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Décès de Kawtar Boudarraja : l’animatrice et actrice marocaine s’éteint après une longue maladie

Décès de Kawtar Boudarraja : l’animatrice et actrice marocaine s’éteint après une longue maladie

La journaliste et actrice marocaine Kawtar Boudarraja s’est éteinte après un long combat contre une maladie grave, selon plusieurs médias marocains. Révélée au grand public à travers l’émission Star Académie Maghreb, elle a marqué les téléspectateurs sur la chaîne Nessma TV grâce à des programmes phares comme Nass Nessma et Mamnou’ ‘ala al-Rijal (Interdit aux […]

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Algérie : Mastercard bientôt disponible à la Banque de développement local

Après avoir intégré le réseau Visa à ses services de paiement électronique internationaux, la Banque de développement local (BDL) s’apprête à lancer prochainement le réseau Mastercard. Il s’agit d’une avancée majeure qui permettra aux e-commerçants algériens de recevoir directement sur leurs comptes bancaires des paiements de l’étranger pour des biens ou des services fournis à l’étranger.

Cette initiative vise à renforcer l’intégration de l’économie algérienne dans le paysage numérique mondial, notamment en permettant aux exportateurs numériques d’élargir leur clientèle à l’international.

Dans ce contexte, Boualem Reguieg, directeur de la monétique et de la banque digitale à la BDL, a annoncé jeudi 26 juin à l’Agence de presse algérienne (APS), en marge de la 56e édition de la Foire internationale d’Alger (FIA), le lancement imminent du réseau Mastercard. Ce nouveau service viendra compléter son homologue du réseau Visa et facilitera les transactions financières électroniques des commerçants algériens ciblant une clientèle étrangère. « Ce service est principalement destiné aux e-commerçants, leur permettant d’élargir leur clientèle à l’étranger et de contribuer à l’augmentation des recettes en devises de l’Algérie », a déclaré Reguieg cité par l’APS.

L’expérience de Visa : des résultats positifs et une expansion attendue

Bien que le service Mastercard soit encore en développement, l’expérience avec le réseau Visa porte déjà ses fruits. En mai dernier, la BDL a signé une convention avec la Caisse nationale d’assurance sociale (CNAS) pour permettre aux membres de la communauté algérienne de payer leurs cotisations sociales en ligne.

M. Reguieg a confirmé que la banque a l’intention d’étendre l’utilisation de ces services à d’autres acteurs économiques dans un avenir proche, soulignant que le service n’est actuellement disponible que pour les e-commerçants, en attendant son expansion progressive.

Innovation dans les services numériques : l’application Wimpay

La réunion, consacrée à l’annonce de Mastercard, a été non seulement informative, mais aussi l’occasion d’échanges entre la banque et les commerçants présents. L’application mobile Wimpay, qui vise à simplifier les paiements par smartphone, a également été présentée.

L’application s’appuie sur la technologie du code QR pour faciliter les transactions, une technologie qui est devenue largement utilisée par les professionnels, dont un certain nombre ont confirmé avoir presque totalement adopté les méthodes de paiement électronique, compte tenu de la facilité et de l’efficacité qu’elles offrent dans les transactions quotidiennes.

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Première usine de batteries lithium-ion au Maroc

COBCO lance la création d’un écosystème industriel stratégique au Maroc avec l’inauguration de sa première unité de production de matériaux pour batteries lithium-ion à Jorf Lasfar. Avec une capacité de 70 GWh/an, cette installation aura la possibilité de fournir des équipements à un million de voitures électriques chaque année. Un projet majeur qui fait du Royaume le futur centre global des technologies respectueuses de l’environnement.

Avec l’inauguration de la première installation de production de matériaux pour batteries lithium-ion par COBCO à Jorf Lasfar, mercredi 25 juin 2025, le Maroc marque une étape cruciale dans le secteur des technologies écologiques. Ce projet d’ampleur signale l’apparition d’un authentique écosystème industriel national consacré à la mobilité électrique et au stockage de l’énergie, rapporte le quotidien marocain Le Matin.

La première du genre en dehors de l’Asie

Cette installation industrielle, couvrant plus de 200 hectares, est la première de son genre en dehors de l’Asie dédiée à la production de précurseurs NMC (Nickel-Manganèse-Cobalt) pour les batteries des véhicules électriques. Dès cette étape initiale, COBCO envisage une capacité de production annuelle de 40 000 tonnes.

Le coût total du projet à terme s’établira à plusieurs milliards de dirhams et se structurera autour de trois axes industriels complémentaires. Ensemble, ces éléments permettront la production de l’équivalent de 70 GWh de batteries annuellement, suffisant à équiper près d’un million de voitures électriques, explique la même source.

