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Le coût du microcrédit s’envole : le TEG atteint 25,7 % fin 2024

Le taux effectif global (TEG) appliqué aux emprunteurs auprès des institutions de microfinance en Tunisie a atteint 25,7 % à la fin de l’année 2024, selon les dernières données publiées par l’Autorité de Contrôle de la Microfinance (ACM).

Ce taux inclut l’ensemble des coûts liés à un crédit, notamment les intérêts, frais de dossier et primes d’assurance. Il représente ainsi le coût réel du crédit pour l’emprunteur.

L’ACM, instance indépendante créée par le décret-loi n° 2011-117 du 5 novembre 2011, est chargée de superviser les activités des institutions de microfinance. Elle est composée d’une direction générale et d’un conseil d’administration, réunissant des représentants du ministère des Finances, de la Banque centrale de Tunisie, et d’autres acteurs institutionnels.

D’après ses statistiques, plus de 800 000 clients ont bénéficié de microcrédits en 2024, pour un montant global de 2 562,5 millions de dinars. À titre de comparaison, en 2023, 769 150 clients avaient accédé au microcrédit, pour un total de 2 211,3 millions de dinars.

Ces chiffres traduisent à la fois une croissance du nombre de bénéficiaires et une augmentation des flux financiers mobilisés par le secteur. Néanmoins, l’ACM met en garde contre la hausse du TEG, qui pourrait freiner l’objectif central de la microfinance : favoriser l’inclusion financière des populations vulnérables.

Face à cette problématique, les autorités tunisiennes renforcent leurs programmes d’appui à l’inclusion financière. L’ambition est claire : faciliter l’accès au financement pour les personnes à faibles revenus, stimuler la croissance économique et encourager la création d’emplois.

Dans ce cadre, une ligne de crédit de 20 MDT a été mise en place dans la loi de finances 2025, pour soutenir les catégories les plus fragiles sur le plan économique et social.

Le paysage de la microfinance en Tunisie comprend actuellement 7 institutions agréées, opérant via 232 agences réparties à l’échelle nationale, ainsi qu’une huitième structure associative et 289 associations de microfinance actives selon le cadre réglementaire du décret-loi de 2011.

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Risques de noyade : appel à la vigilance

Le ministère de la Santé a appelé, dimanche 29 juin, à faire preuve de vigilance et à adopter les bons réflexes pour prévenir les risques de noyade.

Rappelant que la noyade n’est pas toujours bruyante ni visible, le ministère insiste sur la nécessité d’une surveillance permanente et rapprochée des enfants, que ce soit en mer ou en piscine, et recommande de leur apprendre à nager dès le plus jeune âge.

Le département de la Santé souligne également l’importance de respecter les consignes de sécurité et les interdictions de baignade, de privilégier les zones surveillées et sécurisées, d’installer des barrières de protection autour des piscines privées, et de veiller à ce qu’elles soient systématiquement fermées.

Cet appel à la prudence intervient après la noyade, samedi, de trois jeunes filles originaires de Khanga El Hajjej au large de Soliman (gouvernorat de Nabeul), ainsi que la disparition d’une fillette de trois ans sur la plage d’Aïn Gharnez, à Kélibia.

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Classement WTA : Ons Jabeur 59e, Sabalenka en tête, Swiatek 4e

La Tunisienne Ons Jabeur reste stable au 59e rang mondial pour la deuxième semaine consécutive, selon le classement WTA publié dimanche 29 juin.

Après une élimination précoce au premier tour du WTA 250 d’Eastbourne, où elle s’est inclinée, lundi 23 juin, face à l’Australienne Maya Joint (51e) en deux sets (5-7, 2-6), la numéro un tunisienne se tourne désormais vers Wimbledon, le troisième tournoi du Grand Chelem de la saison.

Ons Jabeur débutera sa campagne londonienne le 30 juin contre la Bulgare Viktoriya Tomova (81e mondiale). En cas de succès, elle pourrait affronter la gagnante du duel entre la Lettonne Jelena Ostapenko (20e) et la Britannique Sonay Kartal (49e), une rencontre qui promet d’être très disputée.

Dans le Top 10, la Bélarusse Aryna Sabalenka conserve sa place de numéro un mondiale, tandis que la Polonaise Iga Swiatek, finaliste, samedi 28 juin, sur le gazon de Bad Homburg, progresse de quatre rangs pour se hisser à la 4e position.

Swiatek, déchue de son trône de N.1 en octobre dernier au profit de Sabalenka, n’a pas réussi à décrocher son premier titre sur gazon, battue par Jessica Pegula, qui reste solidement installée à la 3e place mondiale.

Cette remontée de la Polonaise se fait au détriment de Jasmine Paolini (-1, 5e), finaliste surprise à Wimbledon l’an passé, et de Zheng Qinwen (-1, 6e), qui perdent quelques places.

