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Condamnation de Rached Ghannouchi à 14 ans de prison

Le tribunal a condamné Rached Ghannouchi, président du parti Ennahdha, à 14 ans de prison dans l’affaire dite de la « conspiration contre la sûreté de l’État ». Cette affaire porte sur des accusations de terrorisme et de complot visant à déstabiliser la sécurité intérieure du pays.

Plusieurs dirigeants d’Ennahdha ainsi que d’autres figures politiques et sécuritaires sont impliqués, accusés d’avoir formé un réseau terroriste, de comploter contre la sûreté de l’État et d’être mêlés à des actes violents, notamment des tentatives d’assassinats politiques.
Parmi les chefs d’accusation les plus graves figure la direction d’un « dispositif secret » au sein du mouvement Ennahdha, soupçonné d’être impliqué dans des crimes d’assassinats.

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Sami Tahri appelle à la reprise des négociations dans le privé

Le porte-parole officiel de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a souligné ce mardi, la nécessité de relancer les négociations dans le secteur privé, actuellement « suspendues ».

Dans une déclaration à l’agence TAP, lors d’une session de formation au siège de l’Union régionale du travail de Monastir, il a rappelé l’importance que l’organisation syndicale accorde à ces négociations, en raison de leur impact positif sur le pouvoir d’achat des travailleurs.

Il a estimé que cette interruption risque d’aggraver la situation sociale, notamment dans un contexte de dégradation du pouvoir d’achat et de conditions difficiles pour les salariés. Par ailleurs, Sami Tahri a annoncé le lancement d’une série d’actions et de réunions de mobilisation visant à reprendre ces négociations de manière sérieuse et responsable.

Avec TAP

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ARP : Report de la clôture du budget au 10 juillet

L’Assemblée des représentants du Peuple (ARP) a décidé de reporter à jeudi 10 juillet la séance plénière initialement prévue pour adopter le projet de clôture du budget de l’État pour l’exercice 2025. Ce report fait suite à une demande de la ministre des Finances, Mechket Slama Khaldi, qui a sollicité un délai supplémentaire de 48 heures.

La ministre a expliqué que les changements politiques et économiques survenus depuis 2021, ainsi que la pandémie de Covid-19, ont retardé l’adoption du budget. Son département travaille actuellement à accélérer les délais de clôture des budgets et à revoir les normes comptables, notamment la comptabilité en partie double, afin de rattraper ce retard. Elle a aussi souligné que les délais de clôture des autres budgets de l’État seront réduits.

Mechket Slama Khaldi a insisté sur les difficultés rencontrées dans la digitalisation des systèmes financiers, rappelant que certains pays moins développés ont progressé grâce à la numérisation. Elle a insisté sur l’importance de l’interopérabilité entre ministères pour limiter les défaillances et dépassements dans ce domaine.

Concernant la titularisation des agents du ministère de l’Intérieur, la ministre a précisé que 2952 agents sont concernés et attendent la publication du décret relatif, actuellement soumis à la Présidence du gouvernement. Les fonds nécessaires seront prévus dans le budget 2026.

Elle a également indiqué que plusieurs décrets liés aux personnes à besoins spécifiques et aux éleveurs de bovins, prévus par la loi de finances 2025, sont prêts mais que leur promulgation a été retardée volontairement pour garantir leur applicabilité. Certaines dispositions de la loi de finances 2025 pourraient être réexaminées.

Sur la question des biens confisqués par l’État depuis 2011, la ministre a reconnu que, malgré 14 ans depuis la publication du décret-loi sur la confiscation, les objectifs ne sont pas atteints. Seules une ou deux sommes ont été récupérées, en raison notamment du refus de certains États de coopérer. Cela a conduit le président de la République à proposer une démarche internationale pour traiter ce dossier.

La commission de gestion des biens confisqués, présidée par la ministre des Finances, ainsi que la commission de confiscation, dirigée par le ministère des Domaines de l’État et des Affaires foncières, ont été chargées d’inventorier tous les biens cédés ou encore détenus par l’État.

Enfin, la ministre a souligné la nécessité de prendre une décision concernant les entreprises confisquées, aujourd’hui sans rôle économique, rappelant qu’il s’agit principalement de sociétés à responsabilité limitée (SARL) ou d’entreprises unipersonnelles. Elle a insisté sur le fait que cette décision devra être prise en collaboration avec l’ARP.