Le complexe intégrera 120 000 tonnes par an de précurseurs NMC, 60 000 tonnes par an de cathodes LFP (Lithium-Fer-Phosphate) – qui seront mises en place dès l’apparition d’un écosystème régional. Des installations de raffinage de métaux essentiels et de recyclage de la masse noire, ayant une capacité de traitement supérieure à 60 000 tonnes par an.

Un projet d’une grande importance stratégique

À noter que COBCO est le résultat d’une collaboration entre le fonds marocain AL MADA et le groupe chinois CNGR Advanced Materials, s’inscrivant dans un mouvement global de réindustrialisation locale, de sécurisation des chaînes logistiques et de réduction des émissions de carbone.

Le site de Jorf Lasfar jouit d’avantages cruciaux : sa localisation proche de l’Europe et des États-Unis, l’accès à une énergie verte à coût compétitif, la diversité minière du Royaume marocain et un large éventail d’accords de libre-échange.

Le projet, qui a démarré il y a moins d’un an, a été conduit à un rythme effréné. Le conseil d’administration de COBCO applaudit une progression rapide, illustrant la compétence du Maroc à recevoir des projets technologiques avancés en un temps record.

COBCO a une ambition précise : se positionner comme un acteur compétitif à l’échelle internationale. La société s’appuie sur des solutions technologiques de pointe, une recherche constante d’excellence opérationnelle et un fort engagement en matière de durabilité.

 

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Méditerranée surchauffée en juin 2025 : un sérieux danger pour la santé et l’environnement

Méditerranée surchauffée en juin 2025 : un sérieux danger pour la santé et l’environnement

En ce mois de juin 2025, la Méditerranée connaît un épisode de chaleur inédit. Selon les données du service européen Copernicus, la température moyenne en surface du bassin s’établit à 25,1 °C, un record absolu pour cette période de l’année, soit 2,7 °C au-dessus des normales saisonnières. Dans la Méditerranée occidentale, les températures en surface […]

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Maroc Telecom frappe fort avec une émission obligataire de 330 millions de dollars

Maroc Telecom, le premier opérateur télécoms du Royaume, a annoncé, mardi 24 juin 2025, avoir levé 3 milliards de dirhams (330 millions de dollars); et ce, lors de sa première émission obligataire privée sur le marché local.

Les obligations à deux ans ont été émises à un taux d’intérêt fixe de 2,37 %, a indiqué la société dans un communiqué. Le produit de l’émission servira à refinancer une partie de sa dette et à soutenir ses investissements dans le réseau 5G et le développement de la fibre optique.

Maroc Telecom, cotée à la Bourse de Casablanca et à Euronext à Paris, détient 53 % de ses actions. Tandis que l’Etat marocain en détient 22%.

Et outre ses activités sur le marché local, Maroc Telecom exploite des filiales au Bénin, au Burkina Faso, en République centrafricaine, au Tchad, au Gabon, en Côte d’Ivoire, au Mali, en Mauritanie, au Niger et au Togo.

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ZOOM – Dédollarisation – l’Afrique redéfinit ses règles du jeu — Une voie stratégique pour le Maghreb

Alors que l’Afrique s’emploie à réduire sa dépendance au dollar par des mécanismes de paiement régionaux innovants, le Maghreb peut transformer cette dynamique en levier stratégique. Moins exposé aux secousses monétaires mondiales, plus ancré dans l’espace continental, il a l’occasion de repositionner sa politique économique à l’échelle africaine.

Le déclin silencieux d’un monopole

Le dollar a longtemps été la clef de voûte du système monétaire mondial. Depuis les accords de Bretton Woods, il s’est imposé comme l’étalon de référence, régissant les flux commerciaux, les réserves internationales et les prix des matières premières. Mais cette domination, à la fois politique et technique, s’effrite à mesure que les déséquilibres se creusent et que les acteurs émergents contestent la centralité américaine. Si la Chine, la Russie ou le Brésil ont déjà engagé des stratégies alternatives, c’est désormais l’Afrique qui, dans une discrétion stratégique, avance ses propres pions.

 Une infrastructure de souveraineté : le PAPSS

Le Système panafricain de paiements et de règlements (PAPSS) constitue la réponse africaine à l’hyper-dépendance monétaire. Développé par la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) ce système permet des transactions en monnaies locales entre pays africains, sans passer par des devises fortes comme le dollar ou l’euro. Déjà opérationnel dans une quinzaine de pays, et soutenu par plus de 150 banques commerciales, le PAPSS incarne une volonté nouvelle : celle de repenser les échanges sur une base endogène, libérée des frictions imposées par l’extérieur.

