Le porte-parole de la Douane tunisienne, le colonel Chokri Jebri, a annoncé dimanche 29 juin que l’application « Rokhssati », dédiée aux Tunisiens résidant à l’étranger, est désormais pleinement opérationnelle à 100 %.
Selon lui, cette application a considérablement simplifié de nombreuses démarches pour les Tunisiens de la diaspora, leur permettant de gagner du temps tout en réduisant les longues attentes et les files d’attente aux guichets.
« L’application permet au Tunisien d’effectuer toutes ses procédures depuis son domicile à l’étranger, avec toutes les informations nécessaires disponibles directement via l’application », a-t-il précisé.
Dans le même contexte, Chokri Jebri a indiqué que la Douane tunisienne avait entamé dès mars dernier les préparatifs pour le retour des Tunisiens de l’étranger, en mobilisant les ressources humaines et les moyens logistiques, notamment les dispositifs d’inspection.

Le taux de remplissage des barrages tunisiens s’élève à 38,1 % au 27 juin 2025, enregistrant une hausse significative de 27,4 % par rapport à la même période de l’année précédente, selon les données statistiques publiées par l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI).

Les réserves en eau ont atteint 902 millions de mètres cubes à cette date.

Comparée à la moyenne des trois dernières années, qui s’établit à 850,3 millions de m³, cette augmentation reste modeste, de l’ordre de 6 %.

Les barrages du Nord affichent un taux de remplissage plus élevé, à hauteur de 44,5 %, avec des réserves en eau de 826,4 millions de m³, soit une progression de 25 % par rapport à la même période l’an dernier.

Quant aux barrages du Centre et du Cap-Bon, leurs niveaux de remplissage s’élèvent respectivement à 12,9 % (58,2 millions de m³) et 28 % (17,2 millions de m³).

Pour la seule journée du 27 juin 2025, les apports en eau se sont élevés à 0,230 million de m³, provenant presque exclusivement des barrages du Nord. L’utilisation totale des ressources hydriques a été estimée à 2,388 millions de m³.

Sur l’ensemble de la saison actuelle, du 1er septembre 2024 au 26 juin 2025, les apports cumulés ont atteint 965,9 millions de m³, soit une augmentation de 48 % par rapport à la saison précédente.

La direction générale, le staff managérial ainsi que l’ensemble du personnel de la bh bank présentent à

M^me Dalel BEN ABDALLAH

leurs sincères condoléances suite au décès de son cher et regretté père.

Que Dieu le Tout-Puissant lui accorde Sa Miséricorde.

Le bilan est alarmant sur les plages tunisiennes : quatre décès par noyade ont été enregistrés en l’espace de 24 heures, selon le dernier rapport de l’Observatoire tunisien de la météo et du climat. Trois des victimes ont perdu la vie samedi au large de Soliman (gouvernorat de Nabeul), tandis qu’une jeune fille s’est noyée ce dimanche sur le littoral de Mahdia. Par ailleurs, une fillette est toujours portée disparue à Kélibia, alors qu’une autre a pu être secourue in extremis hier sur les côtes du gouvernorat de Monastir.
Les autorités lancent un appel urgent à la vigilance face aux conditions maritimes dangereuses qui sévissent ce week-end. La mer est particulièrement agitée ce dimanche, rendant la baignade périlleuse, notamment dans les zones non surveillées.
Les recommandations des services de secours sont claires :
• Évitez la baignade en période de vents forts et de vagues élevées.
• Ne nagez pas au large : restez à proximité immédiate du rivage.
• Éloignez-vous des zones rocheuses et des brise-lames, souvent sources d’accidents, comme le montrent les noyades survenues récemment à Mahdia et Soliman.
• Surveillez constamment vos enfants, même dans les zones réputées sûres : un moment d’inattention, souvent causé par l’usage du téléphone, peut s’avérer fatal.
• Évitez l’usage de bouées ou objets gonflables, souvent emportés au large par les courants ou le vent, comme ce fut le cas récemment à Kélibia et Monastir.
L’Observatoire tunisien de la météo, la protection civile, la Garde nationale et l’Institut national de météorologie rappellent que les courants de retour actifs sont une menace invisible mais redoutable. Ils peuvent entraîner rapidement un nageur, notamment un enfant, vers le large.