Avec TAP

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Audition ministérielle au Conseil national sur les services sociaux

La commission des services et du développement social du Conseil national des régions et des districts a organisé mardi une séance d’audition avec les représentants du ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées, consacrée à l’autonomisation économique des femmes.

Lors de cette réunion, présidée par Haithem Trabelsi, les représentants du ministère ont présenté les différents programmes visant à renforcer l’autonomie économique des femmes. Parmi eux figurent le programme de leadership féminin, le soutien à l’investissement et à l’inclusion économique des femmes, des filles et des familles, ainsi que des projets spécifiques tels que le programme « Raidet », le lancement des groupements de développement féminins en zones rurales, et le programme « Samida », destiné à protéger les femmes victimes de violences, selon un communiqué officiel du ministère.

Au cours des échanges, plusieurs députés ont insisté sur l’importance de l’autonomisation économique des femmes pour leur permettre de gérer leur vie quotidienne de manière indépendante. Ils ont souligné la nécessité d’encourager particulièrement les femmes rurales à s’engager dans des activités économiques, afin qu’elles puissent bénéficier d’opportunités d’emploi, accéder aux financements et aux marchés.

Certaines propositions ont été avancées, notamment le lancement par le ministère de campagnes de sensibilisation sur les thèmes de la violence, de la santé, ainsi que de l’autonomisation économique et sociale des femmes.

Enfin, plusieurs intervenants ont insisté sur l’importance de soutenir les microprojets et de réhabiliter les femmes dans divers secteurs, en accordant une priorité particulière aux femmes vulnérables, notamment celles vivant en milieu rural et les victimes de violences.

Avec TAP

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70% des migrants subsahariens défiants envers les organisations internationales

Une étude récente intitulée « Les migrants d’Afrique subsaharienne en Tunisie : profils, conditions de vie et dérives des politiques migratoires », présentée à Tunis par le Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES) et l’Université de Sfax, révèle que 70% des migrants en situation irrégulière ne font pas confiance aux organisations internationales de la migration. Ces migrants les perçoivent comme complices des régimes européens et incapables d’apporter des solutions humanitaires.

Dirigée par le sociologue Zouhair Ben Jennat, cette recherche de terrain menée au premier semestre 2024 a couvert plusieurs régions, dont le Grand Tunis, Médenine et Sfax. Elle s’appuie sur 402 questionnaires, des entretiens approfondis et des groupes de discussion avec des migrants originaires de divers pays d’Afrique subsaharienne.

L’étude déconstruit les discours alarmistes qualifiant la migration irrégulière d’« invasion » ou de « conspiration internationale », montrant qu’aucune preuve tangible ne les étaye. Elle révèle que 85% des migrants irréguliers sont entrés en Tunisie par voie terrestre, principalement via la frontière algérienne (60%) ou libyenne (25%), tandis que 14% sont arrivés par avion, profitant de l’absence de visa pour plusieurs pays subsahariens.

Un changement notable dans le profil des migrants est observé : ils viennent désormais de plus de nationalités, avec des âges allant jusqu’à 48 ans. L’étude souligne aussi la présence importante d’enfants, accompagnés ou non, et l’émergence de la migration familiale. Par ailleurs, la « féminisation » de la migration progresse, les femmes représentant environ 27% des migrants irréguliers.

Le niveau d’instruction des migrants est globalement élevé : 27% ont un diplôme universitaire, contre 10% d’analphabètes. Selon la politologue Yasmine Oukrimi, 85% des migrants n’ont reçu aucune aide des organisations internationales. De plus, un migrant sur cinq subit une forme d’exploitation économique, 30% souffrent de stress post-traumatique et 40% ont été victimes de violences physiques.

Avec TAP

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Kaïs Saïed : il n’est pas question de céder les infrastructures tunisiennes

La situation générale du secteur du transport public a été au centre d’un entretien tenu lundi 7 juillet 2025 au Palais de Carthage entre le président de la République, Kaïs Saïed, et le ministre du Transport, Rachid Amri.

Le chef de l’Etat a souligné la nécessité de reconstruire ce service public sur de nouvelles bases. Tout en signalant que la Tunisie ne renoncera pas à ses institutions et infrastructures publiques, indique un communiqué de la présidence de la République.

Le chef de l’État estime que les compétences tunisiennes dans les domaines du transport aérien et maritime sont capables de rebâtir ce secteur sur des fondements solides, rappelant que de nombreuses compagnies aériennes et maritimes étrangères convoitent ces compétences.

