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Une plateforme pour la déclaration et le transfert des avoirs non réclamés

Les dispositions des articles 43 à 48 de la loi de finances 2025, et qui concernent les obligations de déclaration, d’information et de transfert des montants, dépôts, comptes titres et avoirs non réclamés au profit de l’État continuent à faire la une.

Hier, le Conseil du marché financier (CMF) a publié un communiqué dans lequel il a informé l’ensemble des intermédiaires en Bourse, des banques, des sociétés émettrices de valeurs mobilières, des intermédiaires agréés mandatés, ainsi que toute personne concernée par lesdites obligations, qu’une application informatique dédiée aux opérations de déclaration et de transfert susvisées a été mise en place par les services de l’administration fiscale, et qu’elle est désormais opérationnelle et accessible à compter du 1er juillet 2025.

Cette application est disponible via le lien https://jibaya.tn. Son utilisation s’effectue conformément au cahier des charges prévu dans la rubrique dédiée à la déclaration.

Le CMF invite l’ensemble des établissements concernés par lesdites dispositions à prendre les mesures nécessaires pour l’adoption de cette plateforme, pour le dépôt de leurs déclarations afin de se conformer à leurs obligations dans les délais impartis et d’éviter tout retard ou manquement aux dispositions prévues par la loi.

Pour rappel, les délais de déclaration sont les suivants:

– 15 juillet 2025 pour les montants, les soldes positifs des comptes courants clôturés, les valeurs mobilières et avoirs exigibles résultant des contrats d’assurance-vie et de capitalisation n’ayant fait l’objet d’aucune opération, réclamation ou litige, de la part de leurs ayants droit, sur une durée continue de quinze ans ou de cinq ans selon le cas, et ce, jusqu’au 31 décembre 2024.

– Au plus tard le 15 février de l’année suivant celle de l’expiration de la période indiquée, et ce, à partir de l’année 2026.

 

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Unimed distribuera son dividende le plus élevé depuis son IPO

Le marché attend toujours les résultats des sociétés cotées, mais il y a plus d’attention accordée aux entreprises qui traversent des moments particuliers, à l’instar de l’Unité de fabrication de médicaments – Unimed. Le père fondateur du laboratoire a des soucis juridiques depuis de longs mois, mais cela n’a pas empêché l’entité économique de poursuivre ses opérations.

Hier, elle a annoncé que son conseil d’administration a passé en revue l’activité de la société au cours de l’exercice 2024 et a arrêté les états financiers individuels et consolidés. Les principaux chiffres à retenir sont les suivants:

– Un chiffre d’affaires (hors taxe) de 147,675 Mtnd, en hausse de 8,6% en glissement annuel,

–  Un résultat net de 18, 458 Mtnd contre 5,582 Mtnd en 2023,

– Un résultat groupe de 19,371 Mtnd.

Les états financiers du premier semestre et les indicateurs d’activité montraient les signes de cette amélioration, surtout avec le retour en force sur le marché hospitalier. Grâce à son expérience, Unimed a pu suivre le rythme de croissance nécessaire pour répondre aux demandes émanant d’un marché local concurrentiel.

Le conseil d’administration a décidé de convoquer une Assemblée générale le 1er août 2025 et de proposer la distribution d’un dividende de 0,570 Tnd par action. Après l’abstention de l’année dernière, le marché devrait réagir positivement à cette nouvelle. D’ailleurs, c’est le dividende le plus élevé depuis son introduction en Bourse. Pour rappel, depuis le début de l’année, le titre a évolué de 12,2%. Par rapport au cours de clôture d’hier, le rendement en dividende s’élève à 6,4%.

 

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Grammarly acquiert Superhuman créant une suite de productivité alimentée par l’IA

Plusieurs d’entre nous utilisent Grammarly, ce logiciel d’aide à la rédaction et qui vérifie l’orthographe, la grammaire et le ton d’un texte. Il peut également suggérer des recommandations de style aux utilisateurs et produire des textes grâce à ses capacités d’IA générative. Mais rares sont ceux qui savent qu’il s’agit d’une entreprise qui compte plus de 40 millions d’utilisateurs quotidiens et dont le chiffre d’affaires annuel dépasse 700 millions de dollars. Elle a récemment levé un milliard de dollars pour se développer au-delà de la correction grammaticale.

Et c’est effectivement ce qui s’est passé hier, avec l’annonce d’un accord pour acquérir l’outil d’efficacité des courriels Superhuman. L’idée est de créer une suite de productivité alimentée par l’intelligence artificielle (IA). Les termes financiers de l’accord n’ont pas été divulgués.

