déficit de synergie entre professionnels, départements du commerce, de la culture et diplomatie économique.

 

Sommes-nous sûrs d’utiliser les moyens appropriés pour optimiser les transferts de revenus des TRE ? Qu’avons-nous proposé d’inédit, d’alléchant pour les inciter à investir en Tunisie ? Leur a-t-on offert suffisamment de garanties en matière de risque de change, d’assurance et de rémunération auxquelles ils peuvent prétendre ? Rien n’est moins sûr.

 

On peut en dire autant des transferts de revenus des TRE, tout en soulignant l’importance relative de leurs apports qui, il faut bien le souligner, sont de nature à réanimer l’économie et nous éviter un naufrage financier. Ici aussi, les montants transférés sont en deçà de ce qu’ils pourraient être au regard des rémunérations, de la qualité et des compétences des Tunisiens résidents à l’étranger, notamment ceux issus des récentes vagues d’émigration qui gagnent en ampleur. Sommes-nous sûrs d’utiliser les moyens appropriés pour optimiser leurs transferts de revenus ? Qu’avons-nous proposé d’inédit, d’alléchant pour les inciter à investir en Tunisie ? Leur a-t-on offert suffisamment de garanties en matière de risque de change, d’assurance et de rémunération auxquelles ils peuvent prétendre ?

Rien n’est moins sûr. Notre diplomatie, la BCT, les structures d’accueil à l’étranger, les banques locales doivent se mobiliser davantage, affiner « l’offre nationale » en adéquation avec leurs attentes. Il faut de l’audace, une attitude disruptive qui tranche avec des pratiques désuètes et caduques pour les mettre à contribution dans une sorte de Meccano industrialo-financier gagnant-gagnant. Comparaison n’est pas toujours raison. Il n’empêche, nous avons beaucoup à gagner à nous inspirer des expériences de pays semblables au nôtre.

A l’aune de cet exercice, on mesure l’énorme étendue de ce qui reste à faire.

Cet édito est disponible dans le mag. de l’Economiste Maghrébin n° 923 du 2 au 16 juillet 2025.

L’article Edito – Humilité est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Ain Draham : La région retrouvera-t-elle son âge d’or touristique ?

Le parc hôtelier du village touristique d’Ain-Draham vient d’être enrichi par la réhabilitation de l’hôtel « La Forêt ». Après une fermeture de dix ans, l’hôtel s’est offert, tout en conservant sa structure extérieure, un nouveau look architectural intérieur de luxe.

Réouvert en grande pompe, le 20 juin 2025, l’hôtel sera ouvert, toute l’année, pour les séjours nature, les familles, le tourisme de chasse, le tourisme d’affaires et les groupes sportifs. L’hôtel étant situé à quelques mètres du Complexe sportif international d’Aïn Draham.

Mention spéciale pour les tarifs. Ils seront linéaires sur toute l’année, afin de garantir une accessibilité constante, sans variation saisonnière. Ils varient entre 360 dinars pour une chambre double standard à 572 dinars pour une suite de luxe. Il s’agit, de toute évidence,  d’une montée en gamme.

Classé 4 étoiles, l’établissement d’une capacité totale de 134 lits propose 58 chambres, en plus de 3 suites junior et 2 suites senior supérieures.

Parmi les nouveautés majeures de cette réhabilitation, figurent la création de deux piscines, une piscine extérieure et une autre intérieure chauffée et un centre spa, intégrant cabines de massage, hammam et salon de coiffure.

“Après une fermeture de dix ans, l’hôtel s’est offert, tout en conservant sa structure extérieure, un nouveau look architectural intérieur de luxe.”

 

Bientôt deux autres hôtels

Le parc hôtelier d’Ain draham, qui compte jusqu’à la réouverture de l’hôtel La forêt, trois établissements : Le centre thermal El Mouradi Hammam Bourguiba (4 étoiles), Royal Rihana Hôtel (3 étoiles), Dar Ismail Nour El Ain (4 étoiles), sera renforcé, en principe,  en 2026 par deux autres hôtels : Les chênes By El Badira (ex l’hôtel les chênes, trois étoiles) et, l’Eco Hôtel et Spa de luxe bientôt à Béni M’tir.

Nous disions bien «en principe» parce que les promoteurs de ces deux dernières unités traînent trop la patte et s’ingénient à inventer, souvent, de fausses raisons pour justifier le retard.