Par ailleurs, Kaïs Saïed a souligné l’urgence d’importer un certain nombre de bus afin d’alléger les difficultés de déplacement auxquelles font face nombre de citoyens.

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Michket Slama Khaldi présente au chef de l’Etat les résultats de sa participation à la FfD4 à Séville 

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, lundi 7 juillet au Palais de Carthage, la ministre des Finances, Michket Slama Khaldi, venue lui présenter les résultats des rencontres qu’elle a eues en marge de sa participation aux travaux de la 4e Conférence internationale sur le financement du développement (FfD4), organisée les 30 juin, 1er et 2 juillet 2025 à Séville, en Espagne.

Selon un communiqué de la présidence de la République, le chef de l’État a souligné que le monde entier a aujourd’hui besoin de nouvelles approches, différentes, qui rompent totalement avec les approches traditionnelles ayant conduit aux inégalités de développement.

Dans ce contexte, il estime que les pays encore qualifiés de « pays en développement », « pays en voie de développement » ou « États fragiles » n’ont pas réalisé la véritable croissance à laquelle aspirent leur peuple, en raison d’un système économique mondial injuste et de nombreuses crises dont ils n’ont jamais été la cause, mais plutôt les victimes.

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Le CNCI suspend les subventions du cinéma tuniso-italien : enquête en cours

Le Centre national du cinéma et de l’image (CNCI) « a décidé de suspendre provisoirement les résultats des travaux de la commission tuniso-italienne du Fonds d’aide au développement de la coproduction des œuvres cinématographiques tuniso-italiennes ».

Ces résultats seront republiés une fois les opérations de vérification et d’audit effectuées par les services compétents, notamment en ce qui concerne le respect des conditions d’éligibilité, peut-on lire dans un communiqué publié lundi sur le site du CNCI.

Cette décision s’inscrit dans le cadre de l’engagement du CNCI « à garantir l’égalité des chances et à renforcer la transparence au sein d’un système de gouvernance efficace, contribuant ainsi à instaurer la confiance entre les parties concernées », indique la même source. Tout en précisant que « les professionnels et les personnes concernées seront informés de toute évolution dans les meilleurs délais ».

Avec TAP

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Justice sociale, promotion de l’investissement et lutte contre la corruption… voilà les priorités du gouvernement Zaâfrani

La réalisation de la justice sociale, la promotion de l’investissement et la lutte contre la corruption. Telles sont les priorités absolues assignées au gouvernement par le président de la République, Kaïs Saïed, lors de l’audience qu’il a accordée, lundi 7 juillet, à la CDG, Sarra Zaâfrani Zenzri.

Cet entretien, tenu au Palais de Carthage, a permis de discuter de quelques projets de lois et décrets. A cet effet, le chef de l’Etat a souligné que les services publics ne peuvent jouer pleinement leur rôle qu’à travers une administration dirigée par des responsables qui n’hésitent pas à répondre aux demandes des citoyens, précise un communiqué de la présidence de la République.

Il a, en outre, indiqué que la révolution législative ne peut atteindre ses objectifs qu’à travers une révolution administrative, elle-même génératrice d’une révolution culturelle dans les mentalités, fondée sur une relation de confiance totale et solide entre l’administration et ses usagers.

En outre, Kaïs Saïed a affirmé que le défi ne peut être relevé que par un contre-défi, assurant que le peuple tunisien poursuivra sa marche en déjouant toutes les conspirations et manœuvres fomentées par les forces rétrogrades qui cherchent à attiser les tensions.

De ce fait, ceux qui rêvent d’un retour en arrière, indique le chef de l’Etat, ont vu leurs masques tomber, même s’ils en portent un nouveau chaque jour. « Le peuple tunisien sait désormais que ces masques ne trompent plus personne », a-t-il dit.

Avec TAP

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Financement bancaire du secteur transport : moins de 3,1% des crédits totaux

Le financement accordé par les banques publiques et privées au secteur du transport ne représente que 3,1% du total des crédits octroyés, selon les données de la Banque Centrale de Tunisie (BCT). À fin mars 2025, l’encours de ces crédits s’élève à 2 847 millions de dinars (MD), sur un total global de crédits de 90 305 MD.

Le secteur des industries manufacturières domine largement en termes de crédits obtenus, avec un montant de 28 062,8 MD, suivi par le secteur du commerce et de la réparation des véhicules et motocycles, qui bénéficie de 24 158,5 MD, selon les mêmes sources.