Superhuman est une application de messagerie ultrarapide qui optimise la gestion des emails, en mettant l’accent sur la vitesse et la productivité grâce à des raccourcis clavier étendus et des fonctionnalités basées sur l’IA. La dernière évaluation connue remonte à 2021, valorisant la société à 825 millions de dollars. Sin chiffre d’affaires annuel s’élève actuellement à environ 35 millions de dollars.

Le courrier électronique reste l’outil de communication dominant dans le monde. Les professionnels passent, en moyenne, trois heures par jour dans leur boîte de réception. C’est de loin l’application de travail la plus utilisée, fondamentale pour toute suite de productivité. Superhuman a prouvé son efficacité. Ses utilisateurs envoient et répondent à 72% de courriels en plus par heure, et le pourcentage de courriels composés à l’aide de ses outils d’IA a été multiplié par cinq au cours de 2024. Préparez-vous aux changements.

 

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11,6% du capital de TPR échangé dans une transaction intra-groupe

Deux opérations significatives ont eu lieu sur les titres de TPR le 30 juin 2025. C’est Indinvest Sicaf qui a acheté 5 800 000 actions de ladite société, soit 11,6% de son capital. Ces titres ont été cédés par la CIE Financière d’Investissement. Le prix unitaire était de 10 Tnd. Les trois sociétés impliquées appartiennent au même groupe, détenu par la famille Bayahi. D’ailleurs, c’est Yahia Bayahi qui occupe le poste de président-directeur général des deux parties de la transaction.

La structure de capital de TPR est l’une des plus dynamiques sur le marché, avec plusieurs opérations intra-groupes au cours de l’année. D’ailleurs, cela contribue significativement à la cote importante de confiance dans la solidité du cours de l’action et dans les perspectives de la société. TPR affiche une régularité dans les performances et une récurrence dans la distribution de dividendes.

Depuis le début de l’année, le rendement annuel du titre frôle les 58%, faisant de lui l’un des meilleurs placements de l’exercice. La société n’a pas encore distribué ses dividendes, fixés à 0,450 Tnd par action. Le détachement aura lieu le 16 juillet.

L’exercice 2025 s’annonce positif. Les chiffres du premier trimestre ont montré une hausse de 7% des ventes à 47,730 Mtnd, grâce à l’activité export. Les investissements ont totalisé 11,966 Mtnd. TPR a une dette financière de 87,441 Mtnd, mais elle détient des placements en billets de trésorerie et bons du Trésor, qui rapportent plus qu’elle ne paie en charges financières, de 74,300 Mtnd. Sauf surprise, la société continuera à surperformer le marché.

 

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Dette souveraine: un mois de juillet calme pour le Trésor

Après un mois de juin serré, mais réussi, pour le Trésor, juillet est plutôt calme. Le calendrier comporte trois principaux rendez-vous sur le front de la dette interne, à savoir:

– BTCT 26 semaines 11/07/2025: 32 MTND,

– BTCT 52 semaines 15/07/2025: 1 000 MTND,

– BTCT 26 semaines 18/07/2025: 185 MTND.

En tout, c’est 1 217 MTND qu’il faudra rembourser. Nous pensons que cela sera réalisé par des BTA, encore une fois. Le mois de juin a connu une série d’émissions de BTA, ce qui permet déjà d’alléger les remboursements programmés pour 2026. Les souscripteurs seraient intéressés par la sécurisation des rendements à long terme, mais cela dépend également de leurs politiques ALM.

Sur le front de la dette extérieure, il y a:

– La seconde tranche de la dette contractée auprès de l’Arabie saoudite: 50 MUSD,

– Une tranche du financement FMI obtenu dans le cadre du Mécanisme Élargi de Crédit 2016-2019: 25,6 MUSD.

Nous parlons donc d’environ 219 MTND, ce qui porte la facture de ce mois à près de 1 653 MTND. Certes, c’est un montant important mais qui est largement gérable pour le Trésor.

La seconde moitié de l’année sera significativement plus facile puisque l’essentiel a déjà été payé. Cela signifie une fin d’exercice budgétaire moins compliquée. Avec la physionomie actuelle, nous pensons qu’il est peu probable de voir le Trésor opter pour l’émission de l’emprunt obligataire cette année, même si cela reste toujours possible. Les prochaines publications de l’exécution du budget nous donneront plus de détails, surtout l’utilisation de la ligne de financement auprès de la BCT. Quel qu’il en soit, le plus dur est derrière nous du point de vue dette, mais il est encore devant nous en matière de reprise de croissance économique.

