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La Badira: son nouveau projet à Aïn Draham

La région de Aïn Draham va voir s’implanter un nouvel hôtel arborant le brand La Badira. Détails du projet.

La Badira étend sa toile: après Hammamet, un nouvel établissement portant la même appellation est en cours de construction à Aïn Draham.

Il s’agit de l’ancien hôtel Les Chênes, propriété de la CTAMA qui a confié sa réalisation à Mouna Ben Halima, propriétaire de La Badira à Hammamet, qui l’exploitera lors de son ouverture en gestion pour compte sous l’appellation Les Chênes by La Badira.

Le site de l’ancien établissement a totalement été rasé; il est actuellement en pleine reconstruction pour en faire un hôtel de charme de 28 chambres avec 11 suites familiales de 4 lits et 4 autres très grandes suites de prestige notamment avec jacuzzi privatif, cheminées, etc.

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L’avancement du chantier du futur Badira à Aïn Draham (juin 2025).

Le projet devrait accueillir ses premiers clients au premier trimestre 2026. Sa gestionnaire souhaite préserver la mémoire de l’établissement d’origine et recherche dans cette optique notamment des photos d’époque.

La renaissance de l’hôtel Les Chênes – qui est situé à 704 mètres d’altitude et dont l’origine remonte à l’année 1907- s’inscrit dans la foulée de la remise en exploitation d’un autre hôtel tout aussi mythique de la région, à savoir La Forêt qui a officiellement rouvert ses portes récemment après rénovation complète.

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L’hôtel aura une capacité de 28 clés.

A Aïn Draham, ce renouveau hôtelier intervient dans le cadre d’une dynamique qui s’accélère dans le périmètre de cette zone forestière dont l’offre est complétée par un certain nombre de maisons d’hôtes de qualité (Dar Monia, les Chaumières de Aïn Draham…) qui participent à permettre à la région de renouer avec un caractère touristique qui était le sien il y a plusieurs décennies, à savoir une destination nature et immersive tout au long de l’année.

D.T

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BTP et développement : l’UTICA propose des solutions à la BAD pour optimiser les projets financés

Une séance de travail s’est tenue mercredi, au siège de l’UTICA, entre le président de la Fédération Nationale des Entrepreneurs de Bâtiments et Travaux publics, Jamel Ksibi, accompagné de responsables de l’organisation patronale, et une délégation d’experts de la Banque Africaine de Développement (BAD), afin d’étudier les propositions de l’Union sur les programmes et projets de la Banque en Tunisie, notamment en rapport avec l’avancement de la mise en œuvre des réformes et de la stratégie de sélection des projets.

D’après l’UTICA, cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une mission d’évaluation menée, en Tunisie, durant la période du 23 au 27 juin 2025, par des représentants de l’unité Evaluation indépendante du développement (IDEV), relevant de la BAD.

L’objectif est d’évaluer la contribution de la septième augmentation générale du capital (AGC-VII), laquelle a été approuvée en octobre 2019 pour soutenir le portefeuille de projets dans les pays membres, ainsi que d’évaluer la stratégie sélective des projets financés, lancée par la BAD, depuis 2021.

Les représentants de l’UTICA ont présenté, à cette occasion, leur vision sur le niveau d’avancement de réalisation des projets financés, en partie, par la BAD. Ils ont évoqué, en outre, les difficultés rencontrées sur le terrain, et ont présenté une série de propositions pratiques visant à assurer l’efficience des interventions de la Banque et à garantir que ces dernières soient adaptées aux priorités de l’économie nationale.

Il convient de noter que l’IDEV est une unité indépendante et impartiale qui œuvre à améliorer l’efficacité des activités de développement de la BAD.

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Management de projet │ Un levier clé pour les entreprises tunisiennes en mutation

Les entreprises, en Tunisie comme dans le reste du monde, traversent une période de mutation profonde. Entre la transformation numérique qui s’accélère, l’évolution des modèles économiques dans le pays et la restructuration organisationnelle, il est temps de former ses collaborateurs au management de projet.

Avec ces bouleversements, le management de projet s’impose comme un levier clé pour les entreprises. De nombreuses questions émergent autour de leur évolution et de la modernité des processus qui y sont l’œuvre. Aussi la formation en management de projet peut-elle aider à les propulser et leur apporter un nouveau souffle.

Pourquoi les entreprises doivent-elles se transformer?

