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Coupe du monde 2026 : Vers un record d’émissions carbone avec 48 équipes et 104 matchs

L’industrie du football dans le monde produit plus de 30 millions de tonnes de CO2 par an, selon l’organisation ” Earth.Org”

Le dernier Mondial de foot au Qatar a rejeté officiellement 3,63 millions tonnes de CO2 dont 52% ont été produit par le transport et 20% par l’hébergement. Malgré les déclarations et engagements de la FIFA concernant la réduction des émissions de carbone sur les deux prochaines décennies, l’augmentation prévue du nombre d’équipes et de pays hôtes pour les éditions de 2026 et 2030 “soulève des inquiétudes quant à l’accroissement de l’empreinte carbone”. “Avec 48 équipes et 104 matchs disputés dans trois pays, la Coupe du monde de la FIFA 2026 pourrait causer des émissions de carbone records”, selon certains experts en la matière.

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Communication environnementale : Le WWF outille les médias tunisiens dans le cadre du projet BIODEV 2030

Une formation en plaidoyer et communication environnementale a été organisée par le Fond mondial pour la nature Afrique du nord (WWF) au profit de journalistes de différents médias nationaux dont l’Agence TAP.

Cette formation qui s’est déroulée à Tunis, avait pour objectif notamment, de développer « une compréhension approfondie du plaidoyer environnementale, de sensibiliser les journalistes à leur rôle stratégique dans la plaidoyer pour la biodiversité et de les outiller pour la conception de message et de communication percutante ainsi que favoriser le réseautage et les échanges d’expérience entre eux de manière à encourager la co-construction d’action futures en faveur de la biodiversité.

La formation, financé par l’Agence française du développement (AFD) s’inscrit dans le cadre de la phase 2 du projet BIODEV 2030 (2030-2026) qui a pour objectif du Cadre Mondial de ma Biodiversité de Kunming-Montréal en encourageant l’adoption de pratiques productives conciliant biodiversité et développement durable

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Tunisie : un projet innovant pour décarboner la pêche artisanale dans le Golfe de Gabès

 L’Ambassade britannique en Tunisie, en partenariat avec le WWF, lance un projet pionnier visant à équiper les pêcheurs artisanaux du Golfe de Gabès de moteurs électriques solaires. Financé à hauteur de 254 950 £ (environ 1 million de dinars tunisiens) par le gouvernement britannique, cette initiative vise à réduire les émissions de carbone, la pollution sonore et les coûts d’exploitation tout en protégeant la biodiversité marine.

Ce projet, d’une durée de 12 mois, s’inscrit dans la stratégie tunisienne de transition énergétique et de gestion durable des pêches. Il est mis en œuvre en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, l’ANME, l’APIA, ainsi que des coopératives locales et des fournisseurs d’équipements solaires.

L’objectif est clair : remplacer les moteurs à carburant par des alternatives solaires, réduisant ainsi la dépendance aux énergies fossiles et améliorant les conditions de travail des pêcheurs. Les retombées positives pourraient servir de modèle à l’échelle nationale et régionale.

Un engagement fort pour le climat et les communautés côtières

Lors du lancement du projet, Elizabeth Green, cheffe adjointe de mission britannique en Tunisie, a souligné : « Cette initiative marque une avancée significative dans notre engagement commun en faveur de l’action climatique, du développement durable et de la croissance économique inclusive. Ensemble, nous ne faisons pas que décarboner la pêche — nous contribuons à autonomiser les populations, protéger la nature et construire un avenir plus résilient. »

Jamel Jrijer, directeur du WWF Afrique du Nord, a ajouté : « En dotant les pêcheurs artisanaux d’outils et de connaissances en matière d’énergie propre, nous contribuons directement à la stratégie nationale tunisienne de transition énergétique et de conservation marine. »

Un pas de plus vers une Tunisie verte

Ce projet s’aligne à la fois sur les priorités climatiques du Royaume-Uni et sur les objectifs tunisiens de protection des écosystèmes marins. En combinant innovation technologique, inclusion sociale et coopération internationale, il ouvre la voie à une pêche artisanale plus durable et respectueuse de l’environnement.

Les partenaires suivront de près les résultats, avec l’ambition d’étendre cette solution à d’autres régions côtières tunisiennes. Une initiative qui prouve que transition écologique et développement économique peuvent aller de pair.

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Agriculture et système capitaliste

Agriculture en Tunisie: Il faut couper avec le «maldéveloppement» imposé par le système capitaliste (étude) :

Une nouvelle étude sur « les petits agriculteurs face au changement climatique, perceptions et mécanismes de résilience », publiée récemment par la Fondation allemande Henrich boll Stiftung, a recommandé de « déconnecter » les politiques nationales agricoles de l’Etat et surtout de réviser la politique de production « orientée vers l’exportation, en se basant sur les avantages comparatifs, finalement illusoires ».