La même source souligne enfin la responsabilité parentale dans ces drames : « Trop d’enfants accèdent seuls à la mer. L’inattention des adultes reste, hélas, un facteur récurrent dans les noyades. »

Les recherches se poursuivent ce dimanche pour retrouver une fillette de trois ans portée disparue depuis samedi soir au large de la plage d’Aïn Grenz, dans la délégation de Kélibia. Selon un responsable de la garde maritime locale cité par Mosaïque FM, une demande de renfort par hélicoptère a été faite afin d’élargir le champ des opérations de ratissage en mer.
L’enfant aurait été emportée par les courants alors qu’elle se trouvait sur une bouée pneumatique. Son père, présent sur la plage, n’a pas réussi à la rattraper à temps.
Dès les premières heures, les efforts de recherche ont été lancés conjointement par la garde maritime, la marine nationale et la protection civile. Un avis de disparition a également été diffusé aux bateaux de pêche et aux marins de la région pour appuyer les opérations de repérage.
La fillette était en vacances avec sa famille originaire du gouvernorat du Kef et résidant en France. La famille avait loué un logement estival à Aïn Grenz.
A noter que toute la région du Cap Bon est actuellement touchée par de forts vents du nord, rendant la mer agitée. Plusieurs incidents ont été enregistrés ces dernières heures, notamment la noyade de quatre jeunes filles sur la plage de Soliman, et la disparition de cette fillette à Kélibia.

L’Institut national de la météorologie (INM) a mis à jour, dimanche, sa carte de vigilance en plaçant les gouvernorats de Nabeul, Sousse, Monastir, Mahdia et Sfax en vigilance jaune.
Selon l’INM, des vents assez forts à localement forts, dépassant temporairement les 60 km/h, souffleront en rafales près des côtes Est.
L’institut appelle à la prudence, notamment lors de la pratique d’activités sensibles aux conditions météorologiques.

La Tunisienne Ons Jabeur se maintient au 59e rang mondial pour la deuxième semaine consécutive, selon le classement WTA publié ce dimanche 29 juin.
Éliminée dès le premier tour du tournoi WTA 250 d’Eastbourne, après sa défaite face à l’Australienne Maya Joint (51e) en deux sets (5-7, 2-6), la joueuse tunisienne entamera son parcours à Wimbledon, troisième levée du Grand Chelem, ce dimanche 30 juin. Elle affrontera la Bulgare Viktoriya Tomova, actuellement 81e au classement mondial.
En cas de victoire, Jabeur retrouvera au deuxième tour la gagnante du duel entre la Lettonne Jelena Ostapenko (20e) et la Britannique Sonay Kartal (49e).
Dans le Top 10 du classement WTA, la Biélorusse Aryna Sabalenka conserve la première place, tandis que la Polonaise Iga Swiatek, finaliste samedi sur le gazon de Bad Homburg, progresse de quatre rangs pour atteindre la 4e position mondiale. Swiatek, détrônée du sommet du classement en octobre dernier par Sabalenka, reste derrière Coco Gauff et Jessica Pegula, victorieuse en finale à Bad Homburg.
La remontée de Swiatek s’est faite au détriment de Jasmine Paolini (désormais 5e, -1), finaliste à Wimbledon en 2024, et de la Chinoise Zheng Qinwen (6e, -1).
Top 10 du classement WTA au 30 juin 2025 :
1. Aryna Sabalenka (BLR) – 11.640 pts
2. Coco Gauff (USA) – 7.899 pts
3. Jessica Pegula (USA) – 6.483 pts
4. Iga Swiatek (POL) – 4.943 pts (+4)
5. Jasmine Paolini (ITA) – 4.806 pts (-1)
6. Zheng Qinwen (CHN) – 4.803 pts (-1)
7. Mirra Andreeva (RUS) – 4.743 pts
8. Madison Keys (USA) – 4.484 pts (-2)
9. Paula Badosa (ESP) – 3.684 pts
10. Emma Navarro (USA) – 3.610 pts
59. Ons Jabeur (TUN) – 1.023 pts

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, représente le président de la République Kaïs Saïed à la quatrième Conférence internationale des Nations unies sur le financement du développement (FfD4), qui se tient à Séville (Espagne) du 30 juin au 1er juillet 2025. Cette conférence est consacrée à la mise en œuvre de l’Agenda 2030 et à la réforme de l’architecture financière internationale.

