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Dr Kgothatso Motumi, Coprésidente du Conseil africain du cancer du sein et directrice générale de Roche Products, déclare : L’Afrique affiche les taux de mortalité, par cancer du sein, les plus élevés au monde

Le Conseil africain du cancer du sein (ABCC), créé en 2024, œuvre en faveur des objectifs de l’OMS.

Il élabore et défend des politiques concrètes et évolutives qui améliorent la lutte contre le cancer du sein. En se connectant et en réunissant des dirigeant.e.s, des décideurs politiques et des expert.e.s du continent, le Conseil soutient les efforts des gouvernements pour faire du cancer du sein une priorité nationale de santé et s’efforce de soutenir la collaboration entre les parties prenantes.

Dr Kgothatso Motumi, Coprésidente de ce Conseil africain et directrice générale de Roche Products, expose ici la situation alarmante en Afrique et les perspectives de la lutte.

D’après l’analyse scientifique des données actuelles, quelles sont les principales causes du cancer du sein dans le monde ?

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent dans le monde. Il est la principale cause de décès par cancer chez les femmes, touchant de manière disproportionnée les pays à revenu faible et intermédiaire. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), certains facteurs augmentent le risque de cancer du sein, notamment l’âge avancé, l’obésité, la consommation nocive d’alcool, les antécédents familiaux, l’exposition aux radiations, le tabagisme et les aspects reproductifs (comme l’âge du début des règles et l’âge de la première grossesse). Environ la moitié des cancers du sein se développent chez des femmes qui ne présentent aucun facteur de risque identifiable autre que le sexe (féminin) et l’âge (plus de 40 ans).

Pourquoi l’Afrique enregistre-t-elle des taux élevés de cancer du sein ?

L’Afrique détient le taux le plus élevé du cancer de sein dans le monde. En Afrique Subsaharienne, par exemple, l’incidence a augmenté de 247% entre 1990 et 2019. D’ici 2045, l’OMS prévoit que le nombre de cas doublera dans cette région pour atteindre 400 000. Cette tendance est due à l’augmentation de l’espérance de vie sur le continent, combinée à des changements de mode de vie, dont nous citons cinq facteurs principaux de risques : le tabagisme, la consommation d’alcool, un poids corporel élevé, une glycémie élevée et le manque d’exercice physique.

Comment expliquez-vous les faibles taux de survie des patientes en Afrique ?

 Le continent africain affiche aussi les taux de mortalité par cancer du sein les plus élevés au monde : seulement 50 % des femmes devraient survivre cinq ans après le diagnostic, contre 90% dans les pays à revenu élevé. Ces faibles taux de survie sont dus à un diagnostic tardif : 77 % des femmes ne sont diagnostiquées qu’au stade 3 ou 4 de la maladie, alors que le traitement est beaucoup plus difficile. Les systèmes de santé africains doivent investir davantage pour offrir à toutes les femmes une prise en charge complète du cancer du sein qui permettra d’enrayer cette hausse des taux. Nous devons mettre en place des programmes de sensibilisation de grande envergure pour apprendre aux femmes à identifier les symptômes du cancer du sein et à prendre les mesures nécessaires. Ensuite, nous devons bien sûr garantir l’accès à des soins de meilleure qualité là où elles se trouvent, afin qu’elles puissent être diagnostiquées rapidement et orientées vers les traitements appropriés. Les pays africains doivent donner la priorité au renforcement du personnel de santé spécialisé dans la cancérologie et au développement des infrastructures pour offrir les soins que toutes les femmes méritent.

Pourquoi le Conseil africain du cancer du sein a-t-il été créé ?