Cela signifie « refuser de soumettre stratégiquement le développement national aux contraintes de la mondialisation», et cela “en adaptant les relations internationales au service des choix locaux », expliquent les auteurs de l’étude.

Et d’ajouter « la déconnexion ne consiste pas en l’adoption d’un système de production fermé aux flux du commerce international ou aux relations financières et technologiques, mais plutôt en la rupture avec le « maldéveloppement », imposé par le système capitaliste.

Cela implique de réorienter la production agricole vers la consommation locale dans le but d’approvisionner la société, tout en soutenant les agriculteurs tunisiens.

Selon l’étude, les politiques agricoles tunisiennes ne tiennent pas suffisamment compte des priorités de l’économie nationale et des objectifs de développement local, car elles sont assujetties au système capitaliste.

Sur un autre plan, l’étude recommande de réviser les systèmes de production considérés stratégiques (l’olivier, les dattes, les agrumes, etc.) et les remplacer par d’autres systèmes (céréales, viandes, fourrage, etc.), ce qui permettrait de garantir l’autosuffisance de la population et de se libérer de l’emprise des marchés mondiaux.

Elle préconise aussi d’investir dans le développement rural en créant une infrastructure qui assure une vie décente pour les habitants des zones rurales, tout en préservant les terres, les ressources naturelles et les écosystèmes.

Les auteurs de l’étude estiment aussi que la privatisation progressive des chaînes de production agricole, initiée depuis les années 70 du siècle dernier, a engendré une désorganisation dans la production et a entraîné la marginalisation des petits agriculteurs.

Ils ont fait remarquer que les engagements climatiques de l’État tunisien, illustrés par sa Contribution déterminée au niveau national (CDN), « ne s’accordent pas avec la réalité du secteur agricole et celle de ses acteurs principaux, à savoir les petits agriculteurs qui jouent un rôle essentiel dans la production alimentaire en Tunisie ».

Des journalistes tunisiens formés dans l’analyse de données liées aux ressources hydrauliques :

Des journalistes tunisiens exerçant dans la capitale et dans les régions, ont pris part à une formation de deux jours (20 et 21 juin 2025) sur la thématique « Gestion des ressources en eau et data-journalisme », et ce dans le cadre d’un parcours de formation de six mois, dédié au journalisme environnemental.

Cette formation s’inscrit dans le cadre du Programme d’appui aux médias en Tunisie dans sa deuxième phase (PAMT2), lequel s’inscrit dans une initiative plus large celle d’appui à la gouvernance économique (PAGE), adopté par la Commission européenne en 2019 et ayant comme objectif global d’accompagner la transition économique de la Tunisie.

La formation a permis d’initier les journalistes à l’utilisation des outils et méthodes d’analyses de données spécifiques pour traiter les questions liées aux ressources en eau.

La Tunisie est particulièrement, vulnérable au changement climatique (elle est classée parmi les 10 premiers pays au monde les plus affectés par le changement climatique) et elle fait face à des défis environnementaux majeurs.

Le WWF Afrique du nord forme des journalistes en plaidoyer environnemental :

Une formation en plaidoyer et communication environnementale a été organisée par le Fond mondial pour la nature Afrique du nord (WWF) au profit de journalistes de différents médias nationaux dont l’Agence TAP.

Cette formation qui s’est déroulée à Tunis, avait pour objectif notamment, de développer « une compréhension approfondie du plaidoyer environnementale, de sensibiliser les journalistes à leur rôle stratégique dans la plaidoyer pour la biodiversité et de les outiller pour la conception de message et de communication percutante ainsi que favoriser le réseautage et les échanges d’expérience entre eux de manière à encourager la co-construction d’action futures en faveur de la biodiversité.

La formation, financé par l’Agence française du développement (AFD) s’inscrit dans le cadre de la phase 2 du projet BIODEV 2030 (2030-2026) qui a pour objectif du Cadre Mondial de ma Biodiversité de Kunming-Montréal en encourageant l’adoption de pratiques productives conciliant biodiversité et développement durable

Mainmise de 4 entreprises sur les secteurs clés de l’agroalimentaire dans le monde :

Quatre entreprises internationales dominent les secteurs clés de l’agroalimentaire, des semences et des pesticides. Il s’agit de Bayer, Corteva, Syngenta et BASF qui contrôlent 56 % du marché mondial des semences commerciales et 61 % du marché des pesticides, révèle une recherche actualisée, co-publiée par le collectif international de recherche ETCGROUP avec GRAIN, ONG internationale qui soutient les petits agriculteurs et les mouvements sociaux dans leurs luttes pour des systèmes alimentaires communautaires et fondés sur la biodiversité.