Le secteur du transport repose principalement sur le financement bancaire, en particulier public, ainsi que sur les subventions de l’État pour sa gestion. Les entreprises opérant dans ce secteur sont majoritairement des sociétés publiques, fournissant un service essentiel à l’économie et au développement à l’échelle locale et nationale.

À noter que le budget alloué à la mission du ministère du Transport pour l’année 2025 est estimé à 1 076,47 millions de dinars, soit une hausse de 2,4% par rapport à 2024. Ce budget est réparti entre le transport terrestre (993 MD), l’aviation civile (12,8 MD), le transport maritime (34,6 MD) et les programmes de pilotage et d’appui (35,8 MD).

Cependant, les données d’activité des entreprises publiques de transport (maritime, terrestre et aérien) révèlent que ces sociétés rencontrent d’importantes difficultés financières, principalement dues à un manque de financement et de crédits, ce qui entraîne l’accumulation de pertes et de dettes considérables. Ces entreprises emploient environ 21 500 personnes, avec des dépenses salariales annuelles avoisinant un milliard de dinars.

Avec TAP

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Tunisie-ONU : Vers une nouvelle ère de coopération stratégique

Le ministre des Affaires Étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu lundi, au siège du ministère, la Coordonnatrice résidente du système des Nations Unies en Tunisie, Rana Taha. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du suivi de la mise en œuvre des projets de coopération entre la Tunisie et l’ONU.

Lors de cet entretien, le ministre a rappelé les étapes majeures ayant marqué l’histoire des relations entre la Tunisie et les Nations Unies, mettant en avant l’engagement constant du pays, depuis son indépendance, à promouvoir la paix et la sécurité internationales, notamment à travers sa participation active aux opérations de maintien de la paix onusiennes.

Il a également évoqué l’initiative du président de la République, Kaïs Saïed, qui a proclamé 2025 comme année dédiée au renforcement de l’action multilatérale et à la consolidation du partenariat avec le système des Nations Unies. Cette initiative s’inscrit dans la volonté de la Tunisie de contribuer activement aux efforts internationaux pour renforcer la sécurité, la paix et le développement durable à l’échelle mondiale.

Face aux défis actuels sur les plans international et régional, le ministre a souligné la nécessité d’adopter une nouvelle approche humanitaire afin de consolider le rôle de l’ONU, qui célèbre cette année son 80e anniversaire, tout en tenant compte des enjeux contemporains et des moyens de les relever collectivement.

De son côté, Rana Taha a réaffirmé l’importance que le système des Nations Unies accorde à la coopération avec la Tunisie, en insistant sur l’amélioration de l’efficacité et de l’efficience des programmes de soutien au développement national. Elle a particulièrement mis l’accent sur la préparation du nouveau plan-cadre de coopération des Nations Unies pour l’aide au développement en Tunisie pour la période 2026-2030.

En référence à la quatrième Conférence internationale de haut niveau sur le financement du développement, tenue à Séville du 30 juin au 3 juillet 2025, la responsable onusienne a souligné la nécessité d’aligner les résultats de cette rencontre avec les priorités nationales en matière de financement du développement durable. Elle a proposé la création d’un mécanisme de coordination et de coopération renforcée avec le système des Nations Unies pour accompagner ces efforts.

Avec TAP

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Kaspersky alerte : le quantique menace la cybersécurité

Lors de sa conférence Kaspersky HORIZONS à Madrid, l’entreprise de cybersécurité met en garde contre les risques majeurs que pose l’informatique quantique pour la sécurité numérique mondiale. Alors que les ordinateurs quantiques progressent rapidement, ils pourraient bientôt briser les systèmes de chiffrement actuels, exposant des données sensibles à des cyberattaques massives.

Kaspersky identifie trois menaces principales :

  1. Stocker maintenant, décrypter plus tard : des cybercriminels collectent aujourd’hui des données chiffrées pour les décrypter à l’avenir grâce aux capacités quantiques.

  2. Sabotage des blockchains : les cryptomonnaies et la technologie blockchain sont vulnérables à des attaques ciblant leurs systèmes de signature.

  3. Ransomwares post-quantiques : les cybercriminels pourraient bientôt développer des ransomwares indéchiffrables, même avec des ordinateurs quantiques.

Bien que les ordinateurs quantiques ne soient pas encore pleinement opérationnels, le temps presse : la transition vers des systèmes de sécurité post-quantiques prendra des années. Kaspersky appelle les gouvernements, entreprises et chercheurs à agir dès maintenant pour adapter leurs infrastructures, protéger leurs données et éviter un futur numérique à haut risque.