Le Conseil africain du cancer du sein Africa Breast Cancer Council a été créé l’année dernière (2024) en réponse à cette tendance alarmante et à l’aggravation des taux de mortalité due au cancer du sein. Ce Conseil rassemble des femmes africaines de premier plan – notamment des économistes, des professionnelles de la santé, des oncologues, des Premières dames et d’anciennes ministres – qui s’engagent à faire progresser la prise en charge du cancer du sein en Afrique. S’appuyant sur l’expérience et les connaissances de ses membres, le Conseil partage des données probantes avec les gouvernements africains et plaide en faveur de changements systémiques susceptibles d’accroître les taux de survie des femmes.

Quelles sont les principales initiatives de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et du Conseil africain du cancer du sein (ABCC) pour lutter contre le phénomène actuel des infections par le cancer du sein ?

L’Organisation mondiale de la Santé a lancé son Initiative mondiale contre le cancer du sein en 2021, qui a défini trois piliers pour la lutte ainsi que des objectifs régionaux à atteindre par les pays d’ici 2040.

Ces objectifs sont axés sur :

  • Le dépistage précoce : augmenter la proportion de cancers du sein détectés aux stades précoces (I et II) de 30% à 60%.
  • L’accélération du diagnostic : réduire le délai moyen entre la reconnaissance des symptômes et le traitement de 183 jours à 60 jours.
  • L’amélioration des résultats thérapeutiques : améliorer les taux de survie afin que huit femmes sur dix diagnostiquées avec un cancer du sein survivent, contre cinq sur dix actuellement.

Le Conseil africain du cancer du sein (ABCC) œuvre en faveur des objectifs de l’OMS en élaborant et en défendant des politiques concrètes et évolutives qui améliorent les résultats de lutte. En se connectant et en réunissant des dirigeant.e.s, des décideurs politiques et des expert.e.s, le Conseil soutient les efforts des gouvernements pour faire du cancer du sein une priorité nationale de santé et s’efforce de soutenir la collaboration entre les différentes parties prenantes.

Comment le Conseil africain du cancer du sein compte-t-il collaborer avec les institutions de santé publique des pays africains pour lutter contre le cancer du sein ?

Un aspect essentiel du travail du Conseil africain du cancer du sein consiste à réunir des acteurs des secteurs public et privé. Notre rôle n’est pas de mettre en œuvre la lutte, mais de servir de canal de collecte et de partage d’idées et de données probantes sur les solutions efficaces sur le continent. Les institutions de santé publique ont un rôle essentiel à jouer dans ces discussions, et les partenariats public-privé s’avèrent précieux dans de nombreux pays africains, où ils ont permis la création de centres de cancérologie plus spécialisés.

Comment le Conseil travaille-t-il pour développer et promouvoir des initiatives visant à atteindre les objectifs fixés ?

Le Conseil (ABCC) s’efforce d’identifier et de mettre en lumière les lacunes critiques que les pays africains doivent combler pour accélérer le diagnostic et le traitement efficace du cancer du sein, en sensibilisant à cette maladie en tant que priorité nationale de santé. Nous œuvrons à favoriser le dialogue politique et à soutenir les changements de politiques dans les pays prioritaires, en mettant l’accent sur le financement public et l’allocation de ressources pour l’éducation, le traitement et les soins liés au cancer du sein. Nous plaidons également en faveur des ressources nécessaires pour améliorer l’accès aux soins et explorer des solutions innovantes pour la lutte, en mettant l’accent sur la création de partenariats stratégiques et en facilitant la collaboration entre les secteurs public et privé.

Qui sont les personnes et les partenaires clés du Conseil africain du cancer du sein ?

Je suis très fière de coprésider un groupe de femmes pionnières venues de tout le continent africain. Au Ghana, nous accueillons Dr Verna Vanderpuye, consultante principale au Centre national ghanéen de radiothérapie, d’oncologie et de médecine nucléaire. Verna a reçu le Prix international de mentorat « Femmes qui conquièrent le cancer » en 2019 et est également trésorière de l’Organisation africaine pour la recherche et le traitement du cancer. Parmi nos autres membres ouest-africains, on compte, du Nigéria, S.E. Dr Zainab Shinkafi-Bagudu, présidente de l’Initiative des Premières dames contre le cancer et présidente élue de l’Union internationale contre le cancer (UICC). De Guinée-Bissau, nous accueillons Dr Magda Robalo, ancienne ministre de la Santé, actuellement présidente et cofondatrice de l’Institut pour la santé mondiale et le développement.