 

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Un léger repli de l’actif net des OPCVM en juin 2025

L’actif net des OPCVM a fait une petite pause au mois de juin 2025, reculant légèrement de 28,6 MTND par rapport à fin mai, s’établissant à 8 601,6 MTND. Sur les six premiers mois de l’année, un bond de 1 597,2 MTND est toujours affiché, signant une excellente performance dans un contexte économique toujours tendu.

Le repli du mois précédent provient des véhicules mixtes, qui ont perdu 68,4 MTND. Idem pour ceux actions qui ont baissé de 0,1 MTND. Par contre, les OPCVM obligataires ont poursuivi leur attractivité, augmentant 39,9 MTND sur la même période.

La dynamique est positive pour toutes les catégories depuis le début de l’année: +1 486,5 MTND pour les OPCVM obligataires, +107,2 MTND pour ceux mixtes et 3,4 MTND pour ceux actions.

Ces flux positifs montrent que les épargnants cherchent à maximiser les rendements de leurs placements, alors que les taux commencent à baisser. Tous les intervenants sur le marché sont convaincus que la Banque centrale de Tunisie baissera encore son taux directeur au moins une deuxième fois cette année. En même temps, le rendement net de la majorité des OPCVM dépassera celui brut d’une épargne bancaire classique. L’équation est donc claire pour les épargnants.

Reste à préciser que l’offre de titres de créance sur le marché primaire cette année est moins abondante, surtout en l’absence de l’emprunt obligataire souverain. C’est une opportunité pour les corporates pour émettre de la dette. Tous les établissements financiers ont été autorisés par leurs assemblées générales à émettre des emprunts obligataires. Nous pensons que le momentum est positif, avant que la liquidité parte à la recherche d’autres opportunités.

 

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Pourquoi le taux effectif global des microcrédits est si élevé?

Le chiffre du taux effectif global appliqué aux microcrédits a fait le tour le weekend dernier. Il s’est établi à 25,7%. La publication de ce chiffre date de quelques semaines et la lecture du document publié par l’Autorité de contrôle de la microfinance (ACM) Microcrédit montre qu’elle a fourni tous les arguments pour justifier ce niveau.

Il faut souligner que les 25,7% au second semestre 2024 sont une bonne nouvelle par rapport aux 36,0% enregistrés au terme du même semestre en 2023. De plus, et à la différence du TEG bancaire, ce taux est équivalent au taux de la période, et tient compte de la prime d’assurance liée au microcrédit payée par les bénéficiaires, et perçue par l’Institution de Microfinance en sa qualité d’intermédiaire d’assurance.

La baisse significative par rapport à 2023 découle de la décision prise par l’ACM, en étroite concertation avec toutes les IMF SA, par laquelle le taux d’intérêt nominal applicable aux microcrédits alloués à l’amélioration des conditions de vie a été fixé à un maximum de 24%. La commission d’étude a été annulée pour tout type de microcrédit relevant de cette catégorie. Une étude, menée par l’ACM sur la période janvier 2018-février 2024, a démontré, entre autres, que cette catégorie de microcrédits est nettement moins risquée que ceux alloués aux activités génératrices de revenu.

Le niveau du TEG des microcrédits aurait certainement pu être fixé à un niveau encore nettement plus bas, si les institutions avaient accès à des ressources de refinancement à un coût avantageux. En effet, n’étant pas autorisées par la réglementation à collecter la micro-épargne, et vouées de surcroit à ne commercialiser qu’un seul produit, les IMF SA ont du mal à supporter un coût de refinancement élevé. Il s’agit donc d’un appel aux autorités pour revoir ces conditions restrictives. Des taux accessibles aideront à donner un coup de pouce à la consommation et à faciliter l’accès au financement pour un plus grand nombre de Tunisiens.

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Le gouvernement britannique fait avorter un mégaprojet d’énergie verte au Maroc

Mauvais coup pour le Maroc en matière d’exportations d’énergie propre. Le gouvernement britannique a annoncé la semaine dernière l’abandon du projet énergétique Xlinks. Ce mégaprojet visait à atteindre une production de 11,5 GW d’énergie renouvelable, 22,5 GWh de stockage sur batterie et une interconnexion à courant continu haute tension de 3,6 GW pour acheminer l’électricité solaire et éolienne du Maroc vers le Royaume-Uni. Cela allait être transmis via un réseau de 4 000 kilomètres de câbles sous-marins reliant directement les fermes solaires et éoliennes implantées au sud du Royaume de l’Atlas au Royaume-Uni.