“Ce renouveau hôtelier va permettre au site touristique d’Ain Draham, haut lieu de villégiature sereine, de renouer avec son glorieux passé.”

 

Est-il besoin de rappeler que la réouverture de l’hôtel «Les chênes By El Badira» était prévue pour septembre 2022. Idem pour Green Hill Resorts qui va exploiter la source de Hammam Salhine. Ce centre thermal, lancé depuis 2006 (20 ans de retard) avec un cofinancement européen n’a pas pu ouvrir ses portes jusqu’à ce jour. Il pose sérieusement problème. Son propriétaire semble attendre un cadeau du ciel pour achever les travaux et ouvrir l’établissement. La patience des habitants du village de Ben Metir est mise à rude épreuve. Le ministère du tourisme et les autorités régionales, en fermant l’œil sur les tergiversations du promoteur,  assument avec lui, une grande responsabilité dans ce retard monstre.

En dépit de ces difficultés gérables, nous ne pouvons que saluer ce renouveau hôtelier dans la ville d’Ain Draham.

L’idéal serait toutefois d’accompagner cette nouvelle dynamique par deux initiatives : la réouverture de l’Ecole de formation dans les métiers du tourisme à Ain draham et l’octroi d’autorisations à des privés pour animer la région (restaurants de luxe, salons de thé, boîtes de nuit….).

Ain Draham sur la voie de renouer avec son passé glorieux

Et pour ne rien oublier, ce renouveau hôtelier va permettre au site touristique d’Ain Draham, haut lieu de villégiature sereine, de renouer avec son glorieux passé.

Dans son ouvrage, «Ain Draham, village de création récente aux multiplies spécificités», le professeur d’histoire Mohamed Dabboussi revient sur l’âge d’or d’Ain Draham, spécialisé depuis 1930 dans le tourisme intérieur et administratif.

“En 1937, Ain Draham était un des rares sites touristiques tunisiens à figurer à l’époque sur les revues spécialisées, routards et guides touristiques français.”

 

En 1937, Ain Draham était un des rares sites touristiques tunisiens à figurer à l’époque sur les revues spécialisées, routards et guides touristiques français (Michelin, Joanne…).

Selon Mohamed Daboussi, sur un total de 66 hôtels (480 lits au total) que comptait la Tunisie en 1937, quatre étaient opérationnels à Ain Draham, soit une capacité de 100 lits. Il s’agit des hôtels « Beau Séjour », « Les Chênes », « Les Fougères », « Les Sources ».

Pour comprendre l’âge d’or touristique de ce village à cette époque, des villes balnéaires comme Sousse et Hammamet comptaient chacune, à cette époque,  2 hôtels seulement. Seule Tunis se démarquait avec 22 hôtels.

Abou SARRA

EN BREF

  • L’hôtel “La Forêt” à Ain Draham a rouvert, marquant un renouveau hôtelier majeur après dix ans de fermeture.
  • Deux autres hôtels sont prévus pour 2026, bien que leur développement subisse des retards notables.
  • Ain Draham cherche à retrouver son passé glorieux en tant que destination touristique prisée.

L’article Ain Draham : La région retrouvera-t-elle son âge d’or touristique ? est apparu en premier sur WMC.

Mahjoub Guerfali n’est plus : le tourisme tunisien perd l’une de ses figures emblématiques

Le secteur du tourisme tunisien est en deuil suite à la disparition, ce jour, de Mahjoub Guerfali, l’une des figures emblématiques de l’administration.

Ancien directeur général de l’ONTT de 1988 à 1991, puis à la tête de l’Office national de l’artisanat (ONA), Mahjoub Guerfali a marqué de son empreinte des décennies d’action publique au service de la promotion touristique de la Tunisie.

Mais son engagement ne s’arrêtait pas à l’administration. Il fut aussi une figure sportive reconnue, notamment au Club sportif de Hammam Lif, avec lequel il remporta le championnat de Tunisie de handball lors de la saison 1962/63.

L’histoire retiendra également son rôle précoce dans le militantisme étudiant : il fut l’un des pères fondateurs de l’UGET (Union Générale des Étudiants de Tunisie) au début des années 1950. Jusqu’à récemment encore, il restait actif au sein de l’ATDT, l’Association des anciens du tourisme, témoignant d’un attachement indéfectible à la profession.

