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Tunisie-Concours neuvième : 16 290 admis, Kabīs Ben Sassi meilleur élève avec 19,37/20

Le taux de réussite à l’examen du diplôme de fin de l’enseignement de base général « Neuvième » , session 2025 a atteint 63,07 %, parmi 25 827 élèves ayant passé l’examen dont 4 287 élèves ont été orientés vers les collèges pilotes, a annoncé le ministère de l’Éducation.

Le ministère a précisé, dans un communiqué publié jeudi, que 16 290 candidats ont obtenu une moyenne égale ou supérieure à 10 sur 20 à l’examen de fin de l’enseignement de base général, dont 4 287 ont été orientés vers les collèges pilotes.

L’élève Kabīs Ben Sassi, du collège pilote d’El Menzah 5, a obtenu la meilleure moyenne à l’échelle nationale : 19,37 sur 20.

Il convient de noter que le taux de réussite à l’examen de fin de l’enseignement de base général, session 2025, a connu une légère baisse par rapport à la session précédente, où il avait atteint 64,99 %, contre une augmentation du nombre d’élèves orientés vers les collèges pilotes : 4 278 cette année contre 3 515 l’année dernière.

Le taux de réussite à l’examen du diplôme de fin de l’enseignement de base technique a atteint 56,27 %, parmi 263 élèves ayant passé cet examen, soit l’équivalent de 148 élèves admis.

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Exportation des PME en Tunisie : 60% pointent la saturation des marchés et la concurrence comme principaux obstacles

En Tunisie, 60% des PME sondées ont affirmé qu’une concurrence accrue et la saturation des marchés représentent une de leurs principales préoccupations au moment de l’exportation, c’est ce qui ressort des résultats d’une enquête réalisée par la Banque européenne d’investissement (BEI) sur les défis des PME en Tunisie en 2025 publiée, jeudi.

Selon cette enquête réalisée dans le cadre du “Trade and Competitivenes Programme”(TCP) cofinancé par l’Union Européenne(UE), montre que près de la moitié des PME déplore un manque de financement limitant leur capacité à investir à l’international et que plus d’1 PME sur 10 n’arrive pas à franchir le cap de l’exportation.

En fait, l’étude, menée auprès de 150 dirigeants de PME tunisiennes opérant dans les chaînes de valeur exportatrices du pays, notamment l’agro-industrie, le textile et l’automobile, dresse le portrait d’un tissu entrepreneurial à la fois combatif et contraint, qui cherche à se projeter à l’international malgré un environnement particulièrement compétitif.

Les PME, essentielles pour l’économie tunisienne et représentant près de 97% du tissu productif national, incarnent une volonté d’ouverture mais butent encore sur des réalités structurelles et conjoncturelles qui freinent leur essor.

« Si l’accès au financement et le manque de capital propre restent des préoccupations centrales pour les chefs d’entreprise interrogés, c’est la concurrence accrue et la saturation de certains marchés qui apparaissent comme les obstacles les plus difficiles à surmonter »a indiqué l’enquête.

Sur des marchés saturés, la compétitivité devient un facteur différentiel

Dans un contexte mondial où les marchés sont de plus en plus saturés par l’affluence de divers produits et services, un quart des dirigeants de PME identifient la concurrence accrue comme leur principale difficulté à croître, devant le manque de capital (17 %).

« Mais c’est à l’international que leur compétitivité est encore plus mise à l’épreuve : 6 PME sur 10 estiment que la saturation des marchés étrangers et l’intensité concurrentielle limitent fortement leur développement » a souligné l’enquête BEI.

Face à ce constat, le TCP mise sur le renforcement de la compétitivité en proposant des formations techniques ciblées, autour de sujets stratégiques comme les règles d’origine, ou encore la décarbonation, afin de positionner les PME tunisiennes comme des entreprises compétitives sur les marchés européens.

« Ce dont nous avons besoin, ce sont des idées audacieuses, des formations ciblées et un accompagnement structuré pour franchir les barrières à l’export. C’est ainsi que nos PME pourront renforcer leur compétitivité et s’imposer durablement sur les marchés internationaux», témoigne un chef d’entreprise tunisien interrogé lors de l’enquête.

Selon les résultats de l’enquête, 48 % des dirigeants interrogés évoquent que le manque de financement est un frein principal à toute velléité d’internationalisation.

Malgré le fait que 88% des PME exportent déjà, seulement la moitié le fait de manière régulière, tandis que 1 PME sur 10 reste entièrement absente des circuits d’exportation, faute de moyens pour investir dans l’innovation, la mise aux normes, ou la prospection commerciale.