La concurrence internationale pousse les entreprises, notamment en Tunisie dont le marché est relativement exigu, à se déployer à l’international. Cela implique une transformation urgente en leur sein. Avec l’ouverture des marchés et les accords de libre-échange, le management de projet est un poste important qui permettra de faire grandir la société d’abord au niveau national puis mondial. 

Des modèles toujours plus innovants

L’instabilité économique du pays et la digitalisation des processus qui sont en constante évolution exigent une adaptation constante des stratégies commerciales. Ces conditions nécessitent aussi une évolution dans la modernité des outils et des processus internes. Cette pression concurrentielle pousse les entreprises à développer de nouveaux produits et à proposer des modèles toujours plus innovants. 

Cependant, de nombreuses entreprises en Tunisie sont établies selon des traditions familiales, gérées en petit comité et peinent à développer leur croissance sur le marché mondial. Le changement est devenu impératif et la formation management de projet un levier clé pour ces entreprises.

Une bonne réponse stratégique 

Le management de projet est une méthode stratégique qui permet d’atteindre des objectifs clairs. Le manager va mobiliser les équipes et leurs compétences, les techniques adéquates à l’entreprise et les budgets consacrés aux objectifs ROI de manière coordonnée dans une vision d’accroissement de la société.  Il va également établir des objectifs Smart pour étudier l’état d’avancement du projet, les éléments à contrôler qui résultent des actions déjà entreprises et les révisions nécessaires pour ajuster l’atteinte des objectifs.

Cela permet aussi de structurer les transformations profondes en étapes progressives, avec des objectifs atteignables et réalisables. Ce travail de restructuration va solliciter des outils de pilotage comme des tableaux de bord, des indicateurs de performance et des reportings. La formation aide à utiliser tous les outils pour bien gérer le projet et proposer des actions concrètes alignées sur les besoins de l’entreprise.

Quelles compétences pour un management efficace ?

Pour mener à bien un projet de transformation au cœur d’une entreprise, il faut autant avoir la bonne méthode en management de projet, mais aussi exploiter les compétences humaines et techniques des équipes. 
Les soft skills (compétences humaines) sont essentielles pour un bon chef de projet. Le manager de projet doit faire preuve d’un leadership bienveillant, savoir communiquer efficacement, motiver ses collaborateurs et gérer le stress des équipes dans les phases critiques provoquées par une mutation interne.

Dans la liste des compétences à maitriser pour le management de projet, la manipulation outils de planification est une faculté essentielle. Par ailleurs, le manager sera peut-être amené à moderniser les processus dans l’entreprise.

En Tunisie, il se peut que certaines méthodes soient obsolètes et auront besoin de changement pour évoluer sur le marché mondial.

La gestion budgétaire est primordiale dans la gestion de projet, cela permet de pérenniser l’entreprise et d’encourager un gain du chiffre d’affaires. Un bon pilotage de projet passe aussi par une bonne capacité d’adaptation face aux imprévus.

La formation en management de projet joue un rôle clé pour accompagner les chefs de projets et les équipes qui doivent actualiser leurs compétences. Face à cet environnement, le facteur humain est également une notion clé dans la mutation moderne des entreprises tunisiennes.

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Plan quinquennal 2026-2030 : Quels projets seront intégrés au budget 2026 ?

Le secrétaire général du ministère de l’Économie et de la Planification, Fawzi Ghrab, a souligné que le document préliminaire du plan de développement 2026-2030 sera prêt avant la fin de 2025, et qu’il sera examiné par les deux chambres législatives au début de l’année prochaine en l’absence d’un délai constitutionnel.

Ghrab a ajouté, dans une interview réalisée au studio de l’agence TAP, sur l’avancement de la mise en place du plan quinquennal de développement, que la priorité sera donnée au budget de l’État pour l’année 2026 qui sera examiné par l’Assemblée des représentants du peuple et le Conseil national des régions et des districts, à condition qu’une attention soit plus tard accordée au plan de développement.

Dans le même contexte, il s’est référé au document préliminaire pour le plan de développement quinquennal qui pourrait être examiné par le Conseil des ministres avant la fin de cette année et approuvé conformément aux exigences de la circulaire n° 10 du chef du gouvernement de 2025, publiée le 22 avril 2025, liée au plan de développement quinquennal 2026-2030.

« Le plan de développement n’est pas soumis à des délais constitutionnels, comme c’st le cas pour le budget de l’État, et le document peut être discuté par le Conseil national des régions et les districts, et l’Assemblée des représentants du peuple, au cours de la première période de l’année 2026.