Selon cette recherche menée par le groupe d’action en faveur de la justice sociale et environnementale, des droits humains et de la défense de systèmes agroalimentaires justes et écologiques, les géants de l’agroalimentaire ont exploité des crises comme la guerre en Ukraine et la pandémie de COVID-19 pour gonfler les prix.

Les fabricants d’engrais, par exemple, ont vu leurs revenus bondir de 57 % entre 2020 et 2023, certains étant accusés de pratiques abusives, a encore fait valoir l’étude de 26 pages, consultable sur le lien suivant : https://www.etcgroup.org/sites/www.etcgroup.org/files/files/top_10_agribusiness_giants.pdf

D’après ce document, les entreprises intègrent rapidement l’Intelligence Artificielle (IA), l’édition génétique et les plateformes numériques à l’agriculture grâce à des partenariats avec les géants de la technologie. « Ces technologies permettent d’extraire des données auprès des agriculteurs, de faciliter les systèmes de crédits carbone et de renforcer le contrôle des systèmes alimentaires, tout en suscitant des inquiétudes quant à la biosécurité, à la confidentialité et aux monopoles d’entreprise », préviennent les chercheurs.

« Aujourd’hui, une poignée d’entreprises agroalimentaires ont consolidé un contrôle sans précédent sur l’approvisionnement alimentaire mondial, avec des conséquences dévastatrices pour les agriculteurs, les consommateurs et la planète », lit-on sur le site du groupe ETC.

La recherche rendue publique le 13 juin 2025, révèle l’ampleur de ce contrôle et montre l’état de concentration des entreprises dans six secteurs essentiels à l’agriculture : les semences commerciales, les pesticides, les engrais de synthèse, les machines agricoles, les produits pharmaceutiques vétérinaires et la génétique animale.

L’IA désormais utilisée pour modifier les performances des plantes :

L’usage de l’intelligence artificielle (IA) est en plein boom actuellement dans tous les secteurs. L’IA est désormais intégrée dans la sélection des plantes. Un partenariat a été conclu entre l’une des principales entreprises mondiales de technologie agricole, Syngenta et la société britannique d’IA et de machine learning InstaDeep, « pour apprendre le langage de l’ADN des plantes » et prédire la façon dont leurs différentes séquences génétiques se comportent et comment modifier leurs performances.

La collaboration entre Syngenta et Instadeep, une société à la base tunisienne, rachetée par la société de biotechnologie allemande BioNTech, permet de raccourcir, à travers l’analyse des données génomiques assistée par l’IA, les cycles de sélection de 6 ans à seulement 4 mois.

La solution de pointe développée par Instadeep et baptisée « AgroNT1 » permet d’interpréter le langage complexe du code génétique et de mieux contrôler les caractères et la performance des cultures.

Les développeurs de cette solution, estiment que le langage de l’ADN pourra fournir plus rapidement les traits dont les agriculteurs ont besoin pour améliorer et protéger leurs rendements.

Empreinte carbone de l’industrie du football :

L’industrie du football dans le monde produit plus de 30 millions de tonnes de CO2 par an, selon l’organisation « Earth.org»

Le dernier Mondial de foot au Qatar a rejeté officiellement 3,63 millions tonnes de CO2 dont 52% ont été produit par le transport et 20% par l’hébergement. Malgré les déclarations et engagements de la FIFA concernant la réduction des émissions de carbone sur les deux prochaines décennies, l’augmentation prévue du nombre d’équipes et de pays hôtes pour les éditions de 2026 et 2030 « soulève des inquiétudes quant à l’accroissement de l’empreinte carbone ». « Avec 48 équipes et 104 matchs disputés dans trois pays, la Coupe du monde de la FIFA 2026 pourrait causer des émissions de carbone records », selon certains experts en la matière.

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Europe en alerte canicule : alerte rouge généralisée

Une vague de chaleur exceptionnelle frappe l’Europe du Sud depuis lundi 30 juin, avec une intensité et une étendue « jamais vues », selon les autorités françaises. En France, le mercure grimpera jusqu’à 40 °C mardi 1er juillet. Une intense canicule.

En Espagne, Huelva a enregistré samedi 28 juin une température de 46 °C, un record absolu pour un mois de juin, dépassant les 45,2 °C de Séville en 1965.