Des freins structurels à l’exportation

Des freins structurels à l’exportation même pour les PME qui ont déjà engagé une stratégie exportatrice, les freins logistiques et commerciaux restent redoutables. 62 % des dirigeants sondés ont dénoncé des coûts logistiques, douaniers et de conformité prohibitifs, tandis que 44% ont évoqué la difficulté à identifier des partenaires commerciaux à l’étranger.

« Ces contraintes techniques et relationnelles entravent l’intégration dans les chaînes de valeur internationales, pourtant essentielle pour assurer une croissance pérenne à l’export »a dévoilé l’enquête.

Baptisé le «Trade and Competitivenes programme», ce dispositif met en œuvre des solutions concrètes en partenariat avec les banques tunisiennes. Il facilite l’accès au crédit via des lignes de financement dédiées aux PME, allégées en garanties, et orientées vers des projets structurants. Ces instruments visent à libérer la capacité d’investissement des entreprises et à leur permettre de franchir le cap de l’international avec des bases solides.

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Parcours vers l’emploi des femmes dans les sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (STIM) à Tunis

Les travaux de la conférence intitulée “ Parcours vers l’emploi des jeunes et des jeunes femmes dans les secteurs des STIM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques)” ont démarré ce jeudi à la Cité des sciences à Tunis.

Organisé par le bureau d’ONU Femmes en Tunisie, en partenariat avec le Challenge Fund for Youth Employment (CFYE), l’ambassade des Pays-Bas, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, ainsi que plusieurs entreprises privées, cet évènement se poursuivra jusqu’à demain (4 juillet) et représente un espace d’échange entre 150 diplômées des filières scientifiques et techniques et une trentaine d’entreprises privées.

“L’objectif étant de réduire l’écart entre la formation universitaire et les besoins du marché de l’emploi”, a fait savoir Florence Basty, représentante d’ONU Femmes Tunisie et Libye.

Elle a, en outre, souligné que cette initiative vise à renforcer l’inclusion des femmes sur le marché du travail dans les filières STIM, notant que la Tunisie est classée deuxième à l’échelle mondiale en termes de pourcentage de diplômées dans ces disciplines, avec près de 60 % de femmes parmi les diplômés.

Florence Basty a rappelé que les normes socioculturelles et les stéréotypes continuent d’empêcher les femmes d’accéder à l’emploi et aux postes de responsabilité, les métiers liés aux STIM étant encore largement perçus comme des professions masculines.

Elle a aussi souligné que les rôles sociaux assignés aux femmes, notamment les tâches domestiques et l’éducation des enfants, constituent un obstacle majeur à leur accès à un emploi digne.

De son côté, Hajer El Ouardani, chargée de mission au ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour diriger le bureau des études, de la planification et de la programmation, a rappelé que le taux de chômage des femmes en Tunisie atteint 37 % et il est particulièrement élevé dans les domaines STIM.

Elle a ajouté que cet événement constitue une opportunité précieuse pour les femmes en quête d’emploi puisqu’il leur offre la possibilité de renforcer leurs compétences en participant aux workshops sur les soft skills et la rédaction d’un curriculum vitae, dans le but de faciliter leur insertion professionnelle.

La conférence a également pour objectif de favoriser le dialogue entre décideurs publics et privés, chercheurs, experts, représentants de la société civile et partenaires internationaux, afin de proposer des solutions concrètes face aux défis actuels.

Les politiques publiques d’emploi des jeunes, l’évolution des secteurs STIM, et les innovations favorisant l’inclusion économique des femmes sont parmi les thèmes débattus lors de cette manifestation.

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Hausse record des prix des fruits, légumes et poissons à Bir El Kassaa en mai 2025 (infographie)

Les prix des différents fruits au marché de gros de Bir El Kassaa ont enregistré une hausse considérable, au cours du mois de mai 2025, en comparaison avec la même période de l’année dernière, d’après les données, publiées jeudi, par l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri).

Ainsi, les prix des oranges ont évolué de 301%, passant de 752 millimes, en mai 2024, à 3014 millimes en mai 2025, alors que ceux des citrons ont augmenté de 195% (à 1980 millimes), et ceux de pomme ont progressé de 114% (à 4800 millimes).

De même, les prix des abricots et des pêches ont enregistré une hausse respectivement de 90% (à 3811 millimes) et de 29% (à 2769 millimes), durant la période mai 2024- mai 2025.

Des hausses moins importantes ont été enregistrées, aussi, au niveau des prix du melon (+20% à 2261 millimes), des fraises (+19%, à 4419 millimes), et des amandes (+8%, à 2814 millimes).

Les prix de pommes ont, à leur tour, augmenté de 64% (à 3692 millimes), alors que ceux de l’orange ont enregistré une hausse comprise entre 53% et 134% (avec des prix variant de 1561 millimes à 3323 millimes), selon les différentes variétés.

