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Forces armées et maintien de la paix : lancement d’une conférence mondiale à Tunis avec l’ONU

Les travaux de la conférence internationale consacrée au rôle des forces armées dans la protection des civils lors des opérations de maintien de la paix ont démarré jeudi pour deux jours.

Organisée par le ministère de la Défense nationale en partenariat avec les Nations unies, la conférence vise à concevoir une plateforme numérique mondiale d’échange d’informations et de bonnes pratiques entre les pays et les organisations.

La conférence dont la cérémonie d’ouverture a été présidée par le ministre de la Défense en présence du ministre des Affaires Etrangères et le secrétaire adjoint des Nations Unis Jean Pierre Lacroix a aussi pour objectif l’élaboration d’un  manuel opérationnel unifié, harmonisant les procédures et standards appliqués par les forces armées impliquées dans la protection des civils.

Plus de 80 participants, civils et militaires dont des responsables onusiens, des délégués de treize pays partenaires, des représentants d’organisations régionales et internationales prennent part à cette rencontre.

La conférence s’inscrit dans le cadre du renforcement du rôle de la Tunisie comme membre actif aux Nations Unis en plus de la consolidation des relations bilatérales entre la Tunisie et l’ONU dans le domaine du maintien de la paix.

La conférence s’achèvera par l’adoption de la « Déclaration de Tunis », destinée à servir de référence internationale en fixant le cadre global de principes directeurs et des normes opérationnelles pour la protection des populations dans les zones de conflit.
Le rôle des forces armées comme garant des droits fondamentaux et du respect du droit international humanitaire n’est plus à démontrer.

Des tables rondes, des conférences et des débats sur les défis de la protection des civils dans les missions onusiennes auront lieu à cette occasion.

Ils seront animés par des experts militaires, civils et responsables des Nations unies.

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Tunis accueille une conférence internationale sur la protection des civils dans les opérations de maintien de la paix

Le ministère de la Défense nationale organise, les 10 et 11 juillet à Tunis, en partenariat avec les Nations unies, une conférence internationale consacrée au rôle des forces armées dans la protection des civils lors des opérations de maintien de la paix.

Plus de 80 participants, civils et militaires, sont attendus à cette rencontre, dont des responsables onusiens, des délégués de treize pays partenaires, des représentants d’organisations régionales et internationales, ainsi que des ambassadeurs et attachés de défense accrédités à Tunis.

Selon un communiqué du ministère, cette conférence vise à : concevoir une plateforme numérique mondiale d’échange d’informations et de bonnes pratiques, élaborer un manuel opérationnel unifié, harmonisant les procédures et standards appliqués par les armées impliquées dans la protection des civils, lancer une initiative régionale de formation et de renforcement des capacités, incluant des stages spécialisés, ateliers et exercices conjoints.

Les travaux seront rythmés par des tables rondes, des conférences et des débats sur les défis de la protection des civils dans les missions onusiennes, animés par des experts militaires, civils et responsables des Nations unies.

La conférence s’achèvera par l’adoption de la « Déclaration de Tunis », appelée à devenir une référence internationale. Ce document définira un cadre global de principes directeurs et de normes opérationnelles, tout en réaffirmant le rôle central des forces armées dans la protection des droits humains fondamentaux et le respect du droit international humanitaire dans les zones de conflit.

Gaza : l’UNRWA alerte sur l’urgence d’un cessez-le-feu et la levée du blocus

Gaza : l’UNRWA alerte sur l’urgence d’un cessez-le-feu et la levée du blocus

L’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) a souligné, de nouveau, l’urgence d’un cessez-le-feu et de la levée du siège dans la bande de Gaza, ravagée par une agression génocidaire sioniste depuis octobre 2023. “L’UNRWA est interdite” par l’occupant sioniste. “Nous ne sommes plus autorisés à acheminer […]

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L’Iran saisit l’ONU et accuse Israël et les États-Unis d’agression

L’Iran a officiellement demandé à l’Organisation des Nations unies de reconnaître Israël et les États-Unis comme responsables de la guerre de 12 jours qui l’a opposé à l’entité sioniste, et qui s’est achevée le 24 juin par un cessez-le-feu.

Dans une lettre adressée au secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, appelle le Conseil de sécurité à reconnaître la responsabilité des deux pays, en tant qu’agresseurs, dans ce conflit.

« Nous demandons officiellement par la présente au Conseil de sécurité de reconnaître le régime israélien et les États-Unis comme les initiateurs de l’acte d’agression, et de reconnaître leur responsabilité ultérieure, y compris le paiement d’indemnisations et de réparations », écrit Araghchi dans son courrier rendu public dimanche.