Mais le changement de cap de Londres, qui cherche à renforcer ses capacités de production locales et à être énergétiquement indépendant, a mis fin à ce projet. Le gouvernement britannique a refusé d’accorder à la société Xlinks un contrat de garantie d’achat qui s’étendrait sur 25 ans, garantissant un prix fixe pour l’électricité importée. Pourtant, le projet aurait pu permettre de réduire d’environ 10% les émissions de CO₂ du secteur énergétique britannique. Les démarchages de financement ont montré que le financement du projet était assuré, avec des investisseurs de premier plan tels que TotalEnergies. L’entreprise avait déjà mobilisé 100 millions de livres sterling pour le financement du développement.

Pour atteindre ses objectifs climatiques ambitieux, à savoir la réduction des émissions de gaz à effet de serre de 81% d’ici à 2035 (par rapport aux niveaux de 1990) et l’atteinte de la neutralité carbone à l’horizon 2050, le gouvernement table désormais sur l’énergie nucléaire. Des investissements de plus de 30 milliards de livres sterling sont planifiés. Une approche qui diffère de celle des pays du sud de l’Europe qui ont consolidé les liens avec les pays d’Afrique du Nord. C’est indispensable pour ces derniers, car autrement, tous les investissements prévus ne verront pas le jour.

 

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Le Camerounais George Elombi nouveau président de l’Afreximbank

Le conseil d’administration de la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) a choisi son directeur de la gouvernance, des services juridiques et des services aux entreprises, le Camerounais George Elombi, comme prochain président, succédant ainsi au Nigérian Benedict Oramah, qui se retire après deux mandats.

George Elombi a joué un rôle essentiel dans la mise en place de la structure de la banque, notamment dans la création de filiales clés qui ont permis son expansion. Il a contribué à mobiliser plus de 2 milliards de dollars pour l’acquisition et le déploiement de vaccins dans les pays d’Afrique et des Caraïbes lorsque la pandémie de Covid-19 a frappé. Il a également participé à porter les fonds propres de la banque à 3,6 milliards de dollars.

Le quatrième président de la banque depuis sa création en 1993 travaille à Afreximbank depuis 1996 et prend ses fonctions à un moment où l’institution financière doit faire face aux retombées d’une dégradation de sa note par l’agence de notation Fitch, une décision largement contestée.

Le principal défi du nouvel homme fort de la banque est de faire d’elle une institution de 250 milliards de dollars au cours des dix prochaines années. Sous la direction d’Oramah, la banque a augmenté son capital de base à plus de 40 milliards de dollars, contre environ 4 milliards de dollars lorsqu’il a pris ses fonctions à Lusaka en 2015. Elle souhaite plus que doubler ses financements commerciaux pour dépasser les 40 milliards de dollars d’ici la fin de l’année prochaine.

L’Afreximbank, qui est détenue par des gouvernements africains et des investisseurs privés, est la plus grande banque de financement du commerce en Afrique, dont le mandat principal est d’aider à industrialiser le continent en augmentant le commerce intra-régional, de seulement 17% aujourd’hui.

 

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Comment maîtriser son stress financier?

Cet été, comme chaque année, les familles s’apprêtent à multiplier les rencontres, les sorties et les voyages. Mais ces activités sociales ont un coût et la majorité absolue des ménages ne se sentent pas à l’aise avec leurs finances, créant un stress financier permanent. Comment réduire cette anxiété, du moment que son élimination n’est pas réaliste?

Tout d’abord, il faut rappeler qu’un minimum de stress financier est salutaire. À court terme, il peut aider à prendre conscience de ce qui est le plus important pour chacun et à élaborer un plan financier plus large qui reflète ces valeurs. Ce stress peut aussi être motivant et vous encourager à rester sur la bonne voie.

Mais lors de la prise d’une décision financière importante, il est sage de réduire l’intensité du stress jusqu’à un niveau où l’individu se sente capable de faire des choix financiers éclairés. Il faut prendre le temps d’y réfléchir et de maîtriser ses émotions. Il ne s’agit pas d’attendre que le niveau de stress soit nul ou d’éviter toute dépense supplémentaire, mais plutôt de se sentir suffisamment bien sur le plan émotionnel pour faire le bon choix.

Le stress financier peut aider à déterminer les priorités. Par exemple, en cas d’inquiétudes de ne pas avoir suffisamment d’économies pour les urgences, cela peut indiquer que l’individu accorde de l’importance à la tranquillité d’esprit qu’un fonds d’urgence pourrait lui procurer.

Cependant, il est également possible que certains se stressent pour de mauvaises raisons, surtout s’ils s’en sortent bien financièrement. C’est le cas de ceux qui visent la perfection ou qui essaient de répondre à une norme arbitraire de quelqu’un qui a «réussi». Si vous êtes parmi cette population, c’est le moment de faire le point avec vous-même ou d’aller rendre visite à un psychanalyste.