En cette douloureuse circonstance, nous présentons nos condoléances les plus sincères à sa famille.

L’article Mahjoub Guerfali n’est plus : le tourisme tunisien perd l’une de ses figures emblématiques est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Été 2025 : la Tunisie affiche une hausse de 13 % chez les T.O en France

Alors que l’été 2025 s’annonce, les tour-opérateurs français observent une dynamique contrastée sur les destinations moyen-courriers.

Selon les données publiées par le SETO (Syndicat des entreprises du tour-operating), les réservations enregistrées au 30 avril pour des départs entre le 1er mai et le 31 octobre montrent une progression notable vers certaines destinations. La Tunisie affiche une hausse de 13 % par rapport à 2024, devant le Maroc (+12 %) et l’Égypte (+8 %).

À l’inverse, les îles grecques, pourtant très prisées, enregistrent une légère baisse de 1 %. En volume de forfaits vendus, le classement des destinations les plus demandées reste dominé par les îles grecques, suivies de la Tunisie, des Baléares, du Maroc et de la Grèce continentale.

Les Canaries, l’Italie, l’Espagne continentale, le Portugal et l’Égypte complètent le top 10. Mais cette dynamique pourrait être fragilisée. Le SETO met en garde contre les incertitudes géopolitiques actuelles, qui pèsent lourdement sur la visibilité des opérateurs.

« Le grand gagnant de l’incertitude, c’est le non-marchand, c’est-à-dire les gens qui vont visiter leur famille ou leurs amis », a rappelé son président sortant. L’Égypte, la Jordanie et Oman figurent parmi les destinations qui pourraient particulièrement souffrir de ce climat instable, avec des retombées attendues sur les réservations et les résultats globaux de la saison.

 

 

L’article Été 2025 : la Tunisie affiche une hausse de 13 % chez les T.O en France est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Malgré la guerre, des Ukrainiens vont passer leurs vacances d’été en Tunisie

Malgré la guerre et les difficultés économiques persistantes, de plus en plus d’Ukrainiens choisissent de passer des vacances à l’intérieur et à l’extérieur de leur pays. Et de plus en plus d’Ukrainiens choisissent la Tunisie.

Selon un nouveau rapport de l’agence de marketing numérique Inweb, cité par NV Business, en 2024, 51% des Ukrainiens ayant prévu des vacances ont choisi des destinations nationales. Ce chiffre devrait augmenter pour atteindre 85% en 2025.

Selon la même étude, seuls 29% des personnes sondées prévoient de voyager à l’étranger cet été. On observe toutefois une nette tendance à la hausse vers les destinations européennes : Bulgarie (+78%), la Grèce (+59%), Chypre (+28%) et l’Espagne (+10 %). La simplification logistique, comme les circuits en bus et les vols courts, est à l’origine de cette tendance.

Les destinations internationales les plus populaires sont l’Égypte, la Turquie, la Grèce, la Bulgarie, le Monténégro et la Tunisie. Cependant, l’intérêt pour la Tunisie a considérablement augmenté grâce aux nouveaux vols au départ de Chisinau, désormais une plaque tournante incontournable pour les voyageurs ukrainiens.

Avant l’invasion russe, en 2023, quelque 27 000 Ukrainiens visitaient la Tunisie chaque année. L’espoir est de voir ce chiffre de nouveau atteint au cours des prochaines années. Quoique la poursuite de la guerre fait planer l’incertitude sur une réelle reprise des marchés est-européens, notamment russe et polonais, qui constituent un réservoir intéressant pour la destination Tunisie.  

I. B.

L’article Malgré la guerre, des Ukrainiens vont passer leurs vacances d’été en Tunisie est apparu en premier sur Kapitalis.

Vacances en Tunisie : Deux numéros verts pour faire entendre sa voix

Le ministère du Tourisme a récemment remis en avant ses numéros verts, outils mis en place pour permettre à tout citoyen tunisien et touriste étranger de signaler des problèmes rencontrés dans les établissements touristiques. Depuis les années 2000, ces lignes directes existent pour renforcer la proximité entre les vacanciers et les autorités, même si leur usage reste parfois discret.

Le premier numéro, 80100440, dépend directement du ministère. Il est destiné à recueillir les plaintes liées aux hôtels et aux séjours touristiques. Le second, 80100333, est géré par l’Office National du Tourisme Tunisien (ONTT), chargé de suivre la qualité des services offerts dans le secteur.