Même constat pour les légumes, dont plusieurs variétés ont vu leur prix augmenté, notamment les pommes de terre (+74% à 1699 millimes), l’oignon (+19% à 1555 millimes), le persil (+11% à 1000 millimes) et le fenouil (de 59% à 1125 millimes).

D’autres variétés de légumes ont vu, en revanche, leur prix baisser, en l’occurrence le piment doux (-33%, à 1773 millimes), les courgettes (-21% à 851 millimes), le concombre (-12%, à 1250 millimes), et les tomates (-11%, à 1110 millimes).

Quant aux poissons, les prix de la majorité des variétés ont augmenté. Il s’agit surtout de Rouget (+38%, à 33328 millimes), de Chinchard (+33% à 5255 millimes), du Pageot (+24% à 4217 millimes)  et du Poulpe  (+22% à 25167 millimes).

Idem, pour les prix du Merlan et du Mulet dont les prix du kilo ont évolué, chacun de 19%, respectivement à 18 285 millimes et 10 886 millimes.

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Michket Slama Khaldi à FfD4 : La Tunisie appelle à convertir la dette en projets de développement

“La Tunisie cible de booster ses relations dans le cadre de la coopération financière et économique internationale, au terme de la 4e conférence internationale onusienne sur le financement du développement (FfD4)”, a déclaré à l’agence TAP, la ministre de Finances, Michket Slama Khaldi.

La ministre qui accompagnait la Cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, lors de sa visite effectuée du 30 juin au 3 juillet à Séville en Espagne, pour participer aux travaux de la FfD4, a précisé ” nous avons présenté, lors du sommet de Séville, notre opinion sur la nécessité de promouvoir une coopération internationale favorable au développement des peuples et des pays dans le monde”.

Elle a pris part, le 2 juillet, lors de la 2ème journée de la conférence, à une table ronde portant sur l’architecture de la dette souveraine, qui doit être axée sur le développement.

“Les recommandations qui ont été formulées par la Tunisie, sont en conformité avec celles issues du sommet de Séville”. “Nous avons proposé le réexamen des méthodes et des conditions de financement, mais, aussi, de développer l’approche consistant à convertir les dettes en projets de développement, d’étudier de nouvelles méthodes de gestion des dettes, et des programmes pouvant être réalisés dans le cadre de la coopération internationale», a indiqué la ministre.

Et de poursuivre, “il s’agit, également, de changer l’approche classique de l’endettement public, pour qu’il profite aux peuples”. Elle a souligné l’obligation de prendre pleinement en compte les priorités du développement, en particulier l’emploi des jeunes. Les flux d’endettement doivent être dirigés vers des projets structurants, non pas financer le fonctionnement de l’État.

“La communauté internationale est appelée à identifier de nouvelles méthodes de financement, notamment en ce qui concerne la finance publique et l’amélioration des budgets des Etats”.

La ministre des finances a, aussi, proposé, lors de sa participation à cette table ronde, de redéfinir la soutenabilité de la dette, car une dette est soutenable si elle permet d’assurer la richesse. Et de rappeler que le niveau d’endettement de la Tunisie a été stabilisé à 80% de son PIB.

Elle a, encore, demandé que la vulnérabilité climatique et sociale des pays, entre autres, soit prise en compte, étant donné que les critères d’éligibilité aux prêts concessionnels restent inadaptés. “La dette ne doit pas être une contrainte mais un instrument de transformation stratégique”.

Cette table ronde a été coprésidée par le président du Sénégal, Bassirou Diomaye Diakhar Faye et le chef du Gouvernement espagnol, Pedro Sánchez Pérez-Castejón. Plusieurs pays y ont pris part. Le débat a porté sur la soutenabilité de la dette, la gestion des dettes et le changement de l’architecture financière.

Selon les Nations unies, Pérez-Castejón, a souligné l’existence d’un consensus autour du poids de la dette, qui « étrangle » bon nombre de pays. «Lorsque la dette est bien gérée, elle est un instrument de développement, lorsqu’elle est mal gérée, elle creuse la pauvreté».

Les travaux de la quatrième Conférence internationale sur le financement du développement, qui ont démarré le 30 juin à Séville (Espagne), prennent fin, jeudi 3 juillet courant.

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Marchés de capitaux : Le CMF expose à Rabat les avancées tunisiennes en régulation financière

Le Conseil du Marché Financier (CMF) a pris part, du 30 juin au 2 juillet 2025, à Rabat (Maroc), aux travaux de la 23ème session annuelle de l’Institut Francophone de la Régulation Financière (IFREFI).