Classement WTA au 30 juin 2025 :

  1. Aryna Sabalenka (BLR) – 11 640 pts

  2. Coco Gauff (USA) – 7 899 pts

  3. Jessica Pegula (USA) – 6 483 pts

  4. Iga Swiatek (POL) – 4 943 pts (+4)

  5. Jasmine Paolini (ITA) – 4 806 pts (-1)

  6. Zheng Qinwen (CHN) – 4 803 pts (-1)

  7. Mirra Andreeva (RUS) – 4 743 pts

  8. Madison Keys (USA) – 4 484 pts (-2)

  9. Paula Badosa (ESP) – 3 684 pts

  10. Emma Navarro (USA) – 3 610 pts

  11. Ons Jabeur (TUN) – 1 023 pts

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Météo : Vigilance jaune à Nabeul, Sousse, Monastir, Mahdia et Sfax

L’Institut national de la météorologie (INM) a actualisé, dimanche 29 juin, sa carte de vigilance, plaçant les gouvernorats de Nabeul, Sousse, Monastir, Mahdia et Sfax en vigilance jaune.

Selon l’INM, des vents assez forts à localement forts souffleront en rafales près des côtes Est, dépassant temporairement les 60 km/h.

L’institut appelle à la prudence, notamment lors de la pratique d’activités sensibles aux conditions météorologiques.

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ARP : examen du prêt pour moderniser la Protection civile

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) entamera, mardi 1er juillet, à 10h, l’examen du projet de loi portant approbation de l’accord de prêt signé le 24 septembre 2024 entre la République tunisienne et l’Agence française de développement (AFD), destiné à financer le projet de modernisation de l’Office national de la protection civile (ONPC). Ce projet de loi a reçu un avis favorable de la commission des finances lors de sa réunion du 19 juin dernier.

Lors des discussions au sein de cette commission, le représentant du ministère de l’Économie et de la Planification a indiqué que le montant du prêt a été déterminé sur la base d’une étude de faisabilité, identifiant les besoins prioritaires pouvant être mis en œuvre immédiatement.

Il a également précisé que ce prêt direct bénéficie de la garantie de l’État, ajoutant que la diversification des sources de financement de l’Office contribuerait à répondre à ses besoins croissants.

Intervenant à son tour, le directeur général de l’Office national de la protection civile a expliqué que les fonds seront utilisés pour construire un bâtiment comprenant notamment un centre de gestion des appels d’urgence, des équipements pour la modernisation numérique, ainsi qu’un centre national de gestion des catastrophes.

Il a en outre souligné que l’Office bénéficie d’une réputation solide à l’échelle régionale.

Au cours de la réunion, les représentants de l’Office National de la Protection Civile nt présenté un exposé sur leur stratégie de développement, axée sur le renforcement des capacités opérationnelles et l’amélioration de la qualité des services d’urgence.

Ils ont appelé à un soutien accru, tant en ressources matérielles qu’humaines, en plaidant pour une augmentation du budget alloué et la mise en place d’un programme exceptionnel de recrutement, afin d’optimiser la qualité des services rendus aux citoyens.

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La cheffe du gouvernement à Séville pour la Conférence onusienne sur le financement

La Cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, est arrivée ce dimanche 29 juin, à Séville (Espagne) pour participer aux travaux de la quatrième Conférence internationale des Nations unies sur le financement du développement (FfD4), prévue du 30 juin au 1er juillet 2025.

Accueillie à l’aéroport international de Séville par l’ambassadrice de Tunisie en Espagne, Fatma Omrani Chargui, la Cheffe du gouvernement prendra part à une série de panels portant sur diverses questions économiques.

Elle s’entretiendra également avec des chefs d’État et de gouvernement, ainsi qu’avec des responsables d’institutions financières internationales et de grands groupes internationaux.

Cette quatrième édition de la Conférence sur le financement du développement vise à réformer les mécanismes de financement à tous les niveaux, notamment en donnant un nouvel élan à la réforme de l’architecture financière internationale, et à relever les obstacles qui freinent l’investissement.

La FfD4 réunit de nombreux dirigeants gouvernementaux, ainsi que des représentants d’organisations internationales et régionales, d’institutions financières et commerciales, d’entreprises, de la société civile et du système des Nations unies, afin de repenser les modalités de financement du développement durable.

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Les fondamentaux de la croissance restent solides pour l’Indonésie

Au cours des dernières décennies, l’Indonésie s’est distinguée par ses performances exceptionnelles en matière de croissance économique et de stabilité. Entre 2000 et 2024, l’économie indonésienne a enregistré un taux de croissance moyen de 5 %. Il s’agit là d’une performance remarquable pour le quatrième pays le plus peuplé du monde, qui a su faire face à une période difficile marquée par la crise financière mondiale et la pandémie de Covid-19.