Dans une intervention à la radio nationale le 27 juin 2025, Wahida Jaaït, chargée de mission auprès du ministre, a insisté sur le fait que les touristes tunisiens bénéficient du même traitement que les étrangers, un point souvent évoqué mais parfois contesté dans les faits.

Un outil pour tous les touristes, sans distinction

Elle a aussi précisé que les réclamations peuvent être déposées par téléphone ou par courrier, et qu’une structure administrative centrale est dédiée à leur suivi, en liaison avec les délégations régionales réparties sur tout le territoire tunisien.

Cependant, si l’existence de ces numéros verts est un progrès indéniable, la transparence sur leur efficacité et le volume des appels reçus reste limitée. Le ministère ne communique pas régulièrement de statistiques sur le traitement des plaintes, ce qui alimente une certaine méfiance chez les usagers.

Le tourisme intérieur en chiffres

Sur le plan des chiffres, les touristes tunisiens constituent une part non négligeable du secteur. On estime à environ 6 millions le nombre de nuitées passées par les Tunisiens résidents dans les hôtels touristiques, soit 25 % du total enregistré. Leur nombre est évalué à près de 2,5 millions de personnes, représentant ainsi 38 % de l’ensemble des clients.

Enfin, le ministre du Tourisme, Sofiane Tekaya, a rappelé l’importance de la réservation anticipée via les agences de voyage agréées pour assurer un séjour bien organisé et protéger les droits des consommateurs.

L’article Vacances en Tunisie : Deux numéros verts pour faire entendre sa voix est apparu en premier sur webdo.

Tourisme : Des offres sur mesure pour les Tunisiens

Alors que la saison estivale bat son plein, le ministre du Tourisme, Sofiene Tekaya, a tenu à rappeler l’importance stratégique du tourisme intérieur, soulignant son rôle dans le développement économique et social du pays.

Intervenant mercredi 25 juin lors d’une journée d’information consacrée à la valorisation du tourisme local, il a mis en lumière le poids croissant des Tunisiens dans l’activité hôtelière.

Selon les données communiquées par le ministre, environ 2,5 millions de Tunisiens ont séjourné dans les établissements touristiques du pays, générant près de 6 millions de nuitées. Ce chiffre représente 38 % de l’ensemble des clients des hôtels, preuve de l’attachement croissant des citoyens au produit touristique national.

« Ces indicateurs témoignent de l’intérêt grandissant des Tunisiens pour les vacances locales et de la nécessité d’y répondre par des offres complètes, de qualité et accessibles », a déclaré Sofiene Tekaya.

Pour répondre à cette demande, le ministère a organisé deux ateliers de réflexion réunissant professionnels du secteur, experts et institutionnels. Objectifs : adapter l’offre touristique aux besoins des touristes locaux, garantir un haut niveau de qualité des services et définir de nouvelles perspectives de promotion.

Le ministre a notamment plaidé pour une meilleure numérisation du secteur, avec le développement de plateformes électroniques destinées à simplifier l’accès à l’information, favoriser les réservations en ligne et offrir des tarifs préférentiels via des agences de voyages agréées.

Autre axe fort : la valorisation des voyages organisés, présentés comme un levier essentiel pour structurer l’offre et faciliter l’accès des familles tunisiennes aux séjours touristiques. « Ces formules permettent de démocratiser l’accès aux vacances, tout en stimulant les circuits économiques régionaux », a souligné le ministre.

L’article Tourisme : Des offres sur mesure pour les Tunisiens est apparu en premier sur webdo.

Avec la réouverture de l’hôtel « La Forêt », Aïn Draham retrouve une adresse mythique

 Après une parenthèse de dix années, l’hôtel « La Forêt » situé à Aïn Draham rouvre enfin ses portes. Cette réouverture signe la renaissance d’un établissement emblématique qui, tout en conservant son ADN d’origine, s’offre un nouveau visage résolument contemporain.

L’inauguration officielle de l’hôtel La Forêt à Aïn Draham a eu lieu le 20 juin 2025 par Soufiane Tekaya, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, et Taieb Dridi, gouverneur de Jendouba, en présence notamment du directeur général de l’ONTT, Mohamed Mehdi Haloui, et de la présidente de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie (FTH), Dora Milad.

hotel-la-foret-ain-draham

Cérémonie d’inauguration de l’hôtel le 20 juin 2025.