Au Portugal, le thermomètre a grimpé dimanche jusqu’à 46,6 °C à Mora, à l’intérieur du pays — un chiffre encore à officialiser mais qui constituerait un nouveau sommet historique.

Outre des orages de grêle localisés, le Portugal a également vu apparaître un « nuage rouleau », un phénomène atmosphérique rarissime, reconnu officiellement seulement depuis 2017 par l’Organisation météorologique mondiale (OMM).

Une Europe à bout de souffle par la canicule

L’Italie est elle aussi confrontée à des températures étouffantes : 17 villes, dont Rome, Milan et Florence, sont placées en alerte rouge.

Le Royaume-Uni n’est pas épargné : la première journée du tournoi de Wimbledon s’est jouée sous une alerte orange.

La journée de mardi s’annonce comme la plus chaude de l’épisode en France : les températures minimales oscilleront entre 20 et 24 °C; tandis que les maximales atteindront 36 à 40 °C, avec des pointes jusqu’à 41 °C.
Au total, 16 départements sont en alerte rouge, et 68 en vigilance orange.

Le ministère de l’Éducation a déjà ordonné la fermeture partielle ou totale de 1 350 écoles, sur un total de 45 000, pour préserver les élèves.

La Méditerranée aussi en surchauffe

Dernier signe alarmant : la mer Méditerranée a enregistré dimanche une température moyenne de 26,01 °C — un record absolu pour un mois de juin, selon les analyses de Météo-France et du programme européen Copernicus.

Cette canicule hors normes s’inscrit dans une tendance désormais bien identifiée : les vagues de chaleur deviennent plus précoces, plus fréquentes et plus intenses, sous l’effet du réchauffement climatique mondial.

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Kasserine : la station d’assainissement de Thala entre en service en juillet

La nouvelle station d’assainissement dans la délégation de Thala (gouvernorat de Kasserine) entrera en service au mois de juillet, a annoncé la délégation sur sa page officielle.

Ce projet, dont le coût a atteint 32 millions de dinars, a été  réalisé sur deux grandes tranches.

La première tranche a porté sur l’extension du réseau d’eaux usées et l’aménagement d’une station d’assainissement pour le traitement biologique et le triple traitement, avec une capacité allant jusqu’à 950 kg par jour, ainsi que l’installation de 7 kilomètres de canalisations (diamètre oscillant entre 250  à 400 mm) avec la mise en place de 4 stations de pompage et le raccordement de 200 logements au réseau.

La deuxième tranche du projet a été axée sur l’extension du réseau de drainage des eaux usées à travers la pose de 15 kilomètres de canaux d’un diamètre de 250 mm, et le raccordement de 1500 logements supplémentaires, moyennant une enveloppe de 7,2 millions de dinars.

A noter que la direction régionale de l’Office National de l’assainissement (ONAS) à Kasserine a établi un programme de réutilisation des eaux traitées dans le domaine de l’irrigation agricole dans la région.

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L’APAL renforce le contrôle des plages : priorité à l’accès libre et à la protection du littoral

L’Agence de protection et d’aménagement du littoral (APAL) mis en garde contre tout dépassement ou violation du domaine public maritime, rappelant que les contrevenants feront objet de poursuites pénales conformément aux dispositions de l’article 28 de la Loi sur le domaine public maritime.

Elle rappelle, dans ce cadre, que les autorisations de l’occupation temporaire du domaine public maritime octroyées prévoient que « la superficie occupée par les équipements ne doit pas excéder la moitié de la largeur de la plage », afin que des accès soient « maintenus pour permettre au public le libre accès à la mer et le passage sur ses rivages » (article 7 du Décret n° 2014-1847 du 20 mai 2014, relatif à l’occupation temporaire du domaine public).

L’Agence précise, ainsi, que la loi n° 73 de 1995 du 24 juillet 1995 sur le domaine public maritime, modifiée par la loi n° 33 de 2005 du 4 avril 2005, stipule que l’utilisation publique du domaine public maritime est libre, égale et gratuite et se limite à l’usage courant selon la coutume et la tradition, tout en respectant le confort d’autrui et en préservant la santé, la sécurité, l’ordre public et la protection de l’environnement (article 21)

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La mer méditerranée a enregistré une température de surface record en juin

La mer Méditerranée a enregistré dimanche dernier sa température de surface la plus élevée jamais mesurée en juin, avec une moyenne de 26,01 degrés Celsius. Ces données ont été recueillies par le programme européen Copernicus et analysées par Météo-France.