Ainsi, il y a généralement quatre moyens pour réduire son stress financier:

1- Garder les priorités financières à l’esprit,

2- Utiliser des outils financiers digitaux pour se faciliter la vie,

3- Éviter de faire cavalier seul, car dire à son entourage ce sur quoi on se concentre sur le plan financier peut créer un sentiment de responsabilisation, diminuer les moments gênants et réduire le stress social, et

4- Fixer des limites, afin de trouver un équilibre entre l’évitement et l’obsession.

Bon début de vacances à tous.

 

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La Steg obtiendra 70 millions de dollars de financement Mourabaha

L’ARP examinera prochainement un projet de loi, comportant un seul article, portant sur l’approbation de l’accord de garantie et signé le 12 mars 2025 entre la Steg et la Société internationale islamique de financement du commerce (ITFC)

Il s’agit d’un financement ayant la forme de Mourabaha dans la limite de 70 millions de dollars. Cette somme servira à couvrir les exportations du gaz naturel.

Cette opération entre dans le cadre d’un accord-cadre, signé le 12 février 2021, entre l’État tunisien et l’institution financière islamique pour un montant de 1,5 milliard de dollars américains. Cet accord visait à soutenir les flux commerciaux et à renforcer les capacités commerciales de la Tunisie. Déjà, deux accords ont découlé de cet accord-cadre, avec la Steg et le Groupe chimique tunisien.

Le taux d’intérêt correspond au Mid Swap Rate, auquel il faut ajouter 400 points de base. La durée du financement est de 12 mois à compter du premier tirage.

Le remboursement de chaque tirage s’effectue sur trois années, comme suit:

– Une première tranche dans 24 mois,

– Une deuxième tranche dans 30 mois, et

– Une troisième tranche dans 36 mois.

Les frais s’élèvent à 0,4% de l’enveloppe globale et l’opération est assortie de la garantie de l’État tunisien.

L’opération permettra à la Steg d’assurer ses approvisionnements en gaz naturel à l’aube d’un été qui s’annonce plus chaud que la moyenne. La consommation d’électricité explose, surtout avec la saison de la séance unique et la consommation excessive de climatisation par les foyers.

 

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Washington et Pékin consolident l’accord de Genève, en attendant Bruxelles

Les États-Unis et la Chine ont confirmé les détails d’un cadre commercial visant à autoriser les exportations de minéraux rares et à assouplir les restrictions technologiques, selon un communiqué publié hier par le ministère chinois du Commerce. Le géant asiatique examinera et approuvera les demandes d’exportation d’articles soumis aux règles de contrôle des exportations, tandis que les États-Unis annuleront en conséquence une série de mesures restrictives imposées à Pékin.

Cette déclaration intervient après que le président américain Donald Trump a déclaré, une journée auparavant, que son pays s’est mis d’accord avec la Chine. Ultérieurement, la Maison-Blanche a précisé que Washington et Pékin s’étaient convenus d’un accord supplémentaire sur un cadre de mise en œuvre de l’accord de Genève.

Au début du mois, les équipes de négociation des deux parties, dirigées par le secrétaire américain au Trésor Scott Bessent et le vice-premier ministre chinois He Lifeng, sont parvenues à un accord sur la mise en œuvre du consensus trouvé en Suisse, deux jours après des discussions de haut niveau à Londres.

L’accord de Londres a stabilisé ce qui était devenu une relation tendue, les États-Unis reprochant à la Chine d’avoir tardé à assouplir les restrictions sur les minéraux rares et la Chine critiquant les restrictions américaines en matière de technologie et la révocation des visas d’étudiant.

Reste maintenant à arriver à un tel accord avec l’Union européenne, ce qui semble plus compliqué. Avec la Chine, les minéraux rares étaient considérés comme une monnaie d’échange cruciale dans les négociations. Mais avec Bruxelles, les choses sont bien différentes.

 

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4,5% du capital de Smart Tunisie fait l’objet de deux transactions de blocs

Deux opérations significatives sur les titres de Smart Tunisie ont été annoncées hier, conformément à la réglementation. Il s’agit de deux cessions importantes:

– 200 000 actions au prix moyen de 12,200 TND par Mahmoud Bouden, directeur général et membre du conseil d’administration,

– 260 000 actions au prix moyen de 12,200 TND par Myriam Essafi, la fille du président du conseil d’administration.