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Tunisie : La production pétrolière chute à moins de 50 barils par jour

La Tunisie enregistre un déficit énergétique important, estimé à 60 %, et les ressources locales ne parviennent pas à répondre à la demande. C’es ce qu’a indiqué le président de la commission des finances au Conseil national des régions et des districts (CNRD), Jalel Karoui.

Karoui, qui intervenait lors d’un débat au CNRD avec la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a souligné que la baisse de la production de pétrole atteint moins de 50 barils par jour, tandis que la production de gaz naturel couvre environ 40 % de la demande du marché. Il a ajouté que l’État doit importer des quantités importantes d’hydrocarbures.

Il a rappelé que la loi de finances 2025 prévoit une enveloppe de plus de 11,5 milliards de dinars pour les subventions, dont 1,5 milliard de dinars soutient l’énergie et les carburants, soit 19 % du budget de l’État. L’intervenant a estimé que ce taux est élevé, compte tenu des ressources limitées, du déficit et des dettes, d’où la nécessité de réviser l’ensemble du système.

Pour Karoui, le problème réside également dans la gestion des subventions, que les autorités attribuent de manière horizontale, ce qui profite même à ceux qui n’y ont pas droit, en contradiction avec le principe de justice sociale et d’équilibre financier.

Il a également mis l’accent sur la complexité de la situation internationale, car les tensions régionales provoquent d’importantes fluctuations des prix du gaz et du pétrole, ce qui affecte directement la Tunisie, un pays importateur d’énergie. La Tunisie bénéficie de plus de 300 jours d’ensoleillement par an et dispose de vastes terres dans le centre et le sud, ce qui permet d’installer des mégaprojets photovoltaïques, sans oublier les compétences de sa jeunesse, a-t-il ajouté.

Karoui a insisté sur la nécessité de réformer le système de subventions, d’accélérer l’octroi des autorisations pour les projets photovoltaïques, d’encourager les citoyens et les petits investisseurs, ainsi que de créer un programme national d’efficacité énergétique au sein des administrations publiques.

Avec TAP

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Le marché boursier a entamé la semaine du bon pied

Le marché boursier a démarré la semaine en hausse. L’indice de référence a progressé de 0,2 % pour s’établir à 11 668,7 points, malgré un faible volume d’échanges de 3,6 millions de dinars (MDt).

SMART TUNISIE a enregistré la meilleure performance de la séance. Porté par un flux relativement soutenu de 324 mille dinars, le titre du leader de la distribution IT en Tunisie a gagné 4,7 %, clôturant à 14,100 DT.

SOTRAPIL a également affiché une belle progression. L’action de la société publique a pris 4,3 % pour atteindre 21,900 DT, dans un volume modeste de 17 mille dinars.

À l’inverse, AIR LIQUIDE a subi la plus forte baisse de la journée. Le titre de la filiale tunisienne du géant des gaz industriels a reculé de 4,5 % à 113,540 DT, avec des échanges très limités (17 mille dinars).

ASSAD semble avoir été pénalisé par des ventes soutenues. L’action du fabricant de batteries automobiles a cédé 4,2 % à 2,280 DT, malgré un flux transactionnel notable de 166 mille dinars.

Enfin, POULINA GROUP HOLDING a été la valeur phare de la séance. Le titre du plus grand holding tunisien a grimpé de 2,2 % à 16,350 DT, tout en dominant les échanges avec un volume impressionnant de 585 mille dinars, soit le plus élevé de la journée.

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Cactus power ou la revanche d’un fruit sous-estimé

Longtemps marginalisée, la figue de barbarie tunisienne est aujourd’hui au cœur d’une success story agro-industrielle. En une décennie, la filière est passée de 5 à 73 entreprises, avec plus de 1 400 nouveaux emplois créés. Au moment où la gamme de produits issus du cactus ne cesse de se diversifier, la Tunisie se positionne désormais parmi les leaders mondiaux en exportation d’huile de pépins de figues de barbarie. Ainsi, le chiffre d’affaires consolidé des entreprises opérant dans la transformation du cactus a augmenté de 140 % depuis 2020.

Soutenue par le projet PAMPAT (ONUDI/SECO) depuis 2013, cette transformation remarquable fait aujourd’hui l’objet d’une nouvelle publication. Laquelle retrace les étapes clés du développement de la filière et met en lumière les enseignements tirés.