« Nous n’avions jamais enregistré une température quotidienne aussi élevée en juin, calculée sur l’ensemble du bassin méditerranéen », a déclaré Thibault Guinaldo, chercheur au Centre d’études de la météorologie par satellite de Lannion (Côtes d’Armor) à l’Agence France-Presse.

Il a ajouté que la température moyenne actuelle de la Méditerranée est près de 3 degrés Celsius supérieure aux chiffres saisonniers enregistrés entre 1991 et 2020, et dépasse même 4 degrés autour des côtes françaises et espagnoles.

Le chercheur a souligné que les conditions météorologiques actuelles font que « la Méditerranée subit de plein fouet la chaleur, avec des températures élevées, peu de vent et un ensoleillement brûlant ».

Il a également précisé : « Au vu de la semaine à venir en termes de conditions météorologiques, malheureusement, les températures ne vont pas baisser ».

Depuis 2023, la Méditerranée connaît des vagues de chaleur répétées et sa température diminue beaucoup plus lentement qu’auparavant pendant l’hiver.

Guinaldo a noté que « depuis 2023, chaque année, entre octobre et avril, la température augmente d’un degré Celsius ».

Il a expliqué que des vagues de chaleur marines locales se succèdent depuis le début de l’année dans le bassin méditerranéen. De plus, le golfe du Lion est touché par une vague de chaleur quasi permanente depuis avril.

Le 15 août 2024, la Méditerranée a enregistré sa température la plus élevée jamais mesurée, avec une moyenne de 28,47 degrés Celsius pour la température de surface de l’eau, dépassant le précédent record enregistré en juillet 2023, selon Copernicus.

Les vagues de chaleur marines ont gravement affecté les organismes marins moins mobiles.

Durant les vagues de chaleur qui ont frappé la Méditerranée entre 2015 et 2019, environ 50 espèces de coraux, oursins, mollusques et bivalves, entre autres, ont subi une mortalité massive entre la surface et 45 mètres de profondeur, selon une étude publiée en 2022 dans la revue Global Change Biology.

Explosion à bord d’un pétrolier au large de la Libye : Pas de fuite détectée, mais des inquiétudes

Une explosion s’est produite à bord d’un pétrolier transportant près d’un million de barils de brut, au large des côtes libyennes, le 27 juin dernier. L’information a été confirmée ce lundi 30 juin 2025 par un porte-parole de la société grecque TMS Tankers, propriétaire du navire.

Le pétrolier Vilamoura battant pavillon des Îles Marshall,avait quitté le port libyen de Zuetina en direction de Gibraltar lorsque l’incident s’est produit, apparemment dans la salle des machines. Selon l’opérateur, l’explosion n’a causé aucun blessé et n’a entraîné aucune pollution marine visible.

Le Vilamoura est actuellement en cours de remorquage vers la Grèce, où son arrivée est prévue pour le 2 juillet.

L’incident suscite toutefois des inquiétudes en Tunisie, pays voisin, où l’on redoute les conséquences environnementales potentielles. Malgré les assurances de TMS Tankers sur l’absence de fuite, les risques d’une marée noire ne sont pas totalement écartés. Les autorités et les ONG environnementales suivent la situation de près, compte tenu de la vulnérabilité des écosystèmes marins et de l’importance des activités de pêche dans la région.

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Port de pêche de Zarat : urgence de réhabilitation

L’infrastructure du port de pêche de Zarat, situé dans le gouvernorat de Gabès, s’est considérablement détériorée ces dernières années, exposant les pêcheurs locaux à d’importants risques. C’est ce qu’a déploré Abdessalem Dahmeni, membre de l’Assemblée des représentants du peuple. Les marins pêcheurs rencontrent régulièrement des difficultés pour accéder au port en raison de la dégradation des installations et de l’ensablement persistant à l’entrée du port.

Il a également critiqué l’inaction de l’Autorité de tutelle, pointant du doigt le retard pris dans la mise en œuvre des travaux de réaménagement pourtant annoncés lors du Conseil ministériel du 25 juin 2015. Bien que les études de faisabilité aient été finalisées, aucun appel d’offres n’a encore été lancé à ce jour pour concrétiser ce projet. Abdessalem Dahmeni a insisté sur l’urgence d’accélérer la réalisation de ces travaux, estimant qu’aucune raison ne justifie un tel retard.

La semaine dernière, le gouverneur de Gabès, Radhouane Nsibi, s’est rendu sur place pour constater l’état préoccupant du port de Zarat. Il a recommandé la prise de mesures immédiates pour garantir la sécurité des pêcheurs et a appelé à une mobilisation de tous les acteurs concernés afin de remédier rapidement à la situation.