À la fin de l’année dernière, un ralentissement de l’activité économique a commencé à se manifester, dans un contexte d’incertitude post-électorale, de baisse des prix des matières premières et d’un resserrement de la politique monétaire. Cette année, le « Jour de la Libération » proclamé par le président Trump a imposé des droits de douane généralisés à ses partenaires commerciaux dans le monde entier, menaçant de provoquer d’importantes perturbations dans l’économie mondiale. Les États-Unis ont imposé un tarif de 32 % sur les produits indonésiens, ce qui constitue une menace significative pour son secteur exportateur. Ces tarifs ont ensuite été « suspendus », alors que la nation d’Asie du Sud-Est travaille à un accord incluant des tarifs préférentiels sur les produits américains, un meilleur accès à ses minéraux critiques et des importations de carburant américain plus importantes.

L’Indonesia Activity Tracker (IAT) est un baromètre opportun qui permet de mesurer l’élan de l’économie indonésienne, en résumant les informations issues des principaux indicateurs d’activité à haute fréquence. Après avoir atteint un pic de croissance de 5,3 % en glissement annuel en octobre, le rythme de croissance a commencé à se modérer, jusqu’à se stabiliser autour du taux moyen de long terme de 5 %.

Malgré cette stabilisation apparente, une incertitude importante demeure sur la scène mondiale. À notre avis, en dépit de vents contraires considérables, les perspectives macroéconomiques restent positives pour l’Indonésie. Dans cet article, nous examinons les trois principaux facteurs qui soutiennent nos perspectives.

Premièrement, la consommation restera un moteur robuste de la croissance cette année. La consommation représente 55 % de l’économie indonésienne et constitue donc un facteur majeur déterminant la performance économique du pays. La vigueur de la consommation est soutenue par un marché du travail résilient, qui a connu une reprise remarquable depuis la pandémie de Covid-19. Le taux de chômage est passé d’un pic de 7,1 % en 2020 à 4,8 % selon les dernières données de 2025, atteignant son niveau le plus bas depuis 1998. Pour soutenir les dépenses des ménages, le gouvernement indonésien a annoncé ces derniers mois une série de mesures de relance, notamment des réductions substantielles des tarifs d’électricité pour 79 millions de foyers, une aide alimentaire pour 18,3 millions de familles à faible revenu, ainsi que des transferts d’argent pour les travailleurs à faible revenu. La résilience du marché du travail, associée aux politiques de soutien du gouvernement, apportera un appui considérable à la consommation cette année.

Indicateur d’Activité de l’Indonésie

(% de variation en glissement annuel)Source: Capital Economics, QNB analysis


Source: Capital Economics, QNB analysis

Deuxièmement, une inflation maîtrisée et la stabilisation de la roupie indonésienne (IDR) ont permis à la Banque d’Indonésie de mettre en œuvre des mesures monétaires expansionnistes. Le taux d’inflation annuel est resté confortablement contenu cette année, proche de la limite inférieure de la fourchette cible de 1,5 à 3,5 % définie par la politique monétaire.

De plus, la roupie a retrouvé une certaine stabilité, s’appréciant d’environ 3,5 % depuis son point le plus bas historique enregistré le 9 avril. Une faible inflation et une IDR plus stable ont permis à la Banque d’Indonésie de réduire son taux directeur de 25 points de base en mai pour le fixer à 5,5 %, soit la troisième baisse depuis septembre dernier. En outre, la banque centrale a mis en œuvre une série de mesures destinées à stimuler le crédit dans l’économie, notamment la réduction des exigences de réserves, l’augmentation des plafonds de financement externe pour les banques locales, l’engagement à acheter pour 9,3 milliards USD d’obligations gouvernementales sur le marché secondaire, ainsi que l’allocation de 7,9 milliards USD pour le programme de logements abordables de l’État, entre autres. Ainsi, les conditions monétaires sont réunies pour stimuler l’élan économique.

Troisièmement, l’Indonésie continue de développer un portefeuille solide de projets d’infrastructure à grande échelle et d’investissement en capital (CAPEX) qui soutiendra les flux d’investissements et renforcera la capacité de production. L’investissement dans les infrastructures devrait rester l’une des principales priorités de la nouvelle administration. D’importants projets sont en cours dans des secteurs tels que les transports (routes, chemins de fer, aéroports et ports), l’énergie (y compris les énergies renouvelables et une grande raffinerie), ainsi que les infrastructures nécessaires au fonctionnement de nouvelles usines de fabrication. De plus, le fonds souverain nouvellement lancé, Danantara, a reçu le mandat de cibler des projets dans le traitement des ressources naturelles et le développement de l’intelligence artificielle. L’investissement public viendra renforcer le maintien d’un niveau sain d’investissement global, qui devrait rester supérieur à 30 % du PIB et contribuer à un rythme de croissance économique soutenu.