Cette édition, placée sous le thème « Financement des infrastructures : enjeux et rôle des marchés de capitaux », a réuni les présidents et hauts représentants des autorités de régulation francophones, autour de réflexions stratégiques sur la contribution des marchés financiers au financement des infrastructures et au développement économique, à travers des instruments tels que les obligations vertes, la titrisation et les fonds d’investissement, selon un communiqué publié, jeudi, par le CMF.

Le Conseil a présenté, à cette occasion, les derniers développements du marché financier tunisien, en particulier, les réformes engagées pour renforcer la mobilisation de l’épargne nationale au service du financement productif et durable. Cette contribution a, également, permis de mettre en lumière les avancées en matière de régulation du marché et de promotion de l’éducation financière.

La participation du CMF aux travaux de cette organisation, s’inscrit dans le cadre de ses efforts continus pour renforcer la coopération régionale, promouvoir les bonnes pratiques et appuyer la transformation du marché financier tunisien », a fait savoir la même source.

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Monastir : Le régime d’autoentrepreneur séduit jeunes freelances et artisans

Depuis l’instauration de ce régime en Tunisie en mars 2024, le nombre personnes ayant obtenu le statut d’autoentrepreneur a atteint jusqu’au mois de juin dernier 122 (jeunes freelances, artisans et travailleurs indépendants,..) au gouvernorat de Monastir.

Lors d’une journée organisée, mercredi, pour faire connaitre les avantages de ce régime, la directrice régionale de l’emploi et de la formation Saoussen Touir a ajouté qu’actuellement 115 personnes qui exercent dans des activités libres sont inscrites sur la plateforme dédiée à ce régime en vue de l’obtention de ce statut dans la région.

Éligible à ce régime, toute personne exerçant, individuellement, un métier dans les secteurs de l’industrie, de l’artisanat, du commerce ainsi que des services hors des métiers commerciaux et réalisant un chiffre d’affaires annuel qui ne dépasse pas les 75 mille dinars.

Outre les procédures administratives simplifiées et entièrement numérisées, le statut d’autoentrepreneur offre plusieurs avantages dont l’accès à la couverture sociale, aux cartes de soins, à la pension de retraite, à l’assurance travail, et ce, dès l’obtention de la carte d’autoentrepreneur. Les bénéficiaires ont également droit à un régime fiscal préférentiel puisqu’ils ne payent qu’une seule contribution qui inclut à la fois la cotisation sociale et l’impôt.

Couvrant 540 activités économiques, le statut d’autoentrepreneur devrait bénéficier à plus de 260 mille personnes en Tunisie. En termes d’objectifs chiffrés, le gouvernement vise l’inscription de 25 mille autoentrepreneurs chaque année sur la plateforme www.autoentrepreneur.tn.

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Wimbledon 2025 : La N.5 mondiale Jasmine Paolini éliminée au 2e tour par Kamilla Rakhimova

La N.5 mondiale Jasmine Paolini, finaliste sortante, a été éliminée dès le deuxième tour de Wimbledon mercredi par la Russe Kamilla Rakhimova (62e) en trois manches.

L’Italienne de 29 ans, battue 4-6, 6-4, 6-4, rejoint les quatre autres membres du top 10 de la WTA éliminées de manière précoce sur le gazon de Londres (Coco Gauff, Jessica Pegula, Zheng Qinwen et Paula Badosa).

Au premier tour, Paolini avait cédé le premier set avant de redresser la barre contre la la Lettone Anastasija Sevastova, ex-N.11 redescendue au 402e rang.

Mercredi, l’inverse s’est produit: Paolini a pris les commandes avant de perdre deux manches d’affilée. Elle a écarté trois balles de match, mais pas la quatrième.

Son adversaire de 23 ans, éliminée l’année dernière au premier tour pour sa première apparition à Wimbledon, n’avait jamais battu une membre du top 10 mondial en sept tentatives précédentes.

Au troisième tour, elle affrontera la Tchèque Linda Noskova (27e).

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Tunisie – Oman : Kaïs Saïed reçoit le chef de la diplomatie omanaise et salue des relations historiques solides

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, mercredi, au Palais de Carthage, le ministre des Affaires étrangères du Sultanat d’Oman, Badr Ben Hamad Ben Hamoud Al-Busaidi, selon un communiqué de la Présidence de la République publié dans la nuit de mercredi à jeudi.

Après avoir rappelé les relations historiques qu’entretiennent les deux pays et les deux peuples frères, le chef de l’État a salué la sollicitude dont bénéficie la communauté tunisienne résidant au Sultanat d’Oman. Il a souligné que les relations historiques unissant les deux pays, tant avant qu’après l’indépendance du Sultanat d’Oman, n’ont cessé de se renforcer dans divers domaines, notamment l’éducation, la formation professionnelle, la diplomatie, les sciences juridiques, ainsi que dans d’autres secteurs, en particulier les investissements, les échanges commerciaux et culturels.