Il est à rappeler que la délégation de Gabès dispose d’une bande côtière de 85 km, mais ne compte que deux ports de pêche en mer, ceux de Gabès et de Zarat. Alors même que le secteur de la pêche revêt une importance majeure pour la région.

Avec TAP

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Concours artistique pour la protection du lac de Bizerte

Le programme EcoPact contre la pollution du lac de Bizerte, au nord-est de la Tunisie, lance un concours artistique visant à sensibiliser aux défis environnementaux qui minent le lac par la création artistique.

Le concours est ouvert aux artistes professionnels et amateurs, aux collectifs, aux ONG et aux passionnés d’art et d’environnement.

Les candidatures, acceptées jusqu’au 30 juillet, peuvent inclure des peintures, des installations, des vidéos, des infographies, du théâtre de rue, etc.

Le programme EcoPact, également soutenu par l’Union européenne, vise à éliminer les principales sources de déchets urbains et industriels et de polluants atmosphériques qui contaminent le lac de Bizerte, une lagune côtière reliée à la mer Méditerranée par un canal.

Il s’agit d’un ensemble d’actions intégrées, unies par un objectif commun : l’assainissement du bassin versant du lac, afin de garantir un environnement sain et de promouvoir une meilleure qualité de vie et des activités urbaines et économiques durables.

I. B.

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Météo : Vigilance jaune à Nabeul, Sousse, Monastir, Mahdia et Sfax

L’Institut national de la météorologie (INM) a actualisé, dimanche 29 juin, sa carte de vigilance, plaçant les gouvernorats de Nabeul, Sousse, Monastir, Mahdia et Sfax en vigilance jaune.

Selon l’INM, des vents assez forts à localement forts souffleront en rafales près des côtes Est, dépassant temporairement les 60 km/h.

L’institut appelle à la prudence, notamment lors de la pratique d’activités sensibles aux conditions météorologiques.

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COP30 : les négociations bloquent sur l’argent du Nord vers le Sud

Les négociations climat organisées à Bonn en amont de la COP30, prévue en novembre à Belém (Brésil), se sont récemment achevées sur un constat amer : peu d’avancées, beaucoup de frustrations. Alors que l’urgence climatique s’aggrave, les discussions piétinent, en décalage flagrant avec les besoins du terrain, selon Le Monde.

Les 196 délégations présentes n’ont pas réussi à progresser sur l’ensemble des points à l’ordre du jour. Si des ébauches de textes ont été adoptées pour préserver le processus multilatéral, les avancées concrètes restent limitées. Les engagements pris à la COP28 de Dubaï, notamment sur la sortie des énergies fossiles, peinent à se traduire en actes. Seuls 25 pays – dont la Norvège, la Somalie et Belize – ont soumis à ce jour à l’ONU leur plan climatique mis à jour, pourtant attendu depuis février. La date limite a, ainsi, été repoussée à septembre prochain.

Les grandes puissances émettrices comme la Chine, l’Inde et l’Union européenne (UE) manquent toujours à l’appel – cette dernière étant divisée sur une cible de réduction des émissions de 90 % d’ici 2040.

Autre sujet de discorde : les financements climatiques

Les pays du Sud réclament plus de fonds publics pour faire face aux effets du réchauffement, dénonçant l’insuffisance des 300 milliards de dollars promis d’ici 2035 à la COP29 de Bakou. La demande de l’Inde d’inscrire à l’agenda de la COP30 un point sur les obligations financières des pays riches a tout simplement été rejetée par ces derniers.

Dans ce climat de blocage, ONG et pays vulnérables lancent un cri d’alarme : ils estiment qu’il est urgent de reconnecter ces débats à la réalité des populations. « Le climat ne répond pas aux discours mais aux réductions d’émissions », a rappelé Alden Meyer, expert du think tank E3G.

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L’APAL à la tâche dans 46 plages de Nabeul

L’Agence de protection et d’aménagement du littoral (APAL) poursuit ses interventions estivales sur 46 plages du gouvernorat de Nabeul, dans le cadre de son programme national de nettoyage lancé le 15 mai et prévu jusqu’à fin septembre 2025.

Un programme national pour des plages propres

Sous le slogan « Profite de l’été et garde la plage propre », l’initiative vise à renforcer les efforts des municipalités côtières en matière d’hygiène et à préserver l’attrait touristique du littoral tunisien.
Selon Nabil Mokhtar, coordinateur du programme et chef du service des études et de l’aménagement des plages à l’APAL, 46 plages sont concernées à Nabeul : 23 plages touristiques et 23 plages publiques, sur un total de 133 plages réparties le long des 192 km de côtes tunisiennes.