 

Dans l’ensemble, bien que des vents contraires significatifs devraient entraîner un ralentissement non négligeable de la croissance économique, les fondamentaux macroéconomiques de l’Indonésie demeurent solides, portés par une consommation résiliente, des mesures de relance monétaire, et un portefeuille robuste de projets d’infrastructure et d’investissement.

Source: IMF World Economic Outlook, QNB analysis

D’après analyse QNB

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L’APAL à la tâche dans 46 plages de Nabeul

L’Agence de protection et d’aménagement du littoral (APAL) poursuit ses interventions estivales sur 46 plages du gouvernorat de Nabeul, dans le cadre de son programme national de nettoyage lancé le 15 mai et prévu jusqu’à fin septembre 2025.

Un programme national pour des plages propres

Sous le slogan « Profite de l’été et garde la plage propre », l’initiative vise à renforcer les efforts des municipalités côtières en matière d’hygiène et à préserver l’attrait touristique du littoral tunisien.
Selon Nabil Mokhtar, coordinateur du programme et chef du service des études et de l’aménagement des plages à l’APAL, 46 plages sont concernées à Nabeul : 23 plages touristiques et 23 plages publiques, sur un total de 133 plages réparties le long des 192 km de côtes tunisiennes.

Des actions coordonnées et régulières

Les opérations de nettoyage et de tamisage sont menées en collaboration avec les municipalités locales et le commissariat régional au tourisme, et financées conjointement par l’APAL et le Fonds de protection des zones côtières (FPZC).

Une commission spécialisée se réunit avant chaque saison estivale pour identifier les plages les plus fréquentées, afin de cibler les interventions. Les plages touristiques bénéficient ainsi de 17 à 23 interventions par été, contre 9 à 11 pour les plages publiques.

Des déchets en majorité plastiques

Chaque intervention permet de ramasser d’importantes quantités de déchets, dont environ 85 % sont en plastique — une menace sérieuse pour la biodiversité marine, mais aussi pour la santé des citoyens.

En parallèle, l’APAL mène des campagnes de sensibilisation pour encourager les estivants à adopter des comportements respectueux de l’environnement : jeter ses déchets dans les conteneurs prévus, éviter de les abandonner sur le sable, et prendre conscience que tout détritus laissé sur la plage finit souvent… dans la mer.

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Un Tunisien au Conseil des Sages de SOS Villages d’Enfants

Mohamed Megdiche, président de SOS Villages d’Enfants Tunisie, a été élu membre du Conseil des Sages de la Fédération internationale SOS Villages d’Enfants, représentant la région Afrique de l’Ouest, du Centre et du Nord. L’élection s’est tenue lors de l’Assemblée générale élective à Vienne (Autriche), du 26 au 28 juin 2025.

Selon une publication officielle de l’association tunisienne, cette élection marque une avancée significative pour la Tunisie : « Cette présence permettra de faire entendre la voix du modèle tunisien dans le domaine de la protection des enfants sans soutien familial ».

Le Conseil des Sages est un organe stratégique de la Fédération, composé de 13 membres représentant différentes régions du monde. Il joue un rôle consultatif et d’orientation auprès de l’organisation.

La Fédération internationale SOS Villages d’Enfants est présente dans 138 pays et vient en aide, chaque année, à environ 2,9 millions d’enfants, à travers des programmes de soutien familial, d’éducation et de protection.

En Tunisie, l’association a connu un développement rapide : de 900 enfants pris en charge en 2019, elle soutient aujourd’hui près de 6 000 bénéficiaires en 2025. Cette progression est le fruit de réformes structurelles majeures dans les domaines de la prise en charge, de la réinsertion et du suivi familial.

Avec TAP

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Hammamet : 36 spectacles pour la 59e édition du Festival international

Du 11 juillet au 13 août 2025, le Centre Culturel International de Hammamet accueillera la 59e édition du Festival International de Hammamet (FIH), sous le slogan évocateur « Continuous Vibes ». Cette nouvelle édition promet un véritable voyage artistique à travers 33 soirées et 36 spectacles issus de 15 pays, mêlant musique, théâtre et danse dans un cadre emblématique : la Maison de la Méditerranée pour la Culture et les Arts.

Une ouverture vibrante et un hommage poignant

Le festival s’ouvrira avec « Ragouj – Le Spectacle », adaptation scénique de la série ramadanesque à succès. Mis en scène par Abdelhamid Bouchnak et accompagné des compositions de Hamza Bouchnak, ce spectacle mêlera musique live — interprétée par un orchestre de 40 musiciens — et chorégraphies signées Oumaima Manai. Ce moment inaugural sera également un hommage au rappeur tunisien Ahmed Laabidi, alias Kafon, disparu le 10 mai 2025.