Alors que l’été s’installe et que les premières figues de barbarie commencent à mûrir, la Tunisie s’apprête à entamer une nouvelle campagne de récolte. Ce fruit typiquement tunisien, autrefois banalisé, s’est aujourd’hui imposé comme un symbole de montée en gamme industrielle et d’innovation dans les régions de l´intérieur.

Derrière ce fruit emblématique se cache désormais un cas de succès marquant du développement agro-industriel dans le milieu rural. La Tunisie est aujourd’hui devenue l’un des leaders mondiaux dans la production d’huile de pépins de figue de barbarie certifiée biologique. Un élixir anti-âge qui a su s’imposer sur les marchés d’exportations cosmétiques.

73 entreprises et 1 400 emplois créés

En une décennie, le pays est passé de 5 sociétés de transformation de cactus à 73 entreprises spécialisées dont la moitié sont dirigées par des femmes. Soit cinq fois plus que la moyenne tunisienne dans d’autres secteurs.

Par ailleurs et confirmant l’essor récent de la filière, 38 nouvelles sociétés se sont établies au cours des cinq dernières années. Cette dynamique entrepreneuriale a permis de créer plus de 1 400 emplois permanents et saisonniers, avec une forte implication des femmes rurales. Le chiffre d’affaires consolidé des entreprises opérant dans la transformation du cactus a augmenté de 140 % entre 2020 et 2024.

Depuis 2013, la filière figue de barbarie a reçu l’appui du Projet d’Accès aux Marchés des Produits Agroalimentaires et de terroir (PAMPAT) financé par le Secrétariat d’État à l’Économie de la Confédération Suisse (SECO) et mis en œuvre par l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI), en collaboration avec les ministères de l’Agriculture (DGPA, DGAB), de l’Industrie (DGIA) et du Commerce (CEPEX).

Pour retracer les différentes étapes parcourues par la filière et faire bénéficier des initiatives similaires, une nouvelle publication de l’ONUDI intitulée : « Le développement d’une nouvelle filière agro-industrielle en Tunisie – Le cas de la figue de barbarie biologique en Tunisie » vient de paraître.

Ce document accorde une attention particulière à la région de Kasserine, qui incarne de manière exemplaire les résultats atteints à l’échelle territoriale. Le gouvernorat représente aujourd’hui 37 % du chiffre d’affaires national de la filière figue de barbarie et 30 % des investissements réalisés depuis 2013.

À Kasserine, la figue de barbarie est devenue un véritable levier du développement local. L’introduction progressive de bonnes pratiques agricoles, l’application des techniques de production biologique et la professionnalisation des activités de post-récolte ont profondément marqué le secteur local. A l’heure actuelle, la superficie cultivée certifiée bio a été multipliée par cinq, positionnant la région comme un pôle de référence pour la production durable.

Par ailleurs, en l’espace de dix ans, les producteurs locaux ont vu le prix de vente du fruit plus que tripler, renforçant ainsi leurs revenus. En parallèle, la rémunération journalière des ouvrières agricoles à Kasserine a augmenté de 120 %. Cette dynamique a permis de créer de nouvelles perspectives économiques dans l’un des territoires les plus défavorisés du pays.

L’huile de pépins de figue de barbarie conquiert le marché mondial

Au-delà de l’impact local, la Tunisie s’est imposée à l’international. En effet, exportée aujourd’hui sur les cinq continents, l’huile de pépins de figue de barbarie est devenue le fer de lance de la nouvelle cosmétique tunisienne. 55 entreprises, dont la majorité dirigée par des femmes, commercialisent leurs produits à l’étranger. En 2021, la Tunisie est devenue le premier pays au monde à publier une norme technique pour cette huile, marquant une étape majeure dans la démarche qualité engagée par le secteur.

Ce succès à l’international, porté par l’huile de pépins de figue de barbarie, s’inscrit dans une dynamique bien plus large. En parallèle à l’essor des exportations de cet ingrédient cosmétique, la filière a connu une diversification accélérée de ses produits.

400 nouvelles références

À l’horizon 2024, près de 400 nouvelles références ont vu le jour, allant des produits agroalimentaires aux formulations cosmétiques élaborées, en passant par la gamme parapharmaceutique, issus du cactus. Cette évolution reflète la montée en compétence des entreprises locales et une meilleure valorisation de l’ensemble du fruit, dans une optique d’économie circulaire.