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Face à la famine qui tue à Gaza, une diplomatie lâche et ronronnante

Face à la dégradation dramatique de la situation à Gaza – sur le plan humanitaire, sanitaire, sécuritaire et moral – certains pays européens, dont la France, ainsi que le secrétaire général des Nations unies, semblent s’être réfugiés dans le confort grammatical du futur simple. (Ph. A Gaza, les affamés se font tirer dessus par l’armée israélienne).

Khemais Gharbi *

Le présent de l’indicatif, pourtant temps de l’action concrète et urgente, a disparu de leur vocabulaire. Il a été remplacé par des promesses lointaines : «Nous allons reconnaître l’État de Palestine»; «Nous allons organiser une conférence»; «Nous allons œuvrer pour un cessez-le-feu»; «Nous allons améliorer l’acheminement de l’aide humanitaire.»

Cette conjugaison de l’attente est accompagnée d’un appauvrissement sémantique. Les mots qui condamnent ont été gommés. On ne «dénonce» plus. On ne «condamne» plus. On «déplore», on «regrette», on «s’inquiète», on «exprime une émotion».

Le futur simple contre la faim immédiate

Ainsi, face à une famine organisée, à des civils affamés abattus en file indienne, le langage diplomatique préfère l’élégance molle des euphémismes à la clarté courageuse des accusations.

Le ministre français Jean-Noël Barrot a déclaré récemment que la France, tout comme l’Europe, était «prête à contribuer à garantir une distribution sécurisée de la nourriture à Gaza», sans en préciser ni les modalités ni le calendrier. Il reconnaît néanmoins la gravité de la situation : des centaines de Palestiniens sont tombés, fauchés par les balles de l’armée israélienne alors qu’ils tentaient de récupérer un sac de farine. Il parle d’un «scandale» et d’une «atteinte à la dignité humaine»… sans oser nommer l’Etat génocidaire auteur de ces crimes contre l’humanité. Et là encore, aucune annonce d’action immédiate. Le mot «colère» est lâché, mais ne se transforme ni en sanction, ni en pression réelle.

Selon le ministère de la Santé de Gaza, environ 550 personnes ont été tuées et plus de 4 000 blessées lors de rassemblements autour des centres de distribution de vivres, depuis le début des opérations de la très controversée Fondation humanitaire de Gaza, un machin créé par Israël et les Etats-Unis pour servir les desseins sordides de l’armée israélienne.

De son côté, António Guterres, le secrétaire général de l’Onu, a affirmé que «chercher de la nourriture ne devrait pas équivaloir à une condamnation à mort», dénonçant – enfin – un système de distribution qui tue. Mais là encore, les Nations unies sont tenues à l’écart.

Mourir de faim ou mourir sous les balles

Depuis le 27 mai, les États-Unis et Israël ont instauré un nouveau mode de distribution de l’aide humanitaire, hors du contrôle des agences internationales. L’armée israélienne y supervise directement la foule, et tire à balles réelles sur ceux qui osent approcher.

Les Palestiniens sont ainsi acculés à un choix inhumain : mourir de faim ou mourir sous les balles.

Et pendant ce temps, l’Occident conjugue au futur. Il va faire quelque chose. Il prépare une réponse. Il s’engagera un jour. Mais Gaza, elle, saigne au présent.

* Ecrivain et traducteur.

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Rana Taha prend ses fonctions comme coordinatrice résidente de l’ONU en Tunisie

La Jordanienne Rana Taha a officiellement pris ses fonctions en tant que coordinatrice résidente des Nations Unies en Tunisie, après avoir présenté ses lettres de créance, ce lundi 23 juin, au ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti.

Nommée par le Secrétaire général des Nations Unies le 19 juin 2025, Mme Taha prend ses fonctions en affirmant l’engagement renouvelé de l’ONU à soutenir la Tunisie dans la mise en œuvre de ses priorités nationales, notamment dans le cadre du développement durable. Lors de son entretien avec le chef de la diplomatie tunisienne, elle a insisté sur l’importance de renforcer le partenariat entre le système onusien et la Tunisie.

Dotée d’une expérience de plus de vingt ans au sein des Nations Unies, Rana Taha a occupé plusieurs postes de haut niveau dans les domaines du développement, du maintien de la paix et de la coordination régionale. Avant sa nomination à Tunis, elle était cheffe d’équipe et conseillère principale pour la paix et le développement au Kenya.

Elle a également exercé des fonctions de coordination stratégique au siège des Nations Unies entre 2015 et 2019, supervisant notamment le programme régional pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord. Elle a été en poste dans plusieurs zones sensibles : Liban, Soudan et territoires palestiniens occupés.

Elle est diplômée en relations internationales, politiques publiques et sociologie.

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