Une programmation éclectique et internationale

Porté par la diversité, le FIH 2025 fera dialoguer les genres et les cultures : tarab, flamenco, raï, gnawa, jazz, électro, salsa, musiques africaines, mais aussi musique symphonique et classique. Parmi les têtes d’affiche, citons Lotfi Bouchnak, Saber Rebai, Balti, Ghazi Ayadi (Tunisie), Wael Jassar (Liban), Cheb Mami (Algérie), Naïka (Haïti/France), Noël Kharman (Palestine), Nass El Ghiwane (Maroc), Yuri Buenaventura (Colombie), ou encore Bassekou Kouyaté (Mali).

Des projets innovants viendront enrichir cette offre musicale, à l’image de « Sinouj Odyssey » de Benjemy, « Osool » de Yacine Boularès, ou « 24 Parfums – Les Étoiles Symphoniques » de Mohamed Ali Kammoun.

Théâtre, danse et mémoire collective

Le théâtre tunisien sera à l’honneur avec quatre créations majeures, dont « Mère des pays » de Hafedh Khalifa, fresque historique sur Abou Zakaria El Hafsi, et « Ad Vitam » de Leila Toubel, performance engagée et personnelle. Fadhel Jaziri, pour sa part, signera « Au violon », une plongée dans la mémoire musicale tunisienne, tandis que « La Dame de Kerkoine », pièce historique aux accents punico-phéniciens, évoquera les guerres antiques entre Carthage et Rome.

La danse ne sera pas en reste, avec notamment « Arboune » d’Imed Jemaa, un spectacle introspectif sur la condition de l’artiste tunisien dans l’ère post-Covid.

Un clin d’œil à la chanson française

La soirée « Symphonica » fera la part belle au patrimoine musical français, rendant hommage à Dalida, Charles Aznavour et Édith Piaf, avec les interprétations de la chanteuse tunisienne Zeineb Oueslati et du Français Philippe Cavaillé, connu pour ses reprises d’Aznavour.

Une clôture symbolique et féminine

Le festival s’achèvera le 13 août, date coïncidant avec la Journée nationale de la femme tunisienne, par un concert de tarab dédié à la femme, signé par Nabiha Karaouli.

Billetterie en ligne

Cette année, l’accès au festival se fait exclusivement via la billetterie en ligne, accessible sur le site officiel : festivaldehammamet.com


Programme complet :

  • 11 juillet : « Ragouj – Le Spectacle » (Tunisie)

  • 12 juillet : « La Nuit des Chefs » – Orchestre Symphonique Tunisien (Tunisie)

  • 13 juillet : Hind Ennaira (Maroc), Djazia Satour (Algérie)

  • 14 juillet : Naïka (Haïti / France)

  • 15 juillet : RUST (Syrie/Liban), Alsarah and The Nubatones (Soudan)

  • 16 juillet : « Mère des pays » – Hafedh Khalifa (Tunisie)

  • 17 juillet : « Jathb », Soudeni (Tunisie)

  • 18 juillet : « Ad Vitam » – Leila Toubel (Tunisie)

  • 19 juillet : Yuri Buenaventura (Colombie)

  • 20 juillet : Noël Kharman (Palestine)

  • 21 juillet : « Sinouj – Odyssey » – Benjemy (Tunisie)

  • 22 juillet : « Dialogue des cordes 2 » – Kamel Ferjani (Tunisie)

  • 23 juillet : Addict Ameba (Italie)

  • 24 juillet : Siilawy (Jordanie)

  • 25 juillet : « 24 Parfums » – Mohamed Ali Kammoun (Tunisie)

  • 26 juillet : Wael Jassar (Liban)

  • 27 juillet : Nass El Ghiwane (Maroc)

  • 28 juillet : « La Dame de Kerkoine » – Wajdi Gaidi et Houssem Sahli (Tunisie)

  • 29 juillet : Al Shami (Syrie)

  • 30 juillet : Las Migas (Espagne)

  • 31 juillet : Lotfi Bouchnak (Tunisie)

  • 1er août : « Habit Zamani » – Ghazi Ayadi (Tunisie)

  • 2 août : Saber Rebai (Tunisie)

  • 3 août : Robyn Bennett (USA / France)

  • 4 août : Balti (Tunisie)

  • 5 août : Koum Tara (Algérie / France)

  • 6 août : « Arboune » – Imed Jemaa (Tunisie)

  • 8 août : Cheb Mami (Algérie)

  • 9 août : « Sinfonica – Spécial Tubes Français » (Tunisie / France)

  • 10 août : « Au violon » – Fadhel Jaziri (Tunisie)

  • 11 août : Bassekou Kouyaté and Ngoni Ba (Mali)

  • 12 août : « Osool » (Tunisie / France)

  • 13 août : Nabiha Karaouli (Tunisie)

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Kerkennah : possibles perturbations ce week-end

La Société Nouvelle de Transport Kerkennah (SONOTRAK) a annoncé ce vendredi 28 juin, d’éventuelles perturbations dans les traversées maritimes entre Sfax et l’archipel de Kerkennah, à compter de la soirée du samedi 28 juin, et durant toute la journée du dimanche 29 juin.