En permettant à une entreprise sénégalaise de payer un fournisseur ghanéen en franc CFA pendant que celui-ci reçoit du cedi (la monnaie ghanéenne), sans conversion en dollar, le PAPSS réduit les délais, les coûts, et surtout la dépendance aux circuits bancaires occidentaux. C’est un acte de souveraineté monétaire autant qu’une rationalisation économique.

 Lire aussi: Nizar Yaïche à HEC Paris : « Pourquoi l’Afrique a besoin d’une monnaie numérique commune »

Une transition soutenue, mais non idéologique

Il serait réducteur de voir dans cette évolution une opposition frontale à l’ordre monétaire mondial. La démarche africaine est d’abord pragmatique. Il ne s’agit pas de boycotter le dollar, mais d’en faire un usage mesuré, contextuel, lorsqu’il est nécessaire. En supprimant les circuits longs et coûteux qui transitent par des banques correspondantes étrangères, l’Afrique cherche avant tout à gagner en efficience.

Cette rationalité est soutenue par des institutions internationales comme la SFI, qui accorde désormais des prêts en monnaies locales pour protéger les acteurs économiques du risque de change.

Derrière cette mutation, ce sont les fondations d’une économie africaine plus autonome qui se dessinent.

 Le Maghreb à la croisée des chemins

Pour les pays du Maghreb, cette dynamique continentale constitue une opportunité décisive. Longtemps arrimés à l’Europe, ils disposent désormais d’un levier concret pour rééquilibrer leur stratégie économique vers le sud. Intégrer le PAPSS, c’est s’ouvrir à une nouvelle zone d’échanges plus fluide, plus sécurisée, où les contraintes liées aux devises fortes sont réduites.

Dans un contexte où les réserves en devises se contractent, où les dettes extérieures pèsent lourdement sur les équilibres budgétaires, la possibilité de commercer et d’investir en monnaies africaines constitue une voie de résilience stratégique. Cela concerne autant les flux commerciaux que les expansions bancaires, les investissements directs ou les partenariats industriels.

Mais ce repositionnement ne va pas de soi. Il suppose une volonté politique claire, des réformes monétaires internes, et une redéfinition du rôle du Maghreb dans l’économie continentale. Il implique aussi une diplomatie économique active dans les instances panafricaines, notamment au sein de la ZLECAf, dont le succès dépend en partie de la fluidité monétaire et du bon fonctionnement du PAPSS.

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De la périphérie à l’interface stratégique

Ce qui se joue, au fond, dépasse les seules considérations techniques. L’Afrique est en train de bâtir une architecture économique plus cohérente avec ses besoins, ses priorités et ses réalités. En intégrant cette dynamique, le Maghreb peut passer du statut de périphérie euro-méditerranéenne à celui de plateforme charnière entre Afrique du Nord et Afrique subsaharienne.

La dédollarisation n’est pas une fin en soi. C’est un outil de transformation, un moyen de réduire les vulnérabilités structurelles tout en stimulant l’innovation institutionnelle. C’est également une invitation à repenser les modèles d’intégration régionale à l’aune d’une autonomie mieux maîtrisée.

In fine, saisir le moment africain

Le PAPSS n’est pas qu’un système de paiement. C’est le signal d’un continent qui prend en main ses leviers monétaires, qui cherche à commercer selon ses propres règles et à orienter ses flux financiers vers des circuits plus adaptés. Le Maghreb, s’il en comprend l’enjeu, a tout à gagner à s’y insérer pleinement.

Dans un monde fragmenté et incertain, construire sa souveraineté ne se résume plus à défendre ses frontières ou ses institutions. C’est aussi savoir maîtriser ses instruments monétaires, orienter ses partenariats, et, surtout, choisir les espaces dans lesquels projeter son avenir. Pour le Maghreb, le moment est venu d’ancrer sa stratégie dans le « moment africain ».

 

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG).