À l’abri des forêts denses et au cœur des reliefs verdoyants d’Aïn Draham, l’établissement se repositionne aujourd’hui comme une destination de choix, ouvert toute l’année, pour les séjours nature, les groupes sportifs, les familles ainsi que le tourisme d’affaires.« L’hôtel La Forêt offre un produit pour toutes les saisons, pour les familles, les événements d’affaires mais aussi les groupes sportifs », confirme Sahbi Akkari, promoteur du projet, qui souligne également un choix stratégique : « Les tarifs sont linéaires sur toute l’année, afin de garantir une accessibilité constante, sans variation saisonnière. »

inauguration-hotel-la-foret

Photo souvenir de la délégation officielle venue à l’hôtel pour son inauguration.

La Forêt ou la montée en gamme

Entièrement rénové, l’hôtel désormais classé 4 étoiles propose 58 chambres, en plus de 3 suites junior et 2 suites senior supérieures. Ces dernières disposent d’un jacuzzi privé sur balcon, inspiré de l’esprit des bains russes, offrant une vue panoramique sur les montagnes. L’ensemble représente une capacité totale de 134 lits.

Parmi les nouveautés majeures, l’établissement dispose désormais de deux piscines : une piscine extérieure avec vue dégagée sur les reliefs boisés, et une piscine intérieure chauffée, permettant aux clients de profiter de ce service en toute saison. Le tout est complété par un centre spa de qualité, intégrant cabines de massage, hammam et salon de coiffure pour une expérience de détente complète.

hammam-hotel

Le nouveau hammam de l’hôtel.

piscine-hotel-ain-draham

L’offre culinaire a également été enrichie avec un restaurant buffet et un second restaurant à la carte, ce dernier mettant à l’honneur une cuisine du terroir, authentique et généreuse, avec notamment des recettes traditionnelles de la région et des plats à base de gibier local issu de la chasse. Un bar-lounge vient compléter l’ensemble, offrant une ambiance cosy et animée en soirée, en parfaite harmonie avec le caractère du lieu.

Multi-segments

Pensé comme un espace proposant une expérience à 360°, l’hôtel répond en effet aussi aux exigences du tourisme d’affaires et du segment MICE. Il dispose d’une salle polyvalente pouvant accueillir jusqu’à 130 personnes, ainsi que de deux salles de réunion d’une capacité de 35 à 40 personnes chacune, toutes équipées pour des rencontres professionnelles, team buildings ou séminaires d’entreprise.

salles-reunons-hotel-ain-draham

Des salles de réunion de différentes capacités pour répondre notamment aux besoins des entreprises.

Situé à seulement 300 mètres d’un centre sportif international, l’hôtel La Forêt représente également une solution idéale pour les groupes sportifs, qu’il s’agisse de préparation physique, de récupération ou de séjour en altitude. À cette vocation multiple s’ajoute une position stratégique, entre fraîcheur montagnarde et accessibilité.

Empreinte carbone

Par ailleurs et dans une volonté de conjuguer hospitalité et responsabilité, l’hôtel s’engage activement dans une démarche durable. Les travaux d’installation d’une centrale photovoltaïque et de bornes de recharge pour véhicules électriques ont déjà débuté, marquant une étape clé vers une réduction significative de son empreinte carbone. À terme, ces infrastructures permettront à l’établissement de produire une partie de son énergie de manière propre et renouvelable, tout en répondant aux besoins de mobilité électrique de ses clients. Un pas de plus vers un tourisme plus respectueux de l’environnement.

L’hôtel a une capacité de 134 lits entre chambres classiques, suites junior et senior supérieures.

Plus qu’un simple hôtel rénové, La Forêt vient consolider l’offre touristique de la région à travers un produit qui incarne une renaissance harmonieuse entre patrimoine, confort et modernité. Un lieu où l’on vient autant pour se retrouver que pour se ressourcer à pleins poumons au cœur de la nature.

Lire aussi sur le même thème:

A Aïn Draham et Tabarka, ces nouveaux hôtels qui se préparent

 

L’article Avec la réouverture de l’hôtel « La Forêt », Aïn Draham retrouve une adresse mythique est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

❌