Dans un communiqué, l’entreprise évoque des « conditions météorologiques défavorables » susceptibles d’entraîner des modifications dans les horaires prévus. Cette alerte fait suite au bulletin météorologique spécial n°119, émis par l’Institut national de la météorologie (INM), signalant des vents violents et une mer agitée près des côtes.

SONOTRAK appelle les usagers à rester attentifs aux mises à jour, précisant que tout changement sera communiqué en temps réel.

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Été 2025 : canicule et sécheresse en vue

L’été 2025 s’annonce plus chaud et plus sec que la normale, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM). Des températures supérieures aux moyennes saisonnières sont attendues sur tout le territoire entre juin et août, accompagnées de très faibles précipitations. 

Dans son bulletin des prévisions saisonnières pour juin-juillet-août 2025, l’INM annonce un été qui sera marqué par des températures nettement supérieures aux normales saisonnières, calculées sur la période de référence 1991-2020. Les températures moyennes estivales devraient osciller entre 24,3 °C et 32,3 °C, avec peu d’espoir de fraîcheur.

La tendance à un été sec se confirme également : les précipitations resteront très faibles, avec des cumuls ne dépassant pas 65 mm sur toute la saison. L’ensemble du pays est concerné par ce déficit hydrique, qui pourrait accentuer les risques de sécheresse et d’incendies.

Voici les températures prévues pour juillet et août 2025

Juillet :

  • Températures moyennes entre 25 °C et 33,5 °C

  • Températures maximales moyennes : 30,5° C à 41,2 °C

  • Précipitations très faibles : moins de 15 mm.

Août :

  • Températures moyennes entre 25,3 °C et 33,2 °C

  • Températures maximales moyennes : 31,3°C à 40,7 °C

  • Cumul pluviométrique : généralement inférieur à 30 mm.

Avec ces conditions, l’été 2025 pourrait donc battre de nouveaux records de chaleur et renforcer les épisodes de sécheresse. Vigilance recommandée pour les secteurs agricoles, forestiers et sanitaires.

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Tunisair ajuste ses horaires en raison de perturbations du trafic aérien

Tunisair, la compagnie aérienne nationale, a annoncé ce samedi  28 juin 2025 que certains de ses vols subiront des modifications d’horaires en raison de perturbations généralisées du trafic aérien.

La compagnie précise avoir mis en place des mesures pour atténuer les désagréments causés, et souligne que ses services s’efforcent de tenir les passagers concernés informés par SMS et courriel.

Avec TAP

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BCT : Les réserves en devises couvrent désormais 100 jours d’importation

Les réserves nettes en devises de la Tunisie ont atteint 23,18 milliards de dinars à la date du 27 juin 2025, soit l’équivalent de 100 jours d’importation, selon les derniers indicateurs monétaires et financiers publiés par la Banque Centrale de Tunisie (BCT).

Par rapport au mois précédent (27 mai 2025), ces avoirs ont progressé de 612 millions de dinars, gagnant ainsi deux jours d’importation supplémentaires. Les données de la BCT révèlent également une augmentation des revenus du travail, passant de 3,4 milliards de dinars (au 20 juin 2024) à 3,7 milliards de dinars (au 20 juin 2025).

Par ailleurs, les recettes touristiques ont atteint 3,02 milliards de dinars, confirmant la reprise du secteur. En revanche, les services de la dette extérieure se sont élevés à 7,6 milliards de dinars, selon la même source. Cette amélioration des réserves de change devrait contribuer à renforcer la stabilité financière du pays dans un contexte économique mondial incertain.

Avec TAP

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Financement public : moins de 14% des crédits bancaires vont aux secteurs prioritaires

 Les financements accordés par les banques publiques tunisiennes aux secteurs prioritaires – agriculture, habitat et entreprises stratégiques – restent modestes, représentant seulement 13,88% de l’ensemble des crédits distribués en 2024.

Selon les derniers indicateurs publiés par le Conseil du marché financier (CMF), l’encours total des crédits destinés à ces secteurs s’élève à 5 859,3 millions de dinars (MD), sur un volume global de 42 207,7 MD.

L’analyse des données de la Banque nationale agricole (BNA), de la BH Bank et de la Société tunisienne de banque (STB) révèle des disparités dans leur contribution au financement des secteurs d’utilité publique :

  • La BNA n’a consacré que 7,19% de ses crédits à l’agriculture, pour un encours de 1 168 MD.

  • La BH Bank a alloué 13,66% de ses financements au logement des particuliers, soit 1 938 MD.