Les montants mobilisés s’élèvent donc à 5,412 MTND. L’identité de l’acquéreur n’a pas été révélée. Ce qui est sûr, c’est qu’il s’agit d’un Tunisien libre, et ce, selon le détail des transactions de blocs publié par la Bourse de Tunis. De plus, et étant donné que les transactions ont eu lieu le 27 juin, et si l’acheteur est dans l’obligation de déclarer, il a jusqu’à vendredi prochain pour le faire. Nous sommes en train de parler de 4,5% du capital de la société, soit un seuil proche des 5,0%.

Pour rappel, la société a déjà distribué son dividende le 19 juin 2025, de 0,900 TND par action, dont 0,360 TND exonéré d’impôt.

Indépendamment de ces opérations, qui montrent l’engagement des actionnaires de référence envers la société, le marché s’intéresse plutôt aux performances opérationnelles de l’exercice en cours. Le premier quart était sans éclat, avec un repli des ventes de 4,0% à 83,341 MTND, des charges financières en hausse de 3,8% à 3,309 MTND.

Le titre est quasiment à l’équilibre depuis le début de l’année, affichant une légère baisse de 1,8%. Les investisseurs attendent maintenant les chiffres du deuxième trimestre pour commencer à avoir une idée sur la profitabilité de 2025.

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Office Plast victime d’un incendie dans ses dépôts de produits finis

La cotation des actions d’Office Plast a été suspendue hier à la suite du communiqué de presse publié par la société. Un événement majeur a effectivement eu lieu. Il s’agit d’un incendie qui s’est déclenché dans la nuit du mercredi 25 juin 2025 à 22h00 et qui a touché son dépôt de stockage de produits finis. Les dépôts de matières premières et les usines de production ont été épargnés.

La société a repris la production normalement jeudi matin et a entamé un plan d’action visant à livrer ses clients à temps. Les démarches nécessaires ont été entreprises avec une compagnie d’assurances pour l’indemnisation des dégâts subis à l’entrepôt incendié.

La société a également chargé un expert pour analyser les causes et définir les mesures préventives. Elle s’engage, de surcroît, à tenir informé le CMF de l’avancement des travaux de l’expert, au fur et à mesure de leur progression. Cet incendie n’aura pas d’impact sur le plan du développement de la société.

Nous n’avons pas idée de la valeur du stock endommagé, ce qui est la principale information que le marché recherche. Selon les chiffres publiés dans les états financiers 2024, la société a terminé l’année avec des produits finis de 4,321 MTND. Les analystes vont automatiquement prendre en considération les provisions élevées dans leurs modèles si la société ne donne pas d’informations sur les pertes réelles rapidement. Office Plast a une opportunité pour informer le marché dans ses indicateurs d’activité attendus dans la seconde moitié de juillet. Le titre est quasiment à l’équilibre depuis le début de l’année et nous ne pensons pas qu’il y aura une déviation significative. Nous allons suivre la réaction du marché lors de la reprise des échanges lundi.

 

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Air Liquide se focalise sur la gestion de son cycle d’exploitation

Avec un peu plus de deux mois de retard, Air Liquide Tunisie a publié ses indicateurs relatifs au premier trimestre 2025.

Le chiffre d’affaires s’est établi à 9,589 MTND, en repli de 5,2% en glissement annuel. La baisse provient aussi bien de l’activité export (-3,5% à 2,268 MTND) que locale (-5,7% à 7,320 MTND).

La production a reculé de 2,7% fin mars 2025, par rapport à fin mars 2024, expliquée essentiellement par la baisse de 23% de la production d’azote. Cela a été partiellement compensé par une augmentation de la production d’oxygène de 12%.

La marge sur coût matières a atteint 4,681 MTND et l’excédent brut d’exploitation 0,959 MTND. Le BFR s’est nettement rétracté, passant de 79,710 MTND au premier trimestre 2024 à 45,209 MTND une année plus tard. Cette variation est due à une meilleure politique de suivi et de recouvrement des créances clients qui a permis de baisser le délai moyen de paiement de 9 jours par rapport à la même période de l’année dernière malgré les difficultés de paiement enregistrées principalement auprès des clients publics. L’endettement net est même négatif, à -57,558 MTND. 

Les investissements nets ont quasiment doublé par rapport à ceux réalisés au premier trimestre 2024. Un projet de rénovation des compresseurs de l’une des deux unités de production est en cours afin de maintenir le niveau de fiabilité de la production d’azote et d’oxygène.

Le retard est passé inaperçu sur le marché, qui s’est plutôt concentré sur les résultats annuels et les dividendes qui ont été au rendez-vous. Le titre a déjà gagné 13,98% depuis le début de l’année, un rendement confortable pour les actionnaires et meilleur que le marché.