Durant sa participation, Sarra Zaafrani Zenzri prendra part à plusieurs panels abordant des questions économiques majeures. Elle s’entretiendra également avec le Premier ministre palestinien Mohamed Mustapha, le Premier ministre égyptien Mostafa Madbouly, ainsi qu’avec la directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).

La FfD4 réunit chefs d’État et de gouvernement, institutions financières et commerciales, organisations internationales et régionales, entreprises, société civile et agences onusiennes. L’objectif est de repenser les mécanismes de financement du développement durable à l’échelle mondiale.

Selon l’ONU, il manque chaque année environ 4 000 milliards de dollars pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) d’ici 2030, notamment en matière de lutte contre la pauvreté, la faim, le changement climatique et les inégalités. Ce déficit de financement, aggravé par son irrégularité, freine les progrès escomptés.

Mardi 25 juin 2025, les États membres des Nations unies sont parvenus à un accord sur le document final de la conférence, intitulé le Compromis de Séville, malgré le retrait des États-Unis. Fruit de plusieurs mois de négociations menées par le Mexique, le Népal, la Zambie et la Norvège, ce texte, soutenu par une large majorité, ne constitue pas une nouvelle feuille de route, mais consolide les engagements existants, en particulier ceux issus du Programme d’action d’Addis-Abeba adopté en 2015.

Le sommet de Séville marque ainsi une étape cruciale après les précédentes conférences de Monterrey (2002), Doha (2008) et Addis-Abeba (2015), avec pour ambition de relancer les engagements internationaux en faveur du développement durable.

Le ministère de la Santé a lancé ce dimanche un appel à la vigilance et à la sensibilisation en matière de prévention des accidents liés aux baignades, soulignant que « la prévention commence à la maison et se poursuit sur la plage et dans tous les lieux aquatiques ».
Dans son communiqué, le ministère rappelle que la mer et les piscines représentent un espace de détente privilégié pour les familles, mais avertit qu’ils peuvent également dissimuler des dangers si l’attention fait défaut.
Parmi les recommandations prioritaires, il est fortement déconseillé de laisser les enfants nager seuls, que ce soit en mer ou en piscine. L’accent est également mis sur la nécessité de privilégier les plages et piscines sécurisées et surveillées, d’apprendre aux enfants à nager, de respecter les drapeaux de baignade et les signalisations de sécurité, ainsi que d’installer des barrières de protection autour des piscines privées et de veiller à leur fermeture hermétique.

Les équipes de contrôle relevant de la direction régionale du commerce à Bizerte ont poursuivi, en coordination avec les services de la garde municipale, de la garde maritime et de l’Instance Nationale de la Sécurité Sanitaire des Produits Alimentaires, leurs campagnes conjointes de contrôle menées dans les espaces de services sur les plages, selon le directeur régional du commerce, Sami Bejaoui.

Ces opérations ont ciblé notamment la plage de Ghar El Melh, où 18 infractions ont été constatées (10 de nature sécuritaire et 8 économiques), en plus de 9 avertissements sanitaires délivrés. À la plage de Sidi Salem, 4 infractions économiques ont également été relevées.
Par ailleurs, les services de contrôle économique de la direction régionale, en coopération avec la sûreté nationale de Ras Jebel, la police municipale régionale et locale, ont procédé à la saisie d’environ une tonne de pommes de terre destinée à la consommation, transportée illégalement à bord d’un camion par une personne non habilitée au commerce.

Selon Bejaoui, cette opération s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la commercialisation de produits agricoles hors des circuits légaux, en particulier les pommes de terre, dont le rythme de stockage a ralenti avec la vente directe par les agriculteurs en pleine période de récolte.

La marchandise saisie a été transférée au marché de gros de Ras Jebel pour être réintroduite dans les circuits autorisés, dans l’attente de la finalisation des procédures légales visant à verser sa valeur dans les caisses de l’État. Un procès-verbal a été établi à l’encontre du contrevenant pour détention et vente de produits en dehors des circuits réglementés.

