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En photo : première sortie médiatique d’Adel Imam après plusieurs années d’absence

Le légendaire acteur égyptien, Adel Imam, a fait sa première apparition publique après plusieurs années d’absence, suscitant l’émotion de ses nombreux admirateurs. C’est à l’occasion du mariage de son petit-fils, Adel Rami Imam, que le “Roi du cinéma égyptien” s’est montré, entouré de sa famille dans une atmosphère chaleureuse et conviviale.

Sur une photo familiale partagée à cette occasion, Adel Imam apparaît aux côtés de son frère, le producteur Issam Imam, ainsi que de ses deux fils, l’acteur Mohamed Imam et le réalisateur Rami Imam, accompagnés de leurs épouses et petits-enfants. Cette image rare d’un moment festif a été très appréciée par les fans, qui attendaient impatiemment de le revoir.

Cette réapparition publique intervient après plusieurs rumeurs concernant l’état de santé d’Adel Imam, ainsi que ses absences répétées aux événements officiels. L’acteur semblait en pleine forme, vêtu d’un élégant costume bleu marine, accompagné d’une chemise blanche et d’une cravate sobre, incarnant toujours le charisme qui fait sa renommée.

La cérémonie a également réuni une pléiade de stars du cinéma et de la musique égyptiens, telles que Yosra, Lobna Abou El Ella, Tamer Hosni, Karim Abdel Aziz et Elham Shahin. L’ambiance festive a été particulièrement animée par la prestation d’Ahmed Saad avec sa chanson “Eh El Youm El Helw Dah”, tandis que Mohamed Imam a partagé des moments spontanés et touchants en dansant avec ses filles, captivant les invités.

Les photos partagées par Rami Imam sur les réseaux sociaux ont immédiatement suscité un vif engouement. Les messages de soutien, d’amour et de vœux de santé abondent, saluant la simplicité et la vitalité du grand acteur lors de cet événement familial.

 

Japon : Plus de 1 000 séismes en deux semaines, mais pas de scénario dramatique en vue

Le gouvernement japonais a mis en garde ce samedi contre la possibilité de nouvelles secousses sismiques puissantes dans les eaux situées au sud-ouest des îles principales du pays. Toutefois, il appelle la population à ne pas céder à la panique ni à croire aux prédictions non fondées annonçant une catastrophe majeure imminente.

Vendredi, les autorités ont évacué une partie des habitants de certaines îles isolées proches de l’épicentre du séisme de magnitude 5,5 survenu jeudi au large de l’île principale de Kyushu, dans l’extrême sud du Japon. Ce tremblement de terre est l’un des plus forts parmi plus de 1 000 secousses enregistrées au cours des deux dernières semaines dans la préfecture de Kagoshima.

Ces événements ont alimenté des rumeurs et théories diffusées sur les réseaux sociaux et dans certains médias non officiels, notamment à la suite d’une bande dessinée humoristique relancée ces dernières années, qui annonçait une catastrophe majeure au Japon pour ce mois de juillet.

Ce samedi matin, un nouveau séisme de magnitude 5,4 a frappé la même région, ravivant les inquiétudes. Lors d’une conférence de presse, Ayataka Ebita, directeur de la surveillance sismique et des tsunamis à l’Agence météorologique japonaise, a déclaré :
« Selon l’état actuel de nos connaissances scientifiques, il est extrêmement difficile de prédire avec précision le moment, l’emplacement ou la magnitude d’un séisme. »

Il a appelé la population à fonder ses jugements uniquement sur des preuves scientifiques.

La propagation de rumeurs, interprétées par certains comme une annonce d’un désastre ce samedi, a provoqué des réactions immédiates. Par exemple, les arrivées de touristes en provenance de Hong Kong, où ces rumeurs se sont largement répandues, ont chuté de 11 % en mai par rapport à l’année précédente.

Malgré cela, le Japon a enregistré cette année un afflux record de visiteurs étrangers, avec 3,9 millions d’entrées au mois d’avril, un record mensuel historique.

Ryuu Tatsuki, l’artiste à l’origine de la bande dessinée « Le futur que j’ai vu », publiée pour la première fois en 1999 et rééditée en 2021, a publié une mise au point via son éditeur : « Je ne suis pas prophétesse. »

Le Japon est l’un des pays les plus exposés au risque sismique au monde, enregistrant environ 20 % des séismes de magnitude 6 ou plus recensés à l’échelle mondiale.

Amérique du Sud : Vague de froid mortelle en Argentine, en Uruguay et au Chili

15 morts suite à une chute du mercure record

Une vague de froid record frappe l’Argentine, le Chili et l’Uruguay, causant la mort d’au moins 15 personnes et obligeant les gouvernements à restreindre l’approvisionnement en gaz et à déclencher des plans d’hébergement d’urgence. 

Une masse d’air polaire venant de l’Antarctique balaie la région, faisant baisser les températures nettement sous les 0°C dans les trois pays d’Amérique du Sud.

En Argentine, au moins neuf sans-abri sont décédés à cause du froid durant cet hiver, selon l’ONG Proyecto 7. A Buenos Aires, les températures sont descendues à -1,9°C mercredi, son plus bas niveau depuis 34 ans. Des coupures de courant provoquées par une forte demande ont laissé des milliers de personnes sans électricité pendant plus de 24 heures dans certaines zones. 

Ailleurs en Argentine, la neige a recouvert des plages atlantiques comme celle de Miramar (450 km de Buenos Aires) tandis que la petite localité patagonienne de Maquinchao a enregistré -18°C mardi. Le gouvernement argentin a suspendu l’approvisionnement en gaz des industries et des stations-service mercredi afin d’assurer l’alimentation en gaz des foyers.

L’Uruguay, où les températures sont descendues en dessous de zéro dans certaines régions, a décrété une « alerte rouge » à l’échelle nationale après la mort de six personnes, permettant ainsi au gouvernement de déplacer de force des sans-abri vers des centres d’hébergement. A Montevideo, les températures ont atteint un maximum de 5,8°C le 30 juin, son plus bas depuis 1967, selon le météorologiste Mario Bidegain. 

Le Chili a également activé des plans d’hébergement pour les sans-abri pendant les journées les plus froides. La ville de Chillan, à 400 kilomètres au sud de Santiago, a enregistré -9,3 °C, selon la direction météorologique chilienne.

La neige est tombée dans certaines parties du désert d’Atacama, le plus sec du monde, pour la première fois depuis une décennie. « Ce qui s’est passé cette semaine au Chili et dans le Cône sud de l’Amérique plus largement est une vague de froid causée par la fuite d’une masse d’air polaire provenant de l’Antarctique », a déclaré le climatologue Raul Cordero, de l’université de Santiago, à l’AFP.

La situation dans la région devrait s’améliorer dans les jours à venir. 

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