 

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Le Lloyd tunisien annonce un bénéfice 2024 de 8,416 Mtnd

La Société tunisienne d’assurances Lloyd tunisien a publié ses états financiers 2024.

Le compte technique Non-Vie montre un chiffre d’affaires de 213,969 MTND. Les revenus de placements alloués à l’état de résultat se sont établis à 11,393 MTND, en repli de 7,4% par rapport à 2023. Les charges de sinistres ont significativement augmenté de 15,1% en glissement annuel à 82,673 MTND. Les frais d’exploitation ont suivi la même tendance, avec une aggravation de 18,5% à 25,906 MTND. Le résultat technique Non-Vie s’est établi à 4,396 MTND.

La branche la plus profitable est l’Automobile (5,930 MTND). Elle devance l’Incendie (2,537 MTND) et les Risques divers (1,262 MTND). Les pertes proviennent essentiellement de la branche Groupe (-5,023 MTND).

Quant à l’activité Vie, le chiffre d’affaires a été de 2,463 MTND. Le résultat technique s’est élevé à 0,729 MTND, contre 1,340 MTND une année auparavant.

En tout, le résultat net est de l’ordre de 8,416 MTND. Les capitaux propres avant affectation des bénéfices sont de 100,665 MTND. Le bilan montre des placements de 248,767 MTND (sans compter une plus-value latente de 30,950 MTND) pour des provisions techniques de 223,660 MTND.

À noter que la compagnie n’a pas présenté des états financiers consolidés, puisqu’elle se trouve dans le champ d’application de cette exemption. En effet, Lloyd Assurances est une filiale de la Compagnie financière d’investissement – CFI. Cette dernière est une entreprise établie en Tunisie et prépare annuellement des états financiers consolidés conformément au référentiel comptable tunisien. De plus, des minoritaires représentant 5% du capital de Lloyd Assurances ne se sont pas opposés au fait que la compagnie ne prépare et ne présente pas des états financiers consolidés.

 

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BP ferait l’objet d’une acquisition ou d’une scission

Les marchés ont vibré depuis mercredi soir sur une grande possible nouvelle: un major pétrolier pourrait faire l’objet d’une acquisition. Il s’agit de BP.

Le crédible Wall Street Journal a rapporté des informations selon lesquelles Shell aurait entamé des pourparlers en vue de l’acquisition de BP. Le rapport, citant des personnes proches du dossier, a déclaré qu’un accord était loin d’être certain.

Pour comprendre l’ampleur d’une telle transaction, il faut jeter un coup d’œil sur la taille de la cible. BP a une capitalisation boursière d’environ 80 milliards de dollars. Si Shell rachète la major pétrolière britannique, il s’agira de la plus grosse opération jamais réalisée dans le secteur depuis les années 1990, après le rachat de Mobil par Exxon pour 83 milliards de dollars.

Shell a réagi à ces informations en les qualifiant de «spéculation du marché». La société a insisté sur sa stratégie: continuer à mettre l’accent sur la performance, la discipline et la simplification.

Mais les spécialistes du secteur ont un autre avis. Même s’il est peu probable que Shell achète la totalité de BP, il est possible que cette dernière fasse l’objet d’une scission et de vente par entités à plusieurs entreprises qui seraient intéressées. Ce type d’opération crée énormément de valeur pour les actionnaires.

Les performances de BP ont été inférieures à celles de Shell et de ses rivaux américains, car la société a eu du mal à trouver sa voie ces dernières années, ce qui a alimenté les attentes d’une absorption par un autre acteur.

Il y a cinq ans, BP s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de réduction des émissions de dioxyde de carbone et d’investissement dans les énergies renouvelables. Mais son virage vert a fait l’objet d’un examen minutieux en raison de la baisse des bénéfices. BP a annoncé une réorientation stratégique au début de l’année, en redoublant d’efforts dans le domaine du pétrole et du gaz et en réduisant ses dépenses dans le domaine des énergies renouvelables. La tentative de BP de transformer une société pétrolière en une société d’énergies renouvelables a été qualifiée d’erreur monumentale car il s’agit simplement de deux coûts du capital très différents. Maintenant, c’est le moment de passer à la caisse pour payer ses mauvais choix.

 

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Une motion de censure déposée contre Ursula von der Leyen sur le fond de l’affaire Pfizergate

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, est confrontée à un vote de défiance au sujet de l’affaire « Pfizergate« , scandale lié aux négociations de contrats d’achat de vaccins COVID-19 par la Commission européenne. 