L’un des facteurs décisifs dans l’essor de la filière figue de barbarie a été l’instauration d’une véritable culture de collaboration entre les différents acteurs. Au fil des années, des liens solides se sont tissés entre les producteurs et les entreprises de transformation tunisiennes. Assurant ainsi une meilleure fluidité entre l’amont et l’aval et créant un environnement propice à l’investissement et à l’innovation.

Cette dynamique collaborative s’est notamment traduite par la mise en œuvre d’un programme de promotion sectoriel public-privé ambitieux autour du logo « Organic Cactus Seed Oil – Origin Tunisia », destiné à positionner l’huile de pépins de figue de barbarie tunisienne sur les marchés.

Tous unis pour le cactus…

C’est dans ce contexte qu’a été créée en 2018 l’Association nationale de développement du cactus (ANADEC), qui fédère aujourd’hui les principaux opérateurs de la filière. Elle joue un rôle central dans la représentation du secteur, la coordination des actions de promotion et le dialogue avec le secteur public.

En effet, les institutions publiques tunisiennes jouent elles aussi un rôle de plus en plus actif dans le renforcement de la compétitivité de la filière. Ainsi, depuis quelques années le Centre de promotion des exportations (CEPEX) organise régulièrement des activités de promotion et de matchmaking à l´international, l’Agence de vulgarisation et de formation agricole (AVFA) va bientôt lancer un programme de formation continue dédié au figuier de barbarie. Tandis que le Groupement interprofessionnel des fruits (GIFRUITS) vient d’annoncer l’organisation du « Cactus Innov », le premier concours de l’innovation pour la filière figue de barbarie.

De son côté l’Office national de l’artisanat a clôturé la première édition du concours ARTITERROIR pour mettre en avant des créations artisanales autour du thème artistique du cactus.

D’un autre côté, le ministère du Tourisme est engagé dans la promotion d´expériences immersives touristiques autour de la figue de barbarie à Nabeul et Kairouan.

Quid des défis ?

Ce parcours impressionnant ne doit cependant pas occulter les défis actuels. Depuis 2021, la filière est confrontée à une menace majeure : la cochenille, un insecte ravageur qui menace les plantations. Pour y faire face, une stratégie nationale de lutte intégrée a été mise en place par le ministère de l’Agriculture en collaboration avec le secteur privé. Ainsi, des prédateurs naturels de la cochenille ont été relâchés dans les zones de production afin de favoriser une lutte biologique durable.

Parallèlement, des variétés de cactus résistantes ont été identifiées pour avancer dans la replantation. Ces efforts traduisent une approche structurée, qui permettra à la filière agroindustrielle du cactus de continuer à avancer tout en renforçant sa résilience.

La figue de barbarie tunisienne incarne aujourd’hui un modèle de développement agro-industriel durable, fondé sur la valorisation des ressources locales, la collaboration, l’esprit d’entrepreneuriat et l’innovation. La nouvelle publication de l’ONUDI documente ce parcours et propose un ensemble de repères concrets pour d’autres filières en quête de compétitivité. Elle démontre que même les filières perçues à faible potentiel peuvent devenir des moteurs de croissance lorsqu’elles s’appuient sur une vision collective, un engagement coordonné et la volonté d’aller de l’avant ensemble.

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L’UBCI renouvelle son engagement aux côtés du festival international de Hammamet

Pour la deuxième année consécutive, l’UBCI réaffirme son engagement en faveur de la scène culturelle tunisienne en renouvelant son statut de Partenaire Officiel de la 59e édition du Festival International de Hammamet. Ce rendez-vous emblématique se tiendra du 11 juillet au 13 août 2025, dans le cadre unique du théâtre de plein air de Hammamet.

 

Ce partenariat stratégique ancre l’UBCI dans son rôle de partenaire privilégié de la scène culturelle tunisienne. En soutenant ce festival de référence, la banque réaffirme sa volonté de promouvoir les arts et de favoriser l’accès à une culture riche, inclusive et plurielle.

 

L’engagement de l’UBCI repose sur des valeurs fondamentales de partage, de diversité et de rayonnement. Le Festival International de Hammamet incarne pleinement cette ambition, en offrant une scène ouverte sur le monde, en résonance avec les expressions artistiques contemporaines.

 

La programmation 2025 promet d’être remarquable, réunissant des artistes de renom sur la scène tunisienne et internationale. Au programme de cette édition exceptionnelle figurent entre autres : le spectacle RAGOUJ, Yuri Buenaventura, Wael Jassar, Lotfi Bouchnak, Al Shami ou encore Saber Rebai, qui promettent des soirées inoubliables.