Des actions coordonnées et régulières

Les opérations de nettoyage et de tamisage sont menées en collaboration avec les municipalités locales et le commissariat régional au tourisme, et financées conjointement par l’APAL et le Fonds de protection des zones côtières (FPZC).

Une commission spécialisée se réunit avant chaque saison estivale pour identifier les plages les plus fréquentées, afin de cibler les interventions. Les plages touristiques bénéficient ainsi de 17 à 23 interventions par été, contre 9 à 11 pour les plages publiques.

Des déchets en majorité plastiques

Chaque intervention permet de ramasser d’importantes quantités de déchets, dont environ 85 % sont en plastique — une menace sérieuse pour la biodiversité marine, mais aussi pour la santé des citoyens.

En parallèle, l’APAL mène des campagnes de sensibilisation pour encourager les estivants à adopter des comportements respectueux de l’environnement : jeter ses déchets dans les conteneurs prévus, éviter de les abandonner sur le sable, et prendre conscience que tout détritus laissé sur la plage finit souvent… dans la mer.

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Kerkennah : possibles perturbations ce week-end

La Société Nouvelle de Transport Kerkennah (SONOTRAK) a annoncé ce vendredi 28 juin, d’éventuelles perturbations dans les traversées maritimes entre Sfax et l’archipel de Kerkennah, à compter de la soirée du samedi 28 juin, et durant toute la journée du dimanche 29 juin.

Dans un communiqué, l’entreprise évoque des « conditions météorologiques défavorables » susceptibles d’entraîner des modifications dans les horaires prévus. Cette alerte fait suite au bulletin météorologique spécial n°119, émis par l’Institut national de la météorologie (INM), signalant des vents violents et une mer agitée près des côtes.

SONOTRAK appelle les usagers à rester attentifs aux mises à jour, précisant que tout changement sera communiqué en temps réel.

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Été 2025 : canicule et sécheresse en vue

L’été 2025 s’annonce plus chaud et plus sec que la normale, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM). Des températures supérieures aux moyennes saisonnières sont attendues sur tout le territoire entre juin et août, accompagnées de très faibles précipitations. 

Dans son bulletin des prévisions saisonnières pour juin-juillet-août 2025, l’INM annonce un été qui sera marqué par des températures nettement supérieures aux normales saisonnières, calculées sur la période de référence 1991-2020. Les températures moyennes estivales devraient osciller entre 24,3 °C et 32,3 °C, avec peu d’espoir de fraîcheur.

La tendance à un été sec se confirme également : les précipitations resteront très faibles, avec des cumuls ne dépassant pas 65 mm sur toute la saison. L’ensemble du pays est concerné par ce déficit hydrique, qui pourrait accentuer les risques de sécheresse et d’incendies.

Voici les températures prévues pour juillet et août 2025

Juillet :

  • Températures moyennes entre 25 °C et 33,5 °C

  • Températures maximales moyennes : 30,5° C à 41,2 °C

  • Précipitations très faibles : moins de 15 mm.

Août :

  • Températures moyennes entre 25,3 °C et 33,2 °C

  • Températures maximales moyennes : 31,3°C à 40,7 °C

  • Cumul pluviométrique : généralement inférieur à 30 mm.

Avec ces conditions, l’été 2025 pourrait donc battre de nouveaux records de chaleur et renforcer les épisodes de sécheresse. Vigilance recommandée pour les secteurs agricoles, forestiers et sanitaires.

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Un été plus chaud que la normale

Un été plus chaud que la normale | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Environnement) – La saison estivale 2025 (juin, juillet et août) devrait enregistrer des températures supérieures aux normales saisonnières sur l’ensemble du territoire, laissant présager un été plus chaud que la normale saisonnière, indique l’Institut National de la Météorologie (INM) dans son « bulletin des prévisions saisonnières juin-juillet-août 2025 ».

Selon les dernières prévisions saisonnières, une tendance vers des conditions plus sèches que la normale est prévue sur la majeure partie du territoire durant l’été 2025. 

Sur la base des moyennes climatiques de la période de référence 1991-2020, l’été 2025 est caractérisé par des températures moyennes saisonnières variant entre 24,3°c et 32,3°c  et une saison sèche, avec des cumuls pluviométriques très faibles ne dépassant pas 65 mm.

Pour ce qui est du mois de juillet, il sera marqué par des températures moyennes qui varieront entre 25°c et 33,5°c avec des températures maximales moyennes oscillant entre 30,5°c et 41,2°c. Le cumul des précipitations sera généralement très faible, ne dépassant pas 15 mm.