Le Conseil bénéficie aussi du soutien de Roche. Pour plus d’informations, visitez le site : https://africa.roche.com/stories/africa-breast-cancer-council.

La dernière conférence du Conseil africain du cancer du sein à Kigali en mars 2025 a été un succès. Comment de tels événements peuvent rassembler les meilleur.e.s expert.e.s pour trouver des solutions au problème en Afrique ?

L’événement que nous avons organisé à Kigali (Rwanda), en mars 2025, portait sur le thème « Combler les disparités : faire progresser la prise en charge du cancer du sein chez les femmes africaines ». Il s’est tenu dans le cadre de la Conférence internationale de l’Agenda africain pour la santé, un important rassemblement biennal de leaders de la santé. Nous avons eu le plaisir d’accueillir des ministres et de hauts fonctionnaires de plusieurs pays africains qui ont échangé des idées, des témoignages et des expériences réussies. Nous avons aussi l’intention d’organiser davantage d’événements de ce type en partageant des preuves d’impact et en amplifiant les exemples de réussite.

Quelles sont les principales attentes du Conseil africain en matière de prévention et de prise en charge du cancer du sein au cours de la prochaine décennie ?

Les membres du Conseil africain du cancer du sein sont animé.e.s par une vision commune : un avenir où chaque femme africaine aura accès à des soins rapides, équitables et vitaux. Dans un premier temps, nous intervenons dans dix pays identifiés comme étant à l’origine de progrès transformateurs dans la prise en charge du cancer du sein et inspirant des actions sur tout le continent. Ces pays prioritaires sont : l’Algérie, la Côte d’Ivoire, l’Égypte, le Ghana, le Kenya, le Maroc, le Nigéria, le Rwanda, l’Afrique du Sud et la Tunisie. Le Conseil ne met pas en œuvre ni ne finance les soins contre le cancer. Mais en nous réunissant, en nous connectant, en recueillant des informations et en les partageant, nous offrons des orientations politiques pour soutenir les gouvernements dans leur démarche visant à transformer la prise en charge du cancer du sein pour les femmes. En travaillant à la réalisation des objectifs de l’OMS, nous sommes convaincus que le Conseil peut impulser des changements politiques significatifs et coordonnés, alignés sur les objectifs régionaux existants.

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Alerte méduses sur les plages tunisiennes : conseils pratiques pour les éviter

Alerte méduses sur les plages tunisiennes : conseils pratiques pour les éviter

Les méduses, aussi fascinantes que redoutées, deviennent des invitées régulières sur les plages tunisiennes à l’approche de l’été. Leur prolifération est favorisée par le réchauffement des eaux, la pollution marine et la disparition de leurs prédateurs naturels comme les tortues marines. Présentes notamment au Cap Bon, à Mahdia ou à Monastir, elles se rapprochent des […]

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Gaza : l’aide humanitaire bloquée, les civils pris pour cibles selon l’ONU

Gaza : l’aide humanitaire bloquée, les civils pris pour cibles selon l’ONU

La Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur le droit à la santé, Tlaleng Mofokeng, a tiré la sonnette d’alarme concernant la situation humanitaire dramatique dans la bande de Gaza, affirmant qu’il est désormais impossible de parler d’un droit à la santé dans ce territoire, ravagé par 21 mois de violences ininterrompues de la part de […]

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L’ONFP en guerre contre… la drogues chez les jeunes!!!