Kaïs Saïed a, par ailleurs, évoqué les développements rapides et successifs survenus dans la région arabe et dans le monde, réaffirmant la position constante et inébranlable de la Tunisie en faveur du droit du peuple palestinien à recouvrer chaque parcelle de sa terre occupée et à établir son État indépendant, pleinement souverain, sur l’ensemble du territoire de la Palestine, avec pour capitale Al-Qods. Le président de la République a, dans ce contexte, dénoncé les crimes de génocide commis par l’ennemi sioniste, lequel vise à porter atteinte à la sécurité de toute la région arabe.

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Restructuration en Tunisie : Kaïs Saïed s’attaque aux institutions jugées trop coûteuses

Le président de la République, Kaïs Saïed, a ordonné une restructuration de plusieurs institutions “qui épuisent les finances publiques” et exigé des “solutions radicales souveraines” pour tous les secteurs, lors d’une réunion mercredi avec la Cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzeri, au palais de Carthage. Il a affirmé qu’il n’hésiterait pas à écarter ceux qui ne sont pas à la hauteur de leurs responsabilités.

Selon un communiqué de la présidence publié dans la nuit de mercredi à jeudi, le chef de l’État a souligné que les chômeurs de longue durée seraient prioritaires pour remplacer les fonctionnaires écartés. “Ils prendront leur place même s’ils manquent d’expérience, car ils sont animés d’une forte volonté de contribuer à la reconstruction, à l’édification nationale et à la lutte contre la corruption”, a-t-il déclaré.

La réunion a également porté sur les résultats de la participation de la Cheffe du gouvernement à la 4e Conférence internationale sur le financement du développement à Séville. Le président s’est dit satisfait que “la voix de la Tunisie s’y soit fait entendre”, saluant son approche visant à privilégier les capacités nationales et une coopération “d’égal à égal”.

Enfin, Saïed a tenu à rassurer que le travail se poursuit “jour et nuit” pour répondre aux attentes du peuple, mettant en avant “le patriote libre”, déterminé malgré les obstacles, comme “la figure idéale” pour mener la bataille de la reconstruction.

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InstaDeep et Syngenta utilisent l’intelligence artificielle pour décrypter le langage de l’ADN végétal

L’usage de l’intelligence artificielle (IA) est en plein boom actuellement dans tous les secteurs. L’IA est désormais intégrée dans la sélection des plantes. Un partenariat a été conclu entre l’une des principales entreprises mondiales de technologie agricole, Syngenta et la société britannique d’IA et de machine learning InstaDeep, “pour apprendre le langage de l’ADN des plantes” et prédire la façon dont leurs différentes séquences génétiques se comportent et comment modifier leurs performances.

La collaboration entre Syngenta et Instadeep, une société à la base tunisienne, rachetée par la société de biotechnologie allemande BioNTech, permet de raccourcir, à travers l’analyse des données génomiques assistée par l’IA, les cycles de sélection de 6 ans à seulement 4 mois.

La solution de pointe développée par Instadeep et baptisée “AgroNT1” permet d’interpréter le langage complexe du code génétique et de mieux contrôler les caractères et la performance des cultures.

Les développeurs de cette solution, estiment que le langage de l’ADN pourra fournir plus rapidement les traits dont les agriculteurs ont besoin pour améliorer et protéger leurs rendements.

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Bayer, Corteva, Syngenta et BASF : Un monopole croissant sur l’agriculture mondiale, selon une étude

Quatre entreprises internationales dominent les secteurs clés de l’agroalimentaire, des semences et des pesticides.

Il s’agit de Bayer, Corteva, Syngenta et BASF qui contrôlent 56 % du marché mondial des semences commerciales et 61 % du marché des pesticides, révèle une recherche actualisée, co-publiée par le collectif international de recherche ETCGROUP avec GRAIN, ONG internationale qui soutient les petits agriculteurs et les mouvements sociaux dans leurs luttes pour des systèmes alimentaires communautaires et fondés sur la biodiversité.

Selon cette recherche menée par le groupe d’action en faveur de la justice sociale et environnementale, des droits humains et de la défense de systèmes agroalimentaires justes et écologiques, les géants de l’agroalimentaire ont exploité des crises comme la guerre en Ukraine et la pandémie de COVID-19 pour gonfler les prix.