  • La STB, bien qu’étant le principal soutien des entreprises publiques stratégiques (comme l’Office des céréales et l’OCT), ne consacre que 23,39% de ses crédits aux services publics.

Une orientation vers des secteurs plus lucratifs

Les données montrent que les banques publiques privilégient d’autres activités :

  • La BNA se tourne vers les prêts commerciaux et industriels.

  • La BH Bank finance principalement les services.

  • La STB soutient le tourisme et la consommation.

Bien que ces institutions jouent un rôle clé dans le financement de l’économie, leur implication dans les secteurs d’intérêt général demeure limitée. À fin 2024, seulement 5,86 milliards de dinars ont été mobilisés pour soutenir ces priorités, soulignant la nécessité d’un rééquilibrage des orientations de crédit.

Avec TAP

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408,6 kg, 60 %, 9 bombes : l’équation secrète iranienne?

Une fuite relayée par le New York Times et confirmée par plusieurs sources secoue les milieux diplomatiques et militaires : près de 408,6 kg d’uranium enrichi à 60 % auraient échappé aux frappes américaines menées dans la nuit du 21 au 22 juin contre des installations iraniennes. Cette matière nucléaire fissile, proche du seuil militaire, pourrait suffire à produire jusqu’à 9 bombes nucléaires.

 

Par Mahjoub Lotfi Belhedi *

 

La piste d’une fuite fiable gagne en crédibilité

Washington a reconnu ignorer l’emplacement exact de ce stock stratégique. L’information est jugée plausible par les experts du renseignement : l’Iran dispose d’un réseau d’installations souterraines, mobiles ou clandestines, difficilement repérables même par les frappes de haute précision.

Le facteur centrifugeuse : maîtrise technologique iranienne

L’Iran a acquis une indépendance industrielle dans le domaine de l’enrichissement : ses centrifugeuses IR-1, IR-2m et IR-6 sont conçues localement, avec des pièces issues d’un réseau d’usines sidérurgiques avancées. Cette autonomie technologique est la clé : même sous sanctions, Téhéran peut maintenir voire accélérer son programme.

Du 60 % au 90 % : quelques jours suffisent

Les experts en sciences atomiques s’accordent sur un point crucial : le passage de l’uranium enrichi à 60 % au grade militaire (90 %) peut prendre quelques jours à quelques semaines, selon le nombre de centrifugeuses mobilisées. Le vrai défi réside ensuite dans la conversion en métal d’uranium et l’assemblage d’une ogive nucléaire, ce qui pourrait prendre entre 2 à 6 mois… Ou plutôt moins, si des recherches ont été menées en parallèle.

Des bombes, oui – mais des vecteurs aussi

Avoir la bombe ne suffit pas. Il faut pouvoir la lancer. Or l’Iran possède déjà des missiles balistiques (jusqu’à 3 000 km) et développe des drones militaires avancés. Certains experts estiment que la miniaturisation nécessaire pour monter une petite charge nucléaire sur ces vecteurs est à portée de ses ingénieurs.

L’ombre de Medvedev

La déclaration récente de Dmitri Medvedev – à peine voilée par les organes de veille stratégique au monde, excluant toute livraison de têtes nucléaires russes à l’Iran – pourrait être interprétée comme un aveu implicite : si Téhéran n’a pas besoin d’aide, c’est peut-être qu’il est déjà prêt. La Russie, tout en affichant sa non-implication, semble reconnaître la maturité nucléaire du programme iranien.

L’après-bombe : le séisme géopolitique

Un Iran doté de l’arme nucléaire ne se contenterait pas d’un simple rôle dissuasif. Une telle évolution bouleverserait profondément l’équilibre stratégique du Proche-Orient.

Ce serait la fin d’une ère : celle de la suprématie nucléaire absolue d’Israël au Moyen-Orient. Depuis plusieurs décennies, l’État sioniste reste la seule puissance nucléaire non déclarée de la région, bénéficiant ainsi d’un avantage stratégique décisif. L’émergence d’un Iran nucléaire remettrait radicalement en question cet équilibre.

Face à cette nouvelle donne, des puissances régionales comme l’Arabie saoudite, la Turquie ou l’Égypte pourraient être tentées d’entrer à leur tour dans la course à l’atome. Une prolifération en chaîne deviendrait alors plausible…

Les États-Unis, traditionnellement garants de la sécurité de leurs alliés dans la région, seraient contraints de revoir leur posture stratégique. Leur capacité à imposer des lignes rouges, à prévenir l’escalade et à maintenir la dissuasion serait mise à l’épreuve. Washington devrait composer avec une nouvelle réalité multipolaire, dans laquelle ses marges de manœuvre seraient réduites.