L’ONFP en guerre contre… la drogues chez les jeunes!!! | Univers News

TUNIS-UNIVERSNEWS- (Santé) – Le problème mondial de la drogue représente un défi à multiples facettes qui touche la vie de millions de personnes dans le monde. Qu’il s’agisse d’individus souffrant de troubles liés à l’utilisation de substances ou de communautés aux prises avec les conséquences du trafic de drogue et de la criminalité organisée, les répercussions de la drogue sont vastes et complexes. Pour relever ce défi, il est impératif d’adopter une approche fondée sur des preuves scientifiques qui donne la priorité à la prévention et au traitement.

La Journée internationale contre l’abus et le trafic de drogues, ou Journée mondiale contre la drogue, est célébrée chaque année le 26 juin pour renforcer l’action et la coopération en vue de parvenir à un monde sans toxicomanie. Cette année, la Journée mondiale de la drogue appelle à investir dans la prévention, en particulier dans la justice, l’éducation, les soins de santé et les moyens de subsistance alternatifs, qui sont les fondements d’une résilience durable.

La drogue est désormais considérée, avec le terrorisme, comme la grande menace qui pèse sur les pays. La Tunisie a mille et une raisons de vouloir s’en prémunir. C’est dans ce cadre que l’office National du Planning Familial et de la Population à travers ses différentes structures implantées dans tous les gouvernorats de la République, offre divers services gratuits destinés aux jeunes et aux adolescents sur les drogues et leurs effets négatifs sur la santé mentale et physique de l’être humain. Ces services visent à les sensibiliser et à leur fournir une information fiable et complète sur les méfaits des drogues et leurs effets négatifs sur la santé physique et psychologique de l’individu, de la famille et de la communauté. Par l’intermédiaire de ses spécialistes, l’office fournit également des services de soutien et de conseil et les oriente vers les structures de traitement et d’assistance disponibles. (M.S)

Vaccination antirabique : des campagnes lancées à Téboulba et Sahline

Une campagne de vaccination antirabique destinée aux chiens et aux chats a été lancée, jeudi 26 juin, devant le stade du club Aigle Sportif de Téboulba (Monastir), a annoncé la municipalité de Téboulba sur sa page Facebook.

Parallèlement, une seconde opération de lutte contre la rage est prévue, vendredi 27 juin, à Sahline, à l’initiative de la cellule locale de vulgarisation agricole.

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Alerte du ministère de la Santé : 28 plages interdites à la baignade dans quatre gouvernorats

Alerte du ministère de la Santé : 28 plages interdites à la baignade dans quatre gouvernorats

Le ministère de la santé a mis en garde contre la baignade dans 28 plages en raison de la pollution des eaux dans les gouvernorats de Tunis, Ben Arous, Ariana et Bizerte. Dans le cadre du suivi de la qualité de l’eau de mer, le ministère a effectué des opérations de contrôle dans 539 points […]

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Santé : Bouderbala à l’écoute des médecins sur les défis du secteur

Le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Ibrahim Bouderbala, a reçu ce mercredi 25 juin 2025 les membres du Conseil national de l’Ordre des médecins, menés par leur présidente, Rim Ghachem Attia, au palais du Bardo.

Les échanges ont porté sur les grandes difficultés que traverse le secteur médical : lacunes juridiques, conditions de travail dégradées, migration des médecins, et besoin urgent de réformes législatives. Le Conseil a plaidé pour une mise à jour des lois régissant la profession, parfois inchangées depuis plusieurs décennies, et l’introduction d’un cadre permettant l’exercice en sociétés médicales.

Les médecins ont également appelé à une révision de la loi sur la responsabilité médicale afin de mieux protéger les droits des patients et définir clairement les responsabilités en cas d’erreur, tout en prévoyant des mécanismes d’indemnisation.

Autre point d’alerte : la fuite continue des médecins tunisiens à l’étranger, aggravée par la pénurie de personnel et la détérioration des conditions de travail, notamment pour les jeunes professionnels.

Bouderbala a salué la qualité des compétences tunisiennes dans le domaine de la santé et affirmé le soutien du Parlement à une réforme globale pour améliorer les conditions de travail et renforcer la qualité des soins.