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Tunisie, destination estivale numéro 1 des européens en 2025

Tunisie, destination estivale numéro 1 des européens en 2025

La Tunisie s’affirme en 2025 comme la star incontestée des destinations estivales en Méditerranée, attirant des millions de voyageurs venus des quatre coins de l’Europe. Avec une hausse impressionnante de 40 % des réservations en provenance de France et une explosion des recherches de séjours de la part des Britanniques, des Allemands et des Italiens, […]

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Tunis : accueil populaire pour la Caravane Al-Soumoud de retour de Libye

Tunis : accueil populaire pour la Caravane Al-Soumoud de retour de Libye

La « Caravane Al-Soumoud » a été accueillie ce jeudi 19 juin 2025 par un large public à Tunis, après son retour de Libye. Composée d’environ 1500 participants, cette caravane terrestre avait pour objectif de briser le siège imposé à Gaza. Une marche a été organisée à cette occasion, partant de l’avenue Mohamed V jusqu’au […]

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Maghreb – Der lange Marsch nach Gaza – Protestaktion aus Nordafrika stößt auf politische Hürden

GazaHunderte Aktivisten aus dem Maghreb und darüber hinaus versuchen, auf einer über 3.000 Kilometer langen Landreise die humanitäre Lage in Gaza anzuprangern und Solidarität zu zeigen. Doch der „Global March to Gaza“ trifft auf erhebliche Widerstände, insbesondere an den Grenzen zu Ägypten. Kairo – Eine beeindruckende Initiative von Menschenrechtsaktivisten, politischen Gruppen und Einzelpersonen aus Europa, […]

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Rencontre à Paris sur la géopolitique et des résistances au Maghreb

La première rencontre du Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT) autour de la géopolitique et des résistances au Maghreb, se tient ce samedi 14 juin 2025 de 15h à 18h à la Maison des associations, au 2 rue Claude Bernard, 93100 Montreuil, à Paris.

Cette rencontre est organisée par le groupe informel de réflexion sur «Géopolitique et résistances» créé au sein du CRLDHT, qui se réunira, de manière régulière, pour analyser les dynamiques régionales, en lien avec les réalités politiques, économiques et sociales des pays du Maghreb.

La première rencontre verra la participation de Fouad Abdelmoumni (président du CRLDHT), Michaël Ayari (chercheur associé à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman, Ireman), Ali Bensaad (géographe, enseignant-chercheur à l’Iremam/CNRS) et la chercheure Khadija Mohsen-Finan.



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Maghreb – Opferfest Eid Al Adha – Zwischen Tradition, Gedenken und gesellschaftlicher Bedeutung

MoscheeEin religiöses Fest mit universeller Botschaft – Die MAGHREB-POST wünscht allen Musliminnen und Muslimen ein gesegnetes Eid Al Adha. Rabat – Heute Abend beginnt mehrheitlich für Millionen Musliminnen und Muslime weltweit das Opferfest Eid Al Adha – eines der höchsten islamischen Feste. Auch in den Ländern des Maghreb, von Algerien, Mauretanien, Libyen bis Tunesien sowie […]

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Nadia Azale, nouvelle DG d’Air France-KLM pour l’Afrique du Nord, Sahel et Côte Ouest

La nomination de Nadia Azale permet de renforcer la présence d’Air France – KLM dans la région, en poursuivant la construction d’une proximité avec les clients, les partenaires et en restant à l’écoute des besoins des marchés.

Air France-KLM a nommé Nadia Azale, en tant que Directrice Générale pour la région Afrique du Nord Sahel Côte Ouest.

Effectif depuis le 1er octobre, ce poste basé à Casablanca regroupe 12 pays : la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, le Burkina Faso, la Gambie, la Guinée, le Libéria, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et la Sierra Leone.

Nadia Azale a débuté sa carrière chez Air France en 2005, à l’aéroport de Paris Charles de Gaulle, au cœur du Hub de la compagnie. Elle a ensuite rejoint la direction commerciale, où elle a été responsable de la tarification et de la distribution pour l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Europe.

Elle a ensuite entamé une carrière à l’étranger, d’abord en tant que directrice commerciale basée à Casablanca, où elle a contribué à la mise en place de la Direction Commerciale Afrique du Nord Sahel, puis en Italie en tant que directrice des ventes.

De retour au siège à Paris, Nadia Azale a rejoint la direction de la distribution afin de développer et de définir la stratégie d’Air France-KLM pour implémenter un nouveau canal de distribution pour les ventes indirectes en tant que « Directrice de la Stratégie de la gestion du changement ».

Nadia Azale, à propos de son nouveau rôle, a déclaré : « Je suis ravie de rejoindre la Direction de la région Afrique du Nord Sahel Côte Ouest et de collaborer avec une équipe exceptionnellement talentueuse et dévouée. Pour le groupe Air France-KLM, cette région est un marché clef offrant d’innombrables opportunités de développement. Je suis convaincue qu’avec les efforts de nos équipes, la fidélité de nos clients et le soutien de nos partenaires, Air France-KLM continuera d’élargir sa présence et d’offrir une expérience positive à nos clients. »

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