Les législateurs d’extrême droite du Parlement européen affirment avoir obtenu le soutien suffisant pour une motion contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Ils exigent même la démission de l’ensemble de la Commission, après qu’un tribunal de l’UE a statué contre la gestion par Madame von der Leyen de messages privés avec le directeur général d’une société pharmaceutique.

Mince chance de succès

La motion a été déposée jeudi 26 juin après le recueil des 72 signatures nécessaires. L’extrême droite justifie cette initiative par la nécessite du maintien de la transparence et la garantie d’un processus démocratique et authentique.

Mais tout porte à penser qu’Ursula von der Leyen devrait survivre au vote qui pourrait avoir lieu au mois de juillet prochain. Si le seuil de déclenchement d’un vote de défiance est bas, le renversement la présidente de la Commission nécessiterait plus de deux tiers des députés présents.

A noter au passage que le Parlement européen compte 720 députés, 401 d’entre eux ayant voté pour qu’elle devienne présidente il y a un an.

Les chances de succès de cette motion de censure sont donc minces. Néanmoins, cela obligera la Commission à répondre à des questions embarrassantes et à fournir des justifications.

Rappel des faits

L’affaire est liée au procès dit “Pfizergate“. Au mois de mai dernier, le Tribunal de l’Union européenne s’est prononcé contre la Commission dans une bataille concernant la publication de messages textuels entre Mme von der Leyen et le directeur général de Pfizer, Albert Bourla, lors des négociations pour la fourniture de vaccins Covid-19 en 2021.

Le New York Times avait porté l’affaire devant le Tribunal après que l’équipe de Mme von der Leyen a refusé de divulguer les messages. Ledit Tribunal a estimé que le refus de la Commission n’était pas juridiquement fondé et qu’il manquait de justification crédible.

Néanmoins, cela ne peut passer que par davantage de compromis et de concessions avec la gauche et la droite pour s’assurer de leur soutien. Les votes de défiance ne sont pas une monnaie courante, mais peuvent avoir de graves conséquences.

En 1999, l’équipe de Jacques Santer avait démissionné à la suite d’allégations de fraude et d’un manque de transparence, même après avoir obtenu un vote de confiance.

Par ailleurs, la Commission actuelle a déclaré avoir l’intention de retirer une loi interdisant le greenwashing, ou les déclarations environnementales infondées des entreprises, quelques jours avant que le Parlement et les États membres ne parviennent à un accord final sur ce sujet.

Les Verts, qui ont soutenu Mme von der Leyen, ont attaqué cette initiative. Certaines capitales européennes ont également exprimé leur désaccord, estimant que ce retrait de dernière minute compromettait la crédibilité de la législation européenne.

L’été politique de l’Europe, entre les problèmes internes et la pression économique de Trump, semble déjà très chaud.

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Le marché secondaire de la dette sur un nuage

Si l’État est depuis quelques années dans le viseur des économistes qui l’accusent de causer un effet d’éviction en accaparant une grande part de liquidité (ce qui n’est pas faux), cela a permis de développer le marché secondaire de la dette.

Depuis le début de l’année, le volume des échanges sur le marché obligataire a totalisé 264,530 MTND, en hausse de 353,5% par rapport à la même période en 2024.

Ce marché est purement institutionnel, ce qui explique la taille moyenne importante des opérations, de 0,711 MTND. Les titres du Trésor ont représenté 86,2% des échanges (soit 228,155 MTND), ceux corporate 13,8% (36,375 MTND).

Les achats ont été essentiellement l’œuvre des OPCVM, à hauteur de 99,1%. Mais côté vente, leur part passe à 29,0%. Les comptes propres sont les premiers vendeurs (145,880 MTND). Les Tunisiens, en mode de gestion libre, ont massivement liquidé des positions, représentant 15,6% du volume total. Cela montre à quel point certains investisseurs se sont intéressés à la dette lors de la période de hausse des taux pour profiter de l’aubaine. Maintenant, ils sont en train de quitter ce marché et de retrouver le compartiment actions ou des placements bancaires sûrs.

Ce marché doit être développé davantage, indépendamment du contexte du taux. Il y a des avantages fiscaux intéressants, avec la déduction des intérêts perçus sur les emprunts obligataires et les BTA dans la limite de 10 000 TND de la base imposable. Il faut également penser à l’ouvrir aux étrangers qui pourraient être intéressés par de tels placements. Il est vrai qu’il s’agirait du fameux hot money, qui quitte rapidement le pays dès le premier choc externe, mais il peut aider à accumuler les ressources en devises, un facteur clé pour la bonne tenue de l’économie nationale.

 

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