Avec TAP

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Bouderbala reçoit l’Ordre des médecins : focus sur la responsabilité médicale et les réformes attendues

Le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Ibrahim Bouderbala, a reçu mercredi matin au palais du Bardo les membres du Conseil national de l’Ordre des médecins, conduits par la présidente du Conseil, Rim Ghachem Attia.

Les membres de la délégation ont souligné, au cours de l’entretien, les diverses préoccupations du secteur médical dans toutes ses spécialités, les lacunes juridiques entravant son fonctionnement et la nécessité de les combler en révisant plusieurs lois en vigueur depuis des décennies, ainsi qu’en mettant en place un cadre législatif en phase avec les évolutions rapides que connaît ce secteur important dans ses divers aspects.

Les membres du Conseil national de l’Ordre des médecins ont appelé à la promulgation d’un texte législatif permettant l’exercice de la médecine dans le cadre de sociétés, en raison des avantages que cette démarche présente, notamment pour le développement des services médicaux et leur amélioration qualitative, en plus de leur rapprochement du citoyen et de leur accessibilité dans les meilleures conditions.

Ils ont également souligné l’importance de la pratique médicale dans un cadre participatif, en matière d’échange d’expériences et de savoir-faire, permettant ainsi de fournir des services de meilleure qualité, en insistant sur l’impact positif de cette pratique sur les jeunes médecins, à travers la création d’opportunités d’emploi et d’acquisition d’expérience.

Par ailleurs, les membres de l’Ordre ont abordé la loi sur la responsabilité médicale, évoquant la nécessité de la réviser pour en faciliter l’application, notamment en ce qui concerne la garantie des droits des patients, la détermination de la responsabilité des prestataires de soins, et la mise en place de mécanismes d’indemnisation pour les dommages résultant d’erreurs médicales.

Ils ont également évoqué la poursuite du phénomène de migration des médecins tunisiens, ses effets négatifs sur le système de santé nationale et sur les services fournis, en plus de la grave pénurie de cadres médicaux. Ils ont estimé que les conditions de travail difficiles des médecins figurent parmi les principales causes de cette migration des jeunes médecins, et qu’il est nécessaire d’y remédier.

Le président de l’Assemblée des représentants du peuple a exprimé son appréciation pour les compétences médicales remarquables dont regorge le secteur, compétences qui ont fait leurs preuves dans diverses spécialités tant dans les secteurs public que privé, et qui ont réalisé des réussites aux niveaux national et international. Il a souligné que ces indicateurs positifs représentent une incitation à accorder davantage d’attention à ces compétences, en leur offrant les meilleures conditions de réussite et d’excellence.

Il a également salué le travail sérieux accompli par les professionnels de santé dans toutes leurs catégories et spécialités, afin de garantir les services de santé aux citoyens de la meilleure manière, illustrant ainsi l’importance du secteur de la santé, considéré comme l’un des domaines vitaux et de services les plus directement liés au citoyen.

 

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Tunisie : prouesse médicale à Sidi Bouzid, un abcès au foie traité sans opération

Tunisie : prouesse médicale à Sidi Bouzid, un abcès au foie traité sans opération

Le ministère de la Santé tunisien a annoncé, dans un communiqué publié ce 25 juin 2025 sur sa page Facebook officielle, un succès médical remarquable réalisé pour la première fois dans le gouvernorat de Sidi Bouzid. Une équipe multidisciplinaire, composée de spécialistes en radiologie interventionnelle et en chirurgie de l’hôpital régional, a réussi à sauver […]

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Pollution : Sidi Ali Mekki, Ghar El Melh et 26 autres plages interdites à la baignade en Tunisie cet été

Pollution : Sidi Ali Mekki, Ghar El Melh et 26 autres plages interdites à la baignade en Tunisie cet été