En ce qui concerne le mois d’août, il sera caractérisé par des températures moyennes généralement élevées, variant entre 25°,3 c à 33,2°c et des températures maximales moyennes oscillant entre 31,3°c et 40,7°c sur tout le pays. Des précipitations très faibles seront enregistrées sur l’ensemble du territoire, ne dépassant généralement pas les 30 mm.  

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Bizerte : des mesures pour accélérer les projets d’assainissement autour du lac

La Commission régionale chargée d’accélérer la mise en œuvre des projets de développement public à Bizerte a entériné, lors de sa réunion périodique tenue, vendredi, au siège du gouvernorat, une série de mesures opérationnelles destinées à lever les blocages techniques entravant plusieurs projets sectoriels dans le domaine de l’assainissement.

Présidant la séance, le gouverneur de Bizerte et président du Conseil régional de développement, Salem Ben Yaâcoub, a insisté sur la nécessité d’achever, dans les délais impartis et sans nouvelles entraves, le projet d’extension des réseaux d’assainissement dans les zones urbaines et rurales bordant le lac de Bizerte.

Inscrit dans le cadre du programme intégré de dépollution de cette zone, ce projet comprend notamment l’extension des réseaux de collecte des eaux usées dans les villes de Menzel Bourguiba, Tinja et Mateur, au profit d’environ un millier de bénéficiaires, pour un coût global estimé à 16 millions de dinars.

À cet égard, le gouverneur a exhorté l’ensemble des acteurs locaux, techniques et municipaux à prendre toutes les dispositions nécessaires pour soutenir les entreprises chargées des travaux et à favoriser l’adhésion de la communauté locale, afin de garantir l’intégration harmonieuse du projet dans son environnement.

Il a également rappelé l’importance des réunions hebdomadaires de la Commission régionale, tenues chaque vendredi, en soulignant leur rôle essentiel pour lever les blocages administratifs et techniques qui freinent l’exécution des programmes de l’État.

Dans ce cadre, la Commission a examiné les obstacles retardant la validation de l’étude d’impact environnemental du projet de station d’épuration de la zone industrielle d’Utique (27 millions de dinars) ainsi que les démarches foncières pour l’implantation d’une station similaire à Sejnane (plus de 17 millions de dinars).

Présidée par le gouverneur, la Commission réunit représentants de l’État, des administrations régionales et des secteurs concernés, conformément au décret n°68/2022 et aux dispositions gouvernementales encadrant la Commission supérieure pour l’accélération des projets publics. Elle a pour mission d’identifier les freins, de proposer des solutions concrètes et de suivre sur le terrain l’avancement des chantiers stratégiques.

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Les plages tunisiennes envahies par les méduses précocement, plus de détails…

Lors d’une intervention sur les ondes de Mosaïque Fm, Yassine Ramzi Esghir, expert en biologie marine, a commenté le phénomène de l’apparition des méduses sur les côtes tunisiennes d’une manière précoce.

Depuis le début du mois de juin, des méduses ont fait leur apparition sur plusieurs plages tunisiennes. Soit près de deux mois avant leur période d’apparition habituelle, généralement constatée entre la fin août et le début septembre.

D’après la même source, la présence de plus en plus précoce des méduses ces dernières années serait liée aux profondes transformations que subit la mer Méditerranée. Et notamment à une élévation exceptionnelle de la température de ses eaux, la plus élevée parmi les mers et océans du globe. En effet, celle-ci est en hausse perpétuelle depuis des années.

Yassine Ramzi Esghir a affirmé que la hausse de la température de l’eau de mer favorise largement le développement des méduses.

À cela s’ajoute la pollution marine, particulièrement sur certaines plages tunisiennes, qui constitue un véritable réservoir de nourriture pour ces espèces, accentuant ainsi leur prolifération.

L’expert pointe également du doigt la pêche anarchique comme l’une des causes majeures de la multiplication des méduses, connues localement sous le nom de horrika. En effet, cette pratique entraîne la raréfaction de certains poissons prédateurs des méduses, contribuant à un déséquilibre de l’écosystème marin.

Les méduses présentes sur les côtes tunisiennes se déclinent en plusieurs espèces. Celle actuellement la plus répandue est de grande taille, de couleur bleue. Impressionnante, elle demeure cependant inoffensive. Une autre espèce, plus petite, peut en revanche provoquer des brûlures cutanées en cas de contact.

En cas de piqûre, il est fortement déconseillé de frotter la zone atteinte avec du sable. Mais il faut rincer à l’eau de mer et enlever délicatement les tentacules restants.

En outre, il est recommandé de se rendre rapidement à la pharmacie la plus proche, en cas de réaction toxique.

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