Le poisson d’élevage en Tunisie est sain, surveillé, et présente peu de risques pour la santé, a assuré ce dimanche 29 juin 2025 la Dr Rana Ghiloufi, spécialiste en qualité et sécurité alimentaire à l’Institut national de nutrition.

Dans une intervention faite sur les ondes de la Radio Nationale, la Dr Ghiloufi a tenu à rassurer les consommateurs. “Le poisson d’élevage en Tunisie est bien encadré. Les lois et règlements en vigueur sont solides et permettent un contrôle rigoureux de l’ensemble de la chaîne de production”, a-t-elle indiqué.

Un produit parfois préférable au poisson sauvage

L’experte a aussi souligné que, dans certains cas, le poisson d’élevage peut même être plus sûr que les poissons sauvages de grande taille, comme le thon ou le requin, souvent chargés en mercure, un métal lourd dangereux pour le système nerveux humain.
“La valeur nutritionnelle du poisson d’élevage reste stable, et ses risques sont généralement moindres par rapport à plusieurs espèces marines”, a-t-elle précisé.

La spécialiste a en outre recommandé de consommer du poisson au moins deux fois par semaine, en privilégiant les petits poissons, comme la sardine, qui est riche en oméga-3. “Une portion de sardines couvre jusqu’à 160 % des besoins journaliers en oméga-3”, a-t-elle affirmé.

Elle a également insisté sur le fait que les petits poissons sont les plus sûrs en Méditerranée, tant sur le plan sanitaire que nutritionnel.

La Dr Ghiloufi a rappelé que le danger réel réside dans la consommation excessive de grands poissons, dont la chair peut contenir des concentrations élevées de mercure, une substance toxique pouvant affecter le développement neurologique, notamment chez les enfants et les femmes enceintes.

Les accidents liés à la mer se multiplient sur les plages tunisiennes. Ce dimanche, la protection civile a confirmé la poursuite des opérations de recherche pour retrouver une fillette portée disparue depuis la veille au large de Kélibia (gouvernorat de Nabeul). La victime, âgée de moins de cinq ans, aurait été emportée par les courants alors qu’elle se trouvait sur une bouée gonflable.

Selon le porte-parole de la protection civile, le colonel Moez Triaa, les recherches mobilisent d’importants moyens : des patrouilleurs de la Marine nationale, des unités de la garde maritime ainsi qu’un bateau de la protection civile sillonnent la zone en mer. Des équipes à terre, composées de sauveteurs et d’agents spécialisés, assurent le ratissage du littoral.

L’incident s’est produit dans un contexte météorologique difficile, marqué par des vents forts et des courants marins violents, ce qui complique les opérations de secours.

Dans un autre drame survenu ce matin à Mahdia, le corps sans vie d’une jeune femme de 19 ans a été repêché sur une plage non surveillée de la corniche, dans une zone rocheuse particulièrement dangereuse. La victime s’est noyée après avoir été surprise par les courants, selon les premiers éléments recueillis.

Le repêchage a été effectué par une équipe de sauveteurs, assistée de deux agents encadrants. Le corps de la jeune femme a ensuite été remis aux forces de sécurité pour l’ouverture d’une enquête.

Les autorités appellent à la prudence, notamment en cette période estivale marquée par une forte affluence sur les plages. Elles rappellent que la baignade dans les zones non surveillées représente un risque élevé, particulièrement pour les enfants et les jeunes baigneurs.

Les unités de la protection civile ont repêché ce dimanche matin les corps de deux jeunes hommes décédés par noyade la veille sur la plage de Soliman, dans le gouvernorat de Nabeul. Originaires de la région de Khenguet El Hajjaj, relevant de la délégation de Grombalia, les victimes ont été retrouvées après plusieurs heures de recherches intenses menées par les équipes de la garde nationale et de la protection civile. Ces opérations ont été particulièrement difficiles en raison des conditions météorologiques défavorables, notamment des vents violents et une mer agitée.

La veille, le corps d’une adolescente de 17 ans avait également été repêché sur cette même plage, victime des forts courants marins accentués par les rafales de vent.

Les trois corps ont été transférés à l’hôpital universitaire Tahar Maamouri de Nabeul où une autopsie sera réalisée afin de déterminer avec précision les circonstances et causes des décès.