Le ministère de la Santé tunisien a annoncé, le mercredi 25 juin 2025, que 28 points sur le littoral national ont été déclarés impropres à la baignade en raison de la pollution des eaux marines. Ces zones concernées se répartissent principalement sur Tunis (notamment le plage de la rue Bach Hamba à La Goulette), Ben […]

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28 plages interdites à la baignade pour l’été 2025

28 plages interdites à la baignade pour l’été 2025 | Univers News

TUNIS-UNIVERSNEWS- (Santé) – Le ministère de la Santé a confirmé que dans le cadre de la surveillance de la qualité de l’eau de mer, il a contrôlé 539 points sur la bande côtière. Il a ajouté que les résultats de juin 2025 ont montré que 71% des plages sont de bonne qualité, mais 28 plages sont impropres à la baignade en raison de la pollution de l’eau, répartis comme suit :

* Gouvernorat de Tunis :

(01) plage : Avenue Bach Hamba la Goulette

* Gouvernorat de Ben Arous :

(15) plages : 100 m au Sud de la plage Marouen au large de la Centrale thermique (Radès), au large du bâtiment de la Protection civile (Radès), 100 m au Nord de l’embouchure de l’oued Milian (Radès), 100 m au Sud de l’embouchure de l’oued Méliene (Ezzahra), au large de l’embouchure de l’oued Maizat à Ezzahra, à l’embouchure de l’oued Bou khamsa (Ezzahra) au large de Salasa Major (Hammam-Lif), au large de l’approche de la Méditerranée (Hammam-Lif), au large du Casino (Hammam-Lif). Au large de la rue Salammbô (Hammam-Lif), au large de l’approche Habib Thameur (Hammam-Lif), au large de l’approche Aziza Othmana (Hammam-Lif) L’ancienne embouchure de Chaabiya (Hammam-Lif), l’embouchure de Oued Ayachia (Hammam-Lif).

* Gouvernorat de l’Ariana :

(06) plages : Embouchure de la Sebkha (Raoued), devant le centre d’élevage de chevaux Akrout (Raoued). Lotissements résidentiels : plage de Raoued, Quartier des juges (Raoued), Canal Khalij (Raoued), 50 m au Nord du canal Khalij (Raoued).

*Gouvernorat de Bizerte :

(06) plages: La plage Jalta à Bizerte, la plage Baali à Menzel Jmil

Sidi el Hachani à Menzel Abderrahmane

Le port de pêche Menzel Abderrahmane

Le canal 1 de Zarzouna

Le canal 2 de Zarzouna

Face à cette situation, plusieurs raisons expliquent la dégradation de ces plages. Les déversements d’eaux usées directement dans la mer représentent une source majeure de pollution. Les rivières et ruisseaux pollués qui se jettent dans les zones côtières aggravent également la situation. Le ministère de la santé a appelé à éviter de se baigner à ces endroits pour votre sécurité, soulignant que la surveillance se poursuivra et que le public sera informé de tout nouveau développement. (M.S)

Méditerranée surchauffée en juin 2025 : un sérieux danger pour la santé et l’environnement

Méditerranée surchauffée en juin 2025 : un sérieux danger pour la santé et l’environnement

En ce mois de juin 2025, la Méditerranée connaît un épisode de chaleur inédit. Selon les données du service européen Copernicus, la température moyenne en surface du bassin s’établit à 25,1 °C, un record absolu pour cette période de l’année, soit 2,7 °C au-dessus des normales saisonnières. Dans la Méditerranée occidentale, les températures en surface […]

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Des opérations gratuites de la cataracte 

Le directeur régional de la Santé à Kasserine, Abdelghani Chaâbani, a déclaré à Mosaïque FM, que plus de 20 patients issus de catégories vulnérables ont bénéficié , d’interventions chirurgicales gratuites pour le traitement de la cataracte, à l’hôpital universitaire Badr Eddine Aloui de Kasserine. Chaâbani a précisé que cette initiative, qui s’inscrit dans le cadre […]

Tunisie–Égypte : vers un partenariat stratégique pour sécuriser l’approvisionnement en médicaments et équipements médicaux

L’examen des moyens susceptibles de promouvoir la coopération entre la Tunisie et l’Egypte afin de garantir les médicaments et les équipements médicaux a été au centre d’un entretien, mardi au Caire, entre le ministre de la santé Mustapha Ferjani et le président du comité Egyptien de l’achat unifié Hichem Stit.