 

Ce partenariat scelle l’engagement de l’UBCI et du Festival International de Hammamet à célébrer ensemble un été d’exception, vibrant d’émotion, de découverte et d’excellence artistique.

 

 D’après communiqué 

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95 000 touristes algériens entrés via les postes frontaliers de Jendouba en juin

95 000. C’est notre chiffre du jour. Et c’est le nombre de touristes algériens ayant visité la la Tunisie en juin, via les trois postes frontaliers de Jendouba, à savoir Melloula (Tabarka), Babouche (Ain Draham) et Jlaiel dans la délégation de Ghardimaou. C’est une augmentation de 17 % par rapport à la même période de 2024, selon le Délégué régional au tourisme, Issa Marouani.

Le poste de Melloula arrive en tête avec 64 000 touristes algériens. Il est suivi par celui de Babouche 22 700 Algériens, soit une hausse de plus de 44 %.

Pour sa part, au poste-frontière de Jlaiel (dans la délégation de Ghardimaou) le nombre d’arrivées de touristes algériens est passé de 5 232 durant les six premiers mois de 2024 à de 8 944 personnes pour la même période en 2025. Ce qui constitue une augmentation de plus de 70 %, représentant le taux le plus élevé enregistré par ce poste-frontière au cours des cinq dernières années.

Au cours du premier semestre de l’année en cours (du 1er janvier au 30 juin), le nombre de visiteurs algériens ayant franchi les trois postes-frontières du gouvernorat de Jendouba a connu une hausse de 7,64 %, avec environ 461 000 touristes contre 428 000 durant la même période de l’année précédente.

Selon la même source, la région devrait continuer à accueillir un nombre important de touristes algériens avec le début de la haute saison touristique durant les mois de juillet et août. Cette affluence devrait contribuer à une relance du secteur touristique, à dynamiser l’activité économique, l’artisanat et le transport touristique, notamment après l’ajout de deux vols à l’aéroport international de Tabarka – Aïn Draham en provenance de Pologne.

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Le port en eaux profondes d’Enfidha classé « projet public à caractère stratégique »

Le projet du port en eaux profondes d’Enfidha semble entrer dans une phase décisive. En tout cas, le ministère du Transport a annoncé que les démarches sont en cours pour le faire classer parmi les « projets publics à caractère stratégique ». Ce qui permettrait de simplifier les procédures et d’accélérer sa réalisation.

Suite à une question du député Abdelhalim Boussema sur ledit projet, le département du Transport a souligné que cette initiative s’inscrit dans le cadre du décret n°497 du 24 octobre 2024 relatif aux grands projets publics.

Et une étape clé a déjà été franchie : le 14 avril dernier, la Société Port d’Enfidha a présenté le dossier devant la commission technique du ministère. Il a ensuite été transmis en mai 2025 à la Commission supérieure des grands projets auprès de la présidence du gouvernement.

Sur le plan foncier, des progrès notables ont été réalisés. Le complexe portuaire prévoit la création d’une zone portuaire et d’un espace dédié aux services logistiques. La régularisation de la situation foncière est identifiée comme un levier important pour la réussite du projet.

Un calendrier prévisionnel fixe la durée d’exécution des travaux à cinq ans à compter de leur lancement.

Porté comme un projet stratégique, le port d’Enfidha ambitionne de faire de la Tunisie un hub maritime incontournable au cœur de la Méditerranée. Il s’affirme comme un futur pilier de l’économie nationale.

Ainsi, le ministère insiste sur la nécessité de décisions claires et souveraines, fondées sur les principes de bonne gouvernance, pour mener ce chantier à bon port.

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Sofiene Hemissi : « Aucune cyberattaque n’a touché La Poste tunisienne »

Le ministre des Technologies de la communication, Sofiene Hemissi, a catégoriquement démenti, ce dimanche, les rumeurs faisant état de cyberattaques visant la Poste tunisienne. Dans une déclaration à l’Agence TAP, il a affirmé que l’institution assure ses services normalement, sans aucune interruption.

« Les informations relayées sont infondées et fausses », a-t-il insisté, en réponse à des publications sur les réseaux sociaux évoquant des piratages informatiques ciblant l’établissement public.

À ce stade, aucune perturbation des services postaux n’a été signalée. Les autorités n’ont pas fourni de détails supplémentaires sur l’origine de ces allégations.

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