Pour le responsable, il y a une certaine flexibilité au niveau de la relation entre le budget de l’État et le plan de développement. « Il y a une tendance à prendre en considération certaines propositions de projets et à les inclure dans le projet de budget de l’État pour l’année 2026, si leur maturité est confirmée », a-t-il affirmé.

Il a estimé que l’inclusion, pour la première fois, du niveau interrégional, qui est basé sur 5 districts dans le prochain plan de développement, contribuera à renforcer les relations entre les régions ainsi que la compétitivité des régions.

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Un tiers des produits d’artisanat tunisiens exporté sur le marché américain

Le projet ACEA initié par l’Ambassade des États-Unis en Tunisie a boosté d’une façon extraordinaire les exportations de produits artisanaux au marché américain.   

La Tunisie a exporté des produits d’artisanat vers les États-Unis d’un montant global s’élevant à 49 millions de dinars.

Ce chiffre place le marché américain en tête des destinations ciblées par les artisans tunisiens. Cette performance a été réalisée grâce au projet « Action Collaborative pour les Exportations Artisanales (ACEA) », une initiative de 6,4 millions de dollars, mise en œuvre par FHI 360 et financée par l’Ambassade des États-Unis en Tunisie.

Le projet socio-économique a permis aux artisans issus de régions défavorisées notamment de développer leurs compétences à travers des groupements collaboratifs et de viser de nouveaux marchés internationaux dont le marché américain.

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1200 artisans bénéficiaires

Joey Hood, ambassadeur des États-Unis en Tunisie, a déclaré, lors de sa visite au salon ArtiCrea qui se déroule du 9 au 15 septembre courant à la Foire internationale du Kram et rassemble les principaux acheteurs et décideurs influents de divers secteurs de l’artisanat, qu’un investissement d’une l’enveloppe globale de 19 millions de dinars, a permis d’élaborer des programmes de formation au profit des artisans tunisiens, de leur fournir des équipements de travail et de les aider à améliorer leur travail de marketing et le réseautage entre eux et les acheteurs américains.

1200 artisans au total ont bénéficié de ces programmes de formation dont plus de 800 femmes. Le projet a permis aussi de créer plus de 800 emplois et d’attirer des investissements de 18 millions de dinars.

Le montant des exportations vers le marché américain a fait un bond spectaculaire grâce à cette initiative en passant en quelques années seulement de 1 million à 49 millions de dinars, soit 5000% de croissance, sachant que le marché américain se taille aujourd’hui le tiers des exportations tunisiennes en la matière.

Promouvoir l’héritage tunisien

L’ambassadeur des États-Unis en Tunisie a considéré, par ailleurs, que le projet ACEA revêt aussi une importance majeure pour l’image de la Tunisie et la promotion du pays lui-même étant donné que tous les produits exportés portent la mention « Fabriqué en Tunisie ».

« Il s’agit d’une opportunité pour les Américains de découvrir l’héritage tunisien caché derrière ces beaux produits », a-t-il indiqué.

salon-articrea-ambassade-americaineLes perspectives d’avenir sont très bonnes selon toujours l’ambassadeur américain en expliquant que les artisans tunisiens qui font l’export vers le marché américain commencent à peine à y égratigner la surface supérieure.

« Il y a tellement de la demande que le prochain défi soit la gestion de la demande, notamment que les prix de vente sont assez élevés pour récompenser ce beau travail de création », a-t-il dit.

Quatre groupements

Le projet ACEA a choisi quatre domaines prometteurs représentés par quatre groupements. Il s’agit tout d’abord de Wikipam, un groupement d’intérêt économique spécialisé dans la production de produits naturels à base de plantes aromatiques et médicinales.

Puis, il y a Oleart, un groupement d’artisans experts dans le travail du bois d’olivier tunisien. Troisièmement, il s’agit de Ragma, un groupement d’intérêt économique de femmes artisanes dédié à la préservation et à la promotion de l’héritage tissé amazigh. Quant à la quatrième spécialité, il s’agit de Barrama, une marque de poterie artisanale fait-main par les artisanes de la région d’Al-Barrama.

L’initiative de l’ambassade américaine touche donc toutes les régions du pays et capitalise particulièrement sur le potentiel des régions intérieures afin de contribuer à y créer une dynamique économique.

Label de qualité
C’est un objectif commun avec l’ONAT (Officie national de l’artisanat tunisien) dont le directeur général, Faouzi Ben Halima, annonce qu’un label de qualité a été élaboré et il sera mis en application prochainement afin d’inciter les artisans tunisiens à améliorer la qualité de leurs produits dans le but de mieux répondre aux exigences des marchés extérieurs.

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