Les deux parties ont passé en revue les opportunités de coopération entre la Tunisie et l’Egypte dans les secteurs de l’importation et de la distribution. Ils ont convenu de former une équipe commune afin d’établir la liste des médicaments et des équipements à acquérir en priorité auprès des fournisseurs étrangers à même de renforcer la souveraineté sanitaire et de réduire les coûts, selon un communiqué du ministère de la santé.

Cet entretien s’est déroulé en marge de la participation du ministre de la santé à l’exposition et au congrès médical Africain Africa Health ExCon dans sa 4é édition, qui se tient du 24 au 27 juin 2025 au Caire.

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Comité de Pilotage Régional de l’Africa CDC: de nouvelles perspectives pour l’investissement dans la santé en Tunisie

Lors de sa visite au Caire, le Ministre de la Santé, Dr. Mustapha Ferjani, a rencontré le soir du lundi 23 juin 2025, M. Shamsheer Vayalil, fondateur et président de « Burjeel Holdings », l’un des principaux acteurs du secteur de la santé au Moyen-Orient.

La rencontre a été l’occasion d’explorer les possibilités d’investissement en Tunisie. M. Vayalil a exprimé son intérêt à développer des projets de qualité, notamment des unités de balnéothérapie, des centres de soins pour personnes âgées et des instituts de formation pour le personnel paramédical, le tout en conformité avec les standards internationaux.

Le Ministre de la Santé a salué cette initiative, soulignant que la Tunisie dispose de tous les atouts pour devenir une destination régionale de premier plan dans le domaine médical, grâce à sa position géographique stratégique et à ses compétences médicales de haut niveau.

Les deux parties ont convenu d’organiser une visite de travail en Tunisie dans les semaines à venir afin de commencer à identifier les projets prioritaires en coordination avec le Ministère de la Santé et les différentes parties prenantes.

Santé : renforcer le partenariat tuniso-égyptien

Dans le cadre des liens fraternels solides entre la Tunisie et l’Égypte, et en concrétisation des directives de Son Excellence le Président Kais Saied et de Son Excellence le Président Abdel Fattah al-Sissi, une rencontre a eu lieu ce lundi 23 juin 2025, au soir. Elle a réuni le ministre tunisien de la Santé, le Dr Mustapha Ferjani, et son homologue égyptien, le Dr Khaled Abdel Ghaffar, vice-Premier ministre et ministre de la Santé et de la Population.

Cette rencontre a représenté une opportunité de renforcer le partenariat entre les deux pays dans plusieurs domaines de santé prioritaires, notamment l’industrie pharmaceutique, le tourisme médical et hospitalier. L’échange d’expériences réussies et l’intensification de la coopération technique et scientifique ont également été abordés.

Les deux parties ont souligné l’engagement des dirigeants des deux pays à traduire ces relations distinguées en projets concrets qui bénéficieront directement à la santé des citoyens et qui consacreront le droit de chacun.

Rencontres Médicales des Deux Rives à Gammarth le 19 juillet

Pour la première fois en Tunisie, des médecins et professionnels de santé et ceux issus de la diaspora se réuniront lors des Rencontres Médicales des Deux Rives, prévues le 19 juillet 2025 à Gammarth, banlieue nord de Tunis.

Soutenu par un large réseau de médecins tunisiens établis à l’étranger (TRE), cet événement inédit a pour ambition de tisser des liens durables entre des compétences dispersées géographiquement mais unies par une origine commune.

Des praticiens venus de France, du Canada, d’Allemagne, d’Italie, du Qatar et des Émirats arabes unis mais aussi ceux résidant en Tunisie sont attendus pour renforcer les synergies médicales entre les deux rives.