Cet enchaînement tragique met en lumière les dangers persistants auxquels sont exposés les usagers des plages locales, particulièrement dans des conditions météorologiques instables.

Le fils de Donald Trump, Eric Trump, a laissé entendre que lui ou un autre membre de la famille Trump pourrait se présenter à l’élection présidentielle américaine à l’issue du second mandat de son père à la Maison-Blanche, affirmant que “le chemin serait facile” s’il décidait de suivre les traces de ce dernier.

Dans une interview accordée au Financial Times, Eric Trump a déclaré : “La question est de savoir si je veux entraîner d’autres membres de la famille dans cette aventure. Est-ce que je souhaite que mes enfants vivent la même expérience que celle que j’ai vécue au cours de la dernière décennie ? Si la réponse est oui, alors je pense que la voie politique (vers la présidence américaine) sera facile, dans le sens où je crois être capable d’y parvenir”.

Eric Trump, qui est vice-président exécutif de la Trump Organization, a également affirmé que d’autres membres de sa famille pourraient se présenter à l’élection présidentielle.

Il a ajouté qu’il n’était “pas du tout impressionné par la moitié des politiciens” qu’il voit, et qu’il estime pouvoir accomplir la mission “avec une grande efficacité”.

Lorsqu’on lui a demandé si l’élection présidentielle de 2024 serait la dernière à laquelle Donald Trump se présenterait, Eric Trump a répondu : “Je ne sais pas… Le temps le dira. Mais il y a d’autres personnes que moi”.

Par ailleurs, il est prévu que le vice-président J.D. Vance et le secrétaire d’État Marco Rubio soient parmi les principaux candidats pour obtenir l’investiture du Parti républicain.

La Cheffe du gouvernement tunisien, Sarra Zaafrani Zenzri, est arrivée ce dimanche 29 juin 2025 à Séville pour prendre part aux travaux de la quatrième Conférence internationale des Nations unies sur le financement du développement (FfD4), qui se déroule du 30 juin au 1ᵉʳ juillet 2025.

À son arrivée à l’aéroport international de Séville, elle a été accueillie par Fatma Omrani Chargui, ambassadrice de Tunisie en Espagne. La Cheffe du gouvernement participera à plusieurs panels consacrés à diverses questions économiques majeures.

Au cours de cette conférence, Mme Zaafrani Zenzri s’entretiendra également avec des chefs d’État et de gouvernement, ainsi qu’avec des responsables d’institutions financières internationales et de groupes économiques mondiaux.

La quatrième édition de la FfD vise à réformer les mécanismes de financement à tous les niveaux, notamment en impulsant une réforme de l’architecture financière internationale et en surmontant les obstacles qui freinent l’investissement.

La conférence réunit une large gamme de dirigeants gouvernementaux, d’organisations internationales et régionales, d’institutions financières, d’entreprises, de représentants de la société civile, ainsi que des acteurs du système des Nations unies, afin de repenser les méthodes de financement du développement durable à l’échelle mondiale.

La Commission des finances et du budget de l’Assemblée des représentants du peuple s’apprête à examiner une nouvelle initiative législative présentée par 73 députés issus de différentes formations parlementaires. Cette proposition vise à instaurer un cadre légal pour la régularisation des dettes agricoles en souffrance, dans le but de soutenir les agriculteurs tunisiens lourdement impactés par les crises successives.

Le projet de loi, structuré en trois articles, propose plusieurs mesures d’allégement pour les exploitants agricoles et les entreprises opérant dans le secteur, dont les dettes sont classées en catégorie 4 ou plus par la Banque centrale de Tunisie.
Parmi les mesures phares de cette initiative :

Rééchelonnement des dettes : Les banques publiques seraient tenues de restructurer le principal des dettes agricoles sur une période maximale de 7 ans, assortie d’un délai de grâce d’un an, non renouvelable.
Allégement des intérêts : La proposition prévoit l’annulation des pénalités de retard et la limitation des intérêts contractuels à 20 % de leur valeur initiale.

Rôle renforcé des banques publiques : Celles-ci seraient chargées de définir une politique de recouvrement spécifique aux dettes agricoles, d’approuver les accords de conciliation et de désigner les structures compétentes pour leur mise en œuvre.