Les fabricants d’engrais, par exemple, ont vu leurs revenus bondir de 57 % entre 2020 et 2023, certains étant accusés de pratiques abusives, a encore fait valoir l’étude de 26 pages, consultable sur le lien suivant : https://www.etcgroup.org/sites/www.etcgroup.org/files/files/top_10_agribusiness_giants.pdf

D’après ce document, les entreprises intègrent rapidement l’Intelligence Artificielle (IA), l’édition génétique et les plateformes numériques à l’agriculture grâce à des partenariats avec les géants de la technologie. « Ces technologies permettent d’extraire des données auprès des agriculteurs, de faciliter les systèmes de crédits carbone et de renforcer le contrôle des systèmes alimentaires, tout en suscitant des inquiétudes quant à la biosécurité, à la confidentialité et aux monopoles d’entreprise », préviennent les chercheurs.

« Aujourd’hui, une poignée d’entreprises agroalimentaires ont consolidé un contrôle sans précédent sur l’approvisionnement alimentaire mondial, avec des conséquences dévastatrices pour les agriculteurs, les consommateurs et la planète », lit-on sur le site du groupe ETC.

La recherche rendue publique le 13 juin 2025, révèle l’ampleur de ce contrôle et montre l’état de concentration des entreprises dans six secteurs essentiels à l’agriculture : les semences commerciales, les pesticides, les engrais de synthèse, les machines agricoles, les produits pharmaceutiques vétérinaires et la génétique animale.

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Communication environnementale : Le WWF outille les médias tunisiens dans le cadre du projet BIODEV 2030

Une formation en plaidoyer et communication environnementale a été organisée par le Fond mondial pour la nature Afrique du nord (WWF) au profit de journalistes de différents médias nationaux dont l’Agence TAP.

Cette formation qui s’est déroulée à Tunis, avait pour objectif notamment, de développer « une compréhension approfondie du plaidoyer environnementale, de sensibiliser les journalistes à leur rôle stratégique dans la plaidoyer pour la biodiversité et de les outiller pour la conception de message et de communication percutante ainsi que favoriser le réseautage et les échanges d’expérience entre eux de manière à encourager la co-construction d’action futures en faveur de la biodiversité.

La formation, financé par l’Agence française du développement (AFD) s’inscrit dans le cadre de la phase 2 du projet BIODEV 2030 (2030-2026) qui a pour objectif du Cadre Mondial de ma Biodiversité de Kunming-Montréal en encourageant l’adoption de pratiques productives conciliant biodiversité et développement durable

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City Cars – Kia accompagne la Protection Civile de Tunis et de Sfax dans la formation aux véhicules électriques

Dans le cadre de son engagement continu en faveur de la mobilité durable et de la transition énergétique, City Cars – Kia Tunisie a apporté son soutien à la protection civile lors de deux formations dédiées aux véhicules électriques : les 23 et 24 juin à Tunis, puis le 1er juillet à Sfax.

Ces initiatives visent à accompagner les institutions publiques dans leur adaptation aux nouvelles technologies de mobilité. Grâce à l’appui de City Cars – Kia, les équipes de la
Protection Civile ont pu se familiariser avec le fonctionnement d’un véhicule 100 % électrique, découvrir les bonnes pratiques d’utilisation et maîtriser les mesures de sécurité essentielles en cas d’intervention.

Cette action s’inscrit dans la continuité des initiatives entreprises par City Cars – Kia pour promouvoir l’électromobilité. En 2024, un workshop exclusif EV a également été organisé au sein de l’atelier dédié aux véhicules électriques, situé au siège de City Cars, réunissant des experts du secteur automobile autour des enjeux liés à la mobilité électrique.

Au-delà de la sensibilisation, City Cars – Kia agit concrètement pour soutenir l’écosystème de l’électromobilité. L’entreprise a déjà installé des bornes de recharge rapide de 60 kW au siège d’El Kram, ainsi que dans ses agences certifiées EV de Sfax, Sousse et Monastir. De nouvelles installations sont également prévues très prochainement dans les agences de Gabès, Gafsa et Djerba, renforçant ainsi l’accessibilité à l’électrique sur l’ensemble du territoire.

Par ces actions, City Cars – Kia confirme sa position d’acteur clé dans le développement de la mobilité électrique en Tunisie, en conjuguant accompagnement, formation et infrastructures, pour un avenir plus durable et plus responsable.

www.kia.tn

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Ain Draham : La région retrouvera-t-elle son âge d’or touristique ?

Le parc hôtelier du village touristique d’Ain-Draham vient d’être enrichi par la réhabilitation de l’hôtel « La Forêt ». Après une fermeture de dix ans, l’hôtel s’est offert, tout en conservant sa structure extérieure, un nouveau look architectural intérieur de luxe.

Réouvert en grande pompe, le 20 juin 2025, l’hôtel sera ouvert, toute l’année, pour les séjours nature, les familles, le tourisme de chasse, le tourisme d’affaires et les groupes sportifs. L’hôtel étant situé à quelques mètres du Complexe sportif international d’Aïn Draham.