Cette rencontre vise à encourager le partage d’expériences, à valoriser les expertises et à initier des coopérations scientifiques, pédagogiques et institutionnelles.

Au programme : des tables rondes thématiques sur la santé publique et l’innovation, des témoignages croisés de praticiens; ainsi que des ateliers pratiques destinés à élaborer une feuille de route commune pour une coopération médicale renforcée. La journée sera également un temps fort de réseautage et de réflexion stratégique sur l’avenir du système de santé tunisien, au service d’une médecine d’excellence, fondée sur les valeurs de progrès et d’engagement collectif.

Portée par Medi Connect Event, cette première édition réunira médecins hospitaliers, praticiens libéraux, experts en santé publique et décideurs institutionnels autour d’un objectif commun : construire ensemble une Tunisie médicale forte, moderne et inclusive.

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Médecins locaux et de la diaspora aux Rencontres Médicales des Deux Rives le 19 juillet à Gammarth

Pour la première fois en Tunisie, des médecins et professionnels de santé tunisiens et ceux de la diaspora se réuniront lors des Rencontres Médicales des Deux Rives qui se dérouleront le 19 juillet 2025 à Gammarth, banlieue nord de Tunis.

Soutenu par un réseau de médecins tunisiens de la diaspora, cet événement inédit vise à créer des ponts durables entre les compétences dispersées géographiquement mais unies dans leur origine.

Des praticiens de Tunisie, de France, du Canada, d’Allemagne, d’Italie, du Qatar et des Émirats arabes unis sont attendus pour renforcer les synergies médicales entre les deux rives.

Cette rencontre vise également à favoriser le partage d’expériences, à valoriser les expertises et à initier des coopérations scientifiques, pédagogiques et institutionnelles.

Au programme : des tables rondes thématiques (santé publique et innovations), des témoignages croisés de praticiens et des ateliers pratiques en vue d’élaborer une feuille de route commune pour une coopération médicale renforcée. La journée se veut également un moment de networking et de réflexion stratégique sur l’avenir du système de santé tunisien, au service d’une médecine d’excellence, ancrée dans les valeurs de progrès et d’engagement collectif.

Portée par Medi Connect Event, cette première édition rassemblera médecins hospitaliers, libéraux, experts en santé publique et décideurs institutionnels autour d’un objectif commun : bâtir ensemble une Tunisie médicale forte, moderne et inclusive.

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Le Ministre de la Santé Dr. Mustapha Ferjani en Égypte pour la réunion du Comité de Pilotage Régional de l’Africa CDC

Dans une avancée majeure qui marque le rétablissement de la dynamique sanitaire régionale, le ministre de la Santé, le Dr Mustapha Ferjani, a dirigé aujourd’hui, lundi 23 juin 2025, la délégation tunisienne participant à la réunion du comité de pilotage régional du Centre Africain de Contrôle et de Prévention des Maladies (Africa CDC) au Caire.

À l’unanimité des ministres et chefs de délégation, la Tunisie a été choisie pour présider le Centre Régional d’Afrique du Nord, dont le siège sera établi au Caire, la capitale égyptienne. Cette décision souligne la confiance des nations africaines dans le rôle de la Tunisie et sa capacité à faire progresser le programme de santé publique vers une plus grande intégration et préparation, grâce aux directives de la direction tunisienne et à la vision de Son Excellence le Président de la République, M. Kais Saied.

Dans son allocution, le Dr Ferjani a exprimé ses remerciements pour cette reconnaissance, affirmant que ce choix constitue une reconnaissance de la position de la Tunisie et de ses efforts continus pour renforcer la sécurité sanitaire, surtout après une interruption de près de dix ans dans l’activation de ce centre. Cette étape marque ainsi le début d’une nouvelle phase pour l’élaboration de stratégies de santé unifiées et plus efficaces en Afrique du Nord.

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