Annulation partielle des dettes : De manière exceptionnelle, les banques pourraient renoncer à hauteur maximale de 5 % du principal des dettes agricoles octroyées avant le 31 décembre 2022, sous condition de règlement du solde dans un délai de six mois après la signature d’un accord de conciliation, prolongeable une seule fois.

Le texte précise par ailleurs que les accords de conciliation portant sur des dettes faisant l’objet de poursuites pour suspicion de corruption seraient annulés de plein droit en cas de condamnation judiciaire définitive.

Dans leur exposé des motifs, les députés signataires soulignent que cette initiative s’inscrit dans un contexte de grave détérioration du secteur agricole, résultant de plusieurs années de sécheresse, de la pandémie de Covid-19 et de la guerre en Ukraine. Ces événements ont particulièrement fragilisé les petits agriculteurs et les entreprises actives dans des filières stratégiques telles que l’huile d’olive, les dattes ou encore les semences. Incapables de rembourser leurs dettes dans les délais impartis, nombre d’entre eux se trouvent aujourd’hui en grande difficulté financière.

Ce projet de loi vise ainsi à offrir une bouffée d’oxygène au secteur agricole, tout en encadrant les mécanismes de régularisation pour éviter les abus et préserver l’équilibre du système bancaire public.

La session de contrôle de l’examen national du baccalauréat 2025 débute ce lundi 30 juin et se poursuivra jusqu’au jeudi 3 juillet, a annoncé le ministère de l’Éducation nationale. Les résultats officiels de cette session seront publiés le 13 juillet.

La session principale, tenue au début du mois de juin, a enregistré un taux de réussite national de 37,08 %. Les ajournés, éligibles à la session de contrôle, représentent 31,95 % des candidats, tandis que 30,52 % ont été définitivement recalés.

Le meilleur score au niveau national a été réalisé par Mohamed Nasraoui, élève au lycée pilote Mohamed Fraj Chedhly à l’Ariana, qui a obtenu une moyenne exceptionnelle de 19,95/20 dans la filière mathématiques.

Cette filière s’est d’ailleurs distinguée par ses performances lors de la session principale, affichant le taux de réussite le plus élevé à l’échelle nationale, avec 74,93 % d’admis. Sur 8 224 candidats, 5 980 ont réussi, tandis que 1 391 ont été ajournés, soit un taux de 17,43 %.

Le ministère a rappelé que toutes les conditions logistiques et de sécurité sont réunies pour garantir le bon déroulement de cette deuxième session, déterminante pour des milliers de candidats.

Le milliardaire américain Elon Musk a vivement critiqué ce samedi la dernière version du projet de loi sur les impôts et les dépenses, élaboré sous la présidence de Donald Trump et actuellement examiné par le Sénat américain.

Dans un message publié sur la plateforme X, Musk a qualifié le texte de “complètement fou et totalement destructeur”, affirmant que ce projet de loi risque de détruire des millions d’emplois aux États-Unis et de causer un préjudice stratégique majeur au pays.

“Ce projet de loi offre des aides financières à des industries dépassées, tout en infligeant de lourds dommages aux secteurs d’avenir”, a-t-il ajouté, soulignant le danger que représente ce texte pour la compétitivité économique des États-Unis.

Cette déclaration intervient quelques semaines seulement après une période de tension entre Musk et le président Trump, consécutive aux commentaires critiques de l’entrepreneur à propos de la législation fiscale.

Elon Musk, figure influente de la tech et de l’industrie, insiste sur la nécessité d’adopter des mesures qui favorisent l’innovation et la croissance des secteurs stratégiques, plutôt que de soutenir des filières obsolètes.

Le Centre allemand de recherche en géosciences (GFZ) a rapporté ce samedi 28 juin 2025 qu’un séisme d’une magnitude de 5,5 a secoué une région du Pakistan.

Selon les données fournies par l’institut, le tremblement de terre s’est produit à une profondeur de 10 kilomètres, ce qui pourrait amplifier ses effets à la surface. Aucun bilan humain ou matériel n’a encore été communiqué au moment de la publication.

Les autorités locales pakistanaises n’ont pas encore émis de déclaration officielle concernant d’éventuels dégâts ou victimes.