Mention spéciale pour les tarifs. Ils seront linéaires sur toute l’année, afin de garantir une accessibilité constante, sans variation saisonnière. Ils varient entre 360 dinars pour une chambre double standard à 572 dinars pour une suite de luxe. Il s’agit, de toute évidence,  d’une montée en gamme.

Classé 4 étoiles, l’établissement d’une capacité totale de 134 lits propose 58 chambres, en plus de 3 suites junior et 2 suites senior supérieures.

Parmi les nouveautés majeures de cette réhabilitation, figurent la création de deux piscines, une piscine extérieure et une autre intérieure chauffée et un centre spa, intégrant cabines de massage, hammam et salon de coiffure.

“Après une fermeture de dix ans, l’hôtel s’est offert, tout en conservant sa structure extérieure, un nouveau look architectural intérieur de luxe.”

 

Bientôt deux autres hôtels

Le parc hôtelier d’Ain draham, qui compte jusqu’à la réouverture de l’hôtel La forêt, trois établissements : Le centre thermal El Mouradi Hammam Bourguiba (4 étoiles), Royal Rihana Hôtel (3 étoiles), Dar Ismail Nour El Ain (4 étoiles), sera renforcé, en principe,  en 2026 par deux autres hôtels : Les chênes By El Badira (ex l’hôtel les chênes, trois étoiles) et, l’Eco Hôtel et Spa de luxe bientôt à Béni M’tir.

Nous disions bien «en principe» parce que les promoteurs de ces deux dernières unités traînent trop la patte et s’ingénient à inventer, souvent, de fausses raisons pour justifier le retard.

“Ce renouveau hôtelier va permettre au site touristique d’Ain Draham, haut lieu de villégiature sereine, de renouer avec son glorieux passé.”

 

Est-il besoin de rappeler que la réouverture de l’hôtel «Les chênes By El Badira» était prévue pour septembre 2022. Idem pour Green Hill Resorts qui va exploiter la source de Hammam Salhine. Ce centre thermal, lancé depuis 2006 (20 ans de retard) avec un cofinancement européen n’a pas pu ouvrir ses portes jusqu’à ce jour. Il pose sérieusement problème. Son propriétaire semble attendre un cadeau du ciel pour achever les travaux et ouvrir l’établissement. La patience des habitants du village de Ben Metir est mise à rude épreuve. Le ministère du tourisme et les autorités régionales, en fermant l’œil sur les tergiversations du promoteur,  assument avec lui, une grande responsabilité dans ce retard monstre.

En dépit de ces difficultés gérables, nous ne pouvons que saluer ce renouveau hôtelier dans la ville d’Ain Draham.

L’idéal serait toutefois d’accompagner cette nouvelle dynamique par deux initiatives : la réouverture de l’Ecole de formation dans les métiers du tourisme à Ain draham et l’octroi d’autorisations à des privés pour animer la région (restaurants de luxe, salons de thé, boîtes de nuit….).

Ain Draham sur la voie de renouer avec son passé glorieux

Et pour ne rien oublier, ce renouveau hôtelier va permettre au site touristique d’Ain Draham, haut lieu de villégiature sereine, de renouer avec son glorieux passé.

Dans son ouvrage, «Ain Draham, village de création récente aux multiplies spécificités», le professeur d’histoire Mohamed Dabboussi revient sur l’âge d’or d’Ain Draham, spécialisé depuis 1930 dans le tourisme intérieur et administratif.

“En 1937, Ain Draham était un des rares sites touristiques tunisiens à figurer à l’époque sur les revues spécialisées, routards et guides touristiques français.”

 

En 1937, Ain Draham était un des rares sites touristiques tunisiens à figurer à l’époque sur les revues spécialisées, routards et guides touristiques français (Michelin, Joanne…).

Selon Mohamed Daboussi, sur un total de 66 hôtels (480 lits au total) que comptait la Tunisie en 1937, quatre étaient opérationnels à Ain Draham, soit une capacité de 100 lits. Il s’agit des hôtels « Beau Séjour », « Les Chênes », « Les Fougères », « Les Sources ».

Pour comprendre l’âge d’or touristique de ce village à cette époque, des villes balnéaires comme Sousse et Hammamet comptaient chacune, à cette époque,  2 hôtels seulement. Seule Tunis se démarquait avec 22 hôtels.

Abou SARRA

EN BREF

  • L’hôtel “La Forêt” à Ain Draham a rouvert, marquant un renouveau hôtelier majeur après dix ans de fermeture.
  • Deux autres hôtels sont prévus pour 2026, bien que leur développement subisse des retards notables.
  • Ain Draham cherche à retrouver son passé glorieux en tant que destination touristique prisée.