Le TNP (Traité de non-prolifération nucléaire), pilier du régime international de non-prolifération, subirait un coup dur. Déjà affaibli, il verrait sa crédibilité encore davantage entamée. L’incapacité à empêcher l’Iran de se doter de l’arme atomique pourrait sonner le glas d’un ordre nucléaire basé sur la limitation de l’accès à l’arme suprême.

Une porte désormais entrouverte

Les 408,6 kg d’uranium enrichi à 60 % ne sont pas qu’un chiffre, une donnée technique ou un simple seuil critique : ils incarnent une bascule historique. Ce stock place l’Iran dangereusement près de la capacité à produire de l’uranium enrichi à 90 %, qualité militaire, en un laps de temps réduit. Il ne manque qu’une décision politique pour franchir le pas.

Derrière ce chiffre se cache une transformation silencieuse mais lourde de conséquences : celle d’un monde où les règles du jeu nucléaire ne seraient plus dictées uniquement par les grandes puissances établies. Une porte s’entrouvre sur une ère d’accentuation des incertitudes stratégiques, marquée par la remise en cause des tabous nucléaires, la tentation de la prolifération régionale d’où l’arme nucléaire pourrait cesser d’être un privilège d’États puissants pour devenir un instrument de pouvoir revendiqué par tout régime en quête de statut ou de sécurité.

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*Chercheur en réflexion stratégique & digitale // Data scientist & aiguilleur d’IA

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Horaires administratifs d’été 2025

La présidence du gouvernement informe des horaires administratifs de travail estival dans les administrations publiques, les collectivités locales et les établissements publics à caractère administratif.

La séance unique entrera en vigueur du 1er juillet 2025 jusqu’au 31 août 2025, selon les horaires suivants :

  • Du lundi au jeudi : de 8h00 du matin à 14h30.
  • Le vendredi : de 8h00 du matin à 13h30.

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Le plaidoyer de Riadh Chaoued pour une mise accélérée du programme « Nouvelle Chance »

Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaoued, a insisté sur l’importance d’accélérer la mise en œuvre du programme « Nouvelle Chance », destiné à l’insertion professionnelle des jeunes sans qualification.

Lors de la deuxième réunion du Comité de pilotage, tenue récemment, le ministre a appelé à intensifier les réunions et à accélérer les procédures administratives et organisationnelles, notamment celles liées à la restructuration et à l’équipement des bureaux d’emploi dans les gouvernorats de Kairouan et Sousse, ciblés par le programme.

Il a souligné la nécessité de donner la priorité aux jeunes, pour leur permettre de bénéficier des incitations et services proposés par le dispositif, et ainsi renforcer leur engagement.

À l’issue de la réunion, il a été convenu d’organiser un événement national pour mieux faire connaître le programme auprès des jeunes et de leurs familles dans les régions concernées.

Un programme d’insertion innovant

Mis en œuvre par l’Institut Européen de Coopération et de Développement (IECD) Tunisie, en partenariat avec le ministère de l’Emploi, l’AFD, l’ANETI et l’ATFP, le programme « Nouvelle Chance » vise à accompagner près de 1000 jeunes âgés de 18 à 30 ans, sans qualification, vers une intégration professionnelle et sociale durable.

Un point d’étape sur l’état d’avancement du projet dans les deux gouvernorats a également été présenté, ainsi qu’un suivi des décisions issues de la première réunion du Comité.

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Gabès : Le projet Farhet El Hicha s’étend sur 10 hectares supplémentaires

À Oudhref, dans le gouvernorat de Gabès, les travaux d’extension du projet agricole Farhet El Hicha avancent à un rythme soutenu.

Ce projet, fruit d’un partenariat entre la Tunisie et les Pays-Bas, explique-t-on, vise à renforcer la production de primeurs, en particulier les tomates cultivées sous serre. C’est ce que rapporte l’agence TAP

L’extension en cours prévoit l’aménagement de 10 hectares supplémentaires, pour un coût estimé à 35 millions de dinars. Une fois achevée, la superficie totale exploitée atteindra 60 hectares, représentant ainsi 50 % de l’investissement total annoncé par la société néerlandaise, selon Néjib Zarrouk, partenaire tunisien du projet.

Lire aussi: Tunisie – Pays-Bas : Reinette Klever visite le projet Farhet El-hicha à Gabès

Cette expansion devrait permettre la création de 210 emplois additionnels, portant le nombre total de postes à 1 700. Par ailleurs, les exportations de tomates passeront de 15 000 tonnes actuellement à 18 000 tonnes à l’horizon 2026.

En parallèle, une station de dessalement d’eau est en cours de construction. Dotée d’une capacité de 15 000 m³ par jour, elle devrait fournir 75 000 m³ d’eau d’irrigation d’ici fin avril 2026. Cette capacité sera doublée quelques mois plus tard, en septembre de la même année plus précisément, pour répondre à la demande croissante.

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