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Agriculture tunisienne : Une étude appelle à déconnecter les politiques agricoles des diktats du marché mondial

Une nouvelle étude sur “les petits agriculteurs face au changement climatique, perceptions et mécanismes de résilience”, publiée récemment par la Fondation allemande Henrich boll Stiftung, a recommandé de “déconnecter” les politiques nationales agricoles de l’Etat et surtout de réviser la politique de production “orientée vers l’exportation, en se basant sur les avantages comparatifs, finalement illusoires”.

Cela signifie “refuser de soumettre stratégiquement le développement national aux contraintes de la mondialisation», et cela “en adaptant les relations internationales au service des choix locaux”, expliquent les auteurs de l’étude.

Et d’ajouter “la déconnexion ne consiste pas en l’adoption d’un système de production fermé aux flux du commerce international ou aux relations financières et technologiques, mais plutôt en la rupture avec le “mal-développement”, imposé par le système capitaliste.

Cela implique de réorienter la production agricole vers la consommation locale dans le but d’approvisionner la société, tout en soutenant les agriculteurs tunisiens.

Selon l’étude, les politiques agricoles tunisiennes ne tiennent pas suffisamment compte des priorités de l’économie nationale et des objectifs de développement local, car elles sont assujetties au système capitaliste.

Sur un autre plan, l’étude recommande de réviser les systèmes de production considérés stratégiques (l’olivier, les dattes, les agrumes, etc.) et les remplacer par d’autres systèmes (céréales, viandes, fourrage, etc.), ce qui permettrait de garantir l’autosuffisance de la population et de se libérer de l’emprise des marchés mondiaux.

Elle préconise aussi d’investir dans le développement rural en créant une infrastructure qui assure une vie décente pour les habitants des zones rurales, tout en préservant les terres, les ressources naturelles et les écosystèmes.

Les auteurs de l’étude estiment aussi que la privatisation progressive des chaînes de production agricole, initiée depuis les années 70 du siècle dernier, a engendré une désorganisation dans la production et a entraîné la marginalisation des petits agriculteurs.

Ils ont fait remarquer que les engagements climatiques de l’État tunisien, illustrés par sa Contribution déterminée au niveau national (CDN), « ne s’accordent pas avec la réalité du secteur agricole et celle de ses acteurs principaux, à savoir les petits agriculteurs qui jouent un rôle essentiel dans la production alimentaire en Tunisie ».

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L’UBCI soutient la créativité au Grand Défilé Annuel ESMOD Tunisie 2025

L’UBCI a participé, en tant que sponsor officiel, au Grand Défilé Annuel d’ESMOD Tunis, qui s’est tenu ce lundi 30 juin au centre-ville de Tunis.

L’événement rend hommage à la promotion ESMOD 2025 en offrant aux nouveaux talents de la mode une scène privilégiée d’expression artistique, illustrant ainsi le patrimoine créatif tunisien dans l’univers de la mode. Cette édition a attiré plus de 800 invités. Un moment fort qui a révélé toute la créativité et la diversité des compétences locales.

Un engagement fort en faveur de la jeunesse et de l’entrepreneuriat

Cette alliance illustre la volonté de l’UBCI d’impulser l’entrepreneuriat tunisien tout en soutenant le textile, secteur patrimonial à l’expertise reconnue. Convaincue que la jeunesse tunisienne est une force motrice essentielle pour l’économie de demain, la banque continue de soutenir les talents et les initiatives à fort potentiel en leur offrant des solutions de financement adaptées.

Des solutions concrètes pour accompagner les TPME et les jeunes créateurs

L’UBCI propose une gamme complète de produits et services sur mesure, conçus pour répondre aux besoins spécifiques des TPME et des jeunes entrepreneurs. Ces solutions incluent :

  • des financements simplifiés avec des démarches allégées ;
  • des avantages exclusifs et des services digitaux ;
  • des prêts personnalisés pour optimiser la gestion de la trésorerie des jeunes créateurs.

Consciente de l’importance d’un accompagnement global, l’UBCI offre également du conseil à travers ses collaborateurs, experts dans tous les domaines d’activité, pour permettre aux jeunes entrepreneurs de consolider leurs compétences et structurer durablement leurs projets.

Le Prix “Coup de Pouce” UBCI : encourager la créativité et l’audace

Dans le cadre du défilé, l’UBCI a décerné le Prix “Coup de Pouce UBCI-ESMOD”, à Lina Hamrouni, lauréate prix coup de pouce UBCI-ESMOD 2025. Ce prix symbolique reflète la volonté de la banque de récompenser la créativité et d’encourager les jeunes talents à concrétiser leurs ambitions.

Par ce partenariat avec ESMOD, l’UBCI affirme sa volonté de participer à la construction d’un écosystème inclusif et de valoriser les compétences tunisiennes.

Site web : UBCI

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